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Face au stade Rennais, les papys quittent la résistance 

Les « papys jardiniers » ont reçu leur avis d’expulsion, mais la résistance contre l’extension du Stade rennais se poursuit autour du collectif de la Prévalaye.
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Les jardiniers de la Prévalaye devraient obtenir de nouvelles parcelles début mars, à 1,5 km de leurs jardins actuels. 

De la résignation. C’est ce que ressent la petite dizaine de « papys jardiniers » qui louent des parcelles en bail précaire à la Ville, route de Sainte-Foix, sur le site prévu pour l’extension du centre d’entraînement du Stade rennais. En sursis depuis plusieurs mois, ils ont reçu leur avis d’expulsion en décembre. Ils devront quitter les lieux d’ici fin mars. Hasard ou coïncidence, c’est lors du conseil municipal du 14 mars que devrait être voté le permis de construire portant sur une surface de 3,5 ha (contre 8 prévus initialement), avance Anthony, membre du collectif de sauvegarde de la Prévalaye.

On aurait bien voulu rester ici. La terre y est excellente
À la place de ces jardins partagés ? Un parking et un terrain de foot à cinq, selon les plans de l’avant-projet du Stade rennais présenté en avril dernier. Mais les papys ne relèguent pas tout de suite leur bêche au placard. Interpellé par le collectif lors du conseil municipal du 17 janvier, Didier Chapellon, adjoint délégué à la biodiversité, l’assure, tout est fait pour « reloger » les jardiniers : « Les travaux de préparation de nouveaux jardins (à 1,5 km du site actuel, NDLR) commencent cette semaine. Nous souhaitons qu’ils soient prêts début mars afin de de permettre aux jardiniers de cultiver leurs nouvelles parcelles au bon moment ». Une solution acceptée faute de mieux. « On aurait bien voulu rester ici. La terre y est excellente, regrette Marcel. Il faut qu’on déplante, qu’on replante, qu’on déménage l’outillage et les cabanes ». Ils devraient toutefois être aidés, pour l’aspect logistique, par la Ville.

Un timing « étrange »
Une fin heureuse pour les papys, qui laisse toutefois le sentiment aux membres du collectif qu’ils quittent le navire. « Les jardiniers n’étaient pas dans le collectif et ne voyaient que leur pré carré de jardin, pas les enjeux à moyen ou long terme », regrette Anthony. Un choc culturel, en somme, face à un collectif qui se positionne, sous le modèle des zad, en « jardin à défendre » et qui regroupe des associations très engagées comme Extinction rébellion et Alternatiba.

Mais c’est surtout le manque de communication de cette municipalité « sociale-écologiste » que le collectif pointe du doigt. « Ce qui me choque, c’est qu’on apprend des choses sans être informés par les élus alors qu’on fait partie du comité de gestion (avec d’autres associations et des représentants de la Ville, NDLR). On a appris pour les avis d’expulsion en discutant avec les jardiniers et nous avons pris connaissance des visuels du projet de l’architecte NeM par la presse mi-janvier ». Une manière un peu cavalière de présenter le projet d’extension, qui a même étonné Nathalie Appéré, maire de Rennes, qualifiant le timing de l’architecte « d’étrange ». Néanmoins, pas de quoi surprendre Anthony : « À chaque fois que l’on apprend quelque chose, c’est toujours de manière indirecte ». Les papys jardiniers eux-mêmes, n’avaient appris leur départ que par… un journaliste du Mensuel de Rennes.

Bruno Genesio encense Warmed Omari

Ce vendredi soir, face au Paris SG (1-0, 24e journée de Ligue 1), Warmed Omari (19 ans) a disputé son 20e match de la saison en L1, réalisant une prestation de grande qualité contre une opposition très relevée. Bruno Genesio, remonté contre son équipe au regard du scénario de la rencontre, n'a pas manqué de saluer son jeune et talentueux défenseur central en conférence de presse d'après-match.

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 «Depuis le début de saison, on dit qu’il surprend. Il confirme de match en match, il s’entraîne bien, sérieux et il a les qualités. Ce soir, il a été énorme défensivement, ce qui est important pour un central, et aussi très bon dans les sorties de balle», a expliqué le technicien rennais. Le jeune homme appréciera sans doute.

Benjamin Bourigeaud, inépuisable chouchou des fans rennais

Alors que PSG-Rennes se profile vendredi, le milieu breton Benjamin Bourigeaud vient de franchir le cap des 200 matchs avec le SRFC.
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Depuis bientôt cinq ans, sa générosité dans l'effort et sa patte d'or en font un pilier du Stade Rennais FC. Apprécié des supporters, Benjamin Bourigeaud sera un atout essentiel des Rouge et Noir alors que le club breton se déplace sur la pelouse du PSG en ouverture de la 24e journée de Ligue 1 Uber Eats vendredi (21h). Titulaire inépuisable, il avait déjà été un des artisans de la victoire au Roazhon Park (2-0) en octobre lors de la phase aller, à ce jour la seule défaite du PSG en championnat. Avec le capitaine Hamari Traoré, il est aussi le dernier Rennais à avoir arraché la Coupe de France des griffes parisiennes en 2019.

Déjà 200 matchs
Signe d'une fidélité réciproque, Benjamin Bourigeaud est devenu en janvier le 12e Rennais de l'ère moderne à dépasser les 200 matchs sous les couleurs du club. C'était lors du déplacement à Lens, son club formateur, avec lequel il avait déjà franchi la barre des 100 matchs.

Les supporters ne s'y sont pas trompés. Lors du derby contre Brest dimanche, les ultras du RCK ont déployé une grande banderole en son honneur et scandé son nom une bonne partie du match. « Ça m'a fait chaud au cœur, je ne m'y attendais pas du tout en plus. Voir cette récompense, cette reconnaissance du travail quotidien fourni depuis quelques années, ça fait plaisir », a-t-il réagi après le match.

« Tout pour le collectif »
Arrivé de Lens en 2017, Bourigeaud s'est rapidement imposé dans le cœur du jeu rennais grâce à son aisance technique et sa vision de jeu. Des qualités qu'il a encore démontrées dans un geste de grande classe dimanche : un contrôle en extension suivi d'une talonnade entre les jambes d'un défenseur pour lancer Traoré dans son dos. Au fil des années et des entraîneurs (Christian Gourcuff, Sabri Lamouchi, Julien Stéphan et Bruno Genesio), sa régularité dans le jeu en a fait un titulaire indiscutable. « Il a du volume, il a une grande qualité de pied, une super qualité de passe », saluait Stéphan l'an dernier. « C'est quelqu'un qui est extrêmement généreux, qui donne vraiment tout pour le collectif ».

Cette saison, il est le seul Rennais à avoir débuté tous les matchs, à une malheureuse exception près : il a manqué le 16e de finale de Coupe de France perdu à Nancy début janvier à cause d'un test covid positif. Une gageure compte tenu de la densité de l'effectif rennais en milieu de terrain, avec Steven Nzonzi et Eduardo Camavinga ces dernières années, ou cette saison la renaissance de Flavien Tait et Jonas Martin ou l'arrivée très remarquée de Lovro Majer.

A Rennes, il a connu les mauvaises séries difficiles à digérer, et sur lesquelles il a su s'exprimer sans langue de bois, mais aussi la Ligue des champions la saison dernière, et les grandes heures du printemps 2019 avec le 8e de finale aller de Ligue Europa incandescent contre Arsenal (3-1) et la victoire en Coupe de France.

Le film "Au Fer Rouge" diffusé à Paris

Diffusé à plusieurs reprises à Rennes et ses alentours, le film "Au Fer Rouge", produit par le Stade rennais et fêtant les 120 ans du club sera diffusé à Paris prochainement.

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Rendez-vous le 23 février, 21h00, au Christine Cinéma Club, dans le 6e arrondissement. Romain Danzé sera présent pour cette séance parisienne.

BeinSports en faillite à cause de la Ligue 1 et de Canal+ ?

Canal+ et BeInSports avaient rendez-vous cette semaine devant un tribunal. Le jugement de cette affaire qui oppose les deux chaînes sera rendu le 31 mars et la LFP tremble déjà.

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Après le retrait de Mediapro, et l’attribution de 80% des droits de la Ligue 1 à Amazon Prime Video, qui fait très bien le job, les clubs de l’élite pouvaient dormir tranquille, ou du moins nettement mieux que l’an dernier. Mais, cela n’est plus le cas, puisque jusqu'au 31 mars prochain la peur sera grande de voir ce bel équilibre s’écrouler une nouvelle fois. Pourquoi ? Et bien c’est simple. Canal+ réclame toujours que le contrat de sous-licence payé à BeInSports pour diffuser deux matchs de Ligue 1 par journée de championnat soit annulé ou du moins rendu à BeIn. Aucun accord amiable n’ayant été trouvé entre les deux chaînes, le dossier passait mercredi devant la Cour d’Appel de Versailles. Dans un premier temps, le tribunal de commerce de Nanterre avait donné raison au groupe qatari, qui estimait que Canal+ devait continuer à lui payer 332 millions d’euros par saison pour diffuser ces fameux deux matchs achetés en 2018 au plus fort de la concurrence avec Mediapro. Mais du côté de Canal+, on estime que ce montant ne correspond plus à la réalité du marché, Amazon ayant payé moins que cela pour donner 8 matchs par journée de Ligue 1. Et donc la chaîne de Maxime Saada a fait appel.

Canal+ ne veut plus être le dindon de la farce des droits TV en Ligue 1

Tout ce petit monde s’est retrouvé devant le tribunal de Versailles, et l’avocat de BeInSports a été très clair. Si la justice donne raison à Canal+ et contredit le premier jugement, il est clair que la chaîne qatarie ne pourra pas payer les 332 millions d’euros du contrat, car elle n’a pas du tout la trésorerie pour cela comme l'a indiqué son avocat. Autrement dit, BeInSports disparaîtra des écrans français si Canal+ obtient gain de cause, ce qui ne ferait pas les affaires de la Ligue de Football Professionnel. L’avocat de la LFP l’a reconnu, si les juges « rendent » les droits à BeinSports, le football tricolore pourrait s’écrouler aussi. « Ce scénario, pour la Ligue de football professionnel (LFP), c'est un scénario catastrophe. Le football s'effondrerait, car il ne s'est toujours pas remis de la faillite de Mediapro et de la crise sanitaire », a reconnu Maître Yves Wehrli. De son côté, Canal+ n’en démord, payer autant d’argent pour deux matchs est totalement honteux. « Canal+ paye 332 millions d'euros pour deux matches par journée quand Amazon paye 250 millions pour huit matches par journée, dont les dix meilleures affiches. Les conséquences pour Canal+ sont incommensurables, elle est en incapacité de valoriser ses droits », fulminent les avocats de la chaîne du groupe Bolloré. Le jugement sera rendu le 31 mars et d'ici là, chacun des camps va croiser les doits faut de croiser les droits, même si selon certains spécialistes les chances sont faibles de voir la cour d'appel inverser la première décision.

Un supporter du Stade Rennais visite la Beaujoire et profite de l’occasion

En visite à la Beaujoire, cet éducateur sportif supporter de Rennes a profité de cette opportunité pour réaliser quelques photos.
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On a pas le même maillot mais on a la même passion. Isidore sait que la rivalité Nantes-Rennes est toujours présente et la tentation était trop forte lors de sa visite à la Beaujoire cette semaine. Se promener avec un maillot du Stade Rennais dans le stade mythique de Nantes, un “gentil affront” que le jeune homme s’est amusé à réaliser.

“Je suis éducateur dans un club de Nantes (CCS Saint Félix) et on a été invité à aller faire un entrainement à la Jonelière. On nous a aussi invité à visiter le stade et en tant que supporter Rennais… J’en parlais à mon meilleur pote Hugo, je voulais porter le maillot de Rennes discrètement pour faire une ou deux photos. Il m’a chauffé, et BIM !” – Isidore

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Isidore avec le maillot du Stade Rennais

Néanmoins, comme il l’a précisé, il n’a réalisé que deux photos discrètement pour “le défi”. Comme nous pouvons l’observer sur son compte Instagram, il a gardé par la suite sa tenue d’entrainement de son équipe entrainée (CCS Saint Félix). Isidore fait partie des supporters Rennais souhaitant garder une rivalité saine et il ne souhaitait pas être offensant ni insultant en se promenant toute la journée avec le maillot apparent.

Trois joueurs sanctionnés par la LFP pour paris illégaux

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La Ligue de Football Professionnel a communiqué comme chaque mercredi l'ensemble des sanctions prises à l'encontre des joueurs de Ligue 1 et Ligue 2. Et parmi les joueurs suspendus pour paris illégaux lors de la saison 2019/2020 et interdits par le Code du Sport, trois évoluent dans l'élite : l'attaquant du Stade Rennais Gaëtan Laborde, le buteur de l'Angers SCO Stéphane Bahoken et le défenseur central du FC Nantes Jean-Charles Castelletto, qui écopent de trois matches de suspension avec sursis.

«Il s'agit du douzième croisement de fichiers, effectué avec le concours de l'ANJ et de la FDJ, depuis la saison 2013/2014. Ces infractions sont commises alors même que, de concert, la LFP et l'UNFP mènent des campagnes de sensibilisation ou d'information auprès des clubs au quotidien. La Commission rappelle que les joueurs de football professionnel ont interdiction générale de parier sur toutes les compétitions de football, qu'elles soient nationales ou étrangères», peut-on lire dans le communiqué de la LFP.

Je n’ai pas raté un match du Stade Rennais depuis cinq-six ans

Grand supporter du Stade Rennais depuis l’enfance, le réalisateur Fred Cavayé ne rate pas un match de son club de cœur. Ancien handballeur, son amour du football lui vient de l’enfance. Entretien avec un passionné.
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Quel rapport entretenez-vous avec le sport ?
J’aime le sport en général. Ce que je préfère, c’est le foot, je suis un supporter du Stade Rennais, je lis L’Equipe… Mais quand j’étais plus jeune, je faisais du handball, à l’école et aux Cadets de Bretagne, à Rennes. Il m’est resté cet amour du sport collectif. Il y a des scénarios plus forts que des films. La victoire de Rennes contre Nantes à la 97e (3-2 en 2020), c’est extraordinaire. Il y a assez peu de moments au cinéma où tout bascule à la dernière seconde.

Faites-vous du sport aujourd’hui ?
Je fais des pompes et du gainage au réveil. On ne peut pas appeler ça du sport, mais je me tiens à ça tous les matins parce que je n’ai pas le temps d’aller courir. Ça me permet de rentrer dans mes fringues !

Vous êtes supporter du Stade Rennais. Regardez-vous tous les matchs ?
Oui, je n’en ai pas raté un depuis cinq-six ans. Je fais mon emploi du temps en fonction des matchs du Stade Rennais. Ça paraît un peu dingue, mais quand on a une passion… Sur le tournage d’« Adieu monsieur Haffmann » (son dernier film, sorti le 12 janvier), il y avait des matchs européens et j’ai dû voir avec mon assistant pour terminer à 18 h quand il y avait des matchs à 18 h 45. J’espère qu’il ne lira pas l’article, je ne lui ai pas dit que c’était pour ça !

Mon premier autographe, c’est Pierrick Hiard. Je suis en CM2 et je le croise au Monoprix de Maurepas. Il avait signé « Amitiés sportives, Pierrick ».

Votre passion pour le Stade Rennais, elle vient de l’enfance ?
Oui, bien sûr. Et on ne change pas de club. Quand mon travail m’a obligé à vivre à Paris, je ne suis pas devenu supporter du PSG. Les seules fois où je suis allé au Parc des Princes, c’était pour des PSG - Rennes. Mes premiers rapports au foot, c’est par l’école, et avec les copains en bas du HLM. J’ai été abonné au magazine Onze (ancêtre de Onze Mondial) à 8 ans. C’est là que j’ai commencé à aller au stade.

Quels sont vos premiers souvenirs liés au club ?
Quand Rennes était en Division 2, on pouvait attendre les joueurs pour un autographe à la porte du vestiaire. Je me souviens aussi d’un Rennes - Marseille de l’époque Tapie. On avait tellement peur d’être mal placé qu’on était arrivé au stade à 15 h alors que le match commençait à 20 h. On était les premiers, et on avait pu se mettre derrière le but, à cinq mètres du gardien. Je me rappelle aussi avoir été placé juste au-dessus du panneau d’affichage et le lendemain?, je reconnais les manches de mon blouson à Téléfoot. Mon premier autographe, c’est Pierrick Hiard. Je suis en CM2 et je le croise au Monoprix de Maurepas. Il avait signé « Amitiés sportives, Pierrick ». Je le croise de temps en temps, mais je n’ai jamais osé lui dire.

Ma madeleine de Proust, c’est la galette saucisse. Ma mère a habité une dizaine d’années près du Roazhon Park. Quand il y avait match, ça sentait la galette saucisse chez elle.

Quelles étaient vos idoles de jeunesse ?
Laurent Pokou, un avant-centre extraordinaire, puis Pierrick Hiard. Il y a un joueur qui n’est jamais cité car il a fait très peu de matchs (une dizaine à la fin des années 1970), un gardien qui s’appelle Louis Leray, le fils de mon voisin. Pour moi, c’était incroyable, comme si Brad Pitt emménageait au-dessus de chez moi.

Aujourd’hui, la route de Lorient agit-elle comme une madeleine de Proust ?
Oui, on peut le dire, ma madeleine de Proust, c’est la galette saucisse. Ma mère a habité une dizaine d’années près du Roazhon Park. Quand il y avait match, ça sentait la galette saucisse chez elle et on entendait le public hurler à chaque but.

Le Stade Rennais vit une période faste. Comment avez-vous vécu les derniers grands moments du club ?
Au stade pour la plupart. Il y a eu tellement de désillusions avant, alors battre Arsenal 3-1 (en 2019 en 8e de finale de Ligue Europa), ça décuple le plaisir de l’instant. C’était tellement terrible, ces deux finales de Coupe de France perdues. La deuxième finale (2-0 en 2014 face à Guingamp), je rentre chez moi et je reste prostré dans le noir pendant une heure. Ces moments-là ont rendu encore plus belle la victoire face au PSG.

La finale de la Coupe de France, j’avais les larmes aux yeux devant la télé, mais ça aurait été décuplé si j’avais pu y être.

Étiez-vous au Stade de France ce jour-là ?
Non, et c’est mon grand désespoir. J’avais déjà réservé des vacances, si j’annulais, ma copine me quittait (rire). Alors j’ai regardé le match à la télé. Eric Besnard, de Canal +, m’a dit que si Rennes gagnait, j’allais le regretter toute ma vie. Il n’avait pas tort. Le match d’après, je suis au Roazhon Park, avec Jacques Delanoë et Olivier Létang. Ils se foutent un peu de moi car j’avais raté le match qu’il ne fallait pas, et à un moment, ils me posent la Coupe sur les genoux. Là, j’avais huit ans. Rien qu’en en reparlant, j’ai des frissons.

Cette finale, est-ce votre plus belle émotion de sport ?
Oui, j’avais les larmes aux yeux devant la télé, mais ça aurait été décuplé si j’avais pu y être. Etant souvent à Paris, je connais pas mal de gens, d’acteurs, qui supportent le PSG, comme Rochdy Zem. À 2-0 pour Paris, ils m’envoient des textos… C’est tellement jubilatoire à la fin du match.

Le cinéma aborde peu le thème du football. Comment l’expliquez-vous ?
Le foot est un sport populaire. Et le cinéma français a du mal avec les thèmes trop populaires. Le foot intéresse moins les auteurs, alors que les Etats-Unis font des grands films sur les sportifs.

Et vous ne voudriez pas faire un film sur le football ?
Ce serait forcément sur le Stade Rennais. Pourquoi pas, il faudrait que je me penche sur le truc.

De mon œuvre, il ne restera peut-être que ça, « Fred Cavayé, supporter du Stade Rennais ». Mais ça me va !

Vous placez une référence au Stade Rennais dans chacun de vos films. C’est un simple clin d’œil ou aussi une manière de se revendiquer rennais ?
Il y a des deux. C’est aussi citer la Bretagne, c’est important pour moi. Dans « Adieu monsieur Haffmann », l’intrigue se passe en 1941, mais j’ai quand même réussi à parler du Stade Rennais. La limite, ce sont les films dans lesquels l’action se passe avant 1901 (date de création du club).

Vous ne pouvez donc pas faire de film qui se passe avant 1901…
C’est drôle, on vient de m’en proposer un. Si je fais ce type de films, je vais être emmerdé. De là à le refuser, ce serait dommage. Mais je vais y arriver quand même. J’ai déjà une idée qui me vient pour placer une référence. Le premier commentaire qui est sorti de mon dernier film, c’était pour dire que j’avais encore réussi à placer une référence au Stade Rennais. Je trouve ça drôle ! De mon œuvre, il ne restera peut-être que ça, « Fred Cavayé, supporter du Stade Rennais ». Mais ça me va !

Canal + contre la LFP, la guerre repart !

Après plusieurs mois de calme, le litige judiciaire opposant la Ligue de Football Professionnel et Canal + va reprendre ce mercredi.

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La crise des droits télévisuels n’est pas encore une histoire ancienne pour les dirigeants de la LFP et son président Vincent Labrune. Et pour cause, ce mercredi, Canal + va demander à la cour d’appel de Versailles de l’autoriser à résilier son contrat de sous-licence signé avec BeInSports. Dans le cas où elle obtiendrait gain de cause, la chaîne cryptée laisserait alors au groupe qatari le soin de diffuser les deux matchs par journée actuellement diffusés par Canal + et surtout de payer la note des droits TV. Depuis près de 18 mois et la défaillance de Mediapro, cette crise pollue le football français, Canal + s’estimant lésé en diffusant moins de matchs qu’Amazon mais en payant plus cher.

En coulisses, Canal + dénonce une situation qu’elle juge anti-concurrentielle et active ainsi toutes les procédures à sa disposition dans le seul et unique but de résilier son contrat. Pour rappel, elle continue de payer un prix fixé en 2018 à l’époque des promesses de Mediapro tandis que Prime Video a récupéré les matchs que diffusaient Téléfoot à un prix fixé après la défaillance du groupe de Jaume Roures. Une situation ubuesque pour Canal + et pour le groupe Vivendi qui peste depuis plus d’un an contre ce qu’il considère comme un « traitement inéquitable ».

Canal +, une nouvelle procédure vouée à l'échec ?
La décision de la cour d’audience de Versailles est attendue d’ici un mois et si Canal + sortait vainqueur, alors c’est BeInSports qui serait dans la sauce avec un contrat XXL à honorer. « Objectivement, je ne vois pas très bien comment Canal + pourrait se carapater du contrat de sous-licence » estime néanmoins un fin connaisseur du dossier, pour qui la situation va rester telle qu’elle est actuellement en Ligue 1 avec deux matchs par journée diffusés par le groupe Canal + et les huit autres matchs diffusés par Prime Video. Une situation qui, à défaut de convenir à la chaîne cryptée, convient parfaitement aux consommateurs de la Ligue 1 depuis plusieurs mois.

"Rennes est immense", un hymne au Stade rennais lancé par les supporters

Depuis quelques jours, un appel à contributions a été lancé pour la création d’un hymne au Stade rennais. Intitulé « Rennes est Immense », le chant a trouvé son air mais attend désormais ses paroles. Les supporters du SRFC sont donc invités à se mobiliser pour tenter de créer un hymne au club.

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L’idée a fait son chemin depuis maintenant plusieurs années. « Quand on voit Les Corons, You’ll Never Walk Alone de Liverpool, et plein d’endroits, ça donne envie de voir un stade chanter à l’unisson. » raconte Julien Monnier, l’un des supporters à l’origine du projet, par ailleurs créateur du podcast La Causerie des Rouge et Noir. C’est justement au détour de ces enregistrements que des acolytes motivés se rassemblent autour de ce projet. Tomjez, GazonBreton, WayneRennais et Julien tentent donc le coup en ce début d’année.

Loin des binious et autres clichés, mais toujours proche d’influences celtes, "The Water is Wide" a été choisi comme air. Pour les paroles, chacun peut envoyer sa contribution via un lien (ici). C’est bien une oeuvre collective dont il est question, en cours de création, avec pour but de créer un hymne propre au Stade rennais, en marge de l’hymne à la Bretagne, le Bro Gozh Ma Zadoù. « Ce qu’on voulait surtout, c’est avoir un stade comme le Bétis, Lens, Liverpool, où le stade peut couper la musique, et on entendra quand même les gens chanter. » poursuit Julien. « La démarche est sincère, on veut faire ça bien, que ce soit naturel. C’est sans prétention, et si ça ne prend pas, tant pis. »

L’objectif est dans un premier temps de créer une maquette à présenter. Pour cela, toute proposition est la bienvenue. On attend le résultat avec impatience !

Comment Laborde s’est métamorphosé depuis son passage à Brest

S’il avait laissé entrevoir certaines qualités lors de son passage au Stade Brestois (2014-15), Gaëtan Laborde, auteur d’un bon début de saison au Stade Rennais, était loin d’être le joueur qu’il est devenu.
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Transféré à Rennes l’été dernier pour 15 millions d’euros (hors bonus) après trois saisons plus qu’abouties à Montpellier (39 buts et 20 passes décisives en 118 matchs), Gaëtan Laborde confirme les espoirs placés en lui à son arrivée (7 buts en 18 rencontres). Titulaire indiscutable sur le front de l’attaque rennaise, le natif de Mont-de-Marsan (27 ans) n’a pourtant pas toujours connu un parcours linéaire. Formé aux Girondins de Bordeaux, l’attaquant s’est révélé sur le tard, après plusieurs saisons en dents de scie.

« Son passage à Brest lui a permis de grandir, de se construire. Il a su changer beaucoup de choses dans son travail, modifié son hygiène de vie », explique aujourd’hui l’agent de Laborde. (Jean-Michel Louarn)
Au terme d’un premier prêt (concluant) au Red Star (alors en National), Laborde a vingt ans lorsqu’il débarque au Stade Brestois en 2014, toujours sous forme de prêt. Sous les ordres d’Alex Dupont, il sera aligné à 26 reprises en Ligue 2, n’inscrivant que deux buts en championnat.

« C’était un bon joueur de Ligue 2, mais rien ne présageait pour autant qu’il deviendrait le super attaquant qu’il est devenu. On voyait que c’était un bon joueur, mais de là à dire qu’il ferait cette carrière-là… »

Malgré de belles qualités (qualité de frappe, habile des deux pieds, travailleur), le joueur quittera la pointe finistérienne sans avoir convaincu. « À l’époque, c’était un bon joueur de Ligue 2, mais rien ne présageait pour autant qu’il deviendrait le super attaquant qu’il est devenu. On voyait que c’était un bon joueur, mais de là à dire qu’il ferait cette carrière-là… », dit aujourd’hui le capitaine du Stade Brestois Brendan Chardonnet, qui aura la responsabilité de défendre sur lui ce dimanche, et qui l’a côtoyé durant son passage à Brest.

Un peu en surpoids à son arrivée à Brest
Autre ancien partenaire, Gaëtan Belaud garde aussi « le souvenir d’un jeune qui avait beaucoup de qualités mais qui était encore en formation. C’était surtout l’hygiène de vie qui posait problème. Il était un peu en surpoids… ». Un constat que partageait aussi dans nos colonnes son ancien capitaine à Brest, Johann Ramaré, au moment de son arrivée à Rennes : « Il avait eu du mal à s’imposer (à Brest). Malgré ça, il a toujours été dans l’état d’esprit et c’est son mérite : il a toujours continué à travailler dur, n’a jamais rechigné ».

Décrit comme « un guerrier » par l’entraîneur brestois Michel Der Zakarian, sous la houlette duquel l’intéressé s’est épanoui à Montpellier, Laborde récolte ainsi les fruits d’une détermination à toute épreuve.

Il a su trouver le déclic
« C’est quelqu’un qui m’a toujours épaté par sa combativité, illustre Youssef Adnane, ancien attaquant du Stade Brestois (jan.2015 - jan.2017). Il était encore jeune, et forcément perfectible, à son arrivée à Brest. Je pense que c’est à Montpellier qu’il a pleinement pris conscience de son potentiel. Là-bas, il a côtoyé de grands joueurs et compris l’exigence du haut niveau, qu’une carrière se jouait sur des détails, en termes d’hygiène de vie notamment. Ce qui lui permet d’être aujourd’hui très affûté physiquement ».

« Très clairement, quand on voit son évolution, on se dit qu’il a réussi à trouver le déclic, poursuit Belaud. Il a été intelligent et su rectifier ce qui ne fonctionnait pas ». « Son passage à Brest lui a permis de grandir, de se construire. Il a su changer beaucoup de choses dans son travail, modifié son hygiène de vie », abonde son agent, Christophe Hutteau, qui confirme que « le changement majeur s’est produit à Montpellier, il s’est vraiment affiné là-bas ». Ce qui lui a permis de gagner « en spontanéité, en explosivité ».

Bourigeaud : Les chants des supporters m’ont fait chaud au cœur ...

Le Stade Rennais s’est imposé face à Brest ce dimanche en Ligue 1 (2-0). Benjamin Bourigeaud a été célébré par les supporters rennais et ça l’a touché.

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Benjamin Bourigeaud a vu son nom être scandé une bonne partie de la deuxième mi-temps par le RCK, ce dimanche lors de la victoire du Stade Rennais face à Brest (2-0). Le vice-capitaine revient sur cet après-midi.

On attendait une réaction de l’équipe après Clermont. Ça a été le cas.

Oui, on attendait de retrouver le contenu d’un match plein. C’est ce qu’on a fait, même si on a traversé une période difficile en deuxième mi-temps. On a été solide dans nos temps faibles, c’est ce qui nous manquait ces derniers temps. Donc on est très content d’avoir renoué avec la victoire à domicile dans une bonne ambiance en plus.

Vous avez manqué d’efficacité en première mi-temps…

Forcément, on aurait aimé alourdir le score un peu plus tôt, mais on a su rester solide dans notre temps faible, c’est bien. On fait le clean-sheet, à domicile, dans un derby, c’est plaisant d’avoir ce genre de performance et de comportement.

Comment expliquer cette solidité ? On vous a vu vous réunir en cours de match, sur un arrêt de jeu.

On s’est dit les choses telles qu’on les ressentait sur le terrain. On avait tendance à trop reculer dans nos temps faibles et on voulait rester solide et faire monter un peu plus le bloc. On subissait un peu trop. On s’est dit les choses, ça a été le cas toute la semaine, on a positivé et on a vu des attitudes positives. On est content, il faut continuer comme ça.

Vous avez été célébré par le Kop…

C’est toujours plaisant de voir les supporters scander son nom. Après, j’étais vachement concentré sur notre jeu, notre performance. Mais ça m’a fait chaud au cœur, je ne m’y attendais pas du tout en plus. Voir cette récompense, cette reconnaissance du travail quotidien fourni depuis quelques années, ça fait plaisir. Ils m’ont demandé au clapping, ça m’a touché, parce que j’ai traversé des moments compliqué, des moments exceptionnels aussi avec le club. Et j’espère continuer comme ça jusqu’à la fin de mon contrat s’il faut, on verra. En tout cas, je donnerai le maximum tout le temps que je suis ici.

Ça vous donne envie de prolonger ?

(Il est en fin de contrat en juin 2023) On verra ! On ne sait pas de quoi est fait l’avenir, en tout cas je suis très content d’évoluer sous les couleurs du Stade Rennais, c’est un plaisir depuis que je suis arrivé. J’ai connu beaucoup d’émotions et j’espère en vivre encore.

Le coup de mou que connaît le Stade Rennais est logique

Pour le site du club, Michel Sorin a donné un entretien dans lequel il aborde son passage du Stade brestois au Stade rennais en 1989, dans un contexte particulier.

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« Cette année-là, ce qui est bizarre, c’est que les deux équipes jouaient la montée en première division. Rennes, troisième, jouait le deuxième de l’autre groupe, et nous, deuxièmes, on jouait le troisième. Si les deux équipes gagnaient, elles devaient se rencontrer au prochain tour. Mais j’avais signé depuis un mois au Stade Rennais, c’était particulier. J’en ai parlé avec le Président. Il savait que j’allais faire le maximum jusqu’au bout avec Brest. C’était quand même ambigu. Cependant, la question ne s’est pas posée car Rennes a perdu contre Nîmes. On a joué Nîmes et on a gagné les barrages. On a fini contre Strasbourg, les barrages ont duré une éternité. Je reprenais une semaine après avec le Stade Rennais. Raymond Keruzoré m’avait donné une semaine supplémentaire. »

Puis, l’entraîneur de la section féminine a donné son sentiment à l’approche du derby dimanche. « C’est compliqué à prédire. Un match n’est jamais joué d’avance et avec le Covid ce n’est pas simple. Ça change les préparations d’avant-match. Le Stade Rennais doit de toute façon jouer la coupe d’Europe tous les ans. Ils nous ont régalés par le passé et on a tous envie de voir ce qu’ils peuvent encore faire dans ces compétitions internationales, donc on a besoin de points. Le coup de mou que connaît le Stade Rennais est logique. Ce qu’ils ont fait il y a quelques semaines est exceptionnel. On ne peut pas toujours tenir à ce rythme. »

J’ai montré que je pouvais aussi être là

Hamari Traoré revenu de la Coupe d’Afrique des Nations, Lorenz Assignon devrait retrouver le banc après avoir officié en tant que titulaire au poste de latéral droit pendant un mois, avec brio.

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« Je suis surtout très déçu pour lui qu’il ne soit pas allé au bout de cette compétition. » confie le joueur au site du club, pas déçu de ce retour avec les remplaçants. « Je suis très heureux de retrouver mon grand frère. Je suis personnellement très content qu’il soit revenu mais pas pour lui. (…) Le coach a eu besoin de moi et j’ai montré que je pouvais aussi être là. On ne sait pas de quoi est fait l’avenir. Il faut toujours se tenir prêt et continuer de travailler. »

A l’avenir, le capitaine Traoré est attendu pour restructurer une équipe en besoin de cadres, et Assignon devrait voir son temps de jeu diminuer. « C’est le coach qui décide mais je vais continuer d’apprendre. » tempère t-il. « Être sur le banc, ce n’est pas simplement attendre que le coach m’appelle pour entrer sur le terrain. Je regarde ce qu’Hamari fait de bien. Il faut aussi être impliqué dans la vie de groupe, toujours. Tout le monde l’est dans le vestiaire. »

S.G.S.B.

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