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La FIFA annonce de nouvelles règles pour les prêts

L'instance dirigeante du football mondial vient d'annoncer des changements concernant les modalités de prêt.
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La FIFA change les règles du mercato ! Enfin, pas toutes, et seulement celles des prêts. L’instance dirigeante du football mondial vient en effet de publier un communiqué dans lequel elle annonce plusieurs changements dans ce domaine. Des modifications qui seront effectives le 1er juillet 2022 et qui ne concerneront pas les joueurs âgés de 21 ans ou moins et les joueurs formés au club ne seront pas concernés par ces limitations.

« L’entrée en vigueur du règlement est prévue le 1er juillet 2022. L’objectif est de favoriser le développement des jeunes joueurs et l'équilibre compétitif, ainsi que d'empêcher l'accumulation de joueurs. Conformément à la décision prise par la Commission des Acteurs du Football de la FIFA l'année dernière, un nouveau règlement sur les prêts de joueurs a été élaboré et va entrer en vigueur au 1er juillet 2022, sous réserve de son approbation par le Conseil de la FIFA lors de sa prochaine séance. Diverses discussions avec différents groupes de parties prenantes ont permis de poser les bases du nouveau cadre réglementaire, lesquelles poursuivent scrupuleusement les objectifs suivants : renforcer le développement des jeunes joueurs, améliorer l'équilibre compétitif, empêcher l'accumulation excessive de joueurs sous contrat. »

Les nouvelles règles :

Pour atteindre ces objectifs, il a été décidé d'intégrer au règlement :

  • L'obligation d'élaborer un accord écrit précisant les conditions du prêt, notamment sa durée et les conditions financières
  • Une durée de prêt minimale, correspondant à celle comprise entre deux périodes d'enregistrement, et une durée maximale (un an)
  • L'interdiction de sous-prêter un joueur professionnel à un club tiers
  • Une limite quant au nombre de prêts liant deux clubs chaque saison – un club peut accueillir simultanément un maximum de trois joueurs professionnels en prêt depuis un même club au cours d'une saison, cette restriction s'appliquant aussi au nombre de joueurs qu'un club peut prêter à un même club

Une limite quant au nombre total de prêts que peut effectuer un club chaque saison – pour garantir une bonne mise en œuvre, une période de transition est prévue comme suit :

  • du 1er juillet 2022 au 30 juin 2023, un club pourra céder en prêt un maximum de huit joueurs professionnels et accueillir un maximum de huit joueurs en prêt à tout moment au cours d'une même saison
    du 1er juillet 2023 au 30 juin 2024, la même configuration s'appliquera, mais avec un maximum de sept joueurs
  • à compter du 1er juillet 2024, la même configuration s'appliquera, mais avec un maximum de six joueurs
  • Au niveau national, le nouveau texte prévoit une période de trois ans pour que les associations membres de la FIFA puissent mettre en place un système de prêts conforme à la réglementation internationale.»

Au Sénat, le vote pour la création d’une société pour assurer l’avenir du football français

Le Sénat doit voter ce mercredi une proposition de loi sur le sport appelant notamment à la création d’une société voulue par le football français pour mieux rentabiliser les droits TV et accroître ses revenus, dans un contexte de crise. D’autres amendements sont également en débat, dans cette proposition de loi moins ambitieuse qu’envisagé.
 
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Le football français aura mercredi les yeux tournés vers le Sénat : la Haute assemblée doit voter une proposition de loi LREM sur le sport incluant la création d’une société commerciale chargée de mieux vendre ses droits télés et d’accroître ses revenus, projet qu’il juge vital pour son avenir.
 
« Nous sommes convaincus de la situation dramatique que connaît le football français », a lancé mardi à l’ouverture des débats le rapporteur du texte, Michel Savin (LR). Selon la Ligue de football professionnel (LFP), qui appelle de ses vœux depuis des mois la création d’une telle société, les clubs français accusent entre 600 et 800 millions d’euros de pertes.
 
Le foot français, plombé financièrement par la défaillance de l’ancien détenteur des droits télés Mediapro et la crise sanitaire, a déjà commencé à sélectionner des actionnaires potentiels pour cette future société, qui serait adossée à un fonds d’investissement et susceptible d’apporter de l’argent frais et une expertise sur le marché audiovisuel notamment à l’étranger.
 
Le championnat de France en crise
Arrivée par voie d’amendement à l’Assemblée nationale fin mars dernier, cette société, qui serait une filiale de la LFP, a été accueillie avec prudence par les sénateurs qui l’ont entourée de garde-fous.
 
En commission, ils ont ainsi abaissé la part cessible à un investisseur privé extérieur de 20 % à 10 % du capital de cette société.
 
Mais depuis, les discussions se sont poursuivies avec la LFP, qui souhaite une part plus importante. Un amendement du rapporteur du texte propose désormais de passer à 15 %, et de faire qu’il n’y ait plus de droit de veto pour la FFF mais « une voix consultative ». Par ailleurs, les statuts de cette future société devront être avalisés par la FFF et le ministère des Sports, selon cet amendement.
 
Le gouvernement a déposé de son côté un amendement pour faire remonter le chiffre à 20 %. En cédant jusqu’à 20 % du capital, la LFP pourrait espérer lever entre 1,8 et 2,5 milliards d’euros, selon les chiffres de valorisation de la société compris entre 9 et 12,5 milliards d’euros.
 
Le temps presse, a prévenu le président de la LFP, Vincent Labrune, lors d’une audition au Sénat début décembre : « Si à court terme on n’est pas capables de rentrer un peu d’argent frais dans les caisses pour nous sauver et rebondir, le championnat de France deviendra le championnat de Slovénie ».
 
Accélérer la mise en place de la parité intégrale dans les fédérations
Si un compromis n’est pas trouvé mercredi, députés et sénateurs devront s’accorder sur cela et sur les autres dispositifs en commission mixte paritaire le 16 février prochain, avant que le Parlement ne ferme ses portes fin février comme avant chaque élection présidentielle. Sinon, la loi ne sera pas adoptée avant la fin du quinquennat, ce qui serait vécu comme une catastrophe par le football professionnel français.
 
La ministre chargée des Sports, Roxana Maracineanu, escompte bien à cette occasion revenir sur la version votée par l’Assemblée au sujet de la parité intégrale dans les fédérations, mécanisme dont le Sénat a ralenti le calendrier de mise en place.
 
« Le monde du sport est un système ancien, assez conservateur, c’est une question de démocratie, de renouvellement », a plaidé Roxana Maracineanu mardi soir.
 
Révision de l’amende forfaitaire punissant les violences dans les stades
S’agissant du football, le gouvernement va aussi présenter un amendement sur l’amende forfaitaire délictuelle annoncée dans l’éventail de mesures contre les violences dans les stades après une série noire depuis la fin de l’été dernier.
 
« L’introduction, la détention ou l’usage de fusées ou artifices de toute nature (fumigènes) ou l’introduction, sans motif légitime, d’objets susceptibles de constituer une arme dans une enceinte sportive » pourra être puni d’une amende forfaitaire « d’un montant de 800 euros » (minoré à 640 euros et majorée à 1 600 euros), au lieu des trois ans de prison et 15 000 euros d’amende actuels.
 
Autre modification, la possibilité pour le président de l’Autorité nationale des jeux (ANJ), sous le contrôle du juge administratif, d’intervenir pour bloquer des sites de paris sportifs illégaux, pour plus d’efficacité, au lieu d’un blocage judiciaire qui prend de « quatre à six mois ».
 
Promise au début du quinquennat comme une grande loi sport destinée à encourager la pratique sportive, l’ambition de ce texte a été revue à la baisse, comme l’ont souligné tous les parlementaires tant à l’Assemblée en mars dernier qu’au Sénat. Un texte qui manque « furieusement d’ambition », a ainsi résumé le sénateur Claude Kern (UDI).

quoi ressemblera le “village du football” sur le site de la piverdière ?

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L’information a été relevée par France Bleu. Pour l’extension de son centre d’entraînement, le Stade Rennais a fait appel au cabinet d’architectes ayant transformé la bourse du commerce de Paris en un magnifique musée contemporain Pinault. L’équipe Nem Architectes (Tadao Ando en est l’un des architectes phare) prévoit de créer un “Village du Football” dans la continuité du grand projet d’aménagement de la Prévalaye (derrière la rocade de Rennes et proche de Cleunay). “Nous voulons créer un véritable parc et de grands corridors écologiques”, affirment les porteurs du projet.

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Ce programme comprend un internat, une scolarité (salles de classe), des bureaux pour les services d’administration, de direction et communication, un centre de formation sportif et un centre d’entraînement professionnel. Quatre bâtiments se déploieront autour d’une place, représentant chacun une entité du Club, reliées par des grands auvents inclinés. La livraison est prévue en 2023 sur 3, 5 hectares..
Ce projet fait l’objet d’une forte opposition des écologistes. Son permis de construire pourrait être déposé au dernier trimestre 2021. Une manifestation est d’ores et déjà prévue ce lundi, juste avant le conseil municipal de Rennes.

4 choses à savoir sur Jeanuël Belocian, convoqué pour la première fois avec les pros

Frère du hurdler Wilhem et néo pro depuis le 10 novembre 2021, le jeune milieu de terrain de 16 ans est du déplacement à Lens avec l’équipe première.

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Jeanuël Belocian (2005), qui a signé son premier contrat professionnel avec le Stade Rennais en novembre dernier, est du voyage à Lens avec l’équipe première pour la première fois de sa jeune carrière. Avec Mathys Tel, ils sont deux 2005 dans le groupe. Le milieu de terrain, qui est lié à son club formateur jusqu’en 2024, est perçu comme l’un des beaux espoirs de la génération 2005 française par les observateurs. On vous propose de mieux le connaître.

Belocian, symbole des Abymes
Né aux Abymes, en Guadeloupe, le 17 février 2005, Jeanuël Belocian est arrivé en Bretagne au mois de juillet 2020. Le gaucher était suivi par le staff Rouge et Noir depuis 2016, lorsqu’il évoluait dans les catégories U10-U11 avec son club du Stade Lamentinois. Il effectue ses premiers essais à Rennes au début de l’année 2017 et signe son premier contrat aspirant courant 2019. Premier joueur du Stade Lamentinois à rejoindre le SRFC, Belocian devient alors le symbole du partenariat entre son club d’origine et son club actuel. Après avoir passé, deux années au pôle espoir du CREPS Antilles-Guyane, la signature de son premier contrat professionnel avec les Rennes ne peut que renforcer la crédibilité du partenariat entre le club guadeloupéen et le 4e meilleur centre de formation européen (dernier rapport du CIES), datant déjà de 5 ans.

Belocian, une famille de champions
Belocian est un nom déjà bien connu du sport français. En effet, Jeanuël n’est autre que le petit frère de Wilhem Belocian, spécialiste du 110 m haies en équipe de France. Âgé de 10 ans de plus que son cadet, Wilhem relève lui aussi de grands espoirs dans sa discipline. Ce dernier détient un palmarès déjà bien garni tant sur le plan personnel que collectif. Considéré comme l’un des meilleurs hurdlers français, le Guadeloupéen est champion d’Europe 2021 de 110 mètres haies en salle, également auréolé du titre de Champion de France de la discipline, en juin dernier à Angers. Une blessure a cependant empêché l’aîné de performer aux JO de Tokyo l’été dernier. Une désillusion pour sa deuxième participation olympique, après la première de 2016, à Rio. Il a d’ailleurs décroché sa première médaille européenne la même année. Champion du monde junior en 2014, Wilhem a détenu le record du monde junior (12’99’’) jusqu’en 2021, battu depuis par son compatriote Sasha Zhoya (12’72’’).

Belocian, qualifié pour le Tour Élite de l’Euro 17 avec les Bleuets
International U17 français, Jeanuël Belocian et les hommes de José Alcocer se sont récemment qualifiés pour le Tour Elite de l’Euro U17, prévu au printemps 2022 et qualificatif pour la phase finale de la compétition. La France est dans le groupe de l’Angleterre, du Luxembourg et de la Russie. Qualifiés au nez et à la barbe de Chypre grâce au goal-average, les tricolores devront se montrer plus solides pour espérer défendre l’étendard en Israël.

Pour en revenir au Rennais, il comptabilise aujourd’hui 7 matchs avec la sélection nationale U17, ayant notamment pris part au tournoi international de Montaigu en août dernier.

Belocian, meilleur espoir du Tournoi européen U21
Faisant partie d’une génération 2005 française ayant essuyé les plâtres de la crise Covid, en club comme en sélection, le milieu de terrain n’en demeure pas moins un grand espoir de ce millésime. Et s’il n’a pas disputé beaucoup de matchs de championnat U17 National pour sa première saison au Stade Rennais, le gaucher a profité du début de l’exercice 2021-2022 pour s’illustrer. Se distinguant aujourd’hui parmi le groupe N3 ou l’effectif U19, c’est au tournoi Européen U21 des Centres de Formation de Ploufragan que Jeanuël avait stupéfait nombre d’observateurs. À 16 ans, le Guadeloupéen s’était alors logiquement vu récompensé du titre de meilleur espoir de la 23e de la compétition, dont la réputation n’est plus à faire. Le néoprofessionnel devançait alors des prospects tels que le belge Lucas Noubi (2005), surclassé en sélection U18, ou encore Désiré Doué (2005), son coéquipier à Rennes et en équipe de France

Continue de nous régaler à Rennes !

Benjamin Bourigeaud a franchi la barre des 200 matches disputés avec le Stade Rennais samedi dernier à Lens. Adrien Hunou, son grand pote qui a quitté le club l’année dernière, lui rend hommage pour Ouest-France.
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Adrien Hunou et Benjamin Bourigeaud ont formé le duo « Tic et Tac » pendant plusieurs saisons au Stade Rennais. Au moment où Benjamin Bourigeaud vient de franchir la barre des 200 matches joués avec les Rouge et Noir, Adrien Hunou, qui s’est arrêté à 160, lui rend hommage.

Que représente cette barre des 200 matches pour Benjamin Bourigeaud ?

Je trouve que c’est logique. Pour connaître Bourige depuis pas mal d’années, c’est quelqu’un qui est très ambitieux, qui est marqué par les clubs où il passe. C’est un mec de club, en fait, il donnera toujours tout pour son club. Avoir cette fidélité de nos jours, c’est très rare, parce qu’on sait à quel point les mercatos s’enchaînent. Ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir cette fidélité et c’est tout à son honneur de s’inscrire dans la durée à Rennes.

Il le fait sur une période dorée du club, avec une concurrence extrême.

Oui, pour avoir côtoyé les mêmes coaches que lui à Rennes, c’était à chaque fois : « Bourige, on s’appuie sur lui, que ce soit sur ou en dehors du terrain ». Avoir cette continuité, ce n’est pas donné à tout le monde parce que le Stade Rennais grandit, a des objectifs très hauts, vise la Coupe d’Europe. Quand on voit le dernier mercato, où le club a beaucoup investi, ce n’est pas évident de répondre présent. Mais c’est totalement mérité pour lui.

« Il ne compte pas s’arrêter là »

Il est l’un des chouchous du public. Comment expliquez-vous cet amour avec les supporters ?

On est un peu pareil avec Bourige. Déjà, sur le terrain, on va tout donner, de la première à la dernière minute. Même si on est un peu moins bien. Pour en avoir discuté avec lui, on a cet amour pour le maillot. On a aussi vécu dans cette ville de Rennes, en partageant avec les supporters… Forcément, on s’imprègne un peu plus de ce que le club veut véhiculer comme valeurs et sur le terrain, on se dépasse.

Il y a eu des épisodes marquants : la fête après la victoire en Coupe de France, le surnom « Tic et Tac »… L’humain le rapproche du public.

Oui. Après, je ne dis pas que ceux qui ne vivent pas la ville de Rennes ne vont pas réussir. Mais c’est sûr que des anecdotes comme la Coupe, « Tic et Tac », se retrouver en ville et échanger avec des supporters… Cela crée un lien. Mais avant tout, ce sont ses performances qui font qu’il mérite ses 200 matches.

Ce qui rend l’aventure encore plus belle, c’est cette année 2019.

Complètement. Des étapes comme ça nous lient, on s’est inscrit dans la répétition des Coupes d’Europe. Bourige en a fait grandement partie et je pense que c’est important pour un club d’avoir des joueurs fidèles comme lui, pour l’amener dans cette continuité le plus haut possible.

Ces 200 matches, ça compte pour lui ?

Bien sûr, je le connais dans la vie de tous les jours. Il est fidèle avec ses amis, sa famille… Pour en avoir discuté avec lui, pour l’avoir félicité, il était content et ému. Et il ne compte pas s’arrêter là, parce que la saison est encore loin d’être finie.

Que lui avez-vous dit ?

Félicitations, j’attends maintenant ta prolongation, parce qu’il ne te reste plus qu’un an de contrat ! Continue de nous régaler au Stade Rennais ! Il a rigolé, mais il verra bien où l’avenir le mène. Une carrière passe vite, il faut savoir l’optimiser, mais je ne me fais pas de souci pour lui quant à ses choix futurs.

Une journée avec les légendes Rouge et Noir

Des faux pass sanitaires en Ligue 1, Bertrand Latour lâche un scoop

Le football joue-t-il le jeu dans l'épidémie de Covid ? Pas du tout pour Bertrand Latour, qui pose des accusations sérieuses.

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Avec plus de 300.000 cas positifs par jour, c’est toute la société française qui est dans le tourbillon de la 5e vague de Covid. Son variant Omicron, plus contagieux, se propage et comme tous les secteurs, le football n’y échappe pas. Si la Ligue a fait évoluer son protocole, le gouvernement a aussi dicté de nouvelles règles pour faire face à cette épidémie galopante. Le pass sanitaire est devenu un outil quasiment indispensable pour les citoyens, et les joueurs professionnels sont concernés également. Selon les chiffres des clubs, plus de 90 % des joueurs sont vaccinés contre le Covid, et peuvent donc présenter leur pass sanitaire pour notamment revenir plus rapidement en cas de test positif, comme la nouvelle procédure l’y autorise. Mais certains joueurs réticent à se faire vacciner, auraient pris des chemins détournés selon Bertrand Latour. Dans une prise de parole musclée sur La Chaine L’Equipe, le journaliste a expliqué à un Raymond Domenech totalement incrédule, que plusieurs joueurs de Ligue 1 utilisaient un faux pass sanitaire pour pouvoir jouer.

Des tests évités pour permettre aux joueurs de jouer ?
« Je passe ma vie à parler à des agents ou des joueurs de football qui me disent que ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner, ils ne se sont pas faits vacciner depuis. C’est juste qu’ils ont acheté des pass sanitaires. Des faux. Je le dis et je l’assume. Il y en a beaucoup dans le football français, je le dis et je le répète s’il le faut. Depuis des mois, ils présentent un faux passe sanitaire. Les instances ne le savent pas, c’est du faux et ils l’achètent 1500 euros et les clubs ou les instances ne sont pas forcément au courant », a annoncé Bertrand Latour, pour qui les joueurs, par leurs agents ou leur entourage, peuvent facilement se procurer un faux pass sanitaire et ainsi utiliser un procédé frauduleux pour continuer à jouer sans être vacciné, et sans être embêté par l’absence de justificatif. Sur le plateau de La Chaine L’Equipe, les soupçons se sont ensuite portés sur certains clubs, qui préfèrent ne pas tester les joueurs avant les matchs, et attendent le lendemain d’une rencontre pour annoncer le test positif d’un joueur. Ce n'est - a priori - plus possible avec le nouveau protocole de la LFP.

Ces derniers temps, le gouvernement a décidé de s’attaquer aux faux pass sanitaires, qui se chiffreraient à quasiment 200.000 en France depuis le mois de décembre. Le Ministre de la Santé Olivier Véran a récemment fait savoir que le 5 % des patients hospitalisés pour le Covid avaient présenté un faux pass sanitaire à leur entrée à l’hôpital.

Bruno Genesio parmi "les 30 qui font le foot français" du journal L'Equipe

En ce début d'année 2022, le journal L'Equipe a établi son classement "des 30 qui font le foot français". L'entraîneur du Stade Rennais Bruno Genesio y figure à la quinzième place.

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C'est une tradition annuelle du journal L'Equipe, partenaire de Radio France. Le quotidien sportif de référence en France publie ce jeudi 6 janvier son classement des "30 qui font le foot français". Kylian Mbappé y figure à la première place, devant Karim Benzema et Lionel Messi. L'an dernier, le milieu de terrain rennais Eduardo Camavinga était classé 14e par la rédaction de L'Equipe. Dans la liste cette année, un nouveau représentant du Stade Rennais : son entraîneur Bruno Genesio.

Auteur d'une première moitié de saison réussi à la tête du club breton , Bruno Genesio fait son entrée dans ce classement à la quinzième place. "Bruno Genesio est désormais un entraîneur plus sûr de ses convictions, respecté par ses pairs, un homme qui pèse à Rennes et au-delà, écrit L'Equipe sous la plume de son journaliste Régis Dupont. Il assume des prises de position qui auraient été taxées de corporatistes il y a peu, et les entraîneurs français n'ont pas toujours eu un défenseur si pédagogue." Bruno Genesio est cinquième parmi les entraîneurs cités dans ce classement, derrière Christophe Galtier, Didier Deschamps, Franck Haise (entraîneur de Lens, qui a été éducateur au centre du formation du Stade Rennais dans le passé, NDLR) et Zinédine Zidane.

La Ligue professionnelle met en place un nouveau protocole sanitaire face au Covid-19

La LFP a mis en place un nouveau protocole sanitaire pour les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 qui impose le test de l’ensemble de chaque effectif avant une rencontre.

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Face à l’augmentation des cas de Covid-19 et au report de nombreux matches, la Ligue de football professionnel a fait évoluer son protocole sanitaire pour les clubs de Ligue 1 et Ligue 2.

Selon RMC Sport, désormais, chaque joueur et membre du staff devra se faire tester 48 h avant une rencontre, quel que soit son statut vaccinal. La Ligue suit les mesures gouvernementales et fait donc passer l’isolement de 10 à 7 (voire 5) jours en cas de test négatif. S’il n’y a plus de symptômes à partir du septième jour d’isolement, le joueur contaminé peut reprendre l’entraînement progressivement en marge du groupe.

Bordeaux – Marseille maintenu ?
La reprise en condition normale avec le reste de l’équipe ne peut se faire qu’à l’obtention d’un nouveau test négatif et en accord avec le médecin du club, compte tenu des éléments en sa possession sur l’état de santé du joueur. La règle qui impose de disposer de 20 joueurs sur la liste des 30 pour jouer un match reste quant à elle inchangée.

Si la décision prise lors du report de la rencontre entre Angers et Saint-Etienne la semaine dernière ne change pas avec ce nouveau protocole, puisqu’elle a été actée avant le nouveau décret, le match entre Bordeaux et Marseille prévu vendredi pourrait être maintenu. Et ce, malgré la volonté des Girondins de reporter la rencontre en raison de l’infection de plusieurs membres de l’équipe.

Le protocole devrait être officialisé et communiqué aux clubs durant la journée.

J’ai beaucoup de respect pour les entraîneurs étrangers

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"J’ai beaucoup de respect pour les entraîneurs étrangers. Pochettino, par exemple, est quelqu’un que j’aime beaucoup, très classe. J’ai aussi beaucoup d’estime pour Niko Kovac... Mais en France, il y a une mode de l’entraîneur extérieur qui aurait, parce qu’il est étranger, plus de compétences que l’entraîneur français et donc plus de crédit. Si je mets Saliba en piston droit demain, pas sûr que l’on soit aussi indulgent avec moi qu’avec Sampaoli... L’entraîneur étranger a forcément un plan de jeu, plus d’idées tactiques... Certains, oui. J’adore ce que fait tactiquement Kovac à Monaco, mais aussi ce que fait Galette à Nice ou Haise à Lens. Mais aujourd’hui, j’ai passé ce cap-là. Lors de mes deux premières années à Lyon, j’ai souffert de ça et je voulais me battre contre tout le monde, rectifier des choses. Sauf que ça ne sert à rien."

Il projetait un attentat au Stade Rennais : un adolescent breton devant la justice

À Rennes, un lycéen de 17 ans, converti à l’islam, avait préparé un plan d’attaque terroriste au Roazhon Park, le stade de football de la route de Lorient, à l’aide de complices armés qu’il pensait recruter via la messagerie Telegram. Interpellé le 16 janvier 2018 chez lui, à Rennes, il comparaîtra avec un co-accusé, du 30 novembre 2021 au 3 décembre 2021, devant la cour d’assises des mineurs spéciale, qui juge les crimes de terrorisme.

ds 0563Sur un document découvert au moment de la perquisition, le lycéen rennais avait dessiné un plan du Stade rennais, et avait rédigé une liste d’armes.

Le 25 février 2018, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb révélait que deux projets d’attentats avaient été déjoués en janvier, par les services de renseignement. L’un visait « un grand équipement sportif ». Il s’agissait en réalité du Roazhon Park, le stade de la route de Lorient, à Rennes (Ille-et-Vilaine). Le 16 janvier 2018, un lycéen de 17 ans, converti à l’islam, avait été interpellé chez sa mère, domiciliée à Rennes, pas loin du stade de football.

Des investigations avaient révélé une activité soutenue sur les réseaux sociaux. Il y relayait des textes et des vidéos de propagande jihadiste. Il usait particulièrement de la messagerie Telegram, pour recruter, avec l’idée de perpétrer des attaques au Roazhon Park, au bar L’Équipe et au magasin Carrefour City, rue de Lorient.

Un plan dessiné à la main
À son domicile, lors de la perquisition, les enquêteurs ont découvert un plan du Roazhon Park, dessiné à la main, et une liste d’armes. Sur le plan était envisagée la position de deux voitures, « devant le Stade Rennais » et « devant le bar L’Équipe et le Carrefour City », avec dix assaillants. Le disque dur de son ordinateur révélait des dossiers contenant des plans d’accès au Roazhon Park et des photos aériennes du stade.

Cet attentat, il voulait le commettre s’il ne réussissait pas à rejoindre la Syrie, déclarait-il dans ses échanges sur Telegram. Sa première idée aurait été en effet d’aller combattre. Il aurait demandé à deux copines de le suivre, qui auraient refusé. Son départ aurait même été prévu dans les semaines suivant son interpellation.
Ce fils unique, né à Morlaix, avait découvert l’islam au cours de l’été 2016, auprès d’un ami, dans un club sportif, à Rennes. L’adolescent, qui a grandi sans père, s’était rapidement intéressé à la situation syrienne, notamment après les attentats de Nice, le 14 juillet 2016.

D’abord attiré par les thèses de l’État islamique, il s’était ensuite tourné vers le Jabhat al Nostra, apparu pendant la guerre civile syrienne et affilié à Al-Qaïda de manière officielle, de 2013 à juillet 2016. Le garçon, aujourd’hui âgé de 20 ans, s’est converti à l’islam le 7 janvier 2017. Au moment des faits, il apparaissait renfermé.

Propagande djihadiste
Mis en examen pour « participation à association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteintes aux personnes », il a été placé en détention à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, avant d’intégrer un quartier d’évaluation de la radicalisation (QER) à Osny (Maison d’arrêt du Val-d’Oise) pendant moins de trois mois, du 25 juillet au 7 octobre 2019. Il est, depuis, détenu dans une autre maison d’arrêt.

Contacté, Me Jean-Guillaume Le Mintier, l’avocat de l’accusé, explique : « Le projet est pensé sur le papier, mais sans qu’il y ait un commencement d’exécution. Il l’avait abandonné. » Maintenant, « il dit regretter avoir emprunté cette voie. Il cherche à comprendre et à s’amender. Il est dans une démarche de rédemption ».

À l’audience prévue à huis clos, du 30 novembre au 3 décembre 2021, devant la cour d’assises des mineurs de Paris, spécialement composée pour juger les crimes de terrorisme, il comparaîtra aux côtés d’un co-accusé, domicilié dans la Manche au moment de son interpellation. Les deux échangeaient beaucoup sur Telegram, au cours de l’année 2017. Ce co-accusé disait également vouloir partir en Syrie et être prêt à commettre une action violente. Il contribuait par ailleurs à disséminer la propagande jihadiste et aurait imaginé des plans d’attaques.

Contacté, son avocat, Me Malcolm Mouldaïa, indique que « sa radicalisation est intervenue de manière extrêmement précoce, à ses 15 et 16 ans. Elle s’explique par son histoire personnelle, celle d’un garçon mal dans sa peau. Il n’a pas fait la différence entre le réel et le virtuel et le regrette aujourd’hui infiniment ».

Le kop sort de son silence

Enfin ! Le RCK (Roazhon Celtic Kop) décide de sortir de son silence. Par un communiqué publié ce soir sur les réseaux sociaux, il donne des nouvelles et c’est tant mieux. Malheureusement, il ne dit pas quand il reviendra dans les travées, mais au regard de la tenue du document, on espère un retour rapide. “Nous n’avons jamais parlé de dissoudre le RCK et il n’a jamais été question d’arrêter nos activités jusqu’à la fin de la saison, ni encore moins de manière définitive”, explique le RCK.

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Marqué par la perte de leur bâche domicile (totem du groupe), “surtout au vu des circonstances dans lesquelles elle a été volée”, le RCK veut croire en des jours meilleurs. “La vie continue et nous ne comptons pas abandonner notre tribune ni notre club de cœur, le Stade Rennais FC.” Conscient d’avoir pénalisé l’équipe, il a toutefois mis à profit cette période de “sommeil” pour travailler dans l’ombre. “Nous sommes en train de réorganiser pas mal de choses en interne afin de mieux structurer le groupe pour revenir plus forts lorsque le moment sera venu. Cela passe par différents chantiers qui sont déjà en cours de mise en œuvre et bien avancés pour certains mais pas encore finalisés pour d’autres.”

La date de reprise de l’ensemble de leurs activités n’est donc pas encore arrêtée. “Le RCK n’est pas mort”, tient à préciser le Kop. “Nous comptons bien faire encore de grandes choses avec les supporters pendant longtemps. L’implication de chacun sera primordiale pour confirmer l’ascension du groupe de ces dernières années, toujours dans l’optique de supporter au mieux le Stade Rennais FC, à domicile comme à l’extérieur.” Vivement leur retour.

Placée en liquidation judiciaire, la chaîne Téléfoot n’existe officiellement plus

Presque un an après avoir arrêté de diffuser le championnat de France, la chaîne Téléfoot a officiellement disparu. Le tribunal de commerce de Bobigny a prononcé le 20 octobre la liquidation judiciaire de Mediapro Sport France SARL, la société éditrice de la chaîne.
 
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La chaîne Téléfoot ne sera pas longtemps restée dans le paysage de l’audio-visuel français. D’après Capital, le tribunal de commerce de Bobigny a prononcé le 20 octobre la liquidation judiciaire de Mediapro Sport France SARL, la société éditrice de la chaîne, signant ainsi officiellement sa disparition.
 
C’est donc le clap de fin d’une affaire concernant les droits TV qui aura ébranlé le football français durant plus de six mois. Avec cette liquidation judiciaire, Téléfoot laisse également officiellement 57 salariés sur le carreau, qui sont licenciés via un plan de sauvegarde de l’emploi.
 
Des critiques envers Canal + et le gouvernement
Lors d’une audience qui a eu lieu le 19 octobre, Julien Bergeaud a pris la parole. D’après Capital, le directeur général de la chaîne a d’abord pointé du doigt la crise liée au Covid-19, qui a révélé la précarité ​du modèle du football français, mais aussi Canal +, à qui il a reproché d’avoir abusé de sa position dominante. Le gouvernement et les pouvoirs publics ont également été critiqués pour leur inaction face au piratage et aux retransmissions illégales des rencontres.
 
La chaîne a déclaré avoir réalisé 104 millions d’euros de chiffre d’affaires lors de ces quatre mois et demi d’activité. Une somme bien loin de l’accord conclu avec la LFP qui prévoyait la retransmission des matches de Ligue 1 et Ligue 2 contre 814 millions d’euros par an. Désormais officiellement débarrassée de sa société française, Mediapro, la maison mère rencontre encore des difficultés économiques avec un endettement proche du milliard d’euros et des fonds au mois de juillet qui ne dépassaient pas les 115 millions d’euros.

S.G.S.B.

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