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La route de Lorient était pleine, on a fini vers 9h

Gardien du Stade Rennais pendant près de 15 ans, devenu membre du staff puis recruteur après sa carrière de joueur, Pierrick Hiard, aujourd’hui retraité, vit toujours dans sa ville natale et est resté un supporter des Rouge et Noir. Il replonge dans les souvenirs de sa riche carrière rennaise.

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Retraité en tant que gardien de but depuis 1991, Pierrick Hiard est toujours resté lié au Stade Rennais, où il a joué de 1973 à 1978 puis de 1983 à 1991 (avec un passage à Bastia entre les deux). D’abord comme entraîneur de l’équipe réserve lors de la saison 1991-1992, puis comme entraîneur des gardiens de 1992 à 2003, et enfin comme membre de la cellule recrutement jusqu’en 2016.

Depuis, le Rennais de naissance est resté un fidèle du Roazhon Park. Il fait notamment partie du Stade Rennais History Club, l’association des anciennes personnalités du club, fondée en 2014 par Cyrille L’Helgoualc’h. « J’ai la chance d’être dans les légendes et dans cette initiative que le club a gentiment mis en place pour les anciens joueurs. Je ne rate pas un match de Rennes. »

Quel est votre match le plus marquant avec le Stade Rennais ?

J’en ai même deux. Le premier, c’est lorsque l’on est monté en D1 contre Rouen aux penalties (en 1985). On était passé par un marathon pour remonter avec deux groupes. On passe contre Saint-Étienne sur un match chez eux (2-0), ce qui était un exploit. Ensuite, on passe contre Mulhouse sur deux matches (1-0, 4-2). Et pour finir, on joue contre le 18e de D1, Rouen. On perd 1-0 à Rennes et on va gagner 1-0 à Rouen. On monte finalement au 10e tir au but, un truc incroyable.

Le deuxième, c’est un peu la même chose, c’est la montée à Lorient (en 1990), avec le but de Jean-Christophe Cano à la dernière seconde.

Et votre pire souvenir ?

En tant que gardien de but, j’étais à un poste difficile et exposé (rires). Collectivement, les pires souvenirs, c’était lorsque l’on redescendait en D2 (il a vécu quatre descentes, en 1975, 1977, 1984 et 1987).

Votre plus bel arrêt ?

Il y en a eu un à Metz, lorsque j’étais à Bastia : un centre, une tête de Cheick Diallo au premier poteau. Tout de suite, il pense avoir marqué et lève les bras. Je fais un arrêt réflexe sur ma ligne, au ras du poteau, et je la sors. Il était déjà parti en courant (rires) !

Laurent Pokou savait tout faire

Le coéquipier le plus fort que vous avez côtoyé à Rennes ?

J’ai eu la chance de côtoyer des grands joueurs. Mais celui qui m’a marqué le plus, c’est Laurent Pokou. Il savait tout faire. Quand il est arrivé à Rennes (en décembre 1973), il faisait sûrement partie des quatre ou cinq meilleurs attaquants au monde.

L’attaquant adverse le plus fort que vous avez affronté ?

J’ai eu la chance de jouer contre Michel Platini. C’était le top. À chaque instant où il touchait le ballon, c’était un danger. Lorsqu’il y avait un coup franc aux 20 mètres, on ne savait jamais où il allait la mettre. J’ai pu aussi le côtoyer en équipe de France. Il appréciait la Corse et à Bastia, notre entraîneur était Antoine Redin qui avait lancé Platini à Nancy. Donc on avait bien sympathisé.

Votre plus grosse prise de bec sur le terrain ?

Ça m’est arrivé quelques fois avec les arbitres (rires). Mais j’ai été expulsé une seule fois, à Rennes contre Lens (en 1986). C’était M. Lartigot qui arbitrait. Sur un ballon en retrait, à l’époque où les gardiens avaient le droit de prendre à la main des passes en retrait, Patrice Rio me donne un ballon un peu court. Et quand je prends le ballon, William N’Jo Léa me met le pied quasiment à hauteur du visage, mais il ne me touche pas. En relançant, je me mets tête contre tête face à lui. J’entends M. Lartigot qui siffle du milieu de terrain et je me dis : « P…, c’est pour moi ! » Finalement, carton rouge pour N’Jo Léa et carton rouge pour ma pomme. Et à l’époque, il n’y avait pas de gardien remplaçant (Dominique Marais avait joué toute la 2e mi-temps dans les buts et Rennes s’était imposé 2-0).

Le joueur le plus drôle du vestiaire ?

Il y avait Gérard Soler qui est passé chez nous (en 1986-1987). Il mettait une bonne ambiance dans le vestiaire, il avait toujours le mot drôle, il ne connaissait pas trop la pression.

Un ancien coéquipier que vous aimeriez retrouver ?

Il y en a beaucoup, parce que l’on faisait beaucoup de choses ensemble à l’époque : on jouait aux cartes, on allait à la pêche… Il y en a un que j’appréciais beaucoup, surtout qu’il était libero, c’est Dominique Marais, un bon copain que je n’ai jamais eu la chance de revoir.

À chaque match à Brest, le kop derrière moi m’allumait

Votre derby breton préféré ?

J’étais un gardien un peu chaud donc à chaque fois que je jouais à Brest, le kop derrière moi m’allumait tout le match. Entre eux et moi, on s’amusait à se chambrer.

Une consigne marquante d’un entraîneur ?

Dans ma génération un peu ancienne, il n’y avait pas de staff, pas d’entraîneur des gardiens. Et quand Pierre Mosca a repris Rennes (en 1984), il est arrivé en mettant en place des séances spécifiques. On ne connaissait pas ça du tout, ça m’a donné énormément de confiance et je pense que j’ai passé un cap. Il me faisait venir le matin avant les autres joueurs, il me prenait pendant une heure ou une heure et demie tout seul. Je lui en suis reconnaissant.

Votre plus grosse fête d’après-match ?

C’est après la montée contre Rouen. On était parti en avion le matin. Avec les prolongations puis les tirs au but, on avait fini tard dans la soirée. C’était compliqué de repartir, le brouillard était tombé et l’avion ne pouvait pas décoller. Rouen nous a mis son car à disposition, on est arrivé à Rennes à trois ou quatre heures du matin. La route de Lorient était pleine à craquer, c’était incroyable, les supporters nous attendaient. Il y avait un podium, on a chanté avec eux et on a fini vers 9 h.

Votre coin préféré en Bretagne ?

Depuis que je suis en retraite, je me suis acheté un camping-car. Avec ma femme, on a fait plusieurs fois le tour de la Bretagne. C’est magnifique, je ne vais pas donner un coin plus qu’un autre. Que vous preniez la côte nord ou la côte sud, les deux sont merveilleuses.

Camavinga dévoile sa tactique pour sortir tranquille dans Madrid

Depuis quelques mois maintenant, Eduardo Camavinga a pris une autre dimension au Real Madrid. L'international français se sent bien dans la capitale espagnole et se veut assez discret sur sa vie privée.

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Eduardo Camavinga a gravi les échelons très rapidement dans le monde professionnel. Le milieu de terrain est un élément très important de l'équipe de France et du Real Madrid. Pourtant, la pression n'est pas forcément facile à gérer, surtout avec les Merengue. A 21 ans, l'ancien du Stade Rennais veut continuer de progresser. Et il sait que pour cela, il va devoir se protéger un maximum, que ce soit sur mais surtout en dehors des terrains. D'ailleurs, Camavinga évite d'aller trop à Madrid pendant ses temps de pause, même s'il aime s'y rendre par moments.

Camavinga aime se faire très discret à Madrid

Lors d'un entretien pour El Pais, l'international français en a en effet dit plus sur sa vie à Madrid. Et il fait très attention au moment de sortir pour prendre un peu de temps en ville : « Je mets une casquette et je cherche un endroit et un moment où il n'y a pas grand monde ». Le média précise d'ailleurs que même si Camavinga est à Madrid depuis 2021, il ne connait pas beaucoup d'endroits dans la capitale espagnole. Seuls deux quartiers sont mentionnés par le footballeur : Gran Vía et Serrano. Pour le moment, même si ses expéditions touristiques se font donc très rares, cela lui réussit plutôt bien. Le joueur tricolore est très apprécié par Carlo Ancelotti et possède un contrat au Real Madrid jusqu'en juin 2029. Il a peu à peu mis sur le banc des joueurs comme Luka Modric et Toni Kroos. Avec l'équipe de France, le natif de Cabinda (Angola) a de plus en plus de crédit aux yeux de Didier Deschamps. En attestent ses déjà 23 sélections avec les doubles champions du monde.

Theate s’excuse et invite ses partenaires à diner après deux cartons rouges en trois jours

Prêté cet été à Francfort par le Stade Rennais, le défenseur central belge Arthur Theate a écopé de deux cartons rouges en trois jours. Le Diable Rouge a tenu à s’excuser publiquement et a même invité ses équipiers à dîner.
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Et dire qu’il n’avait été expulsé qu’une seule fois depuis le début de sa carrière. Arthur Theate, 24 ans, a fait "coup double" en trois jours. Dimanche, le défenseur central de l’Eintracht Francfort a écopé d’un premier carton rouge en Bundesliga face à l’Union Berlin (1-1). Le Belge a écopé de deux cartons jaunes. Son club a contesté le second avertissement, arguant que le joueur prêté par le Stade Rennais avait été la victime d’une faute avant de commettre la sienne (la Fédération allemande a rejeté l’appel de Francfort). L’intéressé, également en désaccord avec son expulsion, avait réagi en postant des emojis clown sur les réseaux sociaux.

Il a invité tout le monde à dîner. Cela rend l'ambiance dans le groupe encore meilleur
Pour le 16e de finale de Coupe d’Allemagne disputé mercredi soir face au Borussia Mönchengladbach, Arthur Theate n’est resté que 15 minutes sur la pelouse. Coupable d’avoir pris le ballon avec la main alors que l’arrière gauche Lukas Ullrich filait au but après l’avoir mis au sol sur un dribble, le Belge a été directement expulsé. "Il glisse et, pas réflexe, met la main sur le maillot. Donc je ne lui en veux pas", a réagi son coach Dino Toppmöller, soulagé par la qualification de son équipe grâce à des buts de l’ancien Parisien Hugo Ekitike et Marmoush (2-1).

Le défenseur s’est quant à lui excusé sur les réseaux sociaux: "Je m'excuse auprès de mes coéquipiers et des fans pour cette carte rouge précoce. Très heureux qu'on ait remporté la victoire. Quelle performance de l'équipe. Vous êtes incroyables", a écrit Arthur Theate qui ne s’est pas contenté que d’un simple message: "Il s'est excusé auprès de ses coéquipiers et a invité tout le monde à dîner. Cela rend l'ambiance dans le groupe encore meilleur", se réjouit son coach. Sous contrat avec Rennes jusqu'en 2027, Arthur Theate a rejoint Francfort sous la forme d’un prêt avec option d’achat (20 millions d’euros). Il n’avait jamais été expulsé en 63 apparitions en Ligue 1.

Clermont officialise l'arrivée de Laurent Batlles en tant qu'entraîneur

Après le départ de Sébastien Bichard, le Clermont Foot 63 a officialisé, ce mercredi, la nomination jusqu'en juin 2026 de l'ancien coach de Saint-Etienne, Laurent Batlles, en tant qu'entraîneur principal.
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Comme annoncé depuis quelques jours, Laurent Batlles (49 ans) est devenu, ce mercredi, le nouvel entraîneur de Clermont. Le club est actuellement 12e de Ligue 2 avec 12 points après 11 journées. "Il aura pour mission principale de redynamiser l'équipe et de faire remonter le club au classement", a annoncé Clermont dans un communiqué. Après avoir mis fin à sa collaboration avec Sébastien Bichard, arrivé en mars 2024, le club auvergnat a signé un contrat avec l'ancien technicien de l'AS Saint-Etienne (2022-2023) jusqu'en juin 2026.

"En nommant Laurent Batlles à la tête de l'équipe professionnelle, le club auvergnat reste fidèle à sa volonté de proposer un jeu attrayant. Connu pour sa capacité à développer un style offensif, il arrive à Clermont avec une solide expérience de la Ligue 2 et l'objectif d'insuffler un nouvel élan", a ajouté le Clermont Foot 63.

"Quand le club m'a appelé, je n'ai pas hésité une seule seconde. Je me reconnais dans la philosophie du club et dans ce qu'il représente en termes de jeu."

Laurent Batlles
"Je suis très heureux de faire partie de cette aventure, j'espère que ça va me mener assez loin avec le groupe, même si la situation n'est pas évidente. J'ai vu qu'il y a de la qualité dans cet effectif, on va essayer d'avancer ensemble. Quand le club m'a appelé, je n'ai pas hésité une seule seconde. Je me reconnais dans la philosophie du club et dans ce qu'il représente en termes de jeu. Il y aura peut-être des approches différentes sur certains points, mais je vais aussi apporter ce que je sais faire", a, quant à lui, réagi Laurent Batlles après sa nomination.

L’avenir de Mathys Tel se complique fortement

Jeune talent français parti en 2022 du côté du Bayern Munich, Mathys Tel (19 ans) est considéré comme l’un des joueurs d’avenir du club allemand. Cependant, sa mauvaise forme récente et les choix de Vincent Kompany compliquent sa continuité en Bavière.
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En un an, la situation de Mathys Tel a bien changé. Alors qu’il avait démarré la saison 2023/2024 sur les chapeaux de roues avec 6 buts en 10 matches sous les couleurs du Rekormeister, ce qui lui avait permis de découvrir l’équipe de France U21, l’attaquant français est aujourd’hui dans une situation plus compliquée. Déjà la saison passée, son début d’exercice probant avait été accompagné d’une longue disette puisqu’il avait enchaîné 20 matches de rang avec le Rekordmeister sans trouver le chemin des filets tout en voyant son temps de jeu se réduire drastiquement.

En délicatesse avec Thomas Tuchel, Mathys Tel pensait que l’arrivée cet été de Vincent Kompany allait changer sa situation. Cependant, c’est tout le contraire qui est en train d’arriver au natif de Sarcelles. Titulaire à 2 reprises cette saison pour 6 apparitions au total et seulement 179 minutes de jeu, Mathys Tel est resté plus longtemps en dehors du terrain que dessus. Il a connu 6 rencontres où il a vécu les 90 minutes sur le banc de touche sans entrer. Une situation difficilement tenable sur la durée pour lui qui a besoin d’enchaîner pour continuer de progresser.

Vers un prêt en janvier ?
Vincent Kompany avait toutefois tenu à le soutenir à l’approche du choc contre le Bayer Leverkusen il y a un mois : «je tiens à dire que nous croyons vraiment en Mathys Tel. Mathys a un grand talent. Il sera disponible demain. Nous avons une équipe avec beaucoup de concurrence. C’est bien, mais nous lui voyons un grand avenir.» Depuis, l’attaquant français n’a pas vu son cas s’arranger et il court toujours derrière son premier but de la saison. Celui qui a prolongé son contrat en mars dernier jusqu’en juin 2029 sait que le Rekordmeister croit en lui mais à court terme cela semble compliqué.

Alors que la position d’attaquant titulaire est bouchée avec Harry Kane qui empile les buts et compte déjà 15 réalisations et 6 offrandes en 12 rencontres, Matyhs Tel n’a pas plus sa chance aux autres postes. En effet, Michael Olise, Jamal Musiala, Serge Gnabry, Kingsley Coman et Leroy Sané ont l’avantage sur lui pour occuper les trois positions derrière l’attaquant. Selon Sky Sports Germany, le Bayern Munich pourrait donc être tenté de le prêter cet hiver même si le principal intéressé souhaite surtout s’imposer au sein du club bavarois. Par le passé, le Werder Brême et le Borussia Mönchengladbach avaient pris des renseignements.

J’étais un citoyen rennais

Dans un entretien accordé à beIN SPORTS, Benoit Costil est revenu sur son histoire avec le Stade rennais, et ouvre la porte à devenir un jour entraineur des gardiens au SRFC.

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"Un coup de foudre". Voici comment Benoit Costil définit d’abord sa relation avec le Stade rennais, débuté en 2011. Lors que le gardien arrive de Sedan, comme il le confie, Rennes souhaite faire venir David Ospina ou Stéphane Ruffier, dossiers trop onéreux. Ce sera Costil, l’un des gardiens emblématiques du club aujourd’hui, resté 6 ans sous les couleurs rennaises.

"Une connexion avec le club, les supporters, la ville. J’étais un citoyen rennais. Un joueur de foot mais aussi un citoyen rennais", confie le joueur de 37 ans. "Les gens pouvaient me voir boire un café le midi, boire une petite bière en fin d’après-midi, mais en même temps je bossais beaucoup, j’étais en général pas mal sur le terrain. Ça a été 6 années exceptionnelles qui auraient pu ne jamais s’arrêter, mais ça s’est arrêté".

J’ai mis du temps à digérer mon départ
En 2017, Costil rejoint Bordeaux. "Ça a été dur. J’avais donné ma parole à Bordeaux. C’était un déchirement. Avec le recul, si je devais être amené à quitter Rennes, j’aurais dû le faire pour aller à l’étranger et ne pas rester en France". poursuit-il. "Je me rappelle d’être avec pote en sortant du stade (après son dernier match, ndlr) et lui dire "mais pourquoi je pars ?". Je pars, et j’ai déjà envie de revenir. Ça aurait pu se faire, ça ne s’est pas fait. J’ai mis du temps à digérer mon départ".

Futur entraineur des gardiens à Rennes ?
Aujourd’hui sans club et investi dans d’autres projets, Benoit Costil pourrait raccrocher les gants définitivement en tant que joueur. Mais en tant qu’entraineur ? "Entrainer, pourquoi pas. J’ai donné un petit coup de main avec le club de Vannes en début de saison. Mais s’il y a un club pour lequel je peux me mettre dans ce projet, c’est le Stade rennais. Et si un jour je dois être entraineur des gardiens, je pense que ce sera uniquement au Stade rennais".

On peut tous sauver julia

Maxime Fleury, un attaquant français passé par les réserves du Stade Rennais et de l’OGC Nice, a lancé une cagnotte en ligne pour tenter de sauver sa femme Julia, atteinte d’une leucémie, en lui faisant bénéficier d’un traitement expérimental proposé aux États-Unis.
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Un appel de détresse. Maxime Fleury, un footballeur de 29 ans, a lancé une cagnotte en ligne afin de récolter des fonds pour tenter de soigner sa femme Julia, atteinte d’une leucémie. L’attaquant français, passé par les réserves du Stade Rennais et de l’OGC Nice, a diffusé vendredi une vidéo pour expliquer en détails la situation. Le joueur d’1,88m, qui évolue aujourd’hui au FC Mondercange (Luxembourg), s’est marié avec sa fiancée en juin 2022. Mais en rentrant de leur lune de miel en Turquie, les deux amoureux ont dû encaisser une terrible nouvelle. Les médecins ont expliqué à Julia qu’elle souffrait d’une leucémie myéloïde aiguë (un cancer affectant la moelle osseuse). "Quand on a appris ça, le monde s’est effondré. Le ciel s’est abattu sur nous", témoigne Maxime Fleury.

Dans la foulée, Julia a passé huit mois à l’hôpital, isolée dans une chambre stérile, en supportant plusieurs chimiothérapies. Avant une greffe de la moelle osseuse. "On pensait qu’elle s’en sortirait, mais malheureusement, les médecins nous ont dit que la greffe n’a pas fonctionné", confie le footballeur d’origine guadeloupéenne. La maladie a continué de progresser au fil des semaines. Et le mois dernier, les médecins ont annoncé à Julia qu’il n’y avait plus de traitement disponible en France, en lui précisant que que son espérance de vie était désormais d'un an.

Je suis obligé d'offrir cette chance à ma femme
Avec le soutien de leurs proches, Maxime et Julia ont tout de même trouvé une possible solution dans un hôpital de Houston, via un "traitement expérimental disponible uniquement aux États-Unis". "Je ne vais pas vous mentir, c’est la dernière chance pour sauver ma femme", assure l’avant-centre, natif de Chartres. "C’est le dernier traitement qu’il y a sur cette terre. Malheureusement, le coût du traitement est énorme. C’est entre 200.000 et 250.000 euros." Une somme bien trop élevée pour les finances de la famille Fleury, qui compte maintenant sur la générosité des gens pour garder espoir.

"Ce défi insurmontable, je suis obligé de le réaliser", résume Maxime Fleury. "Je vais me battre jusqu’au bout et avec vous et votre aide, on va réussir à le faire. Je suis déterminé et je suis obligé d’offrir cette chance à ma femme (…) Chaque don, chaque partage, chaque geste comptera pour nous. Votre aide est vraiment cruciale (…) Ensemble, avec nos cœurs, on peut tous sauver Julia." Ce lundi soir, la cagnotte en ligne, intitulée "Tous unis pour Julia un traitement contre la leucémie disponible aux États-Unis", avait atteint plus de 106.000 euros.

Florian Maurice se lâche sur Rennes

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Parti du Stade rennais pour prendre la direction de l’OGC Nice cet été, Florian Maurice n’a aucun regret et peut même se permettre e comparer les deux clubs, lestés d’un puissant actionnaire. « Pour attirer un joueur à Rennes, il faut très souvent payer plus cher que la valeur du marché, parce que derrière, il y a un propriétaire incroyable, les gens le savent, estime-t-il dans L’Équipe. À Rennes, on a souvent été sur les mêmes joueurs qu’à Nice. L’exemple pour moi, c’est Enzo Le Fée, qui peut venir à Nice et qui vient à Rennes (à l’été 2023). On était sur le même style de joueurs. »

Rennes m’a un peu pris pour un con

Reconnaissant envers le club qui l’a lancé en professionnel, Yann M’Vila n’a cependant pas totalement digéré que le Stade Rennais ne lui tende pas la main en 2015, lorsqu’il en avait besoin. Le milieu de terrain de 34 ans, aujourd’hui joueur du Stade Malherbe Caen, s’est confié longuement dans notre podcast Rouge et Bleu, en collaboration avec Sweet FM Normandie, lundi 7 octobre 2024.

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Yann M’Vila était l’invité de notre podcast Rouge et Bleu , en collaboration avec Sweet FM Normandie, lundi 7 octobre 2024. Le milieu de terrain du SM Caen s’est livré sur sa venue en Normandie et ses liens avec la famille Mbappé, mais aussi son enfance difficile, son histoire inachevée avec l’équipe de France (22 sélections, 1 but), sa dépression et le Stade Rennais.

Le club qui l’a lancé en professionnel, celui pour lequel il a préféré partir en 2013 au Rubin Kazan en Russie, plutôt qu’au Queens Park Rangers en Premier League. Car si son cœur balançait pour l’Angleterre, les Russes proposaient deux millions d’euros de plus. Mais, deux ans plus tard, lorsqu’il était dans la galère, le natif d’Amiens n’a pas pu compter sur le club breton pour lui donner un coup de pouce en retour.

La signature du premier contrat pro : "J’étais bloqué"
"Quand je signe mon premier contrat pro (1 an aspirant et 3 ans pro), j’ai la pression de mon directeur de la formation, Patrick Rampillon. Je devais partir à la Coupe du monde U17 et il me dit : “soit tu signes ton contrat, soit tu ne pars pas à la Coupe du monde”. Je lui réponds qu’il n’est pas sélectionneur. Et, dans la foulée, le sélectionneur m’appelle et me dit pareil. Ils s’étaient mis d’accord tous les deux.

Il y a plein de choses dans le monde du football qui sont cruelles. Beaucoup parlent de l’extérieur, sans savoir ce qu’on vit de l’intérieur. J’étais bloqué. Moi, dans ma tête, je ne pensais qu’à jouer, et jouer cette Coupe du monde. Donc je vais voir mon père, pour lui demander de signer. Mais il me dit non. On a fait une réunion avec le directeur du centre, mon papa et moi. Au final, ça s’est terminé avec un chèque pour mon père et c’est bon j’ai signé le contrat."

Les débuts en professionnel : "Frédéric Antonetti, je lui suis redevable à vie"
"Je fais mon premier banc de touche à 17 ans, contre Marseille, sous Guy Lacombe, et je joue mon premier match à 19 ans, à Nice. J’ai galéré deux ans. Je me rappelle, au moment où je dois entrer, Jun’ichi Inamoto prend un carton rouge (77’). On s’est regardé avec Frédéric Antonetti (le coach), normalement, il n’aurait pas dû me faire entrer, pour un premier match comme ça, à dix contre onze. Mais je pense qu’il a vu la tristesse dans mes yeux et il m’a dit “vas-y, rentre”. Je joue dix minutes.

Pour le match d’après, Inamoto est suspendu, Bruno Cheyrou se blesse la semaine, Alexander Tettey déclare forfait le matin du match. Et le coach me dit : “il ne reste plus que toi”. Ça s’est très bien passé et je n’ai plus bougé.

Cet homme, qui est Frédéric Antonetti, je lui suis redevable à vie. Il a une grande sagesse, il est plus intelligent que la moyenne de tous les entraîneurs, il réfléchit beaucoup et il a beaucoup de savoir faire. Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait, c’est derrière moi et j’essaie d’avancer. Mon seul regret, c’est de ne pas avoir davantage écouté Antonetti."

Son histoire avec le Stade Rennais : "Quand j’étais dans la galère, le club n’était pas là"
"Quand je parle de Rennes, je parle au passé. Car, lorsque j’étais dans la galère et que je leur ai demandé de l’aide, le club n’était pas là. Je ne sais même pas si dans les années à venir, un mec jouant pour le Stade Rennais fera 22 sélections internationales pour Rennes. J’aurais pu aller à la guerre avec ce club pour partir. Mais j’étais bien et par fidélité je suis resté.

Lorsque j’essaie de revenir juste pour m’entraîner avec le club, on me refuse toutes les portes. Même m’entraîner individuellement, c’était non. C’était en 2015, après l’Inter Milan. J’avais joué six mois et après j’ai fait six mois sans club. À l’inverse, c’est très fort ce que fait Caen, en aidant Alexis Beka Beka à se relancer. C’est un geste très fort d’aider quelqu’un qui ne va pas bien. Moi, Rennes m’a pris un petit peu pour un con.

J’anticipe sur tout. Dans ma vie mais aussi pour le foot. À l’époque, l’entraîneur de l’équipe réserve était Laurent Huard. Je m’entends très bien avec lui, je l’avais donc appelé pour lui demander si je pouvais venir m’entraîne. Il m’a dit qu’il n’y avait pas de souci, que je ne ferais pas les jeux etc, mais que je pouvais m’entraîner. Ensuite, je vais à un match et je vois l’entraîneur des pros, Philippe Montanier. Il ne ferme pas la porte non plus. Derrière, on m’appelle et on me dit que l’entraîneur des pros et celui de la réserve ne veulent pas… C’est la vie, c’est comme ça.

J’ai eu 22 sélections en équipe de France en jouant à Rennes, je leur ai apporté de la visibilité et pourtant, je ne sais même pas si je suis sur leurs murs. J’ai tout donné, pendant neuf ans. Je n’ai rien gagné certes mais j’étais là. J’espère qu’on me considérera mieux à Caen (rires)."

Benjamin Bourigeaud va faire son retour au Roazhon Park et c’est pour un but précis

Transféré cet été à Al Duhail, Benjamin Bourigeaud sera de retour au Roazhon Park pour le match Rennes-Monaco. Son retour apportera une touche de nostalgie à cette rencontre. Le match est prévu pour samedi à 21h00.

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Le Stade rennais recevra l’AS Monaco avec un invité spécial. Benjamin Bourigeaud, ancien joueur du club, sera en tribunes. Cette information, confirmée par le club mercredi, circulait déjà depuis quelques jours.

En évoluant désormais à Al Duhail, Benjamin Bourigeaud a quitté Rennes il y a tout juste un mois. Son retour au Roazhon Park est très attendu par les supporters et les anciens coéquipiers.

L’annonce de sa présence lors de ce match entre Rennes et Monaco a été un véritable événement pour les fans. “Benjamin Bourigeaud sera présent”, a indiqué le club sur son site officiel, confirmant les rumeurs.

Cette rencontre s’annonce particulière pour les supporters rennais qui verront à nouveau leur ancien joueur au stade. La nostalgie sera au rendez-vous, même si Bourigeaud ne sera pas sur le terrain.

Le joueur, désormais en poste à Al Duhail, a marqué les esprits durant son passage au Stade rennais. Son retour pour ce match symbolique souligne l’attachement réciproque entre le joueur et le club breton.

Benjamin Bourigeaud de retour au Roazhon Park pour le match contre Monaco

Parti cet été du Stade Rennais pour Al-Duhail (Qatar), Benjamin Bourigeaud sera présent au Roazhon Park ce samedi 5 octobre (21 h) pour le match contre l’AS Monaco et honoré par le club.

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Plus d’un mois après son départ pour Al-Duhail (Qatar), Benjamin Bourigeaud va faire son retour au Roazhon Park, ce samedi 5 octobre (21 h) contre l’AS Monaco. L’ancien milieu de terrain des Rouge et Noir (311 matches, 66 buts de 2017 à 2024) sera présent dans son ancien stade « pour saluer et remercier les supporters Rouge et Noir », indique le Stade Rennais sur les réseaux sociaux.

Benjamin Bourigeaud avait quitté le club sur un dernier match au Roazhon Park le 18 août, face à l’Olympique lyonnais (victoire 3-0). Un match où il avait d’ailleurs marqué pour sa dernière sortir sous le maillot Rouge et Noir.

Martin Terrier décrypte la méthode Xabi Alonso

Arrivé au Bayer Leverkusen cet été en provenance du Stade rennais, Martin Terrier découvre pour la première fois de sa carrière un autre championnat que la Ligue 1, cette saison.

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Et pas n’importe où, puisque l’ancien Lyonnais évolue avec le champion d’Allemagne en titre sous les ordres d’un certain Xabi Alonso. Dans un entretien accordé à RMC, cette semaine, l’ailier formé au LOSC raconte la manière dont il a été bluffé par la méthode de l’entraîneur espagnol.

J’ai vite été impressionné lors des premiers entraînements par l’intensité qui a été mise par les joueurs, mais aussi par le coach, a-t-il expliqué. Dans mes précédents clubs, souvent, les séances d’entraînement étaient dirigées par les adjoints, et là, Xabi Alonso est présent à 100%, c’est lui qui dirige la séance avec ses adjoints, mais c’est principalement lui qui a la parole. On sent vraiment beaucoup d’intensité dans les séances.?Quand il participe aux jeux avec nous, on voit que c’était un très grand joueur, car il n’a pas perdu grand-chose.

Le coach veut nous donner cette impression de supériorité par rapport à l’adversaire
Et d’évoquer la manière du technicien basque d’aborder les rencontres : Les grandes orientations tactiques, c’est d’avoir la maîtrise du ballon et de provoquer des fautes chez l’adversaire, de la stabilité dans le jeu pour pouvoir progresser, surtout avec les joueurs techniques qu’on a. On sait qu’on aura des opportunités. J’ai d’ailleurs été impressionné aussi par cette idée de maîtrise de la rencontre. On se concentre beaucoup plus sur notre jeu que sur celui de notre adversaire. Le coach veut nous donner cette impression de supériorité par rapport à l’adversaire.

Eduardo Camavinga a inauguré un salon de coiffure à Rennes

Eduardo Camavinga a inauguré un salon de coiffure à Rennes
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La tournée des popottes.

Victime d’une entorse du ligament latéral interne du genou gauche mi-août avec le Real Madrid, Eduardo Camavinga a profité de sa période de convalescence pour revenir en Bretagne, là où tout a commencé pour lui. De passage à Rennes ce mercredi, le milieu de terrain international a notamment rendu visite aux pensionnaires et éducateurs du centre de formation du Stade rennais, où il est lui-même passé.

De passage à Rennes, Eduardo @Camavinga en a profité pour rendre visite aux pensionnaires, aux encadrants et à la direction de l'ETP Odorico, l'école du centre de formation du SRFC. 

Puis, un peu plus tard dans la journée, le Madrilène a donné rendez-vous à ses fans dans le centre-ville, où son frère vient d’ouvrir un salon de coiffure. Le joueur de 22 ans y a débarqué décontracté, le maillot du Stade rennais sur les épaules, et a pris part à un petit bain de foule.

Matic veut traverser la manche

Arrivé en janvier dernier à l'Olympique Lyonnais, Nemanja Matic se verrait bien retrouver la Premier League dès le mercato hivernal.

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Le passage de Nemanja Matic en France a beaucoup de mal à convaincre. Si ses qualités sont indéniables, l’expérimenté milieu de terrain souffre face à la puissance de certains joueurs du championnat de France, et n’a plus à 36 ans le rythme pour tenir le cap pendant 90 minutes. Contre Marseille ce dimanche, il est sorti exténué à 10 minutes de la fin, mais surtout, l’ancien de Manchester United ne parvient pas à peser sur le jeu comme il avait pu le faire la saison dernière. Parti de Rennes seulement six mois après son arrivée après des problèmes internes avec le club breton, Matic avait réussi à rebondir à l’OL grâce au gros contrat offert par John Textor. Malgré une acclimatation qui semblait mieux partie, le Serbe ne rêve que d’une chose : retourner en Premier League pour y terminer sa carrière.

C’est ce que révèle The Mirror, pour qui Nemanja Matic va se proposer aux clubs anglais dès le mois de janvier pour se trouver une porte de sortie afin de quitter rapidement l’OL. Pourtant, cet été, il a eu des contacts avec des clubs d’Arabie Saoudite, mais n’y a pas donné suite, la fin de saison vécue avec Lyon lui ayant donné envie de poursuivre l’aventure. La donne risque donc d’être différente cet hiver avec la perspective de rejoindre un club anglais. Il reste à savoir quelle sera la position de l’OL, qui peut économiser un gros salaire mais perdrait aussi un titulaire d’expérience au coeur d’une saison rythmé par un calendrier joignant la Ligue 1 et l’Europa League. Matic est sous contrat avec l’OL jusqu’en juin 2026, et la perspective de le voir aller au bout de son engagement peut aussi faire craindre que sa dernière saison soit très compliquée, étant donné qu’il aura alors 37 ans.

L’Europe par procuration

Privé de Coupe d’Europe pour la première fois depuis six ans, le Stade Rennais est tout de même présent par l’intermédiaire des joueurs formés ou passés à Rennes ces dernières années. Ils sont 33 engagés en Ligue des champions ou Ligue Europa.

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Tous les amoureux du Stade Rennais ont ressenti le même pincement au cœur cette semaine, en regardant le calendrier foot. C’est le retour de la Coupe d’Europe depuis hier et jusqu’à jeudi soir, sans le SRFC donc, pour la première fois après six campagnes consécutives. Il faut s’y habituer, au moins pour cette saison. Mais il existe tout de même des raisons d’observer ce qui se passe en Europe.

À force de performer, le Stade Rennais a essaimé de pays en pays, de club en club, jusqu’à être représenté à tous les échelons. Cette saison 33 joueurs passés par le SRFC récemment disputent la Ligue des champions ou la Ligue Europa. C’est colossal et cela s’appuie sur deux piliers : la formation et la capacité à dénicher des talents.

Une formation qui s’exporte
On ne cesse de l’écrire depuis des années, Rennes est un top club européen dans sa capacité à former des joueurs. Les ventes très importantes de ces dernières années le prouvent, au moins autant que le classement des centres de formation en France, où le Stade Rennais trône tout en haut du podium depuis deux ans.

Parmi les 33 ex-Rennais engagés dans les deux compétitions, douze ont été formés à la Piverdière. On pense immédiatement à Eduardo Camavinga (Real Madrid), Désiré Doué et Ousmane Dembélé (PSG). Mais la liste est longue. En Ligue des champions, on retrouve ainsi Sacha Boey et Mathys Tel (Bayern Munich), Maxime Bernauer et Kevin Théophile-Catherine (Dinamo Zagreb), Jeanuël Belocian (Leverkusen) et Brandon Soppy (Atalanta). En Ligue Europa, Loum Tchaouna est présent (Lazio Rome), tout comme Tiémoué Bakayoko (PAOK Salonique) et Warmed Omari (Lyon).

La success-story de la formation rennaise intrigue dans l’Europe entière et c’est un point qui n’a pas échappé au nouveau directeur sportif Frederic Massara. « Ici, il y a le meilleur centre de formation de France, et ce n’est pas moi qui le dis, mais la FFF, nous a-t-il confiés. Quand je regardais encore les joueurs cet été (dans les différents clubs) : formé à Rennes, formé à Rennes (sourire)… Il y a une excellence européenne, donc mondiale, et cela restera un pilier de ce club. Le centre est fort, il continue à sortir des joueurs et il en sortira encore. »

De la post-formation et des bons choix
Si le SRFC peut s’enorgueillir d’être aussi bien représenté dans les Coupes d’Europe, c’est aussi parce que de nombreux talents sont passés dans leurs « jeunes » années pros en Ille-et-Vilaine avant de s’envoler pour des clubs plus huppés. Les plus connus se prénomment Jérémy Doku (Manchester City, plus grosse vente de l’histoire du Stade Rennais), Raphinha (Barcelone), Ramy Bensebaini (Dortmund) ou encore Nayef Aguerd et Hamari Traoré (Real Sociedad).

Mais ils sont 21 à porter les couleurs de clubs européens : Fabian Rieder (Stuttgart), Benjamin André (Lille), Faitout Maouassa (Bruges), Serhou Guirassy (Dortmund), Martin Terrier (Leverkusen), Jonas Martin, Ibrahim Salah et Romain Del Castillo (Brest), Jérémie Boga et Gaëtan Laborde (Nice), Brandon Thomas (PAOK), Arthur Theate (Francfort), Nemanja Matic (Lyon), Enzo Le Fée (Rome), Djed Spence (Tottenham) et Rafik Guitane (Braga).

Les fans des Rouge et Noir pourront apprécier de les voir évoluer sur la scène européenne cette saison. En espérant que la privation de leur club de cœur ne dure pas plus de quelques mois.

S.G.S.B.

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