• ds_3146.jpg
  • ds_2167.jpg
  • ds_1547.jpg
  • ds_1414.jpg
  • ds_1346.jpg
  • ds_1383.jpg
  • ds_1702.jpg
  • DS_0019.jpg
  • ds_0804.jpeg
  • ds_2717.jpg
  • ds_2900.jpg
  • ds_2828.jpg
  • ds_1410.jpg
  • ds_1050.jpg
  • ds_0922.jpg
  • ds_3497.jpg
  • ds_2668.jpg
  • ds_2794.jpg
  • ds_3207.jpg
  • ds_3448.jpg
Anciens

25 Juin 2025

Été 2000, le Stade Rennais fort des millions de son propriétaire François Pinault sort le chéquier pour construire une équipe qui doit régner sur la France. 12 recrues dont les prometteurs Severino...

Mercato

25 Juin 2025

Le Stade Rennais, sous l’impulsion de son nouveau directeur sportif Loïc Désiré, s’intéresse de près à un joueur clé de Montpellier HSC pour renforcer son milieu de terrain. Ce club pourrait voir...

Mercato

25 Juin 2025

Wilson Samaké, jeune attaquant malien de 21 ans, n’a pas encore eu l’occasion de jouer avec Rennes. Prêté à Châteauroux pour la première moitié de l’année, il a cependant attiré l’attention sur la...

Actualité

25 Juin 2025

Recruté à Lens en janvier dernier, Brice Samba est loin d'avoir répondu aux attentes à Rennes. Il a pourtant coûté très cher aux Bretons en indemnités de transfert et en salaire. De quoi affecter la...

Actualité

24 Juin 2025

Loïc Désiré, nouveau directeur sportif du Stade Rennais, a pris la parole pour la première fois ce mardi 24 juin devant les médias à la Piverdière. Il a notamment évoqué son parcours et sa...

Anciens

23 Juin 2025

La marque s’appelle HDV, pour hygiène de vie. Elle a été créée en 2019 par le footballeur Thimotée Nkada. Aujourd’hui, ils sont trois à la piloter depuis Rennes. La marque Hygiène de vie, de son...

Mercato

22 Juin 2025

Avec le départ d’Adrien Truffert à Bournemouth, le Stade Rennais prospecte activement pour recruter un latéral gauche. En ce sens, le club breton a ciblé Archie Brown, bien décidé à quitter La...

Anciens

21 Juin 2025

Clément Grenier a terminé sa formation BEF. Et si l'ancien milieu de l'Equipe de France venait à épauler Habib Beye au Stade Rennais ? La fin de carrière de Clément Grenier a été très compliquée....

Actualité

20 Juin 2025

Son arrivée en Ligue 1 a tourné au fiasco. Pour se faire pardonner, le diffuseur DAZN prépare une opération séduction XXL cet été. Mais est-ce suffisant ? L’aventure française de DAZN ressemble pour...

Actualité

19 Juin 2025

En pleines négociations avec la LFP à propos de la distribution de la future chaîne du football français, Canal+ veut sortir gagnant de ce deal alors que la Ligue ne veut pas trop faire de...

Anciens

19 Juin 2025

Après un passage éclair à Rennes, Frédéric Massara a quitté la Bretagne. Il va devenir le nouveau directeur sportif de l’AS Roma, où sa priorité n’est autre que le buteur rennais Arnaud Kalimuendo....

Mercato

18 Juin 2025

Le Stade Rennais doit tourner la page d'une année totalement démente, notamment sur le plan du mercato. Le club breton doit faire de la place, mais pas à n'importe quel prix. Albert Gronbaek, qui...

Mercato

17 Juin 2025

Le Stade Rennais, dont la priorité absolue est de dégraisser en ce début de mercato, est en négociations actives avec Hoffenheim pour son défenseur Leo Ostigard, suivi aussi en Italie. Le SRFC s’est...

Anciens

17 Juin 2025

À tout juste 40 ans, Steve Mandanda s'apprête à quitter le Stade Rennais, libre. Le gardien de but champion du monde français pourrait néanmoins rester en Ligue 1 durant ce mercato d'été. En 2022,...

Amateurs

17 Juin 2025

La passe de trois pour le Stade Rennais ! Ce lundi 16 juin, la Fédération française de football (FFF) a dévoilé ses principaux résultats de l’évaluation annuelle des centres de formation des 33...

Mercato

17 Juin 2025

Prêté ces six derniers mois en Arabie saoudite, le milieu finlandais Glen Kamara devrait quitter Rennes cet été. Besiktas et Samsunspor se sont lancés dans ce dossier. Alors que le prêt de six mois...

Anciens

17 Juin 2025

Steve Mandanda hésite, mais l’offre est sur la table. Le FC Lorient veut relancer une dernière fois l’ancien gardien de l’OM. Libre depuis son départ de Rennes, Steve Mandanda (40 ans) a reçu une...

Anciens

16 Juin 2025

Le transfert de l’attaquant du Bayern Munich Mathys Tel à Tottenham va avoir des retombées financières pour le Stade Rennais, son club formateur. Le SRFC, qui l’avait cédé au Bayern en 2022 en...

Il ne manque que l'étincelle au Roazhon Park

Le Roazhon Park a tous les atouts d'un stade qui fleure bon le football et qui donne envie de s'y éterniser. Mais les résultats du Stade Rennais cette saison ont quelque peu terni une ambiance qui montait en puissance ces dernières années. Il est tout de même 7e de notre classement des stades de Ligue 1.
Il ne manque que l'étincelle au Roazhon Park

Sur les bords de la Vilaine, à l'ouest du centre-ville de Rennes, le Roazhon Park n'est pas le stade le plus facile d'accès de Ligue 1, mais il a son charme, pour un après-midi familial par exemple. Vous pouvez le rejoindre à pied (une grosse trentaine de minutes depuis la gare de Rennes), en métro (moins d'une demi-heure depuis le centre, mais quinze minutes de marche à la sortie de la station), en navette depuis la place de la République ou à vélo.

Les routes sont bloquées très en amont des matches, la voiture n'est donc pas recommandée. Entièrement rénovée entre 1999 et 2004, renommée en 2015 (le stade de la route de Lorient est devenu le Roazhon Park) avec un changement de sièges en prime, l'enceinte est un vrai stade à l'anglaise, où tout est fait pour que le spectateur se sente proche du terrain.

Les animations sur le parvis du stade se sont développées, la fameuse galette-saucisse fait toujours recette (3€ à l'extérieur du stade, 3,50€ à l'intérieur), et le club a beaucoup travaillé sur cet esprit festif, avec la mascotte Erminig toujours en forme. Les fouilles sont très efficaces, les flux bien organisés aux buvettes (7 ou 8€ la bière à l'intérieur du stade, consigne comprise), rien à dire sur la propreté des lieux et l'engagement écoresponsable.

On ne peut que regretter une ambiance morne malgré les efforts du RCK, le principal groupe ultra rennais. L'esprit est très familial, on trouve toutes les générations, de nombreuses personnes âgées, mais ce n'est pas au Roazhon Park que vous trouverez une ferveur enivrante, même s'il y a eu de chaudes soirées européennes il y a quelques années. Le public est davantage spectateur qu'acteur. Quelques barrières peuvent gêner le suivi de la rencontre à certaines places, mais dans l'ensemble la visibilité est très bonne, et deux grands écrans géants offrent de bons relais. En résumé, le cadre est bon ; cette année, il y a manqué l'étincelle pour en faire un lieu plus vivant.

Classement des stades de Ligue 1 selon l'équipe

Le Vélodrome devance le Parc des Princes et Geoffroy-Guichard au premier classement des stades où il fait bon vivre une soirée de Ligue 1.
Classement des stades de Ligue 1 selon l'équipe

L'idée était toute simple : un stage en immersion dans les stades de Ligue 1, une plongée façon supporter incognito pour vivre au plus près l'expérience client, comme on dit dans les cours de marketing, une réalité dont la tribune de presse ne rend compte que partiellement. Huit journalistes - un seul de la rubrique foot - non attachés au club résident des stades qu'ils visitaient ont donc sillonné la France du Championnat du 9 mars au 20 avril.

La feuille de route ? Limpide : se fondre dans la masse, acheter une place en latérale, tribune opposée à la présidentielle, prendre le tram, le bus et minuter l'accès au stade, apprécier la fluidité des fouilles et des dispositifs de sécurité, profiter du quartier et de ses animations avant et après les matches, jauger le confort du siège, l'amplitude de la vue, la vitesse du wifi et la richesse des services, goûter l'ambiance, les chants, le match, s'enflammer ou pester à l'unisson du stade, faire le ravito à la mi-temps, estimer la variété de la carte, le croquant de la frite et la fraîcheur du liquide concomitant, patienter (ou pas) aux toilettes, évaluer la propreté et la beauté des lieux, les efforts environnementaux, tester la rapidité à quitter l'enceinte et, in fine, soupeser le porte-monnaie à l'issue de la journée. Bref, vivre un match de L1 comme un spectateur lambda.

Évidemment, découvrir Geoffroy-Guichard un soir de derby brûlant le 20 avril (victoire de Saint-Étienne 2-1) donne une autre ampleur à sa soirée qu'assister au 0-0 de Brest contre Reims le dimanche après-midi du 15 mars, dans les travées vétustes de Francis-Le Blé. Pour tenter de minorer ces effets de distorsion, consigne avait été passée de discuter avec les voisins de siège, afin de dépasser la seule expérience d'un moment. Et surtout, tels des correcteurs du bac de français, les huit routards de L1 se sont soumis à une réunion d'harmonisation des notes, riche, drôle et passionnée, afin de confronter leur subjectivité à celle de leurs collègues, de défendre leurs arguments et de déterminer ensemble leur échelle de valeurs communes.

Méthodologie
Le classement des stades de L1 a été établi d'après des critères prédéfinis, notés de 1 à 10, pour une note finale sur 100.

Ambiance et ferveur (coefficient double)
(Chants, tifos, impact sonore, taux de remplissage...)

Confort et visibilité
(Qualité et ergonomie des sièges, espacement, visibilité, couverture en cas d'intempéries...)

Accessibilité
(Transports en commun, parkings, durée des trajets, fluidité des entrées/sorties)

Expérience économique
(Prix moyen des billets, abonnements, restauration, transports...)

Offre de restauration
(Variété et qualité des stands, temps d'attente aux buvettes...)

Expérience pré et post-match
(Dynamisme du quartier, animations sur le parvis et autour du match...)

Innovation et modernité
(Qualité du wifi, écrans géants et animations interactives, services digitaux, espaces dédiés aux enfants...)

Histoire et prestige
(Évènements tous sports accueillis par le stade, palmarès du club résident, valeur architecturale et patrimoniale...)

Environnement et propreté
(Développement durable, transports doux, initiatives écologiques, propreté du stade et des sanitaires...)

Les vieux stades (bien) rénovés en haut du classement
Tout ceci débouche donc sur ce premier classement des stades où il fait bon vivre une soirée de Ligue 1. Il accorde une prime à l'ambiance (coefficient doublé), car quand on va au stade, c'est avant tout pour y partager une émotion commune. Ça profite donc aux enceintes qui ont vécu une belle saison de leur club - au hasard, Strasbourg, aspirant européen surprise, ou Auxerre, joyeux promu - et pénalise celles qui ont vu la saison défiler dans la tiédeur du ventre mou (à Rennes, par exemple) ou la colère de la descente programmée comme à Montpellier. Logique que ce qui se passe sur la pelouse influe sur le ressenti des travées.

Au final, parce qu'il accueille le seul - pour quelques jours encore ? - club français victorieux de la Ligue des champions, parce qu'il rayonne dans la ville, à portée d'une journée à la plage, parce qu'il bout (parfois jusqu'au déraisonnable) d'une énergie unique sur laquelle on a su poser un toit magnifique, parce qu'il est moins cher que le Parc des Princes aussi (l'absence en Coupe d'Europe y a contribué sûrement), l'Orange Vélodrome domine ce classement assez serré, d'un souffle devant le Parc dont la fièvre monte de plusieurs crans en Ligue des champions versus les joutes domestiques.

Et le Chaudron stéphanois complète un podium de sièges historiques. Instructif d'ailleurs que le palmarès donne l'avantage aux vieux stades (bien) rénovés et modernisés face à des enceintes plus récentes, ultra-fonctionnelles mais qui, excentrées, peinent à faire le match des âmes comme le Groupama Stadium de l'OL ou l'Allianz Riviera de Nice.

Notre classement des stades de L1

  1. Orange Vélodrome (Marseille) : 76 points
  2. Parc des Princes (Paris-SG) : 75 pts
  3. Geoffroy-Guichard (Saint-Étienne) : 74 pts
  4. Bollaert-Delelis (Lens) : 73 pts
  5. Groupama Stadium (Lyon) : 73 pts
  6. La Meinau (Strasbourg) : 70 pts
  7. Roazhon Park (Rennes) : 68 pts
  8. Stadium (Toulouse) : 68 pts
  9. Decathlon-Arena - Pierre-Mauroy (Lille) : 67 pts
  10. La Beaujoire (Nantes) : 66 pts
  11. Allianz Riviera (Nice) : 63 pts
  12. L'Abbé-Deschamps (Auxerre) : 62 pts
  13. Océane (Le Havre) : 57 pts
  14. Francis-Le Blé (Brest) : 53 pts
  15. Auguste-Delaune (Reims) : 51 pts
  16. Raymond-Kopa (Angers) : 51 pts
  17. Louis-II (Monaco) : 50 pts
  18. La Mosson (Montpellier) : 46 pts

Les bonnes surprises viennent de la Meinau, pourtant en rénovation, du Stadium de Toulouse où, depuis la remontée, on s'échine au travers de gros efforts d'animation autour des matches à sortir de l'ombre tutélaire du rugby, ou de l'Abbé-Deschamps, si on veut vivre une belle après-midi à l'ancienne.

Le fond de la classe appartient à des stades et des clubs qui ont lutté en fond de cale, hormis la sempiternelle exception monégasque. Mais il n'en est qu'un qui n'obtient pas la moyenne : la Mosson, que Montpellier aimerait quitter lui aussi. Relégation pour tous.

L’étonnante recrue fantôme Kyogo Furuhashi

Recrue importante du mercato hivernal du Stade Rennais, Kyogo Furuhashi est loin de répondre aux attentes. Mis de côté par Habib Beye, l’attaquant japonais de 30 ans n’a pas vraiment d’avenir en Bretagne.
L’étonnante recrue fantôme Kyogo Furuhashi

Difficile, la saison du Stade Rennais se termine sur une bonne note. Abonné à la deuxième partie de tableau toute la saison et s’approchant parfois de la zone rouge, le club breton s’est même retrouvé barragiste à la 19e journée de Ligue 1. Les conséquences d’un mercato estival raté et d’erreurs au cours de la saison qui ont conduit aux licenciements de Julien Stéphan et de son successeur Jorge Sampaoli. Pour remédier à leur situation, les Bretons ont ainsi fortement investi à l’hiver avec 75 millions d’euros déboursés pour les arrivées de Seko Fofana (Al-Nassr), Brice Samba (RC Lens), Anthony Rouault (VfB Stuttgart), Kyogo Furuhashi (Celtic Glasgow), Mousa Tamari (Montpellier), Kazeem Olaigbe (Cercle Bruges), Ismaël Koné (Olympique de Marseille), Jérémy Jacquet (Clermont retour de prêt), Ayanda Sishuba (Hellas Vérone) et Lilian Brassier (Stade Brestois).

Un mercato important avec quelques réussites, mais aussi des échecs. Et si le bilan est mitigé pour un Seko Fofana qui n’est pas à son meilleur niveau, il est catastrophique pour Kyogo Furuhashi. Fort de trois années et demie remplies au Celtic Glasgow où il a remporté 4 fois le championnat écossais, le natif d’Ikoma a su s’imposer comme un attaquant de qualité. Disputant 165 matches avec les Bhoys pour 85 buts et 19 passes décisives, il a crevé l’écran et s’était notamment vu lier à certains autres clubs dont Manchester City qui voulait en faire la doublure d’Erling Haaland à un moment donné. Moins en vue cette saison (12 buts et 4 offrandes en 32 matches), il restait néanmoins important pour le Celtic Glasgow qui s’appuyait toujours sur lui. En tout cas jusqu’à ce que Rennes arrive avec une offre de 12 millions d’euros et la possibilité de faire revenir Jota en Écosse (pour 10 millions d’euros).

100 000 euros la minute
Sur le papier cela s’annonçait intéressant pour Rennes avec un joueur d’expérience habitué aux compétitions européennes. Cependant, cela n’a pas suivi dans le contenu. Lancé pour la première fois contre Strasbourg le 2 février dernier à l’occasion de la première d’Habib Beye sur le banc rennais, il a évolué en tant qu’ailier et n’a pas su se distinguer. C’est simple, depuis il ne compte que 5 petites apparitions en 13 matches et a même été écarté du groupe pour trois rencontres face à Nantes, l’Olympique Lyonnais et Toulouse. Alors oui, il y a eu un problème à l’épaule qui a gêné son début d’aventure à Rennes comme l’a confié Habib Beye : "elle s’était démise contre Lille puis à l’entraînement. Cela a aussi fait partie du choix de ne pas l’impliquer d’entrée de matchs."

Pour autant, ses difficultés physiques n’ont pas été le seul problème puisque son profil n’était pas le plus adapté à ce que souhaite mettre en place Habib Beye. Kyogo Furuhashi étant une recrue qui a été conclue pour le précédent coach Jorge Sampaoli. "Kyogo a des facultés différentes des autres attaquants, il a besoin d’avoir un point de fixation, car il est très mobile. C’est un joueur d’associations, et on travaille beaucoup en ce moment sur ces notions de complémentarité, pour qu’il se sente en confiance et pleinement impliqué", analysait Habib Beye en mars dernier.

"Même s’il n’a pas les minutes qu’il voudrait, il fait partie intégrante du groupe et il entre en jeu… Le temps de jeu de Kyogo ne veut pas dire qu’il ne répond pas à mes attentes, sinon il ne serait pas dans le groupe et il n’entrerait pas… C’est un joueur de qualité et il nous apportera, j’en suis convaincu", rajoutait le coach sénégalais à la mi-avril avant la victoire 5-1 de Rennes face au Havre. Depuis, la situation n’a pas évolué et s’est même empirée pour un élément qui ne fait plus partie du projet breton. Si le comportement du joueur est loué en interne, que ce dernier est professionnel, impliqué et travaille beaucoup à l’entraînement, Habib Beye ne compte pas sur lui et un départ cet été est souhaité pour celui dont le contrat court jusqu’en juin 2027. Un dossier que le Stade Rennais ne devra pas négliger puisque l’arrivée de Kyogo Furuhashi a tout de même coûté 12 millions d’euros, soit 100 000 euros la minute disputée…

Favorable à une Premier League française sans LFP

Si la réforme sur le modèle anglais, dont il est partisan, va au bout, le président de la LFP Vincent Labrune sera forcément hors jeu. Une fin de mandat prématurée, qui le soulagerait sans doute au vu du rejet dont il fait l'objet.
Favorable à une Premier League française sans LFP

En soutenant dès l'origine le projet de Premier League à la française détaillé lundi par le président de la FFF Philippe Diallo, Vincent Labrune a creusé sa propre tombe. Car ce schéma sous-entend la création d'une société commerciale dont les clubs seraient actionnaires à la place de la Ligue de football professionnel (LFP) qu'il préside. Et le recrutement d'un CEO (un patron exécutif engagé par les clubs) salarié, révocable à tout moment, pour la diriger. Mais sans président élu pour quatre ans avec une mission très politique, telle que Labrune la mène aujourd'hui.

La LFP va bientôt disparaître, Vincent Labrune approuve la réforme

Dans quelques mois, Philippe Diallo le président de la FFF l’assure, le football professionnel français ne sera plus géré par la Ligue de Football Professionnel. Et donc par son président, Vincent Labrune.

La LFP va bientôt disparaître, Vincent Labrune approuve la réforme

C’était une nécessité. Une urgence même au regard de tous les échecs rencontrés par la Ligue de Football Professionnel depuis des mois. Car entre l’épisode consternant des Droits TV, celui de la rémunération du président de la LFP, Vincent Labrune, ou encore des coûts de fonctionnement, de l’instance, les sujets de discorde ne manquaient pas.

Mais ce lundi, au travers d’une conférence de presse, le président de la Fédération Française de Football, Philippe Diallo, a annoncé un nouvelle direction. En clair, le football professionnel ne sera plus organisé par la Ligue, mais les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 deviendront actionnaires d’une société dont les autres actionnaires seront CVC (13% des parts) et la FFF qui aura une action préférentielle avec droit de véto notamment sur les sujets les plus structurants.

Afin d’aboutir à ce nouveau modèle, il faudra au préalable changer la loi. Les sénateurs Laurent Lafon et Michel Savin ont récemment écrit une proposition de loi relative à une nouvelle organisation, à la gestion et au financement du sport professionnel. Elle sera examinée par les sénateurs le 10 juin prochain. La LFP dissoute, ce pourrait être actif au début de la saison 2026-2027. Selon l’entourage de Vincent Labrune, cité par RMC, "il accompagne cette réforme qu’il soutient depuis le début et qui implique la suppression du poste de président de la Ligue et donc par définition, qu’il n’aille pas au terme de son mandat".

Disparition de la LFP

Philippe Diallo a dévoilé son projet de réforme majeure du football français, avec la suppression de la LFP et le remplacement du poste de président par un modèle de gouvernance inspiré de la Premier League. Une évolution soutenue par Vincent Labrune, mais qui marque également la fin de son mandat à la tête de la Ligue.
Disparition de la LFP

À l’issue d’une réunion avec les acteurs du football français, Philippe Diallo a dévoilé un plan ambitieux pour transformer en profondeur le football professionnel, en réponse aux tensions internes, à la crise des droits TV et aux difficultés financières de nombreux clubs. Il a ainsi annoncé la fin de l’actuelle Ligue de football professionnel (LFP), remplacée par une «?société de clubs?», qualifiée de «?projet de rupture?».

Cette nouvelle entité, de nature commerciale, regrouperait les clubs en tant qu’actionnaires et mettrait fin au statut associatif actuel. Autre réforme annoncée : le passage d’«?un président élu actuellement?» à «?un directoire de professionnels recrutés qui seront des mandataires nommés par les clubs?», marquant ainsi une évolution «?d’un système électif à un système de nominations?». Si cette réforme devrait donc réjouir nombreux acteurs du football, elle risque cependant de déplaire à un homme : Vincent Labrune. Élu président de la Ligue de football professionnel le 10 septembre 2020 par le conseil d’administration, Labrune a été réélu en 2024 pour un mandat de quatre ans.

Philippe Diallo ne veut pas encore trancher
L’une des réformes majeures proposées par Philippe Diallo entraînerait ainsi la disparition de la LFP, ce qui mettrait fin au poste actuellement occupé par Vincent Labrune. Mais ce dernier ne s’y oppose pas, bien au contraire : «?je suis très favorable à une évolution vers un modèle proche de celui de la Premier League, qui a largement démontré son efficacité. Le football professionnel français a tout à gagner à s’en inspirer. C’est une orientation que je défends de longue date, et je me réjouis qu’elle soit désormais au cœur des discussions. Ce modèle doit reposer sur une société commerciale où les clubs sont actionnaires aux côtés de la Fédération, afin de renforcer la gouvernance et accroître l’attractivité de nos compétitions. » Son entourage, cité par RMC Sport, confirme : «?Vincent Labrune accompagne cette réforme qu’il soutient depuis le début et qui implique la suppression du poste de président de la Ligue et donc par définition, qu’il n’aille pas au terme de son mandat. »

Interrogé également à ce sujet, Philippe Diallo n’a pas souhaité trancher, mais a précisé les intentions du projet : «?Vincent Labrune a été élu récemment, il participe aux travaux, ce n’est pas à moi de définir quel sera son avenir. Chacun déterminera s’il rentre dans le cadre de ce projet ou pas.?» Il a ajouté : «?Labrune ? Il partage les options proposées. (…) Si la proposition de loi va à son terme, le président, que je vois plus comme un CEO, aura été choisi par les clubs, comme dans un entretien d’embauche. Ma première démarche n’est pas de destituer les uns et les autres, mais de faire une analyse et des propositions. Après viendra le temps des hommes, à savoir ceux qui seront les plus aptes à mener ces projets. Si Vincent veut se présenter, il peut. Mais il y aura un changement profond de la gouvernance, car cela signifie la disparition de la LFP. Ce que je souhaite, c’est que le futur dirigeant de cette société commerciale soit quelqu’un qui soit recruté en tant que salarié, pour son expérience et ses compétences, et choisi par les clubs.?» Le message est passé.

Pleine Lucarne du 12/05/2025

Pleine Lucarne du 12/05/2025

Les dessous du projet de Premier League à la française

La réforme du football français va s'inspirer du modèle anglais, avec une société commerciale, dont les clubs seraient actionnaires, pour le business, et une Fédération dotée d'un pouvoir de contrôle. Ce qui acterait la disparition de la LFP.
Les dessous du projet de Premier League à la française

Pour une fois, il n'est pas question de demi-mesures. Afin de sortir le secteur professionnel de l'ornière, Philippe Diallo, le président de la FFF, a mis en place, il y a deux mois et demi, trois "groupes de travail", coordonnés par Marc Keller, Baptiste Malherbe et Damien Comolli, censés plancher sur son avenir. Une bonne façon, le plus souvent, de ne rien décider ou presque. Mais cette fois-ci, le patron de la Fédération, conscient que l'occasion est rêvée pour lui de prendre la main, a imaginé une réforme aux allures de révolution. "J'ai fait le constat que la crise actuelle est majeure et structurelle, explique-t-il. Et comme il n'était pas simple de faire émerger un dialogue au sein de la Ligue, j'ai pris l'initiative." Elle se traduit finalement par un "projet collectif, mais de rupture". Qui fait basculer, comme L'Équipe le révélait le 1er mars, la France vers le modèle anglais.

DAZN rate son multiplex et se fait massacrer

DAZN diffusait samedi soir le grand multiplex de la 33e journée de Ligue 1 et la plateforme britannique n’a pas convaincu tout le monde.

DAZN rate son multiplex et se fait massacrer

L’histoire est bientôt terminée entre DAZN et la Ligue 1, et ce n’est pas Pierre Ménès qui va pleurer le départ du diffuseur britannique. L’ancien journaliste de Canal+ s’est montré très critique envers le Netflix du sport tout au long de la saison, que ce soit sur sa chaîne YouTube ou sur les réseaux sociaux. Commentateurs, journalistes, qualité d’image, prix… Tout y est passé au niveau des critiques émises au sujet du diffuseur principal de la Ligue 1. La plateforme a pourtant fait de gros progrès ces dernières semaines, avec la création de nouvelles émissions et le recrutement de nouveaux consultants. Ce n’est toujours pas assez pour l’ancien chroniqueur du Canal Football Club.

Pierre Ménès s'en prend encore à DAZN
Branché sur DAZN 1 pour suivre le multiplex de la 33e journée samedi soir, il a notamment regretté le temps passé sur le match du PSG à Montpellier, qui ne relevait pourtant d’aucun enjeu. « Un petit mot sur le multiplex de DAZN hier soir. Catastrophique. Trop de temps à Montpellier-psg dont tout le monde se foutait. L’incompétence au sommet. Quand ça veut pas… Ces gens ne savent pas faire » a regretté l’ancien journaliste de Canal+, qui milite depuis de longues semaines pour le retour de la Ligue 1 sur la chaîne cryptée. C’est pourtant vers une autre solution que semblent se diriger les présidents de clubs, avec la création de plus en plus probable d’une chaîne de la Ligue. Reste maintenant à savoir comment celle-ci sera produite et distribuée puisque Canal+, au même titre que DAZN d’ailleurs, est intéressé à l’idée de faire partie de l’aventure d’une manière ou d’une autre.

les ultras dézinguent la direction du club

Samedi soir, l’OGC Nice se déplace au Roazhon Park pour un match crucial de la 33e journée de Ligue 1. Du côté du Stade Rennais, la fin de saison s’avère particulièrement tumultueuse. Le club breton est secoué par des changements significatifs au sein de son staff, de sa direction et de son effectif.

les ultras dézinguent la direction du club

Les tensions se font sentir dans les tribunes, où les ultras n’hésitent pas à exprimer leur mécontentement envers la gestion du club. Une banderole, déployée dans la tribune Mordelles, résume le sentiment général : « Une saison historiquement à chier : 53 départs/arrivées ; des millions dilapidés pour une équipe sans talent ; 4 entraîneurs, 2 présidents ; une élimination honteuse en CDF ; 5e masse salariale ; un projet club flou depuis trop longtemps. »

Cette déclaration reflète la frustration accumulée par les supporters, face à une saison marquée par l’instabilité. Le nombre élevé de transferts et les multiples changements d’entraîneurs et de présidents n’ont fait qu’accentuer le sentiment de confusion. L’élimination prématurée en Coupe de France est perçue comme un échec supplémentaire dans une saison déjà difficile.

Les supporters reprochent également au club de ne pas avoir su investir judicieusement, alors que des sommes importantes ont été dépensées pour des résultats médiocres. La cinquième masse salariale de Ligue 1 n’a pas permis de bâtir une équipe compétitive, ce qui aggrave encore la situation.

Le manque de clarté dans le projet sportif du club est une autre source de frustration pour les fans. Ils souhaitent voir une vision plus cohérente et ambitieuse pour l’avenir de leur équipe. Cette saison, qui devait être celle de la confirmation, s’est transformée en véritable casse-tête pour le Stade Rennais.

Il manque de respect à Beye, la sanction tombe

Avant la réception de l’OGC Nice ce samedi soir, le Stade Rennais a annoncé la composition de son groupe sans Kazeem Olaigbe. L’ailier belge a été mis à l’écart cette semaine à cause d’un ton trop familier avec l’entraîneur Habib Beye.

Il manque de respect à Beye, la sanction tombe

Habib Beye n’est pas là pour faire ami-ami avec ses joueurs. Attaché à la discipline, l’entraîneur du Stade Rennais tient à imposer une distance et surtout du respect entre lui et ses hommes. Mais il faut croire que Kazeem Olaigbe n’avait pas encore compris ses méthodes avant cette semaine. Ce jeudi, l’ailier de 22 ans n’a pas pu terminer la séance d’entraînement. Rien à voir avec son état physique. En réalité, le renfort hivernal s’est permis une réponse inappropriée à son coach.

Nos confrères du Parisien racontent que le Belge, pendant un exercice de passes, "aurait répondu de façon maladroite, presque familière" à Habib Beye. On ignore les mots exacts prononcés par Kazeem Olaigbe. En tout cas, l’ancien entraîneur du Red Star n’a pas du tout apprécié et l’a invité à quitter la séance. L’ancien joueur du Cercle Bruges s’est même entraîné à l’écart vendredi. On constate donc sans surprise que le joueur d’origine nigériane n’est pas convoqué pour la réception de l’OGC Nice ce samedi soir, lui qui avait pourtant débuté le match perdu à Toulouse (2-1) dimanche dernier.

Des excuses insuffisantes
A noter que Kazeem Olaigbe a présenté ses excuses à Habib Beye. Un geste apparemment insuffisant pour éviter la sanction sportive. Pour le technicien, c’est sans doute une manière de marquer son autorité dans un vestiaire qu’il côtoiera de nouveau la saison prochaine. Une option dans son contrat lui a permis de prolonger automatiquement d’une année grâce au maintien officiellement acquis. Avant de partir en vacances, Kazeem Olaigbe a donc tout intérêt à récupérer les faveurs du coach.

Passer du Barça à Rennes, c’est trop dur pour Faye

Très peu utilisé depuis son arrivée l’été dernier, Mikayil Faye ne baisse pas les bras. Le défenseur central du Stade Rennais n’oublie pas qu’il évoluait à un niveau nettement inférieur la saison dernière au FC Barcelone.

Passer du Barça à Rennes, c’est trop dur pour Faye

Alors qu’un changement d’entraîneur redistribue souvent les cartes, le départ de Jorge Sampaoli n’a pas changé grand-chose pour Mikayil Faye. Le défenseur central du Stade Rennais n’a pas non plus les faveurs d’Habib Beye. Sa situation a même empiré puisque le Sénégalais n’a disputé aucun des six derniers matchs. Difficile pour le renfort estival de s’en contenter. Mais l’ancien joueur de la réserve du FC Barcelone tient tout de même à rappeler son pari audacieux.

"Onze matchs en Ligue 1, pas si mal pour des débuts en équipe première ? On peut dire ça, répond Mikayil Faye à Top Mercato. C’est vrai que les gens oublient que j’étais avec le Barça B. Il y a une grande différence entre jouer dans une équipe réserve et jouer en équipe première. Il y a moins d’exigence avec la réserve. Le niveau est plus élevé en Ligue 1, il y a plus de rythme, c’est plus physique avec beaucoup de courses. Les objectifs sont aussi différents. A Rennes, le club avait comme ambition d’accrocher une place européenne. Tout est différent." Dépassé, le défenseur central de 20 ans reste néanmoins confiant. Pas question pour lui de partir malgré les rumeurs de départ à son sujet.

Faye exclut un départ cet été
"Je le lis tous les jours comme vous. Parfois, j’en rigole, a réagi la recrue à un peu plus de 10 millions d’euros. Ce qui est sûr, c’est que je suis bien au Stade Rennais, je suis focus sur les deux dernières rencontres de Ligue 1 à jouer avant les vacances. Je vais bien me reposer afin d’attaquer la prochaine saison dans les meilleures conditions. Les infos qui sortent sur mon avenir, je crois que c’est juste pour le clics. Il faut aussi comprendre le monde dans lequel nous vivons. Malheureusement, c’est comme ça aujourd’hui, il faut faire avec !" Serein, Mikayil Faye a pourtant constaté que Rennes n’hésitait pas à corriger les erreurs commises l’été dernier.

Le Stade Rennais dévoile son maillot 2025-2026 avec un hommage à Jean Prouff

Jean Prouff, joueur puis illustre entraîneur du Stade Rennais, aurait rejoint Paris à vélo en 1944 pour honorer une convocation en équipe de France. Le club lui a rendu hommage en effectuant le trajet inverse pour la présentation de son maillot de la saison 2025-2026.
Le Stade Rennais dévoile son maillot 2025-2026 avec un hommage à Jean Prouff

L'anecdote remonte à 1944, alors que la France se rapproche de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Jean Prouff, légende du Stade Rennais, est convoqué avec les Bleus pour disputer un match de football face à l'armée britannique à Paris. L'état du réseau ferroviaire, endommagé par les combats, ne lui permet pas de se rendre dans la capitale en train : il décide donc de parcourir le trajet de 350 km à vélo.

Pour rendre hommage à son ancien joueur et entraîneur, dont la statue trône au Roazhon Park, le Stade Rennais s'est inspiré de cette histoire à l'occasion de la présentation, ce vendredi, de son maillot pour la saison 2025-2026. L'ancien cycliste professionnel Julien Simon, supporter des Rouge et Noir, a parcouru le trajet inverse, jeudi, en portant la nouvelle tunique.

Parti de Paris au petit matin, le cycliste est arrivé au Roazhon Park en début d'après-midi. Il a notamment été rejoint sur la fin du parcours par les anciens joueurs rennais Michel Sorin et Cyrille L'Helgouach et le youtubeur Lebouseuh, ainsi que par plusieurs supporters du club qui ont tous convergé vers la statue de Jean Prouff, maillot de la prochaine saison sur le dos. "Inspirée de la période durant laquelle Jean Prouff a marqué le club, cette nouvelle tunique revient à l'essentiel. Elle arbore une esthétique sobre et élégante, caractérisée par un col classique qui fait écho aux modèles portés en son temps", précise le club.

Le Stade Rennais dévoile son nouveau maillot pour la saison 2025/2026

Le Stade Rennais a dévoilé son maillot pour la saison 2025/2026 ce vendredi matin. Le club le présente comme un hommage à une histoire méconnue liée à son légendaire entraîneur Jean Prouff.

Le Stade Rennais dévoile son nouveau maillot pour la saison 2025/2026

A la veille de la réception de Nice, dernier match de la saison au Roazhon Park, le Stade Rennais a dévoilé le design du maillot qu'il portera lors du prochain exercice. Après avoir mis à l'honneur le mosaïste et ancien président du club Isidore Odorico sur son maillot porté lors de la saison 2020/2021, le SRFC a choisi cette fois de présenter sa nouvelle tunique comme un hommage à une autre légende de son histoire : l'ancien joueur et coach Jean Prouff, entraîneur vainqueur des coupes de France 1965 et 1971, déjà statufié dans les tribunes du Roazhon Park en 2021.

"Inspirée de la période durant laquelle il a marqué le club, cette nouvelle tunique revient à l’essentiel. Elle arbore une esthétique sobre et élégante, caractérisée par un col classique qui fait écho aux modèles portés en son temps" écrit le club dans un communiqué. Pour rendre hommage au trajet de Rennes à Paris effectué en vélo par Jean Prouff pour honorer sa première sélection en Equipe de France, le club a sollicité l'ancien cycliste professionnel et grand supporter du Stade Rennais Julien Simon pour effectuer le chemin inverse avec une arrivée au Roazhon Park.

Le SRFC dévoile son nouveau maillot 2025-2026

À la veille du dernier match à domicile, le Stade rennais a dévoilé son ancien maillot domicile 2025-2026.

Le SRFC dévoile son nouveau maillot 2025-2026

Le teasing avait été fait en amont et l’annonce est tombée ce midi. Les supporters du Stade rennais ont pu découvrir leur nouveau maillot domicile 2025-2026, dévoilé sur fond de l’incroyable histoire de Jean Prouff lors de sa première sélection en équipe de France.

L’iconique joueur et entraineur du Stade rennais avait alors rallié Paris en vélo, et connu sa première cape en bleu. C’est en son honneur que ce nouveau maillot aux airs de maillot cycliste a été dévoilé ce vendredi, en mettant à l’honneur des anciens du Stade rennais Cyrille L’Helgoualch ou Michel Sorin, mais aussi Julien Simon, coureur cycliste originaire de Montfort-sur-Meu.

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme