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18 Octobre 2025

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17 Octobre 2025

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17 Octobre 2025

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La grosse galère des premiers utilisateurs pour s’abonner

Le lancement de la chaîne Ligue 1+ suscite un certain enthousiasme chez les fans du championnat de France. Mais les débuts sont visiblement très compliqués pour s'abonner...

La grosse galère des premiers utilisateurs pour s’abonner

Avec le lancement de Ligue 1+, nouvelle plateforme dédiée à la diffusion du championnat de France, les fans espéraient une expérience fluide et attractive. Plusieurs offres sont d'ailleurs proposées, dont un Pass annuel à 14,99 € par mois avec accès sur deux écrans, ou une formule spéciale pour les moins de 26 ans à 9,99 €, sans engagement.

La plateforme est accessible via mobile, PC, TV connectée, opérateurs télécoms, ou encore DAZN, avec une couverture complète comprenant huit matchs en direct par journée, des magazines hebdomadaires, et des contenus exclusifs. Pourtant, l’arrivée a vite tourné au cauchemar pour beaucoup d’utilisateurs.

Des accès refusés après avoir payé !
Sur Twitter, les plaintes ont afflué. De nombreux utilisateurs se plaignent de problèmes à répétition. « Je clique sur l’offre -26 en voulant m’inscrire j’ai ce message d’erreur », problème confirmé par d'autres. « J’ai essayé de lancer mon abonnement Ligue1+ et l’offre -26 ans est affichée comme disponible, mais le site bug et je n’arrive pas à créer mon compte. » Un autre utilisateur expliquait : « Quand je clique sur abonnement dans l’application ça me renvoie sur la page web où il n’y a aucun lien pour s’abonner … »

Les problèmes ne s’arrêtent pas là. Certains abonnés rapportent qu’après avoir validé le paiement, l’accès leur est refusé. « J’ai créé mon compte, validé le paiement sur ma banque. Et une fois que je me connecte sur la tablette, il me dit que je ne suis pas abonné et qu’il faut payer ! » De nombreux utilisateurs dénoncent aussi des erreurs d’authentification sur différentes plateformes. « Échec de l’authentification » malgré un mot de passe correct, précise un utilisateur qui a dû réinitialiser son mot de passe à plusieurs reprises sans succès.

D’autres bugs plus surprenants émergent, comme le blocage des inscriptions sous prétexte d’utilisation d’un VPN, sans raison apparente, ou la difficulté à distinguer l’application Ligue 1+ de l’application officielle Ligue 1, créant une grande confusion. En somme, loin de la fluidité promise, la plateforme Ligue 1+ vit un lancement chaotique.

Beye fait une déclaration sur Kalimuendo

Alors que le début du Championnat approche à grands pas, l’entraîneur du Stade Rennais, Habib Beye, affiche sa confiance quant aux capacités de son équipe à affronter Marseille lors du premier match. Selon lui, les joueurs se préparent avec sérieux afin d’être prêts pour ce rendez-vous important contre l’OM.

Beye fait une déclaration sur Kalimuendo

Interrogé sur la situation d’Arnaud Kalimuendo, Beye n’a pas caché qu’il pourrait y avoir des mouvements concernant l’attaquant dans les jours à venir. Il explique : "Vous connaissez sa situation. Un moment donné, je dois anticiper certaines choses. Si ça venait à bouger, il faut qu’on puisse voir d’autres solutions. Pour l’instant, Arnaud est un joueur du Stade Rennais, que je considère à 100 % dans son engagement au sein de ce club, mais il faut que je puisse anticiper au cas où quelque chose se passe avant le match de Marseille."

Le coach rennais souligne ainsi l’importance de la préparation, tout en gardant à l’esprit les éventualités du mercato. Cette incertitude autour de Kalimuendo ne semble pourtant pas perturber la dynamique du groupe, qui reste concentré sur son objectif immédiat.

La gestion de ces possibles changements d’effectif constitue donc un défi supplémentaire pour le staff rennais, déterminé à aborder la rencontre contre Marseille avec le maximum de sérénité.

Beye affiche sa frustration après le Genoa

Lors de leur dernière rencontre amicale avant la reprise, l’équipe d’Habib Beye a été tenue en échec par le Genoa à Rennes, concédant un match nul 2-2 malgré une avance de deux buts à dix minutes de la fin. Les joueurs, qui semblaient pourtant maîtriser la partie, ont vu leur avantage s’évaporer à la suite d’une égalisation dans les ultimes instants, signée par l’ancien défenseur rennais Léo Ostigard.

Beye affiche sa frustration après le Genoa

Interrogé après la rencontre, l’entraîneur a reconnu certains manques dans la prestation de ses joueurs, notamment lors des quarante-cinq premières minutes. "Nous avons manqué de mobilité sur la première période, mais malgré tout on a eu des bonnes séquences notamment en deuxième mi-temps. Il faut qu’on obtienne plus de disponibilité et d’agressivité dans la capacité a se démarquer tout un apportant un peu plus de profondeur. C’est ce qui a nous manqué !", a-t-il déclaré.

La frustration était palpable après ce retournement de situation, mais Beye a tenu à relativiser. "Oui c’est frustrant, mais il ne faut pas tout remettre en question. Nous devons garder ce qui a été fait de positif dans notre préparation. J’ai mis en garde mes troupes sur ces moments de déconcentrations car à ce niveau-là on est punis directement. C’est deux buts qu’on doit éviter ! Si on est plus dynamique, intense et concentré on ne les prend pas !"

Désormais, l’attention se tourne vers la prochaine confrontation face à Marseille, une équipe redoutable qui, selon le coach, "prend tout ce qu’on lui donne". La leçon de cette soirée semble claire : il faudra faire preuve d’une concentration sans faille pour espérer rivaliser.

Le club fait à nouveau le plein d’abonnés pour la saison 2025-2026 de Ligue 1

La campagne d’abonnements à destination du grand public est achevée au Stade Rennais. Alors que 94 % des abonnés de la saison passée ont repris leur sésame, le club a délivré selon une liste d’attente le quota restant, qui a été rehaussé de mille places supplémentaires.
Le club fait à nouveau le plein d’abonnés pour la saison 2025-2026 de Ligue 1

Malgré deux saisons sportives très maussades, les supporters du Stade Rennais ne semblent pas prêts à vouloir déserter le Roazhon Park.

Alors que la campagne d’abonnements pour le grand public est achevée, le club va afficher complet sur son quota d’abonnés (16 000 la saison passée), qui a été rehaussé cette saison de 1000 places supplémentaires.

Un taux de remplissage du stade à 94 % la saison passée

Tous les sésames sont partis, comme l’indique un mail envoyé par le club aux membres de la liste d’attente : 94 % des abonnés ont repris leur carte, et les 6 % restant ont été réattribués aux premiers noms sur la liste d’attente. Les 1000 abonnements supplémentaires disponibles ont été attribués selon cette même liste d’attente. Ceux qui n’ont pas pu être exaucés bénéficieront de priorités ou d’avantages, sur certains matches ou événements au cours de la saison. Cela a été le cas par exemple en vue du match face à l’OM vendredi 15 août, pour l’ouverture du championnat de Ligue 1.

La saison passée, le Roazhon Park affichait un taux de remplissage de 94 %, selon la LFP, avec 27 374 spectateurs de moyenne. Face à l’OM, l’enceinte Rouge et Noir devrait afficher complet. La billetterie pour le grand public a ouvert mercredi 6 août.

Des nouvelles rassurantes de Lilian Brassier

Blessé lors d’un match amical, Lilian Brassier souffre d’une entorse de la cheville. Son retour sur les terrains est espéré d’ici deux semaines maximum.

Des nouvelles rassurantes de Lilian Brassier

Sa sortie sur blessure, ce samedi lors du match amical contre la Real Sociedad (1-1), avait fait craindre le pire au Stade Rennais. Touché à une cheville sur un tacle appuyé d’un adversaire, Lilian Brassier a d’abord hurlé de douleurs avant de se relever puis de jeter l’éponge peu de temps après. "Ça ne sent pas bon", avait lâché Habib Beye à l’issue de la rencontre.

Le défenseur de 25 ans a passé des examens ce lundi, en fin de journée, qui se sont finalement révélés rassurants. Selon nos informations, l’ancien Marseillais, qui peut déjà poser le pied par terre, souffre d’une entorse de "grade 1" qui le privera de ballon pendant quelques jours.

L’indisponibilité du gaucher devrait se situer entre 8 et 15 jours, en fonction de sa convalescence. Il échappe ainsi à une absence longue durée mais reste incertain pour la 1re journée de Ligue 1 qui verra Rennes défier l’OM, son ancien club, le vendredi 15 août au Roazhon Park.

Jérémy Jacquet, a la cote chez les grands d'Europe

Devenu un titulaire incontournable dès qu'il a été aligné sur la seconde partie de saison dernière, l'athlétique défenseur central rennais Jérémy Jacquet est observé de près en Angleterre et en Allemagne.
Jérémy Jacquet, a la cote chez les grands d'Europe

C'est l'histoire de l'éclosion du dernier grand talent rennais de la génération 2005. Celle d'un jeune homme dont l'arrivée au plus haut niveau avait été retardée par un corps longtemps fragilisé par sa croissance, victime ici de la maladie d'Osgood-Schlatter (inflammation du cartilage de croissance au niveau du genou) ou là d'une blessure à un ménisque. Encore ado, Jérémy Jacquet avait pu observer son ami Jeanuël Belocian, Désiré Doué et Mathys Tel toucher au groupe pro et vivre leurs premières minutes en Ligue 1 avant lui.

Mais comme le dit une chanson qui a eu son heure de gloire onze ans avant sa naissance, et qui lui correspond bien, « chacun sa route » : pas jaloux pour un sou, le garçon a donc suivi la sienne, en s'inspirant notamment de Nayef Aguerd, dont il admirait la régularité à Rennes (2020-2022) et dont il avait hérité du maillot un jour où il avait été ramasseur de balles au Roazhon Park. Comme ses camarades de promo, Jacquet a lui aussi fini par éclore, et il a grandi très vite depuis.

En décembre, il jouait encore en L2, du côté de Clermont où il était allé prendre du temps de jeu en prêt. Il s'est adapté au haut niveau à une vitesse éclair, au point de pousser plusieurs témoins à utiliser la même expression (sans se concerter) : « Il a mangé la Ligue 2 ». Ça n'avait déjà pas échappé à une poignée de recruteurs européens. Un club étranger aurait même pris des renseignements à cette période, prêt à miser jusqu'à 25 M€. Rennes avait fermé la porte, et Habib Beye a voulu s'appuyer sur lui dès qu'il a été nommé à la tête de l'équipe, fin janvier, après que Rennes a fait le choix de verser près d'1 M€ à Clermont pour casser son prêt.

Nouveau sponsor sur le maillot du Stade Rennais

Les Rouge et Noir vont pouvoir compter sur un nouveau partenaire pour les porter vers la reconquête de l'Europe pour la saison 2025-2026. L'annonce a été faite mercredi 30 juillet.

Nouveau sponsor sur le maillot du Stade Rennais

Début mai 2025, le nouveau maillot du Stade Rennais avait été dévoilé. Il résulte d’une collaboration avec Puma.

Alors que les nouveaux maillots du Stade Rennais pour la saison 2025-2026 ont été dévoilés, pour le domicile début mai et pour l’extérieur fin juillet, ces derniers vont finalement évoluer encore avant la reprise du championnat et être siglés d’un nouveau logo.

Un nouveau partenaire officiel
Le club a annoncé, mercredi 30 juillet, un nouveau partenaire officiel à travers une courte vidéo sur ses réseaux sociaux mettant en valeur Le Mabilay, l’un des bâtiments historiques de Rennes.

En effet, c’est dans ce dernier que le nouveau sponsor du Stade Rennais est installé. Il s’agit d’Hellowork, un groupe spécialisé dans l’emploi, le recrutement et la formation, filiale du Groupe Télégramme.

Le Stade Rennais F.C. est heureux d’annoncer la signature d’un partenariat majeur avec Hellowork, première plateforme privée de recrutement française.

Ainsi, le logo de l’entreprise figurera sur le maillot de l’équipe professionnelle au cours de la prochaine saison. Il sera positionné au-dessus de l’écusson du Stade Rennais à gauche entre le pectoral et l’épaule.

Nouveau sponsor sur le maillot du Stade Rennais

"L’arrivée de Hellowork sur notre maillot est une étape importante dans le développement de nos partenariats stratégiques. Nous partageons une ambition commune : faire grandir le club tout en contribuant à la dynamique économique et sociale de notre territoire. Nous sommes fiers de les compter parmi nos partenaires officiels", salue Arnaud Pouille, président du Stade Rennais F.C.

Le montant financier de cet accord n’a pas été divulgué.

Habib Beye réagit à la polémique sur Rongier et Merlin

Mercredi, l’entraînement du Stade Rennais, exceptionnellement ouvert au public à la Piverdière, a attiré de nombreux enfants et familles. Les visiteurs, massés autour du terrain, affichent un optimisme prudent concernant la possibilité de retrouver la scène européenne après deux saisons jugées décevantes.

Habib Beye réagit à la polémique sur Rongier et Merlin

La séance d’entraînement s’est déroulée sous une intensité inhabituelle, à quelques jours d’un déplacement crucial en Espagne pour affronter la Real Sociedad lors d’une double confrontation. L’attente est palpable chez les supporters, qui espèrent voir le club redresser la barre à l’échelle continentale.

Parmi les sujets qui animent les discussions, l’arrivée de nouvelles recrues, notamment Valentin Rongier et Quentin Merlin, est au centre de l’attention. Ces deux joueurs, en provenance de Nantes, suscitent des réactions contrastées en raison de la rivalité historique entre les deux clubs.

Interrogé sur la question, Habib Beye a tenu à rassurer sur l’intégration des nouveaux venus : "Moi ça ne me pose pas de problème, on est très contents d’avoir Valentin et Quentin, peu importe d’où ils viennent je suis très content qu’ils soient là." Il a insisté sur l’idée que le passé ne doit pas primer sur le présent.

L’entraîneur a ajouté que de telles situations faisaient partie intégrante du football, où les transferts entre clubs rivaux sont monnaie courante. Selon lui, "C’est l’histoire du football, on voit des joueurs être dans des clubs et en rejoindre d’autres, parfois avec de grosses rivalités."

Pour Habib Beye, l’essentiel est l’engagement des joueurs sous leurs nouvelles couleurs : "Le plus important c’est qu’aujourd’hui ils ont le maillot Rouge et Noir et qu’ils sont 100% Rouge et Noir. je suis très content de les avoir et tout ce qu’il s’est passé il y a quelques années, c’est aussi le foot, c’est le chambrage, la rivalité, et c’est bien que ce soit comme ça."

Canal+ et beIN Sports veulent saboter la chaîne Ligue 1+

Canal et beIN Sports sont en train de mettre des bâtons dans les roues de la chaîne Ligue 1+, qui diffusera 8 des 9 rencontres de Ligue 1 dès le début de cette nouvelle saison.

Canal+ et beIN Sports veulent saboter la chaîne Ligue 1+

Tic-tac, tic-tac… Le début de la nouvelle saison de Ligue 1 approche, avec ce choc entre le Stade Rennais et l’Olympique de Marseille qui va inaugurer l’exercice 25/26 le 15 août prochain. Il faut dire qu’en coulisses, l’été a été chargé et animé, et que les travaux de la Ligue pour pouvoir diffuser les rencontres du championnat sont encore loin d’être terminés.

La LFP va ainsi lancer sa chaîne Ligue 1+, qui diffusera 8 des 9 rencontres du championnat de France, l’affiche restante étant propriété de beIN Sports. Le tout, pour 14,99 euros par mois avec engagement d’un an ou 19,99 euros mensuels sans engagement. Seulement, pour pouvoir distribuer et promouvoir son produit, la LFP comptait sur certains de ses diffuseurs historiques que sont Canal+ et beIN Sports. Mais ces derniers lui ont tourné le dos. Pire, ils semblent vouloir boycotter et ruiner le lancement de Ligue 1+.

beIN et Canal alliés contre la Ligue
C’est effectivement ce qu’indique le quotidien L’Equipe, précisant par exemple que beIN et Canal ont refusé de vendre des espaces publicitaires à la LFP pour promouvoir Ligue 1+. De quoi confirmer que les diffuseurs n’ont aucune intention de collaborer avec la ligue. Canal a aussi refusé de distribuer la plateforme qui diffusera les rencontres, ce que la ligue a d’ailleurs du mal à comprendre. Dans le même temps, Canal a aussi bloqué les départs de beaucoup de ses principaux visages que Ligue 1+ voulait recruter pour des rôles de journaliste et consultant.

Et de son côté, le groupe franco-qatarien veut aussi mettre des bâtons dans les roues de Ligue 1+. BeIN souhaite ainsi que la LFP supprime la restriction concernant le premier et deuxième choix une semaine sur deux, et souhaite avoir le premier choix chaque semaine, afin de pouvoir choisir les meilleures affiches (concernant principalement le PSG et l’OM). Et donc, porter préjudice à Ligue 1+ qui n’aurait jamais la meilleure affiche du week-end. Le fait de proposer beIN gratuitement à une partie des abonnés Canal+ pour un an va aussi dans ce sens, et les deux géants de l’audiovisuel travaillent main dans la main pour pourrir le projet Ligue 1+. Et tout ça ne fait que commencer…

Le club breton dévoile son nouveau maillot extérieur

Le Stade Rennais a révélé les premières images de son nouveau maillot away pour la saison 2025-2026.

Le club breton dévoile son nouveau maillot extérieur

Ce samedi, le Stade Rennais a dévoilé officiellement sur ses réseaux sociaux les premières images de son nouveau maillot pour la saison 2025-2026. Traditionnellement blanc et noir, les couleurs de la Bretagne, le maillot extérieur du Stade Rennais suit cette identité. Cette année encore, il est principalement blanc, avec des touches de noir sur les manches, les côtes et autour du col rond.

Le club breton affirme cette identité régionale à travers le contenu de son post : "On ne naît pas breton, on le devient : au Roazhon Park et dans tout l’Hexagone, Breton un jour, Breton toujours.", a-t-il écrit.

Merlin cache sa joie

Transféré au Stade Rennais, Quentin Merlin a offert ses premières déclarations aux médias de son nouveau club. Mais ses propos et son manque d’enthousiasme n’ont pas convaincu les supporters des Rouge et Noir.

Merlin cache sa joie

Tous les deux arrivés en provenance de l’Olympique de Marseille, Valentin Rongier et Quentin Merlin sont attendus au tournant à Rennes. Personne n’a oublié que les deux recrues avaient été formées chez le rival nantais. Il fallait donc se montrer convaincants dès leurs premières déclarations. Pendant que le milieu de terrain a tenté d’expliquer ses chambrages, le latéral gauche a vanté le club breton afin d’expliquer son choix de carrière.

Le discours de Merlin ne passe pas
"Je viens au Stade Rennais pour confirmer mes premières saisons, pour continuer à jouer au football, à prendre les responsabilités que l'on m'offre ici et qui sont bonnes pour la suite de ma carrière. C'est très important pour moi, a répondu Quentin Merlin aux médias du SRFC. Bien sûr que ça peut surprendre beaucoup de personnes mais c'était un choix pour lequel j'ai beaucoup réfléchi, et c'était à la fois un choix évident. Le Stade Rennais est un club ambitieux, qui a envie de retrouver l'Europe le plus longtemps possible."

"J'ai pu avoir des discussions avec le coach (Habib Beye), le directeur sportif (Loïc Désiré) et le président (Arnaud Pouille) qui m'offrent des responsabilités importantes et bonnes pour la suite de ma carrière, a poursuivi le natif de Nantes. Après je connais l'histoire du club, c'est un grand club français qui a beaucoup d'ambition et qui veut retrouver l'Europe le plus rapidement possible. C'est un challenge important qui m'anime beaucoup." Malgré ce beau discours, Quentin Merlin n’a pas convaincu les supporters rennais sur les réseaux sociaux. Il ne serait pas étonnant que des sifflets accompagnent ses premiers pas au Roazhon Park la saison prochaine.

beIN fait planer une nouvelle menace sur le football français

Mécontent des conditions de diffusion des journées de L1 la saison prochaine, beIN pourrait ne pas honorer plusieurs versements vitaux pour les clubs français.

beIN fait planer une nouvelle menace sur le football français

L’arrivée de Ligue1+ dans le paysage audiovisuel du football français semblait avoir initié une sortie de crise pour les clubs hexagonaux. Une crise qui a débuté en 2020 avec le retrait de Mediapro. Depuis, de mauvaises décisions en déceptions, les droits TV ont fondu comme neige au soleil pour atteindre aujourd’hui… 78,5 M€ annuels, soit le montant que paye beIN pour retransmettre un seul match par journée. Sauf que L’Equipe révèle que le diffuseur qatari n’est pas satisfait des règlements pour la diffusion et qu’il menace de ne pas payer ce qu’il doit !

beIN refuse déjà d’honorer deux traites
Deux points posent problème : ne pas diffuser plus de huit fois la même équipe dans la saison et jamais deux fois d’affilée. Ce qui empêcherait beIN de mettre trop régulièrement à l’honneur le PSG, qui a le même propriétaire (le Qatar), ou l’OM, soit les deux poids lourds du football français en matière d’audience. BeIN que ce règlement, qui était valable à l’époque où il y avait plusieurs diffuseurs différents ne devrait plus s’appliquer, étant donné que Ligue1+ appartient à la LFP. Mais les dirigeants de la Ligue refusent de revenir dessus.

Et selon le directeur général de LFP Média, Nicolas De Tavernost, le risque est réel que beIN n’honore pas ses traites. Déjà, la chaîne n’a pas versé 18,052 M€ de droits à l’étranger pour la L1, attendus le 15 juillet. Elle n’a pas non plus réglé les 20 M€ de sponsoring négociés il y a un an, étant donné que plusieurs clubs français ont refusé de faire la promotion du Qatar dans leur stade. Et il y a donc une crainte que la première traite des 78,5 M€ pour la L1, prévue le 5 août, passe également à la trappe. Ce serait un nouveau coup très dur pour la LFP et les clubs français. Et le début d’une énième guerre judiciaire avec un diffuseur.

Quentin Merlin enchanté de rejoindre Rennes pour 4 ans

Dans le sillage de l’arrivée de Valentin Rongier, le Stade Rennais a officialisé mardi l’arrivée de son nouvel arrière gauche, Quentin Merlin, pour quatre saisons, en lieu et place d’Adrien Truffert, transféré à Bournemouth.

Quentin Merlin enchanté de rejoindre Rennes pour 4 ans

Au sortir d’une saison mitigée mais enrichissante sur tous les plans à Marseille, l’arrière gauche international espoir vient poursuivre sa montée en gamme, après avoir été, comme Valentin Rongier, formé à Nantes. Avec déjà 105 apparitions, 4 buts et 10 passes décisives dans le championnat hexagonal à 23 ans, c’est un jeune déjà expérimenté qui rejoint l’Ille-et-Vilaine.

Jeune et déjà très expérimenté
Vainqueur de la Coupe de France en 2022 avec Nantes, ce latéral gauche moderne, pouvant jouer à quatre ou dans un système à 3 en piston, peut également se prévaloir d’une solide expérience européenne, acquise d’abord sous les couleurs nantaises sur une campagne puis avec l’OM, avec laquelle il atteindra les demi-finales de l’Europa League en 2024.

Sur le site officiel du club, Arnaud Pouille, président du Stade Rennais, se félicite de ce recrutement, estimé à 13 M€ avec un contrat de quatre ans à la clé : « Nous recherchions un latéral gauche talentueux et fiable. Avec Quentin, nous validons l’arrivée d’un excellent espoir français pour renforcer notre assise défensive. En plus de qualités sportives indéniables, il est un très bon coéquipier de vestiaire, tourné vers les autres. C’est un atout de premier plan pour le SRFC. »

Gagner l’amour du public grâce au terrain
Dans le même ordre d’idée, lors de son interview de présentation sur le site officiel du club, le joueur explique sans détour son ambition en rejoignant le Stade Rennais : « Les infrastructures ici sont très bonnes, il y a tout pour bien travailler. Arriver avec Valentin est un atout, on a passé un an et demi ensemble à Marseille, on a créé des liens.

Cela facilite l’adaptation. je connaissais déjà beaucoup de monde ici. Djaoui Cissé, Anthony Rouault, Lilian Brassier et Ludovic Blas, bien sûr avec qui j’étais à Nantes. C’est déjà pas mal donc ça devrait aller.

Et pourquoi, donc, ce choix de Rennes, au moment où beaucoup de joueurs de cet âge choisissent l’étranger ? « Nantes m’a permis de débuter, Marseille de grandir. Ici, je suis là pour confirmer mes premières saisons et valider la confiance que l’on m’offre ici.

Pour moi, c’est un choix réfléchi et évident. Le Stade Rennais est ambitieux, veut retrouver l’Europe, comme me l’ont confirmé le coach, le directeur sportif et le président. C’est un grand club français et c’est un challenge important à relever pour moi.»

Capitaine des Bleuets pendant l’Euro Espoir, celui-ci arrive, comme Valentin Rongier, en posture de leader : « J’ai pris des responsabilités à l’Euro espoir où j’étais capitaine. On m’attend ici comme leader technique. Je suis jeune, je parle beaucoup et vit le foot à fond. J’essaie d’encourager tout le monde, d’aider dès que je le peux et d’entraîner les autres avec moi. C’est important. A Marseille, tout se passe plus vite, tu apprends plus vite.

J’ai surtout beaucoup appris sur moi-même, comment réagir, travailler… Des choses qu’à Nantes, je ne faisais pas. J’ai progressé dans mon mode de vie, de travail, sur beaucoup de détails.»

Pas le premier, ni le dernier, à faire ce chemin-là…
Joueur de tempérament, dynamique et tonique, Quentin Merlin sait ce qu’il veut et doit apporter au Stade Rennais : « J’ai la fougue et je veux aussi apporter mon expérience marseillaise, mon énergie. j’aime être minutieux sur tout ce que je fais, me donner à 100 %. Si je suis un jeune espoir ? je suis encore jeune oui, j’ai encore beaucoup à apprendre et j’espère que ça va être le cas ici à Rennes.

J’ai discuté avec le coach sur les dispositifs possibles, on a beaucoup discuté et ce qu’il veut faire est très intéressant. Cela m’a évidemment renforcé dans ma volonté de venir ici. J’aime jouer à cinq, répéter les efforts, prendre des risques offensifs. A quatre, ça me va aussi, j’aime apporter de l’allant.»

Comme Valentin Rongier, enfin, le joueur devra aussi faire accepter au public rennais son statut de joueur formé à Nantes, même si son passage du côté de la Beaujoire ne s’est en revanche pas crédité de petites piques lancées au voisin rennais.

Un atout, indéniablement et un regard lucide du joueur : « Mon passé nantais ? Il y a la rivalité, c’est comme ça. Je ne suis pas le premier ni le dernier à avoir fait ce chemin là. Olivier Monterrubio l’a fait et a très bien réussi dans les deux clubs. A moi de faire tout ce qu’il faut, de gérer cette pression. J’ai hâte de commencer et de montrer mes qualités ».

Ce sera l’un de mes défis d’être apprécié par les supporters. Cela passera par ce que je montrerai sur le terrain, par mes qualités, sportives comme humaines. Ici, je veux prendre beaucoup de plaisir, continuer ma progression et collectivement, de retrouver l’Europe le plus rapidement possible. Aujourd’hui, je ne suis pas tout à fait prêt, je sors de l’Euro Espoirs mais on va bien travailler pour revenir et être prêt pour la reprise face à l’OM.»

Un match et une affiche idéale pour lancer idéalement sa nouvelle vie en Rouge et Noir, que l’on souhaite forcément à Merlin enchantée.

Le leadership vient avec la confiance

En janvier, Rennes s'était lâché pour attirer l'international ivoirien Seko Fofana. Après une deuxième partie de saison terne, le milieu de 30 ans doit prendre une nouvelle dimension pour revivifier le club breton.
Le leadership vient avec la confiance

C'était après la débâcle à Lyon, le 26 avril (1-4, 31e journée de L1), quand Rennes était planté dans le no man's land de la L1 (11e). "J'ai hâte de reprendre tout ça à zéro cet été, avait soufflé Seko Fofana en zone mixte. De commencer une vraie préparation, revenir fort et faire taire les critiques. J'ai vécu quelques situations un peu compliquées avec des petites blessures. La saison prochaine sera un nouveau défi, avec plein d'enjeux."

Le désamour des Français pour les abonnements menace l’avenir du football professionnel

C’est une claque que la Ligue de Football Professionnel ne peut plus ignorer. Alors que la saison 2025-2026 se profile, une étude OpinionWay révèle une réalité alarmante : près de deux tiers des Français (64 %) refusent de payer un abonnement pour regarder la Ligue 1. Dans un pays historiquement passionné de ballon rond, ce rejet massif résonne comme un symptôme inquiétant d’un divorce silencieux entre le public et son championnat.
Le désamour des Français pour les abonnements menace l’avenir du football professionnel

Après l’échec commercial de DAZN — contrat rompu dès la fin de la première saison — la LFP avait tenté de reprendre la main en lançant Ligue1+, une plateforme à 14,99 € par mois, bien en deçà des 39,99 € exigés initialement par DAZN. Mais rien n’y fait : le refus de payer s’enracine, et avec lui, la menace d’un effondrement du modèle économique du football professionnel français.

Une fracture populaire et générationnelle
Le détail de l’enquête est sans appel. Même parmi les amateurs de football, 44 % refusent de souscrire un abonnement. Et la tendance s’aggrave chez les jeunes : moins de 4 % des 18-24 ans accepteraient de payer plus de 10 € par mois pour suivre les matchs. Pour une industrie qui misait sur le numérique pour renouveler son audience, le désaveu est cruel.

Ce rejet ne semble pas lié uniquement au prix : il traduit aussi une lassitude face à des offres complexes, des matchs éclatés sur plusieurs plateformes, et une qualité sportive jugée déclinante. La Ligue 1, jadis produit de fierté nationale, peine aujourd’hui à convaincre même les siens.

Une exception : le club de cœur
Un chiffre, toutefois, retient l’attention : 67 % des supporters ayant un club de cœur se disent prêts à payer, contre seulement 35 % dans la population générale. Ce lien affectif pourrait être la dernière planche de salut pour un football en crise. Il suggère que la centralisation des droits dans une offre unique ne fonctionne plus, et que l’avenir pourrait passer par une vente directe des droits club par club, voire par du pay-per-view ponctuel.

Mais cette piste, si séduisante soit-elle, pose des questions lourdes : cela renforcerait les inégalités entre clubs, affaiblirait le principe de solidarité, et fracturerait davantage encore un championnat déjà à la peine sur la scène européenne.

Le football français à la croisée des chemins
La situation actuelle n’est pas tenable. Les clubs, largement dépendants des revenus audiovisuels, voient leur horizon se boucher. L’attractivité du championnat, déjà en retrait, risque de décliner encore. Moins d’argent, moins de visibilité, moins de stars : la Ligue 1 glisse lentement mais sûrement vers une marginalisation dangereuse.

Face à cette crise de confiance, le football français doit repenser en profondeur son rapport au public. L’enjeu n’est plus seulement financier : il est culturel. Il s’agit de savoir si, demain, le football professionnel français existera encore dans l’imaginaire collectif — ou s’il deviendra un produit de niche, coupé de sa base populaire.

S.G.S.B.

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