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Sélections

01 Juillet 2025

Djaoui Cissé, Djylian N’Guessan, Hamidou Makalou, Louis Leroux ou encore Noah Sangui ont tous connu un été studieux. Tour d’horizon des jeunes talents qui ont marqué des points en vue de la...

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01 Juillet 2025

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01 Juillet 2025

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01 Juillet 2025

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30 Juin 2025

D’abord disposé à commercialiser la plateforme dédiée à la Ligue 1 - imaginée par la Ligue de football professionnel - Canal + a finalement décidé de se retirer des négociations. Un retrait qui ne...

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28 Juin 2025

Le Stade Rennais s’apprête à vivre un été agité sous la houlette de son nouveau directeur sportif, déterminé à réduire l’effectif professionnel qui compte actuellement quarante joueurs. La direction...

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28 Juin 2025

Après des semaines de négociations avec LFP Media, le président de Canal+ estime que les conditions ne sont pas réunies pour aboutir à un partenariat de poids entre son groupe et le football...

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27 Juin 2025

Après la rupture de son contrat avec DAZN, la Ligue de Football Professionnel va créer sa propre chaîne pour diffuser la Ligue 1. Mais sans accord avec beIN Sports, qui conserve un match par...

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27 Juin 2025

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26 Juin 2025

Brillamment représenté sur la scène européenne par Désiré Doué et Mathys Tel, notamment, Rennes s'est vu décerner le titre de meilleur centre de formation de France. Le club breton, récompensé par...

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26 Juin 2025

Alors qu'il sera révélé ce vendredi, découvrez comment le calendrier de Ligue 1 McDonald’s est élaboré pour la saison 2025/2026. Qui élabore le calendrier ? La LFP, à l’aide d’un logiciel...

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25 Juin 2025

Été 2000, le Stade Rennais fort des millions de son propriétaire François Pinault sort le chéquier pour construire une équipe qui doit régner sur la France. 12 recrues dont les prometteurs Severino...

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25 Juin 2025

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25 Juin 2025

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25 Juin 2025

Le Stade Rennais doit se relever. Après une saison moribonde en Ligue 1, les Bretons vont profiter de l’été et du mercato pour relancer un cycle. Le nouveau directeur sportif du club, Loïc Désiré a...

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25 Juin 2025

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24 Juin 2025

Loïc Désiré, nouveau directeur sportif du Stade Rennais, a pris la parole pour la première fois ce mardi 24 juin devant les médias à la Piverdière. Il a notamment évoqué son parcours et sa...

Habib Beye glisse un gros tacle à Nantes

Arrivé sur le banc du Stade Rennais pour prendre la succession de Jorge Sampaoli cet hiver, Habib Beye a déjà posé sa griffe sur le club breton. Alors que Rennes luttait encore pour son maintien au mois de janvier, l’ancien coach du Red Star a redressé la situation pour caler le club dans le ventre mou.

Habib Beye glisse un gros tacle à Nantes

Au-delà des résultats, Rennes s’appuie sur un effectif complètement remodelé et un projet de jeu séduisant. Autant d’éléments qui plaident en faveur d’Habib Beye.

Valeur montante sur le marché des entraîneurs, Habib Beye avait aussi vu son nom associé à l’un des clubs rivaux du Stade Rennais, cet hiver : le FC Nantes. Mais le Sénégalais a tenu mettre les choses au clair concernant sa situation : il n’a jamais envisagé de rejoindre les Canaris. "Ma version, c’est que ce qui a été dit n’est pas la vérité, a lancé l’entraîneur du Stade Rennais en conférence de presse. Et que celui qui a refusé d’aller à Nantes, c’est moi, pas le club de Nantes, comme ça c’est clair. Je suis là où je dois être, j’ai fait le bon choix".

Habib Beye flou sur son avenir
Reste à savoir si Habib Beye s’inscrira à Rennes dans la durée. Alors que son bail actuel expire en fin de saison, le technicien sénégalais dispose d’une option pour une année supplémentaire. Pour le moment, il refuse de tirer des plans sur la comète.

"Aujourd’hui, je ne considère pas être dans une logique de discussion avec le club par rapport à mon avenir, on verra le 18 mai, c’est comme ça qu’on en a convenu avec M. Pinault, avec le président, le directeur sportif, mon entourage et moi-même. On veut se concentrer sur ce qu’on a à faire, ce qu’on a à faire, c’est amener le Stade Rennais à faire une saison avec moi qui montre qu’on a de l’ambition, que l’équipe a progressé et qu’elle sera bien plus prête la saison prochaine. (…) Ensuite, on aura le temps de se poser les bonnes questions".

Canal+, beIN Sports, Netflix… quelles pistes après la rupture avec DAZN ?

Alors que le collège des présidents de Ligue 1 et le conseil d’administration de la LFP ont décidé de mettre fin à leur contrat avec DAZN, l’avenir des droits TV du championnat de France reste incertain. Canal+, beIN Sports, Netflix ou même une chaîne 100 % Ligue 1 gérée par la LFP : quelles solutions s’offrent aux dirigeants ? Explications.
Canal+, beIN Sports, Netflix… quelles pistes après la rupture avec DAZN ?

C’est la chronique d’un divorce annoncé. Alors que la médiation engagée avec DAZN touche à sa fin, la Ligue de football professionnel (LFP) a enclenché une rupture anticipée du contrat liant les deux parties. Ce mardi, le collège des présidents de Ligue 1 puis le conseil d’administration de la LFP ont acté leur volonté de mettre un terme à l’accord, ouvrant la voie à une fin précipitée après seulement quelques mois de collaboration. Détentrice de huit des neuf affiches de Ligue 1 chaque week-end pour 400 millions d’euros par an jusqu’en 2029, la plateforme DAZN n’a versé qu’une partie de l’échéance de janvier, dénonçant le manque de coopération de certains clubs et des conditions d’exploitation plombées par le piratage. À l’heure où le produit Ligue 1 souffre d’une dévalorisation croissante, la LFP doit désormais trouver rapidement des alternatives viables.

Face à l’échec du partenariat avec DAZN, plusieurs scénarios sont à présent à l’étude pour assurer la diffusion du championnat dès la saison prochaine. Selon Le Parisien, si le conseil d’administration a exprimé sa volonté de rompre le contrat, « rien n’est toutefois effectif pour l’instant puisqu’un accord doit être trouvé ». L’expert en droits tv sportifs Pierre Maes, interrogé par le quotidien, rappelle que « pour le moment, cette décision n’engage qu’eux. Ça ou rien, c’est la même chose ». Deux options sont envisagées : revendre les droits à un autre acteur, ou lancer une chaîne 100 % Ligue 1, un projet soutenu par Vincent Labrune et Joseph Oughourlian. Mais les risques sont nombreux : « mettre des choses à l’écran, ce n’est pas difficile, mais recruter et conserver des abonnés, c’est extrêmement difficile », avertit Pierre Maes. Sans oublier les dépenses lourdes en production et marketing, qui nécessiteraient de nombreuses années avant de devenir rentables.

Prime Video, Apple TV ou Netflix dans la course ?
Comme le précise L’Équipe, Amazon Prime Video, ancien diffuseur de la L1, ne souhaite pas revenir en force sur ce marché après trois saisons non rentabilisées. Netflix n’a eu « aucun échange avec la LFP » et débute à peine dans le sport en direct aux États-Unis. Quant à Apple TV, elle reste très discrète sur le sujet. Dès lors, l’alternative d’une chaîne dédiée à la Ligue 1 revient avec plus de poids. Toujours selon le quotidien sportif, le projet prévoirait de centraliser les dix matchs sur une seule plateforme, avec un coût de lancement estimé à 55 millions d’euros pour la première saison. Le scénario optimiste présenté à l’été 2023 tablait sur 1,8 million d’abonnés dès la première saison, pour générer 553 millions d’euros de recettes.

Ce projet de chaîne pourrait s’articuler autour d’un partenariat avec la plateforme Max, propriété de Warner Bros Discovery. L’Équipe révèle que l’idée serait de proposer un abonnement à 27,99 € par mois, incluant les matchs de Ligue 1, des films, des séries et les contenus Eurosport. Warner ne porterait pas le risque financier, se contentant de récupérer environ 5 € par abonné, tandis que la commercialisation serait assurée par LFP Media. Une autre piste consisterait à s’appuyer sur Canal+ comme distributeur et agrégateur. La chaîne cryptée, forte de sa puissance marketing, pourrait proposer la Ligue 1 sans payer de droits, mais en générant des abonnements profitables pour tous. Un compromis qui, selon L’Équipe, permettrait à la LFP de stabiliser ses revenus tout en contrôlant sa propre vitrine.

L’option Canal+ et beIN Sports
Canal+, diffuseur historique de la Ligue 1, apparaît comme un recours naturel, mais son président Maxime Saada a plusieurs fois rappelé que les conditions actuelles ne s’y prêtent pas, notamment pour des raisons économiques (la chaîne débourse déjà près de 480 M€ par saison pour les Coupes d’Europe, 90 M€ pour la F1 et plus de 250 M€ pour la distribution exclusive de beIN Sports, NDLR). Diffuseur d’une affiche de Ligue 1 chaque week-end, beIN Sports ne semble pas, à ce stade, disposé à élargir son engagement. Contacté par RMC, le groupe a toutefois précisé : « beIN a un contrat avec la LFP, comprend ses obligations et les honorera en tant que diffuseur responsable et en soutien du football français, comme il le fait depuis plus d’une décennie. » Une histoire qui n’a donc pas fini de faire couler de l’encre.

Régis Le Bris nommé pour le titre d’entraîneur de l’année en D2 anglaise

Pour sa première année à Sunderland, en D2 anglais, l’ancien entraîneur du FC Lorient Régis Le Bris a été nommé parmi les candidats au poste d’entraîneur de l’année.

Régis Le Bris nommé pour le titre d’entraîneur de l’année en D2 anglaise

Déjà nommé entraîneur du mois en Championship, la seconde division anglaise, Régis Le Bris est désormais en lice pour plus grand. Le technicien breton, à la tête de Sunderland depuis l’été dernier, fait partie des candidats au poste d’entraîneur de l’année dans son championnat.

Après avoir pris la tête d’une formation qui avait manqué sa saison 2023-2024 (16e), le Breton de 49 ans a relancé cette équipe mythique du championnat anglais. À quatre journées de la fin du championnat, elle pointe à la 4e place et participera aux barrages d’accession pour une montée en Premier League.
Régis Le Bris est nommé aux côtés de Daniel Farke (Leeds), Scott Parker (Burnley) et Chris Wilder (Sheffield United).

L’échec de la médiation entre DAZN et la Ligue maintient la L1 dans l’incertitude

Les pontes de la LFP ont acté la séparation avec DAZN à la fin de la saison, mais le diffuseur principal de la Ligue 1 a refusé les conditions proposées. Retour à la case départ.

L’échec de la médiation entre DAZN et la Ligue maintient la L1 dans l’incertitude
La LFP souhaite rompre son contrat avec DAZN, mais ce dernier a refusé la proposition financière de celle-ci, et la situation reste au point mort.

La Ligue a du mal à comprendre le refus de la plateforme britannique et attend désormais qu’elle "exécute pleinement l’ensemble de ses obligations".

Quel que soit le scénario, la LFP devra faire face à des défis majeurs, notamment le piratage, comme le souligne Pierre Maes, spécialiste des droits TV : "Aujourd’hui, DAZN se plaint du piratage, mais si le projet de chaîne de la Ligue devait aboutir, il devra aussi combattre le piratage. Ce sera son ennemi numéro un."

Mardi soir, Vincent Labrune pensait sûrement assister à la quasi-remontada d’Aston Villa face au PSG le cœur allégé par le divorce acté avec DAZN à la fin de la saison. Sa journée de télétravail avait certes été un peu contestée en interne, mais elle l’avait mené où il le souhaitait, à savoir vers un vote du conseil d’administration en faveur d’un divorce avec le diffuseur principal dès la fin de saison, suivi d’une proposition à la plateforme britannique en vertu de la fin de la médiation du tribunal de commerce de Paris. Proposition consistant en un paiement de 140 millions d’euros pour la fin de saison et une indemnité comprise entre 110 et 125 millions d’euros pour la suivante, demandés au diffuseur.

Manque de bol, les tourments coriaces du patron de la LFP avaient aussi pris leurs billets pour un siège à Villa Park au côté de Nasser Al-Khelaïfi et DAZN a donc décidé de refuser les conditions financières de la Ligue. "La médiation n’a malheureusement pas permis de suffisamment rapprocher les points de vue. Il a donc été impossible de trouver - à ce stade - un accord pour une résolution amiable de la situation", a déclaré de son côté DAZN.

La LFP agacée par le "non" de DAZN
Tout est dans le "à ce stade". Et "à ce stade", il semble que la Ligue soit moyennement satisfaite de la tournure des événements. "C’est quand même le monde à l’envers, peste une source proche de la LFP. Ce sont eux qui ne paient pas. Ce sont eux qui demandent la médiation qui est lancée à l’initiative du tribunal des activités économiques de Paris. Et ce sont EUX qui refusent la proposition du médiateur."

DAZN avait effectivement ouvert les hostilités en retardant la moitié de son premier versement de 2025 (35 millions d’euros), puis en réclamant en justice 573 millions d’euros "pour manquement observé" et "tromperie sur la marchandise", s’estimant pénalisée par le piratage et des conditions d’exploitation insuffisantes. Autant de raisons qui expliqueraient le fiasco des seulement 550.000 abonnements vendus.

Le feuilleton patine, et, faute de solution immédiate, la Ligue espère au moins percevoir les deux dernières tranches de 70 millions d’euros prévues par le contrat liant les deux parties, la première étant attendue le 30 avril. En VO, ça donne : "Nous attendons désormais que DAZN exécute pleinement l’ensemble de ses obligations." Rien n’est moins sûr.

Les relations ne risquent pas de s’améliorer par magie. La plateforme britannique aimerait renégocier le contrat avec des parts variables importantes, là où la Ligue sauterait volontiers dans le premier canot de sauvetage venu pour se donner un minimum de latitude pour préparer la suite, à savoir produire ENFIN une chaîne LFP, en association avec la plateforme Max pour ce qui relève de la distribution.

Les moins de 45 ans ne payent pas pour le contenu
"Aller avec Max, c’est sans doute mieux que rien, observe Pierre Maes, spécialiste de la question des droits TV. Mais je n’oserais même pas imaginer combien d’abonnés a Max aujourd’hui. Ça ne doit pas être énorme. Pour la LFP, partir de zéro ou partir avec Max, c’est quoi ?" D’autant plus que le plan optimiste révélé par L’Equipe prévoyait 1,8 million d’abonnés à la fin de la première saison et 553 millions d’euros de revenus. Ce qui voudrait dire que la Ligue et Max réussiraient là où DAZN a échoué.

"La difficulté, ce n’est pas de produire, ce n’est pas de faire des programmes. C’est d’aller chercher les abonnés avec les dents et surtout de les conserver. Aujourd’hui, on peut quand même dire, sans vraiment se tromper, que ceux qui payent sont chez Canal. Et on sait que lancer un produit de télévision en péage monoproduit, c’est extrêmement difficile. Je ne dirais pas qu’il n’y a aucune chance, mais ce n’est pas loin. De plus, on sait que les jeunes, c’est-à-dire en dessous de 45 ans, ne payent pas pour le contenu. Le piratage est florissant. Il n’y a pas pire comme condition pour lancer ce type de produit."

Pierre Maes, spécialiste de la question des droits TV
Qu’elle soit "condamnée" à rester un an de plus avec DAZN où qu’elle réussisse à s’en libérer, la Ligue doit embrasser les problématiques dont elle s’est longtemps déchargée, laissant au seul diffuseur le loisir de résoudre l’équation insoluble. "Aujourd’hui, DAZN se plaint du piratage, mais si le projet de chaîne la Ligue devait aboutir, il devra aussi combattre le piratage, conclut le spécialiste en droits TV. Ce sera son ennemi numéro un."

La réalité est la suivante : au point où en est la LFP, il n’y aura pas de solution miracle, et croire en un divorce rédempteur serait une énième preuve de naïveté. Quelle que soit la route empruntée par Vincent Labrune et consorts, elle sera longue.

La LFP et DAZN ne s'entendent pas sur la fin prématurée de leur contrat

Réunis ce mardi en collège par la LFP, les présidents de clubs de Ligue 1 ont opté, comme dans la foulée le conseil d'administration de la Ligue, pour une rupture de contrat avec DAZN à la fin de cette saison. Mais le diffuseur a refusé les conditions financières qui lui étaient demandées.
La LFP et DAZN ne s'entendent pas sur la fin prématurée de leur contrat

L'aventure de DAZN avec la Ligue 1 devrait s'achever dès la fin de cette saison. C'est en tout cas, selon nos informations, ce qui est ressorti des échanges entre présidents de clubs de L1 réunis en collège ce mardi après-midi. Les dirigeants de l'élite espèrent maintenant pouvoir négocier une sortie propre avec son diffuseur principal, qui doit encore régler deux échéances les 30 avril et 30 juin prochains pour un total de 140 M€ et qui l'a assignée devant la justice "pour manquement observé" et "tromperie sur la marchandise" et réclame 573 millions d'euros de préjudices.

Cette volonté de rupture en fin de saison avec DAZN, ressortie du collège, a été validée dans la foulée par le conseil d'administration de la LFP. Il restait à savoir si le diffuseur était prêt à régler les 140 millions d'euros pour ses deux dernières échéances de la saison et une indemnité comprise entre 110 et 125 M€ pour la suivante qui, selon nos informations, lui sont réclamées. DAZN a finalement refusé cette transaction. La médiation s'arrête donc sur un échec et les deux parties doivent trouver une autre issue à leur conflit.

La LFP a réagi mardi soir à cette rupture à travers un communiqué. « LFP MEDIA prend acte de l'échec de la médiation initiée début mars 2025. Le contrat liant les parties demeure en vigueur et LFP MEDIA attend de son partenaire qu'il exécute pleinement l'ensemble de ses obligations à ce titre », explique la Ligue de Football Professionnel.

DAZN refuse

Poussé dehors par la LFP, DAZN n'a pas souhaité donner son accord et conserve donc les droits de la Ligue 1 comme prévu dans son contrat.

DAZN refuse

La LFP a ouvert la porte, sur propositions des clubs de Ligue 1, à une sortie de piste en fin de saison pour DAZN, qui effectue un procès actuellement à la Ligue pour "tromperie" sur l’offre contractée l’été dernier. Aucune solution convenant à tout le monde n’a pu être trouvée pendant la médiation, et la LFP a donc proposé d’en rester là à la fin de la saison, avec un arrêt brutal de la collaboration avec la plateforme britannique. Une proposition refusée par DAZN, qui souhaite garder les droits de la Ligue 1 dont il diffuse 8 matchs sur 9.

La LFP espère que DAZN va payer

Dans un communiqué, la LFP a confirmé que les discussions n’avaient rien donné, et la Ligue espère désormais que la chaine sportive va bien régler ses échéances à venir et ne plus menacer de tout plaquer, ou de dénoncer un contrat dont elle ne veut pas se défaire. « Le contrat liant les parties demeure en vigueur et LFP MEDIA attend de son partenaire qu'il exécute pleinement l'ensemble de ses obligations à ce titre », a fait savoir la Ligue dans un communiqué publié ce mardi soir. Le feuilleton est donc loin d’être terminé, et seule la possibilité de mettre un terme à ce contrat par DAZN à la fin de la saison prochaine est pour le moment de mise à l’heure actuelle.

La LFP et la Ligue 1 votent pour une rupture du contrat avec DAZN

Les présidents de clubs de Ligue 1 ont voté pour une rupture du contrat de diffusion avec DAZN dès la fin de la saison, ce mardi 15 avril. Le conseil d’administration de la LFP a validé ce choix dans la foulée et envoyé une proposition à la plateforme britannique, qui l’a refusée dans la foulée. On s’oriente vers un bras de fer.

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Après moins d’un an de mariage, le divorce est proche entre DAZN et la Ligue 1. Les présidents de clubs de l’élite et le conseil d’administration de la LFP ont voté majoritairement pour une rupture du contrat de diffusion avec la plateforme britannique, ce mardi 15 avril. DAZN devrait ainsi arrêter de diffuser le championnat de France dès la fin de cette saison. Les deux parties sont liées par un contrat portant sur 400 millions d’euros annuels pour la diffusion de 8 matches par journée de Ligue 1 jusqu’en 2029.

Le président de la LFP, Vincent Labrune, a poussé pour cette option auprès des présidents de Ligue 1 et du CA selon RMC Sport. Cette rupture financière de contrat, qui intervient après une longue période de tensions et de négociations, a été envoyée par la LFP à DAZN, via le médiateur désigné dans ce litige. L’instance du foot français demanderait une indemnité comprise entre 110 et 125 millions d’euros, en plus des 140 millions d’euros que doit encore verser la plateforme britannique jusqu’à la fin de la saison. Offre refusée par la plateforme britannique quelques minutes plus tard.

L'absence polémique de Vincent Labrune

Plutôt que d’assister en présentiel au conseil d’administration de la LFP qui va décider du foot français, Vincent Labrune s’est évadé en Angleterre pour supporter le PSG contre Aston Villa.

L'absence polémique de Vincent Labrune

Alors que l’avenir économique du football français se joue sans doute ce mardi à l’occasion du collège des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 suivi du conseil d’administration de la Ligue pour entériner le choix de la LFP dans le litige qui l’oppose à son diffuseur DAZN, Vincent Labrune va, une nouvelle fois, briller par son absence.

Labrune absent de la réunion la plus importante de l’année
Comme le rapporte RMC, le président de la Ligue dirigera son CA à distance depuis … Birmingham. En effet, utilisé régulièrement par le PSG comme porte-bonheur sur les déplacements européens, Vincent Labrune a fait le déplacement jusqu’à Villa Park aux côtés de Nasser Al-Khelaïfi. Une posture qui ne manquera d’ailleurs pas de faire jaser ses détracteurs sur son sens des priorités très « particulier ».

Attaquée en justice par DAZN qui réclame 573 M€ pour « manquement observé » et « tromperie sur la marchandise », la Ligue a jusqu’à ce soir pour répondre aux propositions de conciliation du médiateur. Ces dernières heures, la tendance était à trouver un accord financier avec le « Netflix du sport » pour mettre fin dès cet été au contrat liant les deux entités jusqu’en juin 2029. Un sujet qui sera débattu entre les clubs. Sans accord ce soir sur l’une des positions, on rentrerait alors dans une guerre totale entre DAZN et la LFP. Guerre qui pourrait conduire au gel des deux traites de droits TV prévues fin avril et fin juin pour un total de 140 M€…

Pleine Lucarne du 14/04/2025

Pleine Lucarne du 14/04/2025

Les quatre scénarios de la LFP et de DAZN pour sortir de l'impasse sur les droits TV de la Ligue 1

La LFP et DAZN, diffuseur de la majeure partie de la Ligue 1, ont proposé deux scénarios chacun pour sortir de l'impasse. Mais pour l'instant, les deux parties sont loin d'un accord, même s'il reste deux jours pour faire bouger les lignes.
Les quatre scénarios de la LFP et de DAZN pour sortir de l'impasse sur les droits TV de la Ligue 1

Mardi, le football professionnel français s'enfoncera peut-être encore un peu plus dans la crise. Car le médiateur mandaté par la justice pour tenter de trouver une issue au conflit entre la LFP et DAZN a prévenu qu'il n'irait pas au-delà du 15 avril. Dès lors, soit les deux camps trouvent un accord sur la diffusion et le paiement de la Ligue 1 par la plate-forme, soit le conflit se règle définitivement devant les tribunaux.

Démarrée il y a un mois et demi, la médiation (DAZN réclame un total de 573 millions à la LFP « pour manquement observé » et « tromperie sur la marchandise ») était censée s'achever le 31 mars, avant une première prolongation jusqu'à la fin de la semaine dernière, puis quelques jours de rab pour tenter de sortir de l'ornière. Tout simplement parce qu'à ce stade, la situation est bloquée, les deux camps figés sur des positions trop éloignées les unes des autres.

DAZN envisage la possibilité de récupérer le match diffusé par beIN Sports
Selon nos informations, il existe quatre scénarios imaginés par les deux parties. La LFP en a échafaudé deux. Le premier, qui acterait la fin prématurée du partenariat avec DAZN, qui perd « entre 200 et 250 millions d'euros cette saison », comme l'a annoncé le médiateur, prévoit que le nouvel entrant diffuse et paie jusqu'au terme de l'exercice actuel, puis arrête en réglant à la Ligue un dédommagement pour la suivante. Mais pas au niveau de ce qu'il aurait dû régler (375 millions d'euros) s'il avait poursuivi l'aventure.

Le second plan imaginé par la Ligue avec ses conseils (la société Peak, spécialisée dans les médias, et le cabinet d'avocats Clifford Chance) prévoit la poursuite de l'association entre les deux parties pour deux ans (2025-2026 et 2026-2027) en repoussant d'un an la clause de sortie actuelle (à l'issue de la saison prochaine si le seuil de 1,5 million d'abonnés n'est pas atteint en décembre). Dans ce schéma, la LFP consentirait une légère baisse des droits versés par DAZN.

La plate-forme britannique a elle aussi soumis deux propositions. La première, de court terme, imagine un accord pour un retrait à la fin de la saison en payant les deux dernières traites, mais sans réel dédommagement pour la suite. La seconde option, de long terme celle-là, envisage la poursuite du deal avec la LFP, mais en revoyant totalement les termes du contrat. L'idée est d'inclure une part variable très conséquente avec un contrat qui s'achève dans quatre ans.

DAZN évoque également la possibilité de s'engager sur la totalité des matches en récupérant celui actuellement détenu par beIN Sports, qui paye 78,5 millions de droits annuels et 20 millions de sponsoring (pas encore vraiment effectif). Ce qui lui permettrait de proposer une offre complète, comme elle l'avait envisagé en novembre 2023. À l'époque, DAZN souhaitait 100 % de la L1 pour 500 millions d'euros par an, mais la LFP n'avait pas donné suite, pensant récupérer davantage. Ce qui n'a pas été le cas.

Aucun des deux camps n'est pour l'instant prêt à valider une proposition de l'autre
Aujourd'hui, au terme de la médiation en cours jusqu'à mardi, aucun des deux camps n'est prêt à valider l'une des propositions de l'autre partie. Ce qui conduit à une situation bloquée avec la perspective d'une guerre totale. Dans ce schéma, DAZN ne paierait certainement pas les deux dernières échéances prévues dans con contrat (fin avril et fin juin). Si cette hypothèse se vérifie, la LFP devra alors faire jouer les garanties financières données par Access Industries, la maison mère de DAZN, propriété de Len Blavatnik.

Mais cela prendrait forcément des mois... Et DAZN peut faire valoir un mauvais traitement, un piratage incontrôlé et un dénigrement révélé par les enregistrements de réunions entre présidents de club. Il reste donc deux jours (la LFP a prévu de réunir son conseil d'administration mardi après-midi) pour sortir de cette impasse avec une solution miracle. Un tour de magie que l'on ne voit, pour l'instant, pas encore venir.

On doit être meilleurs

Le Stade Rennais se déplace au Havre ce dimanche, une équipe barragiste, mais qui est bien un adversaire direct des joueurs d’Habib Beye.

On doit être meilleurs

Ça n’était pas franchement prévu. Dans son discours positif, avant la venue d’Auxerre au Roazhon Park dimanche dernier, Habib Beye parlait de l’ambition de basculer dans la première partie de tableau… Mais le revers sur une tête de Jubal (0-1), au cœur d’une série de trois défaites au cours des quatre dernières journées, a finalement replongé le Stade Rennais dans ses doutes. La victoire de Reims à Lens vendredi soir (2-0) a resserré un peu plus l’évitement de la place de barragiste. Avec 32 points au compteur, les hommes d’Habib Beye savent qu’il ne faut pas se louper, alors que se dressent, devant eux, deux concurrents directs pour demeurer parmi l’élite : Le Havre ce dimanche et Nantes vendredi prochain.

Les clubs accusent DAZN, clash imminent?

DAZN et la LFP continuent le bras de fer, mais celui-ci prendra fin mardi. L'impasse est évidente et mène, à l'heure actuelle, à un arrêt en fin de saison.

Les clubs accusent DAZN, clash imminent?

La situation devient intenable en ce qui concerne le principal revenu des clubs de Ligue 1 : les droits télévisuels. Nouveau détenteur principal, DAZN a à peine franchi la barre des 500.000 abonnés, ce qui entraine des pertes copieuses de l’ordre de 200 millions d’euros par saison. Les couts de productions sont réels, et le contrat porte sur 375 millions d’euros à régler à la LFP pour pouvoir diffuser les matchs. L’addition ne colle pas, et pour mettre un pavé dans la mare, la plate-forme britannique a décidé d’attaquer la Ligue en justice pour diverses raisons, réclamant 573 ME pour des manquements. Une demande irréaliste qui a pour but d’aller au clash et de quitter le championnat de France avec effet immédiat en fin de saison, estiment les présidents de clubs de Ligue 1 contactés par L’Equipe.

En effet, pour continuer à diffuser 8 des 9 matchs par journée, DAZN effectue des propositions très basses et irrecevables pour les clubs, avec des dizaines de millions d’euros en moins par rapport au contrat initial. Difficile pour le football français de dire oui, sachant que DAZN a aussi un grand historique de pertes financières dans d’autres championnat, sans que cela ne débouche sur de telles extrémités. Résultat, on estime que cette négociation qui doit aboutir mardi prochain, a surtout pour but de provoquer une impasse et donc un départ de la part du « Netflix du Sport », qui préfère se lancer dans un combat juridique, plutôt que d’avoir la certitude de perdre encore des centaines de millions d’euros dans une nouvelle saison de Ligue en 2025-2026.

Un message forcément inquiétant, surtout que le contrat prévoir une révision à la hausse de la somme due par DAZN la saison prochaine, avec 50 millions d’euros de plus à allonger.

Il reste quatre jours (et trois options) pour trouver une issue entre la LFP et DAZN

Les négociations entre la LFP et son principal diffuseur DAZN doivent finalement s'achever mardi après-midi. Pour l'instant, la baisse des droits TV envisagée par la plate-forme est tellement importante qu'elle est inacceptable pour les clubs.
Il reste quatre jours (et trois options) pour trouver une issue entre la LFP et DAZN

La médiation entre la Ligue de football professionnel (LFP) et DAZN, son premier partenaire audiovisuel, repart pour un tour. Initialement, elle devait s'achever le 31 mars, au terme d'un mois de discussions tendues. Puis il a été décidé de la prolonger, avec une issue envisagée ce vendredi. Mais comme il n'y avait pas la moindre fumée blanche, le médiateur mandaté par la justice (DAZN réclame un total de 573 millions à la LFP « pour manquement observé » et « tromperie sur la marchandise ») a décidé d'attendre mardi prochain pour clôturer définitivement les pourparlers.

Réunis ce vendredi en collège en présence du médiateur, les clubs de Ligue 1 n'ont pas eu à trancher entre les trois différentes options : accepter l'une des proposions de DAZN avec un montant revu à la baisse pour trois, quatre ou cinq années de contrat ; une séparation à l'amiable ; ou enfin acter un contentieux avec le diffuseur en activant les garanties financières données l'été dernier à la signature du contrat.

Les clubs suspectent DAZN de provoquer la rupture
Au vu de la baisse considérable des droits imaginée par DAZN (chiffrée en dizaines de millions d'euros) pour poursuivre la diffusion de la L1, aucun accord n'est possible aujourd'hui. Mais il reste encore quatre jours pour voir si la plate-forme, qui diffuse 8 matches de L1 sur 9 pour un montant annuel moyen de 375 M€ (la dernière affiche étant sur beIN Sports), peut rehausser ses offres pour tenter d'obtenir un deal. Pour l'heure, l'optimisme n'est pas de mise, mais tout est possible jusqu'au dernier moment, c'est-à-dire mardi après-midi (une réunion avec les clubs puis un conseil d'administration de la LFP sont prévus). Car le médiateur a prévenu qu'il n'y aura plus de report.

Du côté du football français, on suspecte DAZN de mettre sur la table des montants très faibles, inacceptables pour les clubs, afin de provoquer la rupture. Et expliquer ensuite avoir souhaité trouver des solutions dont la Ligue n'a pas voulu. Mais au vu des pertes abyssales de DAZN depuis qu'il diffuse la L1, il est sans doute prêt à un bras de fer judiciaire plutôt que de continuer sur les bases actuelles.

Comme l'a révélé L'Équipe, le médiateur a en effet prévenu les clubs que la situation était très compliquée car DAZN enregistre des pertes comprises « entre 200 et 250 millions d'euros cette saison ». Et elles seront encore plus importantes en 2025-2026, car le montant versé par DAZN augmente de 50 millions d'euros, comme le prévoit le contrat évolutif signé l'été dernier pour une période de cinq ans (avec une clause de sortie au bout de deux saisons, activable en décembre prochain si DAZN n'atteint pas le seuil de 1,5 million d'abonnés). Désormais, la chaîne a dépassé le seuil des 550 000.

Le pub Brewklyn ouvre prochainement route de Lorient

Le pub Brewklyn (mais pas seulement) ouvrira ses portes mi-avril route de Lorient à Rennes. Bières craft, sport en live, jeux, musique et tapas… 
Le pub Brewklyn ouvre prochainement route de Lorient

Avez-vous remarqué ces flyers métallisés qui habillent les poteaux et les murs de la capitale ? Dessus un mot "Brewklyn" surmonté de deux personnages : un qui sourit de toutes ses dents, une qui se lèche les babines. Les expressions de ce duo sont un bon indice des ambitions du futur pub route de Lorient ! Si le mystère plane encore un peu au dessus de ce futur lieu de rencontre et de divertissement, la rédaction a enfilé ses lunettes et son manteau de détective pour dégoter quelques indices sur ce que la clientèle trouvera sur place.

Avec un nom comme Brewklyn – contraction de Brooklyn et brewpub (bars à bière) -, il est facile de faire marcher son imagination : un lieu à la cool à l’ambiance urbaine et industrielle où l’on passe un moment agréable à siroter une bonne bière artisanale, ou une autre boisson non-alcoolisée selon les préférences.

À Brewklyn, "on trinque, on joue, on vibre", selon les mots de l’équipe. Donc, on boira un verre entre amis, on jouera à un jeu de société pioché parmi la sélection mise à disposition, on regardera des diffusions sportives sur des maxi-écrans. En résumé, on se divertit et on décompresse ! Des événements autres que sportifs sont également prévus.

Mais à Brewklyn, on mange également. Et côté nourriture, l’équipe annonce une cuisine de saison avec du poulet rôti de Janzé et des frites maison à volonté tous les vendredis midis.

L’ouverture prévue la deuxième moitié du mois d’avril, il ne reste plus qu’à patienter pour voir ce qu’il en retourne réellement.

Brets – Édition Stade Rennais

Brets – Édition Stade Rennais

Nom du produit :

    • Brets – Édition Stade Rennais : Saveur Maintien en L1

Packaging :

    • Fond rouge intense avec des bandes noires façon maillot du Stade Rennais
    • Logo du club en haut à gauche, et le slogan : "Toujours debout en Ligue 1 !"
    • Illustration d’un supporter rennais euphorique, une écharpe en l’air, et une pluie de confettis rouge et noir
    • En bas, une chips dorée avec un petit drapeau "Objectif atteint !"

Saveur :

    • Saveur "Stress & Soulagement" : mélange subtil de sel de Guérande (pour les larmes versées) et de poivre fumé (pour les sueurs froides du maintien)
    • Une pointe de piment doux breton pour symboliser la tension des dernières journées
    • Le tout relevé d’un arôme "gazon fraîchement tondu", hommage aux pelouses foulées jusqu’au bout

Description au dos du paquet :

  • "Chaque bouchée vous replonge dans ces fins de saison haletantes, entre espoir et suspense. Une saveur unique pour les vrais supporters, forgée dans les luttes pour rester parmi l’élite. Avec Brets et le Stade Rennais, c’est Ligue 1 ou rien !"
  • À prendre avec HUMOUR car je pense que après ça on pourra tous goûter ces fameuses chips.

S.G.S.B.

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