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Pourquoi la situation des droits TV est toujours figée

À cinq mois et demi du lancement de la saison de 2024-2025, les fans de foot ne savent toujours pas sur quelle chaîne ils pourront regarder les matchs de Ligue 1. Les négociations se poursuivent mais la situation semble figée entre les différents acteurs.
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Le seul média qui a pour le moment mis de l’argent sur la table de la LFP, c’est DAZN. La plateforme britannique s’avance comme le nouvel entrant sur le marché des droits TV de la Ligue 1. Son offre se chiffre à 500 millions d’euros par an pour l’ensemble des matchs de chaque journée en exclusivité. Dans ses échanges avec les dirigeants de DAZN, la LFP pousserait pour qu’ils acceptent de maintenir ce prix mais pour moins de matchs, afin qu’un deuxième acteur vienne compléter l’offre globale. La Ligue, qui souhaiterait vraiment que DAZN devienne son nouveau partenaire de référence, argumente auprès de la plateforme en insistant sur le fait que ce serait le meilleur modèle pour réussir son implantation en France.

DAZN refuse de rehausser son offre… pour le moment
Face à cette demande, les dirigeants de DAZN se montrent circonspects et refusent pour le moment d’aller plus loin dans leur offre, même s’ils restent déterminés à se développer en France. Au sein du "Netflix du sport", on indique que c’est une société à la discipline financière forte et que seuls les montants en capacité d’être remboursés sont investis. Est-ce une stratégie de négociation ou une réalité économique qui les empêche de miser davantage? Ces questions restent en suspens, de quoi figer la situation alors que DAZN aimerait conclure dès que possible pour lancer son recrutement de collaborateurs, son offre commerciale et sa campagne de communication auprès du grand public.

Mais un autre aspect du dossier agace au sein de la plateforme. "Quand les négos prennent une tournure trop politique, ce n’est jamais bon signe", confie un proche du dossier, qui fait référence à l’appui du pouvoir politique dont profite la LFP. Les images du dîner à l’Elysée du mardi 25 février, qui a réuni les dirigeants du foot français, de BeIn Sports autour des chefs d’Etat Emmanuel Macron et de l’émir du Qatar, ne sont pas passées inaperçues.

"Il y a beaucoup de fantasmes sur les interventions politiques sur ce dossier. Il y a des sujets tellement plus importants à gérer", tempère une source proche du pouvoir. Même si les droits TV n’ont pas été abordés lors de ce repas, de nombreux échanges se sont tenus les heures, jours et semaines précédents, la Ligue essayant de convaincre BeIN d’investir sur les quelques matchs en complément de l’offre de DAZN. Les discussions actuelles se basent sur un match en exclusivité et deux autres en co-diffusion.

BeIn Sports à la recherche de rentabilité
Problème: BeIN est quasiment à l’équilibre financier et un investissement conséquent sur les droits replongerait les comptes dans le rouge puisque ce n’était pas prévu dans le business plan. Le directeur général de la chaîne qatarie, Yousef Al-Obaidly, se montre donc, pour l’instant, plutôt réticent. Malgré tout, une réflexion est en cours et tout pourrait s’accélérer si l’état-major de la chaîne donnait son "go".

Nasser Al-Khelaifi, grand patron de BeIN, en contact permanent avec Vincent Labrune, le président de la Ligue, est bien conscient de la nécessité, pour la Ligue en général et le PSG en particulier, de maintenir des recettes importantes de droits TV. La difficulté de BeIN réside dans son lien très étroit avec Canal+, son distributeur exclusif via un contrat important de 250 millions par an. Logiquement, les dirigeants de BeIN estiment qu’en cas de nouveaux droits de L1 acquis, le contrat de distribution devra être réévalué. Mais la tendance du côté de Canal est de limiter au maximum cette réévaluation du contrat, surtout si cela permettrait de finaliser la négociation de la Ligue avec qui les relations restent très tendues. Mais difficile d’imaginer BeIN réaliser un investissement de plusieurs centaines de millions d’euros à perte sans garantie de contreparties aux services de ses intérêts.

Le levier qui pourrait faire avancer le dossier est peut-être celui des droits internationaux, également en négociation. La LFP a déjà vendu ses droits dans plus des deux tiers des territoires de la planète et devrait sensiblement augmenter ses revenus. Le territoire principal qui reste à négocier est l’Afrique, plus gros contributeur des droits internationaux. Aujourd’hui, les droits de la L1 sur ce continent sont détenus par Canal+ Afrique. Rien ne dit que la filiale de Canal les conservera. Les discussions sont intenses. Et le sort de Canal+ Afrique pourrait impacter la suite des négociations.

Chez Prime Vidéo, actuel diffuseur principal de la Ligue 1, les dirigeants maintiennent des contacts réguliers avec la Ligue. La plateforme TV d’Amazon attend de connaître l’identité du diffuseur principal avant de négocier avec ce dernier pour récupérer un match contre environ 80 à 100 millions. S’ils y parviennent, ils devraient proposer cette rencontre uniquement dans l’abonnement Prime, et non plus dans le Pass Ligue 1, qui disparaîtrait.

Carte blanche au graphiste de la section

Graphiste et sérigraphe à Paris, Romain Bernard s’est vu confier la création d’une affiche collector à l’occasion du prochain derby, disponible à la boutique officielle et réalisée en collaboration avec Maison Transversale. Si le SRFC a fait appel à son talent, c’est pour son amour bien évidement des Rouge et Noir mais aussi pour sa sensibilité particulière du football.

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Romain, comment êtes-vous devenu supporter du Stade Rennais F.C. ?
Je suis supporter du Stade Rennais depuis plus de vingt ans. Expatrié à Paris, Je fais partie de la Section Roazhon Pariz (ndlr : section de supporters du RCK à Paris). Graphiste de formation, je me suis orienté sur tout ce qui est création de stickers, d’écharpes, de tifos… Pour le groupe de Paris et celui de la tribune Mordelles bas, pour animer tout ça.

Qu’avez-vous cherché à faire ressortir dans cette affiche ?
J’ai pris le parti d’une vue intérieure de la tribune populaire. J’aime bien le foot, mais j’associe la discipline aux copains, à la camaraderie, la musique, l’ambiance générale de fête, le partage avec les autres. C’est ce qui fait la puissance de ce que procure ce sport. J’ai un coup de crayon plus gras que d’autres illustrateurs, je ne travaille pas forcément que sur ordinateur. J’affectionne le dessin pur, brut, à la main, très illustré, avec un côté presque Bande Dessinée.

« La ville est un repère pour moi, comme une boussole »

Quel supporter êtes-vous ?
Je suis né à Paris mais ma famille est du côté de Josselin, Quimper et Quimperlé. Mon père a fait son service militaire à Rennes et on a habité pendant un moment la capitale bretonne. Je vais au stade depuis que je suis gamin. Mon père m’a fait découvrir l’ambiance, je suis devenu un mordu. Ado, je me déplaçais au stade dès que je le pouvais. Mon histoire avec Rennes ne s’arrête pas là, j’ai fait des mises à niveau d’arts appliqués à LISAA. La ville est un repère pour moi, comme une boussole. J’allie toujours l’esprit de tribune à la mentalité rock 'n' roll de la ville. On va voir le match, et après on va en ville voir un concert de rock 'n' roll, c’est l’esprit.

C’est cet esprit particulier qui fait de vous un supporter engagé ?
Outre le Stade Rennais, les déplacements, les copains, ce qui me fait vibrer c’est d’avoir une utilité pour le groupe, là elle est graphique. À « Roazhon Pariz », je suis nommé le graphiste de la section. Que ce soit pour la création de stickers ou pour l’écharpe « L’Europe mon pote » par exemple, qui a bien marché au RCK et à la SRP, j’aime bien mettre ma patte. Je me dis que ce que je sais faire sert au plus grand nombre. Si les gens aiment, c’est encore mieux.

Et vous venez ajouter votre nom à la liste des cartes blanches du SRFC
À Rennes, je suis fan du pochoiriste Poch qui est très investi dans la Cité. Au-delà de ses œuvres route de Lorient, il avait notamment refait tout le look du bar du RCK il me semble. J’aime beaucoup le travail de Blek le rat également. Le club fait honneur à des mémoires vivantes, pas seulement passées, c’est une grande fierté. Ça nous permet de faire partie de l’histoire du parcours rennais et de participer à l’image que le club renvoie grâce à ses supporters. C’est assez plaisant.

La Ligue 1 gratuite, le projet est lancé

A l'heure où cela négocie toujours pour les droits TV, l'offre de DAZN ne fait pas forcément rêver la Ligue, mais le projet de la plateforme britannique a néanmoins de l'ambition, et notamment des offres alléchantes sur le papier pour le téléspectateur.

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La fin de saison approche, et le football français ne connait toujours pas son ou ses diffuseurs pour les exercices à venir. Amazon Prime ne semble clairement pas déterminé à mettre autant pour conserver la Ligue 1, et Canal+ a confirmé son désintérêt historique pour le championnat. La donne est donc à la fois simple et complexe, puisque la LFP et son président Vincent Labrune vont devoir essayer de maintenir le train de vie actuel malgré beaucoup d’arguments négatifs. Le fait que la Ligue 1 soit désormais à 18 clubs en est un, le désengagement de Canal+ aussi, le départ des stars du PSG également, tout comme le fait qu’Amazon comme BeIN Sports, appelé à la rescousse pour mettre la main à la poche, perdent de l’argent avec le football.

DAZN et ses abonnements à la carte
Nouveau venu dans les discussions, DAZN entend frapper fort, et avait même effectué une offre pour récupérer l’ensemble des matchs du championnat. Fort d’un accord de diffusion avec Canal+, le Netflix du sport a toutefois proposé un montant très bas, ce qui a empêché le deal de se faire. Néanmoins, la plateforme britannique est toujours offensive, et veut au moins récupérer plusieurs matchs pour se développer en France comme elle le fait dans d’autres pays européens.

Pour monétiser ensuite ces futurs transmissions, DAZN étudie toutes les possibilités, et notamment de diffuser gratuitement des rencontres, afin de faire de grosses audiences et de se rémunérer via des publicités. C’est ce que révèle le magazine Challenge. « La prudence dans la gestion des coûts et l'adaptabilité dans l'offre de services, allant de la diffusion gratuite avec publicité à des abonnements premium, illustrent une stratégie bien rodée visant à séduire un public large sans compromettre la viabilité financière », explique ainsi le magazine, qui dévoile certaines idées en effet étudiées chez DAZN.

La volonté de proposer plusieurs types d’abonnement pour permettre à chacun de s’y retrouver, de la version lourdement impactée par la publicité mais gratuite, à l’abonnement à faible prix mais qui ne permet pas d’avoir toute l’offre à celle plus complète et qui se monte à un tarif plus salé à 20 ou 30 euros par mois en fonction des droits récupérés. Une approche différente de ce qui était proposé jusqu’à alors, mais qui ne satisfait pour le moment pas la LFP, en raison notamment de l’offre financière brut qui est bien inférieure aux attentes.

Les arbitres français bientôt équipés de micros

La FIFA a autorisé le football français à expérimenter la sonorisation des arbitres pour expliquer les décisions du VAR lors des actions les plus litigieuses. Les premiers tests devraient être faits dès le printemps pour les play-offs de D1 féminine.
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Lors du dernier comité exécutif de la FFF, le 15 janvier dernier, Antony Gautier, le directeur technique de l'arbitrage, a annoncé, selon nos informations, que la FIFA avait autorisé la France à expérimenter la sonorisation des arbitres. Pas dans n'importe quelles conditions, mais sur un schéma proche de celui mis en place lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans organisée entre le 20 mai et le 11 juin derniers en Argentine. À cette occasion, un dispositif de sonorisation permettait aux arbitres de s'exprimer directement pour expliquer aux équipes et au public leurs choix après consultation du VAR.

"Les micros seraient uniquement branchés pour les actions les plus litigieuses, quand l'arbitre les revisionne"

Éric Borghini, président de la commission fédérale des arbitres

La FIFA fixe un cadre et réclame aux pays concernés des moyens techniques performants dans les stades pour la captation du son. La France doit maintenant mettre en musique cette ouverture pour les spectateurs et les téléspectateurs qu'elle n'attendait plus, puisqu'elle avait essuyé, au préalable, plusieurs refus. Selon nos sources, les premiers tests devraient avoir lieu lors des play-offs de la D1 Arkema opposant les quatre premiers de la saison régulière (les demi-finales se tiendront le 12 mai, le match pour la troisième place et la finale le vendredi 17 mai, avec des rencontres sur le terrain des clubs les mieux classés). Un comité exécutif de la FFF, prévu le 22 mars à Lyon, à la veille de France-Allemagne, match de préparation des Bleus à l'Euro, doit définir le programme.

La Ligue 1 devra peut-être attendre la saison prochaine
Éric Borghini, le président de la commission fédérale des arbitres, confirme cet accord donné à la FFF : "Oui, la FIFA a donné l'autorisation d'expérimenter cette pratique à plusieurs pays, dont la France. Les micros seraient uniquement branchés pour les actions les plus litigieuses, quand l'arbitre les revisionne. De notre côté, on est favorable à une sonorisation permanente. Mais la FIFA avance pas à pas. En plus, elle veut être complètement maîtresse de la technologie et l'expérimenter sur ses compétitions dans des conditions qu'elle détermine elle-même avant d'étendre à d'autres épreuves."

Pour la Ligue 1, il faudra peut-être attendre la saison prochaine afin de ne pas bousculer la fin de cet exercice. Mais une accélération est éventuellement possible car Vincent Labrune, le patron de la LFP, et les présidents de clubs sont assez favorables à la sonorisation. "À eux de nous dire s'ils le veulent", confie Borghini, qui pense plutôt à la saison prochaine pour des tests dans l'élite masculine. "Ils vont avoir bientôt un collège des présidents de L1 en mars. Ils vont peut-être en parler à ce moment-là. Je pense que la majorité des clubs sont d'accord, voire la totalité."

Arthur et le jardinier

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Après son match contre Clermont (et une excellente prestation, ce 18 février), le défenseur international belge Arthur Theate rejoignait le parcage pour le traditionnel clapping. Il allait fêter une victoire avec ses copains en rouge et noir. Comme tous les enfants gâtés du foot, il pouvait passer sans un regard pour les jardiniers du Stade, en charge de remettre en état la pelouse du Roazhon park, sa pelouse. Il pouvait baisser la tête et continuer son chemin. Mais non Le jeune Belge a pris un petit sur les épaules et, au passage, il a salué l’un de ceux qui, anonymement, s’occupe de l’herbe. On ne sait pas trop ce qu’ils se sont dit. On ne sait pas trop quelles sont leurs relations. L’image était toutefois belle… comme celle de Benjamin Bourigeaud étreignant son fils au même moment. La déroute milanaise était bien loin. Le retour au Roazhon park avait du bon.

Pas encore de diagnostic pour Nagida

Dimanche, les Rennais recevront Clermont. Julien Stephan devra faire sans Nagida, touché eu genou jeudi lors du match de Ligue Europa à Milan.

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Revenus d’Italie vendredi dans la journée, les Rennais s’entraînent ce samedi après-midi, avant la réception de Clermont dimanche. Ce sera sans Nagida, touché au genou jeudi soir. « On n’a pas de diagnostic exact, mais il y a des chances qu’on l’ait perdu pour un moment », a indiqué Julien Stephan, qui est privé de Kalimuendo et Yildirim suspendus. Rieder et Le Fée sont toujours out et « sont dans leurs protocoles » de reprise.

Gouiri sera titulaire avec Terrier en attaque, Seidu devrait, lui, démarrer face à son ancien club.

Une règle spécifique pour les gardiens de but en cas de carton bleu

Après les révélations sur le projet de l’introduction d’un carton bleu dans le football professionnel, The Telegraph en dit plus ce lundi sur les conséquences de cette nouvelle sanction pour les gardiens de but.
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La Fifa a beau avoir mis les freins, l’Ifab, l’instance qui régit les lois du football, songe bien à introduire prochainement le carton bleu au niveau professionnel. Au moins dans un premier temps sous la forme de tests. Ce nouveau carton qui s’ajoute aux cartons jaunes et rouges a fait beaucoup de bruit depuis les révélations du Telegraph jeudi dernier. Le carton bleu sanctionnera d’une exclusion temporaire de dix minutes un joueur ayant commis une faute d’antijeu qui annihile une attaque comme le tirage de maillot de l’Italien Chiellini sur l’Anglais Saka en finale l’Euro 2021 ou s’il proteste face à un arbitre de la rencontre. Assez claire pour les joueurs de champs, cette règle l’était moins pour les gardiens de but.

Un joueur de champ au but pendant 10 minutes?
The Telegraph rapporte ce lundi que les gardiens ne bénéficieront pas d’une impunité de part leur poste. Puisqu’ils pourront, eux aussi, être sanctionné par un carton bleu, que se passera-t-il quand ils seront expulsés dix minutes laissant leur cage vide? Deux solutions sont possibles pour l’équipe pénalisée rapporte le média britannique. Soit elle opère un changement de gardien mais ce remplacement est définitif et l'équipe finit la rencontre avec le portier remplaçant, soit elle prend le risque de mettre un joueur de champ dans les buts pendant dix minutes avant de retrouver son gardien, une fois les dix minutes écoulées. Cette règle spécifique ne manquera pas de faire encore beaucoup parler, notamment les entraîneurs qui, eux, en revanche, ne pourraient pas écoper d’un carton bleu.

Pour rappel, voici ce qu'a communiqué la Fifa jeudi à propos de ce projet: "De tels essais, s'ils sont mis en oeuvre, devraient se limiter à des tests effectués de manière responsable à des niveaux inférieurs, une position que la FIFA a l'intention de réitérer lorsque ce point de l'ordre du jour sera discuté lors de l'AGA (assemblée générale annuelle) de l'IFAB le 2 mars."

Stéphan a déjà sa petite idée pour remplacer Le Fée

Enzo Le Fée, qui avait un rôle moteur dans le redressement du Stade Rennais depuis fin décembre, avec 8 matches sans défaite toutes compétitions confondues, s’est blessé et pourrait avoir relancé Ludovic Blas par ricochet.

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La tuile pour Enzo Le Fée au Stade Rennais. Julien Stéphan a confirmé hier qu’il serait privé de l’ancien Lorientais sans doute jusqu’à la trêve internationale fin mars, après sa déchirure aux ischio-jambiers mardi. Dans le double pivot du 4-4-2, Le Fée impulsait beaucoup de choses, il verticalisait et fluidifiait le jeu. Il faut donc penser autrement désormais.

"On va voir comment ça se passe, j’ai quelques idées en tête, a glissé le coach du SRFC. Il faudra repenser certaines choses, voir si un des défenseurs centraux peut intégrer la rotation au milieu éventuellement, ou passer aussi avec un milieu à trois avec des profils différents."

L'option de faire reculer Ludovic Blas...
Parmi les défenseurs, Jeanuël Belocian et Guéla Doué ont déjà évolué au milieu durant leur formation ou leur pré-formation. D’après L’Équipe, faire reculer Ludovic Blas, qui a joué devant la défense à Guingamp ou en relayeur au FC Nantes par le passé, peut aussi faire partie des réflexions. "Ça dépend du rapport de forces installé, du moment du match. Sur un match ou un bout de match, ça me semble plausible", conclut Stéphan.

Sans Enzo Le Fée, une gestion à flux tendu au milieu de terrain

Le Stade Rennais, qui joue au Havre dimanche 11 février (13 h) en Ligue 1, va devoir disputer ses huit prochains matches au moins sans Enzo Le Fée, avec seulement deux spécialistes (Baptiste Santamaria et Azor Matusiwa) pour occuper les rôles de milieux axiaux. Le coach Julien Stéphan va devoir les gérer finement, espérer éviter d’autres coups durs, et imaginer aussi quelques alternatives…

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La tuile est confirmée. Et c’est une grosse tuile. Victime d’une déchirure à l’ischio droit mardi 6 février à Sochaux, Enzo Le Fée ne pourra pas faire de miracles, même s’il est du genre à se rétablir plus vite que les autres : l’ex Lorientais devrait être absent jusqu’à six semaines. "Pour l’instant, on table sur un retour après la prochaine trêve internationale, et s’il a une guérison un peu plus rapide, on pourra peut-être envisager Marseille, mais pas avant", confirme le coach Julien Stéphan.

Marseille, ce sera le 17 mars au Roazhon Park, pour la 26e journée de Ligue 1. Dans neuf matches… Une série sans l’éventuelle demi-finale de Coupe de France (prévue le 3 avril), mais avec les deux rendez-vous face à l’AC Milan, PSG au Parc des Princes, ou Lille. Et tout ça sans Le Fée, le joueur rennais le plus technique, qui fait gagner à l’équipe le plus de mètres avec et sans ballon. Un profil à la fois travailleur et créatif, évidemment unique dans l’effectif, que personne ne pourra vraiment remplacer.

Matusiwa et Santamaria, à gérer en croisant aussi les doigts
Mécaniquement, le visage du Stade Rennais va s’en trouver modifié, avec la paire Matusiwa - Santamaria, qu’on va voir à l’œuvre dès dimanche 11 février au Havre, dans un contexte déjà plus corsé que celui de Sochaux. Avec ce duo, le SRFC va au moins gagner en puissance physique à la récupération.

Pointé du doigt par certains pour sa gestion du cas Le Fée, même si c’est plus facile à faire après, Stéphan va devoir la jouer fine dans la gestion de ses deux derniers milieux axiaux disponibles (Rieder ne reviendra pas avant début mars). En croisant les doigts pour que l’un ou l’autre ne se blesse pas ou ne soit pas suspendu… ce qui sera déjà le cas pour Matusiwa, lors le déplacement à Paris le 25 février.

Dans cette gestion rendue obligatoire par l’enchaînement des matches, le coach breton va aussi forcément devoir se montrer imaginatif, et bricoler quelques alternatives sans l’un des deux.

Bourigeaud sera l’option de rechange numéro 1, comme il l’a été en fin de match à Sochaux. Et sinon ? Aucune autre solution ne semble évidente. "On va voir comment ça se passe… J’ai quelques idées en tête, il faudra repenser certaines choses, voir si l’un de nos centraux ne peut pas intégrer la rotation au milieu, ou passer avec un milieu à trois et des profils différents."

Blas ou Désiré Doué au milieu, dans certaines circonstances
Parmi les défenseurs centraux, Omari ou Belocian ont déjà évolué au milieu chez les jeunes, mais le seul qui y a déjà dépanné cette saison… est parti en prêt à Clermont, et c’est Jérémy Jacquet.

Alors, Guéla Doué ? Blas ou Désiré Doué, mais probablement davantage dans un milieu à trois justement ? "Dans certaines circonstances, oui… cela dépend du rapport de forces, du moment du match, répond Stéphan. Cela rentre dans ma réflexion… Je ne suis pas convaincu qu’on puisse faire 3 ou 4 matches d’affilée comme ça, mais sur un match ou un morceau de match, ça me semble plausible."

En tout cas, le coach ne voit pas le passage du 4-4-2 au 4-3-3 comme une solution "palliative" à l’absence de Le Fée. Et il n’a pas de raison de changer non plus une formule de base dans laquelle tout un collectif a trouvé repères et confiance. "Ce n’est pas un joueur qui pourrait me faire modifier le système, confirme le coach, plus le rapport de forces, une gestion de match, des options stratégiques… On l’avait fait contre Lyon et Montpellier, en cours de match avec Enzo." Sans, Stéphan le refera probablement encore. Pas d’entrée au Havre, mais peut-être jeudi 15 février, à Milan…

J’avais à cœur de rester à Rennes

Courtisé cet hiver par l’AS Rome, Arthur Theate va finir la saison au Stade Rennais. Présent en conférence de presse ce vendredi 9 février, à deux jours du déplacement au Havre en Ligue 1, le défenseur international belge revient sur les approches dont il a fait l’objet lors des deux derniers mercatos, ainsi que sur la bonne forme rennaise du moment.

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Arthur Theate était le joueur présent en conférence de presse ce vendredi 9 février, pour évoquer le déplacement au Havre pour le compte de la 21e journée de Ligue 1.

Dans quel état de forme vous sentez-vous ?

Je me sens bien, je nous sens bien. On a une récupération mentale qui est plus facile, évidemment, quand on gagne les matches. On a plus de fraîcheur, on récupère plus vite, car on est heureux. Après, il y a eu la blessure d’Enzo qui est un peu embêtante pour nous, mais il y a d’autres joueurs qui sont au niveau donc ils vont pouvoir se montrer. Il faut rester soudés parce que l’on va avoir un gros bloc et cela va être très important de pouvoir s’épauler les uns les autres.

Le coach évoquait une envie de se rattraper de la première partie de saison, êtes-vous dans le même état d’esprit ?

Oui, clairement. On sait que l’on n’a pas été au niveau, au niveau des points, au niveau de la qualité du jeu produit sur le terrain, que ce soit avec et sans le ballon. On a à cœur de se rattraper, pour nous. Je pense honnêtement que l’on mérite tellement mieux que ce que l’on a fait sur cette première partie de saison. On ne mérite pas plus de points, ce n’est pas ce que je veux dire, mais on a la qualité pour le faire. On est sur une bonne série, il faut essayer de la continuer parce que c’est ce qui va nourrir notre mois de février et qui va peut-être nous guider vers notre fin de saison.

L’objectif Coupe de France devient-il plus concret avec la qualification en quarts de finale et le tirage au sort contre Le Puy-en-Velay ?

C’est clair que quand on voit le parcours qu’il y a eu il y a quelques années, le coach avait fait une victoire et une demi-finale l’année d’après. On a aussi envie d’aller le plus loin possible dans cette compétition, c’est évidemment l’objectif de tous les joueurs. Mais pour le moment, c’est plutôt match par match, nourrir cette série. Le Puy, c’est dans quelques semaines, on a le temps de voir venir.

La défense a été très critiquée sur la première partie de saison, devez-vous être le patron de cette défense ?

C’est vous qui nous mettez les étiquettes que vous voulez nous mettre (sourire). Après, je donne mon maximum à chaque match. Il y a eu une première partie de saison où, comme vous l’avez dit, cela n’a pas été le plus facile, on a subi pas mal de critiques. Cela fait partie du football, il faut savoir les absorber. Par contre, il y a des fois où elles étaient un peu moins justifiées, mais c’est un peu comme dans tout. Maintenant, est-ce que je dois être ce patron ? J’essaie de l’être et de donner le maximum de moi-même à chaque match.

On sent que votre relation sur le terrain avec Warmed Omari s’améliore…

Oui, je peux confirmer que c’est de mieux en mieux. Après, l’année dernière, il y a eu pas mal de rotations, j’ai joué avec Chris (Christopher Wooh), Warmed et Joe Rodon. Cette année, j’ai joué beaucoup de matches avec Warmed et cela nous aide à nous connaître de mieux en mieux. Il n’y a pas de secret, les automatismes ne viennent pas tout seuls. Pour le moment, je me sens très bien avec Warmed, la communication est de mieux en mieux et l’on se sent mieux l’un avec l’autre.

Avec la bonne série en cours, y a-t-il un risque d’autosatisfaction ?

En tout cas, je nous sens très concentrés pour le moment. On a cette envie de rattraper ce que l’on a fait en première partie de saison, elle doit maintenant nous nourrir jusqu’à la fin de saison. On ne va pas gagner tous les matches jusqu’à la fin de saison, je ne pense pas, ce serait historique si on le fait (sourire). Il y a cette confiance qui revient petit à petit, mais il ne faut pas avoir de l’autosatisfaction et rester bien éveillés sur les points sur lesquels on doit travailler.

Que retenez-vous de la qualification mardi à Sochaux ?

C’est un bon match, où l’on a été quasiment complet. Il nous a manqué, on va dire, une quinzaine de minutes de flottement avec ce penalty, même si pour moi, c’est un penalty imaginaire, mais bon, c’est encore autre chose (sourire). Pour le reste, c’est une prestation aboutie, maîtrisée de bout en bout. Les attaquants ont été performants, on a essayé d’être performants en défense. Il va falloir remettre cela mais il ne faut pas non plus minimiser cette prestation, parce que l’on dira que Sochaux est une équipe de National. On a vu Monaco hier, Rouen a aussi sorti Toulouse donc il ne faut pas minimiser cette prestation.

Les regrets du match aller contre Le Havre sont-ils encore présents ?

On a eu des regrets sur ce match-là parce qu’ils étaient à dix. On menait de deux buts, ils sont revenus à 2-2. C’était le début de l’enchaînement de matches nuls et on n’avait pas gagné beaucoup de matches. On ne peut s’en vouloir qu’à nous-mêmes, on maîtrisait le match à 100 %. Est-ce que l’on s’est relâché, est-ce que l’on a déjoué un peu rapport au Havre ? Cela reste une bonne équipe, il ne faut pas non plus les sous-estimer. Quand on voit le championnat qu’ils font à domicile, le style qu’ils ont, c’est très ancré chez eux. C’est clair que l’on va essayer de ne pas reproduire ce que l’on a fait à domicile, parce que c’est une équipe qui a beaucoup de qualités. Mais si on met tous les ingrédients, normalement, on devrait pouvoir faire la différence avec notre équipe.

Votre nom a circulé en Italie durant le mercato hivernal…

Ce qui est bien, c’est que c’est derrière. J’avais à cœur de rester à Rennes. Que mon nom a circulé en Italie, c’est autre chose, mais on va aller en Italie avec Rennes, donc je suis très content.

Vous avez toujours voulu rester à Rennes ?

Oui, clairement. C’était une volonté de ma part et de la part du club. Déjà l’été dernier, j’avais entendu que je voulais partir du club, cela n’a pas été le cas. Je n’avais pas encore fait deux ans dans un club et je suis très content de faire deux ans voire plus avec le club, je suis très heureux d’être ici.

Le verdict sur la blessure de le fée est tombé

L'IRM passée par Enzo Le Fée (24 ans), ce mercredi, au lendemain du 8e de finale de Coupe de France remporté face à Sochaux (6-1) a confirmé le diagnostic initial.

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La tuile se confirme pour Enzo Le Fée. À la 2e minute du 8e de finale entre Sochaux et le Stade Rennais, le milieu de terrain breton s’est écroulé sur la pelouse du stade Bonal. "C’est sérieux et musculaire, on ne connait pas encore la gravité exacte mais ça semble être l'ischio qui est touché, il va en avoir pour plusieurs semaines", a annoncé Julien Stéphan après la rencontre.

Déchirure aux ischio-jambiers pour Le Fée
Selon L’Équipe, l’IRM passée par Le Fée, hier, a confirmé le diagnostic initial : le milieu de terrain du Stade Rennais souffre d'une déchirure aux ischio-jambiers qui va le contraindre, sauf miracle, à renoncer à la double confrontation contre l'AC Milan, les 15 et 22 février prochains, en barrage de la Ligue Europa.

Pièce essentielle du collectif rennais, Le Fée doit repasser des examens dans la semaine afin de déterminer le grade exact de sa déchirure et la durée de son indisponibilité. En attendant, Baptiste Santamaria et Azor Matusiwa sont les deux derniers spécialistes du poste sur pied. Benjamin Bourigeaud, Désiré Doué ou encore Ludovic Blas peuvent également dépanner dans ce secteur.

Bientôt une Coupe du monde de football avec d’anciennes stars?

Le Daily Mail avance qu’une telle compétition pourrait voir le jour cet été, en Angleterre.
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Thierry Henry, Kaka, Ronaldinho… Imaginez revoir ces anciennes stars du ballon rond s’affronter à nouveau lors d’une compétition officielle. Le rêve pour tout amateur de foot pourrait bientôt devenir réalité. C’est en tout cas ce qu’affirme ce mardi le Daily Mail.

L’Angleterre pourrait donc accueillir une compétition d’un nouveau genre, exclusivement réservée aux joueurs de plus de 35 ans, retraité ou non. En plus des stars citées plus haut, le journal indique la présence d’autres grands noms du football : Francesco Totti, Salgado, Marco Materazzi, Esteban Cambiasso, Rivaldo, Cafu, Roberto Carlos, Michael Owen, Steve McManaman, et bien d’autres encore.

Huit pays participeraient à la compétition, avec pour seule condition d’avoir déjà gagné la Coupe du Monde. La France, le Brésil, l’Italie, l’Allemagne, l’Angleterre, l’Uruguay, l’Argentine et l’Espagne sont donc les seules nations concernées. Cette compétition se nommera EPG Cup, en référence à l'Elite Player Group, une catégorie créée par d'anciens grands noms du football et dans laquelle ils peuvent poursuivre leur carrière.

Daniele Segre : l'œil sur les supporters s'est refermé

Le réalisateur italien Daniele Segre est mort ce dimanche 4 février, comme l'a annoncé sa boîte de production. Il avait été le premier à poser son objectif sur les virages populaires des stades de football, dès la fin des années 1970. Cela avait donné le mythique Ragazzi di stadio, livre de photos devenu documentaire, réactualisé en 2019.

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Les photos sont en noir et blanc. Quelque chose de cru et violent s’en dégage. Parfois on voit des armes, un flingue, une chaîne. D’autres fois un graffiti, drôle, radical, extrémiste. Et puis il y a des gueules. Les gueules de jeunes Turinois dans les rues de leur ville, ou dans les gradins du stade de leur équipe favorite, le Torino, la Juventus. Ce sont des supporters de foot. Ils appartiennent à des groupes ultras. C’est la fin des années 1970, et personne n’a jamais vu ça. Les clichés sont publiés en 1980 dans un livre, Ragazzi di stadio (Les jeunes ou les mecs de stade, en français, NDLR), aujourd’hui aussi culte qu’introuvable. Leur auteur, Daniele Segre, est mort dimanche 4 février, à 71 ans.

En 2011, à l’occasion de notre hors-série consacré aux supporters, So Foot avait republié une partie de cette série historique, et demandé à Daniele Segre pourquoi son travail avait tant marqué les esprits. Parce que pour la première fois, on ne criminalisait pas les supporters, avait-il alors répondu. On ne les présente pas comme le mal absolu. L’œil du spectateur n’est absolument pas guidé vers une idée du mal, il n’y a aucun raccourci, comme peuvent parfois faire les journalistes. Les photos représentent simplement des personnages à part entière, avec la complexité de leur existence, sans dire “c’est bien” ou “c’est mal”. Elles racontent ces supporters, voilà tout. Les photos ne parlaient pas seulement de foot. Elles disaient une époque et un pays en plein bouleversement. C’était la première fois qu’on racontait cela par le prisme d’un stade de football et de ses supporters les plus véhéments. C’était incroyable.

Daniele Segre avait commencé son travail photographique sur les ultras parce qu’il était intrigué par les graffitis qui se multipliaient sur les murs de Turin à la fin des années 1970. Un tag l’avait plus marqué qu’un autre : il potere dev’essere bianconero – le pouvoir doit être noir et blanc, aperçu un jour de 1977. Dix ans plus tôt, en 1968, les manifestants criaient il potere dev’essere operaio – le pouvoir doit être ouvrier. Comment était-on passé de l’un à l’autre ? C’est cette mutation qui m’intéressait, expliquait Daniele Segre à So Foot en 2011. Plus qu’autre chose, cette mutation témoignait, je crois, d’une certaine confusion de la jeunesse de l’époque, confusion qui était aussi la mienne. Alors Segre avait commencé à faire ce qu’il fera toute sa vie dans son travail : créer un rapport avec ceux qu’il souhaitait filmer ou prendre en photo. Pendant deux ans, Daniele Segre fréquente les Fighters de la Juventus, et les Ultras du Torino. Dans les travées, il voit des jeunes issus du sous-prolétariat se mélanger à la plus haute bourgeoisie, certains tendre vers l’extrême gauche, d’autres vers l’extrême droite. Segre est partout : dans les cortèges, dans les préparations des tifos, dans les réunions hebdomadaires, participe même à certains déplacements. Et, quand il a l’impression qu’il se passe quelque chose, il sort son Nikon, et clic, comme si de rien n’était. Le livre deviendra un documentaire, tout aussi mythique.

Les supporters l’intéressaient parce qu’ils étaient en marge de la société. Les fragiles et les marginaux, voilà ceux dont le réalisateur s’est préoccupé toute sa vie. On a dit de ses films qu’ils étaient du cinéma du réel parce qu’il était en prise avec la réalité et que Segre n’inventait rien. Quarante ans après son premier Ragazzi di stadio, il avait de nouveau documenté les ultras de la Juventus, cette fois en se concentrant sur les Drughi. D’ordinaire très hostiles à toute forme de caméra et de publicité, ils avaient accepté d’être filmés et d’ouvrir leurs portes parce que c’était lui, parce qu’il avait fait ce qu’il avait fait 40 ans plus tôt, parce qu’ils savaient aussi qu’il n’y aurait aucun jugement.

Il fallait que je me remette en question, que je travaille plus

Symbole d’une défense rennaise en difficulté sur la première partie de saison, le défenseur central Warmed Omari a dû faire face à la volonté du Stade Rennais de recruter à son poste lors du mercato d’hiver. Si le SRFC n’a finalement pas enregistré d’arrivée directe dans ce secteur, le joueur de 23 ans est revenu sur cette période complexe à gérer, après le succès des Rouge et Noir contre Montpellier (2-1), samedi 3 février.

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Un plan de relance. Et l’on ne parle pas de celle, complètement manquée, directement catapultée dans les crampons adverses, à la 44e minute, samedi soir lors de la victoire du Stade Rennais face à Montpellier (2-1). Mais bien du début d’année 2024 de Warmed Omari.

Au cœur des critiques après ses contre-performances lors de la première partie de saison, au cœur des discussions lors du mercato d’hiver qui s’est clos jeudi passé, le défenseur central sait qu’il doit reconquérir beaucoup de faveurs sur cette phase retour.

Le Stade Rennais ne s’en est pas caché : durant la fenêtre de transferts de janvier, la recherche d’un central, axe droit, avait rapidement été érigée comme priorité. Eu égard aux manquements successifs d’Omari, symbole d’une défense Rouge et Noir plus que chahutée jusqu’à décembre. Un départ du joueur formé au club a même été évoqué.

Une meilleure communication avec Theate
"Ça a été difficile de voir que le club cherchait quelqu’un à mon poste, a reconnu samedi le Rennais de 23 ans. Cela voulait dire que je n’avais pas fait le travail pendant la première partie de saison. Mais quand on est footballeur, on sait que la concurrence est toujours présente. Je me suis dit qu’il fallait que je me remette en question, et que je travaille plus. Ce que j’ai fait pour être bien dans ce début de deuxième partie de championnat."

Dans les faits, même si toutes les scories n’ont logiquement pas été gommées en un claquement de doigts, ses deux derniers matches de Ligue 1 disputés, contre Nice et Montpellier (il était suspendu à Lyon), figurent parmi les prestations les plus consistantes de son exercice.

Warmed Omari reconnaît lui-même que son association avec Arthur Theate commence à retrouver du liant. "On se parle beaucoup plus, ce qui n’était pas forcément le cas en première partie de saison. Il y a beaucoup plus de sûreté, on a plus cette facilité à parler aux lignes qui sont devant nous. On est plus solide en ce moment."

Il est question de confiance en reconstruction, à titre individuel comme collectif. "Le club, lui, a montré qu’il avait confiance en moi, puisqu’il n’a finalement pas recruté directement dans ma position, a-t-il pointé, en référence à l’arrivée du polyvalent Alidu Seidu, que Stéphan envisage davantage comme un latéral droit que comme un central. Ils ont confiance, il faut maintenant que je leur rende."

La LFP ciblée par une plainte, 1,5 milliards d'euros posent problème

La cession de 13,04 % des revenus du football professionnel français à CVC Partners provoque bien des tourments à la LFP. Et une nouvelle plainte va plomber un peu plus l'ambiance.

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On l'a appris cette semaine, le Sénat a ouvert une mission d'information afin d'en savoir plus sur les conditions et donc d'enquêter sur la manière dont a été créé la société commerciale de la Ligue de football professionnel (LFP), laquelle a vendu pour 1,5 milliard d'euros 13,04 % des revenus du football professionnel français à CVC Partners. Il y a quelques mois, le club du Havre s'était attaqué frontalement à la LFP et à Vincent Labrune sur ce sujet, estimant notamment que la répartition de la somme ainsi recueillie était anormale. Une réponse de la justice interviendra le mois prochain, mais en attendant, un autre acteur est venu se greffer dans ce dossier.

Selon l'Equipe, l'association AC Anti-Corruption a porté plainte sur ce même sujet de la vente à CVC Partners, et c'est désormais le Parquet National Financier qui étudie cette plainte et des éventuelles suites à lui donner. Ce n'est évidemment pas une bonne nouvelle pour la Ligue de Football Professionnel qui tente actuellement de vendre les droits TV de la Ligue 1 dans un climat forcément rendu plus tendu compte tenu de ces enquêtes en cours. Dans ce dossier, il faut rappeler que sans l'apport de CVC, et dans la foulée de la catastrophe Mediapro, plusieurs clubs étaient proches du désastre, l'argent frais ainsi récolé permettant d'éviter d'éventuels dépôts de bilan.

S.G.S.B.

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