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Fuite de DAZN : la LFP a une solution, mais elle fait peur

Un remplaçant semble émerger pour sauver les droits TV de la Ligue 1. Mais à y regarder de plus près, la réalité est bien plus floue qu’il n’y paraît.
Fuite de DAZN : la LFP a une solution, mais elle fait peur

Depuis les premières tensions entre la LFP et DAZN, le monde du football français vit au rythme des incertitudes. Alors que la plateforme britannique menace de rompre son contrat dès cet été, une solution semblait émerger avec insistance ces dernières semaines : LFP Media, la fameuse chaîne 100% Ligue 1. Sur le papier, le projet a tout pour rassurer les clubs et les supporters. Distribuée sur une plateforme comme Max de Warner Bros, cette chaîne maison permettrait à la LFP de reprendre le contrôle de sa diffusion et de maximiser ses revenus… à terme.

Le plan séduit car il promet, selon les projections les plus optimistes, jusqu’à 600 millions d’euros de revenus à moyen terme. Avec un abonnement à 20 ou 27,99 € par mois, et une offre enrichie de films et séries, le modèle rappelle celui de Prime Vidéo, qui avait connu un succès relatif. Mais cette stratégie suppose de convaincre très vite un large public, alors même que les clubs manquent cruellement de trésorerie. Et c’est là que le bât blesse : l’argent n’arriverait qu’après une longue période de mise en place, alors que l’urgence est immédiate.

Beaucoup en viennent à espérer une intervention de BeIN Sports. Le diffuseur qatari, par le passé, a déjà sauvé les meubles. Et son président, Nasser al-Khelaïfi, a toujours joué un rôle central dans l’économie du foot français. Mais depuis l’émission « Complément d’enquête » qui l’a directement visé, le président du PSG semble bien moins disposé à venir au secours d’un système qui l’a publiquement attaqué. Son silence face à la crise actuelle interroge : le Qatar acceptera-t-il encore de jouer les mécènes ?

DAZN out ? La Ligue 1 parie sur elle-même, au risque de tout perdre
Pendant ce temps, les options se réduisent. Canal+ fait la sourde oreille, BeIN reste discret, et DAZN affiche des pertes colossales estimées à 240 millions d’euros. En coulisses, les présidents de clubs s’inquiètent. « Si on n’a pas de plan B, on est mort », résume Waldemar Kita. Joseph Oughourlian, patron du RC Lens, presse aussi d’agir sans attendre l’échéance d’avril.

Au final, le remplaçant de DAZN n’est peut-être qu’un mirage, une projection trop belle pour être vraie. Si LFP Media reste la piste la plus sérieuse, elle n’offre aucune garantie à court terme. Et le climat de défiance entre diffuseurs, clubs et instances n’arrange rien. Plus que jamais, la Ligue 1 est suspendue à une décision cruciale… qui tarde à venir.

200ME et c'est fini, l'offre folle de la Ligue 1

DAZN et la Ligue 1 étant opposés devant la justice, un conciliateur tente de trouver un accord entre les deux parties. La Ligue de Football Professionnel a fait une proposition financière sidérante au diffuseur.

200ME et c'est fini, l'offre folle de la Ligue 1

Le tribunal de commerce de Paris a donné quelques jours supplémentaires à la LFP et à DAZN pour négocier une solution amiable plutôt qu'un jugement brutal, la société anglaise réclamant 573 millions d'euros à la LFP "pour manquement observé" et "tromperie sur la marchandise" suite au contrat signé l'été dernier. Alors que l'on sait que DAZN plafonne à 500.000 abonnés, et aura un déficit proche de 250 millions d'euros pour cette première année d'un contrat censé durer jusqu'en 2029, la personne en charge de trouver une conciliation a donc rencontré les présidents des clubs de Ligue 1 pour les prévenir du danger qu'il y avait à ne pas négocier avec DAZN. Et selon L'Equipe, les dirigeants des équipes de L1 auraient proposé un deal à soumettre au diffuseur de huit des neuf matchs de chaque journée de Championnat.

La LFP prêt à récupérer ses droits TV en fin de saison
Cette proposition des dirigeants de Ligue 1 est que le contrat avec DAZN soit définitivement stoppé à la fin de l'actuelle saison, et qu'en échange la chaîne verse 200 millions d'euros en dédommagement pour la saison prochaine. Un doux rêve qui n'a pas duré longtemps, puisque le conciliateur a répondu que jamais DAZN n'acceptera cette offre assez singulière, mais surtout très coûteuse. Etienne Moatti, journaliste en charge de ce dossier pour le quotidien sportif, confirme que c'est ce vendredi que la mission du conciliateur va s'achever, même s'il n'est pas impossible qu'un nouveau délai supplémentaire soit accordé aux deux camps.

Quoi qu'il en soit, la proposition faite par les clubs de Ligue 1, sous l'égide de la LFP, confirme qu'entre DAZN et la L1, on est déjà au bord du divorce après seulement un an de contrat. De quoi relancer l'hypothèse de la création d'une chaine mise en place par la Ligue 1, comme cela avait été évoqué l'été dernier. Mais visiblement, DAZN n'est pas décidé à financer indirectement le lancement de ce nouveau média, et si par malheur la justice donnait raison au diffuseur anglais, alors la Ligue de Football Professionnel serait au bord du précipice.

Entre 200 et 250 millions d'euros de pertes sur cette saison de Ligue 1 pour DAZN

Comme l'a révélé le médiateur mandaté par la justice, le diffuseur subit des pertes considérables avec son contrat Ligue 1. Ce qui le conduit à avoir une position radicale dans ses discussions avec la LFP.
Entre 200 et 250 millions d'euros de pertes sur cette saison de Ligue 1 pour DAZN

Devenu cet été le principal partenaire audiovisuel de la LFP (8 matches de Ligue 1 sur 9 pour un montant annuel moyen de 375 M€, la dernière affiche étant sur beIN Sports), DAZN regrette amèrement son investissement. Car le déficit enregistré cette saison est phénoménal, comme l'a révélé, mercredi, le médiateur mandaté par le tribunal de commerce de Paris aux membres du bureau de la Ligue.

Selon nos informations, cet intermédiaire en quête d'une solution entre DAZN et la LFP (le nouvel entrant réclame en justice un total de 573 millions à la LFP "pour manquement observé" et "tromperie sur la marchandise") a annoncé aux présidents de club que le diffuseur enregistrait des pertes comprises « entre 200 et 250 millions d'euros cette saison ». Un gouffre.

Dans le détail, DAZN paie un total de 325 M€ cette saison (le contrat augmente chaque année) à la Ligue, auxquels il faut ajouter les frais pour la rédaction (journalistes, consultants, déplacements, hôtels...), mais aussi les moyens privatifs ou encore le marketing, la publicité... Au total, ces frais supplémentaires tourneraient autour de 35 M€, pour une enveloppe finale d'environ 360 M€. Tandis que les recettes, avec seulement 500 000 abonnés comme l'a révélé L'Équipe, tournent vraisemblablement autour de 120 M€. À l'arrivée, les pertes doivent donc être de l'ordre de 240 M€, dans la fourchette évoquée par le médiateur.

La LFP n'a pas vraiment de marge de manoeuvre
Au cours de cet échange, mercredi, le conciliateur a expliqué aux présidents de club présents (le Marseillais Pablo Longoria n'était pas là car il est suspendu après son dérapage contre l'arbitrage lors de la défaite 3-0 de son équipe à Auxerre, le 22 février) que la LFP n'avait pas vraiment de marge de manoeuvre face à DAZN, qui réclame une baisse très sensible de son contrat sous peine de tout arrêter dès la fin de la saison. Les patrons de club ont ouvert la porte à un retrait si DAZN paie la fin de la saison et verse un dédommagement de 200 millions pour 2025-2026. Mais il leur a été répondu par le médiateur qu'il ne fallait pas y songer, car DAZN n'accepterait jamais un tel deal.

Les négociations vont donc se poursuivre jusqu'à la fin de la semaine sous l'égide de la justice. Les protagonistes eux-mêmes ne savent pas où elles vont les mener. Si rien ne se décide vendredi, la médiation, déjà prolongée une première fois, pourrait éventuellement l'être à nouveau.

Pleine Lucarne du 07/04/2025

Pleine Lucarne du 07/04/2025

Le Stade Rennais franchit le cap du million d’abonnés sur TikTok

Le Stade Rennais Football Club franchit un cap dans sa stratégie digitale en dépassant le million d’abonnés sur TikTok. Une réussite fulgurante qui doit beaucoup à sa collaboration avec l’agence locale, With Barry, entamée en novembre 2024.

Le Stade Rennais franchit le cap du million d’abonnés sur TikTok

Et pour cause, en moins de cinq mois, cette alliance a permis au club breton de s’imposer comme une référence sur la plateforme préférée des jeunes générations, renforçant ainsi sa présence numérique et son attractivité auprès d’un public nouveau.

Depuis le début de ce partenariat, le compte TikTok du Stade Rennais a gagné près de 200 000 abonnés supplémentaires. Ce succès ne doit rien au hasard puisqu’il repose sur une stratégie minutieusement élaborée par With Barry, qui a su adapter la ligne éditoriale du club à la spontanéité et de l’énergie de TikTok.

Entre créativité, authenticité et respect de l’identité rouge et noir, les contenus proposés ont séduit les utilisateurs, générant pas moins de 33 millions de vues et 4 millions d’interactions en quelques mois seulement. Cette approche collaborative – menée à quatre mains entre l’agence et les équipes internes du SRFC – a permis de produire des vidéos percutantes, souvent virales, qui captent l’attention d’une audience jeune et connectée.

Pour information, le Stade Rennais devient le huitième club de Ligue 1 à franchir le cap du million d’abonnés sur TikTok, rejoignant le PSG, l’OM, l’OL, l’AS Monaco, le LOSC, l’OGC Nice et le RC Lens.

Moderne, progressiste, collaborative et énergétique

Novice en L1, le coach rennais Habib Beye a redonné depuis deux mois de la force à une équipe qui avait déraillé à travers un management persuasif et un projet de jeu engageant.
Moderne, progressiste, collaborative et énergétique

Habib Beye a récupéré fin janvier une équipe rennaise tête basse (16e), barbouillée par cinq revers d'affilée et secouée au mercato, et la voilà devenue "difficile à jouer" selon son coach propulseur de bonnes ondes. Elle est cinquième de Ligue 1 sur les huit dernières journées, carbure sur les courses à haute intensité, et si faire un bond jusqu'aux places européennes apparaît illusoire, la trajectoire est plus conforme aux moyens du club et aux dépenses hivernales - 75 M€, hors options d'achat obligatoire pour Lilian Brassier (12 M€) et non obligatoire pour Ismaël Koné (14 M€).

En interne, on loue une méthode Beye "moderne, progressiste, collaborative et énergétique." "Il montre sur un temps très court qu'il est taillé pour le job, ajoute un technicien qui a côtoyé celui qui a obtenu le BEPF en 2022. C'est quelqu'un de courageux, il le prouve dans sa manière de jouer et les profils jeunes qu'il lance."

À l'aise pour lancer des jeunes comme pour gérer des tauliers
Toujours installé dans un complexe hôtelier au sud de Rennes comme ses deux adjoints, Sébastien Bichard et Olivier Saragaglia, Beye (47 ans) étire en général ses journées à la Piverdière de 7h30 à 20 heures et il avait commencé par déminer la situation contre Strasbourg (1-0, le 2 février). Dans un schéma à trois défenseurs axiaux, il avait lancé dans l'entrejeu Djaoui Cissé (21 ans), ignoré par Jorge Sampaoli et Julien Stéphan, et le jeune milieu rennais a pris de l'épaisseur.

Beye a aussi hissé Kader Meïté (17 ans) sur le devant de la scène, désaxé Arnaud Kalimuendo, gère un Seko Fofana qui n'est pas à 100 %, peaufine associations et connexions au milieu et devant, et l'entrée décisive du milieu canadien Ismaël Koné à Angers dimanche (3-0) soulignait une implication élargie en même temps qu'une rédemption après ses déboires à l'OM.

"Habib est resté assez jeune dans son fonctionnement tout en étant très responsable, son côté multiculturel lui permet d'être rapidement connecté avec les différentes générations du vestiaire, poursuit le technicien qui l'a connu. Il aime bien alterner le studieux et le ludique à l'entraînement, en portant une attention particulière à ce que les joueurs prennent du plaisir, c'est vraiment un enjeu pour lui."

"La manière dont tu t'entraînes et dont tu réponds à ses exigences est plus importante que les statuts. Ça stimule"

Un proche d'un joueur rennais

"Je veux une équipe dominante, en capacité de faire mal à l'adversaire en permanence, c'est la théorie", avait annoncé Beye, pour qui s'en sortir passait donc par attaquer plus pour moins défendre, et mieux. "Il est toujours positif, aime travailler avec haute intensité, avec des idées claires, et je retrouve ce que j'ai connu avec des coaches précédents, avec la volonté d'attaquer, de presser, d'avoir le ballon", relevait vendredi Hans Hateboer, passé par l'école Gian Piero Gasperini à l'Atalanta Bergame et qui a pourtant perdu du temps de jeu.

Beye tricote donc ambition, sérieux et décontraction, offrant avec son staff une bouteille de vin de 1985 à Steve Mandanda pour ses 40 ans, et pour la blague, des charentaises. Il s'alarme aussi à la moindre anomalie ou insuffisance à ses yeux, les politesses en fin de match contre Paris (1-4, le 8 mars) ou ce match sans panache à Lens (0-1, le 15 mars), sort du groupe Mousa Al-Tamari après Paris, pique ou responsabilise indifféremment jeunes et cadres.

"C'est le bon meneur d'hommes qui fédère autour d'un projet de jeu convaincant, observe le proche d'un joueur. Il a tout de suite montré qu'il collait à ses mots, la manière dont tu t'entraînes et dont tu réponds à ses exigences en termes d'investissement et de comportement est plus importante que les statuts. Ça stimule." Doubler Auxerre, son adversaire ce dimanche (17h15), fait partie de l'objectif du jour, comme finir dans le top 10. Cette semaine, selon Beye, "il n'y a pas eu de relâchement".

Le Stade Brestois missionne des chiens pour détecter les fumigènes

Alors que le Stade Brestois reçoit Monaco samedi pour la 28e journée de Ligue 1, les supporters de la tribune Quimper du stade Francis-Le Blé seront, pour la deuxième fois, confronté à des chiens détecteurs de fumigènes. Après plusieurs amendes et fermetures de tribune, le club en fait un enjeu.

Le Stade Brestois missionne des chiens pour détecter les fumigènes

Pour le Stade Brestois, qui reçoit Monaco samedi à 19h pour la 28e journée de Ligue 1, il n'y aura pas de l'enjeu que sur le terrain où les Ti-Zefs, 8es, tenteront de battre les Monégasques, 2es du classement, pour entretenir leur espoir de jouer une coupe d'Europe l'an prochain. Ses regards seront aussi tournés en tribune Quimper où une nouveauté a fait son apparition, il y a deux semaines, lors de la rencontre face à Reims. Juste derrière les portes du stade, et juste avant les escaliers pour accéder à la tribune accueillant les Ultras Brestois et les Celtic Ultras, des chiens étaient présents. Ils sont spécialement formés pour détecter l'odeur des fumigènes, dont se munissent certains fans pour animer les rencontres, alors que leur usage est interdit dans l'enceinte sportive. Après plusieurs amendes à payer, et plusieurs matchs frappés d'une fermeture de la tribune, le Stade Brestois a décidé d'essayer cette nouvelle méthode.

Les fumigènes sont, de plus en plus, dissimulés dans les sous-vêtements
Quatre croix au sol, matérialisées au ruban adhésif, sont espacées d'environ 50 centimètres les unes des autres. Une maître-chien et son berger malinois, spécialement formé pour détecter les fumigènes ou les pétards comme d'autres le sont pour la drogue, passent en revue les supporters placés sur les croix. Ils sont de potentiels porteurs de fumigènes, malgré la palpation d'un agent de sécurité à l'entrée. On a pu lire, ce dimanche là, l'effet de surprise du dispositif sur les visages des fans brestois. Ces fumigènes sont, dans de très nombreux stades, l'objet d'un jeu du chat et de la souris entre les clubs et certains supporters, qui rivalisent d'ingéniosité pour en faire entrer en tribune. La technique de les cacher dans un sandwich est vieille comme le monde. Il y a aussi celle de les glisser dans les sous-vêtements, de plus en plus répandue, pour échapper aux palpations.

100.000 euros d'amende l'an passé et cinq matchs avec la tribune fermée depuis 2023
Mais, si le chien a un effet dissuasif certain, ce n'est pas non plus une fin en soi. Car, en cas de détection, et pour des raisons légales, il faut la présence d'un policier pour procéder ensuite à une fouille plus poussée. Le Stade Brestois, qui n'a pas voulu s'exprimer sur ce sujet, en fait un enjeu. A cause de l'usage des fumigènes, le directeur général déplorait dernièrement les 100.000 euros d'amende payés la saison passée et les cinq matchs joués avec la tribune Quimper fermée depuis le début de la saison 2023-2024. Il y a encore eu, cette saison, une amende de 21.000 euros prononcée par l'UEFA en raison d'un usage de fumigènes lors du match de Ligue des champions disputé par le Stade Brestois face au Real Madrid, sur la pelouse de Guingamp. "Un coût significatif qui aurait pu être investi dans des actions bénéfiques pour l’ensemble du club et ses supporters" disait Pascal Robert. Cette tribune fait d'ailleurs, en ce moment, l'objet d'une fermeture pour un match avec sursis, en cas de récidive. Une sanction prononcée, le 12 février dernier, par la commission de discipline de la Ligue de Football Professionnel après un allumage massif de fumigènes lors de la défaite 2-5 face au PSG le 1er février.

Rennes au cœur d'un énorme scandale en Ecosse

Arrivé comme un joueur d'impact en provenance du Celtic, Kyogo Furuhashi ne va certainement pas rester à Rennes. Son retour en Ecosse pourrait provoquer un petit séisme à. Glasgow.

Rennes au cœur d'un énorme scandale en Ecosse

Dans sa volonté de changer son effectif cet hiver, le Stade Rennais a fait de nombreux choix forts. Des valeurs sures de Ligue 1 ont été recrutées, comme Seko Fofana et Brice Samba, tous les deux passés par Lens même si l’Ivoirien a fait un intermède en Arabie saoudite. Parmi les coups tentés par le club breton, se trouve Kyogo Furuhashi, alors buteur vedette du Celtic Glasgow et pour lequel les Rouges et Noir ont lâché 10 millions d’euros. Les Bhoys n’ont pu que s’incliner, d’autant que le joueur japonais a souhaité partir pour essayer de gagner sa place en sélection nationale en vue de la Coupe du monde. Mais l’aventure de l’attaquant nippon est en train de tourner à la catastrophe. Habib Beye a fait savoir qu’il ne l’avait pas recruté et que son système tactique n’était pas spécialement fait pour lui. En plus de cela, Furuhahsi est blessé à l’épaule et doit se faire opérer en fin de saison, signe qu’il n’est pas à 100 % physiquement.

Un passage à l'ennemi qui peut rendre fou

Son avenir dans la cité bretonne est compromis, et le Celtic Glasgow a déjà été annoncé comme un candidat pour le récupérer l’été prochain. Mais son avenir pourrait plutôt être chez l’ennemi juré des Glasgow Rangers, dans un transfert qui mettrait le feu aux poudres en Ecosse entre deux clubs dont la rivalité est toujours exacerbée. Journaliste et suiveur de la Scottish Premier League, Scott McDermott a reconnu que ce serait une magnifique prise pour les ‘Gers’ d’aller chercher Furuhashi. "Ce serait un coup brillant. Il leur apporterait quelque chose qu’ils n’ont pas en terme de rythme et de qualité de passe. Je pense que ce serait une grande recrue, faut le faire signer", a confié celui qui collabore pour deux grands journaux écossais que sont le Daily Record et le Sunday Mail. Si les qualités du Japonais sont indéniables pour n’importe quelle équipe du championnat écossais, ce changement de cap risquerait toutefois de bouleverser les fans des deux côtés de la cité écossaise.

Ismaël Koné savoure son arrivée en Bretagne et il fait une déclaration émouvante

Ismaël Koné semble avoir retrouvé sa forme avec le Stade Rennais, après des débuts difficiles à l’Olympique de Marseille. Le joueur canadien a marqué son premier but en Ligue 1 lors d’un match contre Angers SCO, où Rennes a triomphé 3-0.

Ismaël Koné savoure son arrivée en Bretagne et il fait une déclaration émouvante

Après ce match, Koné a exprimé sa gratitude envers ses coéquipiers dans un discours émouvant. Il a souligné les difficultés rencontrées au cours des mois précédents, affirmant que ces moments éprouvants ont été un défi à surmonter dans sa jeune carrière.

Le joueur a partagé à quel point il est important pour lui de profiter du football, un sport qui n’est pas accessible à tous. Il a évoqué des amis qui n’ont pas eu l’opportunité de devenir professionnels, ajoutant que lui et ses coéquipiers les représentent sur le terrain.

En parlant de l’atmosphère au sein de l’équipe, Koné a mentionné que voir ses coéquipiers sourire chaque jour lui redonne le sourire. Il a spécifiquement cité Steve, connu pour ses blagues constantes, qui contribuent à la bonne humeur du groupe.

Koné a conclu son discours en remerciant sincèrement ses coéquipiers : « Du fond du cœur, je voudrais vous dire merci ». Ces mots reflètent l’importance du soutien collectif dans sa reprise de confiance et de forme sur le terrain.

Ce moment de partage illustre l’esprit d’équipe qui anime le Stade Rennais, et souligne comment des gestes simples peuvent avoir un impact significatif sur le moral d’un joueur.

DAZN prêt à abandonner la Ligue 1 dès la fin de saison

Le conflit entre la LFP et DAZN pourrait bien déboucher sur le désengagement de la plateforme britannique, et ce dès la fin de la saison.

DAZN prêt à abandonner la Ligue 1 dès la fin de saison

Depuis le 28 février, la Ligue de Football Professionnel (LFP) et DAZN ont repris leurs discussions sous la supervision d’un médiateur, espérant apaiser les tensions après la mise sous séquestre de 35 millions d’euros par la plateforme britannique. Pourtant, malgré un climat jugé moins agressif, la situation semble toujours bloquée, et DAZN envisagerait sérieusement de rompre son contrat dès la fin de la saison.

Une médiation qui peine à avancer
L’intervention d’un médiateur, apprécié des deux parties pour sa compétence et sa franchise, a permis de relancer un dialogue plus serein. Mais sur le fond, les discussions restent dans l’impasse, comme vient de le dévoiler RMC Sport. L’un des points d’achoppement majeurs concerne l’engagement des clubs vis-à-vis de DAZN. La plateforme considère que les clubs ne respectent pas suffisamment le plan d’action mis en place, notamment en matière d’accès aux joueurs pour des interviews exclusives et d’ouverture des coulisses. DAZN demande donc une révision du modèle de rémunération, avec une part fixe et une part variable dépendant du respect des engagements des clubs.

Autre point de tension : la lutte contre le piratage. DAZN attendait un renforcement des mesures, mais le projet de loi en cours de discussion ne devrait pas aboutir avant fin 2025, un délai jugé trop long par la plateforme. Après plus d’un mois de discussions infructueuses, la lassitude gagne du terrain chez DAZN. Lorsqu’elle avait refusé de payer la totalité de son échéance en février, la plateforme espérait un électrochoc au sein du football français. Mais à ses yeux, rien n’a réellement changé.

Le risque d’un nouvel impayé plane sur la Ligue 1
Selon RMC, DAZN envisagerait désormais de rompre son contrat à la fin de cette saison, sans attendre la clause de sortie prévue en décembre 2025. La plateforme aurait déjà fait part de cette volonté à la LFP. La Ligue, qui perçoit cette menace comme une tactique de négociation, a répondu en proposant de sanctionner plus lourdement les clubs ne respectant pas leurs engagements. Une mesure qui n’a pas convaincu DAZN, dont la détermination à se désengager semble croissante. Si la rupture venait à être confirmée, un bras de fer juridique pourrait alors s’ouvrir entre les deux parties.

Consciente du risque d’un départ prématuré de DAZN, la LFP réfléchit à des solutions alternatives. Toutefois, une clause du contrat l’empêche actuellement de négocier avec d’autres diffuseurs, sauf si DAZN accepte d’y renoncer en échange d’une compensation. Le projet d’une chaîne produite en interne par la LFP apparaît aujourd’hui comme la seule alternative viable. Mais sa mise en place nécessiterait du temps et des ressources financières importantes.

Alors que la prochaine échéance de paiement de DAZN est fixée au 30 avril, le risque d’un nouvel impayé plane sur la Ligue 1. Le diffuseur pourrait décider de ne pas verser la totalité des 70 millions d’euros prévus si les clubs ne respectent pas les engagements demandés. Une situation qui pourrait encore fragiliser les finances de nombreux clubs à l’approche de la fin du championnat. De ce fait, la médiation devrait encore se poursuivre dans les semaines à venir. Mais à ce stade, la Ligue 1 pourrait bien se retrouver sans diffuseur principal dès cet été, ouvrant la porte à une nouvelle crise sans précédent.

DAZN menace la Ligue 1 d'un écran noir

Les événements semblent se précipiter concernant la diffusion de la Ligue 1 sur DAZN. Alors que la chaîne a un contrat jusqu'en 2029, tout pourrait s'arrêter en fin de saison.

DAZN menace la Ligue 1 d'un écran noir

Depuis plusieurs mois, la menace d'une possible rupture de contrat entre DAZN et la Ligue de Football Professionnel planait, puisqu'une clause prévoyait la possibilité pour les deux camps de mettre fin à leur relation à la fin du championnat 2025-2026 si DAZN n'atteignait pas la barre des 1,5 million d'abonnés en décembre prochain. Mais, ce mercredi, RMC annonce que finalement les choses pourraient s'accélérer et que dès cette fin de saison, la LFP pourrait se retrouver sans diffuseur pour huit des neuf matchs par journée de Ligue 1 que diffuse la chaîne du groupe anglais. Selon Loïc Briley et Arthur Perrot, du côté de DAZN, on a même prévenu Vincent Labrune de cette possibilité de plus en plus forte d'une rupture au soir de la fin de l'actuelle saison. Un divorce dont Jérôme Rothen avait déjà parlé cette semaine.

DAZN veut partir et vite

« Selon nos informations, DAZN songe désormais à rompre son contrat de diffuseur plus tôt que ce que lui permet la clause de sortie au bout de deux saisons et activable en décembre prochain. En clair: DAZN souhaiterait arrêter de diffuser la Ligue 1 au plus vite, soit à l’issue de la 34e journée et des barrages prévus fin mai après seulement une saison de diffusion. Une information qui a été transmise à la LFP », précisent les deux journalistes, qui expliquent que du côté de DAZN, on estime que les clubs de Ligue 1 ne lui permettent pas de travailler sérieusement sur les magazines et l'habillage des matchs, et que la lutte contre le piratage de ses programmes est dérisoire face à un raz de marée. Tout cela intervient évidemment après les nouvelles révélations sur une récente réunion de la LFP durant laquelle plusieurs dirigeants de Ligue 1 auraient remis en cause la qualité de la diffusion des matchs de Ligue 1 et surtout la politique tarifaire initiale de DAZN.

En attendant de savoir si ces menaces de partir en fin de saison sont mises à exécution, DAZN va devoir régler à la fin du mois d'avril une partie de ses droits TV, et nul ne sait si le diffuseur de la Ligue 1 le fera. En tout cas, du côté de la Ligue de Football Professionnel, on doit désormais se préparer réellement à monter cette fameuse chaîne déjà envisagée l'an dernier et qui permettra de ne plus dépendre d'un diffuseur extérieur. Seul souci, rien ne dit que le succès populaire de cette chaîne sera au rendez-vous, d'autant que Beinsports aura toujours un match de son côté et que le rêve d'un uniquement abonnement pour toute la Ligue 1 ne sera pas réalisable.

DAZN souhaiterait casser son contrat à la fin de la saison

À en croire RMC, DAZN souhaiterait casser son contrat avec la LFP dès la fin de la saison, en ce qui concerne la diffusion de la Ligue 1. La plateforme britannique ne voudrait même pas attendre l’activation de sa clause de sortie, prévue en décembre.
DAZN souhaiterait casser son contrat à la fin de la saison

C’est une histoire qui a commencé à reculons, et qui pourrait se finir dans le mur. L’été dernier, après d’interminables recherches de diffuseurs, la LFP avait fait le choix de miser sur le tandem DAZN - bein Sports. La plateforme britannique, désireuse de s’implanter sur le marché français, avait alors récupéré les droits de 8 matchs sur 9 pour chaque journée de Ligue 1, au prix de 400 millions d’euros par saison (beIN avait récupéré le dernier match pour 100 M€, soit 80 M€ de droit + 20 de sponsoring).

Si DAZN s’était fixé l’objectif d’atteindre 1,5 million d’abonnés fin 2025, cette ambition s’apparente aujourd’hui à une chimère. La plateforme britannique ne totaliserait que 600 000 abonnés à date, et sa relation avec la Ligue s’est nettement refroidie au cours des derniers mois. En janvier, DAZN avait même retardé le paiement de son échéance, reprochant à la LFP son absence de mesures contre le piratage, son manque de transparence sur le contexte du marché français, notamment sur le potentiel d’abonnés à la Ligue 1, ou encore le manque d’ouverture des clubs pour créer du contenu exclusif.

DAZN pourrait plier bagage après les barrages
Si elle a fini par payer son écot, rien n’indique pour autant qu’elle s’acquittera de la prochaine. Le diffuseur réclame toujours la somme faramineuse de 573 M€ de dédommagement à la LFP. Une médiation est d’ailleurs menée sous la surveillance de la justice, mais celle-ci n’avance pas. L’incertitude est donc très grande, au point que RMC avance ce mercredi l’idée de voir le contrat être rompu d’ici à la fin de la saison. Face à l’absence de réponses de la LFP sur ses interrogations, DAZN songe désormais à plier bagage, explique RMC.

Et le diffuseur ne souhaiterait même pas attendre sa clause de sortie au bout de deux saisons, activable en décembre prochain. Son objectif serait d’arrêter de diffuser la Ligue 1 «au plus vite», c’est-à-dire après les barrages prévus fin mai, et la chaîne aurait déjà signifié ses intentions à la LFP (RMC croit aussi savoir que DAZN réfléchirait à faire sauter sa clause de sortie, à condition d’obtenir une contrepartie). Faut-il y voir une stratégie pour renégocier les contours du contrat ? Difficile de s’avancer avec trop de conviction, mais ce qui est certain, c’est que la tension est palpable entre les deux parties.

Le beau discours d’Ismaël Koné dans le vestiaire rennais

Ismaël Koné a connu un bon dimanche, au stade Raymond Kopa, en contribuant grandement à la victoire rennaise sur la pelouse d’Angers (0-3). Entré peu après l’heure de jeu, l’international canadien a signé son premier but en Ligue 1 (très joli, pour ne rien gâcher) et délivré une passe décisive pour Arnaud Kalimuendo en fin de partie.

Le beau discours d’Ismaël Koné dans le vestiaire rennais

Un moment particulier pour le milieu de terrain de 22 ans, qui n’avait pas convaincu à l’OM en première partie de saison après un transfert de 12 millions d’euros cet été (9 apparitions) et qui avait filé en prêt en Bretagne dès cet hiver, avec une option d’achat estimée à environ 14 millions d’euros.

Les sept derniers mois étaient très difficiles
Au point qu’il a tenu à prendre la parole dans le vestiaire en s’adressant à ses coéquipiers, comme dévoilé dans une vidéo publiée sur la chaîne Youtube du Stade rennais : "Je voulais juste vous dire merci, car les sept derniers mois étaient très difficiles, même dans ma jeune carrière, j’ai eu beaucoup de coups bas (sic). C’était difficile de revenir et quand je vois tout le monde, ça m’a redonné le sourire et à quel point c’était important d’apprécier ce sport.?»

Avant de poursuivre jusqu’à déclencher les applaudissements (et les rires) de ses partenaires : "Ce n’est pas tout le monde qui a cette opportunité, on a tous des amis qui n’ont pas signé pro et qui en ont rêvé, c’est nous qui les représentons. Quand je vois Nagi (Nagida) sourire, Sishu (Sishuba), Steve (Mandanda) qui fait des blagues tout le temps. Du fond de mon cœur, j’aimerais vous dire merci."

Des centaines de maillots sportifs vintage à Cesson-Sévigné

Du mercredi 2 au samedi 5 avril 2025, les passionnés de foot et de basket pourront retrouver dans une boutique éphémère, à Cesson-Sévigné, les maillots authentiques de leurs équipes préférées.

Des centaines de maillots sportifs vintage à Cesson-Sévigné

Du mercredi 2 au samedi 5 avril, le centre commercial Carrefour de Cesson-Sévigné se transforme en sanctuaire du maillot vintage. Football Shirt Vintage, expert reconnu depuis plus de quinze ans, et All Star Vintage Shop, spécialiste des maillots NBA, s’associent pour créer une boutique éphémère. Maillots mythiques, éditions limitées, pièces rares, etc. "Une véritable plongée dans l’histoire du sport attend les visiteurs", qu’ils soient collectionneurs avertis ou simples amateurs.

L’emblématique maillot du PSG
"Venez dénicher le maillot qui fera vibrer votre cœur de supporter", encouragent les organisateurs de la vente. De l’emblématique maillot du PSG floqué au nom de Ronaldinho à celui de Zidane en équipe de France, sans oublier les centaines de maillots de NBA, ce sont plus de 5 000 pièces uniques qui seront mises à disposition des fans de sport. Ils pourront également y retrouver des maillots de rugby, de cyclisme ou encore de handball.

L’autre boutique, My’Shoes Outlet proposera une large variété de vêtements, chaussures et accessoires de marque "à des prix abordables" pour hommes, femmes et enfants. Chacun y trouvera des pépites avec des produits rares, de la mode, du sport et une partie "sneakers addict".

Le football français déclare la guerre à Bruno Retailleau et au gouvernement

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, mène une offensive contre plusieurs associations de supporters, accusées de débordements et de comportements jugés inacceptables dans les stades. Alors que cinq groupes, dont les Magic Fans et la Brigade Loire, sont menacés de dissolution, l’Association Nationale des Supporters (ANS) dénonce une stigmatisation systématique et suspend son dialogue avec les autorités. Cette tension croissante entre le gouvernement et les ultras met en lumière des divergences profondes sur la gestion du supportérisme en France.
Le football français déclare la guerre à Bruno Retailleau et au gouvernement

Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, est actuellement en conflit avec plusieurs associations de supporters de football en France, notamment en raison de sa décision de lancer des procédures de dissolution contre certains groupes ultras. Cette initiative fait suite à divers incidents survenus dans les stades cette saison, tels que le déploiement d’une banderole pro-palestinienne par le Collectif Ultras Paris lors d’un match de Ligue des Champions au Parc des Princes, que le ministre a fermement condamné en déclarant que «ce tifo n’avait pas sa place dans ce stade» et en envisageant des sanctions à l’encontre des clubs ne respectant pas les règles. De plus, des chants homophobes entendus lors de plusieurs rencontres ont conduit Bruno Retailleau à proposer des mesures telles que la mise en place d’une billetterie nominative et l’augmentation du nombre de policiers en civil dans les stades pour identifier et sanctionner les fauteurs de troubles. Le ministère de l’Intérieur, sous la direction de Bruno Retailleau, envisage la dissolution de plusieurs groupes de supporters en raison d’incidents survenus dans les stades.

Les groupes concernés incluent : Offenders (Strasbourg), Magic Fans et Green Angels (AS Saint-Étienne), Légion X (Paris FC) et Brigade Loire (FC Nantes). Ces procédures de dissolution, initiées fin 2024, font suite à une enquête menée par le ministère de l’Intérieur, qui avait initialement identifié neuf groupes de supporters avant de réduire la liste à cinq. Les groupes concernés auront l’opportunité de se défendre devant une commission composée de huit membres. Ces actions ont suscité une vive réaction de l’Association Nationale des Supporters (ANS), qui accuse le ministre de prendre des décisions politiques sans concertation préalable et de considérer les supporters comme des «terrosupporters». Lors de son assemblée générale, l’ANS a critiqué le manque de dialogue avec les autorités, notamment avec la ministre des Sports, Marie Barsacq, et a annoncé plusieurs mesures, dont la suspension du dialogue avec les instances nationales et locales, ainsi que la mise en retrait de l’Instance nationale du supportérisme jusqu’au 2 avril.

Un weekend marqué de vives réactions dans les tribunes !
Ce week-end, de nombreuses banderoles déployées dans les stades de Ligue 1 et Ligue 2 ont ciblé Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, alors que plusieurs groupes de supporters risquent une dissolution. En réponse, une majorité d’ultras ont exprimé leurs revendications à travers ces messages. À Reims, le parcage marseillais a ainsi clamé : "Retailleau : stop aux dissolutions des groupes ultras". À Monaco, on pouvait lire : "La dissolution ne sera jamais la solution". De leur côté, les Ultras Boys de Strasbourg ont dénoncé, lors d’un match contre Lyon, que "la dissolution des groupes ultras est une basse manœuvre politique, l’entêtement d’un homme incompétent et isolé ; revenez d’urgence à la raison". Les supporters de Metz ont même poussé leur revendication plus loin en déclarant : "Le véritable dialogue suppose la reconnaissance d’interlocuteurs. Pas d’interlocuteurs, pas de dialogue. Pas de dialogue, pas de paix. Qui prend la responsabilité? Le ministère de l’Intérieur?». Ce message a trouvé un écho dans les tribunes de Guingamp, qui ont ajouté : "Retailleau, à vouloir faire cavalier seul, cela va te retomber sur le coin de la gueule. Non aux dissolutions».

Mais d’autres stades de France ont emboîté le pas, notamment à Saint-Etienne, qui ont même organisé des manifestations dans les rues de la ville avant le match contre le PSG : "Retailleau, ton nom sera synonyme de chaos", ont abondé les supporters stéphanois au stade Geoffroy-Guichard, avant que les supporters de Rouen en National ont tapé plus fort : "Retailleau, fort avec les ultras mais timidement face aux OQTF". Les Indians Tolosa, ultras du Toulouse FC, ont joué sur les mots en évoquant l’intention d’interdire le port du voile dans le sport : "Retailleau : si quelqu’un se voile la face, c’est bien toi. Vive le sport et, par conséquent, à bas les dissolutions!". Pour les supporters de Lille, "Retailleau, d’Intervilles à Beauvau, c’est magouille et compagnie", faisant allusion aux accusations de tricherie pesant sur l’ancien conseiller général de Vendée, lors de l’émission Intervilles, où s’étaient affrontés en 1997 le Puy du Fou et Ancenis. Près de 163 associations de supporters dans toute la France ont signé l’appel de l’Association nationale des supporters (ANS) pour «s’opposer à la destruction administrative des bénévoles qui animent les tribunes et qui sont les interlocuteurs des clubs et des autorités pour garantir la sécurité en tribunes».

«Sur toute la saison dernière, il n’y a eu que 24 interpellations à l’occasion des rencontres de l’AS Saint-Etienne. C’est un épiphénomène. ll y a une méconnaissance à Paris, au sein des services centralisés de l’administration sur la réalité d’une association de supporters, a fortiori à Saint-Etienne. Deux coups de téléphone et cinq minutes de travail de terrain auraient suffi pour se rendre compte que ce n’est pas la réalité. Tant que l’effort d’identifier les coupables individuellement ne sera pas fait par l’Etat, la police et la justice, déstructurer ne fera qu’amplifier le problème. Cette mesure va détruire ce qui a été construit pendant 33 ans. Elle n’écartera pas les personnes qui se comportent mal», a précisé Pierre Barthélémy, l’avocat des deux groupes de supporters. Les deux groupes de supporters stéphanois seront auditionnés mardi. Le ministère de l’Intérieur pourrait alors envisager leur dissolution par un décret signé du Premier ministre. Si cela se concrétise, les Magic Fans et les Green Angels disposeront de sept jours pour faire appel devant le Conseil d’État.

S.G.S.B.

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