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Les affluences de la saison 2021/2022

Affluence moyenne par club, taux de remplissage… Tous les chiffres à retenir côté tribunes pour la saison écoulée en Ligue 1 Uber Eats.

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Près de 10 millions de spectateurs ont garni les tribunes des stades de Ligue 1 Uber Eats et de Ligue 2 BKT en 2021/2022 dont 7 800 445 pour les clubs de l’élite ! Lors d’une saison marquée par le spectacle offert sur le terrain, la moyenne de spectateurs par match s’élève à 22 942. Elle augmente même à 24 140 spectateurs lors de la phase retour. Au total, le taux de remplissage a été de 73,9% dans le championnat de France.

L’OM devant le PSG et l’OL
C’est l’Olympique de Marseille qui possède l’affluence moyenne la plus élevée du championnat avec 56 783 spectateurs par match à l’Orange Vélodrome cette saison. L’OM devance le PSG (47 283) et l’Olympique Lyonnais (40 286). Deux autres clubs dépassent les 35 000 spectateurs de moyenne : le RC Lens et le LOSC.

Les affluences par club lors de la saison 2021/2022 :

  1. Olympique de Marseille : 56 783
  2. Paris Saint-Germain : 47 283
  3. Olympique Lyonnais : 40 286
  4. RC Lens : 36 003
  5. LOSC : 35 982
  6. Stade Rennais FC : 26 637
  7. AS Saint-Etienne : 25 805
  8. FC Girondins de Bordeaux : 25 005
  9. RC Strasbourg Alsace : 24 574
  10. FC Nantes : 22 309
  11. OGC Nice : 20 786
  12. FC Metz : 17 465
  13. FC Lorient : 13 201
  14. Stade Brestois 29 : 12 650
  15. Stade de Reims : 12 024
  16. Clermont Foot 63 : 11 720
  17. Montpellier Hérault SC : 11 436
  18. ESTAC Troyes : 9 645
  19. Angers SCO : 8 361
  20. AS Monaco : 5 781

Le Parc des Princes et Gabriel-Montpied les plus remplis
Côté taux de remplissage, on trouve 5 clubs à plus de 90% sur la saison 2021/2022 : le PSG, le Clermont Foot 63, le RC Lens, le RC Strasbourg Alsace et le Stade Rennais FC. L’OM et le Stade Brestois 29 dépassent, eux, les 80%.

Le taux de remplissage par club lors de la saison 2021/2022 :

  1. Paris Saint-Germain : 99%
  2. Clermont Foot 63 : 95%
  3. RC Lens : 95%
  4. RC Strasbourg Alsace : 95%
  5. Stade Rennais FC : 91%
  6. Olympique de Marseille : 87%
  7. Stade Brestois 29 : 83%
  8. FC Lorient : 78%
  9. LOSC : 73%
  10. Olympique Lyonnais : 70%
  11. Angers SCO : 65%
  12. FC Metz : 64%
  13. FC Nantes : 63%
  14. AS Saint-Etienne : 61%
  15. Girondins de Bordeaux : 60%
  16. Stade de Reims : 59%
  17. OGC Nice : 60%
  18. Montpellier Hérault SC : 54%
  19. ESTAC Troyes : 48%
  20. AS Monaco : 47%

(*) Les 20e, 21e et 22e journées de championnat n’ont pas été comptabilisées dans les moyennes, la situation sanitaire ayant imposé des jauges réduites dans les stades pendant cette période de la saison. Les huis-clos totaux n'ont pas non plus été pris en compte.

Cinq choses à savoir sur Steve Mandanda

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Ses 3 autres frères sont aussi gardiens professionnels

Steve Mandanda est l’ainé d’une famille destinés à être dernier rempart ! En effet, ses trois frères sont également gardiens de but : Parfait, formé à Caen est lancé à Beauvais et voyagera un peu partout à partir de 2010 : Turquie, Belgique, Roumanie ou encore aux Etats Unis. Riffi, lui, a évolué dans les divisions françaises amateurs entre 2011 et 2015. De juillet 2015 à aujourd’hui, il tutoie le monde professionnel avec des passages à Ajaccio, Boulogne, Kongsvinger en Norvège ou encore… Rennes, où il est resté six mois en 2020 en tant que 4ème gardien. Il évolue désormais à Créteil. Over, le petit dernier, ne compte en revanche aucun match professionnel. Il a évolué en National à Créteil et Laval avant de signer à Saint Priest en N2 dont il défend encore les couleurs. Une histoire de famille, on vous dit, où l’aîné a clairement montré l’exemple !

Mandanda et les Bleus

Un destin international, dès Le Havre, les spécialistes ne s’y étaient pas trompés ! Steve Mandanda honore sa première sélection le 27 mai 2008 contre l’Equateur (2-0), jour de doublé d’un certain Bafé Gomis, avec l’Euro 2008 en ligne de mire. Néanmoins, pas de chance pour le gardien formé au Havre, l’étoile montante Hugo Lloris s’impose dans le but tricolore et le pousse au poste de numéro 2, qu’il occupera pendant plus d’une décennie. Dans le groupe, il est un leader et un élément important dans la vie du groupe. Son état d’esprit et son niveau de performance lui permettent de passer douze ans en Bleu. Avec ses 34 sélections, il est le septième gardien le plus capé de l’histoire en Equipe de France, à égalité avec Grégory Coupet mais aussi la perspective d’un dernier grand événement en novembre prochain au Qatar, au poste de numéro 3 s’il performe en Bretagne. Au mieux, si Hugo Lloris ou Mike Maignan venaient à ne pas être du rendez-vous… Une vraie carte à jouer pour lui, on vous dit !

Une légende de l’OM

Sur la Cannebière, inutile de parler de Pau Lopez, Stéphane Trévisan ou de Stéphane Porato. Même Andreas Kopke, passé par le club au début du siècle, n’évoque pas le dixième d’un frisson en comparaison à Mandanda, vraie légende de l’OM. Arrivé en 2007 dans la cité phocéenne pour concurrencer puis prendre la place de Cédric Carrasso, le gardien né à Kinshasa (Ex-Zaïre, devenu République Démocratique du Congo) va vite mettre tout le monde d’accord. Avec Marseille, il va disputer 613 matchs en pros (dont 152 clean Sheet) et devenir le joueur le plus capé du club. Néanmoins, l’arrivée de Sampaoli en février 2021 pousse Steve Mandanda sur le banc. Malgré le départ du fantasque coach argentin, le nouveau gardien rennais et l’OM décident de se séparer en ce mois de juillet en résiliant son contrat en accord avec Pablo Longoria. Les histoires d’amour finissent mal…

Un passage express à Crystal Palace

A l’été 2016, Mandanda choisit la Premier League pour vivre sa première et à ce jour unique expérience hors France, en s’envolant vers Crystal Palace. Il y dispute son premier match le 23 août 2016 mais ne réussira pas à s’imposer dans ce club à la mentalité et au style so british… Barré par le Gallois Wayne Hennessey, pourtant bien moins fort, Mandanda joue peu. Durant la saison, il ne participe qu’à 10 matchs entre août et novembre 2016 où il ne réalise aucun clean sheet et vis une vraie déception. Ce loupé lui coupe l’envie de PL et un retour à l’OM s’effectue assez naturellement, marquant la fin de son aventure avec les Eagles. Le seul vrai raté d’une carrière très solide !

Steve Mandanda "ll fénoméno"

Ce n’est pas le moindre des surnoms… Avant lui, seul le Ballon d’Or Ronaldo, « do Brasil », eut le droit à pareil surnom. Les supporters marseillais affublent Steve Mandanda qui même surnom, à force d’exploits répétés dans le but olympien et d’un style très spectaculaire. « ll fénoméno », d’un côté à l’autre du terrain, du Brésil à la France.

Saada confirme, Canal+ a la rage contre la LFP

Après l’acquisition des droits TV des compétitions européennes, Canal+ risque de négliger le prochain appel d’offres de la Ligue 1. Une stratégie assumée par le président Maxime Saada, toujours remonté contre la Ligue de Football Professionnel.

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Pour la période 2024-2027, il faudra avoir un abonnement à Canal+ afin d'accéder à tous les matchs des compétitions européennes. La chaîne cryptée a en effet raflé les droits TV de la Ligue des Champions, de la Ligue Europa et de la Ligue Europa Conférence, le tout pour 476 millions d’euros par saison. Avec un tel investissement, Canal+ ne fera sûrement pas monter les enchères lors de l’appel d’offres de la Ligue 1 l’année prochaine. Et pour cause, son président Maxime Saada reste marqué par le traitement infligé par la LFP, qui avait privilégié Mediapro.

Canal+ a mis fin à sa dépendance
"L'enjeu était de devenir moins dépendant de la L1. J'ai très mal vécu l'appel d'offres de mai 2018 lorsque nous sommes repartis sans L1 à un moment où nous pouvions difficilement nous en passer, d'où cet accord de sous-licence avec beIN pour récupérer ses deux matchs par journée, a expliqué le dirigeant à L’Equipe. Notre ambition était de faire reposer Canal sur davantage de piliers, je pense que nous avons réussi. Nous ne sommes plus en situation de dépendance absolue à l'un ou l'autre de nos contenus."

C’est sûr, la Ligue 1 n’a plus la même importance pour Canal+. A tel point que les matchs ne sont plus diffusés sur sa chaîne principale. "Déjà sur les audiences, la moyenne de nos matchs de L1 cette saison, c'est un rapport de 1 à 3 par rapport à la C1 (533 000 de moyenne contre 1,6 million pour la Ligue des champions), s’est défendu Maxime Saada. Mais le choix de la chaîne de programmation ne joue pas sur ces résultats. Quand nous ne pouvons pas diffuser un Grand Prix de F1 sur Canal+ et qu'on le bascule sur Canal+ Décalé, nous faisons de grosses audiences."

"Quand ils sont intéressés, nos abonnés savent changer de chaîne. On ne dégrade pas une compétition en la positionnant sur Canal+ Décalé, a poursuivi le président. Lorsqu'on est sur un prime du samedi soir, qui est une affiche notoire de la L1, tout le monde sait où la regarder. La même programmation la saison prochaine ? Absolument, avec quelques ajustements. Avec le Top 14, le samedi et le dimanche en prime time sur Canal+ premium, nos audiences et le nombre de fans de rugby progressent. Nous n'avons pas de raison de changer de politique."

Rien de très rassurant pour le football français, qui peut se demander si Canal+ compte participer à l’appel d’offres de la Ligue 1 l’année prochaine. "L'avenir le dira... Cela reste un produit important en télé payante mais nous verrons en fonction des circonstances, du prix et de ce qui se passera à ce moment-là sur le marché français", a prévenu Maxime Saada, prêt à profiter d’une possible absence de concurrence pour récupérer des droits à bas prix.

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Les secrets de conception du nouveau ballon de ligue 1

Qui aurait parié sur Kipsta, la marque de foot populaire par excellence de Decathlon, pour décrocher le statut de fournisseur officiel du ballon de la Ligue 1 et de la Ligue 2 jusqu’en 2027 ? Pas grand monde. Mais c’était méconnaître le savoir-faire de Decathlon, l’enseigne préférée des Français. Suite de notre immersion, cette fois pour plonger dans les secrets de la conception de ce fameux ballon.

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C’est à Tourcoing, cette fois, que ça se passe, au "Kipstadium", ce centre de conception et de développement des produits sports collectifs de l’enseigne, aménagé sur les friches de la Brasserie Terken et de l’ancien dépôt Transpole. C’est là qu’a été conçu, testé et validé le ballon Kipsta, celui qui succédera dès la saison prochaine (et jusqu’en 2027) à la marque allemande Uhlsport sur les pelouses de Ligue 1 et de Ligue 2.

Il faut bien le dire, c’est inattendu. Non pas que cette marque, qui a vu le jour en 1998 après Tribord, Quechua (1996) et Solognac (1997), ne soit pas performante, mais elle est pour le moins connotée. Longtemps, c’est vrai, on a eu cette image de produits destinés aux primo-accédants, aux loisirs, à la famille, jusqu’au niveau intermédiaire. Kipsta, c’était bien pour débuter, pour équiper nos gamins, mais pas pour performer?, convient Frédéric Boistard, patron de Kipsta, l’une des 85 marques en propre de l’enseigne Decathlon.

Mais la stratégie de développement a évolué, quittant peu à peu les rives des années 2000 où Kipsta était considérée en effet comme bonne pour les enfants et le jardin. Si l’ambition reste la même, à savoir satisfaire le plus grand nombre de clients grâce à des produits techniques à des prix abordables, la marque est aujourd’hui en mesure de plaire à des joueurs de football réguliers voire des experts.

"Les gants de Jean-Louis Leca coûtent 45€ en magasin"
Pour élever le curseur de la qualité de ses produits, Kipsta a fait du Decathlon, à savoir : multiplier les partenariats techniques et faire bosser les équipes dédiées. On le sait assez peu, mais une quinzaine de joueurs de Ligue 1 et de Ligue 2 travaillent avec Kipsta, au premier rang desquels on trouve Jean-Louis Leca, le gardien de but du RC Lens, pour les gants, Yannick Cahuzac, l’autre Corse sang et or (désormais retraité), pour les chaussures, Jessy Moulin (Troyes), Quentin Bernard, latéral gauche de l’AJ Auxerre, et d’autres.

Ce n’est pas juste pour faire joli car monter un partenariat d’image avec un produit de mauvaise qualité serait destructeur et la marque le sait. Ainsi, Jean-Louis a développé avec nous pendant plusieurs années les gants avec lesquels il joue. Il a fait tous les tests, a choisi les composants, les grips, etc. Une fois que l’on dispose d’un produit dont on est certain qu’il n’a rien à envier à la concurrence, on le valorise. Et on le propose à la vente à des prix accessibles. Les gants de Jean-Louis Leca coûtent 45€ en magasin, les chaussures de Cahuzac, c’est 50€. ?La concurrence, c’est deux, trois voire quatre fois plus cher. On fait les choses dans l’ordre?, se plaît à dire Frédéric Boistard.

Revenons à nos ballons. Quand l’équipe Kipsta a vu sortir l’appel d’offres de la Ligue de Football Professionnel, elle a sauté sur l’occasion. On était en novembre 2020. Rien n’était prémédité ni vertical. Depuis 2013, elle avait un ballon Kipsta homologué Fifa, depuis 2014 un ballon homologué Fifa Pro. On voyait de temps en temps passer des appels d’offres, mais on ne se sentait pas forcément prêts ni crédibles.

"On voulait être certain de la qualité de notre produit"
Pourquoi se sentir plus crédible en 2022 ? Il faut rembobiner : en 2017, Decathlon avait tenté le pari de ne plus vendre que ses produits maison dans ses magasins. Les clients ont dit non ?au bout de quelques mois, souhaitant continuer à avoir le choix dans les rayons avec d’autres marques. Néanmoins, cette période-là a boosté l’innovation,?poursuit Frédéric Boistard. Si on ne voulait que du Kipsta dans le rayon foot, il nous fallait alors monter encore d’un cran en qualité. Ce que nous avons fait et ce qui nous a permis, sans doute, de légitimer notre candidature à l’appel d’offres de la LFP cinq ans plus tard.

Ainsi, l’équipe Kipsta (55 personnes dispatchées entre le ballon, la bagagerie, la chaussure) s’est lancée dans l’aventure Ligue 1 - Ligue 2 après dépôt de son dossier fin mars 2021 et une réponse favorable quelques semaines plus tard. On voulait être certains de la qualité de notre produit. On a été exigeant. On a noué des partenariats avec des clubs mais aussi des fournisseurs pour avoir les meilleurs matériaux à assembler.

Decathlon a investi de manière conséquente en construisant un laboratoire exclusivement dédié au ballon au sein du Kipstadium. Sur ce site, l’"équipe ballon" (composée d’un chef de produit, d’un ingénieur, d’un designer et d’un retail supplier) dispose des mêmes machines que celles de la Fifa. Une vingtaine de personnes a collaboré à ce projet. On y a fait tous les tests afin d’atteindre un ensemble de standards à respecter pour que la Fifa donne son feu vert et appose son logo Fifa Quality Pro sur un des panneaux du ballon.

Les entreprises françaises doivent-elles se retirer totalement de Russie ?
Par exemple : le ballon doit peser entre 420 et 440 grammes, doit pouvoir être gonflé à 150 % de la pression recommandée sans exploser. Il doit également, lorsqu’il est lâché à 2m de hauteur, rebondir jusqu’à 1,20m?, détaille Romain Da Rocha, chef de produit sur les ballons. Sa pression ne doit pas varier de plus de 10 % trois jours après un gonflage.

Aussi, il ne doit pas se déformer lorsqu’il reste dans le coffre d’une voiture en plein soleil ou lorsqu’il est acheminé dans les conteneurs venus de Chine ou du Pendjab. Pour s’en assurer, le ballon est "shooté" 2 500 fois contre une plaque de béton, située deux mètres plus loin, à la vitesse de 50 km/h afin de vérifier après coup dimensions, pression et sphéricité de l’objet, avec une marge de tolérance de déformation de 1,5 % maximum. On travaille également sur des tests d’absorption d’eau : on pose le ballon dans une petite cuve avec quelques centimètres d’eau, on fait tourner le ballon et on vient l’écraser, ceci plusieurs fois (250), puis on mesure la différence de poids au début et à la fin du test. ?Il ne doit pas être supérieur de 10 % à son poids initial.

C’est parce que les ballons en cuir naturel avaient tendance à se gorger d’eau qu’ils sont désormais constitués de panneaux thermocollés, sans coutures. Un ballon, c’est un gros sandwich : une vessie en caoutchouc, puis des lamelles de textile pour le haut de gamme, puis du PLU, du TPU, de la mousse, etc. ?Ne dites plus jamais qu’un joueur, si talentueux soit-il, "caresse" le cuir…

"Faites essayer cinq ballons Fifa Pro différents à un joueur, chaque avis sera très tranché"
Kipsta est même allé plus loin que les normes Fifa Pro, en testant le ballon avec des machines développées en interne, par exemple à des chaleurs atteignant 66°C, ou alors en mesurant l’abrasion grâce à un impacteur dont le revêtement vient user sa surface?, détaille Romain Da Rocha. Elle a aussi éprouvé la résistance de la valve grâce à une machine qui insère et retire une aiguille pour parer aux fuites sur une centaine de gonflages, soit l’équivalent d’un gonflage hebdomadaire pendant deux ans. On voulait que la résistance de notre ballon soit représentative de la vie qu’il mènera dans un club, et pas seulement au plus haut niveau?, précise Frédéric Boistard.

Si tout est normé, les sensations renvoyées par un ballon labellisé peuvent néanmoins être très différentes d’un modèle à l’autre : Faites essayer cinq ballons Fifa Pro différents à un joueur, chaque avis sera très tranché, pouvant même aller jusqu’à la détestation : celui-là est top, celui-là, je n’en veux pas.

Arrive donc dans la conception du ballon l’aspect sensoriel : bruit, comportement en vol, stabilité de la trajectoire, accroche au terrain, capacité à prendre de l’effet, sont autant d’éléments non normés qui demandent du travail et font toute la différence. On a fait beaucoup de tests en amont avec nos partenaires techniques dans les clubs pour valider l’usage (8 dont trois de Ligue 2), au-delà des normes, ainsi qu’au Kipstadium auprès de testeurs pour avoir des retours directs sur différents ballons et matériaux. ?Chaque retour du terrain est entré dans une base de données puis l’ensemble est recoupé.

Car un ballon, comme un beau vélo finalement, c’est aussi une émotion. Donc un designer. On écoute Sylvain Tilly, designer produit chez Kipsta : Il y a un panneautage à dessiner, des choix de textures à faire, et une partie graphisme à travailler. Pour les 90 ans du championnat de France, on a beaucoup échangé avec la LFP. On voulait raconter une histoire : le nom de chacun des 19 clubs champions de France est inscrit sur le ballon, on voyage du FC Nantes au FC Sète en passant par le CO Tourcoing-Roubaix, Sochaux, le Stade Lillois. On voyage aussi à travers les rivalités. Par exemple, Lille et Lens sont face à face, Nantes et Bordeaux également.

En mains, le ballon est rainuré, ça saute aux yeux : C’est un attrait technique pour améliorer sa trajectoire?, précise Romain Da Rocha. La texture du ballon est volontairement prononcée pour les terrains arrosés sur lesquels jouent les pros. Il accrochera plus chez les amateurs, peut-être trop.

300 ballons officiels distribués à chaque club
300 ballons officiels (dont 20 neige et brouillard?) seront distribués à chaque club professionnel pour la saison 2022-2023. Soit environ 12 000 unités, les mêmes pour la L1 et la L2 (seul le design change légèrement). Kipsta travaille déjà sur une nouvelle version à horizon 2024-2025. C’est complexe parce que dès que tu joues sur un critère parmi les trois principaux (toucher, confort, trajectoire), ça peut déstabiliser les deux autres?, dit Frédéric Boistard. C’est de l’horlogerie fine. Mais on veut le meilleur ballon, on ne veut pas se satisfaire, donc on continue à travailler dessus.

L’équipe le fait avec une grande fierté et une énergie dingue. Kipsta est en train de changer de catégorie. ?Son rêve ? Il est d’ordre qualitatif. Si dans quatre ans, on demande à un footballeur français de citer ses trois marques préférées et qu’on y figure, c’est qu’on aura bien travaillé.

À ce sujet, la rentrée prochaine pourrait marquer une nouvelle avancée. La marque va en effet proposer une chaussure révolutionnaire (d’abord à 1500 unités), co-conçue avec l’entreprise Demgy, à Gétigné, près de Nantes : la Traxium Compressor, faite d’une seule pièce thermoplastique, intégralement terminée dès sa sortie du moule. Plus aucune opération d’assemblage, de vissage ou de collage n’est nécessaire. Plus de perte de matière, une production automatisée et des fibres recyclables plusieurs fois. Cette paire de chaussure bénéficiera d’une garantie de 10 ans contre le décollement de la semelle, quand la majorité des concurrentes ne font pas une saison.

L’écoresponsabilité, comme toutes les marques sous pavillon Decathlon, c’est l’autre virage pris. Kipsta, de façon plus large, proposera 80 % de son offre textile en production écoresponsable en 2022, avec un objectif à 100 % d’ici 2026.

C1, C3 et C4, Canal+ a tout raflé !

Les droits de la nouvelle formule de la Ligue des champions étaient remis en jeu en France par l'UEFA pour la période 2024-2027. Canal+ et Amazon étaient en lutte mais la chaîne cryptée a remporté la mise, faisant même le grand chelem des coupes d'Europe.

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Dans le marché ultra concurrentiel des droits TV, ce 29 juin représentait une date très importante en France. En effet, les droits de la future ligue des champions étaient mis en jeu par l'UEFA. Cela comprenait la période allant de 2024 à 2027 durant laquelle la plus grande des compétitions européennes allait grandement changer. Dans cette nouvelle formule, elle doit se jouer à 36 avec 10 matches de poules ainsi que l'introduction de barrages pour se qualifier en huitièmes de finale. Un duel entre Canal + et Amazon Prime Vidéo, les deux diffuseurs actuels de la Ligue 1, était attendu.

Finalement, selon les informations de l'Equipe de ce mercredi soir, Canal + a remporté la bataille. La chaine cryptée a remporté la mise et la diffusion de l'ensemble de la future Ligue des champions pendant trois ans. En plus de cela, elle a aussi mis la main sur l'ensemble des droits des deux autres compétitions européennes : la Ligue Europa et la Ligue Europa conférence. Une grande nouvelle pour le groupe de Vincent Bolloré qui s'assure un avenir tranquille avec ces acquisitions.

100 % des Coupes d'Europe sur Canal+
Le Groupe CANAL+ est très heureux de pouvoir diffuser, dès la saison 2024/2025, 100% des compétitions européennes : l’UEFA Champions League, l’UEFA Europa League et l’UEFA Europa Conférence League pour 3 saisons. La Rédaction des Sports de CANAL+ se réjouit de pouvoir offrir à ses abonnés la plus belle des expériences. Toute l’actualité du football européen sera traitée au sein des magazines phares de la chaîne : le CANAL CHAMPIONS CLUB, le CANAL FOOTBALL CLUB, le CANAL SPORT CLUB et sur la chaîne INFOSPORT+. Toutes les compétitions seront évidemment disponibles sur myCANAL, s’est félicité Canal+.

Combien la ville demande-t-elle au club pour jouer au Roazhon Park ?

Le conseil municipal de Rennes a adopté une nouvelle convention d’occupation du stade du Roazhon Park par le Stade Rennais pour une durée de vingt ans

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Cette saison, il a accueilli un peu plus de 610.000 personnes. La plupart des supporters en ont eu pour leur argent lorsqu’ils ont vu leur équipe corriger leurs adversaires de Ligue 1? dans un déluge de buts. Alors que le prix des places au Roazhon Park fait régulièrement débat dans les rangs du public du Stade Rennais, la ville vient de dévoiler le montant de la redevance payée par le club pour occuper le stade. Propriétaire de l’équipement, la municipalité rennaise avait signé une convention d’occupation avec le club lorsqu’il avait été repris par la famille Pinault en 1998.

Renouvelé tacitement une fois, le contrat qui comprenait aussi l’usage de la Piverdière arrivait à échéance en ce mois de juin. L’occasion de le rendre "plus clean" après les remarques formulées par la chambre régionale des comptes qui avait conseillé aux deux parties "de mieux partager les responsabilités". "Le loyer annuel était estimé à 880.000 euros hors taxes", a fait savoir le conseiller municipal délégué au sport Frédéric Bourcier. Un montant conséquent mais qu’il faut rapporter aux dimensions du site. Capable d’accueillir près de 30.000 personnes, le stade offre un jardin d’environ 7.000 m² dont la pelouse est enfin réussie.

Plus le club gagne, plus la ville encaisse
Depuis deux ans, les deux parties discutent pour tenter de trouver un terrain d’entente autour du bail. Signé pour 20 ans, il se chiffre finalement à 341.000 euros par an pour la partie fixe à laquelle il faut ajouter un pourcentage du chiffre d’affaires "hors masse salariale et droits télé", précise l’élu socialiste. La municipalité percevra chaque année un montant variable lié aux résultats financiers du club, soit entre 3 et 4 % du chiffre d’affaires estimé autour de 17 à 20 millions d’euros (70 millions si on y ajoute la masse salariale et les droits télé). "Quand les années du Stade Rennais seront bonnes, elles le seront aussi pour la ville", précise l’élu.

D’après les estimations réalisées par les services financiers de la ville, le montant de la redevance sera "similaire" à ce qui était déjà versé par le passé. Si le chiffre est de 17 millions, 850.000 euros seront reversés à la municipalité. S’il grimpe à 20 millions, la redevance devrait flirter avec le million d’euros.

Le club a également signé un bail emphytéotique de cinquante ans pour l’occupation du site de la Piverdière, qu’il souhaite agrandir. Une redevance de 142.000 euros sera réclamée au Stade Rennais pour son centre d’entraînement. Propriété de François Pinault, le SRFC va débourser 35 à 40 millions d’euros pour son projet de Piv’2 où il va s’étendre d’un peu plus de trois hectares à la Prévalaye. Si le projet fait globalement consensus au sein du comité de gestion, plusieurs personnes ont manifesté à l’occasion d’un « banquet » sous les fenêtres du conseil municipal ce lundi pour rappeler leur opposition à cette extension.

Le Stade Rennais, petit nouveau au milieu des grands ...

Le Stade Rennais, qui va enchaîner une cinquième saison consécutive en Coupe d’Europe souhaite attirer des joueurs d’expérience. Mais son statut de petit nouveau dans le grand monde ne lui permet pas encore de postuler sur tous les dossiers.
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C’est l’une des difficultés dans l’évolution du Stade Rennais que l’on n’avait pas anticipée. Le club breton grandit, enchaîne les participations en Coupe d’Europe et, pour progresser encore, souhaite recruter des joueurs d’un calibre supérieur. C’est la suite logique de tout le travail entrepris, mais tout ne se passe pas encore comme espéré. « Le Stade Rennais est et va devenir un très grand club. Sauf qu’aujourd’hui, on a encore besoin de faire deux Coupes d’Europe, une Ligue des champions, une Ligue Europa, une Ligue des champions… D’alterner, pour être un peu plus reconnu », avance Florian Maurice.

Le directeur technique semble quelque peu démuni, alors que le SRFC n’a toujours annoncé aucune recrue, entre l’envie de trouver des joueurs au CV ronflant pour faire franchir un nouveau cap au club et la capacité réelle à entrer dans la danse pour leur signature. Il ajoute : « L’attractivité d’un club, elle se fait par rapport à son histoire. Le club a un palmarès intéressant, mais son histoire fait que depuis cinq ans il joue la Coupe d’Europe, donc forcément ça attire certains joueurs. Mais est-ce que ça attire suffisamment des joueurs qui pourraient faire passer le pallier plus rapidement ? Et c’est ça qui est délicat ».

Comprenez que Rennes est suffisamment grand pour certains, mais pas assez pour d’autres et l’échelle des valeurs est mouvante, selon les intéressés. Florian Maurice s’est déjà heurté à plusieurs refus, ce qui ne lui serait sans doute pas arrivé lorsqu’il travaillait à Lyon. Alors, il compose, comme il peut. « Je préfère un groupe comme je l’ai fait sur les deux derniers mercatos avec une équipe qui fonctionne et pas avec une ou deux individualités, car si ça ne fonctionne pas, on me le reprochera. » Entre vouloir et pouvoir, il existe parfois un monde d’écart.

Feu vert du conseil municipal pour le projet d’extension du centre d’entraînement

C’est acté. Le conseil municipal de Rennes a officiellement donné son feu vert, ce lundi soir 27 juin 2022, au projet d’extension du centre d’entraînement de la Piverdière du Stade Rennais. La Ville a aussi renouvelé avec le club la convention d’occupation du Roazhon park (dont elle est propriétaire) pour 20 ans.

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C’est voté. Le conseil municipal de Rennes a officiellement donné son feu vert, ce lundi soir 27 juin 2022, au projet d’extension du centre d’entraînement de la Piverdière du Stade Rennais.

Avec un bail emphytéotique, la Ville autorise le club à disposer du site de la Piverdière étendu à 15 hectares (soit 3,6 hectares en plus) pour une durée de 50 ans et moyennant un loyer de 142 000 € par an. En parallèle, la Ville renouvelle la convention d’occupation temporaire du Roazhon park (dont elle est propriétaire) pour 20 ans, en échange d’un loyer de 341 000 € par an, sans compter d’autres sommes que le Stade rennais pourrait être amené à verser en fonction de ses bénéfices d’exploitation.

Une bonne nouvelle pour le club et ses supporters
"C’est une bonne nouvelle pour le club et ses supporters, mais aussi pour tous nos citoyens", salue Frédéric Bourcier, adjoint aux sports. Le permis de construire du nouveau centre d’entraînement à la Piverdière sera déposé très prochainement. Le début des travaux est ensuite envisagé en septembre 2023, avec, dans un premier temps, la création des nouveaux terrains et bâtiments pour les joueurs professionnels. Puis viendront la réalisation des locaux administratifs et de ceux consacrés à l’Académie, avant, dans une dernière phase, la démolition des bâtiments actuels. Le nouveau centre, pour lequel le Stade rennais va débourser 35 millions d’euros au total, devrait être achevé complètement à l’été 2025.

"Tout cela ne coûtera rien au contribuable, insistait Jacques Delanoë, président du conseil d’administration du Stade Rennais, lors d’une conférence de presse, vendredi dernier. L’investissement est pris en charge par le club et son actionnaire principal", la famille Pinault.

Un projet compact et vertueux
La fin d’un long feuilleton ? Depuis l’annonce du projet, en 2020, des riverains, usagers de la Prévalaye et défenseurs de l’environnement, dénoncent une "bétonisation" et une "artificialisation" de ces 3 500 d’hectares d’espaces naturels aux portes de Rennes. Ils ont d’ailleurs manifesté devant l’hôtel de ville, ce lundi soir.

Au contraire, Frédéric Bourcier défend "le projet compact et vertueux" du Stade rennais, ne mettant en avant la concertation réalisée avec les acteurs de la Prévalaye, les études indépendantes menées, le souci de préserver la biodiversité, les matériaux biosourcés employés pour les nouveaux bâtiments…

Il rappelle aussi qu’"autour du centre d’entraînement seront aménagés des espaces afin que La Piverdière soit un lieu partagé avec les Rennais. Le club créera notamment un terrain de foot à 5 ouvert au grand public."

Pour les élus écologistes, "un centre exemplaire et pionnier en France et en Europe"
Les élus écologistes, eux aussi, approuvent sans réserve le projet. Pour leur co-président, Matthieu Theurier, ce nouveau centre d’entraînement sera "un centre assez exemplaire sur le plan environnemental et certainement pionnier en France et en Europe dans le monde du football professionnel. Il suffit de le comparer à la construction du centre d’entraînement du PSG qui va détruire 74 hectares de terres agricoles et naturelles pour affirmer que le projet rennais intègre bien mieux les enjeux d’aujourd’hui."

Surtout, ce projet ne met pas fin aux projets agricoles sur la Prévalaye. "Le projet du stade rennais est contenu au Nord par la route de Sainte-Foix et par le chemin de la Taupinais à l’Ouest et au Sud, détaille Matthieu Theurier. La vocation agricole des terres environnantes et notamment des prairies situées entre le chemin de la Taupinais et le chemin de Boron sera pleinement préservée et permettra à la fois de maintenir une continuité agricole entre le Jardin des Mille-Pas, La Basse-Cour et la ferme Perma G’Rennes installés depuis 2015."

Pour conforter cette vocation agricole, la Ville lance d’ailleurs un nouvel appel à projets, intitulé "Prévalaye paysanne", afin d’installer des petits agriculteurs bio sur 8 hectares supplémentaires à Sainte-Foix.

Les élus En marche, "très réservés", s’abstiennent
Dans l’opposition, sur le banc des marcheurs, les élus de Révéler Rennes restent toutefois dubitatifs : "Nous sommes très réservés, comme nous l’avons dit à plusieurs reprises, sur cette extension, intervient Laureline du Plessis d’Argentré. Elle ne suffira pas aux besoins futurs du Stade Rennais, nous craignons que cette décision engage des dommages écologiques irréversibles et vains. Et c’est bien votre majorité qui en sera comptable, par manque de lucidité et d’anticipation."

L’élue s’inquiète aussi de voir que "le projet Prévalaye Paysanne bordera le secteur occupé par le Stade rennais, empêchant peut-être toute nouvelle velléité d’extension, tout en laissant deux parcelles inoccupées de presque un hectare chacune. Il est légitime de se demander s’il ne s’agirait pas d’une réserve foncière pour l’avenir." Le groupe s’abstient sur le vote (l’autre groupe d’opposition droite et centre Libres d’agir, vote, lui, pour).

"Ces deux parcelles sont en bail précaire avec un agriculteur et on discute avec lui avant de pouvoir les intégrer dans l’appel à projets "Prévalaye paysanne", répond Ludovic Brossard, conseiller municipal socialiste délégué à l’agriculture urbaine et à l’alimentation durable.

Un nouveau centre d’entraînement de 15 hectares livré pour 2025

Le Stade Rennais a présenté les contours de son futur centre d’entraînement agrandi et modernisé, ce vendredi 24 juin 2022, lors d’une conférence de presse. Les premiers projets avaient été abandonnés face aux oppositions d’associations de riverains, de défenseurs de l’environnement, et des élus écologistes. Celui-ci prévoit une extension de 3,6 ha, pour un coût d’au moins 35 millions €.

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Le Stade Rennais a revu sa copie. Le club de football présentait ce vendredi 24 juin 2022 le projet de son futur centre d’entraînement agrandi et modernisé à la Prévalaye, en bordure de rocade. Un « Village du football », qui doit regrouper le groupe professionnel, les amateurs femmes et hommes, l’académie, le siège et l’administratif.

Un projet de longue date, que le club estime comme indispensable à son développement sportif. « Le Stade Rennais est dans une belle dynamique, pour se développer, on a besoin des outils adéquats. Il faut se projeter, il est urgent qu’on avance », a expliqué ce vendredi Jacques Delanoë, président du conseil d’administration du Stade Rennais, lors d’une conférence de presse aux côtés d’Olivier Cloarec, président exécutif et directeur général du club, et de la maire de Rennes, Nathalie Appéré.

Bétonisation et artificialisation, dénoncent les associations
Depuis l’annonce du projet, en 2020, des riverains, usagers de la Prévalaye et défenseurs de l’environnement, dénoncent une « bétonisation » et une « artificialisation » de ces espaces naturels aux portes de Rennes. Ils ont multiplié les rassemblements sur site, et devant la maire de Rennes. Obtenant du club qu’il revoit sa copie et renonce finalement à son extension au sud du chemin de la Taupinais, en avril dernier.

Une extension de 3,6 ha
Un nouveau projet était donc présenté ce vendredi, dans les salons du Roazhon Park. Il prévoit tout de même une extension du site actuel de 3,6 ha, qui passera ainsi de 11,4 à 15 ha. « Dans un monde idéal, on aurait souhaité une surface plus importante de 20 à 25 ha, reconnaît Olivier Cloarec, président exécutif du Stade Rennais. Mais on doit faire avec les contraintes ». Le début des travaux est prévu pour septembre 2023, pour une livraison à l’été 2025.

Un projet guidé par « la préservation de la Prévalaye, promet Olivier Cloarec. Avec des bâtiments intégrés à leur environnement et 450 arbres de plantés. » Les plans veulent « éviter la bétonisation », ils mettent l’accent sur « une architecture bio climatique » avec façades en ossature bois, toitures végétalisées, matériaux bio-sourcés, stores de façades pour limiter l’usage de la climatisation et du chauffage, récupération des eaux de pluie, etc. Concernant la restauration, le centre de La Piverdière promet de s’approvisionner en circuits courts.

Éviter, réduire, compenser
Jacques Delanoë souligne les efforts engagés par le club pour « optimiser notre politique environnementale, avec un triptyque : éviter, réduire, compenser. » Selon lui, cet engagement en faveur du développement durable ne date pas d’aujourd’hui, « la politique RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) est très développée chez nous. »

Le centre d’entraînement va passer de 7 à 8 terrains, avec un demi-terrain supplémentaire et une zone d’entraînement des gardiens. S’y ajoutent trois terrains sur le site actuel de Moulin-du-Comte, dont un synthétique dès l’été 2023..

35 millions d’euros
Le coût du projet est évalué à au moins 35 millions d’euros. « Tout cela ne coûtera rien au contribuable, tient à souligner Jacques Delanoë, l’investissement est pris en charge par le club et son actionnaire principal », la famille Pinault.

La maire de Rennes, Nathalie Appéré, s’est dite « heureuse de voir ce projet aboutir, et qui confirme l’ancrage du Stade Rennais à Rennes », alors que le club avait envisagé, à un moment, de déménager ses structures à Liffré, pour obtenir l’espace souhaité. « On est très contente de rester à la Piverdière », a d’ailleurs redit le président du club, Olivier Cloarec.

Une force à Rennes, en Bretagne et même au-delà
Jacques Delanoë rappelle l’histoire du club, créée en 1901. « Ça lui donne une force à Rennes, en Bretagne et même au-delà. » Le Stade Rennais, c’est aussi une PME de 220 salariés, 250 footballeurs, avec 750 personnels les soirs de match. « La saison dernière, le Roazhon Park a vu passer 612 000 spectateurs, sans compter la communauté qui gravite autour du club, avec 1,5 million de personnes sur les réseaux sociaux. »

Pour le président du conseil d’administration, le Stade Rennais « est un formidable outil de lien social, un vecteur d’image pour la ville et la Région. » Et Jacques Delanoë d’ajoute, en parlant de l’actionnaire du club : « l’obsession de François Pinault, c’est de donner du plaisir aux gens de son territoire d’origine. »

Un vote en conseil municipal, lundi
Le projet présenté ce vendredi sera de nouveau soumis au vote des élus, lors du prochain conseil municipal, lundi 27 juin. Un conseil où ont déjà prévu de manifester les opposants au projet, lors d’un banquet, place de la mairie, lundi à 16 h 30.

La famille Pinault prépare un investissement d'avenir à 40 m€

Le Stade Rennais a présenté son nouveau centre d'entraînement qui verra le jour en 2025. Un projet pharaonique financé par l'actionnaire du club.

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A l'instar du FC Nantes, le Stade Rennais s'est lancé dans un projet controversé et discuté des écologistes bretons : la construction de son nouveau centre d'entraînement. Contrairement aux Canaris, les Rouge et Noir n'ont toutefois pas l'intention de se délocaliser de la Piverdière mais bel et bien de bâtir son nouveau siège sur le site de l'ancien à la Piverdière.

Ce vendredi, le projet Piverdière 2 a été présenté aux médias par le président exécutif délégué Olivier Cloarec ansi que par la maire de Rennes Nathalie Appéré (PS) et par le président du conseil d'administration du club Jacques Delanoë.

L'Equipe en dévoile les grandes lignes avec une finalisation à l'horizon 2025 pour un coût approchant les 40 M€, totalement supporté par le club et son actionnaire, la famille Pinault. La « Piv' », rafraîchit en 2000 était étalé sur 11,4 hectares. La « Piv' 2 » en fera 15 après le refus des associations de riverains d'agrandir à 18. Le club espère le feu vert du conseil municipal, lundi, pour déposer le permis de construire. Début des travaux : septembre 2023.

Pourquoi la Piverdière 2 est vitale pour le club ...

Les dirigeants du Stade Rennais ont présenté ce vendredi 24 juin le projet d’extension et de rénovation du centre d’entraînement de la Piverdière, en compagnie de la maire de Rennes, Nathalie Appéré. Un projet vital pour le SRFC.
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Depuis cinq ans, le Stade Rennais est entré dans une ère nouvelle. Il enchaîne les qualifications en Coupe d’Europe et est devenu une place forte du football français. C’est au début de cette même période, il y a quatre ans, que l’idée de rénover et d’agrandir son centre d’entraînement (qui date de 2000) a été lancée. Elle ne va prendre vie que sept ans plus tard, au mieux, et il est grand temps pour le club.

Si l’on joue au jeu de la comparaison, on constate que le SRFC est à la traîne sur ce sujet. Dès 2013, le FC Lorient s’est doté de Kerlir, un centre neuf de 12 hectares. Un an plus tard, le Stade de Reims inaugurait le centre Kopa, 25 hectares dédiés au club. Montpellier a dévoilé le sien en 2015. Il a fallu attendre 2017 pour Nice, sur une zone plus petite (7,5 hectares) mais un bâtiment unique immense de 6 500 m² contre 1 000 m² actuellement à Rennes. Enfin, Lille dispose du Domaine de Luchin (45 hectares), Lyon d’un centre au pied du stade (10 hectares uniquement pour les pros, 5 000 m² de bâtiments) et le PSG est en train de construire un centre de 74 hectares…

En retard sur les autres clubs

Pour être compétitif aujourd’hui, le nom ne suffit pas. Dans cet océan de concurrence, chaque détail peut faire la différence pour convaincre un joueur, un coach, de rejoindre le club. À la Piverdière, le bâtiment pour les pros est trop exigu, le bâtiment administratif trop vétuste. Quant au centre de formation ETP Odorico, il n’est pas de la première jeunesse non plus. Toutes ces infrastructures ne permettent plus au club de se développer au même rythme que ses résultats sportifs.

Il y avait urgence pour les dirigeants, qui ont dû se faufiler entre contestations et embûches pour imaginer un projet faisable, bien que loin d’être idéal. Cette Piv 2, c’est la victoire du pragmatisme. Elle va permettre au club de rattraper son retard, même si 2025, ce n’est pas encore tout à fait demain.

Je suis en pleine forme, Güçlü affiche ses ambitions pour l'avenir

Metehan Güçlü s'est confié à RMC Sport. L'attaquant formé au PSG est notamment revenu sur ses deux ans et demi compliqués à Rennes et en prêt où une blessure l'a empêché de donner le meilleur de lui-même. C'est désormais du passé pour le buteur de 23 ans.
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Les supporters du Paris Saint-Germain ont peut-être encore le souvenir de lui le 17 avril 2019 à Nantes. En 16 minutes, Metehan Güçlü y a inscrit son premier but avec les professionnels et son premier avec le PSG, son club formateur, qu’il quittera quelques semaines plus tard pour rejoindre Rennes.

La suite de l’histoire est moins joyeuse. Dès son premier entraînement, le Franco-turc se blesse à l’ischio-jambier. Une rupture du tendon qui a nécessité une intervention médicale. Avant d’être mal soigné. Pendant deux ans et demi, l’attaquant de 23 ans n’a jamais pu exprimer son potentiel à Rennes et à Valenciennes où il a été prêté en 2020-2021.

Metehan, quelle est votre situation aujourd’hui?

J’ai encore un an de contrat avec Rennes et je viens de terminer un prêt de 6 mois au FC Emmen, en deuxième division hollandaise. On a terminé champion et le club remontre en Eredivisie. Sur les six mois de prêt, j’ai joué neuf matches, j’ai marqué deux fois. C’était un retour à la compétition en pleine forme pour moi après deux ans et demi sans pouvoir jouer à 100%.

Expliquez-nous ce qu’il s’est passé...

Après ma blessure, lors de mon premier entraînement à Rennes, je me suis fait opérer. Quand je suis revenu, on était en plein Covid, donc on n’avait plus de match à jouer. On a décidé ensuite de partir en prêt à Valenciennes. Et là, dès le début, je sens que quelque chose ne va pas dans mon corps. Je le dis au club et au staff médical, qui vérifie, mais me dit que mon ischio va bien et qu’il était possible que j’ai des difficultés mentales à passer cette blessure. Mais je savais qu’il y avait un truc qui n’allait pas.

Vous avez joué quand même?

Bien sûr. A partir du moment où le club te dit que tu es en état de jouer. J’ai fait 12 matches, je n’ai pas marqué, je n’avais même pas d’occasion. Puis en fin de saison, avec mon entourage, on décide quand même de vérifier mon ischio. Je suis parti à Amsterdam pour faire des examens dans une clinique spécialisée.

La première réaction des médecins a été de dire : « Comment on a pu te laisser jouer comme ça ? » J’avais 40% de déficit musculaire par rapport à l'autre ischio. On a passé six mois à reconstruire le muscle, sans jouer. Avant donc, de partir aux Pays-Bas pour retrouver la compétition.

"On va discuter avec Rennes. Il y a des intérêts déjà" Comment vous sentez-vous aujourd’hui?

Enfin bien ! J’ai retrouvé mes capacités, mon jeu, ma vitesse… Je n’ai plus de douleurs et petit à petit j’ai pu rejouer de plus en plus avec Emmen.

En voulez-vous à quelqu’un d’avoir perdu autant de temps?

J'en veux un peu aux personnes qui m’ont fait croire que tout allait bien alors que non. Aux personnes compétentes qui m’ont donné un mauvais avis, un mauvais diagnostic. Mais j'en veux surtout beaucoup à moi. J’aurais dû aller consulter un deuxième spécialiste plus tôt. Surtout que je sentais que ça n’allait pas.

Comment voyez-vous la suite?

On va discuter avec Rennes. Il y a des intérêts déjà. Pourquoi ne pas continuer avec Emmen, aussi, en première division. Mon agent est en train de gérer tout ça. Il y a des intérêts aux Pays-Bas mais aussi en Turquie. On va réfléchir pour aller dans un projet ou je peux avoir du temps de jeu. Je suis à Amsterdam en ce moment pour faire une présaison personnalisée.

Matthis Abline déterminé à s'imposer au sein du club breton

Matthis Abline, de retour de prêt du Havre, est déterminé à s'imposer la saison prochaine au sein de l'effectif du Stade Rennais.

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Matthis Abline a faim de temps de jeu et il le fait savoir. Alors que le jeune avant-centre du Stade Rennais avait décidé de partir en prêt du côté du Havre lors du mercato hivernal, il a réussi six mois de très bonne facture, avec notamment six buts inscrits et un petit bijou face à l'AC Ajaccio, promu en Ligue 1. Aujourd'hui, ce prêt a pris fin et Abline s'est confié auprès du site de la Ligue 2 sur ses ambitions avec Rennes en vue de la saison prochaine et les bienfaits de ce prêt chez les Hacmen.

Abline heureux d'avoir été prêté au Havre

"J’en avais besoin pour poursuivre ma progression. J’étais persuadé que ça ne pouvait m’apporter que des choses positives. J’avais envie de prouver de quoi je suis capable sur le terrain en jouant chaque week-end. Finalement, ce prêt a répondu à mes attentes, il m’a fait du bien. Je voulais voir si j’étais capable de répondre aux attentes dans un groupe professionnel. Car, avant d’arriver, je n’avais pas souvent eu l’opportunité de jouer au haut niveau. J’avais disputé un peu moins de 100 minutes en Ligue 1, donc je n’avais pas de réelle référence. Mais Le Havre m’a permis d’enchaîner les matchs et la Ligue 2 BKT m’a plutôt réussi. Je suis content de ce que j’ai produit sur le terrain", a d'abord confié l'attaquant de 19 ans, heureux d'avoir obtenu du temps de jeu en deuxième division et qui est désormais ambitieux avec Rennes, 4e de Ligue 1 au terme de la saison.

Abline veut s'imposer à Rennes

"Toutes les semaines, j’avais un retour du directeur sportif, Florian Maurice. Il suivait mes prestations chaque week-end et on faisait un débrief ensemble. J’ai envie de faire une bonne préparation avec Rennes. Mon but, c’est de m’imposer au Stade Rennais, dans mon club formateur. J’ai toujours eu cet objectif depuis que je suis arrivé au centre de formation, et je ne le lâcherai pas ! J’ai franchi les paliers les uns après les autres et j’ai envie de franchir celui du groupe pro", assure Abline, qui veut prouver à Bruno Genesio qu'il a sa place chez les professionnels. Il faudra donc suivre de près le jeune talent lors de l'exercice 2022-2023.

Abline veut s'imposer à Rennes
Matthis Abline, de retour de prêt du Havre, est déterminé à s'imposer la saison prochaine au sein de l'effectif du Stade Rennais. L'attaquant âgé de 19 ans a réussi six bons mois au Havre et il veut maintenant réussir à Rennes.

Le nouveau siège de la LFP va coûter 127 millions d’euros

Changement de locaux à venir pour la Ligue de football professionnel (LFP). Comme l’a révélé L’Équipe , l’instance va déménager son siège à la fin de l’année 2023.

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Actuellement situé rue Léo-Delibes, dans le 16e arrondissement de Paris, le nouveau siège sera installé boulevard de Courcelles, dans le 17e arrondissement. Le coût de ces nouveaux locaux est de 127 millions d’euros, financé en partie par des prêts auprès de banques.

L’ancien siège de la rue Léo-Delibes – acheté dans les années 1990 – sera mis en location, pour environ un million d’euros annuel. Ce déménagement est justifié par le fait que les anciens locaux étaient devenus trop petits pour la LFP, qui avait déjà été contrainte d’installer une partie de ses salariés dans un immeuble de l’avenue Kléber.

S.G.S.B.

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