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Des milliers de travailleurs étrangers expulsés de leurs logements à Doha

Selon Reuters, le Qatar a expulsé mercredi des milliers d'ouvriers étrangers travaillant sur les chantiers de la Coupe du monde (20 novembre-18 décembre). D'après les résidents, une douzaine de bâtiments auraient été évacués.
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Le lot de polémiques entourant la Coupe du monde au Qatar (20 novembre-18 décembre) n'est pas près de s'arrêter. Selon l'agence Reuters, les autorités de Doha ont évacué mercredi des immeubles de la capitale où logeaient des travailleurs étrangers. Dans un bâtiment qui, selon les résidents, abritait 1 200 personnes dans le district d'Al Mansoura, les fonctionnaires municipaux ont sommé les habitants de partir dans un délai de deux heures.

Nous n'avons nulle part où aller
Désoeuvrés, les travailleurs ont été pris au dépourvu. "Nous n'avons nulle part où aller", s'est indigné un homme en s'adressant à l'agence de presse. Un responsable du gouvernement qatarien s'est expliqué sur la situation en affirmant que ces expulsions "ont été conçues conformément aux plans visant à réorganiser à long terme les zones de Doha. [...] Tous ont depuis été relogés dans des locaux sûrs et appropriés", a poursuivi le responsable. Il a aussi assuré que ces opérations n'étaient pas liées à la Coupe du monde.

Parmi les 3 millions d'habitants du Qatar, environ 85 % sont des travailleurs étrangers.

La guerre des galettes saucisses a fait rage sur le village de la Route du Rhum

En 2018, les Rhumiers avaient livré bataille pour être présents dans les bars et restaurants de Saint-Malo. En 2022, c’est la galette de blé noir qui a été au centre d’une sacrée bataille. Explications.

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Vous aviez aimé la Guerre des Rhums en 2018, vous allez adorer celle des galettes saucisses, version 2022 ! Il y a quatre ans, les Rhumiers de Guadeloupe avaient été surpris par leurs concurrents martiniquais qui avaient fait preuve d’un sacré sens de l’anticipation.

Plus d’un an avant l’édition 2018, les Rhumiers martiniquais avaient lancé une véritable offensive auprès des fournisseurs et commerces malouins. Résultat, si les rhums guadeloupéens étaient bien présents à l’intérieur du village de la Route du Rhum, les Martiniquais affichaient très largement leurs couleurs et leur breuvage dans les commerces d’Intra-Muros.

En 2022, c’est une véritable bataille autour de la présence de stands de galettes saucisses sur le village, qui a agité les organisateurs et la ville de Saint-Malo. Afin de favoriser la vie dans les rues d’Intra-Muros, il avait été décidé que l’offre de restauration serait limitée à l’intérieur du village et en proximité.

Deux stands de galette saucisse
Problème, un commerçant ambulant, qui avait pu vendre des galettes saucisses à l’intérieur du village en 2018, a remué ciel et terre pour pouvoir s’installer. Après de longues semaines de discussions sans fin, voire de pressions, il a finalement pu trouver place à l’entrée du village, côté Rocabey.

Installé à quelques dizaines de mètres de là, Bertrand Larcher, patron de l’Atelier de la crêpe, avait lui aussi fait une demande pour être sur le village. Celle-ci avait été refusée il y a quelques semaines. Mais finalement, lui aussi pourra installer un Food-truck et vendre ses galettes à proximité de son école sur le village.

Donc, contrairement à ce qui a pu être affirmé ici ou là, ? "interdiction de vente de produits carnés sur le village", "pas de galettes saucisses car l’emprunte CO2 est trop importante", "priorité aux produits de la mer", il y en aura pour tous les goûts sur le village. Des spécialités bretonnes aux spécialités guadeloupéennes.

Del Arte testent un forfait mensuel de 35 €

L’enseigne de pizzeria Del Arte a lancé dans treize de ses deux cents restaurants un système d’abonnement pour fidéliser ses clients. D’autres franchises y réfléchissent également face à une baisse de fréquentation due, entre autres, au télétravail.

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La restauration à la mode Netflix ? L’enseigne française Pizza Del Arte vient de lancer un système d’abonnement pour manger dans ses restaurants. Vous payez 35 € par mois (30 € le premier mois) et vous pouvez déjeuner ou dîner une fois par jour dans un restaurant du groupe, pendant six mois, détaille BFMTV.

Cet abonnement, valable pour une seule personne, donne accès à un seul plat parmi une sélection de cinq pizzas et de deux plats de pâtes à consommer sur place. Boissons et café sont en sus.

Retrouver la clientèle du midi
L’offre, lancée en octobre, est disponible dans treize des deux cents restaurants de l’enseigne du groupe Le Duff à Boulogne-Billancourt, Colmar, Lyon, Metz, Rennes et Toulouse. Elle vise avant tout les salariés qui ont déserté les restaurants depuis la pandémie de coronavirus et l’essor du télétravail.

Del Arte n’est pas la première à tenter ce genre d’expérience. Aux États-Unis, Taco Bell propose à ses clients un taco par jour pour 10 dollars par mois. En France, l’enseigne britannique Prêt-à-Manger a lancé il y a quelques semaines l’abonnement Café Pret qui donne accès moyennant 25 € par mois (12,50 € le premier) à cinq boissons par jour.

Pas forcément rentable pour l’enseigne
Interrogé par BFMTV, Bernard Boutboul, spécialiste de la restauration chez Gira Conseils, avoue douter de la viabilité de ce modèle économique. "Je ne vois pas comment ça peut être rentable chez Del Arte. Si j’y vais 2,5 fois par semaine en moyenne, l’enseigne est perdante."

L’offre Del Arte concerne en effet des plats à 8 €. À raison de 2,5 fois par semaine, cela représente un coût de 80 € par mois pour seulement 35 € payés. Le succès repose donc sur les extras hors forfait : boisson, dessert, café… "C’est un concept qui est plus adapté à la restauration à emporter qu’au service à table", estime Bernard Boutboul.

Pleine Lucarne du 24/10/2022

Le baromètre, c’est Flavien Tait, avant de retrouver Angers

Des statistiques physiques impressionnantes, une activité toujours au service du collectif, un état d’esprit de conquérant jamais assoupi… Flavien Tait est un homme-clé de la mécanique Genesio, avant le match contre Angers, ce dimanche.
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Quatre fois au cours des six derniers matchs, Flavien Tait a fini avec le brassard de capitaine. Une nouveauté pour lui. Témoignage de l’importance du rouage qu’il est dans la mécanique Genesio. "On le sait, Flavien n’est pas capable de parler beaucoup, mais il a un rôle de leader technique sur le terrain. Je dis souvent qu’il y a plusieurs types de leaders. Il a la possibilité de s’adapter à plusieurs systèmes. Il est sur une bonne dynamique, comme l’équipe", lançait Bruno Genesio, sous-entendant que son n° 20 est un bon baromètre du niveau de son onze.

À 28 ans, l’ex-Angevin, à Rennes depuis 2019, rayonne dans un entrejeu passé à deux cette saison, après avoir été essentiel, déjà, dans le 4-3-3 où il bossait tout autant aux côtés de Lovro Majer l’an dernier. Désormais, le voilà passé devant l’esthète croate. « C’est, pour moi, la décision la plus difficile à prendre, livrait, vendredi, Bruno Genesio. Lovro et Flavien sont deux très bons joueurs, avec des qualités différentes. Le fait de jouer en 4-4-2 en met un sur la touche .

Hyperactivité
Son hyperactivité joue évidemment en sa faveur, quand Majer peut, parfois, apparaître un brin en dilettante. Son influence, bien qu’il soit un travailleur de l’ombre, est bien réelle. Son élégance certaine, notamment via sa qualité de choix de passes, est là. Sa perpétuelle insatisfaction transparaît également quand il peste sur des choix simples non privilégiés par ses partenaires.

"On prend énormément de plaisir à travailler avec ce coach et à jouer ensemble. Notre fond de jeu est beau à regarder, ça se voit qu’on est une vraie équipe sur le terrain. Le public prend aussi du plaisir. Ce qui est important, c’est qu’on garde notre philosophie de jeu", a confié, cette semaine, le milieu sur la chaîne L’Équipe. Tait en est le garant.

Genesio espère le retour de Jérémy Doku jeudi en Europa League

Le Stade rennais se rendra à Angers dimanche, pour la douzième journée de Ligue 1. L'entraîneur rennais, Bruno Genesio, ne pourra pas faire appel à Jérémy Doku, blessé, qui devrait reprendre l'entraînement collectif lundi.

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Il pourrait ensuite faire son retour jeudi prochain, à l'occasion du match d'Europa League à Fenerbahçe. Doku, 20 ans, a souffert à plusieurs reprises de blessures musculaires au cours des derniers mois. Il n'a participé qu'à six matchs pour Rennes cette saison, parmi lesquels une seule titularisation. Sa dernière apparition remonte au 1er octobre, lorsqu'il est monté au jeu au cours d'une victoire 1-3 à Strasbourg. Il a également joué deux fois 45 minutes pour les Diablotins, fin septembre, contre les Pays-Bas (défaite 1-2) et la France (match nul 2-2).

"Il est prévu que Jérémy reprenne l'entraînement avec le groupe lundi et se prépare pour le déplacement en Turquie", a déclaré Genesio en conférence de presse vendredi.

Doku espère toujours être sélectionné pour la Coupe du monde au Qatar, qui débutera le 20 novembre prochain. L'ailier virevoltant s'était distingué l'an dernier en quart de finale de l'Euro contre l'Italie, futur championne d'Europe (défaite 2-1), mais il n'a plus fait partie de l'équipe du sélectionneur national Roberto Martinez depuis lors en raison de blessures.

Rennes est 5e de la Ligue 1 après 11 journées, avec 21 points. En Europa League, les Bretons sont 2es du groupe B, avec 10 points après quatre journées, à égalité de points avec le leader Fenerbahçe.

François Pinault devrait payer la restauration de la chapelle des monts d’Arrée

L’homme d’affaires breton François Pinault devrait financer la restauration de la chapelle Saint-Michel, située au sommet des monts d’Arrée, en Finistère. En juillet 2022, les flammes des incendies criminels qui ont ravagé plus de 2 000 ha d’espaces naturels alentours s’étaient arrêtées à sa porte.

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Ce pourrait être un second miracle en moins de six mois, pour la chapelle Saint-Michel, située au sommet de la montagne du même nom, dans les monts d’Arrée.

Après avoir échappé de justesse aux flammes, en juillet 2022, et alors que plus de 2 000 ha d’espaces naturels autour ont été détruits, l’édifice ?pourrait s’offrir une nouvelle jeunesse grâce à l’homme d’affaires et collection d’art contemporain, François Pinault.

500 000 € de travaux
Un chantier, prévu par le Département du Finistère de longue date, concernait uniquement la toiture de la chapelle. Les conditions inédites de l’été 2022 en Finistère ont mis à mal la structure vieille de 400 ans, déjà "en mauvais état", dont ceux des enduits et des huisseries qui présentent de sérieux signes de fatigue. Le chantier global, revu à la hausse après les incendies, est désormais estimé à 500 000 €.

Engagement concret imminent
C’est le milliardaire breton, qui s’était dit "bouleversé" par les incendies au lendemain du sinistre et qui avait assuré les collectivités locales de son soutien, qui devrait régler l’intégralité de la facture.

Une convention avec le Département, propriétaire de l’édifice, devrait être signée d’ici la fin d’année 2022. Probablement via la société patrimoniale Artémis, créée par la famille Pinault et actionnaire majoritaire du groupe de luxe Kering.

L’information a été dévoilée par le président du Département du Finistère, Maël de Calan, vendredi 21 octobre 2022, lors d’une réunion post-incendies avec les habitants de monts d’Arrée, à Brasparts.

Une démarche qui va soulager l’action du Département
Si l’annonce n’a visiblement pas ému l’assistance, plus occupée à gérer et sécuriser son approvisionnement en eau potable, elle réjouit le milieu des décideurs. "C’est une démarche qui va soulager l’action du Département, détaille Maël de Calan. Elle va permettre à la collectivité dégager ces fonds pour d’autres projets. Il y a beaucoup de choses à reconstruire."

Amoureuse des arts et du patrimoine, la famille Pinault a récemment participé à l’effort de reconstruction de la cathédrale Notre-Dame-de Paris (100 millions d’euros), touchée par incendie en 2019. C’est aussi à elle que l’on doit la rénovation de la maison de Victor Hugo, à Guernesey, en 2019 (3,5 millions d’euros sur les 4,3 millions du projet).

Le SRFC sort un maillot et une veste vintage

Le Stade rennais a annoncé ce jeudi une collaboration avec COPA, pour sortir un maillot et une veste vintage.

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Pierrick Hiard accompagne fièrement les jeunes du centre de formation pour incarner la nouvelle sortie textile du Stade rennais. Le club breton a annoncé ce jeudi la sortie de trois produits iconiques.

Ainsi, le maillot de la saison 1984-1985 synonyme de montée en D1 est remis au goût du jour, saison durant laquelle Pierrick Hiard avait excellé dans les buts du SRFC lors d’une séance de tirs aux but décisive face à Rouen.

Le SRFC sort également une réplique de la veste de la saison 1970-1971, celle de la deuxième coupe de France glanée par le club, 48 ans avant la dernière en date, en 2019, pour laquelle une paire de chaussettes à l’effigie de Tomas Koubek et sa course mémorable au Stade de France est également créée.

Tous ces produits sont disponibles dès à présent en ligne ou à la boutique officielle.

Deux matches de huis clos partiel pour la tribune Mordelles basse

La commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) a infligé au Stade Rennais deux matches de huis clos partiel pour la tribune Mordelles basse, qui avait utilisé des fumigènes lors du derby contre le FC Nantes le 9 octobre.
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La commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) a rendu ses décisions ce mercredi 19 octobre. Après l’usage de fumigènes lors du derby contre Nantes dimanche 9 octobre, la tribune Mordelles basse, qui était sous le coup d’un sursis, sera fermée pour les deux prochains matches du Stade Rennais au Roazhon Park en Ligue 1, le dimanche 30 octobre contre Montpellier et le samedi 12 novembre contre Toulouse.

Par ailleurs, le défenseur central montpelliérain Maxime Estève, qui a reçu son troisième avertissement en moins de dix journées à Lens samedi 15 octobre, sera suspendu face au Stade Rennais lors de la 13e journée.

Pourquoi cet autocollant jaune sur votre voiture pourrait vous coûter cher

En plus de verbaliser certains conducteurs, les policiers de Rennes collent un sticker jaune sur les véhicules dont le stationnement est jugé dangereux.

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La police avait prévenu qu’elle allait sévir. Depuis le début du mois d’octobre, les policiers de Rennes verbalisent systématiquement les conducteurs dont le véhicule est stationné dangereusement aux abords du Roazhon Park.

Les soirs de matchs à domicile, chaque contravention s’accompagne d’un sticker carré de couleur jaune, collé sur la vitre du véhicule. S’il marque bien le passage des policiers, il est aussi synonyme de mauvaise nouvelle pour le porte monnaie du contrevenant. Certains ont déboursé plus de 200 euros et perdu 3 points.

Que dit ce sticker ?
Cet autocollant jaune a d’abord une fonction pédagogique. Un message de prévention y est écrit : « Stationnement dangereux. Votre véhicule est en infraction. Montant de l’amende : 135 euros. Respectez les règles du jeu, utilisez les parkings officiels ».

Une contravention de 135 euros, plus le paiement de la fourrière d’un montant d’au moins 121 euros, ainsi qu’un retrait de 3 points sur le permis de conduire s’appliquent pour les contrevenants.

Pour rappel, depuis le derby Rennes – Nantes, dimanche 9 octobre, et encore plus depuis Rennes – Lyon, dimanche 16 octobre, les policiers verbalisent et mettent en fourrière les véhicules stationnés dangereusement.

Au total, sur les deux matchs, près de 200 conducteurs ont été verbalisés et une cinquantaine de véhicules a été enlevée et placée en fourrière.

Une action qui va durer
Contactés par Actu Rennes, les policiers indiquent que ces verbalisations « vont se poursuivre à chaque match du Stade Rennais à domicile ». Notamment aux abords des bretelles de sortie de rocade, au niveau de la porte de Cleunay, où plusieurs supporters ont pris la mauvaise habitude de s’y garer. L’objectif reste le même : empêcher qu’un drame se produise.

Le ton monte autour du stationnement près du Roazhon Park

Après la prévention, l’action. Début octobre à Rennes, les services de la préfecture avaient expliqué vouloir mettre fin aux stationnements dangereux des automobilistes sur les bretelles de sortie de Cleunay et Porte de Lorient en marge des matches du Stade Rennais.

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Si la communication avait commencé par la distribution de flyers aux automobilistes en infraction, le ton est monté à l’occasion des deux dernières rencontres au Roazhon Park. Lors de la réception de Nantes pour le derby le 9 octobre, les conducteurs de 42 véhicules avaient déjà reçu de 135 € d’amende pour stationnement dangereux.

Des voitures à la fourrière contre Lyon
Contre Lyon dimanche 16 octobre, de plus grands moyens ont cette fois été sortis puisque 10 engins d‘enlèvement avaient été mis à disposition du Service de Voie Publique de la DDSP35 pour l’occasion. Selon la Préfecture d’Ille-et-Vilaine, 89 verbalisations pour stationnement gênant ou dangereux ont été dressées et 43 véhicules ont été enlevés par la fourrière. À noter que 90 % des véhicules verbalisés venaient des extérieurs de Rennes (2ème, 3ème couronne voire autres départements).

Après seulement deux rencontres, 131 verbalisations ont donc déjà été effectuées - soit presque autant que sur l’ensemble de la saison précédente (150) ! « L’enjeu est de faire évoluer les comportements, via les transports en commun », avait expliqué Élise Dabouis, directrice de cabinet du préfet d’Ille-et-Vilaine il y a quelques semaines. L’opération devrait en effet être reconduite régulièrement cette saison.

De son côté, la municipalité compte surtout sur la ligne de métro B pour désengorger les parkings et les rues les soirs de match. Dans un message sur Twitter, Matthieu Theurier, le Vice-président de Rennes Métropole aux Mobilités et aux Transports, a d’ailleurs révélé que de nombreux supporters ont déjà privilégié ce mode de transport.

Le supporter giflé par neymar porte plainte

Le supporter giflé par Neymar en 2019, victime de harcèlement après la divulgation de son identité sur Twitter, a porté plainte mardi. Sa plainte intervient quelques jours après un article de Mediapart, selon lequel il aurait été la cible d'une campagne hostile commandée par le Paris Saint-Germain, a appris l'AFP auprès de son avocat.

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Voilà de quoi relancer un peu plus la machine. Cette plainte a été déposée à Paris notamment pour collecte de données à caractère personnel par moyen frauduleux ou déloyal, violation du secret professionnel, violences psychologiques en réunion sur une victime ainsi que pour harcèlement moral. Selon Mediapart, le PSG a chargé entre 2018 et 2020 une agence de communication, Digital Big Brother (DBB), de créer de faux comptes Twitter pour mener des campagnes hostiles contre des cibles du club de la capitale, ce que ce dernier conteste.

La stratégie s'articulait autour d'un compte "de référence", Paname Squad, qui se présente sur Twitter comme un "collectif de passionnés du Paris Saint-Germain". Parmi les cibles figurait le supporter du Stade rennais giflé par Neymar après la défaite du PSG en finale de la Coupe de France 2019. Paname Squad avait révélé son identité et son année de naissance sur Twitter.

FIFA : la réforme qui agace les agents

Le nouveau règlement des agents de joueurs, que la FIFA s'apprête à officialiser sur fond de baisse des commissions, fait grincer les intéressés.
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Cette école de formation à l'examen et au métier d'agent de joueurs de football, située près de Paris, fait bien de garantir sur sa plaquette en ligne "un contenu pédagogique mis à jour régulièrement". La profession, sans doute la plus mal vue du microcosme en raison des profits gigantesques d'une poignée de super agents et de la proximité d'une faune d'intermédiaires avec la rubrique des faits divers, se prépare, non sans inquiétude, à une nouvelle réforme concoctée par la FIFA. Son officialisation est attendue à l'issue du conseil de l'organisation à Auckland (Nouvelle-Zélande), autour du 22 octobre, date du tirage au sort des groupes de la Coupe du monde féminine 2023.

La refonte du "règlement des agents de joueurs" qui prévoit notamment le rétablissement d'une licence obligatoire et le plafonnement des commissions, est le fruit d'un compromis en gestation depuis déjà quatre ans à la commission des acteurs du football, un processus auquel les agents n'ont pas été, selon eux, assez associés. Elle suit, dans la même veine régulatrice, l'imposition d'une limite au nombre de prêts par club, une règle en vigueur depuis le 1er juillet dans le but de combattre l'assèchement du marché des meilleurs joueurs par quelques clubs richissimes.

Virage à 180 degrés
Avec les agents, la FIFA prend un virage à 180 degrés. Elle avait surpris en 2015 (sous l'ère Sepp Blatter) en supprimant la licence obligatoire pour exercer cette profession, dans un contexte pourtant marqué par l'accélération spectaculaire des transferts et une forte augmentation des commissions qui ne s'est pas démentie depuis, bien au contraire (voir L'Équipe du 9 septembre).

Depuis 2015, chaque fédération est donc libre de réglementer le marché comme elle l'entend. Le cas de la France est particulier puisque la licence FFF est restée obligatoire. Il n'empêche, selon Stéphane Canard, président de l'Union des agents sportifs français (UASF), qui regroupe une cinquantaine d'agents licenciés, et représente les agents à la commission ad hoc de la FFF, "cette désorganisation générale nous a compliqué la vie. Les agents licenciés sont de plus en plus contrôlés mais les intermédiaires sans licence qui travaillent sous diverses couvertures le sont très peu. L'exercice illégal de la profession étant difficile à prouver, les signalements à la justice de ces imposteurs ne prospèrent pas ou peu".

Aleksander Ceferin, président de l'UEFA, tire, de longue date, le signal d'alarme. "La situation est chaotique, disait-il à la Tribune de Genève dès janvier 2018. Tout le monde peut être agent. C'est une jungle sans règles, où il y a de l'argent sale et des commissions extrêmement élevées... Il est effrayant de voir que certains empochent 20 millions pour une réunion d'une demi-heure."

Sous la pression des acteurs - joueurs, clubs, ligues et fédérations -, mais aussi de l'opinion, effarée par l'explosion du business des transferts, "la FIFA se devait de travailler à la transparence du système", analyse Jean-François Brocard, enseignant chercheur en économie du sport, spécialiste des agents (voir entretien).

"La concurrence est telle pour les meilleurs joueurs qu'elle nivelle les pratiques par le bas et pousse les commissions vers le haut"

Jérôme Perlemuter, secrétaire général de World League Forum


La réforme de la FIFA fait consensus sur son volet moralisation (licence, formation continue, absence de casier judiciaire pour délit économique) et autour du principe d'une centralisation des commissions à travers une chambre de compensation. Mais des doutes existent sur la capacité de contrôle dont la fédération internationale disposera réellement pour tracer l'argent qui échappera au circuit officiel. La FIFPro, le syndicat international des joueurs, "accueille favorablement toute mesure qui augmente la transparence autour des transferts. Nous espérons que cela sera plus efficace, mais cela reste à voir", avance ainsi prudemment Roy Vermeer, son directeur juridique, qui anticipe toutefois que "le nouveau système réduira certainement le nombre d'agents sans licence".

Par la bouche de Jérôme Perlemuter, son secrétaire général français, le World Leagues Forum, association mondiale représentant les ligues de football professionnel, appelle depuis plusieurs années à protéger tous les acteurs contre les comportements déviants et l'inflation des commissions.

"La concurrence est telle pour les meilleurs joueurs qu'elle nivelle les pratiques par le bas et pousse les commissions vers le haut. Il faut cette réglementation, assortie de contrôles et de sanctions effectives." Dit autrement : pour s'assurer les services du joueur convoité, les clubs doivent le séduire, lui, mais aussi son agent en soignant sa commission, sous peine de ne pas signer.

Le discours des agents licenciés est moins conciliant que celui des joueurs et des clubs qui peuvent espérer faire des économies. La réforme, au contraire, va les frapper au portefeuille. Dans sa dernière mouture connue, elle prévoit en particulier de plafonner à 10 % maximum la commission sur les transferts, alors que ce type de commission, interdit en France (les agents sont rémunérés jusqu'à 10 % du salaire du joueur), est libre aujourd'hui presque partout ailleurs dans le monde et enrichit les super agents, à l'image de Jorge Mendes ou Mino Raiola, décédé en avril. La commission XXL de l'agent italo-néerlandais sur le transfert de Paul Pogba de la Juventus à Manchester United en 2016, estimée à un total de 49 M€ pour un transfert de 105 M€, a été l'un des déclencheurs de la tentative de grand ménage de la FIFA.

Dans ce cas précis, Raiola bénéficiait d'une " triple représentation" joueur-club vendeur-club acheteur. Ces montages, générateurs de conflits d'intérêts, vont être interdits par la FIFA. La double représentation joueur - club acheteur resterait autorisée et permettrait une commission de 6 % (3 % + 3 %). Et en France, où même la double représentation est proscrite par le Code du sport, que peut-il se passer ?

"Il est vain de plafonner les commission au niveau prévu par la FIFA, ça ne marchera pas"

Bruno Satin, vice-président de l'Union des agents sportifs français


La FIFA prévoit de limiter la commission d'un agent mandaté par un joueur à 3 % maximum de son salaire annuel brut contre 10 % aujourd'hui dans le règlement FFF. "C'est la rémunération sur les transferts qui attire tous les bandits de la planète, pas la rémunération besogneuse sur un joueur de Ligue 2 qui gagne 10 000 euros par mois et qui rémunère son agent à 10 % de son salaire et souvent moins, s'exclame Bertrand Cauly, président du Syndicat national des agents sportifs. La FIFA se sert des excès d'une minorité de super agents pour polluer tout le reste de la profession en rabotant ses com."

Un précédent existe. En 2012, le Comex de la FFF s'était appuyé sur une disposition du Code du Sport (Art. 222-17) pour abaisser la commission maximale des agents à 6 % du salaire annuel brut du joueur représenté. Les syndicats de joueurs avaient obtenu l'annulation de la décision devant le Conseil d'État, la plus haute juridiction administrative en France estimant que cette décision ne pouvait être prise que par l'Assemblée générale de la FFF.

Cet épisode fait dire à Bruno Satin, vice-président de l'UASF et membre du board du syndicat européen des agents (European Football Agents Association, EFAA) : "Il est vain de plafonner les commissions au niveau prévu par la FIFA, ça ne marchera pas." Lui aussi invoque la concurrence. "En 2012, des clubs avaient immédiatement proposé aux agents de les payer plus que les 6 % décidés par la FFF. Il se passera la même chose si le pourcentage baisse à nouveau. Comment voulez-vous qu'un agent accepte de voir sa commission passer de 10 % à 3 % ? Si un club veut vraiment le joueur, il se débrouillera pour payer son agent en dehors des clous, ce qui serait contre-productif."

Une source juridique proche du dossier tempère - un peu - les inquiétudes des agents tricolores : la France pourrait bénéficier d'une dérogation permettant de concilier son interdiction de la double représentation et la nouvelle réglementation. Concrètement, la FIFA, qui s'inspire largement du modèle français, autoriserait les agents licenciés FFF à toucher une commission de 6 % pour un seul mandat.

Même à 6 %, les agents licenciés FFF y perdraient. Une levée de boucliers pourrait donc accompagner la réforme, préviennent les syndicats d'agents, qui n'excluent pas de lancer des procédures nationales et européennes quand le règlement sera officialisé. Football Forum, le groupement qui défend les intérêts des super agents, est également prêt à dégainer, sur le fondement de la libre concurrence.

À Neuilly-sur-Seine, Sidney Broutinovski, fondateur en 2009 de l'École des agents de joueurs de football (EAJF), se veut serein. "Les étudiants nous questionnent sur les changements de réglementation envisagés, c'est normal. Comme tout changement réglementaire, ce n'est pas simple, surtout quand on veut commencer une carrière d'agent. On leur répond que même si les commissions baissaient, le métier resterait rémunérateur parce qu'on est dans une industrie où on parle très vite en millions d'euros."

Cette saison, la première partie de l'examen (très sélectif) pour l'obtention de la licence FFF, axée sur le droit français, aura lieu le 23 novembre. C'est dans la perspective de la deuxième partie, prévue en mars 2023 et centrée sur les règlements spécifiques au football, qu'une "mise à jour pédagogique" pourrait vite s'imposer.

Brocard : "La FIFA s'est vite rendu compte qu'on allait à la catastrophe"
Jean-François Brocard, enseignant chercheur en économie du sport au Centre de droit et d'économie du sport de l'Université de Limoges, spécialiste des agents sportifs, revient sur les enjeux de la réforme FIFA.
Pourquoi la FIFA rétablit-elle la licence d'agent ?
La création en 2015 du statut d'intermédiaire sans licence a été une énorme erreur. Comme les fédérations étaient incapables de contrôler l'activité des agents, la FIFA a préféré déréguler plutôt que faire semblant, mais elle s'est vite rendu compte qu'on allait à la catastrophe.
C'est-à-dire ?
Je me souviens d'une conférence en 2020, à Lausanne, où elle affirmait contre toute évidence que les intermédiaires étaient impliqués dans 20 % des transferts internationaux. Tout le monde s'était regardé avec incrédulité. En réalité, près de 100 % de ces transferts sont concernés par une intermédiation. La FIFA se devait de travailler à la transparence du système.
Le nouveau règlement peut-il améliorer les choses ?
L'idée est d'épurer le marché en contrôlant la qualité des agents et les flux de commissions à travers une chambre de compensation gérée par la FIFA. Mais tout le monde devra jouer le jeu : les joueurs en faisant appel à des agents licenciés, les clubs en refusant de discuter avec des intermédiaires de tout poil, et les fédérations en traquant les transactions suspectes. Il faudra du contrôle et des sanctions, ce qui est loin d'être gagné.
Les super agents vont-ils continuer à toucher autant ?
Jusqu'à un certain point seulement puisque le règlement FIFA qui ne fixe aucune limite aujourd'hui autorisera une commission plafonnée à 10 %, payée par le club vendeur. Incohérence à mes yeux : un agent touchera 10 % sur un transfert mais seulement 3 % du salaire du joueur dont il s'occupe alors que la charge de travail est plus importante. Dès lors, la FIFA encourage toujours la mobilité des joueurs : des transferts répétés, ce sont davantage de commissions.

43 voitures enlevées dimanche par la fourrière près du Roazhon Park

Dimanche 16 octobre 2022, le Stade Rennais recevait l'Olympique Lyonnais au Roazhon Park. Comme elle l'avait annoncé, la police a accentué sa lutte contre le stationnement anarchique aux abords de la route de Lorient en dressant 89 verbalisations et en enlevant 43 voitures.

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La police accentue sa lutte contre le stationnement anarchique les jours de match à domicile du Stade Rennais. Ce dimanche 16 octobre 2022, alors que Rennes recevait Lyon à 15h, elle a dressé 89 verbalisations aux abords du Roazhon Park et procédé à l'enlèvement de 43 voitures par la fourrière municipale. 10 engins d'enlèvement étaient à disposition pour cette opération organisée par le Service de Voie Publique de la Direction Départementale de Sécurité Publique d'Ille et Vilaine.

Note salée
Pour les automobilistes venus de l'extérieur de Rennes et qui ont été verbalisés, la note est salée : 135 euros d'amendes, 121,66 euros de frais d'enlèvement ainsi que la perte de 3 points sur son permis de conduire. Ce type d'opération sera reconduite en cours de saison. La préfecture part en guerre contre les stationnements gênants ou dangereux notamment sur les bretelles d'accès à la rocade route de Lorient. De son côté, la mairie met en avant l'utilisation des transports en commun. La ligne b du métro s'arrête à la station Cleunay qui est à un quart d'heure à pied du Roazhon Park. Le parc relais Gaité, situé à proximité du stade, permet de se stationner avant d'emprunter la ligne b.

Didier, il est temps de donner sa chance à Terrier

Le sélectionneur ne peut plus ignorer les performances et le niveau de l’attaquant Rouge et Noir.
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Si visiblement, Didier Deschamps ne prend pas le temps de regarder les matchs du Stade Rennais, au moins regarde-t-il ceux de Lyon. Le sélectionneur ne peut donc pas avoir manqué le doublé de Martin Terrier, dimanche au Roazhon Park. Deux buts superbes de la tête, une première pour l’attaquant des Rouge et Noir, qui montre ainsi toute l’étendue de son registre technique. Lui si familier de ces enroulés en coin de surface, élargit sa palette de match en match.

Joker fabuleux

Malgré des stats impressionnantes (21 buts la saison passée et déjà neuf cette année toutes compétitions confondues), l’attaquant rennais n’a jamais eu la chance d’enfiler la tunique bleue frappée du coq. Tout juste a-t-il l’honneur de recevoir des préconvocations de Deschamps, comme un carton d’invitation au bal où il n’aurait pas le droit de danser.

L’injustice est réelle, car Martin Terrier éclabousse la Ligue 1 de sa classe, et ça ne date pas d’aujourd’hui. Deschamps peut ne pas aimer les expériences, regarder surtout les championnats étrangers, ne jamais envoyer un émissaire en Bretagne, il aurait au moins pu donner sa chance à Terrier en juin ou lors du rassemblement de septembre. À ce stade, ce n’est plus un oubli ou de la négligence.

Un appel de dernière minute semble peu probable, même s’il y a toujours une surprise dans la liste d’une Coupe du monde. Et pourtant, DD serait bien inspiré d’embarquer le n° 7 Rouge et Noir avec lui, tant Terrier pourrait être un joker fabuleux aux côtés de Mbappé et Benzema. Car, oui Didier, si vous ne le savez pas, Martin Terrier peut jouer partout sur le front de l’attaque et en plus, lui, il défend.

S.G.S.B.

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