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Ça se précise pour les futurs droits tv de la ligue 1

Comme annoncé vendredi dernier par RMC Sport, la semaine s’annonce décisive pour LFP Média. Les contours de la future chaîne du foot français produite en interne devraient être connus très rapidement. Un dernier grand oral est prévu ce lundi 23 juin avec deux sociétés de production. Canal+ ne devrait être qu’un distributeur, pas plus.

Ça se précise pour les futurs droits tv de la ligue 1

C’est la dernière ligne droite. Le choix historique que s’apprête à prendre le foot français pour la diffusion de son championnat de Ligue 1 rentre dans sa phase concrète et opérationnelle. Après avoir sondé le marché, place maintenant aux décisions. Selon nos informations, deux sociétés de productions passent ce lundi 23 juin un dernier grand oral pour répondre aux besoins éditoriaux de la future chaîne de la Ligue. Il s’agit de 21 Production, appartenant au groupe L’Equipe et dirigé par Vincent Broussard, et Mediawan, dont le patron du pôle sport est Eric Hannezo. Contenu des futurs magazines, gestion de l’antenne avant et après match, les multiplex, gestion du personnel éditoriaux, les besoins de LFP Médias avaient été listés lors de l’appel d’offre lancé début juin. La société chargée de fournir ces services devrait donc être connue dans les toutes prochaines heures. Le futur patron de la chaîne sera Jérôme Cazadieu, aujourd’hui directeur marketing et directeur éditorial de LFP Média.

Canal+ sera un simple distributeur
La grande question des derniers jours concernait Canal+. La chaine cryptée allait-elle redevenir un partenaire privilégié de la LFP Média, voire un codiffuseur. La réponse est non. LFP Média a décidé de faire de Canal un simple distributeur de sa chaîne au même titre que les fournisseurs d’accès internet et tous les autres distributeurs potentiels (Amazon, DAZN…). Les contreparties demandées par Canal, notamment récupérer la codiffusion de l’affiche du dimanche soir, pour quelque part réparer le préjudice qu’elle estime avoir subi ces dernières années étaient trop importantes aux yeux des dirigeants de la Ligue. Quant à DAZN, qui avait proposé la prise en charge globale des besoins de production, éditoriaux, marketing et communication pour un montant de 110 millions sur les deux prochaines années, son plan ne semble pas avoir été retenu non plus. La rupture définitive entre la Ligue et la plateforme britannique devrait donc se conclure, comme convenu, pour une simple indemnité de 85 millions d’euros payée par DAZN.

8 matchs sur 9 seront disponibles sur la nouvelle chaîne, beIn Sport va conserver le sien
Autre élément important dans la future diffusion des matchs de L1: beIn va rester diffuseur. Actuellement détenteur du droit de la rencontre du samedi 17h contre 78,5 millions d’euros annuel, la chaine qatarie va conserver ce droit dans les mêmes conditions. Les présidents de clubs ont choisi de poursuivre la collaboration avec ce diffuseur pour s’assurer un minimum de revenu annuel. beIn devait aussi pouvoir verser 20 millions d’euros supplémentaire au titre d’accord de sponsoring avec les clubs. Ces discussions qui ont beaucoup traîné en longueur n’ont toujours pas abouti aujourd’hui.

Reste à connaître les conditions financières pour le consommateur. Nicolas de Tavernost, directeur général de LFP Média (et vice-président de CMA Média, propriétaire de RMC Sport), avait clairement annoncé dans l’After Foot sur RMC que l’abonnement serait inférieur à 20€.

DAZN tente l’opération pardon

Son arrivée en Ligue 1 a tourné au fiasco. Pour se faire pardonner, le diffuseur DAZN prépare une opération séduction XXL cet été. Mais est-ce suffisant ?
DAZN tente l’opération pardon

L’aventure française de DAZN ressemble pour l’instant à un immense gâchis. Arrivée avec la promesse de révolutionner la diffusion de la Ligue 1, la plateforme britannique quitte le championnat par la petite porte après une seule saison chaotique, laissant derrière elle un goût amer et, surtout, des centaines de milliers d’abonnés furieux. Depuis la rupture prématurée de son contrat avec la LFP, le diffuseur fait la sourde oreille aux demandes de résiliation et de remboursement de ceux qui s’étaient engagés pour un an, créant une véritable crise de confiance. Alors que beaucoup les croyaient sur le départ, la plateforme prépare pourtant une contre-attaque inattendue, une promesse spectaculaire pour tenter de reconquérir un public qu’elle a profondément déçu.

DAZN, l’heure de la rédemption a-t-elle sonné ?
Ce grand plan de reconquête, c’est la Coupe du Monde des Clubs (14 juin – 13 juillet). Et pour l’occasion, DAZN compte mettre les petits plats dans les grands. L’intégralité des 63 matchs du tournoi sera diffusée gratuitement sur la plateforme, sur simple création d’un compte. Une gratuité totale censée faire oublier les déboires passés. Mieux, le diffuseur promet une « compétition en immersion » avec des innovations technologiques inédites : « ref cam » sur les arbitres, GoPro sur les joueurs à l’échauffement et micros sur les staffs techniques. Une manière de dire : « Regardez, nous savons proposer du contenu de qualité quand nous le voulons. »

Une opération reconquête face à un mur de colère
Mais cette promesse d’un spectacle gratuit et innovant risque de se heurter à un mur : celui de la colère des consommateurs français. Comment convaincre un public de revenir quand on refuse de rembourser les abonnements annuels souscrits sur la base d’une promesse commerciale non tenue ? Pour de nombreux clients lésés, cette Coupe du Monde gratuite ressemble plus à une tentative désespérée de limiter la casse qu’à un véritable geste commercial. Le refus d’indemnisation a laissé des traces profondes et le pardon est loin d’être acquis.

Le spectre de l’IPTV, l’autre ennemi de DAZN
Au-delà de la colère légitime des abonnés, DAZN fait face à une autre réalité du marché français : la consommation massive et illégale de football via l’IPTV. Dans un pays où une partie significative des fans a déjà accès à toutes les compétitions via des boîtiers pirates, une offre légale, même gratuite, peine à rivaliser. Pourquoi se créer un compte sur DAZN pour un seul tournoi quand des solutions illégales proposent déjà tout, tout le temps ? Ce contexte rend la mission de reconquête de DAZN encore plus périlleuse.

DAZN : un pari risqué pour un avenir incertain en France
En misant tout sur cette Coupe du Monde des Clubs gratuite, DAZN joue une carte audacieuse mais terriblement risquée. L’opération a le mérite d’exister, mais elle semble ignorer la profondeur du ressentiment de ses anciens clients et les réalités du marché hexagonal. Pendant ce temps, des discussions se poursuivent en coulisses pour une éventuelle distribution de la future chaîne de la Ligue. Cette grande promesse estivale suffira-t-elle à redorer son blason et à convaincre la LFP de lui refaire confiance ? L’été sera juge, mais le chemin de la rédemption s’annonce long et semé d’embûches.

Déjà la fin de l’histoire d’amour entre Canal+ et la LFP

En pleines négociations avec la LFP à propos de la distribution de la future chaîne du football français, Canal+ veut sortir gagnant de ce deal alors que la Ligue ne veut pas trop faire de concessions à son ancien partenaire historique. Autant dire les deux parties sont loin d’un accord.

Déjà la fin de l’histoire d’amour entre Canal+ et la LFP

La reprise de la Ligue 1 est annoncée pour le 15 août prochain, et pour le moment, les fans du championnat de France ne savent pas encore sur quelles chaînes ils vont pouvoir regarder les matchs de leurs équipes. Si la LFP Media avance bien dans la construction de sa plateforme L1 avec une annonce de son partenaire de production prévue la semaine prochaine, la donne est différente à propos du mode de distribution de la probable future chaîne de la L1. Il faut dire que les négociations sont complexes entre toutes les parties à propos d’un fonctionnement qui sera inédit dans une grande ligue de foot.

La Ligue refroidit Canal avec sa prime d’exclusivité
Se disant prêt à apporter rapidement jusqu’à un million d’abonnés à la future plateforme L1, Canal+ semblait avoir fait un bon pas vers la Ligue. Sauf que pour l’instant, le plan A prévu par Canal n’a pas été validé. La semaine dernière, Maxime Saada, le président de Canal, avait proposé à Nicolas de Tavernost, le patron de LFP Media, que Canal devienne le mandataire exclusif de la distribution de cette nouvelle plateforme de la L1 auprès de tous les distributeurs français. Mais alors que Canal propose de payer un minimum garanti avant un partage de revenus, la Ligue préférerait le paiement d’une prime d’exclusivité avec un partage immédiat des revenus. Sauf que d’après L’Equipe, « le montant de cette prime, jugé bien trop élevé, aurait rapidement refroidi les ardeurs de Canal pour le moment ».

Saada veut réparer un ancien préjudice

Un premier accroc suivi d’un deuxième, puisque Canal et la Ligue ne sont pas d’accord sur un autre point. « Maxime Saada aurait introduit un élément important et visiblement non-négociable, sa volonté de voir un ‘ancien préjudice’ entre les deux parties réparé. Le groupe audiovisuel estime toujours avoir été victime d'une iniquité de traitement lors du cycle 2021-2024 (Amazon réglait 250 M€ par saison pour 80 % des matches et Canal 332 M€ pour deux rencontres) après la défaillance de Mediapro. Tavernost aimerait que la chaîne cryptée passe à autre chose et n'use pas de cet argument dans la négociation. Pourtant, Canal+ semble en faire une condition préalable à tout accord. Et c'est dans cette perspective qu'elle aurait par exemple proposé de récupérer cette co-diffusion de l'affiche de L1 du dimanche soir, sans régler le moindre droit pour cela sur les deux saisons à venir », peut-on lire sur le site du quotidien sportif français, qui sait que Canal a encore de belles cartes en main pour faire craquer la LFP.

Canal a l’arme beIN pour faire craquer la LFP
Tout simplement parce que la Ligue ne pourra pas se mettre Canal à dos, vu que la chaîne cryptée aura aussi son mot à dire sur l’affiche du samedi à 17h. Détenue par beIN Sports, ce match pourrait être co-diffusé par la nouvelle chaîne de la LFP afin de séduire un maximum d’abonnés. Mais sachant que Canal est le distributeur unique de beIN, la Ligue devra obtenir l’accord de Canal pour avoir les neuf matchs de chaque journée. Et en cas de non-accord avec Canal à propos de la distribution de la chaîne, la LFP se retrouvera dans une mauvaise position pour récupérer le seul match pas détenu par DAZN. Autant dire que les négociations sont encore loin d’être finies, même si les choses pourraient avancer la semaine prochaine lors d’un nouveau rendez-vous entre Canal et la Ligue.

Habib Beye redistribue les cartes pour les gardiens de but

Habib Beye s’est engagé à revitaliser le Stade Rennais, actuellement en difficulté. Après quelques mois, l’entraîneur n’a pas encore atteint son objectif. Pour la prochaine saison, il envisage de nombreux changements. Le poste de gardien de but est sa priorité absolue.

Habib Beye redistribue les cartes pour les gardiens de but

Steve Mandanda, après trois années de service, quitte la Bretagne. Le débat se concentre maintenant sur la possibilité pour Robin Rissier de rivaliser avec Brice Samba. Malgré des performances inégales, Samba devrait conserver sa position de gardien principal pour la saison à venir.

Toutefois, Brice Samba, doublure de Maignan en Équipe de France, ne bénéficiera pas d’une patience infinie. L’intérêt du Stade Rennais pour Robin Rissier est évident, bien que l’ASSE soit également sur les rangs. Un poste de doublure en Ligue 1 pourrait séduire le jeune talent.

Beye a déjà montré qu’il sait mettre en avant les jeunes joueurs, ce qui pourrait favoriser Rissier au sein du club. En tant que gardien en attente, il pourrait tirer parti de l’expérience de Samba pour s’améliorer.

Pour le troisième gardien, Ayoub Akabou, victorieux de la Gambardella récemment, pourrait se voir confier cette responsabilité. L’efficacité de cette organisation pour le groupe rennais reste à évaluer.

Les premiers indices sur l’impact de ces décisions apparaîtront lors de la reprise de l’entraînement, prévue pour le 30 juin, sous la direction de Habib Beye.

Feu vert pour le Stade rennais

Le Stade rennais a annoncé via un communiqué avoir passé la DNCG ce mercredi.

Feu vert pour le Stade rennais

"Ce mercredi 11 juin, le Stade Rennais F.C. a présenté à la Direction Nationale du Contrôle de Gestion (DNCG) les comptes prévisionnels du club relatifs à l’exercice 2024-2025, ainsi que le budget de la saison 2025-2026. La Commission de Contrôle des Clubs Professionnels a rendu sa décision et n’a pris aucune mesure à l’égard du club", indique le club breton dans un communiqué publié ce mercredi soir.

Les annonces fortes de De Tavernost sur la nouvelle chaîne

Directeur général de LFP Médias, Nicolas De Tavernost a évoqué la création de la chaîne de la Ligue hier lors d’une interview sur RMC, dans l’émission l’After.

Les annonces fortes de De Tavernost sur la nouvelle chaîne

A deux mois de la reprise du championnat, Nicolas De Tavernost a fait quelques annonces rassurantes pour les fans de football, hier, dans L’After. A priori, le championnat de France devrait bien être diffusé, via une chaîne créée par la LFP qui sera disponible chez tous les fournisseurs d’accès internet. Contrairement à ce qu’a DAZN la saison dernière, le prix sera attractif, de même que le contenu. En revanche, on aura bien compris que l’ancien président des Girondins est inféodé à Nasser al-Khelaïfi, véritable patron du football français…

Des annonces fortes à la fin du mois
"Le projet avance. On sera capable de donner des choses précises à la fin du mois, puisqu’il faut être prêt pour le 15 août. Il y aura une chaine Ligue 1 à la reprise. On travaille sur deux chantiers : la production de cette chaine, et la distribution de cette chaine. On annoncera à ce moment-là les prix. Vous pourrez d’abord la voir à partir d’une application. Et il y aura des distributeurs : Orange, Free, Canal, beIN. Nous avons des discussions à caractère financier, pour trouver la meilleure solution pour le consommateur, mais aussi les clubs. Ce que je peux vous dire, c’est que le prix sera inférieur à 20€ par mois, et il y aura en plus un abonnement pour les jeunes."

Le million d’abonnés visé
"La saison 2025-26 va être une année difficile sur les droits domestiques de télévision. On le sait. Fabriquer une chaine, relancer un process, trouver des distributeurs, c’est un processus difficile, long, compétitif. Il y aura certainement une saison qui ne sera pas facile. L’objectif ? En termes d’abonnés, si on fait moins d’un million d’abonnés la première année, on ne sera pas contents, c’est qu’on aura échoué. Voilà. On estime que le nombre de fans, il est de l’ordre de 3,5, 3,6 millions."

8 matches cette saison, 9 en 2026-27
"Ce sera au minimum 8 matches sur neuf pour la saison prochaine, peut-être neuf. Et la saison suivante, ce sera neuf matches sur neuf. On discute avec beIN, avec tout le monde. Avoir un canal dans lequel vous pouvez avoir tous les matches, avec des horaires précises, c’est essentiel. Il y aura aussi un multiplex mais il n’y aura pas de bouleversement des horaires des matches : le samedi, le dimanche soir. Le contrat de beIN s’arrête l’année prochaine, donc beIN a le droit de conserver son match, et apporte en contrepartie 80 M€ en cash à la Ligue 1. C’est à peu près 400.000 abonnés. Il y a des discussions."

Al-Khelaïfi continue d’être le parrain du foot français
"Je veux lui rendre justice, c’est grâce à lui que les discussions d’aujourd’hui se passent correctement. Le fait d’avoir le PSG Champion d’Europe, ça nous facilite grandement la tâche. Je fais partie de ceux qui pensent que nous avons un président qui a tenu les objectifs fixés, et qui permet aussi au foot français et à la L1 d’avoir la tête haute. L’année prochaine, quand vous aurez le PSG qui va se déplacer, vous allez voir les affluences, les audiences. Ce n’est pas rien d’avoir un club qui revalorise à ce point la Ligue 1. C’est un atout considérable et si nous avons tous les distributeurs internationaux qui viennent nous voir, c’est notamment parce que le PSG est champion. Ce club a apporté cet intérêt pour la Ligue 1."

La future chaîne de la LFP ne coûtera pas plus de 20 euros par mois

Le nouveau président de LFP Médias, Nicolas Tavernost, a fait le point sur le projet de la Ligue pour retransmettre le championnat à partir de la saison prochaine.

La future chaîne de la LFP ne coûtera pas plus de 20 euros par mois

Le chantier de la future chaîne de la LFP pour retransmettre la Ligue 1 à partir d’août prochain avance bien, selon Nicolas de Tavernost. Le nouveau président de LFP Media a fait le point sur le dossier au micro de RMC Sport, mardi. S’il a donné rendez-vous à la fin du mois de juin pour les détails, le dirigeant a livré quelques grandes lignes du projet.

Le dossier de la production n’est pas encore tout à fait ficelé. Un appel d’offres est en cours, et la Ligue devra trancher prochainement. Sur l’accessibilité, ensuite. "Vous pourrez télécharger la chaîne via une application que vous pourrez avoir sur votre tablette, sur votre télé, sur votre télé connectée. Ça, c’est en direct, a expliqué de Tavernost. Et il y aura des distributeurs, Orange, Free, Canal, beIN."

Quand le volet distribution sera achevé, la LFP pourra alors communiquer sur l’un des enjeux primordiaux du succès ou non de cette chaîne : le prix, bien sûr. Première indication : "Ce que je peux vous dire, c’est que le prix sera inférieur à 20 euros par mois et qu’il y aura en plus un abonnement pour les jeunes", a certifié l’ancien patron de M6.

Pour le moment, l’abonnement comprendrait huit matchs sur les neuf de chaque journée de championnat. BeIN Sport conserve en effet son affiche, contre 80 millions d’euros par an. Des discussions sont en cours là aussi. Si la chaîne qatarie ne lâche pas son match cette saison, il le fera de toute façon celle d’après, puisque son contrat s’achèvera. "Je ne garantis pas que l’année prochaine, il y aura neuf matchs sur la chaîne de la Ligue 1. Par contre, l’année 2, il y aura neuf matchs", synthétise Nicolas de Tavernost.

Sur l’objectif du nombre d’abonnés, enfin. Les choses sont assez claires dans la tête du patron de LFP Médias : « Si on fait moins d’un million d’abonnés la première année, c’est qu’on aura échoué. On estime que les fans de foot prêts à s’abonner à un service de foot payant sont de l’ordre de 3,5 millions en France. » Ne reste plus qu’à aller les chercher.

Mandanda fait une nouvelle déclaration sur l’OM

Le 17 mai, une date mémorable pour Steve Mandanda, a marqué un événement émouvant au Vélodrome. Lors d’un match entre le Stade Rennais et l’OM, le gardien a été invité par son entraîneur, Habib Beye, à prendre la place de Brice Samba, recevant ainsi un hommage exceptionnel du public marseillais.

Mandanda fait une nouvelle déclaration sur l’OM

Après la défaite de son équipe face à l’OM par 3-1, Mandanda, en zone mixte, a exprimé son émotion. Il était difficile pour lui de décrire les frissons ressentis à cet instant. À la fin du match, Leonardo Balerdi lui a même offert son brassard en signe de respect.

À 40 ans, Mandanda, touché par l’accueil du public, a décrit ce moment comme inoubliable. « C’est un moment qui restera gravé à vie. Il était chargé d’émotions… C’est inoubliable. Je savais que j’étais apprécié mais pas à ce point-là. Ça montre à quel point le public marseillais est incroyable », a-t-il partagé.

L’intensité du moment a souligné l’affection des supporters marseillais pour leur ancien joueur. Mandanda, ému par cette reconnaissance, a réitéré son admiration pour les fans qui l’ont soutenu tout au long de sa carrière.

Ce geste symbolique a mis en lumière la connexion spéciale entre Mandanda et le public de Marseille. L’accueil chaleureux et les applaudissements ont témoigné de l’impact durable du gardien sur le club et ses supporters.

Quant à son avenir, Mandanda reste en réflexion. Ce moment unique pourrait influencer sa décision, alors qu’il considère ses prochaines étapes après une carrière marquée par de nombreux succès et une relation privilégiée avec le public marseillais.

Une catastrophe s’abat sur Samba

Selon des informations de L’Équipe, Brice Samba aurait perdu sa place de deuxième gardien de l’équipe de France au profit de Lucas Chevalier. La performance du gardien du LOSC aurait convaincu le staff des Bleus de le promouvoir.

Une catastrophe s’abat sur Samba

La montée en puissance de Lucas Chevalier ne passe pas inaperçue. Ces derniers mois, le gardien a impressionné par ses performances remarquables, faisant de lui un sérieux concurrent pour le poste de numéro 2 chez les Bleus.

Lors du dernier rassemblement de mars, le staff de l’équipe de France avait décidé de maintenir la hiérarchie existante. Toutefois, la progression de Chevalier avait déjà été identifiée comme une tendance notable.

Huit mois seulement après sa première convocation, Lucas Chevalier aurait surpassé Brice Samba dans l’ordre des gardiens, selon L’Équipe. Cette évolution témoigne de la confiance accordée au jeune gardien par le staff.

Lucas Chevalier était présent parmi les remplaçants supposés lors de la mise en place avant le match Espagne-France, un signe de sa montée en grade. Son talent et sa constance auraient convaincu les dirigeants de l’équipe.

« Il a convaincu le staff des Bleus qu’il était en capacité d’assumer ce nouveau rôle », a rapporté L’Équipe. En revanche, Brice Samba ne semble plus offrir toutes les garanties nécessaires à ce niveau.

Élu meilleur gardien de Ligue 1 aux trophées UNFP, Chevalier a su démontrer sa valeur sur le terrain, se démarquant ainsi comme un élément clé pour l’avenir du football français.

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La LFP a lancé un appel d'offres pour sa nouvelle chaîne Ligue 1

Une consultation a été lancée, ce lundi, pour la fabrication de l'antenne qui va être lancée en août par la LFP pour le démarrage de la saison prochaine.
La LFP a lancé un appel d'offres pour sa nouvelle chaîne Ligue 1

Après la fin de l'aventure DAZN, principal diffuseur de la Ligue 1 (8 matches par journée, le dernier étant sur beIN Sports) actée début mai, LFP Media, la filiale commerciale de la Ligue, va lancer sa propre chaîne. Elle cherche à s'associer avec un acteur du marché (Canal+, beIN Sports, Amazon Prime Video, DAZN, Disney +...) en espérant obtenir un minimum garanti.

En attendant, selon nos informations, LFP Media lance, ce lundi, un appel d'offres avec quatre lots pour la fabrication de cette chaîne qui va démarrer pour la reprise de la saison, le 15 août.

Quatre sont mis sur le marché à destination des sociétés de production. Le premier concerne les magazines. Le deuxième, ce qui est mis à l'antenne avant et après les matches. Le troisième, la gestion des multiplex et le quatrième la gestion des personnels éditoriaux. La production des rencontres étant déjà assurée par LFP Media.

Suivant les réponses obtenues, la filiale commerciale de la Ligue décidera alors du niveau de la production interne par rapport à ce qui sera fait en externe. Dans le même temps, LFP Media travaille sur l'éditorial et la distribution, deux domaines essentiels à la réussite de cette nouvelle chaîne, ainsi que sur le marketing. Avec en tête de ne pas reproduire les erreurs de DAZN qui s'était lancée avec des tarifs prohibitifs.

Pouille tranche pour l’avenir d’Habib Beye et il encense le technicien français

L’entraîneur Habib Beye a réussi à maintenir le Stade Rennais à la 12e place en Ligue 1, ce qui a automatiquement prolongé son contrat jusqu’en juin 2026. Cette performance suscite une grande satisfaction au sein du club breton.

Pouille tranche pour l’avenir d’Habib Beye et il encense le technicien français

Le président du Stade Rennais, Arnaud Pouille, n’exclut pas la possibilité de proposer un nouveau contrat à Beye dès cet été. Cette intention reflète la confiance grandissante envers le technicien sénégalais, qui a su prouver sa valeur cette saison.

Pouille a exprimé son admiration pour Beye en le comparant à d’autres entraîneurs qu’il a connus à leurs débuts. "C’est un coach dont on est extrêmement satisfait sur beaucoup d’aspects", a-t-il déclaré, renforçant l’idée d’une éventuelle prolongation.

Il a également évoqué la ressemblance entre Beye et des figures telles que Fabien Galthié et Franck Haise, soulignant son énergie et sa performance. Cette comparaison montre l’estime dans laquelle il tient son entraîneur.

La décision de prolonger le contrat de Beye pourrait être prise prochainement, selon Pouille. "Ce peut-être l’heure de se poser sur ces questions-là (d’une prolongation, ndlr), oui", a-t-il confié à L’Équipe, indiquant que le sujet est à l’ordre du jour.

La DNCG annonce plusieurs rétrogradations possibles

Dans un long entretien accordé à Ouest-France, le patron de la DNCG Jean-Marc Mickeler s’est confié sur la santé du foot français et a annoncé que plusieurs clubs de Ligue 1 pourraient descendre cet été.
La DNCG annonce plusieurs rétrogradations possibles

La saison 2024-2025 de Ligue 1 est arrivée à son terme avec donc le PSG qui a obtenu son nouveau titre de champion de France. En bas de tableau, Saint-Etienne et Montpellier sont descendus en Ligue 2 en attendant de voir le résultat du barrage entre Reims et Metz (1-1, score final à l’aller). Mais pour décider des descentes, il n’y a parfois pas que le terrain. L’état financier de certains clubs contraint la DNCG à sévir par moment. Récemment, le cas de Bordeaux avait fait parler avec la rétrogradation en N2 et le redressement judiciaire.

En Ligue 1, l’OL est notamment ciblé avec des finances dans le rouge. Il y a quelques mois, le gendarme financier du foot français avait décidé de sévir en sanctionnant Lyon d’une rétrogradation en Ligue 2 à titre conservatoire en fin de saison. Une décision qui avait fait parler et qui inquiétait grandement les supporters du club rhôdanien. Dans les colonnes de Ouest-France, le patron de la DNCG, Jean-Marc Mickeler s’est exprimé sur la situation des clubs français à quelques jours des auditions pour la saison prochaine. Et il a fait de grosses révélations sur la santé financière des clubs de L1.

La DNCG annonce la couleur
"Oui la situation pour le foot professionnel en France, est grave. Parce qu’on parle d’une industrie qui a connu beaucoup de chocs successifs et que des efforts déjà importants ont été consentis par les actionnaires. Il va falloir en refaire. De leur capacité à pouvoir le faire, et à le vouloir, dépendra l’avenir d’un certain nombre de clubs", a-t-il d’abord lancé avant de révéler le déficit des clubs français sur la saison. "On sera entre 1,2 et 1,3 milliard d’euros de déficit avant cession de joueurs. C’est aussi élevé que l’année du Covid. Le football français perd structurellement, au cours des dernières années, de l’ordre d’un milliard d’euros en moyenne par an avant cession de joueurs".

Relancé sur la situation des clubs français, Jean-Marc Mickeler qui est considéré comme assez sévère ces dernières années, a aussi expliqué que plusieurs clubs pourraient bien descendre cet été. "Financièrement, le foot français ne peut pas aller plus bas. Plus bas, c’est mettre la clé sous la porte. Nous pensons que tout club qui n’est pas qualifié en Coupe d’Europe ou qui n’a pas été qualifié au cours des deux, trois dernières saisons en coupe européenne et qui ne bénéficie pas d’un actionnaire très solide, est en danger. La répétition des efforts qui est demandée fait naturellement augmenter les risques. En fonction de la capacité des actionnaires à faire ou ne pas faire ou la volonté de faire ou de ne pas faire, il n’est pas exclu qu’il y ait cette saison une ou plusieurs rétrogradations administratives. Attention. Il n’y aura pas, comme j’ai pu l’entendre, 5, 6, 7 rétrogradations. (…) Il est très probable qu’il y ait, cette saison, un nombre plus important de mesures d’encadrement, voire de mesures d’interdiction de recrutement que celles qu’on a pu connaître l’année dernière. Il ne faut pas croire que les difficultés actuelles liées à l’absence de visibilité sur les droits domestiques sont la raison principale de la situation dans laquelle se trouvent les clubs."

La DNCG attend des efforts
Mais alors comment faire pour améliorer la situation financière du foot français ? Jean-Marc Mickeler a sa petite idée."Une diminution significative de la masse salariale. Ça, c’est la priorité absolue. Nous ne comprendrions pas le contraire. Par exemple, les joueurs en fin de contrat à l’issue de la saison, c’est 250 millions d’euros de masse salariale en Ligue 1 et en Ligue 2. On a, dans tous les grands championnats européens, entre 25 et 27 joueurs sous contrat. La moyenne en France est de 36 joueurs pros sous contrat. C’est trop." Et si les clubs français ne jouent pas le jeu ? La réponse est claire. "On verra. Mais ceux qui ne voudront pas seront remplacés par d’autres qui pensent qu’il y a une opportunité à saisir.Quand un club est relégué administrativement de Ligue 1, il est remplacé par un club accédant de la Ligue 2…" Le message est passé.

Des clubs menacent d'attaquer la DNCG en justice

Les clubs professionnels vont passer un par un devant la DNCG dans les prochaines semaines. Mais le climat sera tendu puisque plusieurs dirigeants de Ligue 1 envisagent d'attaquer en justice le gendarme financier du football.

Des clubs menacent d'attaquer la DNCG en justice

Le dossier des droits TV se concrétise brutalement pour les 18 clubs de Ligue 1 qui doivent envoyer des bilans à la DNCG avec une absence de recettes liées aux fameux droits pour la saison. Patron du gendarme financier du football, Jean-Marc Mickeler a prévenu les dirigeants qu'il était impossible de prévoir le montant de ce que pourront rapporter les droits de diffusion du championnat de France et qu'il n'acceptera pas qu'une somme soit budgétée dans cette colonne. De quoi forcément tendre les relations entre les patrons des clubs de L1 et la Direction Nationale du Contrôle de Gestion, cette dernière ayant le pouvoir de lourdement sanctionner des clubs. C'est dans ce contexte qu'Arnaud Hermant, journaliste de L'Equipe révèle ce vendredi que les dirigeants de Ligue 1 pourraient passer à l'action contre la DNCG et d'une manière pour le moins très spectaculaire.

La DNCG dans le collimateur de la Ligue 1

Et cette révolte pourrait se concrétiser par une possible action en justice contre la DNCG et son président Jean-Marc Mickeler, preuve que la tension est cette fois extrême. « Depuis plusieurs semaines, Jean-Marc Mickeler cristallise les critiques de plusieurs dirigeants, certains réfléchissent même à intenter une procédure en justice contre le gendarme financier du foot pro pour défaut de conseils », explique le quotidien sportif. Depuis 24 heures, la DNCG a reçu l'ensemble des bilans des clubs, et c'est à partir de mardi prochain que les auditions vont débuter avec la possibilité que des mauvaises surprises tombent sur certaines équipes. On pense évidemment à l'Olympique Lyonnais, qui sera reçu le 24 juin prochain. Mais le club de John Textor n'est pas le seul à craindre une éventuelle sanction, et l'ajout d'une possible procédure contre la DNCG ne contribuera pas à ramener un peu de sérénité dans le football professionnel, où tout le monde soupçonne tout le monde.

S.G.S.B.

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