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L'idée de play-offs abandonnée ?

Parmi les idées émises dans le cadre de la réforme du football professionnel, on a appris que la FFF pensait à créer des play-offs pour déterminer le champion de France de Ligue 1. Une idée qui n'a pas duré longtemps.

L'idée de play-offs abandonnée ?

Tandis que Philippe Diallo travaille pour une réorganisation complète de l'instance en charge de gérer le football professionnel français, avec notamment la suppression de la LFP, L'Equipe a révélé que l'idée d'imiter le rugby était dans l'air. Globalement, à la fin d'une saison régulière, le champion de France de Ligue 1 serait désigné par des play-offs. Pour de nombreux observateurs, cela ressemblait surtout à un plan pour essayer d'empêcher le Paris Saint-Germain d'aligner les titres, comme c'est très souvent le cas depuis le rachat du club de la capitale par le Qatar. Cependant, si cette idée a été suggérée par la Fédération Française de Football, elle a très rapidement été mise de côté, et pas seulement par les dirigeants du PSG comme l'explique Pierre Rondeau.

La Ligue 1 restera un championnat classique

Spécialiste de l'économie du sport, et ayant ses sources en interne, le consultant de RMC a balayé cette hypothèse. « Ça a seulement été évoqué lors des différentes réunions et absolument personne n'a pris la chose sérieusement. Tout au plus, ça en a fait rire certains dans le fond », explique Pierre Rondeau. Une version confirmée par Abdellah Boulma, un journaliste toujours très bien informé. Ce n'est donc pas demain que la Ligue 1 va imiter le Top 14 ou la NBA, le Paris Saint-Germain peut donc dormir encore relativement tranquillement même si Montpellier, Monaco et Lille ont prouvé que même sans les play-offs, le PSG n'était pas invincible sur une saison. A l'OM et autres prétendants au titre de Champion de France de se motiver et de tenir la distance face à l'ogre parisien.

Les idées de la FFF pour relancer le foot français

Si les pouvoirs de la Fédération française de football visent à être renforcés à l’avenir, l’instance pense déjà à plusieurs réformes pour relancer l’attractivité de la Ligue 1.

Les idées de la FFF pour relancer le foot français

En pleine transformation le football français pourrait connaître plusieurs transformations majeures dans les mois à venir. En effet, il est évoqué ces dernières heures, dans un premier temps, la création d’une société de clubs, la suppression de la Ligue de football professionnel (LFP), et un renforcement des pouvoirs de la Fédération française de football (FFF).

De plus, parmi les groupes de travail constitués, celui consacré à l’amélioration de l’attractivité de la Ligue 1, co-piloté par Damien Comolli, a avancé plusieurs idées fortes, dont une qui pourrait bouleverser la Ligue 1 : l’introduction de play-offs, comme rapporté par L’Équipe.

Inspiré du Top 14 (rugby) ou de la D1 Arkema (football féminin), ce système consisterait à organiser, à la fin de la saison régulière, un tournoi à élimination directe entre les quatre premiers clubs du classement pour déterminer le champion de France. Les places européennes seraient, elles, toujours attribuées à l’issue du championnat classique.

Ça en a fait rire certains dans le fond
Cette formule vise à raviver l’intérêt sportif d’une Ligue 1 souvent dominée sans suspense par le Paris Saint-Germain. Si plusieurs acteurs du football y sont favorables, elle pourrait en revanche ne pas séduire le PSG, ni résoudre les problèmes d’un calendrier déjà saturé. Cependant, selon Pierre Rondeau, spécialiste de l’économie du sport, ce concept a « seulement été évoqué lors des différentes réunions et absolument personne n’a pris la chose sérieusement. Tout au plus, ça en a fait rire certains dans le fond ».

Autre piste évoquée : la relance de la Coupe de la Ligue, disparue en 2020. Cette nouvelle version serait réservée aux clubs non qualifiés en Coupes d’Europe, permettant à ces équipes de disputer une compétition nationale et potentiellement de décrocher un titre.

Il ne manque que l'étincelle au Roazhon Park

Le Roazhon Park a tous les atouts d'un stade qui fleure bon le football et qui donne envie de s'y éterniser. Mais les résultats du Stade Rennais cette saison ont quelque peu terni une ambiance qui montait en puissance ces dernières années. Il est tout de même 7e de notre classement des stades de Ligue 1.
Il ne manque que l'étincelle au Roazhon Park

Sur les bords de la Vilaine, à l'ouest du centre-ville de Rennes, le Roazhon Park n'est pas le stade le plus facile d'accès de Ligue 1, mais il a son charme, pour un après-midi familial par exemple. Vous pouvez le rejoindre à pied (une grosse trentaine de minutes depuis la gare de Rennes), en métro (moins d'une demi-heure depuis le centre, mais quinze minutes de marche à la sortie de la station), en navette depuis la place de la République ou à vélo.

Les routes sont bloquées très en amont des matches, la voiture n'est donc pas recommandée. Entièrement rénovée entre 1999 et 2004, renommée en 2015 (le stade de la route de Lorient est devenu le Roazhon Park) avec un changement de sièges en prime, l'enceinte est un vrai stade à l'anglaise, où tout est fait pour que le spectateur se sente proche du terrain.

Les animations sur le parvis du stade se sont développées, la fameuse galette-saucisse fait toujours recette (3€ à l'extérieur du stade, 3,50€ à l'intérieur), et le club a beaucoup travaillé sur cet esprit festif, avec la mascotte Erminig toujours en forme. Les fouilles sont très efficaces, les flux bien organisés aux buvettes (7 ou 8€ la bière à l'intérieur du stade, consigne comprise), rien à dire sur la propreté des lieux et l'engagement écoresponsable.

On ne peut que regretter une ambiance morne malgré les efforts du RCK, le principal groupe ultra rennais. L'esprit est très familial, on trouve toutes les générations, de nombreuses personnes âgées, mais ce n'est pas au Roazhon Park que vous trouverez une ferveur enivrante, même s'il y a eu de chaudes soirées européennes il y a quelques années. Le public est davantage spectateur qu'acteur. Quelques barrières peuvent gêner le suivi de la rencontre à certaines places, mais dans l'ensemble la visibilité est très bonne, et deux grands écrans géants offrent de bons relais. En résumé, le cadre est bon ; cette année, il y a manqué l'étincelle pour en faire un lieu plus vivant.

Classement des stades de Ligue 1 selon l'équipe

Le Vélodrome devance le Parc des Princes et Geoffroy-Guichard au premier classement des stades où il fait bon vivre une soirée de Ligue 1.
Classement des stades de Ligue 1 selon l'équipe

L'idée était toute simple : un stage en immersion dans les stades de Ligue 1, une plongée façon supporter incognito pour vivre au plus près l'expérience client, comme on dit dans les cours de marketing, une réalité dont la tribune de presse ne rend compte que partiellement. Huit journalistes - un seul de la rubrique foot - non attachés au club résident des stades qu'ils visitaient ont donc sillonné la France du Championnat du 9 mars au 20 avril.

La feuille de route ? Limpide : se fondre dans la masse, acheter une place en latérale, tribune opposée à la présidentielle, prendre le tram, le bus et minuter l'accès au stade, apprécier la fluidité des fouilles et des dispositifs de sécurité, profiter du quartier et de ses animations avant et après les matches, jauger le confort du siège, l'amplitude de la vue, la vitesse du wifi et la richesse des services, goûter l'ambiance, les chants, le match, s'enflammer ou pester à l'unisson du stade, faire le ravito à la mi-temps, estimer la variété de la carte, le croquant de la frite et la fraîcheur du liquide concomitant, patienter (ou pas) aux toilettes, évaluer la propreté et la beauté des lieux, les efforts environnementaux, tester la rapidité à quitter l'enceinte et, in fine, soupeser le porte-monnaie à l'issue de la journée. Bref, vivre un match de L1 comme un spectateur lambda.

Évidemment, découvrir Geoffroy-Guichard un soir de derby brûlant le 20 avril (victoire de Saint-Étienne 2-1) donne une autre ampleur à sa soirée qu'assister au 0-0 de Brest contre Reims le dimanche après-midi du 15 mars, dans les travées vétustes de Francis-Le Blé. Pour tenter de minorer ces effets de distorsion, consigne avait été passée de discuter avec les voisins de siège, afin de dépasser la seule expérience d'un moment. Et surtout, tels des correcteurs du bac de français, les huit routards de L1 se sont soumis à une réunion d'harmonisation des notes, riche, drôle et passionnée, afin de confronter leur subjectivité à celle de leurs collègues, de défendre leurs arguments et de déterminer ensemble leur échelle de valeurs communes.

Méthodologie
Le classement des stades de L1 a été établi d'après des critères prédéfinis, notés de 1 à 10, pour une note finale sur 100.

Ambiance et ferveur (coefficient double)
(Chants, tifos, impact sonore, taux de remplissage...)

Confort et visibilité
(Qualité et ergonomie des sièges, espacement, visibilité, couverture en cas d'intempéries...)

Accessibilité
(Transports en commun, parkings, durée des trajets, fluidité des entrées/sorties)

Expérience économique
(Prix moyen des billets, abonnements, restauration, transports...)

Offre de restauration
(Variété et qualité des stands, temps d'attente aux buvettes...)

Expérience pré et post-match
(Dynamisme du quartier, animations sur le parvis et autour du match...)

Innovation et modernité
(Qualité du wifi, écrans géants et animations interactives, services digitaux, espaces dédiés aux enfants...)

Histoire et prestige
(Évènements tous sports accueillis par le stade, palmarès du club résident, valeur architecturale et patrimoniale...)

Environnement et propreté
(Développement durable, transports doux, initiatives écologiques, propreté du stade et des sanitaires...)

Les vieux stades (bien) rénovés en haut du classement
Tout ceci débouche donc sur ce premier classement des stades où il fait bon vivre une soirée de Ligue 1. Il accorde une prime à l'ambiance (coefficient doublé), car quand on va au stade, c'est avant tout pour y partager une émotion commune. Ça profite donc aux enceintes qui ont vécu une belle saison de leur club - au hasard, Strasbourg, aspirant européen surprise, ou Auxerre, joyeux promu - et pénalise celles qui ont vu la saison défiler dans la tiédeur du ventre mou (à Rennes, par exemple) ou la colère de la descente programmée comme à Montpellier. Logique que ce qui se passe sur la pelouse influe sur le ressenti des travées.

Au final, parce qu'il accueille le seul - pour quelques jours encore ? - club français victorieux de la Ligue des champions, parce qu'il rayonne dans la ville, à portée d'une journée à la plage, parce qu'il bout (parfois jusqu'au déraisonnable) d'une énergie unique sur laquelle on a su poser un toit magnifique, parce qu'il est moins cher que le Parc des Princes aussi (l'absence en Coupe d'Europe y a contribué sûrement), l'Orange Vélodrome domine ce classement assez serré, d'un souffle devant le Parc dont la fièvre monte de plusieurs crans en Ligue des champions versus les joutes domestiques.

Et le Chaudron stéphanois complète un podium de sièges historiques. Instructif d'ailleurs que le palmarès donne l'avantage aux vieux stades (bien) rénovés et modernisés face à des enceintes plus récentes, ultra-fonctionnelles mais qui, excentrées, peinent à faire le match des âmes comme le Groupama Stadium de l'OL ou l'Allianz Riviera de Nice.

Notre classement des stades de L1

  1. Orange Vélodrome (Marseille) : 76 points
  2. Parc des Princes (Paris-SG) : 75 pts
  3. Geoffroy-Guichard (Saint-Étienne) : 74 pts
  4. Bollaert-Delelis (Lens) : 73 pts
  5. Groupama Stadium (Lyon) : 73 pts
  6. La Meinau (Strasbourg) : 70 pts
  7. Roazhon Park (Rennes) : 68 pts
  8. Stadium (Toulouse) : 68 pts
  9. Decathlon-Arena - Pierre-Mauroy (Lille) : 67 pts
  10. La Beaujoire (Nantes) : 66 pts
  11. Allianz Riviera (Nice) : 63 pts
  12. L'Abbé-Deschamps (Auxerre) : 62 pts
  13. Océane (Le Havre) : 57 pts
  14. Francis-Le Blé (Brest) : 53 pts
  15. Auguste-Delaune (Reims) : 51 pts
  16. Raymond-Kopa (Angers) : 51 pts
  17. Louis-II (Monaco) : 50 pts
  18. La Mosson (Montpellier) : 46 pts

Les bonnes surprises viennent de la Meinau, pourtant en rénovation, du Stadium de Toulouse où, depuis la remontée, on s'échine au travers de gros efforts d'animation autour des matches à sortir de l'ombre tutélaire du rugby, ou de l'Abbé-Deschamps, si on veut vivre une belle après-midi à l'ancienne.

Le fond de la classe appartient à des stades et des clubs qui ont lutté en fond de cale, hormis la sempiternelle exception monégasque. Mais il n'en est qu'un qui n'obtient pas la moyenne : la Mosson, que Montpellier aimerait quitter lui aussi. Relégation pour tous.

L’étonnante recrue fantôme Kyogo Furuhashi

Recrue importante du mercato hivernal du Stade Rennais, Kyogo Furuhashi est loin de répondre aux attentes. Mis de côté par Habib Beye, l’attaquant japonais de 30 ans n’a pas vraiment d’avenir en Bretagne.
L’étonnante recrue fantôme Kyogo Furuhashi

Difficile, la saison du Stade Rennais se termine sur une bonne note. Abonné à la deuxième partie de tableau toute la saison et s’approchant parfois de la zone rouge, le club breton s’est même retrouvé barragiste à la 19e journée de Ligue 1. Les conséquences d’un mercato estival raté et d’erreurs au cours de la saison qui ont conduit aux licenciements de Julien Stéphan et de son successeur Jorge Sampaoli. Pour remédier à leur situation, les Bretons ont ainsi fortement investi à l’hiver avec 75 millions d’euros déboursés pour les arrivées de Seko Fofana (Al-Nassr), Brice Samba (RC Lens), Anthony Rouault (VfB Stuttgart), Kyogo Furuhashi (Celtic Glasgow), Mousa Tamari (Montpellier), Kazeem Olaigbe (Cercle Bruges), Ismaël Koné (Olympique de Marseille), Jérémy Jacquet (Clermont retour de prêt), Ayanda Sishuba (Hellas Vérone) et Lilian Brassier (Stade Brestois).

Un mercato important avec quelques réussites, mais aussi des échecs. Et si le bilan est mitigé pour un Seko Fofana qui n’est pas à son meilleur niveau, il est catastrophique pour Kyogo Furuhashi. Fort de trois années et demie remplies au Celtic Glasgow où il a remporté 4 fois le championnat écossais, le natif d’Ikoma a su s’imposer comme un attaquant de qualité. Disputant 165 matches avec les Bhoys pour 85 buts et 19 passes décisives, il a crevé l’écran et s’était notamment vu lier à certains autres clubs dont Manchester City qui voulait en faire la doublure d’Erling Haaland à un moment donné. Moins en vue cette saison (12 buts et 4 offrandes en 32 matches), il restait néanmoins important pour le Celtic Glasgow qui s’appuyait toujours sur lui. En tout cas jusqu’à ce que Rennes arrive avec une offre de 12 millions d’euros et la possibilité de faire revenir Jota en Écosse (pour 10 millions d’euros).

100 000 euros la minute
Sur le papier cela s’annonçait intéressant pour Rennes avec un joueur d’expérience habitué aux compétitions européennes. Cependant, cela n’a pas suivi dans le contenu. Lancé pour la première fois contre Strasbourg le 2 février dernier à l’occasion de la première d’Habib Beye sur le banc rennais, il a évolué en tant qu’ailier et n’a pas su se distinguer. C’est simple, depuis il ne compte que 5 petites apparitions en 13 matches et a même été écarté du groupe pour trois rencontres face à Nantes, l’Olympique Lyonnais et Toulouse. Alors oui, il y a eu un problème à l’épaule qui a gêné son début d’aventure à Rennes comme l’a confié Habib Beye : "elle s’était démise contre Lille puis à l’entraînement. Cela a aussi fait partie du choix de ne pas l’impliquer d’entrée de matchs."

Pour autant, ses difficultés physiques n’ont pas été le seul problème puisque son profil n’était pas le plus adapté à ce que souhaite mettre en place Habib Beye. Kyogo Furuhashi étant une recrue qui a été conclue pour le précédent coach Jorge Sampaoli. "Kyogo a des facultés différentes des autres attaquants, il a besoin d’avoir un point de fixation, car il est très mobile. C’est un joueur d’associations, et on travaille beaucoup en ce moment sur ces notions de complémentarité, pour qu’il se sente en confiance et pleinement impliqué", analysait Habib Beye en mars dernier.

"Même s’il n’a pas les minutes qu’il voudrait, il fait partie intégrante du groupe et il entre en jeu… Le temps de jeu de Kyogo ne veut pas dire qu’il ne répond pas à mes attentes, sinon il ne serait pas dans le groupe et il n’entrerait pas… C’est un joueur de qualité et il nous apportera, j’en suis convaincu", rajoutait le coach sénégalais à la mi-avril avant la victoire 5-1 de Rennes face au Havre. Depuis, la situation n’a pas évolué et s’est même empirée pour un élément qui ne fait plus partie du projet breton. Si le comportement du joueur est loué en interne, que ce dernier est professionnel, impliqué et travaille beaucoup à l’entraînement, Habib Beye ne compte pas sur lui et un départ cet été est souhaité pour celui dont le contrat court jusqu’en juin 2027. Un dossier que le Stade Rennais ne devra pas négliger puisque l’arrivée de Kyogo Furuhashi a tout de même coûté 12 millions d’euros, soit 100 000 euros la minute disputée…

Favorable à une Premier League française sans LFP

Si la réforme sur le modèle anglais, dont il est partisan, va au bout, le président de la LFP Vincent Labrune sera forcément hors jeu. Une fin de mandat prématurée, qui le soulagerait sans doute au vu du rejet dont il fait l'objet.
Favorable à une Premier League française sans LFP

En soutenant dès l'origine le projet de Premier League à la française détaillé lundi par le président de la FFF Philippe Diallo, Vincent Labrune a creusé sa propre tombe. Car ce schéma sous-entend la création d'une société commerciale dont les clubs seraient actionnaires à la place de la Ligue de football professionnel (LFP) qu'il préside. Et le recrutement d'un CEO (un patron exécutif engagé par les clubs) salarié, révocable à tout moment, pour la diriger. Mais sans président élu pour quatre ans avec une mission très politique, telle que Labrune la mène aujourd'hui.

La LFP va bientôt disparaître, Vincent Labrune approuve la réforme

Dans quelques mois, Philippe Diallo le président de la FFF l’assure, le football professionnel français ne sera plus géré par la Ligue de Football Professionnel. Et donc par son président, Vincent Labrune.

La LFP va bientôt disparaître, Vincent Labrune approuve la réforme

C’était une nécessité. Une urgence même au regard de tous les échecs rencontrés par la Ligue de Football Professionnel depuis des mois. Car entre l’épisode consternant des Droits TV, celui de la rémunération du président de la LFP, Vincent Labrune, ou encore des coûts de fonctionnement, de l’instance, les sujets de discorde ne manquaient pas.

Mais ce lundi, au travers d’une conférence de presse, le président de la Fédération Française de Football, Philippe Diallo, a annoncé un nouvelle direction. En clair, le football professionnel ne sera plus organisé par la Ligue, mais les clubs de Ligue 1 et Ligue 2 deviendront actionnaires d’une société dont les autres actionnaires seront CVC (13% des parts) et la FFF qui aura une action préférentielle avec droit de véto notamment sur les sujets les plus structurants.

Afin d’aboutir à ce nouveau modèle, il faudra au préalable changer la loi. Les sénateurs Laurent Lafon et Michel Savin ont récemment écrit une proposition de loi relative à une nouvelle organisation, à la gestion et au financement du sport professionnel. Elle sera examinée par les sénateurs le 10 juin prochain. La LFP dissoute, ce pourrait être actif au début de la saison 2026-2027. Selon l’entourage de Vincent Labrune, cité par RMC, "il accompagne cette réforme qu’il soutient depuis le début et qui implique la suppression du poste de président de la Ligue et donc par définition, qu’il n’aille pas au terme de son mandat".

Disparition de la LFP

Philippe Diallo a dévoilé son projet de réforme majeure du football français, avec la suppression de la LFP et le remplacement du poste de président par un modèle de gouvernance inspiré de la Premier League. Une évolution soutenue par Vincent Labrune, mais qui marque également la fin de son mandat à la tête de la Ligue.
Disparition de la LFP

À l’issue d’une réunion avec les acteurs du football français, Philippe Diallo a dévoilé un plan ambitieux pour transformer en profondeur le football professionnel, en réponse aux tensions internes, à la crise des droits TV et aux difficultés financières de nombreux clubs. Il a ainsi annoncé la fin de l’actuelle Ligue de football professionnel (LFP), remplacée par une «?société de clubs?», qualifiée de «?projet de rupture?».

Cette nouvelle entité, de nature commerciale, regrouperait les clubs en tant qu’actionnaires et mettrait fin au statut associatif actuel. Autre réforme annoncée : le passage d’«?un président élu actuellement?» à «?un directoire de professionnels recrutés qui seront des mandataires nommés par les clubs?», marquant ainsi une évolution «?d’un système électif à un système de nominations?». Si cette réforme devrait donc réjouir nombreux acteurs du football, elle risque cependant de déplaire à un homme : Vincent Labrune. Élu président de la Ligue de football professionnel le 10 septembre 2020 par le conseil d’administration, Labrune a été réélu en 2024 pour un mandat de quatre ans.

Philippe Diallo ne veut pas encore trancher
L’une des réformes majeures proposées par Philippe Diallo entraînerait ainsi la disparition de la LFP, ce qui mettrait fin au poste actuellement occupé par Vincent Labrune. Mais ce dernier ne s’y oppose pas, bien au contraire : «?je suis très favorable à une évolution vers un modèle proche de celui de la Premier League, qui a largement démontré son efficacité. Le football professionnel français a tout à gagner à s’en inspirer. C’est une orientation que je défends de longue date, et je me réjouis qu’elle soit désormais au cœur des discussions. Ce modèle doit reposer sur une société commerciale où les clubs sont actionnaires aux côtés de la Fédération, afin de renforcer la gouvernance et accroître l’attractivité de nos compétitions. » Son entourage, cité par RMC Sport, confirme : «?Vincent Labrune accompagne cette réforme qu’il soutient depuis le début et qui implique la suppression du poste de président de la Ligue et donc par définition, qu’il n’aille pas au terme de son mandat. »

Interrogé également à ce sujet, Philippe Diallo n’a pas souhaité trancher, mais a précisé les intentions du projet : «?Vincent Labrune a été élu récemment, il participe aux travaux, ce n’est pas à moi de définir quel sera son avenir. Chacun déterminera s’il rentre dans le cadre de ce projet ou pas.?» Il a ajouté : «?Labrune ? Il partage les options proposées. (…) Si la proposition de loi va à son terme, le président, que je vois plus comme un CEO, aura été choisi par les clubs, comme dans un entretien d’embauche. Ma première démarche n’est pas de destituer les uns et les autres, mais de faire une analyse et des propositions. Après viendra le temps des hommes, à savoir ceux qui seront les plus aptes à mener ces projets. Si Vincent veut se présenter, il peut. Mais il y aura un changement profond de la gouvernance, car cela signifie la disparition de la LFP. Ce que je souhaite, c’est que le futur dirigeant de cette société commerciale soit quelqu’un qui soit recruté en tant que salarié, pour son expérience et ses compétences, et choisi par les clubs.?» Le message est passé.

S.G.S.B.

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