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Le torchon brûle déjà entre Nicolas de Tavernost et les présidents de Ligue 1

D’abord disposé à commercialiser la plateforme dédiée à la Ligue 1 - imaginée par la Ligue de football professionnel - Canal + a finalement décidé de se retirer des négociations. Un retrait qui ne passe pas chez certains présidents du championnat de France, agacés par l’attitude de Nicolas de Tavernost, le nouveau directeur général de LFP Media, la filiale commerciale de la Ligue.
Le torchon brûle déjà entre Nicolas de Tavernost et les présidents de Ligue 1

Un nouveau coup dur pour le football français. À l’heure où bon nombre de dirigeants espéraient un retour de Canal + sur le devant de la scène, le diffuseur historique a finalement décidé de se retirer des négociations. «Le rendez-vous avec LFP Média ? Il n’aura pas lieu. Nous avons informé la Ligue ce vendredi. C’est un rendez-vous manqué, Canal+ jette l’éponge. Nous avons choisi de renoncer. À date, nous considérons que les conditions ne sont pas réunies pour que Canal+ distribue la nouvelle plateforme de la Ligue 1», avait ainsi expliqué Maxime Saada, président du groupe Canal+, dans un entretien accordé à L’Equipe.

Bien que disposé, dans un premier temps, à commercialiser cette antenne élaborée par la LFP auprès de tous les opérateurs, la chaîne cryptée - qui souhaitait également co-diffuser l’affiche du dimanche soir dans la foulée du Canal Football Club - s’est confrontée aux exigences de Nicolas de Tavernost, le directeur général de LFP Media, la filiale commerciale de la Ligue. Outre la prime d’exclusivité (Canal + était prêt à mettre 100 millions d’euros de minimum garanti pour gérer le business de la chaîne de la L1 alors que l’ancien patron de M6 espérait plutôt un montant autour de 200 millions d’euros) le prix de l’abonnement a, lui aussi, un peu plus éloigné les points de vue des uns et des autres.

Nicolas de Tavernost se met déjà du monde à dos
Canal + - estimant que les conditions n’étaient pas réunies - est désormais hors course et la Ligue va devoir rapidement trouver une autre solution. Une issue regrettable qui place d’ailleurs le nouveau directeur général de LFP Media dans une position inconfortable. Arrivé chez LFP Média pour régler le dossier des droits TV, Nicolas de Tavernost est, en effet, critiqué pour ne pas avoir été assez conciliant avec Canal+, comme le rapporte, ce lundi, le quotidien français. Mais ce n’est pas tout puisque la rancœur semble partagée.

L’Equipe ajoute, à ce titre, que l’ancien boss de M6 regrette, de son côté, que certains présidents de Ligue 1 parlent dans son dos à Canal+. Persuadés que Maxime Saada jouait la montre pour obtenir le meilleur accord possible et revenir sur le devant de la scène à moindre coût, plusieurs dirigeants de clubs français n’imaginaient, en revanche, pas un abandon total des négociations. Après des années un peu obscures en termes de visibilité auprès de Mediapro, Amazon puis DAZN, les présidents concernés - estimant que le foot français ne pourra pas faire sans Canal - misaient ainsi sur cette exposition retrouvée. Il n’en sera finalement rien et Nicolas de Tavernost va donc devoir trouver une alternative fiable…

Canal+ jette l'éponge

Après des semaines de négociations avec LFP Media, le président de Canal+ estime que les conditions ne sont pas réunies pour aboutir à un partenariat de poids entre son groupe et le football français pour le lancement à venir de la nouvelle chaîne de la Ligue 1.
Canal+ jette l'éponge

Un ascenseur émotionnel pour le football français. Jeudi matin, les présidents de Ligue 1 ont été informés par Nicolas de Tavernost, le patron de LFP Media, la société commerciale de la Ligue, qu'un rendez-vous important devait avoir lieu ces prochains jours avec Canal+ et beIN Sports. Avec l'objectif d'essayer de nouer un partenariat étroit de distribution autour de la plateforme de la Ligue 1 et d'apporter un revenu garanti aux clubs. Un scénario qui n'aura pas lieu d'après le président de Canal+, Maxime Saada.

15 euros pour 8 matchs, la nouvelle chaîne sera un fiasco

Après la rupture de son contrat avec DAZN, la Ligue de Football Professionnel va créer sa propre chaîne pour diffuser la Ligue 1. Mais sans accord avec beIN Sports, qui conserve un match par journée, le projet de l’instance risque d’échouer.

15 euros pour 8 matchs, la nouvelle chaîne sera un fiasco

Sans diffuseur classique à partir de la saison prochaine, la Ligue 1 avance sans la moindre certitude. Les recettes en droits TV dépendront de la réussite de la nouvelle chaîne créée par la Ligue de Football Professionnel. Et pour le moment, Pierre Ménès n’est pas très optimiste pour le projet de l’instance. En cause, l’impossibilité de réunir l’intégralité des neuf matchs par journée sur un seul et même abonnement.

Pierre Ménès pessimiste
"On s'oriente vers un package à une quinzaine d'euros pour huit matchs sur neuf puisque pendant encore un an, beIN Sports garderait son match. Ce qui est déjà en soi une connerie, a lâché le journaliste sur sa chaîne YouTube. Parce qu'on le sait, si beIN garde son match, ça veut dire qu'il faut deux abonnements pour suivre l'intégralité de la Ligue 1. Et ça, je pense qu'il y a quand même des cerveaux à peu près en état de marche qui ont compris que ça ne fonctionnait plus. Mais non."

"C'est aussi pour ça que ce serait bien que Canal+ s'entende avec beIN, a encouragé l’ancien chroniqueur du CFC. Canal+ verse quand même 250 millions d'euros par an à beIN et a donc son mot à dire sur ce que fait beIN. C'est encore quelque chose que je ne comprends pas. Là beIN paye 78 millions d'euros pour un match, et ils paieraient 100 millions d'euros si les clubs acceptaient de faire de la pub pour Visit Qatar. Aujourd'hui, tu mets 300 millions d'euros et tu récupères tout le championnat. En faisant un effort assez minime, tu peux récupérer la mise."

"Mais pour l'instant, on s'oriente vers une nouvelle chaîne créée de toutes pièces, avec une nouvelle rédaction, avec huit matchs sur neuf, pour 15 balles par mois. Donc autant dire que c'est déjà voué à l'échec. Personne ne va arrêter son IPTV pour filer 15 balles et ne pas avoir l'intégralité du championnat. C'est dommage et extrêmement inquiétant", a prévenu Pierre Ménès, persuadé que la Ligue ne mettra pas un terme au piratage de cette manière.

Comment est fabriqué le calendrier?

Alors qu'il sera révélé ce vendredi, découvrez comment le calendrier de Ligue 1 McDonald’s est élaboré pour la saison 2025/2026.
Comment est fabriqué le calendrier?

Qui élabore le calendrier ?
La LFP, à l’aide d’un logiciel d’optimisation de planification des calendriers mis au point par l’entreprise Fastbreak. Plusieurs versions sont proposées (parfois jusqu'à 100) avant que la version la plus correcte soit soumise à la validation du conseil d'administration de la LFP. Mais avant cela, les versions proposées sont améliorées au fur et à mesure au regard des contraintes d’indisponibilités de stades, de sécurité, de contraintes de programmation notamment au regard des compétitions européennes, de calendrier des clubs européens et tout en essayant d’avoir un feuilleton du championnat où chaque épisode (à savoir chaque journée) est attractif.

En combien de temps ?
Il faut compter environ deux mois entre le début de la collecte des contraintes remontées par les clubs et la livraison du calendrier des matchs durant le mois de juin. Pour ce qui est du calendrier général, qui fixe toutes les dates durant lesquelles le championnat se déroulera, il est établi dès novembre-décembre de la saison précédente.

Quel format pour le calendrier ?
Depuis l’été 2014, le calendrier est asymétrique, ce qui laisse plus de souplesse et permet de satisfaire un maximum de demandes exprimées par les clubs par rapport aux contraintes auxquelles ils font face. Avant la saison 2014/2015, le calendrier était symétrique, c’est-à-dire qu’à l’exception de l’affiche de la 1ère journée qui se retrouvait en dernière journée, l’ordre des adversaires affrontés sur la phase aller était le même sur la phase retour.

Selon quelles règles ?
Chaque club dispute 8 ou 9 matchs à domicile sur la phase aller (17 matchs) et 8 ou 9 matchs sur la phase retour.
Chaque club rencontre tous ses adversaires une fois sur la phase aller (idem sur la phase retour).
4 à 6 pivots maximum sur la saison.
Un « pivot » ? Il s’agit d’un enchaînement de deux matchs à domicile ou de deux matchs à l’extérieur. La règle fait qu’il est impossible d’avoir trois matchs de suite à domicile (ou à l’extérieur).
Pas de pivot sur les 1ère et 2e journées ou sur les 33e et 34e journées (un match à domicile et un match à l’extérieur pour chaque club sur ces périodes).
Des principes relatifs à la sécurité des rencontres dans des affrontements entre certaines équipes dans certaines zones géographiques définies.
Des règles pour équilibrer les journées tant sportivement qu’en qualité d’affiches.

Mais encore ?
Le calendrier est élaboré après avoir récupéré toutes les contraintes d'exploitation, c'est à-dire les dates où les stades sont indisponibles. Cela se multiplie avec l’organisation de grandes compétitions sportives et avec des stades de plus en plus multifonctionnels. Parfois, des manifestations locales ont un impact sur l’élaboration du calendrier (exemple du Festival interceltique de Lorient ces dernières saisons). Ensuite, des travaux sont prévus dans certains stades. Il faut également composer avec les contraintes d’ordre public identifiées par les préfectures, notamment les disponibilités des forces de l’ordre.

Les clubs peuvent-ils formuler des vœux ?
Au vu du grand nombre de contraintes, seuls les clubs qualifiés pour les coupes d’Europe peuvent formuler des vœux afin d’essayer d’aménager leur calendrier en raison des contraintes liées à leurs matchs lors des compétitions de l’UEFA. La compétitivité des clubs français sur la scène européenne a été érigée comme une priorité par le président Vincent Labrune à son arrivée en poste.

Quelle organisation pour les clubs européens ?
Les clubs qui disputent la Ligue des champions sont protégés lors des week-ends précédant les semaines européennes. Ainsi, les clubs qui jouent le mardi en C1 sont généralement programmés le vendredi précédent en championnat. Ceux qui jouent le mercredi en C1 jouent leur match de championnat obligatoirement le samedi précédent.

En ce qui concerne les journées de championnat qui suivent les matchs de coupes d’Europe, les règles habituelles s’appliquent, à savoir qu’il n’est pas possible pour un club de jouer dans les deux jours suivants son dernier match. Les clubs qui ont joué une compétition de l’UEFA le mercredi ne peuvent pas jouer le vendredi suivant. Ceux qui ont joué le jeudi jouent obligatoirement le dimanche qui suit.

Lorsqu’une journée de championnat est placée le week-end entre tours de coupes d'Europe, il n’y a jamais de match entre un club engagé en Ligue des champions et un club engagé en Ligue Europa/Ligue Conférence pour les raisons évoquées ci-dessus.

Comment les meilleures affiches sont-elles placées ?
Certaines affiches sont positionnées à certaines dates pour des raisons stratégiques. De plus, le calendrier fait en sorte que les journées soient équilibrées avec des affiches de différents niveaux à chaque journée. Le championnat est un feuilleton avec 34 épisodes qui doivent tous être palpitants.

Quid d’une collaboration avec les autres ligues ?
Une fois validé, le calendrier est partagé avec les ligues des autres sports. Il n’y a généralement pas de concertation au préalable même s’il peut arriver d’intégrer des contraintes extrêmement fortes (comme cette saison avec la montée du Paris FC en Ligue 1 Mc Donald’s qui va jouer au Stade Jean, stade du club de rugby du Stade Français, jouxtant le Parc des Princes). La LFP fait en sorte de révéler son calendrier suffisamment tôt pour que les autres sports puissent en tenir compte.

Brice Samba déjà sur le départ ?

Recruté à Lens en janvier dernier, Brice Samba est loin d'avoir répondu aux attentes à Rennes. Il a pourtant coûté très cher aux Bretons en indemnités de transfert et en salaire. De quoi affecter la cote du gardien mais pas à Monaco.

Brice Samba déjà sur le départ ?

Le mercato est le lieu de toutes les transactions et il peut contenter deux clubs assez rapidement. Brice Samba pourrait rendre heureux le Stade Rennais et l'AS Monaco cet été. Les Bretons sont en cure d'austérité après une saison très médiocre en Ligue 1. Le gardien international français est un poste de dépenses à lui tout seul. L'hiver dernier, Rennes a offert 14 millions d'euros à Lens pour son transfert. Samba a récupéré un salaire mensuel de 400 000 euros en Bretagne. Une somme énorme surtout en comparaison de ses performances sur la phase retour. Son rendement a été insuffisant lors de nombreux matchs.

Monaco pense à Samba cet été
Se débarrasser de Brice Samba n'est pas exclu pour Loïc Désiré, le nouveau directeur sportif de Rennes. Cela tombe bien, Monaco a besoin d'un nouveau gardien. L'ASM a perdu trop de points cette saison à cause de ses deux portiers, le Polonais Majecki et le Suisse Kohn. A côté d'eux, Brice Samba ferait presque figure de rempart infranchissable. Le désormais numéro 3 de l'Equipe de France va t-il être approché par l'AS Monaco ? La réponse est oui selon Mohamed Toubache-Ter.

Sur X, l'insider a révélé que le gardien rennais faisait partie de la "short-list" du club princier au poste de gardien. Samba est en concurrence avec d'autres cibles en Europe. Avec son statut fiscal spécial, Monaco a les moyens de payer le salaire du gardien français. En outre, l'ancien marseillais possède un CV intéressant pour la cellule de recrutement monégasque. Il avait été brillant à Nottingham Forest et surtout à Lens par le passé. S'il retrouve la confiance, il peut être une aide précieuse pour Adi Hutter. Monaco est une très belle vitrine pour séduire Didier Deschamps et le convaincre de faire remonter Samba dans la hiérarchie des gardiens pour le Mondial 2026.

Seko Fofana s'entraîne seul à Rennes depuis une dizaine de jours

Le milieu rennais Seko Fofana a écourté ses congés pour reprendre, en solo, depuis une dizaine de jours à la Piverdière, le centre d'entraînement du SRFC.
Seko Fofana s'entraîne seul à Rennes depuis une dizaine de jours

À Rennes, si la reprise est fixée à vendredi - avec un retour sur le terrain lundi -, Seko Fofana est déjà à pied d'oeuvre à la Piverdière depuis une dizaine de jours. Le milieu international ivoirien a écourté ses congés pour se remettre dans le bain, lui qui a manqué de jus sur la deuxième partie de saison avec les Rouge et Noir, après deux saisons et demie en Arabie saoudite.

Les premiers mots de Loïc Désiré

Loïc Désiré, nouveau directeur sportif du Stade Rennais, a pris la parole pour la première fois ce mardi 24 juin devant les médias à la Piverdière. Il a notamment évoqué son parcours et sa connaissance du club, lui qui habite dans le Morbihan, mais aussi le mercato XXL auquel il s’affaire, principalement dans le sens des sorties actuellement.

Les premiers mots de Loïc Désiré

Loïc Désiré, le nouveau directeur sportif du Stade Rennais, avait invité la presse ce mardi 24 juin à la Piverdière pour une rencontre informelle.

Elle s’est terminée par une courte séquence d’interview, où le nouveau patron du sportif au SRFC a pu expliquer ses liens avec le club et ce qu’il comptait faire lors de ce premier mercato estival.

Quel club avez-vous découvert en arrivant, vous qui aviez déjà failli signer à Rennes par le passé ?

J’ai la chance de vivre depuis trente ans à 100 km de Rennes (sur la presqu’île de Rhuys), donc je connais très bien le Stade Rennais. C’est un club qui est sans cesse en évolution, en termes d’ambition sportive et de structuration. Comme vous le savez, j’ai été scout pour l’Ajax Amsterdam, donc je venais régulièrement à la Piverdière. Mon premier dossier d’ailleurs, c’est Julien Escudé ! J’avais essayé ensuite Yohann Gourcuff (rires). Ma motivation ? On a une propriété forte, avec un objectif de retrouver la Coupe d’Europe. J’en fais un challenge personnel. Ça passera par des étapes : réduire le groupe parce qu’on a beaucoup de joueurs, mais on est confiant. On est tous alignés avec le coach (Habib Beye) et le président (Arnaud Pouille).

Comment sont les relations au sein de ce nouveau trio justement ?

C’est fluide. On a commencé les réunions très tôt. Même en vacances, j’ai échangé régulièrement avec le coach sur les profils de joueurs, la constitution du groupe de reprise. Et j’échange tous les jours avec le président. On est sur la même longueur d’onde sur ce que l’on doit faire.

Il y a quarante joueurs sous contrat, on finira à 22 ou 24

Votre arrivée est particulière, parce qu’il faut alléger le nombre de joueurs sous contrat…

Ce n’est pas facile mais je viens en connaissance de cause. La situation était très claire quand j’ai rencontré le propriétaire et le président. Cela n’arrive pas souvent dans le football une situation comme celle-ci, très peu de clubs l’ont vécu. Mais je viens avec beaucoup de motivation, d’envie et de montrer qu’on va bâtir un groupe restreint et compétitif pour se rapprocher de la Coupe d’Europe et des ambitions du Stade Rennais.

Combien de joueurs y a-t-il sous contrat et combien souhaitez-vous en avoir à terme ?

Aujourd’hui il reste à peu près quarante joueurs sous contrat, on finira à 22 ou 24.

Êtes-vous confiant dans votre capacité à sortir autant de joueurs ?

Oui, il y a pas mal de contacts entrepris, des échanges. On pourrait aller très vite pour certains joueurs, mais on ne veut pas faire n’importe quoi sur le plan financier. Je suis confiant, une équipe a été mise à disposition avec le service juridique qui m’aide beaucoup, le président qui s’implique. Ce n’est pas que Loïc Désiré, mais l’ensemble du club qui va œuvrer pour que cela se passe du mieux possible.

Le Stade Rennais peut-il retenir Jérémy Jacquet ou Djaoui Cissé ?

C’est la priorité, on les gardera. Djaoui, on voit que ce qu’il fait aujourd’hui (à l’Euro espoirs), c’est du très haut niveau. Jérémy aussi. On les gardera, c’est aussi la base de l’équipe pour la constitution du groupe dans les semaines à venir.

Dans le contexte actuel de la Ligue 1, s’appuyer sur un actionnaire milliardaire, est-ce un atout ?

Bien sûr. On a des propriétaires passionnés, qui aiment le Stade Rennais. C’est le club phare en Bretagne, avec une identité forte. Évidemment c’est un atout, mais on ne doit pas faire n’importe quoi. Je parlais des sorties de joueurs, on ne va pas les brader. Le marché existe, et c’est notre devoir avec le président de faire ce qu’il faut à ce niveau-là.

Quatre recrues prioritaires : des latéraux et deux attaquants

On a parlé des sorties. Quelles sont les priorités côté arrivées ?

Sur les postes des latéraux, puisqu’on a vendu deux joueurs (Adrien Truffert parti à Bournemouth et Lorenz Assignon à Stuttgart). On anticipe le départ éventuel d’Arnaud Kalimuendo. Et puis un attaquant supplémentaire pour jouer sur un côté.

Que demanderez-vous à ces recrues ? Un état d’esprit irréprochable avant tout ?

Il nous faut du talent pour avoir des ambitions importantes. Une touche technique supplémentaire. Mais il faut aussi un état d’esprit de gagneur, une débauche d’énergie. Pour repartir sur un nouveau projet, c’est la base d’une équipe. C’est important de trouver des joueurs généreux.

Sur votre carte du monde, vous regardez plutôt l’Amérique du Sud, l’Europe de l’Est, l’Afrique ?

Non, on est plutôt sur des joueurs français dans un premier temps et en Europe. L’Amérique du Sud, je ne sais pas si le Stade Rennais est prêt au niveau des structures pour accueillir des jeunes qui ne parlent pas la langue. Ça viendra, on veut développer le recrutement dans ces continents, mais pour le faire, il faut des structures adaptées.

Rennes reste sur deux saisons sans Coupe d’Europe. Cela serait compliqué de la rater une troisième fois...

Oui, parce que quand un club prend goût à la Coupe d’Europe, c’est dur de ne pas la faire pendant deux ans. Maintenant, la pression, elle est dans tous les clubs sportifs. Je l’avais aussi quand Strasbourg jouait le maintien, il ne faut pas croire que c’est plus facile à vivre. Donc je suis confiant pour tout ce qui est mis en place depuis janvier, le recrutement fait et la structure autour de l’équipe qui va permettre d’avancer et d’atteindre nos objectifs.

Ça se précise pour les futurs droits tv de la ligue 1

Comme annoncé vendredi dernier par RMC Sport, la semaine s’annonce décisive pour LFP Média. Les contours de la future chaîne du foot français produite en interne devraient être connus très rapidement. Un dernier grand oral est prévu ce lundi 23 juin avec deux sociétés de production. Canal+ ne devrait être qu’un distributeur, pas plus.

Ça se précise pour les futurs droits tv de la ligue 1

C’est la dernière ligne droite. Le choix historique que s’apprête à prendre le foot français pour la diffusion de son championnat de Ligue 1 rentre dans sa phase concrète et opérationnelle. Après avoir sondé le marché, place maintenant aux décisions. Selon nos informations, deux sociétés de productions passent ce lundi 23 juin un dernier grand oral pour répondre aux besoins éditoriaux de la future chaîne de la Ligue. Il s’agit de 21 Production, appartenant au groupe L’Equipe et dirigé par Vincent Broussard, et Mediawan, dont le patron du pôle sport est Eric Hannezo. Contenu des futurs magazines, gestion de l’antenne avant et après match, les multiplex, gestion du personnel éditoriaux, les besoins de LFP Médias avaient été listés lors de l’appel d’offre lancé début juin. La société chargée de fournir ces services devrait donc être connue dans les toutes prochaines heures. Le futur patron de la chaîne sera Jérôme Cazadieu, aujourd’hui directeur marketing et directeur éditorial de LFP Média.

Canal+ sera un simple distributeur
La grande question des derniers jours concernait Canal+. La chaine cryptée allait-elle redevenir un partenaire privilégié de la LFP Média, voire un codiffuseur. La réponse est non. LFP Média a décidé de faire de Canal un simple distributeur de sa chaîne au même titre que les fournisseurs d’accès internet et tous les autres distributeurs potentiels (Amazon, DAZN…). Les contreparties demandées par Canal, notamment récupérer la codiffusion de l’affiche du dimanche soir, pour quelque part réparer le préjudice qu’elle estime avoir subi ces dernières années étaient trop importantes aux yeux des dirigeants de la Ligue. Quant à DAZN, qui avait proposé la prise en charge globale des besoins de production, éditoriaux, marketing et communication pour un montant de 110 millions sur les deux prochaines années, son plan ne semble pas avoir été retenu non plus. La rupture définitive entre la Ligue et la plateforme britannique devrait donc se conclure, comme convenu, pour une simple indemnité de 85 millions d’euros payée par DAZN.

8 matchs sur 9 seront disponibles sur la nouvelle chaîne, beIn Sport va conserver le sien
Autre élément important dans la future diffusion des matchs de L1: beIn va rester diffuseur. Actuellement détenteur du droit de la rencontre du samedi 17h contre 78,5 millions d’euros annuel, la chaine qatarie va conserver ce droit dans les mêmes conditions. Les présidents de clubs ont choisi de poursuivre la collaboration avec ce diffuseur pour s’assurer un minimum de revenu annuel. beIn devait aussi pouvoir verser 20 millions d’euros supplémentaire au titre d’accord de sponsoring avec les clubs. Ces discussions qui ont beaucoup traîné en longueur n’ont toujours pas abouti aujourd’hui.

Reste à connaître les conditions financières pour le consommateur. Nicolas de Tavernost, directeur général de LFP Média (et vice-président de CMA Média, propriétaire de RMC Sport), avait clairement annoncé dans l’After Foot sur RMC que l’abonnement serait inférieur à 20€.

DAZN tente l’opération pardon

Son arrivée en Ligue 1 a tourné au fiasco. Pour se faire pardonner, le diffuseur DAZN prépare une opération séduction XXL cet été. Mais est-ce suffisant ?
DAZN tente l’opération pardon

L’aventure française de DAZN ressemble pour l’instant à un immense gâchis. Arrivée avec la promesse de révolutionner la diffusion de la Ligue 1, la plateforme britannique quitte le championnat par la petite porte après une seule saison chaotique, laissant derrière elle un goût amer et, surtout, des centaines de milliers d’abonnés furieux. Depuis la rupture prématurée de son contrat avec la LFP, le diffuseur fait la sourde oreille aux demandes de résiliation et de remboursement de ceux qui s’étaient engagés pour un an, créant une véritable crise de confiance. Alors que beaucoup les croyaient sur le départ, la plateforme prépare pourtant une contre-attaque inattendue, une promesse spectaculaire pour tenter de reconquérir un public qu’elle a profondément déçu.

DAZN, l’heure de la rédemption a-t-elle sonné ?
Ce grand plan de reconquête, c’est la Coupe du Monde des Clubs (14 juin – 13 juillet). Et pour l’occasion, DAZN compte mettre les petits plats dans les grands. L’intégralité des 63 matchs du tournoi sera diffusée gratuitement sur la plateforme, sur simple création d’un compte. Une gratuité totale censée faire oublier les déboires passés. Mieux, le diffuseur promet une « compétition en immersion » avec des innovations technologiques inédites : « ref cam » sur les arbitres, GoPro sur les joueurs à l’échauffement et micros sur les staffs techniques. Une manière de dire : « Regardez, nous savons proposer du contenu de qualité quand nous le voulons. »

Une opération reconquête face à un mur de colère
Mais cette promesse d’un spectacle gratuit et innovant risque de se heurter à un mur : celui de la colère des consommateurs français. Comment convaincre un public de revenir quand on refuse de rembourser les abonnements annuels souscrits sur la base d’une promesse commerciale non tenue ? Pour de nombreux clients lésés, cette Coupe du Monde gratuite ressemble plus à une tentative désespérée de limiter la casse qu’à un véritable geste commercial. Le refus d’indemnisation a laissé des traces profondes et le pardon est loin d’être acquis.

Le spectre de l’IPTV, l’autre ennemi de DAZN
Au-delà de la colère légitime des abonnés, DAZN fait face à une autre réalité du marché français : la consommation massive et illégale de football via l’IPTV. Dans un pays où une partie significative des fans a déjà accès à toutes les compétitions via des boîtiers pirates, une offre légale, même gratuite, peine à rivaliser. Pourquoi se créer un compte sur DAZN pour un seul tournoi quand des solutions illégales proposent déjà tout, tout le temps ? Ce contexte rend la mission de reconquête de DAZN encore plus périlleuse.

DAZN : un pari risqué pour un avenir incertain en France
En misant tout sur cette Coupe du Monde des Clubs gratuite, DAZN joue une carte audacieuse mais terriblement risquée. L’opération a le mérite d’exister, mais elle semble ignorer la profondeur du ressentiment de ses anciens clients et les réalités du marché hexagonal. Pendant ce temps, des discussions se poursuivent en coulisses pour une éventuelle distribution de la future chaîne de la Ligue. Cette grande promesse estivale suffira-t-elle à redorer son blason et à convaincre la LFP de lui refaire confiance ? L’été sera juge, mais le chemin de la rédemption s’annonce long et semé d’embûches.

S.G.S.B.

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