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Le Stade Rennais vole au secours de Steve Mandanda

Coupable d’une grossière erreur à Nice (défaite 3-2), Steve Mandanda, qui n’a clairement pas encore été aidé par sa défense ce soir et qui doit faire avec l’ombre de Brice Samba, a reçu le soutien de son entraîneur et de ses coéquipiers.
Le Stade Rennais vole au secours de Steve Mandanda

C’est une soirée à rebondissements qu’ont vécu les Rennais du côté de Nice. Battus par le Gym (3-2) à l’occasion de cette 16e journée de Ligue 1, les Bretons repartent encore la tête basse. Ils sont 12es du championnat ce soir, loin de leur adversaire du soir (10 points de moins). Seko Fofana, la nouvelle recrue, a fait ses débuts mais c’est bien l’erreur de Steve Mandanda en première période sur le second but niçois qui retient l’attention des observateurs, alors même que son début de match était encourageant.

Après un échange avec Faye, le portier s’est rendu coupable d’une erreur de relance au pied plein axe, qui a profité à Sofiane Diop. À l’entrée de la surface, le milieu offensif n’avait plus qu’à prendre son vis-à-vis à contre-pied, pour redonner l’avantage aux siens. Celle-ci fait évidemment beaucoup parler ce soir, car elle intervient alors qu’il est poussé vers la sortie par son club, malgré son statut de capitaine. Brice Samba est même pressenti pour le suppléer. Pour le moment, le transfert n’est pas encore conclu et semble plus compliqué que prévu.

Sampaoli à propos de Mandanda : je comprends son inconfort et je suis désolé pour lui
On peut alors se demander si l’ex-gardien de l’équipe de France était en capacité de jouer, lui dont le nom circule sans arrêt dans la presse ces derniers jours. «La situation est difficile, reconnaît Sampaoli sur DAZN. Il y a beaucoup de spéculations. Ce n’est pas facile pour le joueur qui doit jouer le match. C’est un joueur très expérimenté, mais aussi un être humain qui souffre également car on parle beaucoup de lui dans la presse, le fait qu’il pourrait quitter le club. Je comprends son inconfort et je suis désolé pour lui aujourd’hui

L’entraîneur argentin fait amende honorable, mais il est en partie responsable de cette situation, tout comme Arnaud Pouille qui pousse en coulisse pour faire venir Brice Samba en plein milieu de saison quitte à déstabiliser quelque peu ses troupes. En attendant la possible venue du portier lensois, le club doit trouver le moyen de lui rehausser le moral. «Tout le monde est là pour chaque joueur dans cette équipe. C’est le football ça arrive à tout le monde. Ça peut être moi au prochain match. Il faut se soutenir», assure Ludovic Blas sur DAZN.

Enfin, si Steve Mandanda n’a clairement pas fait le match de sa vie, difficile une fois encore de ne pas souligner la faiblesse de la défense rennaise ce soir et comme souvent depuis le début de la saison. Car au-delà d’un nouveau portier, c’est sans doute un défenseur ou deux qu’il va falloir recruter cet hiver pour remonter la pente.

Franck Haise, ses mots cash sur le transfert de Fofana à Rennes

Avant le match entre Rennes et Nice, Franck Haise a réagi au transfert de Seko Fofana au sein du club breton.
Franck Haise, ses mots cash sur le transfert de Fofana à Rennes

Ce vendredi, le grand feuilleton de la Ligue 1 revient avec une affiche intéressante entre le Stade Rennais et l’OGC Nice. Un match placé sous le signe des retrouvailles pour de nombreux acteurs, à tous les niveaux.

Arnaud Pouille, ancien directeur général du Racing Club de Lens et aujourd’hui président délégué du Stade Rennais, retrouvera Franck Haise, ex-entraîneur des Sang et Or arrivé sur le banc des Aiglons l’été dernier. Mais ce n’est pas tout puisque Haise croisera également son ancien capitaine Seko Fofana, recrue phare de Rennes cet hiver.

J’aurais préféré qu’il signe le 3 janvier
"À Lens, il avait été un de mes capitaines. S’il a fait ce choix-là, c’est qu’il avait envie de revenir en France. Pour le Championnat de France, c’est une bonne nouvelle. Mais j’aurais préféré qu’il signe le 3 janvier (pour ne pas être qualifié face à Nice)", a expliqué l’entraîneur de Nice, avant de porter son regard sur le mercato de son adversaire.

"Ils ont connu beaucoup de changements à l’intersaison, beaucoup de départs et d’arrivées. C’est difficile de construire en si peu de temps. Mais il y a beaucoup plus de solidité sur les derniers matches. C’est une équipe qui concède peu d’occasions. Et avec des joueurs de qualité sur le plan offensif. Ça reste évidemment un concurrent direct pour les places européennes."

Excellente Année 2025

2025 d

Mandanda règle ses comptes avec Sampaoli

Steve Mandanda est encore poussé dehors par Jorge Sampaoli. L'ancien gardien de l'équipe de France négociera néanmoins sa fin de saison selon ses envies.

Mandanda règle ses comptes avec Sampaoli

Le Stade Rennais a décidé d’opérer de grands changements cet hiver et cela concerne notamment la perte de statut de Steve Mandanda. Déjà éjecté par Jorge Sampaoli alors qu’il était un taulier de l’Olympique de Marseille, le gardien français se prépare à subir le même sort à Rennes. L’entraineur argentin ne compte pas sur lui et veut rajeunir son effectif avec un élément plus décisif, Mandanda étant l’un des moins efficaces des gardiens de but de Ligue 1 cette saison. Brice Samba est visé et devrait donc pousser le champion du monde 2018 sur le départ. Mais les choses ne vont pas forcément se passer comme prévu à Rennes. Si Lens freine un peu concernant l’arrivée de Samba, Mandanda ne laissera peut-être pas sa place aussi facilement que les dirigeants bretons l’auraient espéré.

Mandanda numéro 2 ou numéro 3 à Rennes ?

En effet, selon L’Equipe, le gardien formé au HAC a prévu de rencontrer les dirigeants rennais dans le début du mois de janvier, mais il n’aurait aucune intention de s’asseoir sur les six derniers mois de son contrat. A 39 ans, Mandanda peut encore peser dans le vestiaire, en bien comme en mal, et il ne prévoit pas de partir en janvier alors qu’il est sous contrat jusqu’à la fin de la saison. Et un contrat de gala pour un gardien de cet âge, ce qui explique aussi qu’il ne se précipite pas pour quitter l’Ille-et-Vilaine dès les premiers jours de janvier. Il reste à savoir si Mandanda sera mis sur le côté avec l’arrivée de Brice Samba, ou s’il prendra le statut de portier remplaçant devant l’actuel numéro 2, Gauthier Gallon.

Le sapin de noël : la bûche de l’année

En proie à une crise de résultats depuis le début de la saison, le Stade Rennais n’a pas vraiment excellé par ses choix au cours des derniers mois. Et François Pinault, ainsi que son fils, François-Henri, en sont directement responsables.

Le sapin de noël : la bûche de l’année

Ce n’est clairement pas la tendance. Et cela peut même s’apparenter à un crime de lèse-majesté que de critiquer la famille Pinault au Stade Rennais. Trop d’investissements, de résultats probants ces dernières années et bien entendu de passion familiale, pour émettre un jugement négatif sur ce qui peut être décidé, et donc fait, au sein du SRFC. Et pourtant. Le club, qui figurait bel et bien parmi les prétendants aux places européennes en fin de saison, se retrouve aujourd’hui en bas de tableau. Victime, assez clairement, d’un remue-ménage à tous les étages et d’un manque de stabilité jamais bienvenue dans le monde du football. François Pinault, père, avait validé le retour de Julien Stéphan sur le banc de touche, pour le sacrifier il y a quelques semaines, face aux mauvais résultats. Le président Olivier Cloarec a également quitté le club, remplacé officiellement il y a peu par Arnaud Pouille, arrivé du RC Lens.

Rien n’a fonctionné comme prévu
Florian Maurice, l’été dernier, a lui-aussi pris une autre route, pour s’engager à Nice et a vu Frederic Massara lui succéder. Avec, dans la foulée, un mercato estival qui n’en finit plus de soulever des interrogations chez les supporters. Car là-encore, le club a fait table rase, engagé de nombreux éléments, pour la plupart peu aguerris au football français, et laissé partir des joueurs importants, à l’image du départ de Bourigeaud, Terrier ou encore des frères Doué. Regrettable évidence, rien n’a fonctionné comme cela était espéré er on se demande, à l’instant T, quelles sont les solutions pour que le club réalise une excellente seconde partie de saison.

Un peu de stabilité ? Ce ne serait pas du luxe pour les Pinault, père et fils.

Le sapin de noël : celui qui fout souvent les boules

Indéniablement talentueux, l’attaquant du Stade Rennais, Amine Gouiri, réalise une saison conforme à celle de son club : décevante. A se demander, même, si l’Algérien n’a pas perdu la confiance au sein du club breton.

Le sapin de noël : celui qui fout souvent les boules

Un dernier match en 2024 en guise de symbole. Avec une victoire au bout, certes, mais avec un vilain coup reçu à la cheville contre le SCO d’Angers et l’incapacité à aider ses partenaires tout au long de la rencontre. Amine Gouiri, talent incarné et facilités techniques évidentes, ne doit pas être malheureux de voir se terminer l’année, lui qui paraît si loin de son rendement habituel. Lui qui avait inscrit 15 buts lors de sa première saison sous le maillot du SRFC, puis 7 la saison suivante, en Ligue 1 toujours, n’en est qu’à deux petites unités. Et une passe décisive.

Loin donc de ses standards habituels. Après le départ de Martin Terrier, l’ancien lyonnais semblait promis à un statut de leader offensif qui, regrettable évidence, ne lui a jamais été accordé. Julien Stéphan, avant de prendre la porte, l’avait d’ailleurs envoyé sur le banc de touche, préférant notamment un trio composé de Kalimuendo, Blas et Gronbaek. Et avait été on ne peut plus clair sur son attitude. « Où on l’attend tous, c’est dans la régularité. Il a des jambes, peut répéter les courses, une bonne première touche, est percutant, peut marquer des buts et faire des dernières passes, il a tout. »

Sampaoli ou le départ
Jorge Sampaoli devrait, lui, s’appuyer sur ce talent à l’état brut, recrue la plus chère de l’histoire du club rennais. A défaut, il est fort probable que l’avenir de Gouiri s’écrive loin de la Bretagne.

Le cadeau de noël du RCK pour les enfants malades

Cette année encore, le Roazhon Celtic Kop 1991 (RCK) a su mobiliser ses membres et supporters pour une noble cause.

Le cadeau de noël du RCK pour les enfants malades

Sa collecte de Noël a rencontré un franc succès, avec plus de 1?000 jouets. "Ces dons seront redistribués tout au long de l’année 2025 aux enfants hospitalisés dans les hôpitaux rennais", précise le Roazhon celtic kop sur sa page Facebook. "Ces jouets offriront, on l’espère, un peu de réconfort et de joie dans le quotidien des hospitalisés." Comme l’an passé, le RCK a organisé cette collecte pour quatre associations qui œuvrent auprès des malades : Haroz, Mille et un Sourires, un institut médico-éducatif, et Les P’tits Doudous. Une belle preuve que, même en dehors des terrains, l’esprit du Stade rennais F.C. est plus fort que jamais !

Le coach demande qu'on soit très haut

Le piston rennais Adrien Truffert, qui n'avait pas encore été décisif cette saison, a été l'un des artisans du large succès de son équipe à Bordeaux en 32e de finale de Coupe de France (4-1), en la remettant dans le bon sens.
Le coach demande qu'on soit très haut

Le Matmut Atlantique était à la fête dimanche, avec du Tino Rossi dans les enceintes, un virage sud enflammé et 19 600 spectateurs pour espérer voir Bordeaux, 4e du groupe B de N2 (avec deux matches en moins), réussir un exploit contre Rennes, puisque les Girondins en sont là. Mais les Bretons ont su retourner une situation mal embarquée, après que Sofiane Bahassa a trouvé le cadre d'une chic reprise du droit après une sortie mal négociée de Gauthier Gallon (18e), le gardien numéro deux rennais.

Sur la retenue au départ, l'équipe de Jorge Sampaoli n'a quand même pas trop douté puisque Adrien Truffert a égalisé dix minutes plus tard, de la tête, sur un centre de Lorenz Assignon (29e). On a retrouvé les deux pistons sur le troisième but rennais, une frappe de Truffert sur la barre revenue dans les pieds d'Assignon, qui n'a pas laissé filer l'occasion (75e).

Capitaine d'un jour
« Le coach demande qu'on soit très haut », soulignait Truffert, et Jorge Sampaoli a donc dû apprécier, lui qui avait désigné le gaucher capitaine en arrivant au stade, alors que Steve Mandanda était sur le banc.

Comme son club formateur, le latéral ou piston gauche a vécu une première partie de saison difficile et il finit mieux l'année. Vice-champion olympique en août, celui qui compte une sélection chez les Bleus (Danemark-France, 0-2, le 25 septembre 2022) pensait sans doute partir cet été, lui qui avait eu des sollicitations sur les mercatos précédents. Mais il est resté, sans les rendez-vous avec les Espoirs auxquels il était habitué (il a 22 ans) et avec les problèmes de Rennes.

« Ça fait partie d'une carrière, ça sert à grandir et je vais m'en servir pour être encore plus fort, assurait-il. On n'est pas là où on voudrait être, mais sur la fin de l'année, il y a un peu de mieux. Il faut faire beaucoup mieux, notamment à l'extérieur, cependant il y a des choses mises en place de bon augure pour la suite. »

Le 12e de L1 a marqué deux autres buts par Jordan James (59e), servi par Azor Matusiwa et Arnaud Kalimuendo (79e), par Jota, avec une animation plus fluide après la pause. Mais le match contre Nice (le 3 janvier, en L1) dira davantage si Rennes est en progrès.

Le verdict tombe pour Gouiri et sa durée d’indisponibilité est connue

L’attaquant de Rennes, Amine Gouiri, a dû quitter le terrain après seulement un quart d’heure de jeu lors du match contre Angers, remporté 2-0 par son équipe. Cette sortie prématurée a suscité l’inquiétude quant à une possible blessure sérieuse à la cheville pour le joueur de 24 ans.

Le verdict tombe pour Gouiri et sa durée d’indisponibilité est connue

Les examens médicaux passés par Gouiri ont dissipé ces craintes, révélant qu’il ne souffre ni d’une entorse sévère ni d’une fracture. Une nouvelle rassurante pour le jeune international algérien qui était en pleine forme avec 15 apparitions et 2 buts en Ligue 1 cette saison.

Malgré l’absence de blessure grave, Gouiri pourrait manquer le dernier match de l’année 2024. Rennes doit affronter Bordeaux en 32es de finale de la Coupe de France dimanche prochain, mais la participation de l’attaquant reste incertaine.

Cette indisponibilité temporaire constitue un coup dur pour l’équipe rennaise qui compte sur l’impact offensif de Gouiri. Toutefois, le club espère son retour rapide pour renforcer l’effectif dès la reprise après la trêve hivernale.

Le genou de Seidu opéré avec succès, nouvelles plutôt rassurantes pour Gouiri

Le Stade Rennais a annoncé lundi 16 décembre que son défenseur ghanéen Alidu Seidu avait été opéré avec succès, suite à sa rupture des ligaments croisés du genou gauche. Il n’y aurait rien de grave concernant Amine Gouiri, sorti après s’être tordu la jambe dimanche 15 décembre contre Angers.

Le genou de Seidu opéré avec succès, nouvelles plutôt rassurantes pour Gouiri

Blessé le 24 novembre lors du déplacement à Lille, le défenseur international ghanéen du Stade Rennais Alidu Seidu avait été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou gauche. Il a été opéré avec succès lundi 16 décembre, annonce le SRFC. La phase de convalescence, rééducation et réathlétisation, va pouvoir commencer pour Seidu, dont la saison est probablement terminée.

Plus de peur que de mal, a priori, pour Amlne Gouiri. L’attaquant algérien s’était tordu la jambe suite à un choc violent avec le gardien d’Angers Fofana, dès la première mi-temps dimanche au Roazhon Park.

Les premiers examens passés par Gouiri auraient été assez rassurants. L’attaquant pourrait toutefois être forfait pour le dernier match de l’année, dimanche 22 décembre (14 h 45) à Bordeaux (N2) en 32e de finale de Coupe de France.

Les tops et les flops chez les joueurs à la trêve de Noël

Le Stade Rennais a disputé son dernier match de Ligue 1 de l’année 2024 face à Angers dimanche 15 décembre (2-0), et pour l’instant il est loin des attentes. Après 15 matches de championnat, la plupart sans saveur, voici nos principaux tops et flops depuis le début de saison parmi l’effectif Rouge et Noir.

Les tops et les flops chez les joueurs à la trêve de Noël

Même s’il lui reste encore un match à disputer en 2024 (dimanche 22 décembre à 14 h 45 à Bordeaux, en 32e de finale de Coupe de France), le Stade Rennais a joué son dernier match de Ligue 1 face à Angers dimanche (victoire 2-0). Les trois points permettent aux Rouge et Noir de remonter à la 12e place du championnat, avec 17 points en 15 matches.

Sans briller, les hommes de Jorge Sampaoli ont assuré l’essentiel contre les Angevins pour finir une première partie de saison très décevante à tous les niveaux.

Dans les résultats et dans le jeu, le SRFC se sera offert très peu de moments forts depuis la reprise de la Ligue 1 au mois d’août. Chez les joueurs, les satisfactions apparaissent très rares, alors qu’ils sont nombreux à avoir déçu, notamment chez les recrues.

Les tops
Blas, le retour en grâce

Il n’aura même pas attendu la mi-saison pour améliorer son bilan de l’exercice 2023-2024. Décisif huit fois en 42 matches la saison dernière, Ludovic Blas en est déjà à quatre buts et cinq passes décisives depuis août. Il figure d’ailleurs parmi les meilleurs passeurs de Ligue 1, à une longueur du Parisien João Neves.

Un retour en grâce pour l’ancien Nantais, qui avait terminé sa première saison rennaise dans la peau d’un remplaçant. Il fait aujourd’hui figure de leader technique d’un effectif souvent dépourvu de solutions offensives.

Seidu, stoppé en plein vol

Latéral gauche, latéral droit, axial dans une défense à deux ou à trois : le polyvalent Ghanéen a encore aidé partout en début de saison, mais avec beaucoup plus de réussite qu’au premier semestre 2024 où il avait eu du mal à trouver sa place.

Il était d’assez loin le meilleur défenseur Rouge et Noir, et l’un des rares à pouvoir faire office de leader. Sa rupture des ligaments croisés à Lille le 24 novembre, qui a certainement mis un terme à sa saison, n’en est que plus terrible.

Les flops
Mandanda, rempart fragilisé

Il y avait eu ce penalty de Mikautadze stoppé face à Lyon (3-0), alors que Rennes menait 2-0. À la première journée. Son principal fait d’arme d’une première partie de championnat qui se conjugue avec le mot impuissance.

Gardien de L1 avec le plus faible pourcentage d’arrêt (60 %), Steve Mandanda (39 ans) n’avait jamais affiché des statistiques aussi basses. N’a jamais semblé aussi neutre, avec un jeu au pied pas à la hauteur de ce que voudrait Jorge Sampaoli.

Cela ressemble à un crépuscule, et son avenir proche va être un sujet, le SRFC s’interrogeant sur l’opportunité de recruter un gardien dès le mercato d’hiver, alors que le contrat du capitaine se terminera en juin 2025.

Jota, symbole d’un recrutement raté

La plupart aurait pu figurer dans la rubrique flops. On parle des recrues de l’été, dix sans compter Ait Boudlal qui est venu en post-formation. On verra leur évolution, pour ceux qui resteront cet hiver. Mais dépenser environ 80 millions d’euros pour un tel rendu global, c’est un constat d’échec pour le directeur sportif Frederic Massara, à l’origine (avec l’assentiment de l’ex-coach Julien Stéphan) de ces choix.

Recrue « star » de l’été sur le papier, Jota est peut-être celui qui a le plus déçu, on veut dire par rapport aux attentes. Arrivé à court de forme, il a déjà mis un temps fou à pouvoir être opérationnel, puis a marqué du bas-ventre le but de l’égalisation à Brest (1-1) le 19 octobre. C’est tout.

Quasiment pas de différences, de souffle, et des entrées au mieux anonymes depuis que Sampaoli est arrivée. Le coach argentin, qui ne le considère pas à la hauteur de ce qu’il exige d’un attaquant, l’a relégué sur le banc.

Sans tambour ni trompette, le Stade Rennais a hâte de passer en 2025

À défaut d’offrir du spectacle et de l’émotion à son public pour la der’ de l’année au Roazhon Park, le Stade Rennais a été solide et efficace contre un faible Angers (2-0) dimanche 15 décembre. Dans sa situation en bas de tableau de Ligue 1, le SRFC s’en contentera, en attendant le mercato d’hiver et des jours meilleurs en 2025.

Sans tambour ni trompette, le Stade Rennais a hâte de passer en 2025

On n’a pas attendu le dernier match de l’année au Roazhon Park, dimanche, pour avoir du mal à reconnaître le Stade Rennais. On veut dire : celui d’avant, qui pensait d’abord attaque, avant de songer défense.

C’est peut-être ça aussi, le visage du SRFC structuré par Jorge Sampaoli. Tout du moins, celui qu’il est en capacité de nous offrir en cette fin décembre 2024. « On avance petit à petit, on aimerait proposer un jeu plus offensif, mais sur le chemin du rétablissement, c’est déjà bien d’engranger des points », a lancé son adjoint Diogo Meschine, préposé à la conférence de presse d’après-match, vu que l’Argentin était suspendu de banc contre Angers.

On va donc retenir l’essentiel. La victoire, infiniment précieuse par les temps qui courent, contre un concurrent direct du championnat du bas auquel ce SRFC participe en l’état : un constat que le contenu du match tend à confirmer. Rennes reste 12e, prend 4 points d’avance sur la zone rouge, en compte 7 de retard sur le top 6...

C’est aussi le 5e succès en 8 matches disputés Route de Lorient. Certes, peu de gros bras sont passés pour l’instant par la capitale de la Bretagne. Mais seize points grattés à domicile, seuls Paris, Monaco et Auxerre ont fait mieux jusqu’ici.

Le salut par le béton
Rennes a donc gagné « sale », bien aidé par l’extrême faiblesse offensive du Sco, avec un déploiement collectif nébuleux, une technique approximative, peu de mouvement, de décalages, de percussion (28 % de dribbles réussis…), de rythme. Mais des joueurs bien positionnés derrière à partir de leur système en 3-4-3, un jeu vers l’arrière rodé, et une efficacité au rendez-vous.

Pour l’intensité chère à Sampaoli, les envolées, la joie, les émotions, on attendra 2025, peut-être… « Certains joueurs comprennent vite, d’autres moins, d’autres ne comprendront jamais, balance encore Diogo Meschine. Avec le temps, j’espère qu’on va arriver à créer quelque chose de beau, comme on l’avait fait à l’OM… Aujourd’hui, on essaye d’approfondir, on apprend quelque chose de nouveau aux joueurs. Une fois que les principes seront assimilés, les joueurs se sentiront plus libérés. Les victoires aident pour cela. »

À l’écouter, cette équipe apprend donc à (re)marcher, ou à conduire, c’est selon. C’est vrai, elle ne concède pas grand-chose depuis que Sampaoli est à Rennes. Un progrès apparent, même si le niveau bas des derniers adversaires (avant Angers, Nantes et Saint-Étienne) fait relativiser. Le calendrier de janvier (Nice, Marseille, Brest, Monaco) ressemblera à un tout autre révélateur.

Dimanche, le SRFC a subi une tête hors cadre de Niane (45’), une volée hors cadre aussi d’Abdeli (76’), un coup franc rentrant de Ferhat boxé par Mandanda (81’). Point final.

On doute que cela suffise à contenter Sampaoli, mais comme il ne jure que par la sécurité et la structure dans son discours depuis qu’il est arrivé...

Les joueurs font du mieux possible…
Voir son équipe ultra-efficace, il paraît en tout cas que c’est le rêve de tout entraîneur, à l’ère du résultat roi. Gronbaek, qui avait remplacé très vite un Gouiri blessé, a planté une tête bien sentie sur un centre rentrant de Blas, au 3e ballon rennais (!) joué dans la surface angevine (1-0, 33’). Un but peu célébré...

Puis, dans les arrêts de jeu, Lefort a aidé Assignon à inscrire le but du break, sur une frappe que le défenseur du Sco a contré comme il fallait pour laisser coi Fofana (2-0, 90’+2).

7 tirs, 4 cadrés, 2 buts. Merci, au revoir. « On doit trouver d’abord un équilibre, et on a la sensation d’être plus solide, martèle Meschine. Angers était difficile à manœuvrer à l’extérieur jusque-là. Le football que Jorge aime, c’est un foot plus offensif. Les joueurs ne peuvent peut-être pas aller aussi vite dans la direction que l’on souhaiterait, mais ils font du mieux possible. »

Sampaoli et son staff réaliseraient donc ce qu’ils peuvent avec ce dont ils disposent pour l’instant, c’est-à-dire un effectif qu’ils n’ont pas choisi, au sein duquel ils ont constaté pas mal de limites. Après Bordeaux dimanche prochain en Coupe de France, ce sera l’heure du mercato…

Avant, je n’avais simplement pas eu ma chance

Très peu utilisé par Julien Stéphan, Jordan James est devenu un titulaire au Stade Rennais depuis l’arrivée de Jorge Sampaoli. Rencontré cette semaine, l’international gallois de 20 ans revient sur ce début de saison étrange à titre personnel.

Avant, je n’avais simplement pas eu ma chance

Jordan James fait partie des principaux bénéficiaires de l’arrivée de Jorge Sampaoli il y a un mois. Alors qu’il n’avait démarré aucun match depuis le début de saison sous Julien Stéphan (trois entrées en jeu contre Strasbourg, Montpellier et Lens), le milieu de terrain international gallois vient d’enchaîner deux titularisations contre Saint-Étienne et Nantes, après avoir joué toute la deuxième mi-temps à Lille pour les débuts de Sampaoli.

Le joueur de 20 ans recruté, cet été, est revenu cette semaine sur un début de saison difficile à titre personnel : "Je suis arrivé ici sans parler la langue. C’était un gros changement et j’avais besoin de temps pour m’installer. Pour un joueur de 20 ans, c’est difficile d’arriver dans une nouvelle équipe et un nouveau pays. Quand le nouveau coach est arrivé, j’ai eu une bonne discussion avec lui. Avant, je n’avais simplement pas eu ma chance. Est-ce qu’ils ne croyaient pas en moi ? Je ne sais pas, je ne peux pas vous dire. Le nouveau coach est arrivé, a cru en moi et m’a fait jouer dès le premier match où j’ai pu montrer ce que je pouvais faire."

Il nous faut encore quelques semaines
Retenu en sélection avec le Pays de Galles lors des premiers jours de Sampaoli à Rennes, James n’avait pourtant participé qu’à un entraînement avec le SRFC avant le match contre le Losc : "J’ai juste passé deux jours avec lui avant le match donc je ne m’attendais pas vraiment à jouer. Mais quand il est venu me voir à la mi-temps, je savais que c’était une opportunité que je devais saisir et je pense que je l’ai fait. J’espère pouvoir continuer dans cette voie."

Collectivement aussi, la découverte de la Ligue 1 est compliquée avec la 12e place actuelle du Stade Rennais, qui reçoit Angers Sco (15e) pour tenter de se détacher du bas de classement. Loin pour le moment, des ambitions de Jordan James, venu à Rennes dans l’idée de "lutter pour la Ligue des champions. On est déçu pour le moment, on n’est pas là où l’on voudrait être. Mais notre groupe est fort et on peut y arriver. C’est bizarre parce que l’on a de très bons joueurs qui peuvent faire mal aux adversaires, des internationaux qui jouent pour des grandes nations. Il nous faut encore quelques semaines et l’on sera très fort. On a rarement été dominé, c’était souvent un but par ci, un but par là."

C’est le projet d’une vie

Grand supporter du Stade Rennais depuis l’enfance, Fabrice Pinel est le fondateur du site Rouge Mémoire, devenu en un peu plus de dix ans une référence. Désormais, toute l’histoire des Rouge et Noir depuis 1932 y est compilée. Un travail de titan.

C’est le projet d’une vie

Dans son bureau, aménagé dans la mezzanine de son pavillon de la banlieue nord de Rennes, un seul et même thème de déco : le Stade Rennais. Sur les murs, trois photos au format XXL rappellent la plus belle heure de l’histoire récente du club breton : la victoire en Coupe de France de 2019 face au PSG de Neymar et Mbappé (2-2, 5-4 tab). Sur une étagère, une maquette du Roazhon Park, et un maillot d’Hamari Traoré suspendu. Lui, c’est Fabrice Pinel, coordinateur de production pour le groupe La Poste, et surtout très grand fan du Stade Rennais… et des datas.

S.G.S.B.

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