• DS_0049.jpg
  • ds_1792.jpg
  • DS_0175.jpg
  • ds_2779.jpg
  • ds_2137.jpg
  • ds_1624.jpg
  • ds_0841.jpeg
  • DS_0009.jpg
  • ds_0477.jpg
  • ds_2257.jpg
  • ds_2307.jpg
  • ds_1333.jpeg
  • ds_1201.jpg
  • ds_1682.jpg
  • ds_1568.jpg
  • DS_0111.jpg
  • ds_0296.jpg
  • ds_1580.jpg
  • ds_0967.jpeg
  • ds_1800.jpg

On ne peut pas cracher sur le maillot

Après la piteuse élimination du Stade Rennais à Troyes, en 16es de finale de Coupe de France (1-0), le président a souhaité prendre la parole, en exclusivité pour Ouest-France.

On ne peut pas cracher sur le maillot

Arnaud Pouille a livré sa façon de penser, conscient de la situation préoccupante dans laquelle se trouve le club. Il a aussi eu des mots forts devant les joueurs ce jeudi 16 janvier, et annonce des sanctions à venir à l’encontre de certains d’entre eux.

Arnaud Pouille a préféré laisser passer 24 heures avant de s’exprimer face à la presse. Le président du Stade Rennais n’a pas du tout goûté la piteuse élimination en Coupe de France, mercredi 15 janvier à Troyes (1-0). Au retour à la Piverdière ce jeudi, et après avoir échangé avec le directeur sportif Frederic Massara et l’entraîneur Jorge Sampaoli, il a pris la parole devant les joueurs. L’occasion de leur dire sa façon de penser et de tirer la sonnette d’alarme.

Puis, en fin d’après-midi, il s’est posé en exclusivité pour Ouest-France. Dans son survêtement du club, les mains croisées, le regard noir. Et avec de nombreux messages à faire passer, alors que selon nos informations, 4 joueurs de l’effectif (Gallon, Santamaria, Gronbaek et Kamara) ont été priés de s’entraîner pour l’instant à l’écart du groupe…

Arnaud Pouille, qu’avez-vous dit aux joueurs après la défaite à Troyes ?

Hier soir (mercredi), contrairement à Auxerre où il y avait eu une première vague de honte et où l’émotion était restée dans le vestiaire, j’ai fait un point sur la situation avec Jorge (Sampaoli) et Frederic (Massara). On est dans une situation largement inacceptable, et il faut que l’on prenne le taureau par les cornes rapidement. On ne peut pas se satisfaire de ce que l’on voit.

Au-delà du résultat, il y a des choses qui se voient à l’œil nu. Il suffit de regarder les retours (défensifs) des joueurs parfois. Ou quand le ballon est au milieu de trois joueurs, il ne faut surtout pas le prendre et le laisser aux copains… Ce sont quand même des révélateurs d’une certaine distance par rapport à ce que doit être le Stade Rennais. Bien entendu, les résultats pèsent, mais c’est surtout le fait de voir un manque d’état d’esprit collectif, qui est la base du foot. Si vous ne courez pas, avec ou sans ballon, vous ne pouvez rien espérer.

Chaque saison est une aventure, mais celle-ci est vraiment merdique à l’heure actuelle

Ensuite, je sais que les médias et une partie des supporters le regrettent, mais mon mode opératoire, c’est de dire aux gens ce que je pense d’eux avant d’aller le dire publiquement. J’ai dit aux joueurs cet après-midi ce que j’avais à dire.

Je leur ai parlé après l’entraînement pour partager ce sentiment de honte, leur dire que c’était inacceptable. Que chaque saison était une aventure, mais que celle-ci était vraiment merdique à l’heure actuelle, et qu’ils devaient en avoir conscience. Mais ils ont de la chance dans leur métier, c’est qu’il y a toujours une occasion de se refaire. Là, c’est Brest samedi, et je leur ai dit ce que j’attendais comme état d’esprit.

Comment ce groupe a-t-il pu en arriver là ?

Déjà, personne ne fuit ses responsabilités. Il y a certainement une somme d’erreurs accumulées, le principal étant pour moi qu’il faut vite que tout le monde comprenne la situation : nous sommes dans un club qui va bientôt avoir 124 ans, il y a un maillot à porter, et il ne faut pas lui cracher dessus. Je pense que les joueurs ont compris cela, et nous aussi. Je leur ai dit que c’était l’heure de la discipline et de l’effort.

On va concentrer l’effort sur ceux qui ont envie de porter le projet, pas sur ceux qui n’en ont rien à faire de l’histoire du club. Il faut des gens investis, et malheureusement, on a constaté que certains le sont moins que d’autres. On ne peut plus se disperser sur des gens qui s’en fichent d’être là ou ailleurs. Ensuite, je leur ai rappelé que dans tous les contrats, qui sont plutôt bien faits ici, il y a une prime d’éthique associée à leurs salaires, et l’éthique est rattachée au respect du club et du maillot. Cela fait douze matches que je vois. Je ne dis pas que tout est à jeter, je trouve qu’une structure était revenue, mais il faut aller au-delà et faire beaucoup plus. Ce sont les joueurs qui peuvent retourner cela. Je peux aller crier toutes les semaines dans le vestiaire, Frederic peut leur passer la pommade, Jorge peut sauter les deux pieds sur la table à la mi-temps… Mais à un moment donné, c’est sur le terrain que cela doit transpirer.

Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence…

Quand vous parlez de joueurs moins concernés, cela veut-il dire que certains seront sortis du groupe contre Brest, par exemple ?

Oui. Mais ils pourraient potentiellement être réintégrés (1)... Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence, il faut qu’ils le comprennent vite. Cela veut dire être à l’heure, respecter les obligations du club. Il y a des droits, mais aussi pas mal de devoirs. Il faut vite rebrancher les fils et arrêter de croire que c’est le Club Med ! Sinon, le club dans son ensemble va vite être rattrapé par la réalité qui est celle de la compétition. Personne ne va nous faire de cadeau. La photo, c’est que l’on est éliminé piteusement en Coupe de France, et que l’on a 17 points à la moitié du championnat, ce qui est un rythme de relégable. À eux de faire démentir les tendances.

Quels messages vous ont fait passer les actionnaires ?

Un message de confiance et d’invitation à trouver des solutions… Ils sont investis sur trois générations, tout le monde peut imaginer leur sentiment. Ce sont aussi des bâtisseurs, qui savent que des cycles négatifs peuvent exister. On ne peut pas leur reprocher de tarder dans leurs prises de décisions. Beaucoup ont été prises ces derniers mois, mais il ne faut pas rajouter de l’instabilité à l’instabilité. Jorge est le coach, il fait partie du schéma de décision, et on ne prendra pas un joueur au mercato si cela ne rentre pas dans ses critères. Frederic fait aussi partie du schéma de décision, il connaît maintenant mieux que le club qu’à son arrivée, comprend mieux ce que le territoire attend du Stade Rennais. Les décisions sont prises à trois. Quand un club est dans un moment faible, on essaye de l’enfoncer : cela fait partie des circonstances à appréhender dans un système, cela existe partout, mais cela ne doit pas nous empêcher d’avancer.

Ces trois mois de présidence ont été difficiles…

On m’a toujours appelé à des moments difficiles, dans le rugby au Stade Français, à Lens qui était 19e de Ligue 2… Ce n’est pas une situation inconnue, et dans les clubs, il y a toujours un moment d’urgence. Là, on y est. Dans la compétition, il faut aussi avoir un peu peur. Le Stade Rennais est en L1 depuis 30 ans, avec un actionnaire solide qui investit, vous vous dites que cela va le faire, mais à un moment… Il faut que la prise de conscience soit générale dans le club, être très lucide. Il faut se serrer les coudes, faire les efforts, et avancer, ce que l’on n’a pas fait lors des derniers matches.

(1) Quatre joueurs vont s’entraîner à l’écart du groupe pour l’instant : Gronbaek, Kamara, Santamaria, Gallon, selon nos informations.

Massara sort la sulfateuse après l’élimination en Coupe de France

Après l’élimination du Stade rennais face à Troyes en coupe de France, Frédéric Massara a exprimé sa déception. Il a décrit la performance de l’équipe comme « vraiment honteuse », ajoutant qu’ils ne s’y attendaient pas du tout. Le directeur a néanmoins félicité Troyes pour sa victoire.

Massara sort la sulfateuse après l’élimination en Coupe de France

Réfléchissant aux prochaines étapes, Massara a souligné la nécessité de comprendre les raisons de ces performances décevantes. Il a insisté sur l’importance de se recentrer pour améliorer la situation et de reconnaître que, pour éviter la relégation, l’équipe doit se concentrer sur son sauvetage.

Il a aussi exprimé sa gratitude envers les supporters qui continuent de soutenir l’équipe malgré ses mauvais résultats. "Je veux les remercier, et les assurer qu’on va tout faire pour que cette équipe mette un peu plus d’âme sur le terrain, plus de cœur", a-t-il déclaré.

Interrogé sur la situation actuelle, Massara a reconnu que les résultats des dernières semaines étaient insatisfaisants. Il a insisté sur la nécessité pour les joueurs de se surpasser et de se remettre en question, soulignant que cela dépasse les systèmes de jeu ou les entraîneurs.

Pour lui, la clé du succès réside dans la capacité à remporter les duels sur le terrain. S’ils commençaient par exceller dans cet aspect, ils obtiendraient de meilleurs résultats. Le directeur sportif a mis l’accent sur l’importance d’une implication totale de la part des joueurs.

L’aube du désespoir pour Rennes

Contre le quinzième de Ligue 2, ce mercredi 15 janvier, Rennes a sombré en 16es de finale de coupe de France. Contre Troyes, elle a perdu sur le score de 1 à 0. Une défaite frustrante, scandaleuse et humiliante pour le club breton, qui poursuit son début d’année 2025 catastrophique avec un troisième revers consécutive.

L’aube du désespoir pour Rennes

Coach rennais, Jorge Sampaoli avait pourtant aligné un onze compétitif avec son trio offensif Amine Gouiri, Ludovic Blas et Seko Fofana. Mais dès les premières minutes, les Rennais semblaient dans le dur. La possession de balle était bien là, mais stérile. Elle offrait aux Troyens l’occasion de se réorganiser rapidement en défense à cinq et de miser sur des contres dangereux.

Dès la 15e minute, Rennes manquait la correctionnelle, après une faute de James à l’entrée de la surface, sanctionnée d’un simple coup franc. Les vagues troyennes devenaient toutefois de plus en plus menaçantes. À la 25e minute, Rafiki Saïd obtenait un penalty suite à une main de Leo Ostigard. Heureusement pour les Rouge et Noir, Saïd ratait complètement son tir.

Malgré ce premier avertissement, Rennes n’a jamais su accélérer ni concrétiser ses rares incursions offensives. Les frappes molles de Ludovic Blas ou les tentatives hors cadre de Seko Fofana et Amine Gouiri ont illustré le manque de tranchant des Bretons. À l’inverse, les Troyens, bien plus dangereux, imposaient leur rythme sur chaque contre et rendaient les Rennais fébriles jusqu’à la pause (0-0).

Au retour des vestiaires, Rennes semblait enfin vouloir réagir. Dès la 47e minute, Amine Gouiri touchait le poteau sur une combinaison avec Blas, laissant entrevoir un léger sursaut d’orgueil. Mais c’est finalement Troyes qui frappait en premier. À la 56e minute, Rafiki Saïd, servi par Paolo Gozzi, trouvait la faille après un beau mouvement côté droit. 1—0 pour Troyes.

Dès lors, Rennes a tenté de revenir au score, mais son manque de précision et de créativité dans les 30 derniers mètres était criant. Amine Gouiri avait une nouvelle occasion en or à la 75e minute, bien servi dans la profondeur par James, mais Nicolas Lemaître, le gardien troyen, remportait son duel. Ce fut le dernier moment de véritable danger pour l’ESTAC. Troyes aurait pu alourdir la marque en fin de match sur des contres bien menés, notamment par Ibrahim Traoré, mais les frappes ont manqué de justesse.

Peu importe, le mal était déjà fait : Rennes, sans âme ni efficacité, devait quitter prématurément la coupe. Cette défaite contre une équipe de Ligue 2 est un vrai camouflet pour le Stade rennais. Le club breton semble cette saison loin de son niveau habituel. Avec trois échecs en trois matchs en 2025, Rennes inquiète. Pire encore, cette élimination laisse le SRFC avec une seule compétition à jouer pour le reste de l’année : la Ligue 1. Le derby face à Brest, samedi au Roazhon Park, et le déplacement à Monaco la semaine suivante, s’annoncent cruciaux pour les hommes de Jorge Sampaoli. Ce samedi, le Stade rennais pourrait compter sur le jeune Kader Meïté (17 ans).

Les notes de Frédo : Samba 3, Ostigard 2, Hateboér 2, Truffert 2.5, Assignon 3, Matuisiwa 3, James 3, Blas 3, Fofana 2 Gouiri 4.

C’est une honte

Le Stade Rennais a été éliminé de la Coupe de France à Troyes (1-0) dès les 16es de finale, ce mercredi 15 janvier. En conférence de presse, Diogo Meschine, l’adjoint de Jorge Sampaoli (suspendu), a livré un constat implacable sur la prestation des Rouge et Noir, transparents au stade de l’Aube.

C’est une honte

Le Stade Rennais est sorti de la Coupe de France par la petite porte dès les 16es de finale, ce mercredi 15 janvier. Auteurs d’un non-match à Troyes (Ligue 2), les Rouge et Noir ont été battus 1-0 et concèdent leur 3e défaite en autant de matches depuis le début de l’année civile. Jorge Sampaoli étant suspendu après la révocation de son sursis contre Nice, c’est son adjoint Diogo Meschine qui était à la tête du staff rennais durant la rencontre.

L’équipe a plus besoin d’amour que d’un électrochoc
Le Brésilien s’est également exprimé en conférence de presse après la rencontre, en ne mâchant pas mots quant à la prestation rennaise : "C’est une honte pour une équipe de notre calibre. On a du mal à se regarder en face, par rapport à nos supporters. Cette défaite va nous marquer. J’espère que ce qui s’est produit aujourd’hui ne se reproduira plus. Nous sommes arrivés dans une période un peu spéciale, le contexte est assez défavorable, avec 80 % de nouveaux joueurs qui doivent mûrir, mais nous n’avons pas de temps pour ça. Après, je sais que vous pourrez avoir une analyse différente… On a joué huit matches, on en a perdu cinq, c’est la réalité."

"Faire des changements pour provoquer un électrochoc ? Jorge l’a déjà dit, il a besoin de joueurs avec un certain style, de l’énergie, un caractère différent, a poursuivi Meschine. Nous n’avons pas assez d’options dans l’équipe aujourd’hui, et nous avons besoin de la développer. En ce moment, on pense que l’équipe a plus besoin d’amour que d’un électrochoc. Le mercato ? Nous donnons des profils, la direction essaie de nous aider. C’est difficile d’être dans cette position aujourd’hui pour Rennes, par rapport au statut du club, on essaye de fortifier cette équipe. On travaille chaque jour sur notre jeu, les adversaires, avec du spécifique, de la vidéo, pour que l’on s’améliore. Malgré ce contexte, il faut s’accrocher, suivre notre chemin. Je n’ai pas été surpris par cette équipe de Troyes, j’avais regardé au moins neuf matches… C’est une équipe qui a du potentiel. Ce qui m’a le plus surpris, c’est notre absence de réaction, on aurait pu encaisser un deuxième but dans ce match."

Rennes tombe à Troyes

Ce mercredi en Coupe de France, Rennes a perdu au Stade de l'Aube contre l'ESTAC (0-1).
Rennes tombe à Troyes

Du haut d'une tribune du Stade de l'Aube, Jorge Sampaoli, suspendu, a observé avec impuissance le naufrage de son équipe à Troyes, ce mercredi soir. Le Stade Rennais restait sur deux défaites en Ligue 1, englué à la 14e place après une demi-saison ratée. Le voilà éliminé de la Coupe de France après une nouvelle sortie inquiétante, battu par un Estac entreprenant.

Sampaoli avait pourtant décidé de sortir son onze type du moment et il a été bien trop timide, à l'image de l'activité d'Amine Gouiri ou des frappes molles à répétition de Seko Fofana et de Ludovic Blas. Les Troyens, eux, étaient bien organisés, défendant à cinq à la perte de balle en début de match, avec Cyriaque Irié en latéral droit de temps en temps. Mais même avec une possession limitée, les joueurs de Stéphane Dumont ont été les plus dangereux.

La revanche de Saïd

Ils ont été à deux doigts d'obtenir un penalty pour une faute de Jordan James à la limite de la surface (15e), et ils en ont bel et bien concédé un quand Leo Ostigard a fait une main sur une frappe de Rafiki Saïd (25e), mais ce dernier a totalement manqué le cadre de Brice Samba (27e). Seulement, l'ailier déroutant de Troyes a été récompensé en seconde période. Malgré une entame plus consistante de Rennes, Saïd a marqué de près sur une relance approximative de Samba, bien servi par Paolo Gozzi (1-0, 56e).

Malgré quelques occases rennaises, notamment ce un-contre-un perdu par Gouiri face à Nicolas Lemaître (76e), Troyes a mieux fini et cumulé deux balles de 2-0, hors cadre, mais peu importe : l'Estac verra les huitièmes de finale de la Coupe de France pour la première fois depuis la saison 2017-2018. F. T., à Troyes

Le Stade Rennais prend la porte dès les 16es

Sans idées et peu dangereux offensivement, le Stade Rennais a logiquement été éliminé de la Coupe de France par Troyes (L2), ce mercredi 15 janvier, en 16es de finale (1-0). Les hommes de Jorge Sampaoli enchaînent une troisième défaite de suite en 2025.

Le Stade Rennais prend la porte dès les 16es

Le Stade Rennais a-t-il touché le fond ? Cela y ressemble en tout cas. Battus par Troyes, modeste 15e de Ligue 2, en 16es de finale de la Coupe de France ce mercredi 15 janvier, les Rennais quittent déjà la compétition.

Rennes insipide, Troyes solide
Avec un onze de départ pourtant « type » avec notamment les recrues Seko Fofana et Brice Samba, le Stade Rennais se présentait en favori au Stade de l’Aube. Pourtant, la première période fut poussive avec peu d’occasions si ce n’est des tentatives de loin de Fofana et Blas (20', 32').

À l’inverse, Troyes a su se montrer piquant sur ses moindres situations. Saïd a ainsi obtenu un penalty après une belle ouverture de M’Changama, en voyant sa frappe toucher le bras d’Ostigard. Mais l’ancien Brestois n’a pas converti l’offrande en manquant assez nettement son tir au but (26').

En deuxième période, Rennes est revenu avec de meilleures intentions et il a fallu le poteau de Lemaître pour empêcher Gouiri de débloquer la rencontre. Paradoxalement, c’est après ce temps fort rennais que Troyes a trouvé la faille. Touché côté gauche, Gozzi a bien débordé avant de trouver Saïd en retrait, qui a ajusté Samba en force (1-0, 56').

Derrière, Troyes a tenu tandis que Rennes n’a jamais su faire douter son adversaire. Au coup de sifflet final, la qualification troyenne était méritée.

Les moments forts
26' : Penalty pour Troyes ! Sur une sublime ouverture de M’Changama, Saïd fixe Hateboer avant de prendre sa chance. Son tir est contré par le bras d’Ostigard. Penalty à suivre.

27' : C’est manqué par Saïd ! L’ailier troyen tente sa chance en force mais manque le cadre.

47' : Le poteau pour Gouiri ! Le ballon navigue dans la surface et arrive jusqu’à Gouiri, au point de penalty. L’attaquant ouvre son pied droit mais son tir vient mourir sur le montant gauche de Lemaître.

56' : BUT DE TROYES ! L’Estac trouve la faille. Gozzi percute sur la gauche et centre en retrait vers Saïd. L’ailier s’emmène difficilement le ballon mais conclut d’une frappe en force à bout portant.

76' : L’arrêt de Lemaître ! Gronbaek trouve Gouiri dans le dos de la défense, plein axe. L’Algérien tente le piqué mais Lemaître repousse !

82' : Traoré manque le 2-0 ! Superbe travail d’Irié qui renverse vers le jeune Traoré. Ce dernier fixe Truffert avant de croiser sa frappe du droit. Ça passe tout proche du but de Samba.

La fiche technique
Troyes : Lemaître - Mendes, Monfray (cap.), Diaz, Gozzi - Kanté, Diop, M’Changama - Irié, De Préville (Traoré, 70'), Saïd.

Stade Rennais : Samba - Hateboer, Ostigard, Wooh (Gomez, 74') - Assignon, Matusiwa, James (Ahamada, 83'), Truffert (cap.) - Blas (Meïté, 83'), Fofana (Gronbaek, 68') - Gouiri.

La réception du Stade Rennais pas à huis-clos, forte affluence attendue

Ce dimanche, les Girondins de Bordeaux (N2) recevront le Stade Rennais (L1) en 32es de finale de Coupe de France. Un match qui se disputera avec du public.

La réception du Stade Rennais pas à huis-clos, forte affluence attendue

Une bonne nouvelle pour la formation administrativement rétrogradée en National 2. Dernièrement, Bordeaux avait vu le préfet de la Gironde, Étienne Guyot, faire disputer les matchs à domicile à huis clos. Et pour cause, les tensions entre les UB87 et la North Gate n’avaient jamais été aussi fortes. Le week-end dernier, et après un nouvel épisode de violences, les UltraMarines Bordelais ont décidé d’apaiser les choses en proposant à leurs homologues de signer un "pacte de non-agression" afin de ne pas pénaliser le club au scapulaire et de continuer à pouvoir supporter ce dernier au Matmut Atlantique, ou ailleurs. Comme souligné par nos confrères de Sud-Ouest, la Préfecture a vu d’un très bon oeil cette initiative de la part du principal groupe d’Ultras Bordelais, suivie par la North Gate.

Une démarche "qui témoigne de l’engagement des signataires à modifier dans la durée les comportements irresponsables déplorés depuis le début de la saison afin de garantir une atmosphère saine, apaisée et respectueuse au sein et autour du club" selon le préfet. De ce fait, le FCGB recevra le Stade Rennais ce dimanche (14h45) avec du public, à l’occasion des 32es de finale de la Coupe de France. 19 600 spectateurs pourront garnir les tribunes des Girondins, dans un match qui devrait afficher guichets fermés.

Le match de Coupe de France à Bordeaux menacé de huis clos

Le Stade Rennais doit disputer son 32e de finale de Coupe de France à Bordeaux (N2) le dimanche 22 décembre. Mais la Préfecture de Gironde a menacé que le match se dispute à huis clos au Matmut Atlantique, si un conflit ouvert entre deux groupes de supporters girondins ne cesse pas. Si le huis clos était décrété, la Fédération française de football pourrait demander d’inverser le match… au Roazhon Park.

 Le match de Coupe de France à Bordeaux menacé de huis clos

Le match entre Bordeaux (N2) et le Stade Rennais, comptant pour les 32e de finale de la Coupe de France et prévu dimanche 22 décembre à 14 h 45, est menacé par un huis clos, comme l’a annoncé France Bleu Gironde.

La raison ? Un conflit ouvert entre deux groupes de supporters des Girondins, les Ultrasmarines et les North Gate, qui avaient provoqué notamment des incidents en marge du dernier match de championnat de N2 contre Saint-Brieuc.

Les supporters de Bordeaux ont jusqu’à mardi 17 pour signer la paix
La Préfecture de Gironde, qui a rencontré mardi 10 décembre les dirigeants bordelais pour évoquer ce problème, a écrit aux groupes de supporters pour qu’ils s’engagent sur un « pacte de non-agression » jusqu’à la fin de la saison. Ils ont jusqu’à mardi 17 décembre pour le faire.

Dans le cas contraire, l’autorité préfectorale assure que le match contre le Stade Rennais se déroulerait à huis clos total. Si ce couperet était prononcé, la FFF (qui ne souhaite pas voir jouer des matches de Coupe se disputer sans public à partir des 32e de finale) pourrait demander à inverser la rencontre… qui se déroulerait alors potentiellement au Roazhon Park.

On n’en est pas encore là, mais le coup de pression a été délivré.

La programmation du 32e de finale de Coupe de France à Bordeaux est connue

Pour son entrée en lice en Coupe de France, le Stade Rennais a hérité d’un déplacement chez les Girondins de Bordeaux, désormais pensionnaires de N2. La programmation de ce 32e de finale est connue : ce sera le dimanche 22 décembre, à 14 h 45.

La programmation du 32e de finale de Coupe de France à Bordeaux est connue

C’est une affiche qui rappelle quelques matches intenses de Ligue 1, même si les Girondins de Bordeaux sont à présent loin des projecteurs de la première division, rétrogradés en N2 cette saison. Lors du tirage des 32es de finale de la Coupe de France réalisé lundi 2 décembre, le Stade Rennais a en effet hérité de l’équipe girondine pour son entrée en lice. Pour la première fois depuis 2017, les Rouge et Noir ne débuteront pas la compétition contre une Ligue 1 ou une Ligue 2.

La programmation de la rencontre est désormais connue : elle aura lieu le dimanche 22 décembre, à 14 h 45. Le match sera diffusé sur beIN Max.

Bordeaux - Stade Rennais, une affiche en souvenir du passé

Le Stade Rennais devra encore jouer un match de Coupe de France loin du Roazhon Park, puisqu’il a hérité des Girondins de Bordeaux en 32e de finale de l’édition 2024-2025, lors du tirage au sort effectué lundi 2 décembre. Bordeaux, un adversaire de renom, mais une équipe de National 2 désormais : pour la première fois depuis 2017, le SRFC ne débutera pas en Coupe contre une Ligue 1 ou une Ligue 2. Match le 20, 21 ou 22 décembre pour finir l’année 2024.

Bordeaux - Stade Rennais, une affiche en souvenir du passé

Les Rennais pourront toujours passer un petit coup de fil à leurs amis malouins, histoire de se rencarder. Le Stade Rennais défiera le week-end du 21-22 décembre l’un des compagnons de route de l’US Saint-Malo en National 2, avec ces Girondins qui étaient venus faire 1-1 à Marville le 21 novembre.

Une affiche Bordeaux - Rennes, ça sonne bien pour débuter la Coupe et se remémorer le passé, vu que l’on parle désormais de trois divisions d’écart entre les deux équipes. C’est la raison pour laquelle le SRFC se déplacera (encore) et jouera au Matmut Atlantique, alors que pour une fois sa boule avait été tirée en premier… Mais pour la première fois depuis 2017 et un 32e de finale contre Biarritz (DH), Rennes n’aura pas à coltiner une équipe de L1 ou de L2 dès son entrée en lice.

Mandanda contre Mandanda
Les Girondins, 4es de ce N2 (avec un match en retard) actuellement dominé par Saint-Malo, sont devenus différents évidemment depuis leur dépôt de bilan l’été dernier, alors que le club évoluait encore en L2 au printemps.

Une tristesse pour tout fan de foot qui se respecte, et cette réception de Rennes devrait au moins raviver un peu la flamme du ballon rond à Bordeaux, où évolue notamment un certain Over Mandanda comme gardien numéro 2 : c’est le petit frère de Steve Mandanda…

Rennes - Bordeaux, ce n’est pas un classique en Coupe, mais un souvenir récent quand même. La dernière confrontation remonte seulement à janvier 2023, avec un 32e de finale disputé au Matmut Atlantique face aux Girondins alors en Ligue 2. Les Rennais s’étaient imposés 2-1 grâce à Bourigeaud et Doku, avant de se faire sortir au tour suivant par l’OM au Vélodrome.

Reste à savoir ce que décidera le diffuseur concernant la programmation du match, entre le vendredi 20 décembre en soirée, le samedi 21 ou le dimanche 22 après-midi. Pour Rennes, ce sera le dernier match de l’année, après la réception d’Angers en Ligue 1 le dimanche 15 à 17 h, et avant un déplacement à Nice le vendredi 3 janvier (20 h 45), toujours en championnat.

Si le SRFC se qualifie pour les 16es de finale, il aura une date supplémentaire à rajouter à son calendrier, le mercredi 15 janvier.

Les Girondins face au Stade Rennais en 32e de finale

Les Girondins de Bordeaux sont opposés au club du Stade Rennais (L1) en 32e de finale de la Coupe de France. Le tirage au sort s'est déroulé ce lundi soir sur beIN SPORTS.
Coupe de France : les Girondins face au Stade Rennais en 32e de finale
Les Girondins face au Stade Rennais en 32e de finale

Le 12e de Ligue 1

C'est le club du Stade Rennais qui est opposé aux Girondins de Bordeaux en 32e de finale de la Coupe de France. Il y a 4 divisions d'écart.

La rencontre se jouera le 21 ou 22 décembre prochain à Bordeaux, certainement au Matmut Atlantique.

Une révolution pour la Coupe de France ?

Candidat à sa propre succession à la tête de Fédération française de football, dont l’élection aura lieu le 14 décembre prochain, Philippe Diallo s’est confié à L’Équipe, ce mardi, et indique notamment réfléchir à une réforme de la Coupe de France.

ds 2662

Une refonte pour la Vieille dame
«?Une réflexion doit s’ouvrir sur la Coupe de France, lance-t-il. Son format, son calendrier. C’est l’épreuve la plus populaire en France et elle mérite d’être revisitée, sans toucher aux fondamentaux. Je pense aussi que l’on doit à nos clubs un effort de simplification, il y a trop de règlements. Et la Fédération doit être un centre d’innovation, on doit être à la pointe en matière de datas, d’intelligence artificielle. Je souhaite que la FFF devienne une sorte de marque mondiale. Elle en a la capacité, avec nos sélections nationales qui sont enviées dans le monde. Il est temps que notre rayonnement s’internationalise.?»

Comme d’hab, ce n’est pas en pleine campagne qu’on aura du concret.

Mandanda veut voir l’OL perdre en finale

Le Stade Rennais vit une saison bien décevante en Ligue 1. Les Bretons espèrent tout de même encore pouvoir terminer européens. Mais il faudra pour cela compter sur le PSG.

ds 2071

L'été dernier, le Stade Rennais avait fait un mercato séduisant. Beaucoup de fans et observateurs voyaient les Bretons dans les 5 premiers du championnat. Mais rien ne s'est passé comme prévu, entre résultats irréguliers et départ de Bruno Genesio. Il faudra désormais un petit miracle aux hommes de Julien Stéphan pour terminer à une place européenne. En l'occurence, Rennes espère toujours terminer à la 7e place, qui sera européenne si le PSG remporte la finale de la Coupe de France le 25 mai prochain à Lille face à l'OL. D'ailleurs, c'est ce qu'espère fortement l'ancien Marseillais Steve Mandanda.

Le PSG vainqueur de l'OL, Steve Mandanda croise les doigts

Dans des propos relayés par Ouest France, l'ancien de l'OM a en effet tenu à apporter son soutien... au PSG pour la finale de Coupe de France suite à la défaite contre Brest dimanche. « On met quatre buts, on entame le match comme il faut, mais on trouve quand même le moyen de perdre le match. C’est qu’il y a un problème quelque part. On ne mérite peut-être pas mieux que ce qu’on a aujourd’hui. Il faut essayer d’accrocher cette 7e place, en espérant que Paris gagne (la finale de la Coupe de France contre Lyon fin mai), c’est tout ce qu’on peut espérer aujourd’hui. Sur ce qu’on fait, on ne mérite pas mieux », a notamment indiqué Steve Mandanda, amer concernant les résultats de son équipe mais qui veut croire encore que le PSG puisse sauver une partie de leur saison. Un soutien de circonstances au vu du passé marseillais de Mandanda mais un soutien qui ne fera pas forcément plaisir aux Lyonnais.

Pour Warmed Omari, une difficile journée de demi-finale de Coupe de France mercredi

Warmed Omari a connu une demi-finale de Coupe de France compliquée sportivement mercredi à Paris. Selon nos informations, il ne s'était déjà pas réveillé pour rejoindre ses partenaires à l'horaire attendu le matin du match. Le joueur a été sanctionné financièrement, mais pas sportivement.

ds 2032

Une journée à oublier. Mercredi, le Stade Rennais a été éliminé de Coupe de France en demi-finale face au PSG (1-0). Auteur d'une (légère) faute sur Kylian Mbappé à la 35e minute, Warmed Omari a d'abord provoqué un penalty heureusement arrêté par Steve Mandanda. Abandonné par ses partenaires quelques minutes plus tard, le défenseur central rennais n'est pas parvenu à stopper la star parisienne lancée en profondeur, déviant au passage le tir de l'attaquant parisien dans ses propres filets. Auteur d'une autre erreur en deuxième mi-temps, quand il laisse inexplicablement filer un centre à sa hauteur sans intervenir, le défenseur de 23 ans a connu un match très compliqué, conclu par un accès de colère contre un joueur parisien à l'issue de la rencontre. Il a fallu l'intervention de plusieurs coéquipiers pour calmer Warmed Omari.

Il rate son réveil le matin du match
Selon nos informations, la difficile journée de Warmed Omari avait commencé dès le matin du match. Attendu à la Piverdière pour rejoindre la gare de Rennes avec le car du club, il ne s'est pas présenté au rendez-vous fixé par le staff. Il a dû être réveillé par le gardien de son immeuble. Le joueur habitant en centre-ville, il a pu être récupéré par le car et ses coéquipiers en cours de chemin. Aurait-il été du voyage en train à Paris s'il avait vécu en périphérie de Rennes ? Contrit, il s'est excusé et n'en menait pas large avant de se rendre à Paris. Mais pourquoi-a-t-il été aligné d'entrée, quand on sait que Nemanja Matic avait été mis sur le banc à Toulouse en décembre dernier pour un retard à une causerie d'avant-match ?

Le cadre de sanctions a évolué au Stade Rennais
Selon nos informations, le club a fait évoluer son cadre de sanctions concernant l'équipe première. Dans un premier temps, Julien Stéphan avait conservé le cadre réglementaire prévu sous Bruno Genesio, qui engendrait en cas de retard une sanction financière et une sanction sportive. Après concertation avec plusieurs secteurs du club, dont les cadres de l'équipe première, ce cadre a évolué et prévoit désormais une lourde sanction financière pour les retards de joueurs, mais plus de sanction sportive, pour éviter les doubles peines. D'où la présence de Warmed Omari sur la feuille de match, le joueur a néanmoins écopé d'une grosse amende.

Cette Équipe Est Venue Faire Un Amical

Dans l'émission Rothen s'enflamme ce jeudi sur RMC, le consultant Jean-Michel Larqué a regretté le manque d'ambition du Stade Rennais mercredi soir face au PSG (défaite 1-0) lors de la demi-finale de la Coupe de France.
ds 2035

Mercredi soir au Parc des Princes, le Stade Rennais est tombé face à plus fort en demi-finales de la Coupe de France. C'est en tout cas le constat que faisait l'entraîneur du club breton Julien Stéphan après l'élimination de ses joueurs face au PSG (1-0).

Et nul doute que sans la très belle prestation de Steve Mandanda dans les buts, qui a repoussé presque toutes les tentatives de Kylian Mbappé, l'addition aurait pu être plus lourde pour les Rouge et Noir.

Cette équipe de Rennes n'a jamais eu le sentiment qu'elle disputait une demi-finale de Coupe de France
Ce jeudi dans Rothen s'enflamme sur RMC, Jean-Michel Larqué est revenu sur la rencontre. Et si Stéphan évoquait "sa frustration de s'être fait contrer en première mi-temps", notre consultant regrettait quant à lui le manque d'ambition des Rennais dans cette partie.

"J'ai regardé quelques matchs de Rennes ces temps-ci, je dois être un chat noir car je les ai vus jouer contre Lorient à domicile (défaite 1-2) et c'était d'une mollesse incroyable. Et quand on regarde les vaincus de ces deux demi-finales de la Coupe de France, celui qui s'est le plus battu et qui s'est montré à la hauteur du rendez-vous c'est Valenciennes contre Lyon (défaite 3-0). Hier (mercredi), c'est un résultat en trompe-l'oeil. Heureusement qu'ils ont Mandanda dans cette équipe, il a la chance et le talent sur la frappe qu'il dévie sur la barre, il va chercher le penalty... Il faut que ce soit un ballon dévié par ce pauvre Omari pour faire but..."

"Je trouve que cette équipe de Rennes n'a jamais eu le sentiment qu'elle disputait une demi-finale de Coupe de France, avec des joueurs d'une passivité incroyable. Que ce soit Blas, Gouiri... Je n'ai rien vu dans cette équipe qui me laisse à penser qu'elle avait dans la tête de gêner cette équipe de Paris, qui n'a pas fait un grand match. Même à 1-0, il n'y a rien eu, même pas un peu de révolte, d'agressivité, un peu d'investissement... Cette équipe de Rennes est venue hier au Parc des Princes faire un match amical, et c'est ce que je lui reproche. Une demi-finale de Coupe de France, ce n'est pas un match amical, et les supporters bretons méritaient mieux que cette triste prestation."

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme