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La baisse des droits TV menace des milliers d'emplois

Le syndicat des clubs professionnels du foot français Foot Unis indique que la baisse des droits TV risque d'avoir un impact négatif sur des milliers d'emplois.
La baisse des droits TV menace des milliers d'emplois

Selon un baromètre établi par le syndicat Foot Unis, dont nous vous présentions les grands enseignements dès mardi soir, la filière du football professionnel français, qui représente environ 40 000 emplois directs et indirects, va pâtir des moindres recettes des droits TV, ce qui pourrait « mettre en péril des milliers d'emplois locaux ». Le syndicat des clubs professionnels du foot français dresse le panorama chiffré de la filière professionnelle.

« Avec la baisse annuelle d'environ 25 % des revenus audiovisuels pour la période 2024-2029, les clubs français risquent d'être contraints de réduire leurs dépenses », explique l'organisation. « Une situation qui pourrait mettre en péril des milliers d'emplois locaux, sans compter le financement du sport amateur également affecté par cette baisse de recettes », ajoute-t-elle. Les droits TV « représentent pour la majorité des clubs plus du tiers de leurs revenus, et parfois plus de la moitié, en moyenne 30 % », relève ce baromètre.

Après avoir cherché à obtenir un milliard d'euros par saison, et vu son appel d'offres échouer, la Ligue de Football Professionnel (LFP) a dû vendre les matches de L1 pour un total annuel de 500 millions d'euros environ à DAZN et beIN Sports. Une baisse significative par rapport aux 624 millions du contrat précédent.

Raymond Domenech éteint Jorge Sampaoli

Raymond Domenech a des remarques tranchantes à l’égard de Jorge Sampaoli

Raymond Domenech éteint Jorge Sampaoli

Jorge Sampaoli a connu des débuts contrastés à Stade Rennais. Avec 2 défaites et 2 victoire en 3 matches, l’entraîneur de 64 ans n’a jusqu’à présent pas réussi à imposer pleinement son influence sur l’équipe de Roazhon Park.

Malgré une victoire 5-0 contre Saint-Étienne il y a deux semaines, Rennes a connu des difficultés ailleurs. Ils occupent actuellement la 12e place au classement de la Ligue 1, n’ayant remporté qu’un seul match sur leurs cinq derniers. Ce week-end, ils sont tombés face à Nantes dans le derby au stade de la Beaujoire (1-0). Ce fut un match animé qui a vu les hommes de Sampoali se retrouver à dix. L’exclusion de Christopher Wooh s’est ensuite étendue à l’entraîneur.

Jorge Sampaoli en route pour la France
Raymond Domenech est loin d’être un admirateur de la méthode Sampaoli. L’ancien sélectionneur de l’équipe de France a pris position contre l’entraîneur argentin après la défaite de Rennes contre le FC Nantes(1-0). “Sampaoli va apporter de l’énergie, oui […] Il l’a apportée parce qu’il a été exclu. Il n’a gagné qu’un seul de ses trois matches, contre Saint-Étienne, qui jouait à dix. La fameuse solution miracle des entraîneurs étrangers, c’est juste pour le spectacle, mais ce n’est pas une vraie réponse”, a expliqué l’ancien entraîneur.

Un mal profond, résumé par les chiffres

Au-delà d’une infériorité numérique qui l’a plombé, le Stade Rennais a encore déçu dimanche 8 décembre à Nantes (1-0), et reste incapable de se transcender en déplacement. Les limites de cette équipe, coincée en bas de la Ligue 1 avant le dernier match de l’année contre Angers dimanche 15 décembre au Roazhon Park, s’illustrent aussi à travers des chiffres inquiétants.

Un mal profond, résumé par les chiffres

Le Stade Rennais a été vaincu dans le derby, affichant un visage très décevant avant même l’expulsion stupide de Faye dans les arrêts de jeu de la première période.

Signes des temps maussades, c’est la première fois depuis mai 2022 que le SRFC baisse pavillon face au voisin, après quatre succès consécutifs.

Pire, Rennes est resté muet dans le match à ne pas perdre pour la première fois depuis janvier 2021, soit une série de sept matches où il avait toujours fait trembler au moins une fois les filets canaris.

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Le Stade Rennais est incapable de se transcender et d’oser loin du Roazhon Park, ce qui l’envoie par le fond. On n’avait pas vu un tel mal des voyages depuis 38 ans ! Rennes n’a pris qu’un point sur ses sept premiers déplacements cette saison en Ligue 1, et c’était à Brest grâce à une égalisation heureuse de Jota en toute fin de match (1-1). 1 nul, 6 défaites…

Les Bretons n’avaient donc plus compté si peu de points après 7 rencontres à l’extérieur depuis la saison 1986/87 (1 point également à l’époque).

Le SRFC est muet depuis trois rencontres de rang loin du Roazhon Park (Auxerre, Lille, Nantes). Cela ne leur était plus arrivé depuis novembre-décembre 2023.

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La « sécurité ». C’est l’un des mots martelés par Jorge Sampaoli depuis son arrivée. Mais que peut espérer Rennes, avec aussi peu de dangerosité offensive loin de chez lui ?

Rennes a tiré 5 fois ou moins lors de ses deux déplacements à Lille et Nantes (4 tirs à Lille, 5 à Nantes). Il ne faudrait pas que l’ère Sampaoli épouse la trajectoire prise entre 2013 et 2015 par le Stade Rennais de Philippe Montanier, qui avait alors enchaîné 12 déplacements avec un maximum de 5 tirs par match !

À Nantes, cela a ressemblé au premier vrai couac pour Sampaoli, dont le coaching en deuxième période a été perdant, même si l’équipe évoluait en infériorité numérique. Quand Simon a trouvé la faille (89’), Santamaria venait de rentrer à la place de Kalimuendo, et il n’y avait plus que Gomez en joueur offensif !

Dès la 70e minute, avec Wooh entré à la place de James (et Truffert propulsé au milieu), le SRFC n’avait plus que deux attaquants sur le pré… Les limites du béton.

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Rennes a perdu 8 de ses 14 premiers matches en Ligue 1 (4 victoires, 2 nuls), son plus haut total de défaites à ce stade depuis la saison 2002/03. À l’époque, le SRFC dénombrait 9 revers. Son classement final ? 15e.

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Voilà Rennes revenu à la merci de la zone rouge, un point devant Saint-Etienne (barragiste), deux devant Le Havre (premier relégable).

14 points en 14 matches, c’est peu ou prou le même temps de passage que la saison dernière, alors que Julien Stéphan venait de remplacer Bruno Genesio. Rennes comptait alors 15 points, mais avec moins de défaites (5). Le SRFC avait fini la phase aller avec 19 unités…

Cela n’avait pas empêché le club d’espérer à nouveau début 2024, grâce à une série de 6 victoires consécutives qui l’avait fait passer de la 13e à la 7e place mi-février.

Réussir ce genre de série va être évidemment indispensable, si Rennes ne veut pas passer sa saison à végéter dans le bas. Mais en est-il seulement capable, avec cet effectif-là, alors que Nice, Marseille, Brest et Monaco seront les quatre premiers adversaires de 2025 ? On peut en douter. Ou alors, il va falloir être très inspiré sur le mercato d’hiver, beaucoup plus que l’été dernier…

Rennes égale son pire départ en Ligue 1 au XXIe siècle

Ceux qui pensaient le Stade rennais guéri après son succès éclatant (à onze contre dix) face aux Verts (5-0) ont compris qu’ils s’étaient mis le doigt dans l’œil en posant devant le derby à Nantes, perdu par les hommes de Jorge Sampaoli (à dix contre onze) dans les dernières minutes (1-0), ce dimanche.

Rennes égale son pire départ en Ligue 1 au XXIe siècle

Avec 14 points en autant de journées, Rennes réalise son pire départ en Ligue 1 au XXIe siècle, à égalité avec celui tout aussi médiocre lors de la saison 2002-2003, comme on peut le constater sur le site Rouge Mémoire. À l’époque, le SRFC avait terminé l’exercice à la 15e place.

Loin du Roazhon Park, quasiment un zéro pointé
À l’inverse des Marseillais, les Rennais sont à côté de la plaque dès qu’ils s’éloignent un peu du Roazhon Park depuis le début de saison. Les Bretons ont pris seulement un petit point (arraché à Brest grâce à un but de l’entrejambe de Jota) sur 21 possibles, soit un nul et 6 défaites dans la besace. C’est le pire bilan hors de leurs bases dans l’élite depuis 38 ans et la saison 1986-1987, alors que Rennes compte déjà 8 défaites en championnat après 14 journées, ce qui n’était arrivé qu’une fois durant les 40 dernières années (en 2002-2003, évidemment). Malgré son revers à Nantes, Rennes n’a pas bougé de place (12e), mais compte seulement deux points d’avance sur Le Havre et la zone rouge (et un seul sur le barragiste) avant de recevoir Angers le week-end prochain.

Voilà un club qui attend le mercato de janvier comme un enfant attend de se ruer vers le sapin le jour de Noël.

Ludovic Blas pousse un gros coup de gueule après la défaite

Dimanche, lors du derby breton, Rennes a été défait par Nantes avec un score de 0-1 en Ligue 1. Mikayil Faye, joueur rennais, a été expulsé avant la mi-temps, réduisant son équipe à dix joueurs. Ce revers a laissé un goût amer au sein de l’équipe.

Ludovic Blas pousse un gros coup de gueule après la défaite

Ludovic Blas, milieu de terrain du Stade Rennais, a exprimé sa déception face à cette défaite. Selon lui, l’équipe s’est mise elle-même en difficulté. "On se met en difficulté tout seul aujourd’hui", a-t-il déclaré. Il a souligné que les erreurs de son équipe étaient responsables de cette défaite.

Blas, qui a déjà inscrit quatre buts cette saison en quatorze apparitions, a insisté sur la nécessité de rectifier certains aspects du jeu. Il a appelé à capitaliser sur les bonnes performances précédentes, notamment contre Saint-Étienne, où Rennes s’était imposé 5-0.

Pour Blas, ce n’est pas le mérite de Nantes qui a conduit à cette défaite, mais plutôt les erreurs commises par son équipe. "Si on perd ce match, c’est à cause de nous. Je pense que ce n’est pas grâce à Nantes, c’est à cause de ce qu’on a fait," a-t-il affirmé.

En outre, Ludovic Blas a fait face à l’hostilité du public nantais, ses anciens supporters, qui l’ont sifflé pendant toute la durée du match. Une situation délicate pour le joueur, qui espérait un accueil différent.

Ce match souligne les défis auxquels Rennes doit faire face pour maintenir ses performances en Ligue 1. L’équipe devra se ressaisir afin de ne pas laisser ces erreurs se répéter.

Les gagnants et les perdants depuis l'arrivée de Sampaoli

Les premiers choix de Jorge Sampaoli à la tête du Stade Rennais ont favorisé certains joueurs comme Jordan James plutôt que d'autres comme Christopher Wooh dans une quête d'élévation, qui passe par un succès à Nantes ce dimanche.
Les gagnants et les perdants depuis l'arrivée de Sampaoli

Il n'y aura pas de supporters rennais à la Beaujoire, ce dimanche en fin de journée, sur décision sécuritaire préfectorale et ministérielle, mais ils étaient près de 500 au Roazhon Park, samedi matin, pour encourager les joueurs de Jorge Sampaoli avant le derby. Le successeur de Julien Stéphan n'a pas manqué d'aller les saluer, il sait l'importance de genre de rencontres alors que Rennes n'a pas encore gagné deux fois d'affilée cette saison tout en restant sur quatre succès de rang face aux Canaris, et il attendra son équipe solide et audacieuse.

À Nantes, le onze de départ ressemblera à celui qui a croqué Saint-Étienne le week-end dernier (5-0) grâce au coup de main de Mathieu Cafaro et un grand Ludovic Blas (5-0), pour ce qui fut le premier succès de l'Argentin avec le 3-4-3 qu'il a adopté après le revers à Lille (0-1).

Avec Sampaoli, la situation de plusieurs joueurs du Stade Rennais a évolué. Laissé de côté sous Julien Stéphan, Jordan James, jeune milieu international gallois (20 ans, 14 sélections) arrivé cet été de Birmingham, amène une touche technique supplémentaire et de la verticalité, au détriment de Glen Kamara, remplacé à la mi-temps à Lille et entré à la 70e contre l'ASSE, et de Baptiste Santamaria, resté sur le banc lors des deux derniers matches.

Cette émergence ne devrait pas remettre en question la recherche d'un milieu complet expérimenté au mercato d'hiver, ce qui passera aussi sans doute par un ou deux départs dans ce secteur fourni qui laisse toujours en plan l'ex-Istréen Naouirou Ahamada, prêté avec option d'achat par Crystal Palace.

Gouiri préféré à Jota
Derrière, si un nouveau gardien peut aussi être ciblé en janvier, comme un défenseur axial plus expérimenté, le trio Hateboer-Ostigard-Faye s'est détaché. Faye car Alidu Seidu s'est blessé pour un long moment, et Ostigard plutôt que Christopher Wooh, qui a démarré 9 des 10 matches sous Stéphan cette saison.

Arrivé à l'été 2023 à 18 ans de l'école des Brasseries du Cameroun, Mahamadou Nagida, lui, a démarré les deux dernières rencontres en tant que piston gauche, de quoi bousculer la hiérarchie à ce poste où Adrien Truffert était l'habituel titulaire ? En attaque, Amine Gouiri a pour le moment les faveurs de Sampaoli par rapport à Jota, et l'international algérien (24 ans, 6 sélections, 1 but) a retrouvé le sens du but le week-end passé après onze matches sans marquer.

Mais ça reste ouvert, le coach entretient la stimulation aux entraînements en interchangeant souvent les joueurs dans son schéma du moment, il « ne laisse personne de côté, que tu joues ou pas, on est tous sur un pied d'égalité » (Lorenz Assignon) et il a montré par le passé qu'il était un adepte du turn-over. « Tout le monde est en évaluation constante, je cherche des joueurs capables d'interpréter mon idée de jeu et pourquoi il y a eu tant de problèmes par le passé, tout peut évoluer selon le rendement et la concurrence », glissait l'Argentin vendredi. Dans une équipe en quête de repères, de confiance et d'élan, pour le moment, il devrait opter pour une certaine continuité à la Beaujoire.

Les supporters chauffent leurs joueurs avec une banderole avant le FC Nantes

À la veille du derby face au FC Nantes, les supporters du Stade Rennais ont motivé leurs joueurs avec une banderole.

Les supporters chauffent leurs joueurs avec une banderole avant le FC Nantes

Ennemis jurés, le FC Nantes et le Stade Rennais vont s’affronter ce dimanche (17h) pour un nouveau derby, à l’occasion de la 14e journée de Ligue 1. À la veille de cette rencontre, les joueurs de Jorge Sampaoli se sont entraînés ce samedi matin durant 20 minutes au Roazhon Park. Une séance ouverte au public.

D’après les informations du journaliste de France Bleu Armorique, François Rauzy, entre 300 et 500 supporters rennais étaient présents lors de cet entraînement ouvert au public. Comme on peut le voir ci-dessous sur les images publiées sur Twitter, le Roazhon Celtic Kop, principal groupe de supporters du Stade Rennais, a déployé une banderole en marge de cette séance afin de motiver leurs joueurs avant ce derby. « Derby, nom masculin : match qui oppose deux clubs ennemis, dans lequel la victoire est obligatoire ! », ont écrit les supporters du club Rouge et Noir sur cette banderole.

La justice somme Google de bloquer des sites piratant les matchs de ligue 1

Afin de lutter contre le piratage, la justice a demandé à Google de bloquer les sites de streaming diffusant illégalement les matchs de Ligue 1. Une victoire DAZN, le principal diffuseur du championnat de France.
La justice somme Google de bloquer des sites piratant les matchs de ligue 1

A la demande du diffuseur DAZN, la justice a ordonné au géant américain Google de bloquer l'accès à une série de sites de streaming diffusant illégalement les matchs de Ligue 1 de football, selon une décision dont l'AFP a eu copie vendredi. Dans un communiqué, la plateforme de streaming britannique, détentrice des droits de diffusion TV de la Ligue 1, s'est félicitée d'"une décision importante et courageuse (qui) marque un tournant dans la lutte contre le piratage de tous les contenus sportifs au-delà du football".

27 sites concernés
Le tribunal judiciaire de Paris a constaté "l'existence d'atteintes graves et répétées aux droits voisins et aux droits exclusifs de diffusion de la compétition (...) dont est titulaire la société DAZN", selon ce jugement rendu jeudi. Vingt-sept sites sont énumérés, majoritairement accessibles en langue anglaise. Le tribunal ordonne par conséquent dans les trois jours à Google et Cloudflare, société américaine fournissant des services à des sites, "de mettre en oeuvre (...) toutes mesures propres à empêcher, jusqu'à la date du dernier match de la compétition", actuellement fixée au 17 mai 2025, "l'accès aux sites internet identifiés" et à des sites éventuellement "non encore identifiés", "à partir du territoire français". Google et Cloudflare doivent informer DAZN de la mise en oeuvre des mesures de blocage et d'éventuelles difficultés rencontrées.

Le géant californien s'était élevé contre la demande de blocage, pointant "des mesures disproportionnées en ce qu'elles sont coûteuses, inefficaces, non dissuasives, inutiles", rappelle le tribunal. DAZN avait saisi la justice en septembre, "afin de les contraindre à empêcher l'accès de leurs utilisateurs à des sites pirates et des services d'IPTV" (télévision par internet).

Un manque à gagner estimé à 290 millions d'euros par an
La décision rendue jeudi confirme une autre du même tribunal en date du 7 novembre, par laquelle il était enjoint à une série d'opérateurs dont Orange, Bouygues Telecom, SFR et Free d'empêcher l'accès à ces mêmes sites, selon cet autre jugement dont l'AFP a eu copie. Le manque à gagner dû à la diffusion illicite de matches est estimé à 290 millions d'euros par an pour le secteur du sport, a indiqué récemment l'Arcom, le régulateur de l'audiovisuel. "Ce montant représente 15% du marché de la diffusion des contenus sportifs et pèse sur l'ensemble du secteur, les clubs, les fédérations (...) et le sport amateur", avait détaillé Pauline Combredet-Blassel, directrice générale adjointe de l'Arcom.

Le juste prix de la Ligue 1 fait pleurer DAZN

Diffuseur de la Ligue 1 depuis le mois d’août, DAZN tâtonne sur le prix de son abonnement en multipliant les promotions au fil des mois. Mais la plateforme s’approche enfin d’un prix correct aux yeux des consommateurs.

Le juste prix de la Ligue 1 fait pleurer DAZN

Depuis le mois d’août, DAZN a fait son apparition dans le paysage audio-visuel français en devenant le diffuseur principal de la Ligue 1. La plateforme anglaise a récupéré huit matchs par journée, mais les débuts ont été compliqués en raison d’un prix jugé bien trop élevé par une majorité des consommateurs. Il faut dire que DAZN a fixé la barre très haute en mettant son abonnement en vente pour 40 euros sans engagement ou 30 euros avec engagement en août dernier. Un prix démesuré pour les fans de Ligue 1, habitués à des tarifs beaucoup moins importants avec Prime Video ou à une offre plus diversifiée avec Canal+ par le passé.

Au fil des mois, DAZN a cependant écouté les consommateurs et a baissé son prix jusqu’à atteindre 14,99 euros lors du black friday. Un terrible camouflet pour le diffuseur de la Ligue 1, qui a divisé par deux le prix de son abonnement par rapport au mois d’août. Mais il semblerait que c’est justement ce prix situé aux alentours des 15 euros qui convienne aux Français selon une étude du site LesViolets.com.

15 euros par mois, le prix maximum pour la Ligue 1
« Selon nos observations, de nombreux supporters du TFC sont impactés par la hausse des prix des abonnements et rencontrent des difficultés pour suivre le club lors des matchs à l’extérieur. Selon un récent sondage réalisé, le prix juste d’un abonnement à DAZN est estimé entre onze et quinze euros par la moitié des supporters violets » note le média, pour qui DAZN a donc enfin trouvé le juste prix de la Ligue 1. Et le constat est violent puisqu’il s’agit d’un prix deux fois inférieur aux 30 euros initialement réclamés par le diffuseur britannique pour suivre 8 matchs du championnat de France par journée. Depuis ce mardi et la fin officielle du black friday, le prix de l’abonnement est remonté à 19,99 euros par mois pour s’abonner à DAZN. Un prix qui reste inférieur à celui initialement visé par le diffuseur, qui peut définitivement oublier la commercialisation à 30 euros de ses abonnements pour suivre uniquement la Ligue 1.

Andres Gomez enfin prêt à faire danser le Roazhon Park ?

Débarqué cet été en provenance de MLS, Carlos Andres Gomez arrive auréolé de l’étiquette de joueur frisson, capable de faire des différences en un contre un, non sans rappeler Jérémy Doku. Freiné par une blessure à son arrivée, l’ailier colombien a depuis marqué face au Havre et veut confirmer et gagner sa place. Un gros challenge.

Andres Gomez enfin prêt à faire danser le Roazhon Park ?

(Article écrit avant la victoire contre Saint-Etienne) Dans le début de saison morose du Stade Rennais, son but face au Havre est une petite éclaircie dans la grisaille. Un but rapportant trois points, déjà, quand Rennes n’en compte que quatorze après 13 journées, mais surtout l’espoir de tenir (enfin) un vrai joueur de couloir, capable d’éliminer, de percuter ou de servir ses coéquipiers mais surtout de finir les actions. Cette frappe enroulée pied gauche dans le petit filet d’Arthur Desmas comme premier éclair face aux Normands et quelques apparitions intéressantes laissent entrevoir un potentiel chez l’ailier de 22 ans.

Loin de la chaleur de sa Colombie, Carlos Andres Gomez sait le challenge qui l’attend sur les bords de la Vilaine : "Je pense être quelqu’un de joyeux, je rigole beaucoup et je pense que je fatigue beaucoup mes coéquipiers. J’adore danser et j’aime qu’il y ait une bonne ambiance dans le vestiaire avec tout le monde. Même si la MLS est un championnat exigeant, ici, ce sera deux fois plus dur et je me tiens prêt pour cela", déclarait-il lors de sa conférence de presse de présentation cet été.

Je sais que je dois faire mes preuves
Depuis, les occasions de festoyer n’ont pas été légion. Sa première expérience en Europe est un vrai test pour le jeune international "cafetero" : "Je sais que je dois faire mes preuves". C’est une évidence, tant le joueur était inconnu du public français à son arrivée. Troisième Colombien à porter les couleurs "Rouge et Noir" après Victor Hugo Montano et Juan Frenando Quintero, il entend bien marcher dans les pas du premier nommé plus que dans ceux du second.

Originaire de Quibdo, à l’ouest du pays, Carlos Andres Gomez fait ses gammes au Millonarios FC, club phare du championnat colombien. Là-bas, il côtoie notamment Freddy Guarin, passé par l’AS Saint-Etienne, ou encore Wuilker Farinez, gardien encore au RC Lens récemment. Lui attendra encore un peu avant de rejoindre la Ligue 1.

À peine majeur, il dispute deux saisons avec l’équipe première de Millonarios, remporte la coupe de Colombie en 2022, et termine tout de même avec 12 buts et 5 passes décisives en 57 matchs toutes compétitions confondues. Largement suffisant pour se faire repérer par la ligue américaine, la Major League Soccer. À l’hiver 2023, il s’engage avec le Real Salt Lake (le championnat nord-américain démarrant fin février).

13 buts et 7 passes décisives en 23 matchs lors de sa 2e saison en MLS
Si sa première année nécessite un temps d’adaptation, ses qualités font des ravages lors de la deuxième saison, il est vrai dans des défenses souvent en "carton", bien éloignées de la dimension physique du championnat de France. Son duo de choc avec un autre Colombien, Cristian Arango fait des dégâts et en l’espace de 23 matchs de championnat disputés, Carlos Andres Gomez cumule 13 buts et 7 passes décisives !

À cet instant de la saison, il devance même Lionel Messi et Luis Suarez en nombre de buts. Les deux anciens de Barcelone étant, certes, en fin de carrière, mais quand même. En parallèle, il découvre les joies de la sélection et marque même à deux reprises avec les Cafeteros, à chaque fois dans les dernières minutes. D’abord, en amical, face au Mexique (victoire 2-3), puis plus récemment dans le cadre des qualifications pour la coupe du monde, contre l’Uruguay (défaite 3-2).

S’il se décrit lui-même comme un joueur "véloce, rapide, qui aime marquer et offrir les passes décisives, mais aussi défendre pour son équipe", Frédéric Massara, alors en plein chantier, flaire le coup et l’engage pour la somme tout de même élevée de 10 millions d’euros. Un pari très risqué qu’il faudra assumer dans quelques mois à l’heure du bilan avec un temps de passage pour le moment en retard.

Le Stade Rennais le sait, l’adaptation d’un joueur sud-américain n’est pas toujours aisée en Bretagne
Car à l’image de l’équipe, le démarrage est poussif, la faute à une blessure au tibia notamment, mais pas que. Le Stade Rennais le sait, l’adaptation d’un joueur sud-américain n’est pas toujours aisée en Bretagne (les exemples ne manquent pas) mais le dernier en date, un certain Raphinha, aujourd’hui capitaine du FC Barcelone, avait mis fin à cette malédiction sans pour autant tout casser dès les premières semaines.

L’arrivée avant la trêve de Jorge Sampaoli, pas insensible aux caractéristiques du joueur, va-t-elle lancer pour de bon le jeune attaquant vers un destin doré en "Rouge et Noir", avec la langue et le goût d’un foot offensif en commun ? Le potentiel semble bien là pour Carlos Andres Gomez, reste à accumuler temps de jeu, buts et passes décisives pour se faire une place à prendre dans le jeu et le cœur du Roazhon Park, qui ne demande qu’à danser et sourire avec son nouveau Colombien.

Scandale d’arbitrage confirmé en Ligue 1

La Direction de l'Arbitrage de la FFF a confirmé que M. Dechepy avait commis une erreur en n'accordant pas un penalty à Evann Guessand dimanche à Lyon (4-1).
Scandale d’arbitrage confirmé en Ligue 1

L’OGC Nice n’a pas caché sa colère après sa défaite à Lyon (4-1) dimanche. Le club azuréen a fait passer plusieurs messages, en exhumant une vieille Une de L’Equipe au titre sans équivoque (« Nice volé à Lyon »), avant de publier lundi une compilation de situations litigieuses au cours de la rencontre, où M. Dechépy n’a pas pris les décisions espérées par les Aiglons.

Le Gym a saisi la Direction Technique de l’Arbitrage, qui lui a répondu en partie dans son débrief publié ce mardi. La DTA reconnaît ainsi qu’il y avait penalty sur Evann Guessand à la 48e minute, ce qui aurait pu offrir une belle balle de 2-2 aux hommes de Franck Haise.

Il y avait penalty sur Guessand
« Les images montrent que le défenseur retient l’attaquant, avec un ceinturage clair d’un bras, puis des deux, et un désintérêt pour le ballon. La légère semelle sur le pied gauche de l’attaquant ne saurait justifier à elle seule un pénalty. L’intervention du défenseur ne permet pas à l’attaquant de poursuivre son action après le contrôle du ballon, et constitue une faute au sens de la Loi 12. Un pénalty était donc attendu à la suite du visionnage en bord de terrain, ainsi qu’un avertissement au fautif pour comportement antisportif », résume la DTA.

La FFF publie également le son de la conversation entre les arbitres sur cette action. M. Dechépy estime que le contact n’est pas suffisant pour siffler faute à vitesse réelle, mais son collègue en charge de la VAR n’est pas du même avis, et souligne le fait que Duje Caleta-Car ne joue pas le ballon à cet instant. Appelé à visionner les images, M. Dechépy a pourtant maintenu sa décision de ne pas siffler penalty. A tort, selon ses supérieurs.

Comment un enfant de six ans se retrouve interdit de stade au Havre après avoir jeté des gobelets

Le club du Havre a infligé à un enfant et à son accompagnateur adulte une interdiction de stade de deux mois. Le jeune garçon avait jeté des gobelets en carton en direction d’un ami, qui sont tombés à côté du terrain.

Comment un enfant de six ans se retrouve interdit de stade au Havre après avoir jeté des gobelets

Peut-on avoir l’âge d’apprendre à lire et être déjà interdit de stade ? La réponse est oui. Selon nos informations, un jeune supporter du Havre, seulement âgé de six ans, est visé par une interdiction de stade de deux mois, prise par le club doyen. Son tort ? Avoir jeté des gobelets en carton et des boulettes de papier depuis sa place lors de la rencontre de Ligue 1 entre les Havrais et Reims (0-3), le dimanche 10 novembre, comme révélé par L’Equipe et confirmé par Le Parisien.

Le petit garçon a, selon les échanges entre le HAC et la Ligue de football professionnel (LFP), lancé ces objets à la 71e minute du match. Les projectiles, qui n’ont pas atteint le terrain à proprement dit n’ont touché personne, mais ont entraîné le déploiement du filet de protection et la diffusion d’un message de prévention dans les enceintes du stade.

Identifié à la vidéosurveillance
Dans les faits, il ressort des observations du club, qui ont identifié le jeune homme et son accompagnateur, sanctionné de la même peine, via le système de vidéosurveillance, que le jeune supporter visait un ami, avec qui il jouait à ce moment-là, et ne cherchait pas réellement à perturber la rencontre.

Mais ces faits ont attiré l’attention de la commission de discipline de la LFP. Cette dernière a convoqué Le Havre pour s’expliquer sur ces jets de projectiles, ainsi que pour des feux de bengale allumés en tribunes et des chants homophobes, qui ont mené à l’interruption temporaire du match. Le tout a valu au Havre une amende de 5000 euros. Le club de son côté affirme avoir simplement suivi les textes, qui l’obligent à sanctionner ce genre de comportements, mais avoir pris en compte le contexte et l’âge du supporter dans la durée de l’éloignement forcé du stade.

« Nous avons appelé les parents avant d’envoyer le courrier d’interdiction commerciale, explique-t-on au HAC. Ils ont apprécié notre appel et s’attendaient à une sanction plus lourde. » Le petit garçon et son accompagnateur, qui est son oncle manqueront donc trois matchs des hommes de Didier Digard. Celui contre Angers, disputé ce dimanche (0-1), mais également ceux face à Strasbourg en décembre, et Lens en janvier.

S.G.S.B.

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