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Vers une réorganisation du secteur sportif

Autour du coach Habib Beye, qui semble parti pour rester, le Stade Rennais va refonder l’organisation de son secteur sportif en vue de la saison prochaine. Alors que les bruits de départ autour du directeur sportif Frederic Massara restent pressants, l’arrivée de Laurent Bessière, actuel responsable de la cellule performance de l’OGC Nice, est notamment dans les cartons.

Vers une réorganisation du secteur sportif

Arnaud Pouille aime s’entourer de personnes dont il connaît les compétences, en qui il a confiance, et c’est à Lens qu’il a bâti son histoire personnelle dans le foot…

Là où il a notamment côtoyé, pendant deux ans, le responsable de la performance (1) Laurent Bessière, démissionnaire à l’OGC Nice et qui doit arriver en juin à Rennes, où Thomas Choinard occupe, aujourd’hui, ce poste.

Issu du milieu du rugby et multidiplômé en sciences physiques du sport etpassé aussi par Reims, Bessière avait été l’un des architectes de la réussite sportive de Lens, aux côtés de Franck Haise et du directeur sportif Florian Ghisolfi, entre 2020 et 2022. Son départ pour Nice, entériné en janvier 2023, n’avait guère plu à Pouille, mais l’Aveyronnais est considéré dans le milieu du foot comme une « pointure » dans son domaine.

Bessière, Le Marchand, Massara…
Cette arrivée ferait partie d’une réflexion plus globale sur la réorganisation du secteur sportif, engagée depuis l’audit interne qu’avait commandé le président du SRFC à son arrivée en octobre 2024. L’intronisation, à partir de cet été, de l’ancien défenseur du cru Maxime Le Marchand, qui aura la charge du suivi des jeunes joueurs à « haut potentiel » du club et des joueurs prêtés, participe à cette démarche.

L’arrivée de Bessière, un proche de Haise, ne relancerait pas la rumeur du coach de Nice à Rennes : celui qui se bat pour qualifier le club niçois en Ligue des champions ne serait pas parti pour débarquer en juin au SRFC, où le travail d’Habib Beye (qui dispose dans son contrat de conditions définies pour une prolongation jusqu’en 2026 en cas de maintien) est apprécié par les différentes composantes du club.

Sauf retournement de situation, Beye semble parti pour rester. Mais il faut définir qui aura la charge du recrutement et de la politique sportive du Stade Rennais, de la formation aux pros.

Le Stade Rennais se dit ouvert au projet d’agrandissement du Roazhon Park

Le projet de nouveau stade, souhaité par la famille Pinault, est suspendu en raison de l’opposition de la ville de Rennes, confirme le président du conseil d’administration du Stade Rennais Alban Gréget à Ouest-France. "Le projet étudié, c’est celui de la rénovation et de l’extension du Roazhon Park", ajoute-t-il. En l’état, seules les données techniques du projet ont été étudiées entre la ville et le Stade Rennais.

Le Stade Rennais se dit ouvert au projet d’agrandissement du Roazhon Park

Nouveau centre d’entraînement… puis nouveau stade ? Le rêve d’une "arena Pinault' de 45 000 places, exprimé par le propriétaire François Pinault, a du plomb dans l’aile. "C’était le souhait du Stade Rennais, mais en l’état, ce n’est pas la piste privilégiée, confie Alban Gréget, le président du conseil d’administration. Nous avions des vues sur un terrain (1) qui aurait pu servir pour créer un nouveau stade plus moderne, avec plus de places et un certain nombre d’avantages. Ce site n’est plus d’actualité. En tout cas, ce n’était pas le souhait de la ville. Or, c’est un projet qui se fait nécessairement ensemble. Le projet étudié, c’est le projet de rénovation et d’extension du Roazhon Park."

Celui-ci, révélé dans nos colonnes en novembre dernier, avait été commandé par la ville puis rendu aux élus à l’été 2024. Il s’agirait surtout de rehausser la tribune Vilaine (côté fleuve), au-dessus des loges et de la reculer, pour permettre de créer jusqu’à 13 000 places supplémentaires.

Ce serait un vrai plus à terme pour le club
La capacité du stade (environ 29 000 places aujourd’hui) atteindrait alors un peu plus de 40 000 places. "Nous avons regardé avec la mairie les données pour l’instant techniques, reprend Alban Gréget. Après, il y a d’autres enjeux qui vont être du registre juridique et financier, qui n’ont pas encore été ni abordés, ni tranchés. Donc pour l’instant, le projet en est là."

Il nécessiterait notamment l’installation d’une structure pour remonter les tribunes hautes, alors que la Vilaine borde le stade. "Cela fait aussi partie des discussions. Mais en tout cas, techniquement, c’est faisable. Y compris l’emprise sur la Vilaine, qui a été étudiée de manière très précise par les services compétents."

L’aspect financier est aussi épineux : qui payerait une facture qui serait estimée à quelque 100 millions d’euros, alors que le Stade Rennais n’est pas propriétaire du Roazhon Park, qu’il le loue à la ville contre environ 1 million d’euros par an, et que la ville rembourse toujours une partie des 35 millions d’euros liés à la rénovation de 2002 ?

L’option de l’agrandissement pourrait nécessiter deux ans de travaux, soit deux saisons à jauge réduite, sans compter le temps préalable de la prise de décision. Un aboutissement serait de toute façon difficilement envisageable avant 2028, au plus tôt.

Le Stade Rennais, en tout cas, se dit ouvert. "On a des contraintes aujourd’hui de jauge qui font qu’on a beaucoup de supporters qui aimeraient s’abonner et ne peuvent pas (2), termine Alban Gréget. On a un stade globalement plein. Si on pouvait avoir une jauge plus importante, ce serait un vrai plus à terme pour le club."

(1) : L’ancien site industriel de la Barre Thomas, situé près de Roazhon Park, mais de l’autre côté de la rocade.

(2) : le SRFC, qui a dû bloquer à 16 000 son nombre d’abonnés, compte une liste d’attente de 14 000 demandes supplémentaires.

Le projet de nouveau Roazhon park du Stade Rennais remplacé par une rénovation

Le projet de construction d’un nouveau stade ultra-moderne par la famille Pinault est officiellement abandonné. Un tournant dans l’avenir du Stade Rennais. Initialement prévue à proximité du Roazhon Park, cette enceinte devait offrir une capacité et des infrastructures à la hauteur des ambitions du club breton. Mais l’opposition des élus rennais a contraint les propriétaires du club à revoir leurs plans.
Le projet de nouveau Roazhon park du Stade Rennais remplacé par une rénovation

François Pinault, milliardaire et propriétaire du Stade Rennais, avait exprimé sa volonté de financer intégralement la construction d’un nouveau stade. Ce projet, situé à quelques centaines de mètres du Roazhon Park, visait à offrir au club un outil de travail à la pointe de la technologie et adapté aux exigences du football moderne.

Toutefois, devant la réticence des élus locaux, qui préfèrent une rénovation du Roazhon Park plutôt qu’une nouvelle infrastructure, les dirigeants rennais ont été contraints d’abandonner ce projet ambitieux. Cette décision intervient alors que le club vient tout juste d’inaugurer son centre d’entraînement ultra-moderne, le Pv2, financé entièrement par la famille Pinault.

Plutôt qu’un nouveau stade, le Stade Rennais et la municipalité ont désormais engagé des discussions sur la rénovation et l’agrandissement du Roazhon Park. L’objectif est de porter la capacité du stade de 25 000 à 40 000 places, afin de mieux répondre à la demande croissante des supporters et aux exigences des compétitions européennes.

Cependant, de nombreuses inconnues subsistent. Si l’intention est claire, le calendrier de ces travaux reste flou, et le financement demeure un point d’achoppement. La famille Pinault, bien qu’engagée dans le développement du club, n’a pas l’intention de supporter seule la charge financière de cette extension. De son côté, la ville de Rennes doit encore solder les coûts des travaux réalisés en 2002, ce qui complique davantage la planification des futures rénovations.

Cette situation place les supporters du Stade Rennais dans une position d’attente. Ceux qui espéraient une infrastructure flambant neuve devront se contenter, pour l’instant, du projet de modernisation du Roazhon Park du Stade rennais, sans garantie sur les délais de réalisation. Néanmoins, cette extension, si elle aboutit, pourrait permettre au club d’améliorer l’accueil des spectateurs, d’accroître ses revenus de billetterie et de renforcer son attractivité.

Bref, le Stade Rennais doit composer avec une réalité politique et financière qui freine son développement infrastructurel. Le financement de la rénovation du Roazhon Park représente une alternative intéressante, mais pas encore clairement financé. Les supporters, eux, devront se montrer patients avant de voir leur club disposer d’une enceinte à la hauteur de leurs ambitions.

Pleine Lucarne du 10/03/2025

Pleine Lucarne du 10/03/2025

Le Stade Rennais poursuit l'agrandissement de son centre de performance

Démarré à l'automne 2023, l'agrandissement du centre de performance du Stade Rennais, pour un coût de 40 M€, se poursuit et devrait être terminé d'ici à l'été 2026.
Le Stade Rennais poursuit l'agrandissement de son centre de performance

Démarré à l'automne 2023 pour un coût de 40 M€ supporté par l'actionnaire du Stade Rennais, la famille Pinault, l'agrandissement du centre de performance de Rennes, qui date de 2000, se poursuit. Une fois terminé, à l'été 2026, en passant de 11,4 à 15 ha, il sera l'un des centres les plus à la pointe de l'hexagone, derrière celui du PSG.

Le mois dernier, les pros ont intégré leur nouveau bâtiment, composé d'une spacieuse salle de musculation face au principal terrain d'entraînement. La nouveauté viendra aussi du déplacement sur le site de tout le centre de formation, situé près du Roazhon Park. Sur l'équivalent de huit terrains en pelouse hybride, cinq dédiés à l'académie vont porter le nom d'anciens internationaux rouge et noir : Eduardo Camavinga, Ousmane Dembélé, Sylvain Wiltord, Yoann Gourcuff et Pierrick Hiard.

Seko Fofana, le touriste à 20ME se fait dézinguer

Renfort vedette du dernier mercato d'hiver à Rennes, Seko Fofana a bien du mal à s'imposer en Bretagne. Au point d'être l'objet de vives critiques, notamment après son apparition face au PSG.

Seko Fofana, le touriste à 20ME se fait dézinguer

Remplaçant lors du choc face au Paris Saint-Germain, samedi au Roazhon Park, Seko Fofana a remplacé Jordan James à la 72e minute, Habib Beye tentant le tout pour le tout afin d'égaliser puisqu'à cet instant du match Rennes poussait fort pour revenir à 2-2. Mais, celui qui a été recruté en Arabie Saoudite pour 20 millions d'euros a du mal à convaincre depuis qu'il a fait son retour en Ligue 1, c'était alors à la demande de Jorge Sampaoli. Et désormais, Seko Fofana doit faire face aux critiques de ceux qui estiment que l'international ivoirien de 29 ans n'est pas pleinement investi dans son nouveau club, alors qu'il est lié jusqu'en juin 2029 avec le Stade Rennais. Yoann SRFC, qui écrit sur le club breton et suit l'actualité rennaise de très près, il ne faut plus cacher la réalité.

Fofana n'emballe pas les supporters rennais

"Fofana a des attitudes vraiment horribles depuis son arrivée… Syndrome du sauveur au départ à vouloir tout faire tout seul, désormais une nonchalance sur chaque action, un replacement à la carte… Va falloir montrer à quoi ont servi les 20M un jour (...) Je ne vois pas dans quel monde on peut placer Blas dans la même catégorie. Les efforts, il les fait. Tu compares peut-être leur nonchalance ? Ce qui me dérange, c'est qu’elle ne semble pas naturelle chez Fofana, qu’elle traduit plus un manque d’implication que chez Blas", remarque le spécialiste du Stade Rennais après la prestation très anonyme de Seko Fofana face au Paris Saint-Germain. Et visiblement, à lire les réactions sur X, Yoann SRFC n'est pas le seul à avoir la même opinion au sujet du milieu de terrain.

Brice Samba en colère contre l'arbitre après une main volontaire de Bradley Barcola

Coupable d'une main volontaire en première période du match Rennes-PSG (1-4) samedi, l'ailier parisien Bradley Barcola s'en est sorti sans la moindre sanction. Une action qui a provoqué la colère du gardien rennais Brice Samba, qui s'est expliqué avec l'arbitre de la rencontre à la pause.
Brice Samba en colère contre l'arbitre après une main volontaire de Bradley Barcola

À la 34e minute de jeu, samedi en Ligue 1, alors que le PSG menait 1-0 sur la pelouse du Stade Rennais, Bradley Barcola interceptait, à l'aide de sa main, une passe du défenseur breton Jérémy Jacquet destinée à Lorenz Assignon. Malgré le caractère volontaire du geste du Parisien, qui s'est tout de même rapidement excusé, l'arbitre Mathieu Vernice a choisi de ne sortir aucun carton. Une décision qui a provoqué la colère des Rennais, tellement que le gardien Brice Samba a, lui, écopé d'un carton jaune pour avoir protesté de façon trop véhémente aux yeux de l'homme en noir.

Si Barcola a finalement été averti d'un jaune dix minutes plus tard, pour une simulation à l'entrée de la surface, cette sanction n'a pas apaisé le mécontentement de l'ancien portier du RC Lens. Ce dimanche, Téléfoot a diffusé des images montrant Samba s'adresser à l'arbitre, à la fin du premier acte. "Si vous mettez jaune là, c'est parce que vous savez que vous avez oublié ce jaune !", aurait-il lancé.

À l'issue du match, perdu 1-4 par le SRFC, l'entraîneur Habib Beye avait aussi expliqué ne pas comprendre comment l'arbitre avait pu valider le premier but parisien, en pointant du doigt le coup franc, à l'origine de l'action, tiré plusieurs mètres devant l'endroit de la faute. "Je ne comprends pas qu'un coup franc cinq mètres dans leur terrain soit joué cinq mètres dans le nôtre", avait-il questionné.

C’est pas mon problème

Arbitre du match entre le Stade Rennais et le PSG, Mathieu Vernice a répondu fermement à Habib Beye après l'ouverture du score parisienne et cela fait du bruit.

C’est pas mon problème

Dans le climat actuel autour des arbitres, celui qui officiait lors de la rencontre entre Rennes et Paris, ce samedi au Roazhon Park, a remis de l'huile sur le feu et alimenté les tentants du grand complot. Alors que Bradley Barcola venait d'ouvrir le score pour le PSG, Habib Beye a clairement fait remarquer, à juste titre, que Paris avait rapidement joué un coup-franc, mais bien loin du lieu où la faute avait été sifflée.

En effet, si la faute rennaise avait été commise dans le camp parisien, le coup-franc qui a suivi a été joué dans celui de Rennes. Dans les bribes du dialogue saisies par Beinsports, on entend clairement Mathieu Vernice dire à l'ancien consultant de Canal+ : "Ce n’est pas mon problème" alors que clairement il y a avait un problème. Et ce n'est pas tout.

En effet, quelques minutes plus tard, dans un geste un peu stupide, Bradley Barcola arrêtait volontairement le ballon de la main, mais échappait à un avertissement alors que Brice Samba, venu se plaindre de cette situation, prenait, lui, un avertissement. Un arbitrage assez étonnant et qui aurait pu avoir un impact puisque quelques minutes plus tard, le jeune attaquant du PSG prenait cette fois un avertissement suite à une simulation dans la surface rennaise.

La LFP lance une campagne originale pour la journée internationale des droits des femmes

À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, célébrée chaque année le 8 mars, la LFP a décidé de floquer le slogan "WO = MAN" sur tous les maillots des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 à la place des noms des joueurs ce week-end.
La LFP lance une campagne originale pour la journée internationale des droits des femmes

La Ligue de football professionnel (LFP) lance une campagne originale à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, célébrée ce samedi 8 mars. Cette communication, via les réseaux sociaux, le digital et dans l'ensemble des stades de Ligue 1 et de Ligue 2 ce week-end, se décline autour du slogan "WO = MAN", qui sera floqué sur l'ensemble des maillots des clubs des deux divisions professionnelles à la place des noms des joueurs. C'est la première fois que deux équipes s'affrontant auront le même flocage.

Cette action s'inscrit dans les initiatives de l'instance ces derniers mois pour lutter contre les violences sexuelles et sexistes dans le football. Des groupes de travail ont ainsi été constitués pour sensibiliser l'ensemble des acteurs du football, avec le soutien des associations Colosse aux pieds d'argile, la Fondation pour le Sport Inclusif et Her Game Too, et avec le concours de six clubs pilotes (Toulouse FC, Stade Rennais FC, FC Metz, Paris FC, AJ Auxerre et ESTAC Troyes). La LFP souhaite inciter les femmes et les filles à venir au stade. Selon le baromètre IPSOS pour la saison 2023-2024, réalisé en novembre 2023, 26 % des femmes s'intéressent à la L1, ce qui constitue un record.

Tout un écosystème mobilisé
Si le foot pro se féminise en tribunes, dans les clubs la place des femmes est encore assez limitée. Il y a deux directrices générales en L2, Hélène Schrub à Metz et Pauline Gamerre au Red Star. Sarah Palluel, qui occupait la fonction de directrice générale adjointe à Troyes, a, elle, quitté ses fonctions en fin d'année dernière. Plus globalement, au sein de la Ligue et de la Fédération les femmes se font rares au poste de direction. On peut citer également Olga Dementeva, Directrice générale adjointe de l'AS Monaco.

Pour la campagne "WO = MAN", la LFP a souhaité mobiliser tout l'écosystème du foot, et notamment ses partenaires. Ainsi, Decathlon, qui fournit les ballons officiels des matches, y affichera le slogan. Des clips ont été tournés dans différents clubs avec le concours de joueurs comme Alexandre Lacazette (Lyon), Bradley Barcola (PSG) ou encore Denis Zakaria (Monaco). On les voit floquer un maillot de leur club.

Des personnalités extra-football, telles que l'humoriste Ilyes Djadel, la journaliste Cécile Grès ou encore la chanteuse Hoshi ont prêté leur concours à l'opération afin de mobiliser leur communauté. En parallèle de l'opération, les clubs avaient l'opportunité de mener les actions qu'ils souhaitaient. Ainsi le Stade Malherbe de Caen a demandé à Anne D'Ornano, épouse de Michel, homme politique, dont le stade normand porte le nom, de donner le coup d'envoi de son match contre Laval ce vendredi.

Mousa Al-Tamari, ce footballeur devenu porte-drapeau de la Jordanie

Mousa Al-Tamari a rejoint le Stade Rennais cet hiver en provenance de Montpellier, un transfert évalué à 8 M€. L’ailier droit est un joueur virevoltant, mais qui traîne la réputation de ne pas être suffisamment décisif devant le but. Il est surtout plus qu’un joueur de foot : porte-étendard de la Jordanie, son pays qu’il aime tant et pour lequel il tente de briller chaque jour dans l’espoir de faire une différence.

Mousa Al-Tamari, ce footballeur devenu porte-drapeau de la Jordanie

Il a coché la date depuis longtemps. Jeudi 20 mars, dans quatorze jours, Mousa Al-Tamari foulera à nouveau la pelouse du stade international d’Amman. À l’occasion du troisième tour des éliminatoires de la Coupe du monde pour la zone Asie, la Jordanie reçoit la Palestine dans un match ô combien important sur le plan sportif et évidemment hautement symbolique dans le contexte international des dix-huit derniers mois. "Nous aimons la Palestine et j’espère que la guerre pourra s’arrêter à Gaza, livre le jeune homme de 27 ans. Mais il s’agit d’un match de foot et nous devons le gagner."

Au cours de l’entretien qu’il nous a accordé, le regard d’Al-Tamari s’est éveillé à chaque question sur son pays, la Jordanie. Son sentiment d’appartenance, de fierté nationale, est le fil conducteur de sa carrière et de sa vie.

Il ne fait rien sans avoir une pensée pour son illustre territoire, ilot de paix partageant des frontières avec Israël, la Syrie, l’Irak et l’Arabie saoudite. Un pays peuplé de 11 millions d’habitants, dont 4 millions pour la seule capitale d’Amman, l’un des berceaux de l’humanité dont il est originaire. "Je pourrais facilement aller jouer au Qatar ou ailleurs au Moyen-Orient si j’étais à la recherche d’argent, poursuit-il. Mais si je veux être un meilleur joueur et rendre mon pays fier, c’est mieux de continuer à suivre mon rêve de jouer en Europe. De jouer pour des grandes équipes. Je ne le fais pas uniquement pour moi mais pour mon pays et ses habitants."

Il est aujourd’hui une exception dans le football européen. Seul joueur jordanien à évoluer dans l’un des cinq grands championnats, il lui a fallu prendre des chemins de traverse pour arriver jusqu’en Bretagne. S’extirper du football de son son pays, d’abord, où les petits intérêts entre amis surpassent souvent le cadre sportif, puis passer par Chypre, la Belgique et enfin Montpellier. Passer de l’amateurisme au professionnalisme a été une aventure et pour y arriver, Al-Tamari a travaillé plus que les autres, au sens propre du terme.

Une voix qui porte dans son pays
Ce fan de kick-boxing, grand blagueur à ses heures perdues, continue à bûcher encore aujourd’hui (il est venu à Rennes avec un coach privé), parce que dans sa situation, il a toujours tout à prouver, malgré tous les objectifs qu’il a atteints avec sa sélection (première finale de l’histoire de la Jordanie en Coupe d’Asie en 2023 notamment).

Fils d’une mère au foyer et d’un technicien spécialisé dans la climatisation, issu de la classe moyenne, le gaucher a profité du foot comme d’un ascenseur social sans pareille. Jusqu’à devenir le "Messi jordanien", un surnom que lui ont donné les fans chypriotes lors de son passage à l’Apoel Nicosie et qu’il déteste. Et un proche du prince héritier Hussein ben Abdallah. "Une très bonne personne, glisse-t-il, c’est lui qui prend soin de l’équipe nationale."

Au fil du temps, Al-Tamari est devenu un étendard de la Jordanie. Du haut de son million d’abonnés sur Instagram, sa voix porte plus que d’autres. "Le roi prend soin du pays, c’est le plus important pour nous", dit-il notamment sans faire de la politique, mais quand même un peu.

Homme de foi aussi, il a appris son sport dans une école de foot religieuse (Abu Hurairah) et va chaque jour ou presque à la Mosquée. "Et sinon, je reste à la maison et je joue à la Playstation", s’amuse celui dont la femme habite actuellement en Californie (États-Unis).

Ses convictions profondes ne le font pas dévier de son chemin. Il a dit un temps qu’après sa carrière, il aimerait devenir imam. Mais tout finit par le ramener au foot. "J’aimerais voir un autre joueur jordanien en Europe. Quand nous aurons trois ou quatre joueurs en Europe, l’équipe progressera. Cela permettra de changer la mentalité", argumente celui qui se rêve sélectionneur de la Jordanie une fois sa carrière terminée. Avant cela, une première qualification pour la phase finale de la Coupe du monde serait un nouvel accomplissement. Et cela le hisserait pour l’éternité au rang de héros national.

Construction d’un nouveau stade de football à Rennes

Le milliardaire breton François Pinault, propriétaire du Stade Rennais, avait exprimé en juin 2024 son désir de construire un nouveau stade sur la friche industrielle de la Barre-Thomas, à quelques centaines de mètres de l’actuel Roazhon Park, où il n’est que locataire. Huit mois plus tard, avec des résultats sportifs en berne, une opposition ferme des élus de la Ville et surtout un terrain qui semble inadapté, ce rêve semble progressivement s’évaporer.

Construction d’un nouveau stade de football à Rennes

Pour gonfler ses recettes, le Stade Rennais rêve d’un stade plus grand. Avec 29 000 places, l’actuel Roazhon Park n’est que la quinzième enceinte sportive de France. Loin, très loin des 80 000 places du Stade de France – le plus grand stade du pays – du Stade Vélodrome de Marseille (Bouches-du-Rhône) aux 67 000 places, ou encore du Groupama Stadium, à Lyon (Rhône), et ses 59 000 places. La Ville, qui est propriétaire de l’infrastructure louée entre 800 000 € et 1 million d’euros par an (selon le chiffre d’affaires du club), n’est pas contre un agrandissement.

François Pinault ne cache pas son désir de créer un nouveau stade pour son club.
La famille Pinault, qui possède le Stade Rennais depuis 1998, préférerait construire un nouveau stade de 45 000 places, dont elle serait propriétaire. François Pinault a même un terrain dans le collimateur, comme il l’expliquait dans nos colonnes en juin 2024 : la friche industrielle de la Barre-Thomas, ancien fief de Citroën, située à 400 mètres de là, de l’autre côté de la rocade. « L’architecte Jean Nouvel – c’est un ami – est prêt à se mobiliser sur ce projet. Ce nouvel investissement serait totalement financé par ma famille », rassurait-il.

D’autres chats à fouetter pour le Stade Rennais
Quelques mois plus tard et alors que le Stade rennais qui traverse une saison difficile a d’autres priorités, cette option de la Barre-Thomas se révèle de plus en plus être une impasse. Différentes raisons à cela. La première : la Ville ne veut pas en entendre parler. Au-delà de l’attachement revendiqué au stade historique, les raisons écologiques et les difficultés d’accès routiers pèsent lourd dans cette réticence.

Deuxième raison, et non des moindres : le terrain en lui-même. Le site de la Barre-Thomas, propriété des groupes Mazureau et Lamotte, est certes idéalement placé sur le papier. Près du berceau historique du Stade Rennais, près de la rocade, de la route de Lorient. En revanche, il ne sera pas disponible avant dix-huit mois, au mieux. C’est le temps que l’entreprise Cooper Standard juge nécessaire pour dépolluer les terres contaminées par les activités passées.

Parcelle trop étriquée ?
Par ailleurs, la surface disponible semble difficilement compatible avec la construction d’un nouveau stade d’ampleur. Le terrain fait à peine 10 hectares. C’est plus que l’actuel Roazhon Park, jugé étriqué, et qui est installé sur 6,6 hectares. Est-ce pour autant suffisant ? Quelle serait la surface idéale pour un nouveau stade ? À titre d’exemple, à l’autre bout de la Bretagne, Brest s’apprête à bâtir sa nouvelle arène de 32 000 m² (trois gros hectares donc) sur une parcelle totale de 18 hectares, qui intègre les voies d’accès. Seulement les Finistériens visent une jauge maximum de 15 000 spectateurs.

Pour trouver une enceinte de taille équivalente à ce que veulent les Rennais, il faut regarder vers Bordeaux (Gironde) où en 2015, un stade multifonction de 42 000 places a été inauguré. Peu ou prou ce que voudrait François Pinault donc. Le stade, seul, s’étend sur 4,6 hectares pour une parcelle totale là encore de plus de 18 hectares.

Un nouveau Roazhon Park, et ses parkings, devrait alors tenir sur dix hectares. Ou plutôt neuf. En effet, dans un communiqué, le promoteur rennais qui poursuit en attendant la commercialisation de la zone, indiquait que sur cette parcelle « des réflexions sont avancées pour le développement d’un pôle sport indoor sur une surface de 6 000 à 12 000 m² », avec pourquoi pas terrains de soccer ou de paddle. Le rêve de François Pinault devra sans doute trouver un autre lieu pour s’exaucer.

13 000
C’est le nombre de places qu’il serait techniquement possible d’ajouter à l’actuel Roazhon Park, selon une étude commandée par la Ville et rendue au club à l’été 2024. À ce jour, le Stade Rennais ne s’est pas positionné sur ce possible agrandissement.

S.G.S.B.

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