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Pour Warmed Omari, une difficile journée de demi-finale de Coupe de France mercredi

Warmed Omari a connu une demi-finale de Coupe de France compliquée sportivement mercredi à Paris. Selon nos informations, il ne s'était déjà pas réveillé pour rejoindre ses partenaires à l'horaire attendu le matin du match. Le joueur a été sanctionné financièrement, mais pas sportivement.

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Une journée à oublier. Mercredi, le Stade Rennais a été éliminé de Coupe de France en demi-finale face au PSG (1-0). Auteur d'une (légère) faute sur Kylian Mbappé à la 35e minute, Warmed Omari a d'abord provoqué un penalty heureusement arrêté par Steve Mandanda. Abandonné par ses partenaires quelques minutes plus tard, le défenseur central rennais n'est pas parvenu à stopper la star parisienne lancée en profondeur, déviant au passage le tir de l'attaquant parisien dans ses propres filets. Auteur d'une autre erreur en deuxième mi-temps, quand il laisse inexplicablement filer un centre à sa hauteur sans intervenir, le défenseur de 23 ans a connu un match très compliqué, conclu par un accès de colère contre un joueur parisien à l'issue de la rencontre. Il a fallu l'intervention de plusieurs coéquipiers pour calmer Warmed Omari.

Il rate son réveil le matin du match
Selon nos informations, la difficile journée de Warmed Omari avait commencé dès le matin du match. Attendu à la Piverdière pour rejoindre la gare de Rennes avec le car du club, il ne s'est pas présenté au rendez-vous fixé par le staff. Il a dû être réveillé par le gardien de son immeuble. Le joueur habitant en centre-ville, il a pu être récupéré par le car et ses coéquipiers en cours de chemin. Aurait-il été du voyage en train à Paris s'il avait vécu en périphérie de Rennes ? Contrit, il s'est excusé et n'en menait pas large avant de se rendre à Paris. Mais pourquoi-a-t-il été aligné d'entrée, quand on sait que Nemanja Matic avait été mis sur le banc à Toulouse en décembre dernier pour un retard à une causerie d'avant-match ?

Le cadre de sanctions a évolué au Stade Rennais
Selon nos informations, le club a fait évoluer son cadre de sanctions concernant l'équipe première. Dans un premier temps, Julien Stéphan avait conservé le cadre réglementaire prévu sous Bruno Genesio, qui engendrait en cas de retard une sanction financière et une sanction sportive. Après concertation avec plusieurs secteurs du club, dont les cadres de l'équipe première, ce cadre a évolué et prévoit désormais une lourde sanction financière pour les retards de joueurs, mais plus de sanction sportive, pour éviter les doubles peines. D'où la présence de Warmed Omari sur la feuille de match, le joueur a néanmoins écopé d'une grosse amende.

Cette Équipe Est Venue Faire Un Amical

Dans l'émission Rothen s'enflamme ce jeudi sur RMC, le consultant Jean-Michel Larqué a regretté le manque d'ambition du Stade Rennais mercredi soir face au PSG (défaite 1-0) lors de la demi-finale de la Coupe de France.
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Mercredi soir au Parc des Princes, le Stade Rennais est tombé face à plus fort en demi-finales de la Coupe de France. C'est en tout cas le constat que faisait l'entraîneur du club breton Julien Stéphan après l'élimination de ses joueurs face au PSG (1-0).

Et nul doute que sans la très belle prestation de Steve Mandanda dans les buts, qui a repoussé presque toutes les tentatives de Kylian Mbappé, l'addition aurait pu être plus lourde pour les Rouge et Noir.

Cette équipe de Rennes n'a jamais eu le sentiment qu'elle disputait une demi-finale de Coupe de France
Ce jeudi dans Rothen s'enflamme sur RMC, Jean-Michel Larqué est revenu sur la rencontre. Et si Stéphan évoquait "sa frustration de s'être fait contrer en première mi-temps", notre consultant regrettait quant à lui le manque d'ambition des Rennais dans cette partie.

"J'ai regardé quelques matchs de Rennes ces temps-ci, je dois être un chat noir car je les ai vus jouer contre Lorient à domicile (défaite 1-2) et c'était d'une mollesse incroyable. Et quand on regarde les vaincus de ces deux demi-finales de la Coupe de France, celui qui s'est le plus battu et qui s'est montré à la hauteur du rendez-vous c'est Valenciennes contre Lyon (défaite 3-0). Hier (mercredi), c'est un résultat en trompe-l'oeil. Heureusement qu'ils ont Mandanda dans cette équipe, il a la chance et le talent sur la frappe qu'il dévie sur la barre, il va chercher le penalty... Il faut que ce soit un ballon dévié par ce pauvre Omari pour faire but..."

"Je trouve que cette équipe de Rennes n'a jamais eu le sentiment qu'elle disputait une demi-finale de Coupe de France, avec des joueurs d'une passivité incroyable. Que ce soit Blas, Gouiri... Je n'ai rien vu dans cette équipe qui me laisse à penser qu'elle avait dans la tête de gêner cette équipe de Paris, qui n'a pas fait un grand match. Même à 1-0, il n'y a rien eu, même pas un peu de révolte, d'agressivité, un peu d'investissement... Cette équipe de Rennes est venue hier au Parc des Princes faire un match amical, et c'est ce que je lui reproche. Une demi-finale de Coupe de France, ce n'est pas un match amical, et les supporters bretons méritaient mieux que cette triste prestation."

Faut l’aimer le Stade Rennais : ils ont fait 12 h de car pour voir Rennes s’incliner contre Paris

Six cars de supporters rennais ont quitté le Roazhon Park, mercredi 3 avril 2024, direction Paris pour la demi-finale de Coupe de France. Nous sommes montés à l’intérieur du car Allez Rennes, pour un long voyage, très encadré.

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Dans le petit préfabriqué adossé au Roazhon Park, c’est l’heure des comptes et de la chasse aux retardataires, mercredi 3 avril 2024. Il est 13 h 30, le car affrété par le groupe de supporters Allez Rennes devrait être parti depuis une demi-heure.

Dans le bureau, les membres passent des coups de téléphone pour battre le rappel. « C’est toujours le bordel », sourit Marcel Huguet, un des piliers du groupe.

Gobelet de rosé à la main, un supporter est interpellé par Marcel Géraux, le président du groupe depuis trente ans : « Tu grimpes avec nous ? » Le sexagénaire sourit et répond : « Ah non, moi je viens juste boire un verre, je suis dans le car du Roazhon Celtic Kop (RCK). »

Marcel Géraux se marre : « Oh un fou ! Avec les jeunes c’est un peu plus agité. Faut dire qu’on n’a pas la même moyenne d’âge. » Il ajoute malicieux : « Il y a un peu plus de pression là-bas. »

Moins connu du grand public que le RCK, Allez Rennes est pourtant le plus vieux groupe de supporters rennais. « Nous avons été fondés en 1964 », raconte le président.

Le groupe compte 1 082 adhérents pour la saison 2023-2024 : « C’est 300 de plus que l’année dernière. Il y a clairement un effet coupe d’Europe. »

Sa spécialité : Les lacs du Connemara
Dans le car, qui transporte environ 80 personnes, c’est Michel, une figure du groupe, qui lance les premiers chants. « Sa vraie spécialité c’est Les Lacs du Connemara, de Michel Sardou, assure une adhérente. Il la chante quand il est chaud, même s’il ne connaît pas vraiment les paroles. » Motif d’espoir : « Chaque année, il gagne un couplet, ça progresse. »

Après quelques kilomètres, les chants s’arrêtent. Chacun reprend ses conversations. Ça parle de foot, forcément, mais aussi des bouchons sur la rocade ou du dernier faits divers dans le bourg. Certains s’endorment pendant que la sono du car enchaîne les tubes de Daniel Balavoine.

Finale ou vacances au Portugal ?
Pour passer le temps, Christian regarde les meilleurs extraits de La Grande Vadrouille sur son téléphone : « Faut l’aimer le Stade Rennais. J’en aurais fait des kilomètres en car cette année. »

Il est abonné depuis cinquante-quatre ans : « J’y allais dès 5 ans avec mon père. » Il a vécu cinq finales avec le Stade Rennais : « La première, en 1971, c’était au stade de Colombes. J’avais onze ans. Je me souviens du but de la victoire sur penalty . Je me souviens aussi qu’on était tellement serrés dans les tribunes, que les gens faisaient pipi dans leurs gobelets, faute de pouvoir accéder aux toilettes. »

À la retraite depuis peu de temps, le sexagénaire de Pont-Réan s’adonne à ses deux passions : le Stade Rennais et son camping-car. Mi-mai, il avait prévu des vacances avec sa femme au Portugal. En cas de qualification, le départ attendra. Il sera à Lille pour la finale, le 25 mai.

On ne transige pas avec le Stade Rennais : « Toutes les dates de matches sont grisées sur le calendrier. Il faut parfois négocier un peu avec madame. »

Le foot c’est comme le loto
Les kilomètres qui défilent lentement n’entament pas le moral des supporters. Tous pronostiquent la victoire du Stade Rennais. « Parce que Julien Stéphan a un plan » ; « Parce qu’on va en finale de coupe de France tous les ans cinq ans (2009, 2014, 2019, 2024 ?) » ; « Parce que le foot c’est comme le loto, on a toujours une chance au tirage. »

Escorte policière
Au péage de Saint-Arnoult, un imposant cortège de gendarmes mobiles attend les six cars de supporters (Trois du RCK, un de Allez Rennes et un des Socios). La fin du cortège se déroule sous escorte. La division nationale du hooliganisme a classé le match à risque. La préfecture de police de Paris a pris un arrêté encadrant strictement la venue des Rennais et limitant le nombre de supporters à 1 000 personnes.

Un arrêté justifié par les autorités en raison du contentieux ancien entre les supporters ultras des deux clubs. Point culminant, en 2021, un groupe affilié à des hooligans du PSG avait violemment volé la bâche du RCK chez un de ses membres, près de Rennes. Un événement qui avait précipité le groupe rennais à se mettre en sommeil plusieurs mois.

« Avec tous ces arrêtés, un jour il n’y aura plus de déplacement, regrette Christian. Parce que là c’est douze heures de car pour deux heures de match… »

Dans le stade, parqués dans une étroite bande en tribune latérale, les 1 000 Rennais ont peiné à se faire entendre face aux 47 000 supporters Parisiens. À l’image des joueurs Rouge et Noir qui ont peu existé sur le terrain (défaite 0-1).

Certains l’avaient pronostiqué. Le retour en car a dû leur sembler particulièrement long. Christian ne verra pas Lille, mais il sera plus tôt que prévu au Portugal.

Un Mandanda de classe mondiale n’a pas suffi pour bousculer le PSG

Auteur d’un grand match, avec notamment un penalty arrêté, Steve Mandanda a été la seule grande satisfaction rennaise de cette demi-finale de Coupe de France perdue face au PSG (1-0), ce mercredi, au Parc des Princes.

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Si Rennes avait réussi à créer l’exploit face au PSG mercredi soir, il aurait certainement été le héros de la soirée. Titularisé à la place de Gauthier Gallon, le gardien numéro deux qui a pris place dans le but rennais lors de chaque tour de Coupe de France jusque-là cette saison, Steve Mandanda a largement justifié le choix de Julien Stephan. Car si Rennes a quitté le Parc des Princes en ayant encaissé qu’un seul but, il le doit en grande partie à l’ancien numéro deux des Bleus derrière Hugo Lloris.

Omari furieux contre les parisiens après le coup de sifflet final

Warmed Omari, défenseur du Stade Rennais, est apparu très remonté contre des joueurs parisiens après la demi-finale de Coupe de France perdue (1-0) contre le PSG. Ses coéquipiers ont mis un long moment à le calmer.
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La tension régnait sur la pelouse du Parc des Princes après la victoire du PSG face à Rennes (1-0), mercredi en demi-finale de la Coupe de France. Warmed Omari, défenseur rennais, est apparu hors de lui alors que les joueurs des deux camps se saluaient. Le joueur a semblé en vouloir particulièrement à Kylian Mbappé avec lequel il s’était un peu accroché pendant la rencontre. Plusieurs Parisiens (Marquinhos, Hernandez, Kolo Muani) se sont interposés face au Breton qui a mis du temps avant de se calmer.

Un peu d’énervement
Le remplaçant rennais Jeanuël Belocian l’a extirpé de la mêlée en le retenant fermement, mais Omari s’est défait de l’étreinte pour retourner vers ses adversaires, en étant suivi de très près par ses partenaires et certains membres du staff visiblement inquiets d’un potentiel dérapage. Arthur Théate l’a raccompagné vers le couloir des vestiaires où la situation est restée tendue.

Interrogé sur les raisons de la colère de son joueur, Julien Stéphan, entraîneur rennais, avoue ne pas avoir tout compris. "Je ne sais pas (ce qu'il s''est passé)", a-t-il confié au micro de beIN Sports. "Un petit peu d'énervement, on va calmer tout ça. Il y avait de la frustration certainement à la fin du match. On va bien récupérer pour dimanche (à Monaco, 17h05, 28e journée de L1)."

Sur le terrain, Omari a vécu une soirée compliquée face à Kylian Mbappé. Déposé sur une première action (achevée par une frappe sur la barre de Mbappé, 12e), le défenseur rennais a ensuite concédé un penalty pour avoir retenu le maillot du champion du monde 2018 dans la surface. Une erreur sans conséquence puisque la frappe du Parisien a été repoussée par Mandanda (37e). Mais quelques minutes plus tard, Omari, encore dépassé par l’attaquant parisien, a contré sa frappe qui a pris son gardien à contre-pied (40e). Pour le seul but de la rencontre, qui envoie Paris en finale contre Lyon, le 25 mai prochain à Lille.

Pourquoi Warmed Omari s’est-il énervé à la fin de la demi-finale contre le PSG ?

Le Stade Rennais s’est incliné contre le Paris Saint-Germain, mercredi 3 avril (1-0), en demi-finale de la Coupe de France. Une rencontre à l’issue de laquelle les esprits se sont échauffés, notamment du côté de Warmed Omari.

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Warmed Omari n’a définitivement pas vécu la meilleure des soirées, mercredi 3 avril, au Parc des Princes. Alors que le Stade Rennais a laissé échapper une place en finale de Coupe de France face au Paris Saint-Germain (1-0), le défenseur central est directement impliqué sur le but de Kylian Mbappé, puisqu’il a détourné dans ses cages la frappe du Parisien. Quelques instants plus tôt, il avait déjà été à l’origine du penalty accordé au PSG, et arrêté par Mandanda devant Mbappé.

Mais la fin de la rencontre a aussi été agitée pour Warmed Omari. Le Rennais est complètement sorti de ses gonds après le coup de sifflet final. Semblant vouloir s’expliquer avec Kylian Mbappé, apparemment après un chambrage de la part du capitaine des Bleus, Omari a dû être retenu par plusieurs de ses coéquipiers, dont Arthur Theate et Alidu Seidu.

Interrogé sur cet épisode, Julien Stéphan a botté en touche. "Je ne sais pas ce qu’il s’est passé. Je peux parler du match, de ce que j’ai vu, de ce que j’ai maîtrisé. Le reste, je ne peux pas vous dire." L’entraîneur rennais a tout de même reconnu au micro de beIN Sports qu’il y avait eu "un peu d’énervement".

Mandanda sera titulaire contre le PSG en Coupe de France

Selon Le Parisien et L’Equipe, Julien Stéphan, entraîneur du Stade Rennais, va titulariser Steve Mandanda (39 ans) en demi-finale mercredi face au PSG (21h10) alors qu’il avait aligné sa doublure Gauthier Gallon lors des tours précédents dans la compétition.
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Fini le turnover dans le but rennais en Coupe de France. Selon Le Parisien et L’Equipe, Julien Stéphan va titulariser Steve Mandanda lors de la demi-finale entre le PSG et Rennes, mercredi (21h10) au Parc des Princes. Une première pour le capitaine rennais cette saison dans la compétition puisque Gauthier Gallon (30 ans), sa doublure, avait disputé les quatre matchs précédents dans leur intégralité. Arrivé de Troyes l’été dernier, Gallon était titulaire à Guingamp (0-2) en 32es, face à Marseille (1-1, 9 t.a.b. 8) en 16es, à Sochaux (1-6) en 8es, puis contre Le Puy (1-3) en quarts de finale.

Brillant lors de son dernier match au Parc
Celui qui avait fêté sa première apparition avec Rennes en Ligue Europa face au Panathainaïkos (3-1, Mandanda avait déclaré forfait en raison d’une blessure à un genou), le 9 novembre 2023, retrouvera le banc au Parc des Princes, mercredi. Selon Le Parisien, Gallon a été prévenu de ce choix très rapidement par le staff qui n’a pas voulu ménager le suspense.

La belle forme de l’ancien international français (35 sélections), retraité des Bleus depuis la dernière Coupe du monde 2022, a certainement pesé, quelques semaines après son erreur face à Lorient. Il a encore signé plusieurs arrêts décisifs à Strasbourg dimanche (2-0) malgré la défaite lors d’un non-match de ses partenaires.

Il avait aussi brillé lors de la dernière visite de Rennes au Parc des Princes, le 25 février 2024, achevée par un match nul au goût très amer (avec un penalty très discuté de Gonçalo Ramos dans le temps additionnel). Avant cela, il avait multiplié les arrêts face aux attaquants parisiens.

Arrivé à Rennes en 2022, après 13 ans passés à Marseille, l’ancien joueur du Havre est devenu un cadre dans la capitale bretonne. Il a même été promu capitaine à la place de Benjamin Bourigeaud après la nomination de Julien Stéphan comme entraîneur en remplacement de Bruno Genesio en novembre dernier.

Sous contrat jusqu’en 2025, Mandanda vise aussi, avec Rennes, le premier sacre de sa carrière en Coupe de France. Il avait disputé une finale en 2016 avec l’OM perdue… face au PSG (4-2).

Pourquoi le Stade Rennais va sortir le PSG en demi-finale

Ce mercredi 3 avril, le Stade Rennais se déplace au Parc des Princes pour défier le PSG en demi-finale de Coupe de France. Bien sûr, les Rouge et Noir ne seront pas favoris, loin de là. Pourtant, les Bretons ont des atouts en poche. Voici quatre raisons d'y croire.

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Trois jours après son "match raté", selon les propres mots du coach Julien Stephan, à Strasbourg en championnat, le Stade Rennais va affronter l’ogre, le Paris-Saint-Germain, en demi-finale de la Coupe de France (le mercredi 3 avril à 21h10 sur France 3).

Ce match semble quasi impossible à gagner, face à des joueurs du calibre de Kylian Mbappé, Lucas Hernández ou l’ex-rennais Ousmane Dembélé, entre autres. Qui plus est, la rencontre se disputera au Parc des Princes, l’antre des Parisiens.
La France du football voit déjà le PSG en finale. Il n’y a guère que les Bretons, voir que les Rennais, à croire à une qualification des « Rouge et Noir ».

Et ils ont raison. Voici pourquoi.

Parce que le Stade Rennais reste sur une retentissante victoire aux tirs au but contre elle PSG, en finale, en 2019.
Chaque supporter rennais s’en rappelle comme si c’était hier. Leur club avait alors remporté la Coupe de France en renversant le score en finale (2-2, victoire aux TàB 6-5), face au PSG de M’Bappé, Neymar ou encore Cavani.
À la tête de l’équipe bretonne à l’époque, un certain Julien Stephan. Le même coach qu’aujourd’hui. Et dans l'entre jeu, déjà, Benjamin Bourigeaud.

Parce que le PSG aura la tête à la Ligue des champions
Depuis le temps que Paris, version qatari, est obnubilé par cette compétition, elle aura à cœur de lui donner la priorité, et n’alignera peut-être pas ses meilleurs joueurs, ou ses joueurs ne joueront peut-être pas tous les coups à fond face aux Bretons.

Parce que le Stade Rennais a besoin de la Coupe de France pour se qualifier en Ligue Europa
Après sa défaite surprise à Strasbourg ce dimanche 31 mars, le Stade Rennais s’est compliqué la tâche dans sa course à une qualification pour la Coupe d’Europe via le championnat. L’équipe rennaise devra donc tout donner en Coupe de France pour remporter la compétition et ainsi obtenir son premier sésame pour l’Europe. Il faudra gagner deux matches, pas plus.

Parce que le dernier PSG-Rennes a été plutôt à l'avantage des Rouge et Noir.
Le 25 février dernier, en championnat, les Bretons se sont montrés largement à la hauteur, pour ne pas dire supérieurs aux Parisiens et auraient dû l’emporter si le PSG n’avait pas égalisé à la... 97 e minute sur un pénalty litigieux.
Donc, si comme nous, vous préférez ne retenir que ces côtés positifs, il ne vous reste plus qu'à encourager les hommes de Julien Stephan mercredi soir au Parc des Princes ou devant France 3.

Ruddy Buquet au sifflet du choc PSG-Rennes

Le Stade Rennais se déplacera à Paris pour disputer une demi-finale de Coupe de France face au PSG. Ce match sera arbitré par Ruddy Buquet, un nom qui rappelle de bons souvenirs aux Bretons.

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Ruddy Buquet officiera en tant qu'arbitre pour la demi-finale de la Coupe de France entre le Paris-Saint-Germain et le Stade Rennais. Est-ce un signe pour les Bretons ? Il y a cinq ans, c'était déjà lui qui avait arbitré la finale de la Coupe de France 2019 lors de laquelle le SRFC avait triomphé face aux Parisiens (2-2, 6-5 aux t.a.b). Un détail qui ne manquera pas de réjouir les Rennais avant leur déplacement au Parc des Princes le 3 avril prochain. D'autant plus que les joueurs parisiens auront joué le "Classico" contre l'Olympique de Marseille le week-end précédent et disputeront un match crucial en Ligue des Champions le mercredi 10 avril contre le FC Barcelone à l'occasion des quarts de finale de la compétition. Une rencontre donc déterminante tant pour la saison des Bretons que pour celle des Parisiens.

Calendrier de la Coupe de France 2024-2025

La FFF a communiqué le calendrier général de la Coupe de France pour la saison 2024-2025.

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  • 32es de finale : samedi 21 décembre 2024 (entrée des clubs de L1)
  • 16es de finale : mercredi 15 janvier 2025
  • 8es de finale : mercredi 5 février 2025
  • Quarts de finale : mercredi 26 février 2025
  • Demi-finales : mercredi 2 avril 2025
  • Finale : samedi 24 mai 2025

La finale de la 107e édition se jouera à Lille

Dans un communiqué, la Fédération Française de Football annonce que la finale de la Coupe de France se jouera à la Decathlon Arena - Stade Pierre-Mauroy de Lille, le samedi 25 mai prochain.

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On connaît le stade de la finale de la Coupe de France 2023-2024. Dans un communiqué, la Fédération Française annonce que "le Comité exécutif a désigné la Decathlon Arena - Stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d'Ascq, près de Lille (Nord/Hauts-de-France), pour être le théâtre de la finale de la 107 édition de la plus belle des compétitions de football." L’enceinte nordiste dispose d'une capacité de 50 100 places et est équipée d'une toiture amovible. L’instance précise que la rencontre, qui sera à suivre en direct sur Foot-National, sera précédée de la 70e finale de la Coupe Gambardella-Crédit Agricole, organisée en lever de rideau.

Une finale historique
La Fédération Française de Football ajoute que "Lille deviendra en effet la première ville de province à recevoir la finale de la Coupe de France depuis le coup d'envoi de l'épreuve en 1917-1918." Pour rappel, l’événement a été délocalisé du fait des travaux de préparation aux Jeux olympiques au Stade de France.

Govou tacle le Stade Rennais et un de ses fans qui juge sa carrière

Le consultant a sèchement répondu à un internaute qui le rabaissait sur les réseaux sociaux suite à la polémique le Puy Foot vs Rennes.
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Ce jeudi soir en Coupe de France, le Stade Rennais s'est qualifié pour les demi-finales de la compétition en battant le Puy Foot 43 sur le score de 3 buts à 1. Pour l'occasion, l'AS Saint-Etienne avait prêté son stade de Geoffroy Guichard afin de que la fête soit plus belle. Au final, ce sont plus de 40 000 personnes qui étaient présentes pour assister à cette rencontre certes déséquilibrée sur le papier mais qui aura quand même donné du spectacle. Problème, au sortir de cette rencontre, certains chez le Puy Foot 43 ont déploré l'attitude de Rennes, qui serait parti avec une partie de la recette générée par ce quart de finale alors qu'il est de coutume de laisser l'argent au club amateur.

Si les Bretons s'en sont montrés surpris, la polémique ne désenfle pas.

Polémique sur la recette après le Puy Foot et le Stade Rennais
Ces dernières heures, via un communiqué, le Stade Rennais indiquait notamment : "C’est avec stupéfaction et une totale incompréhension que le Stade Rennais F.C. a pris connaissance des déclarations de membres de la direction du Puy Foot 43. Soutenant le Football amateur, le SRFC, comme il l’avait déjà fait au tour précédent avec le FC Sochaux (lequel l’avait chaleureusement remercié), a une nouvelle fois reversé sa part de la recette du match de coupe de France au Puy Foot 43, ne gardant qu’une somme couvrant strictement les dépenses de son déplacement à St-Etienne. Ce geste amical nous semblait pouvoir être salué. Mais ce n’est pas le cas. Cela nous semble d’autant plus regrettable que les dirigeants auvergnats n’ont pas jugé opportun d’accueillir leurs homologues rennais comme le veut la tradition".

Mais pour le club rhodanien, tout la recette aurait dû être donnée. De quoi aussi choquer Sidney Govou, qui a posté : "Je ne suis pas pour le procès des réseaux.Ca en dit long sur le rapport entre pros et amateurs .Je ne pense pas qu’ils se rendent compte de leur geste et de l’impact que ça a sur une équipe amateur.Mais bon, comme tu l’as dit mon pote, quelle belle soirée".

Govou se paye un fan breton
Un internaute a alors rétorqué : "Sidney Govou non seulement il n’a jamais été un très grand joueur mais en plus il est tellement nul comme commentateur. Cerise sur le gâteau, il tolère l’incitation à la haine pire consultant foot ever ! T'es ridicule". Loin de se laisser démonter, l'ancien de l'OL a alors répondu sans sourciller : "J’ai plus de titre et plus de matchs en LDC que ton club mais c vrai j’étais nul. Non mais sérieux j’aime bcp Rennes! C peut être le cœur qui parle. Je suis né et j’ai grandi au puy ! Sans rancune". Voilà qui est clair et qui a eu le mérite de faire réagir par la suite.

Le président du Puy espère que Rennes va finir par laisser toute la recette de Coupe de France

Le Stade Rennais a battu l’équipe du Puy-en-Velay (3-1) ce jeudi lors des quarts de finale de Coupe de France. Le président du club de National 2 a partagé auprès de RMC Sport sa frustration après avoir vu Rennes ne pas laisser toute sa part de la recette. Mais Christophe Gauthier espère encore du changement de la part de la direction bretonne.
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Après Lyon et Valenciennes, en attendant l’affiche PSG-Nice, Rennes a tranquillement sécurisé sa qualification pour les demi-finales de Coupe de France ce jeudi. Victorieux du Puy lors d’une rencontre disputée au stade de Geoffroy-Guichard à Saint-Étienne (1-3), le club breton s’est ensuite attiré les foudres de son hôte, pensionnaire de National 2 (D4) en ne laissant pas l’intégralité de la sa part de la recette comme l’a dénoncé le directeur financier du petit poucet de la compétition.

Comme lors du tour précédent face à Sochaux (1-6), Rennes semble avoir laissé une majeure partie de ce qui lui revenait face au Puy après avoir toutefois déduit ses frais de déplacement. Joint vendredi par RMC Sport, le président ponot Christophe Gauthier a regretté cette décision des Rennais mais espère encore une volte-face.

"Incontestablement, c’est inadmissible si c’est amené à se concrétiser comme ça", a estimé le dirigeant au lendemain de l’élimination des siens. "Moi je reste encore persuadé que la direction de Rennes va juger qu’elle a fait une erreur à travers cette décision."

Une décision incompréhensible pour le club ponot
Un peu amer après le choix breton de repartir en ne laissant pas toute la recette, le président du club du Puy a rappelé qu’il aurait simplement pu inverser le tirage pour se déplacer à Rennes lors du quart de finale de Coupe de France dès lors que le stade ponot n’a pas été validé par la FFF. Mais à la place, il a voulu en faire profiter la région en jouant à Saint-Étienne.

"C’était le choix le plus simple d’aller à Rennes mais j’ai voulu faire plaisir à un département, à une région. Aujourd’hui, je me rends compte que la récompense est maigre", a encore pesté Christophe Gauthier auprès de RMC Sport. "La décision du Stade Rennais m’interpelle beaucoup et je ne comprends pas pourquoi."

Le président au puy s'en prend lui aussi à Rennes

Le président du Puy Foot 43 Christophe Gauthier s'en prend lui aussi au Stade Rennais, après la décision du club breton de prendre une partie de la recette du quart de finale de Coupe de France disputé à Saint-Étienne, ce jeudi.

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Décidément, la décision passe mal du côté du Puy. Au lendemain du quart de finale de Coupe de France (1-3) disputé à Saint-Étienne, le Stade Rennais a effectivement décidé de prendre une partie de la recette de la rencontre. Au grand dam des Ponots donc. Après le directeur financier Philippe Thiebault, c'est cette fois-ci le président du pensionnaire de National 2 Christophe Gauthier qui est monté au créneau pour dénoncer et clamer sa frustration. "Incontestablement, c’est inadmissible si c’est amené à se concrétiser comme ça. Moi je reste encore persuadé que la direction de Rennes va juger qu’elle a fait une erreur à travers cette décision", a ainsi estimé le dirigeant auprès de RMC Sport ce vendredi 1er mars.

Pour Gauthier, Rennes va revenir sur sa décision
"La décision du Stade Rennais m’interpelle beaucoup et je ne comprends pas pourquoi", a ensuite insisté Christophe Gauthier, pour qui le club professionnel devrait obligatoirement délaisser l'intégralité de la recette au club amateur. "C’est incontestablement une règle qui devrait s’imposer quand un club pro rencontre un club amateur. Il ne devrait même pas y avoir de discussion pour ça. D’autant plus que le club amateur a déboursé 180.000 euros pour accueillir le Stade Rennais parce que le stade du Puy ne pouvait accueillir cette rencontre. Rien que pour ça, cela aurait dû interpeller tout le monde", a ajouté le président auvergnat. Et ce dernier d'espérer : "Je crois que jeudi (hier, ndlr), c’est plutôt une faute de certains dirigeants présents à Geoffroy-Guichard plutôt qu’une décision de la direction de Rennes qui, à mon avis, va réfléchir sur cette décision et va revoir sa copie".

Vainqueur du Puy, Rennes, c’est carré

Vainqueur en 2019, le Stade Rennais est de retour dans le dernier carré de la Coupe de France. À Geoffroy-Guichard, où le Petit Poucet, le Puy (N2), avait dû se délocaliser, les partenaires de Benjamin Bourigeaud ont été sérieux.

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Coupe de France (quarts de finale). Le Puy-en-Velay (N2) - Rennes : 1-3
Le Stade Rennais a rapidement pris les devants face au Puy (N2), grâce à la tête puissante de Théate, coupant le corner de Bourigeaud (0-1, 9’). Si le même Bourigeaud manquait le cadre sur une demi-volée (22’), les Ponots n’étaient pas du tout ridicules, offrant de la résistance et osant. La frappe de Meyer était bien repoussée par Gallon (26’). Beneddine expédiait, lui, au-dessus son essai après une séquence collective aboutie (36’).

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