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Actualité

20 Octobre 2025

Il ne serait guère étonnant qu'Habib Beye soit le prochain entraîneur de Ligue 1 à être démis de ses fonctions . Dimanche, le Stade Rennais a encore fait un match nul (2-2), face à Auxerre, à...

Actualité

18 Octobre 2025

Le club de football du Stade Rennais a récemment conclu un accord avec la société Dataxx, marquant une avancée notable dans la manière dont les clubs gèrent la recherche et l’analyse de partenaires...

Actualité

18 Octobre 2025

La chaîne Ligue 1+ dépasse toutes les attentes en termes d'abonnés. Pourtant, en coulisses, la guerre fait rage et la survie des clubs est en jeu. C’est le paradoxe qui agite le football français....

Anciens

17 Octobre 2025

L’ancien joueur du Stade Rennais, Flavien Tait s’est engagé avec le Rodez Aveyron Football, club qu’il avait fréquenté dans les catégories jeunes. C’est la fin de l’aventure en Turquie pour Flavien...

Mercato

17 Octobre 2025

La famille Pinault met la pression sur Habib Beye, et commence déjà à scruter le marché des entraîneurs. Le Stade Rennais traverse une période délicate, et la situation d’Habib Beye devient de plus...

Mercato

17 Octobre 2025

Au cours du mercato hivernal, le Stade Rennais envisage de renforcer son effectif, notamment sur le flanc droit de la défense où plusieurs incertitudes planent. Les dirigeants bretons, conscients...

Actualité

16 Octobre 2025

Alors qu’Habib Beye semble être fragilisé du côté du Stade Rennais, son directeur sportif Loïc Désiré est sorti du bois pour éteindre l’incendie et défendre son coach. Depuis le début de la saison,...

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16 Octobre 2025

Alors que le Stade Rennais sera très attendu dimanche 19 octobre (17 h 15) au Roazhon Park contre Auxerre, son directeur sportif sort du bois. Dans un entretien accordé à Ouest-France, Loïc Désiré...

Ligue 1

16 Octobre 2025

Découvrez les arbitres qui officieront lors de la 8ème journée de Ligue 1 Stade Rennais FC - AJ Auxerre (Dimanche, 17h15) Arbitre principal : Eric WATTELIER Arbitres assistants : Ludovic REYES et...

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16 Octobre 2025

Fatimata Dembélé a été jugée au tribunal administratif de Rennes ce mercredi 15 octobre 2025, après avoir reçu un cadeau de 200.000 euros de son fils Ousmane Dembélé. Un cadeau de plusieurs...

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16 Octobre 2025

Roland Courbis sera la prochaine tête d'affiche du programme "Les héros du gazon" de France TV, dans lequel un coach professionnel, qui a de l'envergure et de l'expérience, va au chevet d'une équipe...

Mercato

16 Octobre 2025

L'OL, qui travaillait sur l'arrivée d'un joueur en qualité de joker, a obtenu le prêt gratuit du défenseur de Rennes Hans Hateboer. Le club lyonnais prendra entièrement en charge le salaire du...

Mercato

15 Octobre 2025

Pour renforcer son entrejeu, l’OGC Nice explore en coulisse la piste d’un joker au Stade Rennais. L’international finlandais Glen Kamara est visé. Le mercato hivernal n’ouvrira ses portes que le 1er...

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15 Octobre 2025

Après avoir annoncé un projet de construction d'un nouveau stade de 45 000 places à Rennes en 2024, François Pinault est finalement revenu sur sa position. Le propriétaire du Stade Rennais...

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15 Octobre 2025

Les jours de Habib Beye à Rennes seraient comptés. L’entraineur aurait reçu un ultimatum de la part de sa direction. S’il a sauvé Rennes d’une relégation la saison dernière, cette saison Habib Beye...

Mercato

15 Octobre 2025

En manque de temps de jeu, une pépite du Stade Rennais pourrait claquer la porte lors du prochain mercato hivernal. Du beau monde tourne autour de lui. Révélation du Stade Rennais la saison passée,...

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15 Octobre 2025

Au fil de cette journée du 14 octobre 2025, le marché des transferts et l’actualité des clubs français et européens ont été marqués par des rebondissements notables. L’intérêt persistant du PSG pour...

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15 Octobre 2025

D’après des informations relayées par Mohamed Toubache-Ter, la situation d’Habib Beye à la tête du Stade Rennais serait désormais très compromise. L’insider affirme que la patience de la famille...

T'en as toujours pour 12 balles mais au moins tu bouffes bien

Depuis plusieurs années, la majorité des clubs de Ligue 1 a nettement amélioré son offre de restauration au stade. Pour des raisons de confort pour le spectateur autant que pour des rentrées économiques potentielles.
T'en as toujours pour 12 balles mais au moins tu bouffes bien

Dans les travées de la Decathlon Arena, la file ne diminue pas. C'est la pause face à l'OL, le LOSC est mené mais ça n'a pas coupé l'appétit des Lillois, venus casser la croûte et s'hydrater à la buvette. Sur le comptoir s'amoncelle le trident mythique frites-burger-Coca, à côté de tenders dégageant des effluves à rendre dingue les plus gourmands. Parmi eux, Patrick, quinqua déjà abonné "quand on était encore à Grimonprez-Jooris", l'ancien antre lillois laissé à l'abandon à partir de 2004.

L'employé municipal a donc écumé les buvettes de trois stades - Grimonprez, le Stadium Nord et la Decathlon Arena. Et s'il préférait quand c'était "des vraies bières", autrement dit avec de l'alcool, il constate la très nette amélioration de "toute la bouffe" dans son stade. "Avant, t'avais un sandwich dégueulasse et une bière sans bulles pour 12 balles, grogne-t-il sous son épaisse barbe. Là, t'en as toujours pour 12 balles mais au moins tu bouffes bien." C'est cru mais à en voir les hochements de tête de ceux qui le suivent dans la longue file d'attente, l'analyse est largement partagée.

Et si le LOSC figure parmi les meilleurs élèves et a récolté ce lundi le Label Or de la LFP - comme le PSG et l'OL - pour son offre de restauration, l'élan ne se cantonne pas qu'au Nord. "On sent une évolution d'année en année, assure Lucas Pariente, fondateur de Topivo, l'un des principaux prestataires de restauration des enceintes françaises. La restauration a longtemps été le mauvais élève de l'expérience client. L'époque du sandwich blister que tu payais 10 balles est terminée."

6 000 burgers et 20 000 pintes par match
Créée il y a dix ans, Topivo gère aujourd'hui les buvettes lilloises mais aussi celles de Strasbourg, Nice et du PSG avec la même recette : des hot-dogs, burgers, frites ou encore tenders, mais avec des produits frais, locaux et préparés sur place. "En 2015, le secteur s'était lâché, déplore Pariente derrière son tablier de chef. On vendait cher des produits médiocres à des clients captifs." Exit le sandwich triangle, ses clubs misent désormais sur un burger charolais avec sa sauce maison et son cheddar affiné, reproductible à 6 000 unités pour un seul match. Et chacun a ses spécialités comme le croque welsh à Lille ou la tarte flambée à Strasbourg.

Les résultats suivent, puisque tous ces clubs ont récolté des labels Or ou Argent. "On ne mangeait jamais au stade avant le Covid, on ne prenait que des bières, confirme André, quadragénaire retrouvé pop-corn à la main dans les coursives de la Decathlon Arena, aux côtés de Lilian, 6 ans et du ketchup plein les dents. Maintenant, c'est devenu un petit rituel : au lieu d'aller au McDo après, on va à la buvette pendant." Ils ne sont pas les seuls et les chiffres le prouvent : en deux saisons, le LOSC est passé de 66 000 à 110 000 euros de recettes par match grâce à ses buvettes.

Cette explosion justifie le fait que les clients de Topivo ne soient pas les seuls à s'être repris en main. "Tous les clubs s'intéressent à la restauration depuis quelques années parce que ça fait partie de l'expérience client, remarque Véronique Adam, responsable B2C à la LFP, le pôle en charge d'augmenter les revenus de jours de match. Ils ont diversifié leur offre pour faire du bon, local, avec un prix travaillé. Et y voient aussi une source de revenus". À l'année, le marché des buvettes représente plus de 30 millions d'euros de revenus pour l'ensemble des clubs professionnels. Chez certains, la restauration rapporte même plus que le merchandising.

"On descend à 10 % de chiffre d'affaires bières quand il n'y a pas d'alcool. Et on sait que la plupart, ce sont des gens qui n'avaient pas remarqué que c'était sans alcool"

Lucas Pariente, fondateur de Topivo

Et même si l'offre de restauration y a forcément contribué, la plus grosse marge se fait évidemment sur la boisson et la sacro-sainte bière. Elle peut représenter jusqu'à 60 % du chiffre d'affaires des buvettes, avec jusqu'à 20 000 pintes versées en trois heures dans les plus grosses enceintes. Du moins lorsqu'elles sont alcoolisées.

Mur à bière et bornes de fast-food
Car depuis 2005 et la loi Evin, l'alcool est interdit dans les stades. Sauf que dans le football, chaque stade a droit à 10 dérogations par an pour pimenter ses breuvages. Et ça se ressent dans les chiffres. "On descend à 10 % de chiffre d'affaires bières quand il n'y a pas d'alcool. Et on sait que la plupart, ce sont des gens qui n'avaient pas remarqué que c'était sans alcool", atteste Pariente.

6 €
Le prix d'une bière locale ou d'un hot-dog au Havre. Le club normand a presque triplé son panier moyen en améliorant la qualité de son offre.
Ce phénomène touche encore plus les clubs les plus modestes, souvent amenés à jouer en milieu d'après-midi qu'en prime time. Une heure à laquelle on est plus prompt à s'hydrater qu'à dîner, comme le constate Dalil Chati, responsable FnB (Food and Beverages) du Havre, qui "fait 80 % de boissons". Ce qui n'empêche pas le jeune diplômé d'école de commerce d'avoir repensé toute l'offre du HAC.

"Quand je suis arrivé (en 2022), c'était vraiment pas dingue. Il n'y avait que des sandwichs froids et des boissons, rembobine-t-il. J'ai pu aller voir d'autres clubs où j'ai été très bien reçu et j'ai vu ce qu'il fallait faire pour s'améliorer." Malgré son budget - le plus faible de Ligue 1 -, le club doyen a amélioré la qualité de ses produits et internalisé la production, pour reprendre la main sur ses stands et grignoter de la marge. Le tout en apportant son lot d'innovations, comme un mur à bières ou des bornes de commande, comme au fast-food.

Une embellie qui fait souffrir les commerces alentour
"On est passé d'un service dont personne ne s'occupait et presque déficitaire à une fierté qui gagne de l'argent", se félicite Chati. Le panier moyen a ainsi explosé de 1,70 € à 4,80 €, l'un des plus hauts de Ligue 1, en trois ans. Et ce grâce à la quantité plutôt qu'à une hausse des prix, puisque la pinte de bière brassée à deux kilomètres du stade est à 6 €, le même prix qu'un hot-dog retravaillé avec des produits frais.

Car c'est là aussi que les clubs ont fait des efforts. "On ne veut pas assassiner nos spectateurs sur les prix", assure Chati, qui reste conscient que les prix sont légèrement au-dessus du marché. "Mais certains considèrent que le prix d'une bière au pied de la Tour Eiffel est logiquement plus élevé. Un Paris-Barça, c'est aussi un cadre exceptionnel et on a plus de contraintes de logistique.", justifie Pariente.

Le retour à des prix plus justes a notamment drainé des clients aux commerces alentour, les friteries et autres bistrots sur les parvis du stade, qui font presque l'intégralité de leurs ventes les jours de match. "On a un peu moins de monde depuis deux ans, reconnaît le gérant d'une échoppe proche d'un grand stade de Ligue 1. Les habitués viennent toujours prendre leurs bières avant et après mais on a de moins en moins de famille qui viennent manger un bout par exemple."

Certaines politiques font aussi mal à ces commerces, comme à Strasbourg, où les portes du stade sont ouvertes trois heures avant la rencontre et où le plus grand bar d'Europe a été érigé sous La Meinau. Résultat, les supporters s'y massent bien plus tôt, délaissant la bière de débriefing dans les bars alentour. Et ça marche : presque tous consomment au moins un produit à la buvette du stade.

D'autres ont fait le choix de collaborer avec ces enseignes. À Lens, les friteries Sensas et Momo, monuments du parvis de Bollaert-Delelis, ont désormais leurs propres stands dans l'enceinte. Un "mariage évident", selon le communiqué du club, qui a annoncé 19 "baraques" les jours de match. Parce que la recette gagnante reste la même, peu importe les stades : des frites, du gras et - si possible - des buts à célébrer.

Et à l'étranger, où en est-on ?
Si la France s'est largement améliorée ces dernières années, elle reste loin des locomotives allemandes et anglaises. En Allemagne, le panier moyen est par exemple à 10 € par supporter, contre 3,5 € en France. Ces deux voisins ont néanmoins de la bière autorisée dans les stades, contrairement à l'Espagne, où l'offre est cantonnée à la nourriture. Mais tous les Européens demeurent à des années-lumière des États-Unis, où les buvettes font partie intégrante de l'expérience et les rencontres pensées pour ça, malgré des prix absolument délirants dans les enceintes sportives. Lors du SuperBowl 2024, le panier moyen du FnB a par exemple flirté avec les 170 €.

La blessure de Frankowski bouleverse tous les plans de Beye

La trêve internationale n’a pas épargné le Stade Rennais, qui doit composer avec une absence de taille dans son effectif. Habib Beye et son staff sont confrontés à un véritable casse-tête tactique après la blessure de Przemyslaw Frankowski, victime d’une lésion aux ischios-jambiers lors de son rassemblement avec la sélection polonaise.

La blessure de Frankowski bouleverse tous les plans de Beye

Le latéral, arrivé cet été en provenance du RC Lens, s’était rapidement imposé comme un rouage essentiel dans la rotation défensive bretonne. Sa polyvalence et sa régularité avaient convaincu le staff rennais, qui voyait en lui un garant de stabilité sur le flanc droit. Son intégration express dans le système de jeu de Beye avait été saluée par de nombreux observateurs.

La blessure de Frankowski intervient à un moment particulièrement délicat pour le club. Le diagnostic médical confirmé par le staff polonais a mis fin à tout espoir de le voir participer aux prochaines échéances internationales, mais surtout, il soulève de sérieuses interrogations quant à sa disponibilité pour les rendez-vous cruciaux de Ligue 1 à venir.

La Fédération polonaise a officialisé son forfait, obligeant le joueur à rentrer prématurément en Bretagne pour entamer sa convalescence. Cette absence tombe au plus mauvais moment, alors que Rennes doit affronter l’AJ Auxerre lors de la huitième journée, un match qui s’annonce déjà déterminant pour la suite de la saison.

Face à cette situation, Habib Beye devra revoir ses plans et puiser dans ses ressources pour maintenir l’équilibre défensif de son équipe. La profondeur de banc sera mise à rude épreuve, et il faudra sans doute faire appel à des solutions alternatives pour compenser la perte de l’ancien lensois.

Le staff médical rennais adopte une approche de prudence maximale. Les ischios-jambiers, particulièrement sensibles, nécessitent un protocole de soins strict afin d’éviter toute rechute. Les premières estimations suggèrent que Frankowski pourrait manquer plusieurs semaines de compétition, mais une évaluation plus précise sera réalisée dans les prochains jours.

Cette gestion minutieuse de la récupération témoigne de la volonté du club de ne prendre aucun risque avec la santé de son joueur. Les reprises précipitées dans ce type de blessure peuvent s’avérer contre-productives et prolonger l’indisponibilité, un scénario que Rennes veut à tout prix éviter alors que les échéances s’enchaînent.

Habib Beye furieux contre les joueurs arrivant en retard à l’entraînement

Le coach de Rennes, Habib Beye, a exprimé son mécontentement face aux retards répétés de certains de ses joueurs à l’entraînement. Cette situation pourrait avoir des conséquences sur les performances de l’équipe.

Habib Beye furieux contre les joueurs arrivant en retard à l’entraînement

“Je suis très déçu par le manque de professionnalisme dont certains joueurs ont fait preuve en arrivant en retard à l’entraînement,” a déclaré Beye lors d’une conférence de presse. “Nous travaillons dur pour atteindre nos objectifs, et il est inacceptable que certains joueurs ne respectent pas les règles.”

Beye a souligné que les retards pourraient entraîner des sanctions disciplinaires, notamment des suspensions de jeu. “Nous allons prendre des mesures pour résoudre ce problème,” a-t-il averti.

Les joueurs concernés ont présenté des excuses et ont promis de faire mieux à l’avenir. Cependant, Beye reste vigilant et déterminé à maintenir une discipline stricte au sein de l’équipe.

Lille, le PSG et l'OL récompensés par la LFP pour leur offre de restauration

Le LOSC a rejoint ce lundi le PSG et l'OL au rang des labels Or de la restauration, décernés par la LFP. 21 clubs ont été récompensés au total.
Lille, le PSG et l'OL récompensés par la LFP pour leur offre de restauration

La troisième édition des labels de la restauration, organisée par la LFP, a vu un troisième club empocher l'Or. Après l'OL la première année, rejoint par le PSG en 2024, le LOSC a hérité de la meilleure récompense possible lors de cette cérémonie.

Basés sur des critères précis comme l'hygiène, la fraîcheur et la provenance des produits, ces labels visent à récompenser les clubs qui ont fait de leur offre de restauration un enjeu. Le secteur, dont la croissance économique est exponentielle, connaît une progression fulgurante depuis le début de la décennie.

Pour preuve, 21 clubs ont été récompensés, dont 10 en argent. Derrière le trio doré suivent des clubs européens, comme Nice, l'OM et Strasbourg, mais aussi des plus petits budgets, à l'instar de Pau ou Le Havre. Sur les 18 clubs de Ligue 1, seuls cinq n'ont reçu aucune récompense.

Les labels restauration en 2025

  • Or : OL, PSG, LOSC
  • Argent : Strasbourg, Nice, Marseille, Pau, Le Havre, Nantes, Saint-Étienne, Reims, Troyes, Toulouse
  • Bronze : Rennes, Annecy, Lorient, Montpellier, Amiens, Grenoble, Metz, Lens

 

Pleine Lucarne fête ses 20 ans

Pleine Lucarne fête ses 20 ans

Guillaume Cerutti nommé président du Conseil d’administration du Stade Rennais

Alban Gréget quitte le 10 octobre 2025 la présidence du Conseil d’administration du Stade Rennais et est remplacé par Guillaume Cerutti.

Guillaume Cerutti nommé président du Conseil d’administration du Stade Rennais

Guillaume Cerutti travaille auprès de la famille Pinault depuis une dizaine d’années. Il est Président de Collection Pinault et Président du Conseil d’administration de Christie’s où il a également été directeur général entre 2016 et 2025.

Le Stade Rennais, propriété d’Artémis (famille Pinault), est un club de Ligue 1 basé à Rennes. L’organisation supervise le centre d’entraînement Henri Guérin, son Académie et le siège administratif.

Un jeune formé au club est présenté comme prodige par Messi et il attire déjà l’attention des plus grands

Le football hexagonal vient de vivre un moment singulier grâce à la reconnaissance d’un de ses jeunes talents par une figure emblématique du jeu mondial. Lionel Messi, dans le cadre d’une campagne internationale orchestrée par Adidas, a personnellement désigné Kader Meïté parmi les jeunes joueurs incarnant l’avenir du football. Ce choix, loin d’être anodin, propulse le jeune Rennais de 18 ans sur le devant de la scène internationale, offrant au Stade Rennais une visibilité inédite.

Un jeune formé au club est présenté comme prodige par Messi et il attire déjà l’attention des plus grands

La sélection de Meïté par l’octuple Ballon d’Or s’inscrit dans une démarche réfléchie. Messi, réputé pour son œil avisé sur les talents émergents, a dévoilé dans une vidéo promotionnelle une série de cartes représentant les jeunes prodiges qu’il estime les plus prometteurs. Après avoir mis en avant des noms comme Nico Paz, Rodrigo Mora et Kendry Páez, il a choisi de présenter Kader Meïté, soulignant ainsi la place croissante du football français dans la sphère mondiale.

Ce rapprochement entre Messi et Meïté n’est pas uniquement symbolique. Les deux joueurs partagent un lien contractuel avec la marque aux trois bandes, ce qui crée une synergie naturelle entre eux. Mais au-delà de l’aspect commercial, cette sélection reflète la capacité de Messi à anticiper les trajectoires des futurs grands noms du football. L’inclusion de Meïté dans cette campagne mondiale confirme sa stature comme représentant de la nouvelle génération tricolore.

Formé intégralement à Rennes, Meïté incarne la réussite du modèle breton en matière de formation. Depuis ses débuts professionnels en 2024, il a déjà inscrit un but et délivré une passe décisive cette saison, des statistiques notables pour un joueur de son âge. Sa vitesse, sa percussion et sa technique raffinée font de lui un profil particulièrement suivi par les recruteurs et observateurs européens.

La maturité dont il fait preuve sur le terrain, alliée à ses qualités physiques naturelles, explique pourquoi il a su attirer l’attention de Messi. Sa polyvalence et sa capacité à s’adapter rapidement aux exigences du haut niveau confirment le potentiel décelé dès ses premiers pas chez les professionnels. Ce parcours fulgurant ne fait que renforcer la réputation du centre de formation rennais.

Le Stade Rennais, déjà réputé pour avoir révélé des joueurs comme Camavinga, Dembélé ou Doué, voit sa politique de formation validée par cette reconnaissance mondiale. Le club breton s’impose comme une référence européenne, capable de faire éclore des talents qui suscitent l’intérêt des plus grandes figures du football. Cette continuité dans l’excellence témoigne d’une philosophie et d’une méthodologie éprouvées au fil des années.

En somme, la mise en lumière de Kader Meïté par Lionel Messi constitue un signal fort pour le football français. Elle confirme la capacité du Stade Rennais à produire des joueurs d’exception, capables de s’imposer rapidement au plus haut niveau et de porter haut les couleurs françaises sur la scène internationale. Pour les connaisseurs, cette reconnaissance n’est pas un hasard, mais le fruit d’un travail de longue haleine et d’une vision claire du développement des jeunes talents.

Messi révèle les joueurs qu’il considère comme l’avenir du football et il cite un Rennais

Lionel Messi, figure emblématique du football mondial, a récemment mis en avant de jeunes talents évoluant dans différents championnats européens, dont la Ligue 1. Au cours d’une vidéo réalisée pour Adidas, l’attaquant argentin a dévoilé une sélection de joueurs qu’il considère comme des espoirs majeurs de la discipline.

Messi révèle les joueurs qu’il considère comme l’avenir du football et il cite un Rennais

Parmi les noms mentionnés par Messi, celui de Kader Meïté, jeune joueur évoluant en Ligue 1, a particulièrement retenu l’attention. Âgé de seulement 18 ans, Meïté a déjà réussi à s’illustrer cette saison en inscrivant un but et en délivrant une passe décisive en six apparitions. Il a connu ses débuts professionnels sous les couleurs du Stade Rennais en 2024 et porte également le maillot de l’équipe de France espoirs.

Messi n’a pas manqué de souligner la progression rapide de ce jeune attaquant, affirmant : "l’avenir du football." Cette déclaration place Meïté parmi un cercle restreint de joueurs scrutés de près pour leur potentiel.

La sélection de Messi inclut aussi d’autres jeunes talents tels que Nico Paz (Como), Lily Yohannes de l’Olympique Lyonnais, Mika Godts (Ajax), Rodrigo Mora (FC Porto), Kendry Páez et Andrey Santos, tous deux sous contrat avec Chelsea. Yohannes, internationale américaine de 18 ans, a elle aussi rejoint le championnat français récemment.

Une grave faute a été commise et elle a coûté cher à Beye

À Rennes, la situation s’est considérablement tendue ces derniers jours. Habib Beye, déjà sur la sellette après une série de performances décevantes, fait désormais face à une fracture au sein de son effectif. Plusieurs cadres du vestiaire semblent avoir perdu confiance en leur entraîneur, ce qui complique encore davantage sa tâche.

Une grave faute a été commise et elle a coûté cher à Beye

Le choix de Beye de confier le brassard de capitaine à Valentin Rongier, tout juste arrivé en provenance de Marseille, a été très mal perçu par certains joueurs. Seko Fofana, en particulier, aurait très mal vécu cette décision, lui qui se voyait déjà endosser ce rôle symbolique. Ce choix a eu pour conséquence d’installer une atmosphère lourde à l’entraînement, où les regards se font fuyants et la communication se raréfie.

L’entraîneur sénégalais marche désormais sur des œufs, conscient que la moindre erreur pourrait lui être fatale. Les tensions internes, qui couvaient depuis plusieurs semaines, sont désormais palpables et menacent de faire imploser le groupe.

Selon Walid Acherchour sur RMC, "J’ai l’écho que ça pue, ça sent mauvais pour Habib Beye au Stade Rennais." Cette déclaration illustre parfaitement le climat délétère qui règne actuellement au sein du club breton, où la direction a fixé un ultimatum sans équivoque.

La direction du Stade Rennais attend de Beye qu’il l’emporte face à Auxerre puis contre Nice après la trêve internationale. Dans le cas contraire, l’entraîneur devra se préparer à faire ses valises. Cette pression supplémentaire rappelle les tensions qui avaient déjà miné la fin de la saison précédente.

En interne, certains membres du club évoquent déjà un point de non-retour. Le ver est dans le fruit, et Habib Beye n’a plus le droit à l’erreur. L’avenir du technicien sénégalais semble désormais suspendu à un fil, dans un contexte où chaque décision est scrutée et potentiellement fatale.

Nouveau coup dur pour Habib Beye et la poisse continue

Le Stade Rennais doit faire face à une nouvelle difficulté avec le forfait de Przemyslaw Frankowski, victime d’une blessure aux ischio-jambiers lors du rassemblement avec la sélection polonaise. Ce nouvel incident physique inquiète particulièrement la direction et le staff bretons, alors que le joueur peine à enchaîner les rencontres depuis son arrivée, accumulant déjà plusieurs absences pour raison médicale cette saison.

Nouveau coup dur pour Habib Beye et la poisse continue

Depuis le début de la saison, Frankowski a déjà dû renoncer à trois matchs, notamment contre Lorient et Nantes, puis il était resté sur le banc lors de la rencontre face à Lens car il n’était pas jugé suffisamment remis. Cette fragilité physique soulève des questions autour de la pertinence du recrutement de ce joueur de 30 ans, censé apporter stabilité et expérience à l’effectif.

La situation rappelle celle de Seko Fofana, lui aussi pointé du doigt pour son rendement jugé insuffisant au regard de son salaire conséquent, estimé à plus de cinq millions d’euros. Les deux transferts suscitent des interrogations dans l’entourage du club quant à la gestion de l’effectif et des ressources.

Le climat interne apparaît tendu, alors que, selon RMC, “plusieurs cadres comme Brice Samba et Seko Fofana auraient pris leurs distances avec leur entraîneur”. Ce manque d’unité complique la mission de l’entraîneur Habib Beye, déjà confronté à des résultats décevants et à la fragilité physique de certains titulaires.

Face à ces difficultés, l’entraîneur rennais pourrait être contraint de revoir ses choix tactiques. Son schéma en 3-5-2, critiqué pour son manque d’efficacité des deux côtés du terrain, pourrait laisser place à une formation plus traditionnelle avec quatre défenseurs.

Le prochain match contre l’AJ Auxerre au Roazhon Park revêt ainsi une importance particulière. Un nouvel échec face à l’équipe dirigée par Christophe Pélissier pourrait mettre en péril la position de Habib Beye à la tête du Stade Rennais.

Pas de nouvel entraîneur, mais un énarque comme président

Beaucoup espéraient le changement du coach. Finalement, le remue-ménage concerne la présidence. Mais bon, on n’est pas non plus dans une révolution du palais.

Pas de nouvel entraîneur, mais un énarque comme président

En revanche, on sera surpris par le nouveau profil du nouveau dirigeant, passé par la mode et les hôtels de ventes aux enchères. Alban Gréget (ex-Essec) quitte ce jour son poste de Président du Conseil d’administration du Stade rennais F.C, explique le club breton dans un communiqué. "Il est remplacé par Guillaume Cerutti. Administrateur depuis 2018, Alban Gréget (qui quitterait le groupe Artémis) a notamment contribué activement au développement du SRFC et à sa structuration. Il a suivi le projet stratégique du centre d’entraînement Henri Guérin, de son Académie et de son siège."

Le nouveau dirigeant s’appelle Guillaume Cerutti. Il travaille auprès de la famille Pinault depuis une dizaine d’années. Il est Président de Pinault Collection et du conseil d’Administration de Christie’s, société dont il a aussi été le PDG entre 2016 et 2025. Heureux de passer de la mode au football, il a fait part de sa satisfaction. J’exprime ma reconnaissance à François Pinault et François-Henri Pinault pour la confiance témoignée. Dans mes nouvelles fonctions, je m’attacherai à représenter leur engagement et leur ambition à l’égard du Stade rennais. Je travaillerai étroitement avec les autres membres du conseil, et avec Arnaud Pouille et l’équipe de direction, pour poursuivre les projets structurants déjà lancés, et pour atteindre les objectifs sportifs attendus par le club et ses supporters.

Né à La Ciotat en 1966, diplômé de Sciences Po et de l’ENA (promotion Victor Hugo), Guillaume Cerutti a d’abord fait carrière au sein de la haute fonction publique. Passé par l’Inspection générale des finances, il devient à seulement 30 ans directeur général du Centre Pompidou (1996-2001). Il y laissera l’image d’un administrateur rigoureux, soucieux d’ouverture au public et de rayonnement international. Quelques années plus tard, il rejoint le ministère de la Culture comme directeur de cabinet de Jean-Jacques Aillagon (ex-commissaire de l’expo Pinault aux Jacobins), entre 2002 et 2004. Cette collaboration est décisive. Car c’est à cette époque que se noue la relation avec François Pinault, futur fondateur de la collection éponyme.

En 2007, le nouveau président quitte l’administration pour le marché de l’art. Il prend la tête de Sotheby’s France, qu’il redynamise en quelques années avant de devenir vice-président de Sotheby’s Europe. En 2015, il rejoint Christie’s, l’autre géant mondial du secteur, et gravit rapidement les échelons jusqu’à devenir PDG mondial en 2017. Sous sa direction, Christie’s vit une période d’expansion record : la vente du Salvator Mundi, attribué à Léonard de Vinci, pour 450 millions de dollars ; la dispersion de la collection Rockefeller ;une ouverture accrue aux marchés asiatiques et du Golfe.

Dirigeant polyglotte, homme de réseaux mais discret, l’homme est reconnu pour sa capacité à concilier l’exigence économique et la dimension culturelle de l’art. "J’ai toujours vu les maisons de ventes comme des institutions culturelles avant d’être commerciales", confiait-il en 2022 à The Art Newspaper. Le 1er février 2025, Christie’s annonce son départ de la direction opérationnelle. Quelques jours plus tard, François Pinault officialise sa nomination à la tête de la Pinault Collection, la structure qui pilote les musées et projets culturels du groupe Artémis (Bourse de Commerce – Pinault Collection à Paris, Palazzo Grassi et Punta della Dogana à Venise, ainsi que divers projets d’expositions et d’acquisitions). "La famille Pinault m’a offert l’opportunité de continuer à travailler à un autre niveau, dans une mission profondément culturelle", a-t-il déclaré lors de son entrée en fonctions. L’homme n’a aucun lien avec le couturier Nino Cerruti. Selon des proches cités dans Le Journal des Arts, il suit "le football avec intérêt, sans excès", et apprécie "les clubs qui cultivent un esprit de formation et de culture du jeu" plutôt que le bling-bling. L’ADN du Stade rennais jusqu’à présent.

Habib Beye perd son clash contre les joueurs

Après un début de saison décevant, Habib Beye se retrouve au centre des débats. L’entraîneur du Stade Rennais ne fait pas l’unanimité au sein du vestiaire où certains joueurs ne comprennent pas son management et ses choix. Sans changement dans sa gestion, le technicien risque de prendre la porte.
Habib Beye perd son clash contre les joueurs

Compte tenu du mercato réalisé cet été, Habib Beye se savait attendu au tournant. Rennes a fait le nécessaire pour lui offrir un effectif à la hauteur de ses ambitions avec de nombreux mouvements dans le sens des départs et dans celui des arrivées. Après ce coup de balai, la direction attendait forcément mieux qu’une simple 10e place au terme de la 7e journée de Ligue 1. D’autant que le contenu n’est clairement pas au rendez-vous. Et pour ne rien arranger, l’entraîneur des Rouge et Noir est critiqué au sein de son propre vestiaire.

Comme l’indiquait Daniel Riolo cette semaine, les cadres Brice Samba et Seko Fofana ne s’entendent pas avec le technicien et tentent de le pousser vers la sortie. D’autres Rennais partagent leur avis sur Habib Beye à qui l’on reproche sa rigueur qui empêcherait plusieurs éléments de se lâcher, mais aussi certains choix comme la sortie du jeune milieu Djaoui Cissé après seulement 28 minutes face au Racing Club de Lens (0-0). Bien sûr, la saison ne fait que commencer et Rennes, à seulement trois points du top 5, n’est pas décroché. C’est pourquoi le licenciement du coach n’est pas encore d’actualité.

Mais selon les informations récoltées par Jérôme Rothen, l’ancien joueur de l’Olympique de Marseille a tout intérêt à changer son mode de gestion. "En posant des questions à l'ensemble de la structure rennaise, que ce soient les joueurs, l'encadrement, ceux qui sont proches de Rennes aujourd'hui, ils disent tous une chose : si Habib Beye ne se remet pas un peu plus en question et s’il ne fait pas preuve d'un peu plus d’humilité sur certaines choses, je pense que c’est voué à l’échec", a prévenu le consultant de RMC, plutôt pessimiste pour l’avenir de l’entraîneur rennais.

Habib Beye, encore une sacrée info qui tombe à Rennes

Actuel dixième de Ligue 1, le Stade Rennais reste sur trois matchs nuls aussi frustrants que décevants en championnat avant cette trêve internationale. Situation délicate pour Habib Beye du côté de Rennes, qui avait pourtant encore sorti le chéquier durant ce mercato estival afin de renforcer considérablement son effectif.

Habib Beye, encore une sacrée info qui tombe à Rennes

Et encore plus compliquée depuis la bombe lâchée par le célèbre journaliste Daniel Riolo dans l'émission L'After Foot sur RMC, qui a affirmé que deux joueurs importants du SRFC souhaiteraient le départ de leur entraîneur, qui est actuellement sous le feu des critiques, à savoir les deux anciens lensois Brice Samba et Seko Fofana :

"Il se trouve que ça ne colle vraiment pas avec Beye. Et ces deux-là ont décidé qu'ils auraient la peu de Habib Beye. Après le match face au RC Lens, Brice Samba a été dans le vestiaire des Lensois, il y avait également Rongier mais lui soutient Habib Beye, pour tailler Habib Beye. Seko Fofana et surtout Brice Samba ont décidé que Beye c'était mort, que ce n'était pas un bon entraîneur, qu'ils n'avaient pas envie de bosser avec lui et que ça n'allait pas", a déclaré Daniel Riolo.

Voilà qui ne devrait pas arranger la situation à Rennes pour l'ancien entraîneur du Red Star. Et pour cause, malgré le timide démenti transmis à RMC de la part du club breton, Daniel Riolo maintient toujours ses propos et une autre rumeur circule déjà... Si le fond de jeu proposé par le Stade Rennais ne séduit guère en ce début de saison, il faudra suivre de très près ce qui passera durant cette période de trêve internationale. Que décideront Arnaud Pouille et Loïc Désiré ? Selon les dernières indiscrétions, un licenciement de Habib Beye ne serait pas du tout à exclure dans les jours à venir chez les pensionnaires du Roazhon Park ! Supporters des Rouge et Noir, ces autres éléments pourraient également vous intéresser, cliquez ici pour en savoir plus : Un cadeau à 13 M€ de Beye à Rennes et puis ciao ?

Rongier capitaine, l’erreur qui fait sauter Beye

Sur la sellette au Stade Rennais, Habib Beye pourrait payer au prix fort le choix d’avoir nommé Valentin Rongier capitaine cet été.
Rongier capitaine, l’erreur qui fait sauter Beye

Les prochains jours s’annoncent décisifs pour Habib Beye. En poste depuis l’hiver dernier au Stade Rennais, l’ex-capitaine de l’Olympique de Marseille est sur un siège éjectable. Les matchs nuls contre Angers, Nantes, Lens et Le Havre ne passent pas en interne, où l’entraîneur de 47 ans est de plus en plus fortement contesté. Par ses dirigeants, qui lui mettent une énorme pression pour obtenir rapidement de meilleurs résultats, mais aussi par certains de ses joueurs. Seko Fofana et Brice Samba sont par exemple très favorables à un départ d’Habib Beye et n’ont pas manqué de le faire savoir à l’état-major breton.

Selon les indiscrétions de Walid Acherchour, le choix de nommer Valentin Rongier capitaine alors que l’ancien Nantais venait d’arriver est également très mal passé auprès de certains joueurs de l’effectif dont Seko Fofana. L’international ivoirien courtisait sans doute le brassard et n’a pas digéré ce choix. Autant d’éléments qui fragilisent aujourd’hui Habib Beye, dont le départ de Rennes pourrait être acté en cas de contre-performances face à Auxerre et Nice après la trêve internationale. "J’ai l’écho que ça pue, ça sent mauvais pour Habib Beye au Stade Rennais. Après Le Havre, on lui a fait comprendre. Aujourd’hui, c’est tendu, il y a beaucoup de tensions sur son avenir" a expliqué Walid Acherchour sur les ondes de RMC avant de poursuivre.

"Rennes reçoit Auxerre et Nice après la trêve, s’il passe la trêve, il y aura un ultimatum sur les deux prochains matchs. Sur l’histoire de Fofana et Samba, j’en avais déjà parlé en fin de saison (dernière). J’avais raconté que Fofana était sorti de l’équipe après le 4-0 contre Lyon, ça a avait été compliqué dans le vestiaire entre Beye et certains joueurs. Cette saison, il était question de ramener un n°1 bis car la fin de saison de Samba n’était pas bonne. Pour le coup, heureusement que Samba fait un très bon début de saison, sinon le classement ne serait pas le même. De ce que j’ai entendu, Fofana n’a pas perçu de la meilleure des manières que Beye nomme Rongier capitaine car c’est un ancien Nantais et qu’il vient d’arriver" a lancé le chroniqueur. Des informations peu rassurantes pour l’avenir de l’ancien consultant de Canal+, lequel ne doit pas passer une trêve internationale des plus sereines pour le moment.

Nouvelles révélations sur Beye et les taupes

Pointé du doigt pour le début de saison très mitigé du Stade Rennais, Habib Beye est de plus en plus isolé au sein du club breton.
Nouvelles révélations sur Beye et les taupes

Les saisons se suivent et se ressemblent dans les rangs du Stade Rennais. Après deux campagnes ratées dans les grandes largeurs, le club breton était attendu au tournant, mais ses premiers mois dans ce nouvel exercice 2025-26 sont très contrastés. Englué en milieu de tableau, Rennes affiche un bilan qui ne correspond pas à son budget et ses ambitions. Pire, le contenu proposé est encore plus préoccupant, à l’image de la copie très insuffisante à onze contre dix pendant presque l’intégralité du match contre Lens (0-0).

Si Habib Beye affirme être conforté par sa direction, le technicien sénégalais serait aussi victime des clans du vestiaire, en particulier le groupe des anciens Lensois, incarné par Brice Samba et Seko Fofana. "Habib Beye est en difficulté à Rennes, comme à peu près tous les entraîneurs de ce club depuis des années", assure-t-il. "Pourquoi? Parce qu’il n’y a pas de pouvoir, ou que c’est un pouvoir complètement morcelé, disloqué. Genesio, ça n’a pas duré deux ans le fait qu’il soit tranquille. On a eu Stephan qui a eu la peau d’Olivier Létang auprès de la famille Pinault. Il n’y a que ça. On ne sait pas où est le pouvoir. C’est un pouvoir qui est morcelé, disloqué avec des pôles qui sont différents", a lâché Daniel Riolo sur RMC.

Habib Beye va devoir se montrer très persuasif.

Et Riolo d’apporter des précisions. "Le pôle tradi, à Rennes, c’était le pôle du père et le pôle du fils. Le pôle du père, il y a encore dedans René Ruello, Jacques Delanoë (ancien président bnon exécutif). Pour le fils, il y avait le fameux Alban Gréget, qui était très influent mais a été remplacé par Cerutti. Tous ces gens-là donnent leur avis: "fais ci, fais ça". Maintenant il y un troisième pôle familial, ce sont les petits-fils, qui sont un petit peu les deux étudiants à l’école de commerce, qui ont un boulard démesuré, qui pensent qu’ils peuvent gérer le club dès demain si on leur laisse. Ils ont regardé la télé, ils ont joué à Foot Manager sur la PlayStation, ils prennent le club demain, ils savent tout, ils peuvent tout gérer, les deux gamins. Eux aussi, ils donnent leur avis, ils interviennent."

Beye victime du "clan des Lensois"

Selon Daniel Riolo, c’est bien le "clan des Lensois" qui fragilise actuellement Habib Beye. "Le clan des Lensois, dirigé par Arnaud Pouille. Les mauvaises langues disent que les seules décisions qu’il est capable de prendre, c’est remplir les fiches de paye, de faire des transferts faramineux et de donner des salaires de malade à ces petits chouchous lensois dont Seko Fofana et Brice Samba, qui ont des salaires démesurés pour Rennes. Dans ce clan des Lensois, Pouille est plutôt effacé. Avant qu’ils prennent une décision… À l’intérieur de ce clan des Lensois, il y a deux hommes très très forts, de par le poids qu’ils ont dans le vestiaire, de par leur histoire et leur salaire, c’est Samba et Fofana", poursuit-il. "Et il se trouve que ça ne colle pas avec Beye. Et ces deux-là ont décidé qu’ils auraient la peau de Habib Beye. Après le match à Lens, Brice Samba va dans le vestiaire des Lensois – il y avait Rongier également mais lui soutient Habib Beye – pour tailler le coach. Seko Fofana et surtout Brice Samba ont décidé que Beye c’était mort, que ce n’était pas un bon coach, qu’ils n’avaient pas envie de bosser avec lui et que ça n’allait pas."

"Après le match face à Lens, ils vont dans le vestiaire de Lens comme si c’était le leur pour parler avec les anciens", conclut-il. "Ils ont le droit d’aller voir les anciens potes, ce n’est pas un problème mais si c’est pour tailler le coach, je trouve que c’est quand même un petit peu moins bien. Beye a essayé de faire des réunions avec certains joueurs, comme Fofana mais ça a été refusé. Samba et Fofana ont décidé d’avoir un petit peu sa peau. Pouille a, lui, la capacité à ne pas prendre de décisions", a ajouté le chroniqueur de l’After Foot.

S.G.S.B.

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