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Les trois plus gros diffuseurs pirates abandonnent

Impossible n'est pas Français, mais il devient de plus en plus dur pour les adeptes de Telegram de suivre la Ligue 1 de manière illégale. Les plus gros comptes passent à la trappe.

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Oui il était encore possible de regarder PSG-Rennes ce vendredi soir sans être abonnés à DAZN, mais c'est clair que désormais les comptes Telegram se font nettement plus discrets. Alors que la semaine passée encore, il était de bon ton de crier sa puissance sur les réseaux sociaux, les changements intervenus au sein de Telegram, dont le patron a récemment été interpellé en France, ont poussé les pirates à rester dans l'ombre ou même à stopper la diffusion des matchs de Ligue 1. Car dorénavant, au petit jeu du gendarme et du voleur, les gendarmes courent beaucoup plus vite. Comme le relate L'Equipe, il faut désormais 10 minutes pour faire sauter un compte illégal, là où avant, il fallait 48 heures, ce qui rendait inutile les interventions de la Ligue 1. De quoi donner des forces à ceux qui luttent contre le piratage, même si forcément, il y a encore énormément de travail.

La Ligue 1 commence à gagner des batailles

S'exprimant dans le quotidien sportif, l'un des responsables de la défense des ayants droit de la Ligue 1 et de la Premier League admet que les choses évoluent rapidement dans le bon sens. « Les trois plus gros streamers du moment, avec plus de 50 000 abonnés, ont cessé leurs activités le week-end dernier », précise Hervé Lemaire, patron de LeakID. Au total, Google aurait fait sauter près de 20.000 pages qui permettaient d'avoir le moyen de regarder la Ligue 1 sans abonnement. Le prochain grand rendez-vous pour tout le monde est prévu le dimanche 27 octobre prochain avec l'affiche OM-PSG qui va forcément susciter un intérêt énorme et une demande colossale pour pouvoir suivre le match de manière illégale. A voir si d'ici là les autorités auront encore fait des progrès pour défenseur leurs droits.

Steve Mandanda insulté par le public parisien

Il y a des antécédents qui ne s’effacent pas. Arrivé en 2022 à Rennes, Steve Mandanda restera toujours un gardien emblématique de l’Olympique de Marseille pour qui il a joué durant 14 saisons dans sa carrière. Forcément, à chacun de ses matches à Paris, le gardien de 39 ans reste ce joueur qui est une légende chez l’ennemi.

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Ce vendredi, son accueil au Parc des Princes a, de ce fait, été glacial. Lorsque le natif de Kinshasa était à l’échauffement, le virage Auteuil a entonné des chants peu élogieux à son égard : "*Mandanda, c’est une sal*e". Voilà ce qui risque d’encore plus attiser la motivation du champion du monde 2018…

Plus combatif, plus efficace, la satisfaction Ludovic Blas

Parfois décevant l’an dernier, Ludovic Blas affiche enfin des statistiques dignes de son talent et, surtout, une attitude combative.

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Il incarne le virage pragmatique du Stade Rennais. Que ce soit dans le 4-4-2 avec un milieu en losange du début de saison ou le 3-4-3 qui semble devoir perdurer désormais, Ludovic Blas est une des rares satisfactions totales chez les Rouges et Noirs. Plus combatif, le milieu est aussi plus efficace.

Julien Stéphan, qui lui avait demandé, en mars dernier, "d’être plus exigeant avec lui-même", note les progrès : "Il a fait cinq matchs, cinq matchs réguliers, ça commence à compter. Et s’il en enchaîne encore quelques-uns de ce calibre-là, on pourra dire que ça va vraiment dans le bon sens", a commenté l’entraîneur mercredi.

Blas n’a rien sacrifié sur le plan offensif. Deux fois buteur, deux fois passeur, il est aussi le joueur qui a éliminé le plus d’adversaires (17) - par un dribble, une course ou en provoquant une faute - en L1 cette saison, avec un taux de réussite de 68 %, dépassé seulement par Evann Guessand, l’attaquant niçois.

Beaucoup d’erreurs au niveau du langage corporel
"C’est ma qualité première de provoquer et de faire jouer l’équipe", a-t-il rappelé mercredi, mais il reconnaît qu’aujourd’hui, il se "livre plus pour l’équipe et (fait) beaucoup d’efforts, surtout". Il estime pourtant ne pas courir davantage… mais mieux.

L’an passé, pour sa première saison rennaise, il avait "beaucoup de volume, mais je pense qu’il y avait des courses qui étaient à retardement, donc qui ne servaient pas à grand-chose. Maintenant, j’essaie de faire les efforts le mieux possible, au bon moment", a-t-il expliqué. Blas admet également avoir travaillé pour se défaire d’une nonchalance de façade parfois interprétée comme un manque d’engagement, voire d’ambition.

"Il a toujours eu son talent et ses qualités. La question qu’on pouvait se poser, c’était qu’est-ce qu’il voulait en faire, a même relevé Stéphan. Il montre, depuis le début de la saison, une implication totale dans tous les secteurs de jeu : avec le ballon, sans le ballon, dans les courses, même sur le plan mental." "J’ai fait beaucoup d’erreurs dans le passé au niveau comportement, enfin langage corporel, je veux dire", a reconnu le principal intéressé.

Un des plus beaux souvenirs de ma carrière
Mais à "26 ans, si mon année de confirmation et d’explosion, c’est cette année, je signe", a-t-il confirmé. Stéphan voit même en lui un leader potentiel : "ça fait 10 ans qu’il joue en Ligue 1, il a plus de 300 matches, il a vocation en tout cas à montrer l’exemple."

Ce vendredi face à Paris, le Martiniquais, qui a grandi en région parisienne, aura l’occasion de confirmer cette maturité nouvelle dans le stade de ses rêves. "C’est un match spécial parce qu’il y aura ma famille au stade, et puis c’est un stade où j’allais quand j’étais plus jeune. Mon rêve, c’était de jouer au Parc des Princes", a-t-il reconnu.

Le premier but qu‘ il y a inscrit avec Guingamp en 2018 (2-2), d’une frappe fouettée de l’extérieur du gauche en pleine lucarne, fait même partie des plus beaux souvenirs de sa carrière.

Stéphan bluffé par Alidu Seidu

De passage devant les médias, Julien Stéphan a encensé les récentes performances d’Alidu Seidu.
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Alidu Seidu, arrivé de Clermont en janvier dernier, a d’abord mis du temps à s’adapter à son nouveau club. Cependant, depuis le début de la saison, le défenseur polyvalent de 24 ans s’est solidement établi dans la défense de Julien Stéphan. Son entraîneur est désormais persuadé que l’international ghanéen va devenir un joueur clé pour l’équipe.

"J’ai trouvé qu’il avait réalisé un gros match en tant que latéral gauche face à Lyon (3-0, le 18 août). Jouer à différents postes, à n’importe quel âge, ça nourrit et développe la réflexion sur le jeu. Au poste d’axe gauche, il est exposé, il faut du caractère pour ressortir le ballon et il y a une zone importante à couvrir dans le dos. Il a les qualités athlétiques et d’engagement pour pouvoir gérer ça. Il a vocation à devenir un des leaders mais aussi à exercer beaucoup de responsabilités dans le jeu collectif de l’équipe", a confié le coach breton en conférence de presse.

Les clubs veulent gratter 50 m€ à Labrune

Le groupe de travail des présidents de L1 et L2 chargé d'auditionner les comptes de la LFP veut récupérer 50 M€. Pour l'instant, la Ligue n'en a trouvé que... 10

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Ce mercredi a lieu une réunion de travail entre les équipes de la LFP et le groupe de travail des présidents de L1, dans lequel on trouve notamment Olivier Létang (LOSC) et Jean-Pierre Caillot (Stade de Reims). Ce dernier doit éplucher les comptes de la Ligue et voir à quel niveau des économies peuvent être réalisées. L'idée étant, bien évidemment, que l'argent récupéré aille dans les caisses des clubs professionnels. Mais comme l'explique L'Equipe, il y a un gros écart entre les espoirs des uns et les propositions des autres

Les présidents veulent 54 M€, la LFP propose 10 M€
Le président d'Amiens, Bernard Joannin, qui fait partie de ce groupe de travail, espère que chaque club de L2 récupèrera 1,5 M€. Ce qui fait 27 M€ au total pour la L2. La L1 voudra au moins autant, ce qui ferait 54 M€ ! Du côté de la LFP, on pense que les économies réalisées pourraient permettre de dégager... 10 M€ ! Au vu d'un tel écart, l'idée d'un plan social n'est pas à écarter, de même qu'une vente des locaux chèrement payés par Vincent Labrune et son équipe. Le président de la LFP, certes réélu mais dans la défiance générale, se sait cerné et ne peut plus refuser grand-chose.

Le PSG étrennera un nouveau maillot third rose face à Rennes vendredi

Le PSG, en association avec Jordan, a dévoilé ce mardi un nouveau maillot « third » rose pâle orné d'une bande noire. Il sera étrenné vendredi face à Rennes dans le cadre de la 6e journée de Ligue 1.
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Le Paris Saint-Germain et Jordan ont dévoilé ce mardi leur nouveau maillot « third » pour la saison 2024-2025, « une création qui symbolise l'alliance du luxe parisien et de la performance sportive ». Ce maillot rose pâle, orné d'une bande noire, « reflète l'engagement des deux marques à fusionner élégance et audace, tout en capturant l'esprit unique du club de la nouvelle génération ».

Selon le communiqué du club parisien, « le lancement de ce maillot s'accompagne d'une gamme training et lifestyle, incluant trois paires de chaussures, dont une édition spéciale de la mythique AJ1 Low, aux couleurs de la collection. Cette nouvelle collaboration entre le Paris Saint-Germain et Jordan marque le début d'une montée en gamme des produits, apportant une touche de luxe au vestiaire parisien ».

Ce nouveau maillot sera porté pour la première fois par l'équipe masculine lors du match contre Rennes, vendredi, suivi de l'équipe féminine face à Guingamp, dimanche.

Pleine Lucarne du 23/09/2024

Pleine Lucarne du 23/09/2024

Julien Stéphan, le premier entraîneur de L1 sur un siège éjectable ?

Maintenu dans ses fonctions d’entraîneur de Rennes malgré la vague de changements initiée par le propriétaire François Pinault, Julien Stéphan tarde à convaincre.

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Il s’en est fallu de peu pour que Rennes obtienne samedi son troisième succès de la saison face à Lens. Devants au score, les Bretons se sont écroulés dans les derniers instants, à l’image de Steve Mandanda, fautif sur l’égalisation artésienne signée M'Bala Nzola. À la sortie de la cinquième journée de Ligue 1, le Stade Rennais compte deux victoires, deux défaites et donc un match nul. Un bilan mitigé et un peu inquiétant quand on sait que les deux succès obtenus par le Stade Rennais ont été contre des équipes en difficultés (Lyon, Montpellier).

Ce qui frappe après cinq matchs, c’est la faiblesse mentale du groupe rennais. Un problème déjà souligné la saison dernière, et qui devrait être corrigé par le mercato estival des Rouge et Noir. Nommé cet été directeur sportif en remplacement de Florian Maurice, parti à Nice, Frédéric Massara a décidé d’opérer une profonde refonte de l’effectif.

Plusieurs cadres sont partis : Arthur Theate (Francfort, Allemagne), Benjamin Bourigeaud (Al-Duhail, Qatar), Martin Terrier (Bayer Leverkusen, Allemagne), Désiré Doué (PSG) et Enzo Le Fée (AS Rome, Italie). Ils ont été remplacés par des jeunes joueurs tels que Albert Grønbæk (Bodo Glimt, Norvège), Carlos Andrés Gomez (Real Salt Lake, Etats-Unis) ou encore Mikayil Faye (FC Barcelone, Espagne). Glen Kamara (Glasgow Rangers, Écosse) et Hans Hateboer (Atalanta Bergame, Italie) ont, quant à eux, débarqué en Bretagne pour encadrer le tout. Pour le moment, la mayonnaise n’a pas encore totalement pris.

Stefano Pioli ne signera pas
Un problème pour Julien Stéphan, dont la pertinence de son maintien à son poste a été déjà débattue cet été. Revenu à Rennes en cours de saison l’an dernier, le tacticien français n’a pas pu su empêcher la déroute des Rouge et Noir conclue par une 10e place en Ligue 1. Cet été, le nom de Stefano Pioli, proche de Frédéric Massara, a un temps circulé près de la Piverdière Il ne devrait pas ressortir de sitôt car l’ex-entraîneur de l’AC Milan s’est engagé en faveur d’Al-Nasr (Arabie Saoudite). Mais nul doute que le nouvel homme fort de Rennes prendra la décision qui s’impose si le club s'enlise trop dangereusement dans le milieu de tableau.

qui est Alex Barber, le barbier des stars ?

Alex Barber, 26 ans, est un barber en vogue sur les réseaux sociaux. Il s’est fait connaître en coiffant les joueurs du Stade rennais. Aujourd’hui, sa clientèle compte de nombreuses personnalités, pas seulement dans le milieu du foot.

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D’un geste sûr, légèrement penché, Alexandre peaufine les derniers détails du dégradé de son client du moment. Il est bien aidé dans sa tâche par les deux puissantes leds circulaires dressées sur trépieds, de part et d’autre de son espace de travail.

Entre deux coups de tondeuse, ils discutent de tout et de rien et notamment de la coupe du footballeur Adil Rami. Il passe parfois précipitamment les musiques pour en trouver une plus proche de son humeur de l’instant. Une scène presque banale, visible chez n’importe quel coiffeur. Sauf qu’Alexandre n’est pas coiffeur.

Alexandre Gautier, plus connu sur les réseaux sociaux sous le nom d’Alex Barber, est barber à domicile (barbier en anglais). Ce jeune homme au bouc soigné, vêtu d’un tee-shirt noir au logo d’une maison de luxe, tombant sur ses avant-bras tatoués, est l’artisan de nombreuses coupes de cheveux visibles sur les terrains de Ligue 1 et parfois même au-delà.

Premières coupes, dans sa chambre, chez ses parents
Alex Barber s’est fait connaître sur Instagram et Tik Tok comme le « barber du Stade rennais », à partir de 2017. Cette année-là, il coiffe Edson Mexer, un ancien joueur du club. « Il cherchait un coiffeur. Mon père le connaissait car il avait fait son déménagement. La première fois que je lui ai coupé les cheveux, c’était dans ma chambre, chez mes parents », se souvient l’entrepreneur.

Quelques mois plus tôt, il se lançait, en autodidacte. Encore étudiant à l’Institut régional sport et santé (IRSS) de Rennes (Ille-et-Vilaine), il raconte : « Un pote partait en vacances, il avait une tondeuse chez lui. J’ai regardé un tuto sur Youtube et c’était parti. J’ai commencé par couper les cheveux de mes camarades de classe. J’ai tellement aimé ça que j’ai ouvert une page Instagram dédiée. J’y postais régulièrement mes coupes. »

Satisfait de son travail, Edson Mexer parle de lui à ses coéquipiers rouges et noirs. L’effet boule de neige ne s’est jamais arrêté. Après un peu plus de trois ans passés en salon, à améliorer sa technique, il a pu, conformément à la loi, s’installer à son compte. Aujourd’hui, « je vais deux à trois fois par semaine au centre d’entraînement du stade rennais ».

Ses tondeuses se déplacent avec lui, en France, en Allemagne, en Italie… Des joueurs installés à l’étranger le font venir de Bretagne pour avoir recours à ses services. Comme Mathys Tel, joueur du Bayern Munich, qu’il est allé voir deux fois. Dont une particulièrement inoubliable, le 1er novembre 2022.

« Il m’a invité au match de ligue des champions Bayern Munich-Inter Milan. On était tout en bas, derrière les bancs des remplaçants, dans les places famille. C’était top », s’émerveille encore Alexandre, qui joue lui aussi au foot, en régional 3.

À partir de ce moment, tout le monde a commencé à me suivre
Il ne manque pas de partager ses expériences, rencontres et photos à sa communauté. Ses comptes Instagram et TikTok, alexbarber, cumulent respectivement 13 800 et 37 200 abonnés. Dans de courtes vidéos avec un fond musical, il se met en scène en train de couper, dégrader, fondre les cheveux de ses clients, célèbres ou non.

Il se doit d’être à jour sur les tendances en France et à l’étranger. « Je suis beaucoup de barber aux USA. Ils ont tout le temps des nouvelles tondeuses, des techniques de coupes différentes. J’essaye de me perfectionner au ciseau, là-bas, ils sont vraiment forts pour ça. Et puis je poste régulièrement. Il faut souvent faire des vidéos. C’est ce qui marche le mieux sur Instagram et sur Tik Tok aussi. Je gère tout moi-même avec un ami vidéaste », dévoile l’égérie de la marque Panasonic. En effet, une partie de son travail consiste à faire la promotion de la marque sur les réseaux sociaux et à évaluer les produits.

Ses abonnés virtuels sont aussi une véritable clientèle qui se presse pour avoir une place dans son fauteuil. Tous ses clients le contactent sur Snapchat et Instagram. « Il y a une semaine de délais pour avoir un rendez-vous?. J’ai même un client qui vient de Paris pour que je lui coupe les cheveux. »

Des youtubeurs et des personnalités du milieu de la musique ont, eux aussi, porté la blouse estampillée « Alexbarber ». Franglish, DJ Bens, Lebouseuh : il ne compte plus les « clients VIP ». C’est ce dernier qui a fait entrer ses réseaux sociaux dans une autre dimension. Il a longtemps été le gardien de la légendaire coupe mulet du vidéaste aux 4,5 millions d’abonnés.

Le barber fait fuiter le transfert d’un joueur
En 2022, il propose à son tour des tutoriels devenus populaires sur Tik Tok avec plusieurs centaines de milliers de vues. D’autres vidéos ont aussi fait le buzz : « Sur Tik Tok, ça avait pas mal marché quand Mexer avait marqué de la tête en finale de Coupe de France contre Paris. C’est une fierté de voir les joueurs marquer quand c’est toi qui les as coupés. »

De la même manière, Martin Terrier a marqué après avoir laissé des cheveux chez Alex Barber. « Il voulait que j’aille chez lui pour une coupe. Je lui ai dit que je ne pouvais pas, qu’il devait venir chez moi. » Une fois chez lui, il le défie : « Si tu marques au prochain match, tu seras obligé de revenir ici. Pendant deux, trois mois, il revenait tout le temps. Pour les joueurs, c’est psychologique, mental, surtout chez lui. »

Mais tout ne se passe pas toujours bien, la vie de barber influenceur réserve parfois son lot de boulette. Réputé proche des joueurs, il est suivi par de nombreux comptes de fans. « Quand Arthur Theate est arrivé à Rennes, le transfert n’était pas encore officiel. Il m’avait contacté par Jérémy Doku. Le Stade rennais n’avait pas encore communiqué et je l’avais mis en story. Ça s’est retrouvé sur Twitter. Ce n’était pas très grave, il m’a juste dit de supprimer. »

S’il n’avait pas connu ces joueurs, « ça aurait été plus difficile. Mais je suis déterminé, je pense que j’aurais réussi à en couper quelques-uns ». Il rêvait d’être footballeur professionnel, il est devenu barber. Ses « deux passions se retrouvent ».

Le prix de nos abonnements et le piratage n’ont rien à voir

Dans un entretien accordé à nos confrères de Franceinfo ce jeudi 19 septembre 2024, le directeur général de DAZN France Brice Daumin a réfuté un lien entre l’augmentation des streamings illégaux et le prix des abonnements de la plateforme pour regarder la Ligue 1. "L’augmentation des streamings illégaux en ligne n’est pas notre responsabilité", s’est-il défendu.

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DAZN nie tout lien entre l’augmentation du piratage en ligne et le prix de ses abonnements pour regarder de la Ligue 1. Dans un entretien accordé à nos confrères de Franceinfo, ce jeudi 19 septembre 2024, le directeur général de DAZN France Brice Daumin s’est défendu de l’augmentation des streamings illégaux liée aux prix des abonnements de la plateforme pour regarder la Ligue 1. "Le piratage ne concerne pas que DAZN, a-t-il indiqué au micro du présentateur de la matinale de Jérôme Chapuis. Le piratage concerne l’ensemble de l’écosystème (des sites de streaming). Il concerne tous les diffuseurs."

Ce n’est pas notre responsabilité
Et d’ajouter : "L’augmentation des streamings illégaux en ligne n’est pas notre responsabilité. Le prix et le piratage n’ont rien à voir. Le piratage n’est pas une alternative à DAZN. Certains ont dit que DAZN a encouragé le piratage, c’est comme si on disait à une marque de luxe qu’elle encourage la contrefaçon de ses propres sacs."

Face à la gronde sur le prix de ses abonnements, la plateforme de streaming a proposé une offre limitée du 10 au 22 septembre, bradant son tarif mensuel de 30 à 20 euros pour regarder notamment la Ligue 1 sur son site.

S’il n’a pas précisé son nombre d’abonnés actuel en France, Brice Daumin a expliqué que DAZN a la volonté d’atteindre les "1 million d’abonnés d’ici la fin de la saison". Dans le contrat signé avec la Ligue de football professionnel (LFP) le 30 juillet, qui lui octroie les droits de diffuser la Ligue 1 pour les cinq prochaines saisons, il est précisé que DAZN va devoir compter au moins 1,5 million d’abonnés d’ici deux ans.

Football à la française

La LFP lance ce jeudi un film de marque pour essayer de changer l'image de la Ligue 1 et tenter d'en faire une marque plus cool, pour s'éloigner du cliché de farmers league.
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Après l'interminable feuilleton de la commercialisation des droits télé de la Ligue 1 et de la Ligue 2, celui express mais intense de la réélection de Vincent Labrune à sa présidence, la Ligue de football professionnel (LFP) s'attaque désormais à son image. "La transformation du produit, comme l'a résumé Vincent Labrune mercredi après-midi face à un pool de journalistes convié au siège de la LFP pour découvrir le "film de marque" mis en ligne ce jeudi. Cela fait plus de deux ans qu'on travaille dessus autour de trois piliers forts : l'image, l'expérience et la culture."

Après avoir lancé un nouveau logo et un nouvel habillage découvert par les téléspectateurs depuis la reprise, lors de la diffusion des matches en direct sur DAZN et beIN Sports, la LFP annoncera prochainement l'arrivée de deux nouveaux trophées et récompenses individuelles "créés par un designer français de renom" et une nouvelle identité sonore. En attendant, la Ligue sort un film avec le slogan "Football à la française".

"Nous avons fait le choix de jouer sur nos différences parce que notre pays est différent, notre culture est différente, nos valeurs aussi, détaille Labrune. Nous avons donc décidé d'axer ce film sur l'un de nos points forts de notre pays et de notre football qui est la diversité, comme moteur de quelque chose qu'on veut être une excellence à la française. Pour considérer que le football français est une référence."

"Peut-être qu'on n'aura pas les meilleurs joueurs en Ligue 1 mais on peut devenir la Ligue la plus cool à suivre"

Jérôme Dumois, en charge de la transformation de la marque de la Ligue

Sans images de matches, mais avec une mise en avant des régions et de l'identité des clubs, la Ligue joue aussi la carte de l'humour, avec un clin d'oeil sur la rivalité franco-britannique. Titré "We will show you" ("On va vous montrer"), il doit définir le football à la française. "On ne se met pas à leur niveau mais si on était la "farmers league", on va essayer de se positionner avec un projet très ambitieux, à la fois sportivement et culturellement, ambitionne le président de la Ligue. On veut réussir notre entrée en culture, devenir une porte d'entrée vers le monde de la mode, du cinéma, de la musique, on veut s'ancrer dans le patrimoine national. Mais cela prend du temps, Rome ne s'est pas faite en un jour."

Première brique pour une nouvelle ère ?
Pour cela, la Ligue va aussi prochainement faire appel à de nouveaux ambassadeurs qui ne seront plus uniquement d'anciens joueurs du Championnat, mais des artistes "au sens large". "On peut kiffer notre Championnat, notre saison, nos clubs mais à la fin, on a ce problème de considération, de perception : "La Ligue 1 n'est pas sexy", résume Jérôme Dumois, en charge de la transformation de la marque de la Ligue. On a besoin de ce changement d'image, de travailler sur notre marque. Ce spot, ce n'est pas un film de pub, c'est un nouveau comportement pour insuffler ce besoin de changement. Peut-être qu'on n'aura pas les meilleurs joueurs en Ligue 1 mais on peut devenir la Ligue la plus cool à suivre."

Après une séquence compliquée pour la LFP, où la Ligue 1 est associée depuis plusieurs semaines à un coût excessif pour le consommateur, au déploiement du piratage et à une valeur de droits télé en recul, celle-ci a conscience que ce spot ne pourra pas tout gommer mais pense qu'elle peut servir de première brique à une nouvelle ère pour elle. "On veut donner les raisons nécessaires à nos fans, qu'ils soient dans les stades ou devant leurs écrans, ou pas encore devant leur écran mais en susceptibilité de l'être, d'être fiers de notre Championnat, résume Ben Morel, le DG de LFP Media. On est assez bons en France pour être dans l'autodénigrement, maintenant il faut essayer de redéfinir ce que l'on est."

Le projet fou de Vincent Labrune pour changer l’image de la Ligue 1

Ce jeudi, la LFP a dévoilé le film du "football à la française". Un film qui doit lancer l’ambitieux chantier de la Ligue pour modifier complètement l’image de la Ligue 1.
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«La Ligue 1, le football à la française». Telle est la nouvelle devise de la LFP. Pour son deuxième mandat à la tête de la Ligue, Vincent Labrune a décidé de passer la seconde pour faire du championnat français, une vraie marque. Cela avait commencé par le changement de logo de la Ligue 1 et la Ligue 2. Et ce mercredi, devant une dizaine de journalistes, le président de la LFP, fraîchement réélu, est venu présenter la suite de son projet pour développer le football français et son image. Un projet qu’il a d’ailleurs regretté de ne pas avoir lancé plus tôt, selon ses dires. «La transformation, c’est le cœur de notre projet » a-t-il d’abord lancé rappelant aussi les motivations du passage à 18 clubs en Ligue 1 et Ligue 2 : favoriser les performances des clubs français en Europe ce qui entraînera logiquement un développement de la marque football français.

Une image à revoir
Pendant plus d’une trentaine de minutes, l’ancien président de l’OM, a détaillé le nouveau projet de la LFP. S’il a expliqué vouloir baser son développement sur trois piliers (l’image, l’expérience et la culture), il a également reconnu un manque de savoir-faire par le passé et a donc décidé d’y remédier. Dans les prochaines semaines, la LFP va dévoiler un nouveau trophée pour le champion de France (fini l’Hexagoal donc ou du moins dans cette forme) et va aussi changer la musique officielle du championnat Ligue 1/Ligue 2. Depuis le début de la saison, les suiveurs de la Ligue 1 ont aussi pu remarquer un changement d’habillage des rencontres sur DAZN et BeIN. Un changement initié par la LFP. «Les gens ont pensé que c’était DAZN mais non non. C’est nous et personne n’est venu nous féliciter alors que, je trouve, c’est vraiment un beau changement même si ce sont les goûts et les couleurs», a-t-il regretté au moment d’évoquer son premier bilan.

Pour changer l’image de la Ligue 1 (et la Ligue 2), la LFP est partie d’un constat souvent évoqué dans le football ces dernières années : le désintérêt des jeunes pour le football. «Aujourd’hui, un match dure quasiment 2h. La jeunesse regarde moins. Notre objectif, c’est de faire en sorte de capter l’intérêt des jeunes 365 jours sur 365 même sans les matches. Faire en sorte de consommer la Ligue 1 toute l’année» a ainsi expliqué Vincent Labrune. Comment y arriver ? La LFP a sa petite idée et compte notamment mettre en place plus de contenus immersifs (des insides mais pas que) et mettre en avant les régions. C’est d’ailleurs le but du film dévoilé par la LFP ce jeudi à 11h et qui sera diffusé sur les chaînes diffuseurs (DAZN, beIN, Téléfoot et Tout le sport) ensuite. Un film nommé "We will show you" (ndlr : comprendre "on va vous montrer le football à la française") avec une touche d’humour contre les Anglais et la fameuse Farmers league (ndlr : la Ligue des agriculteurs/fermiers comme est appelée la Ligue 1 là-bas) pour présenter le football à la française. La LFP espère aussi mettre en avant la "Youth Culture" et cherche à se rapprocher du modèle NBA ou Premier League. Des ambassadeurs (pas tous du milieu du football) devraient débarquer. On a notamment pu apercevoir Thierry Henry dans ce mini-film. Un Hall of fame de la Ligue 1 est aussi une hypothèse alors que les clubs semblent aussi vouloir s’impliquer dans cette révolution d’image.

L’envie de tout changer
Mais cela semble encore trop léger à l’heure où l’image de la Ligue 1 est associée au fiasco des droits TV et aux nombreuses polémiques. Même si ce constat, Vincent Labrune ne veut pas en entendre parler. «Les stades sont pleins, il y a des buts, restons ambitieux et positifs. Bien sûr que ça va prendre du temps. Mais on veut mettre la Ligue 1 dans le quotidien des Français et construire avec les clubs. (…) Pour être honnête, déjà à l’époque je n’ai jamais compris le PSG bashing et le Qatar bashing alors qu’on a pu avoir des stars comme Zlatan, Neymar, Mbappé en Ligue 1. Il faut être positif avec notre Ligue 1. Moi je trouve qu’avoir eu Lens et Brest en C1, c’est bien. Il n’y a pas de racisme dans nos stades, on lutte contre l’homophobie (…) L’OL a dépensé 140 millions sur le mercato, l’OM plus de 90 millions. On a des clubs actifs», analyse Labrune qui n’a évidemment pas échappé aux questions sur le prix de l’abonnement à DAZN. Et s’il avait annoncé ne pas vouloir en parler, car ce n’était pas le but de cette présentation, il a finalement décidé de mettre les choses au clair.« Le prix de DAZN à 19,99€ (ndlr : une offre éphémère de la chaîne), ça nous va bien. Le foot français aujourd’hui, c’est moins cher que la Premier League, que la Liga ou la Bundesliga et c’est moins cher que la saison dernière même. Il n’y a que la Serie A qui est moins chère et c’est parce que DAZN est arrivé sur le marché italien avec une offre plus basse. Le seul débat qu’il doit y avoir finalement, c’est, le foot français doit être gratuit ? Et c’est une autre question ça.»

Aussi pointé du doigt pour le choix du naming de la L1 à savoir McDonalds qui n’a pas une image très reluisante (associé à la malbouffe), Vincent Labrune a tenu à insister sur la puissance de la marque (premier restaurant de France) et qui offre «un chèque de 100 millions pour 3 ans». Un problème de plus, celui du piratage important depuis le début de saison. «Ça montre aussi l’intérêt des Français pour le football français» confie Benjamin Morel, le Directeur Général de LFP Media. «C’est simple, les 5 contenus spectacles les plus piratés en France c’est : Ligue 1, Ligue 2, Ligue des Champions, Premier League, Liga. Ce n’est que du football. On sensibilise les clubs, on est en train de scier la branche sur laquelle on est assis. Des actions juridiques vont être lancées. On doit prendre exemple sur la Premier League qui a lutté contre les IPTV de manière efficace» ajoute Labrune. Entre la théorie et la pratique, il y a un monde. Mais la LFP espère réellement transformer son produit pour en faire une référence en Europe. Cela passera finalement surtout par les performances des équipes françaises en Europe (et pas que la sélection). Et Vincent Labrune en a conscience. «Depuis le Mondial 98, l’Espagne a pris 30 Coupes d’Europe, nous 0. » Un constat qui fait mal.

Stéphan justifie son nouveau système de jeu

Le coach du Stade Rennais, Julien Stéphan, compte imposer durablement son nouveau système de jeu, le 3-4-3.

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Après avoir évolué en 4-4-2 lors des trois premières journées de Ligue 1, l'entraîneur du Stade Rennais, Julien Stéphan, a décidé de changer son système de jeu contre Montpellier, passant en 3-4-3. Un changement de système qui a porté ses fruits puisque les Rennais se sont largement imposés face aux Montpelliérains (3-0).

Ça risque de durer un petit peu
En conférence de presse d'après-match, le coach rennais, qui a justifié son nouveau système de jeu, a annoncé qu'il comptait le garder pour un petit moment. "On a des latéraux offensifs, des joueurs de couloir avec grosse capacité de course. Ça nous sécurise sur le plan défensif. On sera en capacité de mieux presser comme ça aussi. Et vu le profil des joueurs offensifs, ça leur correspond. Ça ne veut pas dire que ce sera l’unique système mais ça risque de durer un petit peu."

Je ne suis pas le garant de l’identité du club, j’en suis une marque

Passeur décisif sur le deuxième but du Stade Rennais contre Montpellier (3-0) dimanche 15 septembre au Roazhon Park, le latéral droit Lorenz Assignon a vécu une semaine riche, avec aussi l’officialisation de sa prolongation de contrat jusqu’en 2028. Avec Adrien Truffert, il représente la fibre rennaise dans une équipe en pleine mutation.

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Il fait partie des « bons clients » dans une équipe où les repères ont changé. Lorenz Assignon (24 ans) a signé sa première passe décisive de la saison contre Montpellier, comme piston droit d’un système en 3-4-3 qui devrait lui convenir. Un retour de flammes pour le joueur du cru, que l’on pensait sur le départ cet été.

Que retenez-vous de ce succès assez facile contre Montpellier ?

On a marqué trois buts, on n’en a pas encaissé, le stade était plein, c’est bien ! Après, bien sûr que tout reste perfectible, d’autant plus qu’on a un nouveau système, beaucoup de nouveaux joueurs… Cela va prendre du temps, j’espère le moins possible, mais on ne peut pas être parfait. Lens samedi prochain, ce sera forcément un autre calibre. On aura aussi Paris et Monaco derrière : on a hâte de se confronter à eux, voir ce que ça va donner avec ce nouveau système, les corrections qu’on va pouvoir y apporter.

Le 3-4-3 correspond aussi bien à votre profil…

Oui, je suis un latéral assez offensif, mais franchement, à trois ou à quatre derrière, je m’adapte : tant que je joue, je suis heureux !

Il y avait besoin aussi de se rassurer défensivement sur ce match, après deux revers à l’extérieur ?

On a besoin de se rassurer partout, savoir si avec cette animation ça peut marcher, et je pense que ça a été chose faite.

« C’est ma neuvième saison ici, il faut que j’aille chercher la dixième ! »

Votre coach trouve les critiques excessives sur ce début de saison, vous trouvez qu’on est trop dur avec le Stade Rennais ?

Comment dire (Il rigole) ! Il y a eu six saisons qui ont été assez énormes, mais il ne faut pas oublier où était Rennes avant ! Maintenant, on vous a habitué à quelque chose de beau, c’est normal que vos standards soient hauts ! Cela fait longtemps que je suis ici, et on rentre dans quelque chose de nouveau.

Vous venez aussi de prolonger votre contrat jusqu’en 2028, alors qu’on vous voyait quitter le club durant le mercato…

On ne sait jamais de quoi le foot est fait (il rigole). Je suis content ! Rennes, c’est mon club, celui où j’ai débuté, c’est ma neuvième saison ici : il faut que j’aille chercher la dixième (sourire) !

Pour le club, vous devenez avec Truffert une sorte de garant de l’identité SRFC ?

Je ne pense pas être le garant, mais j’en suis une marque, je représente la formation du Stade Rennais. Le joueur que je suis devenu, c’est en partie grâce à Rennes.

Vous avez aussi le caractère jovial pour aider à fédérer un vestiaire qui doit se reconstruire ?

J’essaye d’être toujours souriant, d’intégrer au mieux les nouveaux, de leur montrer ce qu’est le club, à côté des capitaines comme Steve (Mandanda). Quand Hamari (Traoré) était là, il m’avait énormément aidé, me poussait à donner le meilleur alors que je jouais à son poste : cela m’avait aussi permis de voir d’un autre œil le rôle des anciens. Aujourd’hui, j’ai envie de faire pareil, d’aider tout le monde.

S.G.S.B.

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