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Le sapin de noël : celui qui fout souvent les boules

Indéniablement talentueux, l’attaquant du Stade Rennais, Amine Gouiri, réalise une saison conforme à celle de son club : décevante. A se demander, même, si l’Algérien n’a pas perdu la confiance au sein du club breton.

Le sapin de noël : celui qui fout souvent les boules

Un dernier match en 2024 en guise de symbole. Avec une victoire au bout, certes, mais avec un vilain coup reçu à la cheville contre le SCO d’Angers et l’incapacité à aider ses partenaires tout au long de la rencontre. Amine Gouiri, talent incarné et facilités techniques évidentes, ne doit pas être malheureux de voir se terminer l’année, lui qui paraît si loin de son rendement habituel. Lui qui avait inscrit 15 buts lors de sa première saison sous le maillot du SRFC, puis 7 la saison suivante, en Ligue 1 toujours, n’en est qu’à deux petites unités. Et une passe décisive.

Loin donc de ses standards habituels. Après le départ de Martin Terrier, l’ancien lyonnais semblait promis à un statut de leader offensif qui, regrettable évidence, ne lui a jamais été accordé. Julien Stéphan, avant de prendre la porte, l’avait d’ailleurs envoyé sur le banc de touche, préférant notamment un trio composé de Kalimuendo, Blas et Gronbaek. Et avait été on ne peut plus clair sur son attitude. « Où on l’attend tous, c’est dans la régularité. Il a des jambes, peut répéter les courses, une bonne première touche, est percutant, peut marquer des buts et faire des dernières passes, il a tout. »

Sampaoli ou le départ
Jorge Sampaoli devrait, lui, s’appuyer sur ce talent à l’état brut, recrue la plus chère de l’histoire du club rennais. A défaut, il est fort probable que l’avenir de Gouiri s’écrive loin de la Bretagne.

Le cadeau de noël du RCK pour les enfants malades

Cette année encore, le Roazhon Celtic Kop 1991 (RCK) a su mobiliser ses membres et supporters pour une noble cause.

Le cadeau de noël du RCK pour les enfants malades

Sa collecte de Noël a rencontré un franc succès, avec plus de 1?000 jouets. "Ces dons seront redistribués tout au long de l’année 2025 aux enfants hospitalisés dans les hôpitaux rennais", précise le Roazhon celtic kop sur sa page Facebook. "Ces jouets offriront, on l’espère, un peu de réconfort et de joie dans le quotidien des hospitalisés." Comme l’an passé, le RCK a organisé cette collecte pour quatre associations qui œuvrent auprès des malades : Haroz, Mille et un Sourires, un institut médico-éducatif, et Les P’tits Doudous. Une belle preuve que, même en dehors des terrains, l’esprit du Stade rennais F.C. est plus fort que jamais !

Le coach demande qu'on soit très haut

Le piston rennais Adrien Truffert, qui n'avait pas encore été décisif cette saison, a été l'un des artisans du large succès de son équipe à Bordeaux en 32e de finale de Coupe de France (4-1), en la remettant dans le bon sens.
Le coach demande qu'on soit très haut

Le Matmut Atlantique était à la fête dimanche, avec du Tino Rossi dans les enceintes, un virage sud enflammé et 19 600 spectateurs pour espérer voir Bordeaux, 4e du groupe B de N2 (avec deux matches en moins), réussir un exploit contre Rennes, puisque les Girondins en sont là. Mais les Bretons ont su retourner une situation mal embarquée, après que Sofiane Bahassa a trouvé le cadre d'une chic reprise du droit après une sortie mal négociée de Gauthier Gallon (18e), le gardien numéro deux rennais.

Sur la retenue au départ, l'équipe de Jorge Sampaoli n'a quand même pas trop douté puisque Adrien Truffert a égalisé dix minutes plus tard, de la tête, sur un centre de Lorenz Assignon (29e). On a retrouvé les deux pistons sur le troisième but rennais, une frappe de Truffert sur la barre revenue dans les pieds d'Assignon, qui n'a pas laissé filer l'occasion (75e).

Capitaine d'un jour
« Le coach demande qu'on soit très haut », soulignait Truffert, et Jorge Sampaoli a donc dû apprécier, lui qui avait désigné le gaucher capitaine en arrivant au stade, alors que Steve Mandanda était sur le banc.

Comme son club formateur, le latéral ou piston gauche a vécu une première partie de saison difficile et il finit mieux l'année. Vice-champion olympique en août, celui qui compte une sélection chez les Bleus (Danemark-France, 0-2, le 25 septembre 2022) pensait sans doute partir cet été, lui qui avait eu des sollicitations sur les mercatos précédents. Mais il est resté, sans les rendez-vous avec les Espoirs auxquels il était habitué (il a 22 ans) et avec les problèmes de Rennes.

« Ça fait partie d'une carrière, ça sert à grandir et je vais m'en servir pour être encore plus fort, assurait-il. On n'est pas là où on voudrait être, mais sur la fin de l'année, il y a un peu de mieux. Il faut faire beaucoup mieux, notamment à l'extérieur, cependant il y a des choses mises en place de bon augure pour la suite. »

Le 12e de L1 a marqué deux autres buts par Jordan James (59e), servi par Azor Matusiwa et Arnaud Kalimuendo (79e), par Jota, avec une animation plus fluide après la pause. Mais le match contre Nice (le 3 janvier, en L1) dira davantage si Rennes est en progrès.

Le verdict tombe pour Gouiri et sa durée d’indisponibilité est connue

L’attaquant de Rennes, Amine Gouiri, a dû quitter le terrain après seulement un quart d’heure de jeu lors du match contre Angers, remporté 2-0 par son équipe. Cette sortie prématurée a suscité l’inquiétude quant à une possible blessure sérieuse à la cheville pour le joueur de 24 ans.

Le verdict tombe pour Gouiri et sa durée d’indisponibilité est connue

Les examens médicaux passés par Gouiri ont dissipé ces craintes, révélant qu’il ne souffre ni d’une entorse sévère ni d’une fracture. Une nouvelle rassurante pour le jeune international algérien qui était en pleine forme avec 15 apparitions et 2 buts en Ligue 1 cette saison.

Malgré l’absence de blessure grave, Gouiri pourrait manquer le dernier match de l’année 2024. Rennes doit affronter Bordeaux en 32es de finale de la Coupe de France dimanche prochain, mais la participation de l’attaquant reste incertaine.

Cette indisponibilité temporaire constitue un coup dur pour l’équipe rennaise qui compte sur l’impact offensif de Gouiri. Toutefois, le club espère son retour rapide pour renforcer l’effectif dès la reprise après la trêve hivernale.

Le genou de Seidu opéré avec succès, nouvelles plutôt rassurantes pour Gouiri

Le Stade Rennais a annoncé lundi 16 décembre que son défenseur ghanéen Alidu Seidu avait été opéré avec succès, suite à sa rupture des ligaments croisés du genou gauche. Il n’y aurait rien de grave concernant Amine Gouiri, sorti après s’être tordu la jambe dimanche 15 décembre contre Angers.

Le genou de Seidu opéré avec succès, nouvelles plutôt rassurantes pour Gouiri

Blessé le 24 novembre lors du déplacement à Lille, le défenseur international ghanéen du Stade Rennais Alidu Seidu avait été victime d’une rupture des ligaments croisés du genou gauche. Il a été opéré avec succès lundi 16 décembre, annonce le SRFC. La phase de convalescence, rééducation et réathlétisation, va pouvoir commencer pour Seidu, dont la saison est probablement terminée.

Plus de peur que de mal, a priori, pour Amlne Gouiri. L’attaquant algérien s’était tordu la jambe suite à un choc violent avec le gardien d’Angers Fofana, dès la première mi-temps dimanche au Roazhon Park.

Les premiers examens passés par Gouiri auraient été assez rassurants. L’attaquant pourrait toutefois être forfait pour le dernier match de l’année, dimanche 22 décembre (14 h 45) à Bordeaux (N2) en 32e de finale de Coupe de France.

Les tops et les flops chez les joueurs à la trêve de Noël

Le Stade Rennais a disputé son dernier match de Ligue 1 de l’année 2024 face à Angers dimanche 15 décembre (2-0), et pour l’instant il est loin des attentes. Après 15 matches de championnat, la plupart sans saveur, voici nos principaux tops et flops depuis le début de saison parmi l’effectif Rouge et Noir.

Les tops et les flops chez les joueurs à la trêve de Noël

Même s’il lui reste encore un match à disputer en 2024 (dimanche 22 décembre à 14 h 45 à Bordeaux, en 32e de finale de Coupe de France), le Stade Rennais a joué son dernier match de Ligue 1 face à Angers dimanche (victoire 2-0). Les trois points permettent aux Rouge et Noir de remonter à la 12e place du championnat, avec 17 points en 15 matches.

Sans briller, les hommes de Jorge Sampaoli ont assuré l’essentiel contre les Angevins pour finir une première partie de saison très décevante à tous les niveaux.

Dans les résultats et dans le jeu, le SRFC se sera offert très peu de moments forts depuis la reprise de la Ligue 1 au mois d’août. Chez les joueurs, les satisfactions apparaissent très rares, alors qu’ils sont nombreux à avoir déçu, notamment chez les recrues.

Les tops
Blas, le retour en grâce

Il n’aura même pas attendu la mi-saison pour améliorer son bilan de l’exercice 2023-2024. Décisif huit fois en 42 matches la saison dernière, Ludovic Blas en est déjà à quatre buts et cinq passes décisives depuis août. Il figure d’ailleurs parmi les meilleurs passeurs de Ligue 1, à une longueur du Parisien João Neves.

Un retour en grâce pour l’ancien Nantais, qui avait terminé sa première saison rennaise dans la peau d’un remplaçant. Il fait aujourd’hui figure de leader technique d’un effectif souvent dépourvu de solutions offensives.

Seidu, stoppé en plein vol

Latéral gauche, latéral droit, axial dans une défense à deux ou à trois : le polyvalent Ghanéen a encore aidé partout en début de saison, mais avec beaucoup plus de réussite qu’au premier semestre 2024 où il avait eu du mal à trouver sa place.

Il était d’assez loin le meilleur défenseur Rouge et Noir, et l’un des rares à pouvoir faire office de leader. Sa rupture des ligaments croisés à Lille le 24 novembre, qui a certainement mis un terme à sa saison, n’en est que plus terrible.

Les flops
Mandanda, rempart fragilisé

Il y avait eu ce penalty de Mikautadze stoppé face à Lyon (3-0), alors que Rennes menait 2-0. À la première journée. Son principal fait d’arme d’une première partie de championnat qui se conjugue avec le mot impuissance.

Gardien de L1 avec le plus faible pourcentage d’arrêt (60 %), Steve Mandanda (39 ans) n’avait jamais affiché des statistiques aussi basses. N’a jamais semblé aussi neutre, avec un jeu au pied pas à la hauteur de ce que voudrait Jorge Sampaoli.

Cela ressemble à un crépuscule, et son avenir proche va être un sujet, le SRFC s’interrogeant sur l’opportunité de recruter un gardien dès le mercato d’hiver, alors que le contrat du capitaine se terminera en juin 2025.

Jota, symbole d’un recrutement raté

La plupart aurait pu figurer dans la rubrique flops. On parle des recrues de l’été, dix sans compter Ait Boudlal qui est venu en post-formation. On verra leur évolution, pour ceux qui resteront cet hiver. Mais dépenser environ 80 millions d’euros pour un tel rendu global, c’est un constat d’échec pour le directeur sportif Frederic Massara, à l’origine (avec l’assentiment de l’ex-coach Julien Stéphan) de ces choix.

Recrue « star » de l’été sur le papier, Jota est peut-être celui qui a le plus déçu, on veut dire par rapport aux attentes. Arrivé à court de forme, il a déjà mis un temps fou à pouvoir être opérationnel, puis a marqué du bas-ventre le but de l’égalisation à Brest (1-1) le 19 octobre. C’est tout.

Quasiment pas de différences, de souffle, et des entrées au mieux anonymes depuis que Sampaoli est arrivée. Le coach argentin, qui ne le considère pas à la hauteur de ce qu’il exige d’un attaquant, l’a relégué sur le banc.

Sans tambour ni trompette, le Stade Rennais a hâte de passer en 2025

À défaut d’offrir du spectacle et de l’émotion à son public pour la der’ de l’année au Roazhon Park, le Stade Rennais a été solide et efficace contre un faible Angers (2-0) dimanche 15 décembre. Dans sa situation en bas de tableau de Ligue 1, le SRFC s’en contentera, en attendant le mercato d’hiver et des jours meilleurs en 2025.

Sans tambour ni trompette, le Stade Rennais a hâte de passer en 2025

On n’a pas attendu le dernier match de l’année au Roazhon Park, dimanche, pour avoir du mal à reconnaître le Stade Rennais. On veut dire : celui d’avant, qui pensait d’abord attaque, avant de songer défense.

C’est peut-être ça aussi, le visage du SRFC structuré par Jorge Sampaoli. Tout du moins, celui qu’il est en capacité de nous offrir en cette fin décembre 2024. « On avance petit à petit, on aimerait proposer un jeu plus offensif, mais sur le chemin du rétablissement, c’est déjà bien d’engranger des points », a lancé son adjoint Diogo Meschine, préposé à la conférence de presse d’après-match, vu que l’Argentin était suspendu de banc contre Angers.

On va donc retenir l’essentiel. La victoire, infiniment précieuse par les temps qui courent, contre un concurrent direct du championnat du bas auquel ce SRFC participe en l’état : un constat que le contenu du match tend à confirmer. Rennes reste 12e, prend 4 points d’avance sur la zone rouge, en compte 7 de retard sur le top 6...

C’est aussi le 5e succès en 8 matches disputés Route de Lorient. Certes, peu de gros bras sont passés pour l’instant par la capitale de la Bretagne. Mais seize points grattés à domicile, seuls Paris, Monaco et Auxerre ont fait mieux jusqu’ici.

Le salut par le béton
Rennes a donc gagné « sale », bien aidé par l’extrême faiblesse offensive du Sco, avec un déploiement collectif nébuleux, une technique approximative, peu de mouvement, de décalages, de percussion (28 % de dribbles réussis…), de rythme. Mais des joueurs bien positionnés derrière à partir de leur système en 3-4-3, un jeu vers l’arrière rodé, et une efficacité au rendez-vous.

Pour l’intensité chère à Sampaoli, les envolées, la joie, les émotions, on attendra 2025, peut-être… « Certains joueurs comprennent vite, d’autres moins, d’autres ne comprendront jamais, balance encore Diogo Meschine. Avec le temps, j’espère qu’on va arriver à créer quelque chose de beau, comme on l’avait fait à l’OM… Aujourd’hui, on essaye d’approfondir, on apprend quelque chose de nouveau aux joueurs. Une fois que les principes seront assimilés, les joueurs se sentiront plus libérés. Les victoires aident pour cela. »

À l’écouter, cette équipe apprend donc à (re)marcher, ou à conduire, c’est selon. C’est vrai, elle ne concède pas grand-chose depuis que Sampaoli est à Rennes. Un progrès apparent, même si le niveau bas des derniers adversaires (avant Angers, Nantes et Saint-Étienne) fait relativiser. Le calendrier de janvier (Nice, Marseille, Brest, Monaco) ressemblera à un tout autre révélateur.

Dimanche, le SRFC a subi une tête hors cadre de Niane (45’), une volée hors cadre aussi d’Abdeli (76’), un coup franc rentrant de Ferhat boxé par Mandanda (81’). Point final.

On doute que cela suffise à contenter Sampaoli, mais comme il ne jure que par la sécurité et la structure dans son discours depuis qu’il est arrivé...

Les joueurs font du mieux possible…
Voir son équipe ultra-efficace, il paraît en tout cas que c’est le rêve de tout entraîneur, à l’ère du résultat roi. Gronbaek, qui avait remplacé très vite un Gouiri blessé, a planté une tête bien sentie sur un centre rentrant de Blas, au 3e ballon rennais (!) joué dans la surface angevine (1-0, 33’). Un but peu célébré...

Puis, dans les arrêts de jeu, Lefort a aidé Assignon à inscrire le but du break, sur une frappe que le défenseur du Sco a contré comme il fallait pour laisser coi Fofana (2-0, 90’+2).

7 tirs, 4 cadrés, 2 buts. Merci, au revoir. « On doit trouver d’abord un équilibre, et on a la sensation d’être plus solide, martèle Meschine. Angers était difficile à manœuvrer à l’extérieur jusque-là. Le football que Jorge aime, c’est un foot plus offensif. Les joueurs ne peuvent peut-être pas aller aussi vite dans la direction que l’on souhaiterait, mais ils font du mieux possible. »

Sampaoli et son staff réaliseraient donc ce qu’ils peuvent avec ce dont ils disposent pour l’instant, c’est-à-dire un effectif qu’ils n’ont pas choisi, au sein duquel ils ont constaté pas mal de limites. Après Bordeaux dimanche prochain en Coupe de France, ce sera l’heure du mercato…

Avant, je n’avais simplement pas eu ma chance

Très peu utilisé par Julien Stéphan, Jordan James est devenu un titulaire au Stade Rennais depuis l’arrivée de Jorge Sampaoli. Rencontré cette semaine, l’international gallois de 20 ans revient sur ce début de saison étrange à titre personnel.

Avant, je n’avais simplement pas eu ma chance

Jordan James fait partie des principaux bénéficiaires de l’arrivée de Jorge Sampaoli il y a un mois. Alors qu’il n’avait démarré aucun match depuis le début de saison sous Julien Stéphan (trois entrées en jeu contre Strasbourg, Montpellier et Lens), le milieu de terrain international gallois vient d’enchaîner deux titularisations contre Saint-Étienne et Nantes, après avoir joué toute la deuxième mi-temps à Lille pour les débuts de Sampaoli.

Le joueur de 20 ans recruté, cet été, est revenu cette semaine sur un début de saison difficile à titre personnel : "Je suis arrivé ici sans parler la langue. C’était un gros changement et j’avais besoin de temps pour m’installer. Pour un joueur de 20 ans, c’est difficile d’arriver dans une nouvelle équipe et un nouveau pays. Quand le nouveau coach est arrivé, j’ai eu une bonne discussion avec lui. Avant, je n’avais simplement pas eu ma chance. Est-ce qu’ils ne croyaient pas en moi ? Je ne sais pas, je ne peux pas vous dire. Le nouveau coach est arrivé, a cru en moi et m’a fait jouer dès le premier match où j’ai pu montrer ce que je pouvais faire."

Il nous faut encore quelques semaines
Retenu en sélection avec le Pays de Galles lors des premiers jours de Sampaoli à Rennes, James n’avait pourtant participé qu’à un entraînement avec le SRFC avant le match contre le Losc : "J’ai juste passé deux jours avec lui avant le match donc je ne m’attendais pas vraiment à jouer. Mais quand il est venu me voir à la mi-temps, je savais que c’était une opportunité que je devais saisir et je pense que je l’ai fait. J’espère pouvoir continuer dans cette voie."

Collectivement aussi, la découverte de la Ligue 1 est compliquée avec la 12e place actuelle du Stade Rennais, qui reçoit Angers Sco (15e) pour tenter de se détacher du bas de classement. Loin pour le moment, des ambitions de Jordan James, venu à Rennes dans l’idée de "lutter pour la Ligue des champions. On est déçu pour le moment, on n’est pas là où l’on voudrait être. Mais notre groupe est fort et on peut y arriver. C’est bizarre parce que l’on a de très bons joueurs qui peuvent faire mal aux adversaires, des internationaux qui jouent pour des grandes nations. Il nous faut encore quelques semaines et l’on sera très fort. On a rarement été dominé, c’était souvent un but par ci, un but par là."

Le Pays de Galles, ça signifie tout pour moi

Le milieu de terrain international gallois Jordan James a fait le grand saut cet été en quittant l’Angleterre, où il a toujours vécu, pour rejoindre le Stade Rennais. Le milieu à la double culture anglo-galloise s’est confié sur son parcours auprès de Ouest-France.

Le Pays de Galles, ça signifie tout pour moi

Lorsque l’on a comme père un ancien footballeur professionnel (Tony James, qui a joué jusqu’en D4 anglaise), est-ce une évidence de suivre le même chemin ?

Il était mon idole ! J’avais l’habitude de le regarder tous les week-ends et je voulais être comme lui. Il ne jouait pas au même poste que moi, il était défenseur central. Mais c’est quelqu’un que j’admirerai toujours, peu importe où je me situerai dans ma carrière.

Vous a-t-il poussé à percer dans le football ?

Non. Il ne m’a jamais poussé à atteindre un niveau qu’il n’avait pas atteint lui-même. Beaucoup de parents font ça, ils veulent voir leurs enfants réussir et reproduire ce qu’ils voient à la télé. Mais mon père n’a jamais été comme ça, il m’a laissé faire ce que je voulais. Je voulais faire du football 24h/24, 7j/7.

J’ai toujours voulu être comme Frank Lampard

Comment vous êtes-vous retrouvé à Birmingham City dès l’âge de huit ans ?

J’ai démarré le football à trois ou quatre ans à Pegasus, un club local d’Hereford où je suis né. À huit ans, nous sommes allés jouer un tournoi à Birmingham avec de petites équipes locales, mais aussi Aston Villa et Birmingham City. Ils ont parlé à mon père pour savoir s’ils pouvaient me mettre à l’essai pour six semaines. La saison de Birmingham démarrait plus tôt, donc j’y suis allé et ils ont voulu me signer au bout d’une semaine. Pour moi, c’était inimaginable, j’ai accepté tout de suite. L’école finissait à trois heures de l’après-midi et j’habitais à une heure de route. Je faisais le trajet directement depuis l’école, je m’entraînais, je refaisais une heure de route dans l’autre sens et il était déjà neuf ou dix heures du soir… J’ai toujours demandé à mes parents : “Pourquoi avez-vous fait ça pour moi ?” Et ils m’ont toujours répondu : “Tu suis ton rêve, c’est ce que tu as toujours voulu faire.” Je leur dois beaucoup parce qu’ils sont la raison pour laquelle je suis là aujourd’hui.

Avez-vous toujours rêvé de jouer milieu de terrain ?

Oui, j’ai toujours voulu être comme eux. Frank Lampard est celui que j’ai admiré le plus, il arrivait à être souvent dans la surface de réparation et à marquer beaucoup de buts. C’était un numéro 8 et il arrivait à attaquer et défendre. C’est quelque chose que je pensais être capable de faire.

Vous êtes né en Angleterre mais proche du Pays de Galles, et vous avez joué dans les deux sélections en étant jeune. Estimez-vous avoir une double identité ?

Je me suis toujours senti Gallois. Mon père est très fier de son pays, il est Gallois et ma mère est Anglaise. Il a toujours essayé de m’inculquer la culture galloise. Quand je joue pour le Pays de Galles, j’ai ce sentiment à l’intérieur que je ne peux pas vraiment décrire, ça signifie tout pour moi quand je représente mon pays. C’est un sentiment incroyable.

À la Coupe du monde 2022, comme si j’étais à l’intérieur d’une télé

Pourquoi avoir rejoint l’Angleterre U20 après le Pays de Galles jusqu’en U18 ?

L’opportunité s’est juste présentée. C’était une décision difficile à prendre, j’en ai parlé à mon père et il m’a dit : “C’est à toi de décider. Tu peux essayer et voir comment tu te sens.” Quand j’y suis allé, ce n’était juste pas pareil. Je n’avais pas l’impression de jouer pour mon pays et d’être à ma place, je ne sentais pas la même fierté qu’avec le Pays de Galles. J’ai joué deux matches avec eux, je suis revenu avec le Pays de Galles et je n’ai plus jamais regardé en arrière.

Vous avez vécu la Coupe du monde 2022 de l’intérieur mais en tant que réserviste. Était-ce une déception de ne pas faire partie de la liste définitive ?

Je ne pense pas que l’on puisse parler d’une déception quand on va à une Coupe du monde (rire). J’avais 18 ans, c’était incroyable, c’est comme si j’étais à l’intérieur d’une télé. J’avais parlé avec le sélectionneur Rob Page qui voulait que je vienne pour vivre cette expérience et être avec l’équipe. Ça m’a vraiment aidé à m’intégrer de pouvoir parler avec des joueurs de très haut niveau, d’apprendre à leurs côtés et de voir ce qu’est un grand tournoi, parce que c’est très différent du football de club.

Vous aviez douze ans lors de l’Euro 2016 en France où le Pays de Galles a été demi-finaliste. Est-ce votre plus grand moment en tant que supporter ?

Oui, j’avais beaucoup d’amis dans le coin, c’était le meilleur moment de notre histoire, on criait partout. C’est ce qui est super avec le Pays de Galles et c’est pourquoi j’aime ce pays, les petits moments signifient beaucoup pour nous. Nous ne sommes pas un grand pays mais quand on accomplit des choses dans un grand tournoi, c’est énorme.

"Le Bro Gozh ma zadou ? Ça m’a paru familier !"

Était-ce une décision difficile de quitter la Grande-Bretagne, ce qu’assez peu de footballeurs britanniques font ?

Oui. Quand j’ai pris la décision de venir ici, c’était un moment très important. C’est quelque chose qui fait peur, vous allez à un endroit où vous n’avez jamais été, vous ne parlez pas la langue, tout est différent. Mais je voulais tenter le coup pour découvrir quelque chose de nouveau. J’ai vécu toute ma vie à Birmingham, donc quitter le pays a été un gros changement pour moi. Je pense que les joueurs n’ont pas vraiment envie d’essayer parce que ça peut être dangereux : si vous ne jouez pas, si vous n’êtes pas heureux, c’est difficile de parler aux gens. Mais c’est un pas que je voulais franchir dans ma carrière, et les gens ont un regard différent sur vous si vous avez joué ailleurs qu’en Grande-Bretagne.

Avez-vous déjà prêté attention au Bro Gozh ma zadou, l’hymne breton adapté de l’hymne gallois et joué avant chaque match au Roazhon Park ?

Pour mon premier match à domicile, ça m’a paru familier. Quand j’ai réalisé que c’était le même air que l’hymne gallois, c’était assez spécial. Forcément, ça fait remonter des souvenirs à chaque fois que je l’entends.

Arnaud Kalimuendo et la question du neuf chez les Rouge et Noir

Avec six réalisations dont quatre penalties, Arnaud Kalimuendo est le meilleur buteur du Stade Rennais. Mais c’est un avant-centre au profil atypique, qui a besoin des autres pour exister et n’échappe pas aux critiques, notamment pour son manque de poids dans la surface. Est-il le « neuf » idoine pour ce qu’a besoin aujourd’hui le SRFC ? Il reste un attaquant très surveillé sur le marché, et un départ est possible au mercato d’hiver.

Arnaud Kalimuendo et la question du neuf chez les Rouge et Noir

Une course effrénée en sortie de banc, pour célébrer avec ses coéquipiers le but du 1-1 qui n’aura jamais existé à Nantes… L’image a fait le tour des réseaux sociaux, qui s’en sont délectés. Cela a moins embêté Arnaud Kalimuendo que la défaite dans le derby. Et cela aura eu le mérite de montrer qu’il n’est pas indifférent au sort de l’équipe…

L’avant-centre peut être critiqué, mais jamais par manque d’investissement ni d’esprit de sacrifice. Il est un « neuf » d’équipe, ce qui dessine autant ses qualités que ses défauts, à la pointe d’un onze pas assez fort collectivement pour qu’il s’épanouisse, où ses capacités de finisseur qui pèserait dans la surface sont remises en cause. « Il y a des numéros 9 en Europe qui sont capables de soulager leur équipe sur quelques ballons qui traînent… Je sais que c’est un point sur lequel je dois m’améliorer. »

Recruté cher (pour 20 millions d’euros) du temps de Bruno Genesio, pour assouvir une idée de jeu basée sur l’interconnexion entre les joueurs, Kalimuendo a constaté aussi que les temps ont changé. « Quand on voit la qualité des joueurs, il y a moyen de faire beaucoup mieux, lance-t-il. On doit faire plus en termes de volume, de connexion entre nous, c’est ce qu’on travaille chaque jour. On se doit de prendre nos responsabilités, être capable de sortir de l’ordinaire, de prendre des risques, tenter plus de choses… »

Il sera (encore) un vrai sujet de mercato en janvier
Est-il aujourd’hui, dans ce que Rennes est devenu, le profil d’avant-centre idoine, alors que Jorge Sampaoli a martelé ce vendredi qu’il attendait plus de différences individuelles de la part de ses attaquants ? « Contre Nantes, Simon a fait la différence, alors que j’estime que nous avons une équipe qui était supérieure. À Lille, il y a eu une différence individuelle de faite (par Zhegrova). Nous en avons besoin aussi, pour nous aider à gagner les matches. Nous disposons de ces joueurs, mais ils ne sont peut-être pas encore dans leur forme optimale. Ce que je leur demande, ce n’est pas seulement d’être décisif quand le résultat va dans notre sens. »

Et le coach d’enfoncer le clou : « La fonction de l’entraîneur est surévaluée : nous dépendons énormément de ces joueurs à grandes capacités, capables de faire la différence. S’ils l’avaient fait depuis le début du championnat, je ne serais sans doute pas là, et le Stade Rennais ne serait pas dans cette situation… »

Le message était destiné au moins autant à Gouiri, Jota ou Gronbaek qu’à Kalimuendo. Il ne faisait pas référence non plus aux insuffisances des défenseurs et des milieux dans la phase de construction, pour que ces attaquants ne soient pas livrés à eux-mêmes…

L’ancien du PSG en est à six buts, dont quatre penalties. Voilà quand même son meilleur temps de passage en carrière depuis la saison 2021-2022 à Lens. Il n’a jamais dépassé la barre des 15 buts par saison en club, en compte 47 en 161 matches, ce qui n’est sûrement pas assez. Mais l’international espoir n’a que 22 ans, et sa cote reste élevée sur le marché des attaquants.

Lors des deux derniers mercatos, Rennes avait refusé des offres (notamment allemandes) assez conséquentes, préférant le conserver. En janvier, alors que le club songe à recruter des joueurs dans chaque ligne, cela pourrait être différent. « Ce n’est pas la première fois que mon nom va circuler, cela ne va pas me changer », a-t-il évacué à ce sujet.

Son dernier match au Roazhon Park dimanche (17 h) lors de la réception d’Angers au Roazhon Park ? « Oh ! Je ne pense pas à ça, pas à l’avenir, mais à apporter une solution à court terme ! Je suis totalement focus sur ce que je dois faire ici. » On veut bien le croire à cet instant.

Jorge Sampaoli brise le silence sur le cas Steve Mandanda

Jorge Sampaoli sort du bois. Présent en conférence de presse ce vendredi, l’entraîneur du Stade Rennais a été invité à commenter les dernières rumeurs selon lesquelles il souhaiterait recruter un gardien pour remplacer Steve Mandanda, comme cela avait été le cas lors de leur collaboration à l’OM. D’après l’Argentin, il n’en est rien, puisqu’il a répété compter sur le champion du monde 2018.

Jorge Sampaoli brise le silence sur le cas Steve Mandanda

«Pour moi Steve réalise de bonnes performances, il n’a pas de responsabilités dans nos derniers résultats. C’est un joueur très professionnel pour qui j’ai énormément de respect, et aujourd’hui, je ne me pose pas vraiment de questions sur l’identité du gardien. S’il y a des postes sur lesquels il faudrait réfléchir, ce sont d’autres postes que celui de gardien», a déclaré l’ancien sélectionneur de l’Argentine ce vendredi, à deux jours de recevoir Angers.

Jorge Sampaoli garde Steve Mandanda

Changement de plan au Stade Rennais : Jorge Sampaoli annonce que Steve Mandanda reste le choix n°1 dans le but.

Jorge Sampaoli garde Steve Mandanda

Retournement de situation à Rennes. Alors que la tendance était à un départ de Steve Mandanda, avec la volonté de Jorge Sampaoli de recruter Walter Benitez (PSV Eindhoven), la situation a bougé en interne. Du coup, en conférence de presse, le successeur de Julien Stephan a officiellement annoncé qu’il finirait la saison avec l’ancien Marseillais, qu’il avait poussé au départ lors de son passage sur les bords de la Méditerranée.

Jorge Sampaoli : S’il y a des postes sur lesquels il faudrait réfléchir, ce sont d’autres postes que celui de gardien
« Pour moi, Steve réalise de bonnes performances. Il n’a pas de responsabilité (négative) dans les derniers résultats », a expliqué Sampaoli, qui a même dressé des louanges au capitaine du Stade Rennais. « C’est un joueur très professionnel pour qui j’ai énormément de respect et aujourd’hui, je ne me pose vraiment pas de questions sur l’identité du gardien. S’il y a des postes sur lesquels il faudrait réfléchir, ce sont d’autres postes que celui de gardien »

L’entraîneur argentin, dont le management tarde à convaincre (deux défaites et une victoire, en trois matchs sur le banc) préfère se concentrer sur le recrutement de plusieurs joueurs de champs, pour renforcer son équipe, à l’image d’Hakim Ziyech (Galatasaray).

Truffert repositionné, Jota, l’avenir de Mandanda… Ce qu’en dit Jorge Sampaoli

Alors que le Stade Rennais recevra Angers dimanche 15 décembre (17 h), l’entraîneur Jorge Sampaoli s’est exprimé face aux médias ce vendredi. Du repositionnement potentiel de Truffert dans la défense à trois contre Angers, à la gestion du mercato d’hiver et du cas Mandanda, en passant par la faible utilisation de Jota dans une attaque qui peine à faire des différences individuelles, les sujets chauds n’ont pas manqué.

Truffert repositionné, Jota, l’avenir de Mandanda…

Jorge Sampaoli a effectué un état des lieux autour de l’actualité du Stade Rennais, et les sujets d’interrogation ne manquent pas en ce moment, sur le terrain comme en dehors, alors que le club va disputer un match de bas de tableau contre Angers. Extraits :

Truffert axial gauche contre Angers
Avec la suspension de Faye, ajoutée à la blessure de Seidu, qui pour jouer en axial gauche d’une défense à trois probablement reconduite ? Utilisé à ce poste une partie de la deuxième période à Nantes, Adrien Truffert part favori, avec Nagida en piston gauche. « On pourrait aussi opter pour une défense à quatre, mais si on choisit l’option à trois défenseurs, Truffert pourrait être aligné comme axial gauche, a dit l’entraîneur ce vendredi. C’est un joueur avec une belle qualité de relance, très claire. Avec son profil de gaucher, il pourrait nous aider. »

Pourquoi Jota joue si peu
Star annoncé du dernier mercato, le Portugais a été rétrogradé depuis l’arrivée de Sampaoli, qui ne l’a pas encore titularisé et seulement utilisé 33 minutes en trois matches. « On espère que Jota va nous apporter ce déséquilibre dont on a besoin, mais jusque-là il n’est pas en pleine possession de ses moyens, se justifie l’Argentin. Pour l’équipe, j’ai besoin de joueurs qui fassent des efforts continus, défensifs ou offensifs. Je connais bien Jota depuis le Celtic, et des joueurs qui savent faire la différence en un contre un sont très importants pour nous : il a cette capacité… Je regarde tous les jours les entraînements et je finis par décider qui joue. »

Plus globalement, Sampaoli dit attendre plus de ses joueurs offensifs, dans la capacité à faire des différences individuelles et à être plus réguliers. « Ce que je leur demande, ce n’est pas seulement d’être décisif quand le résultat va dans notre sens… La fonction de l’entraîneur est surévaluée, nous dépendons énormément de ces joueurs à grandes capacités, capables de faire la différence. S’ils l’avaient fait depuis le début du championnat, je ne serais sans doute pas là, et le Stade rennais ne serait pas dans cette situation. Dimanche dernier, Nantes a gagné grâce à une action de Simon, alors que personnellement, j’estime que nous avons une équipe qui était supérieure. »

Le mercato d’hiver...
Il va démarrer début janvier et sera agité au SRFC, avec du mouvement potentiel dans toutes les lignes, arrivées comme départs… Des discussions et prises de contacts ont déjà commencé, même si Sampaoli botte pour l’instant en touche : « Nous allons commencer à discuter après Angers et avant le match de Coupe (à Bordeaux le 22 décembre), avec la direction sportive. Nous allons échanger sur les besoins, la qualité actuelle de l’effectif. Des arrivées de qualité nous aideraient, des joueurs consolidés, de bon niveau, mais le marché d’hiver n’est pas facile. Souvent, les meilleurs joueurs ne sont pas disponibles. Selon le diagnostic qu’on va réaliser, on va travailler pour consolider ce groupe. »

…Et le cas Mandanda
Le poste de gardien de but pourrait aussi faire partie de l’équation du mercato. Se poserait en interne la question de recruter dès cet hiver ou cet été, à la fin du contrat de Mandanda.

Comme annoncé précédemment, un point sera fait entre le club et le capitaine à Noël. Mais officiellement, Sampaoli n’en fait pas un sujet : « Mandanda fait de bonnes performances. Sur les trois matchs que j’ai dirigés, il n’a pas de responsabilité dans ces résultats. Sur la suite de sa carrière, ça dépend aussi de sa décision. C’est un joueur très professionnel, envers qui j’ai énormément de respect. Je ne me pose pas vraiment de questions sur l’identité du gardien aujourd’hui. S’il y a des responsabilités, des postes sur lesquels il faut avoir une réflexion, ce sont sur d’autres postes. »

Onze joueurs et un entraîneur suspendus par la commission de discipline

Le communiqué de presse de la commission de discipline de la LFP du 11/12/2024
Onze joueurs et un entraîneur suspendus par la commission de discipline

Un match de suspension ferme et un match avec sursis

  • Mikayil FAYE (Stade Rennais FC)

14e journée de Ligue 1 McDonald’s : FC Nantes – Stade Rennais FC du 8 décembre 2024
Comportement de M. Jorge SAMPAOLI, Entraîneur du Stade Rennais FC

Un match de suspension ferme et un match avec sursis de banc de touche, de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles.

Un match ferme à la suite d’un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1 McDonald’s, Coupe de France, Trophée des Champions) ou par révocation du sursis. La sanction prendra effet à partir du mardi 17 décembre 2024 à 0h00.

  • Zakaria ABOUKHLAL (Toulouse FC)
  • Benjamin ANDRE (LOSC Lille)
  • Valentin ATANGANA (Stade de Reims)
  • Hicham BOUDAOUI (OGC Nice)
  • Duje CALETA – CAR (Olympique Lyonnais)
  • Cristian CASSERES (Toulouse FC)
  • Modibo SAGNAN (Montpellier Hérault SC)
  • Enzo TCHATO (Montpellier Hérault SC)
  • Jordan TEZE (AS Monaco)
  • Hamed TRAORE (AJ Auxerre)

Sampaoli est arrivé, il vit un cauchemar à Rennes

Jorge Sampaoli a déjà pris des décisions fortes depuis son arrivée il y a plus d'un mois. Rennes misait beaucoup sur Jota, qui voit son temps de jeu s'effondrer.

Sampaoli est arrivé, il vit un cauchemar à Rennes

Un changement d’entraineur fait forcément des ravis et des mécontents dans un vestiaire. Le Stade Rennais avait décidé de réaliser un mercato cosmopolite et dirigé vers l’étranger principalement l’été dernier. Au final, l’équipe bretonne manque clairement de leader, et de liant. La perte de Benjamin Bourigeaud risque de mettre longtemps à être digérée à ce niveau. Sur le papier, les « Rouge et Noir » ont pourtant de solides arguments, avec même quelques joueurs qui devaient éclabousser la Ligue 1 de leur talent. Cela devait être le cas pour Jota, revenu d’Arabie Saoudite. Star du Celtic Glasgow, le Portugais avait rejoint Al-Ittihad pour 25 ME à l’été 2023. Reparti un an plus tard vers Rennes pour 7 millions d’euros, le joueur formé au Benfica Lisbonne a eu du mal à démarrer, avant de trouver sa place sous Julien Stéphan. Mais avec l’arrivée de Jorge Sampaoli, il a totalement disparu de la circulation.

Jota première victime du mercato ?
De quoi désoler la presse écossaise, qui se souvient avec nostalgie à quel point il avait marqué l’histoire du Celtic lors de ses deux années de présence, avec 28 buts en 83 matchs. Pour le Daily Record, le Portugais vit un véritable « cauchemar » à Rennes désormais, et le fait qu’il soit victime des choix du nouvel entraineur ne lui laisse pas beaucoup de perspectives positives pour l’avenir. De là à envisager un départ dès cet hiver, il y a encore un pas. Mais le Stade Rennais va tout de même devoir faire un ménage à la sauce Sampaoli pour redresser la barre et donner à son nouvel entraineur argentin un effectif plus proche de ce qu’il recherche.

S.G.S.B.

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