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Il ne serait guère étonnant qu'Habib Beye soit le prochain entraîneur de Ligue 1 à être démis de ses fonctions.
Dimanche, le Stade Rennais a encore fait un match nul (2-2), face à Auxerre, à l’occasion de la huitième journée de Ligue 1. Le quatrième consécutif en Ligue 1.
En avançant comme un escargot, le club breton n’arrive pas à décoller du milieu de tableau dans lequel il est englué. Surtout, Habib Beye fait l’objet de nombreuses critiques.
« Sur le constat, on voit bien que ça ne colle pas, qu’il y ait eu embrouille avec les joueurs ou pas, et il y a eu embrouille. Quand tu ne bats pas Auxerre, il y a clairement un souci », a jugé Daniel Riolo, hier soir, sur les ondes de RMC.
Habib Beye sur la sellette
Deux joueurs en particulier, Brice Samba et Seko Fofana, ne s’entendraient pas avec le technicien de 47 ans. Le gardien de but et le milieu de terrain auraient même poussé en coulisses pour le faire partir.
« C’est un entraîneur qui a à sa disposition des moyens, des bons joueurs, poursuit le journaliste sportif. En aucun cas, il ne doit livrer ces prestations depuis le début de la saison. » Un sursaut est clairement attendu dimanche au Roazhon Park, pour la réception de l’OGC Nice, à l’occasion de la neuvième journée de Ligue 1.
Le club de football du Stade Rennais a récemment conclu un accord avec la société Dataxx, marquant une avancée notable dans la manière dont les clubs gèrent la recherche et l’analyse de partenaires commerciaux. Cette société française est reconnue pour ses solutions basées sur l’intelligence artificielle, destinées à optimiser la prospection et la gestion des sponsors dans le secteur sportif.

En devenant le premier club hexagonal à intégrer la technologie développée par Dataxx, le Stade Rennais entend moderniser sa stratégie de sponsoring. La plateforme va permettre d’identifier de façon automatisée les entreprises susceptibles de devenir des partenaires, aussi bien sur le plan local que national. Cette démarche vise à renforcer la pertinence des liens établis entre le club et ses potentiels sponsors, tout en s’appuyant sur des critères précis.
La technologie de Dataxx analyse en effet différents aspects des entreprises ciblées, notamment leurs signaux économiques, leur engagement en matière de responsabilité sociétale (RSE) ainsi que leur expérience passée dans le sponsoring sportif. Cette capacité de qualification, basée sur des données objectives, doit permettre au club de mieux cibler ses démarches et d’optimiser ses chances de réussite lors des négociations commerciales.
Un autre atout majeur de cette plateforme réside dans l’accès direct aux contacts décisionnaires au sein des sociétés sélectionnées. Cette fonctionnalité vise à raccourcir les délais généralement observés dans le processus de conversion commerciale, facilitant ainsi la conclusion de nouveaux accords de sponsoring pour le Stade Rennais.
Cette entente représente, selon les informations disponibles, la première incursion de Dataxx dans le monde du football professionnel français. Pour le club breton, il s’agit également d’un moyen de prendre une longueur d’avance dans un secteur où la concurrence pour attirer des sponsors est particulièrement vive. L’innovation technologique devient ainsi un levier stratégique pour se démarquer.
Dans un contexte où l’utilisation des données et de l’intelligence artificielle gagne du terrain dans le sport, le choix du Stade Rennais reflète une volonté d’adapter ses méthodes aux évolutions actuelles. L’objectif, selon le club, est de mieux comprendre son environnement économique et social afin de hiérarchiser ses efforts commerciaux et d’accroître sa productivité dans la recherche de partenaires.
« L’utilisation de la data et de l’IA vise à permettre aux clubs de mieux connaître leur territoire, de prioriser leurs efforts et de gagner en productivité », explique un représentant impliqué dans le projet. Cette déclaration illustre la philosophie qui sous-tend ce partenariat, à savoir l’exploitation des technologies de pointe pour optimiser les performances commerciales.
Alors que les clubs sportifs cherchent de plus en plus à diversifier leurs sources de revenus et à s’entourer de partenaires engagés, l’initiative du Stade Rennais pourrait inspirer d’autres institutions sportives françaises à suivre la même voie, en misant sur des outils innovants pour renforcer leur développement hors du terrain.
La chaîne Ligue 1+ dépasse toutes les attentes en termes d'abonnés. Pourtant, en coulisses, la guerre fait rage et la survie des clubs est en jeu.
C’est le paradoxe qui agite le football français. D’un côté, une réussite commerciale inattendue : Ligue 1+, la chaîne 100% LFP, a dépassé le million d’abonnés en quelques semaines, un objectif initialement fixé pour la fin de la saison. De l’autre, une crise de confiance sans précédent : les présidents de clubs, menés par Olivier Létang, sont montés au créneau pour réclamer des comptes à Nicolas de Tavernost, le patron de LFP Media. Derrière les chiffres flatteurs se cache une réalité bien plus sombre, celle d’un modèle économique qui, s’il sauve les apparences, ne sauve pas encore les clubs.
Un succès commercial qui masque la crise financière
Les chiffres sont là, et ils sont bons. Avec plus d’un million d’abonnés, Ligue 1+ est un succès populaire. Mais ce succès ne se traduit pas encore par une manne financière suffisante pour les clubs. Une fois les charges, l’apport de CVC et les aides déduits, la part reversée aux clubs reste très faible. Avant la révision à la hausse due aux bons chiffres, le champion de France ne devait toucher que 4,67 millions d’euros de droits TV, moins que la lanterne rouge de la saison précédente. Même avec la rallonge, les revenus restent très inférieurs à ce que les clubs percevaient par le passé, les plongeant dans une situation financière précaire.
De Tavernost sous le feu des critiques
Cette situation a explosé lors du dernier conseil d’administration de la LFP. Les présidents de clubs ont exigé plus de transparence sur le budget de fonctionnement de la chaîne, notamment sur les 14 millions d’euros alloués au marketing. La réponse de Nicolas de Tavernost, qui aurait menacé de démissionner, a mis le feu aux poudres. « Nicolas oublie qu’il n’est plus le patron comme à M6, il a des comptes à rendre », a confié un président de club à L’Équipe. La lune de miel entre l’homme providentiel et les clubs est déjà terminée.
Une guerre ouverte avec les diffuseurs historiques
Pour ne rien arranger, LFP Media est en guerre ouverte sur plusieurs fronts. Le bras de fer avec Canal+, qui refuse de distribuer la chaîne, prive Ligue 1+ d’un canal de diffusion majeur. Le conflit avec beIN Sports, qui conteste les conditions de son contrat, fragilise encore un peu plus le modèle. Isolé, Nicolas de Tavernost doit naviguer dans un environnement hostile, où ses anciens partenaires sont devenus ses principaux adversaires.
Un avenir incertain pour le football français
Au final, le succès d’audience de Ligue 1+ est une lueur d’espoir dans un tableau bien sombre. Mais il ne peut, à lui seul, résoudre la crise profonde que traverse le football français. Sans une réconciliation avec les diffuseurs historiques et une meilleure répartition des revenus, les clubs continueront de souffrir. Le pari de la chaîne 100% LFP était audacieux, mais il pourrait bien se transformer en un piège mortel si le modèle économique ne s’avère pas viable à long terme.
Alors qu’Habib Beye semble être fragilisé du côté du Stade Rennais, son directeur sportif Loïc Désiré est sorti du bois pour éteindre l’incendie et défendre son coach.
Depuis le début de la saison, Rennes n’a perdu qu’un seul match, lors de la claque reçue à Lorient à neuf contre onze (0-4). Pourtant, le club breton traverse une petite crise. Pas très loin de ses objectifs, malgré une dixième place, avec seulement trois points de retard sur les rangs européens, le SRFC a quand même déçu à plusieurs reprises contre des équipes à sa portée. Tenu en échec à Angers en août (1-1), Rennes s’est effectivement raté dans le derby contre Nantes (2-2), mais aussi face au Havre juste avant la trêve internationale de novembre (2-2).
Une pause lors de laquelle Habib Beye a été secoué, sachant que des échos ont circulé sur des incompréhensions de plusieurs joueurs au sujet du management du coach rennais. Décrit comme têtu, Beye concentre toutes les critiques depuis plusieurs semaines et il semble donc fragilisé en interne. Ce qui n’est pas vraiment le cas en réalité, sachant que Loïc Désiré a clairement pris la défense de son entraîneur dans la presse.
On doit tous corriger des choses, du coach aux joueurs
- Loïc Désiré
Beye en danger ? Il n’y a pas de débat là-dessus. Par contre, il faut réagir, améliorer. Habib a été du côté du monde médiatique aussi, mais il ne montre pas de signal négatif au quotidien. Il est complètement impliqué, et il n’y a pas de raison que cela ne fonctionne pas. On est avec lui chaque jour, on est là pour l’aider, on se réunit, on voit les joueurs… On est tous mobilisés ! Dans ce groupe, tout a été reconstruit par rapport à l’année dernière. Il y a eu aussi des faits de matchs, cartons, blessures, peu de continuité dans le onze d’un match à l’autre pour favoriser une dynamique. On est tous frustrés, mais il faut prendre un peu de hauteur sur la réflexion globale, dans une situation qui n’est pas non plus catastrophique. On doit tous corriger des choses, du coach aux joueurs, a lancé, dans les colonnes de Ouest-France, le directeur sportif du SRFC, qui sait que son équipe jouera gros face à Auxerre ce dimanche lors de la 8e journée de L1. Puisqu’en cas de revers contre une nouvelle équipe qui joue le maintien, l’ancien consultant de Canal+ pourrait vraiment se retrouver sur la sellette…
Alors que le Stade Rennais sera très attendu dimanche 19 octobre (17 h 15) au Roazhon Park contre Auxerre, son directeur sportif sort du bois. Dans un entretien accordé à Ouest-France, Loïc Désiré fait l’état des lieux. Il évoque les choix de mercato, le début de saison décevant, les objectifs européens du club, et la situation interne autour d’un coach ciblé par de nombreuses critiques.

Le Stade Rennais aura-t-il profité de la trêve internationale pour trouver les réglages internes qui lui permettront de rebondir dimanche 19 octobre contre Auxerre ? Ce match de la 8e journée de Ligue 1 sera important pour le SRFC et son entraîneur Habib Beye, objet de diverses remises en cause.
Dans un contexte troublé, le club est sorti du silence via Loïc Désiré, le directeur sportif, qui a accordé à Ouest-France un entretien de près d’une heure cette semaine à la Piverdière. Pour tenter d’apaiser le climat, mais aussi rappeler la nécessité de très vite trouver des solutions qui mettraient fin à l’irrégularité chronique de l’équipe depuis le début de saison.
Le début de saison du Stade Rennais, assez illisible, est vécu négativement par tout le monde. Par vous aussi ?
En termes de points, on est un peu en retard (10 points après 7 journées). Mais le plus inacceptable est notre différence de visage d’une mi-temps à une autre. C’est difficile à expliquer, mais on ne peut pas continuer à être autant sur des montagnes russes. Des joueurs doivent monter le curseur. J’attends plus de certaines recrues, mais pas que. Globalement, on manque de caractère, de leadership, de prise d’initiatives dans les moments plus difficiles. On a l’impression qu’on subit sans réagir, qu’on se renferme, et ça, on ne veut pas le voir au Stade Rennais. Il faut que chacun prenne sur soi. C’est un état d’esprit global à avoir, et un travail individuel à mener.
Vous êtes intervenus en ce sens dans le vestiaire durant la trêve ?
Non. Je fais des entretiens plutôt en individuel, pour échanger avec les joueurs, et avec le groupe de cadres par moments. Je n’interviens jamais à chaud juste après les matches. Ce n’est pas mon rôle,...
Après avoir annoncé un projet de construction d'un nouveau stade de 45 000 places à Rennes en 2024, François Pinault est finalement revenu sur sa position. Le propriétaire du Stade Rennais privilégie une modernisation du Roazhon Park, mais le projet bat de l'aile.
Il y a plus d'un an, François Pinault, le propriétaire du Stade Rennais, affichait ses larges ambitions en annonçant vouloir construire un nouveau stade pour son club. L'objectif était de créer une enceinte de 45 000 places, à partir d'un projet imaginé par Jean Nouvel, architecte de renom et ami de la famille Pinault. Toutefois, ce projet a rapidement pris du plomb dans l'aile à cause de nombreux obstacles infranchissables propres au lieu choisi pour la construction. Pollution des sols, accès au stade compliqué et opposition politique, autant de facteurs qui ont fait changer d'avis le milliardaire. Ce projet de construction d'un nouveau stade mis de côté, il ne restait que l'option d'agrandissement de celui déjà existant : le mythique Roazhon Park. Mais là encore, des obstacles majeurs subsistent, explique Team SRFC.
La famille Pinault face à un os
Dans l'optique de rénover le Roazhon Park pour en faire un stade plus important qu'actuellement, la famille Pinault cultive une réflexion autour d'un agrandissement pour permettre à l'illustre enceinte rennaise d'accueillir plus de spectateurs. A ce jour, ce stade aux airs britanniques ne peut à peine recevoir plus de 30 000 personnes. Un total relativement bas pour un club de ce standing mais qui permet pour l'instant de le remplir assez facilement. L'objectif est d'apporter 10 000 nouvelles places assises au stade, avec un rehaussement particulier de la tribune Vilaine.
Mais comme pour le projet de construction, la famille Pinault ne peut pas agir aussi facilement qu'elle le voudrait. Premièrement, le côté sportif : les résultats mitigés du club depuis deux ans au moins remettent en question la pertinence de tels travaux. La peur de faire trop grand, comme à Lyon, Bordeaux ou Nice, est très prégnante. Enfin, le volet financier est tout aussi important. Car si pour le nouveau stade, la famille Pinault aurait pu le financer à 100%, dans le cadre d'une rénovation, il faut obligatoirement que la mairie mette aussi la main à la poche puisque le stade appartient à la ville. Un naming est une solution qui ne plairait pas du tout aux supporters, réticents à l'idée de voir leur enceinte changer de nom.
Les jours de Habib Beye à Rennes seraient comptés. L’entraineur aurait reçu un ultimatum de la part de sa direction.

S’il a sauvé Rennes d’une relégation la saison dernière, cette saison Habib Beye peine à mettre le club breton au sommet de la Ligue 1. En 7 journées, l’ancien de l’OM n’a obtenu que deux petites contre 4 nuls et un match perdu.
A ses résultats clairement insuffisants, l’ancien défenseur doit aussi faire à la défiance de certains joueurs cadres comme Séko Fofana et Brice Samba qui réclament sa tête selon Daniel Riolo.
Dans tous les cas, Habib Beye a deux matchs pour sauver sa tête à la tête de Rennes.
Sur X Mohamed Toubache Ter explique qu’Habib Beye ne se sent pas encore menacé et qu’il a tort.
"Drôle de voir le coach rennais se sentir si puissant auprès des Pinault (alors que c’est l’inverse). Pensant qu’il maîtrise la situation et surtout considérant qu’il passe au-dessus de sa direction (Désiré/Pouille) donc qu’il ne serait pas en danger", a t-il écrit.
Puis il a ajouté que Beye "sera encore l’entraîneur d’ici à la fin du mois ". Mais que les deux prochains matchs seront déterminants pour l’ancien latéral droit.
Au fil de cette journée du 14 octobre 2025, le marché des transferts et l’actualité des clubs français et européens ont été marqués par des rebondissements notables. 
L’intérêt persistant du PSG pour Lamine Yamal continue d’alimenter les discussions, mais Pierre Ménès a jeté un pavé dans la mare en affirmant que l’ailier du FC Barcelone n’aurait pas la mentalité adaptée au style de Luis Enrique. Cette déclaration, loin de passer inaperçue, relance le débat sur la capacité du jeune espagnol à s’intégrer dans l’effectif parisien.
Du côté de l’AS Saint-Étienne, Lucas Stassin s’est distingué en étant élu meilleur joueur de Ligue 2 pour le mois de septembre. Ce trophée, obtenu grâce au soutien massif des supporters, vient récompenser une régularité et une efficacité remarquées. L’ASSE, qui prépare la réception du Mans, pourrait d’ailleurs réserver quelques surprises dans sa composition de départ, alors que le club enregistre aussi le retour prématuré d’un international.
La situation à l’Olympique de Marseille a été assombrie par la blessure d’Amine Gouiri, victime d’un tacle dangereux lors d’un match international. Sorti sur civière, son état suscite l’inquiétude du staff phocéen, déjà confronté à plusieurs incertitudes pour la suite de la saison. L’avenir de certains cadres, comme De Zerbi ou Greenwood, fait l’objet de spéculations intenses, tandis que Benatia semble prêt à frapper fort lors du prochain mercato hivernal.
À Nantes, la direction menée par les Kita affiche sa confiance envers Luis Castro malgré un début de saison mitigé. Le message est clair : l’entraîneur portugais bénéficiera du temps nécessaire pour imposer sa philosophie. Par ailleurs, la situation de certains joueurs comme Leroux, touché avant d’affronter le LOSC, et les dossiers Kurzawa et Amavi, restent à surveiller de près.
L’Olympique Lyonnais voit Malick Fofana s’imposer comme l’un des joueurs les plus sollicités de Ligue 1, au point d’attirer l’attention de clubs anglais majeurs. Sa capacité à provoquer et à subir de nombreuses fautes témoigne de son impact sur le jeu lyonnais, alors que le club doit aussi gérer les conséquences des incidents survenus lors du derby face à Saint-Étienne.
Au Stade Rennais, Habib Beye a commis une erreur stratégique en tentant de passer outre la hiérarchie pour s’adresser directement à la famille Pinault. Ce faux pas pourrait avoir des répercussions sur son avenir au sein du club breton, d’autant que la direction semble déjà réfléchir à la suite à donner à cette affaire.
Sur la scène internationale, le sélectionneur des Bleus n’a pas mâché ses mots après le match contre l’Islande, estimant que le premier but islandais aurait dû être annulé. "Le premier but islandais aurait dû être refusé", a-t-il martelé, alors que Pierre Ménès et Daniel Riolo ont également vivement critiqué la prestation des Tricolores.
En Espagne, le Real Madrid a reçu une bonne nouvelle avec l’aptitude retrouvée de Franco Mastantuono pour le prochain match contre Getafe. À Barcelone, en revanche, la blessure de Robert Lewandowski, absent pour trois semaines, tombe au plus mauvais moment, à moins de deux semaines du Clasico. Le Barça devra composer sans son buteur vedette pour ce rendez-vous crucial.
Enfin, le PSG, toujours à l’affût, aurait des vues sur un autre jeune talent du Barça, alors que le club catalan s’apprête à sécuriser la signature d’un joueur estimé à 500 millions d’euros. Le mercato s’annonce donc particulièrement animé des deux côtés des Pyrénées, avec des enjeux sportifs et financiers majeurs pour les prochains mois.
D’après des informations relayées par Mohamed Toubache-Ter, la situation d’Habib Beye à la tête du Stade Rennais serait désormais très compromise. L’insider affirme que la patience de la famille Pinault, propriétaire du club, aurait atteint ses limites, notamment à cause de l’attitude de Beye vis-à-vis de sa hiérarchie.

Selon Toubache-Ter, Beye aurait eu la prétention de s’imposer face à ses dirigeants, Désiré et Pouille, pensant pouvoir s’affranchir de leur autorité. Cette posture aurait été perçue comme un affront par la famille Pinault, qui détient un pouvoir décisionnaire absolu au sein du club breton.
"Drôle de voir le coach rennais se sentir si puissant auprès des Pinault (alors que c’est l’inverse). Pensant qu’il maîtrise la situation et surtout considérant qu’il passe au dessus de sa direction (Désiré/Pouille) donc qu’il ne serait pas en danger. Ah, ce coach si sûr de lui, qui pense que son travail de "charmeur" lui permet d’occuper le classement, très en deçà des objectifs fixés (l’Europe + identité de jeu) !", écrit Toubache-Ter sur X.
Dans l’histoire récente du club, la proximité avec la famille Pinault a souvent été déterminante. On se souvient que Julien Stéphan, grâce à sa relation privilégiée avec les Pinault, avait réussi à faire évincer l’ancien président Olivier Létang. Beye, qui partage les mêmes agents que Stéphan, aurait-il tenté de s’inspirer de cette stratégie ? Si tel était le cas, la manœuvre semble avoir échoué.
Malgré cette tension palpable, il apparaît que le club n’envisage pas de changement immédiat sur le banc. Le contexte de reprise de la compétition incite la direction à temporiser, laissant à Beye une ultime chance d’inverser la dynamique. Mais la confiance semble sérieusement entamée.
Pour les observateurs avertis, la situation d’Habib Beye illustre une fois de plus l’importance du rapport de force entre entraîneur et actionnaire principal dans le football moderne. À Rennes, la famille Pinault reste l’arbitre suprême des ambitions et des destins.
Depuis plusieurs années, la majorité des clubs de Ligue 1 a nettement amélioré son offre de restauration au stade. Pour des raisons de confort pour le spectateur autant que pour des rentrées économiques potentielles.
Dans les travées de la Decathlon Arena, la file ne diminue pas. C'est la pause face à l'OL, le LOSC est mené mais ça n'a pas coupé l'appétit des Lillois, venus casser la croûte et s'hydrater à la buvette. Sur le comptoir s'amoncelle le trident mythique frites-burger-Coca, à côté de tenders dégageant des effluves à rendre dingue les plus gourmands. Parmi eux, Patrick, quinqua déjà abonné "quand on était encore à Grimonprez-Jooris", l'ancien antre lillois laissé à l'abandon à partir de 2004.
L'employé municipal a donc écumé les buvettes de trois stades - Grimonprez, le Stadium Nord et la Decathlon Arena. Et s'il préférait quand c'était "des vraies bières", autrement dit avec de l'alcool, il constate la très nette amélioration de "toute la bouffe" dans son stade. "Avant, t'avais un sandwich dégueulasse et une bière sans bulles pour 12 balles, grogne-t-il sous son épaisse barbe. Là, t'en as toujours pour 12 balles mais au moins tu bouffes bien." C'est cru mais à en voir les hochements de tête de ceux qui le suivent dans la longue file d'attente, l'analyse est largement partagée.
Et si le LOSC figure parmi les meilleurs élèves et a récolté ce lundi le Label Or de la LFP - comme le PSG et l'OL - pour son offre de restauration, l'élan ne se cantonne pas qu'au Nord. "On sent une évolution d'année en année, assure Lucas Pariente, fondateur de Topivo, l'un des principaux prestataires de restauration des enceintes françaises. La restauration a longtemps été le mauvais élève de l'expérience client. L'époque du sandwich blister que tu payais 10 balles est terminée."
6 000 burgers et 20 000 pintes par match
Créée il y a dix ans, Topivo gère aujourd'hui les buvettes lilloises mais aussi celles de Strasbourg, Nice et du PSG avec la même recette : des hot-dogs, burgers, frites ou encore tenders, mais avec des produits frais, locaux et préparés sur place. "En 2015, le secteur s'était lâché, déplore Pariente derrière son tablier de chef. On vendait cher des produits médiocres à des clients captifs." Exit le sandwich triangle, ses clubs misent désormais sur un burger charolais avec sa sauce maison et son cheddar affiné, reproductible à 6 000 unités pour un seul match. Et chacun a ses spécialités comme le croque welsh à Lille ou la tarte flambée à Strasbourg.
Les résultats suivent, puisque tous ces clubs ont récolté des labels Or ou Argent. "On ne mangeait jamais au stade avant le Covid, on ne prenait que des bières, confirme André, quadragénaire retrouvé pop-corn à la main dans les coursives de la Decathlon Arena, aux côtés de Lilian, 6 ans et du ketchup plein les dents. Maintenant, c'est devenu un petit rituel : au lieu d'aller au McDo après, on va à la buvette pendant." Ils ne sont pas les seuls et les chiffres le prouvent : en deux saisons, le LOSC est passé de 66 000 à 110 000 euros de recettes par match grâce à ses buvettes.
Cette explosion justifie le fait que les clients de Topivo ne soient pas les seuls à s'être repris en main. "Tous les clubs s'intéressent à la restauration depuis quelques années parce que ça fait partie de l'expérience client, remarque Véronique Adam, responsable B2C à la LFP, le pôle en charge d'augmenter les revenus de jours de match. Ils ont diversifié leur offre pour faire du bon, local, avec un prix travaillé. Et y voient aussi une source de revenus". À l'année, le marché des buvettes représente plus de 30 millions d'euros de revenus pour l'ensemble des clubs professionnels. Chez certains, la restauration rapporte même plus que le merchandising.
"On descend à 10 % de chiffre d'affaires bières quand il n'y a pas d'alcool. Et on sait que la plupart, ce sont des gens qui n'avaient pas remarqué que c'était sans alcool"
Lucas Pariente, fondateur de Topivo
Et même si l'offre de restauration y a forcément contribué, la plus grosse marge se fait évidemment sur la boisson et la sacro-sainte bière. Elle peut représenter jusqu'à 60 % du chiffre d'affaires des buvettes, avec jusqu'à 20 000 pintes versées en trois heures dans les plus grosses enceintes. Du moins lorsqu'elles sont alcoolisées.
Mur à bière et bornes de fast-food
Car depuis 2005 et la loi Evin, l'alcool est interdit dans les stades. Sauf que dans le football, chaque stade a droit à 10 dérogations par an pour pimenter ses breuvages. Et ça se ressent dans les chiffres. "On descend à 10 % de chiffre d'affaires bières quand il n'y a pas d'alcool. Et on sait que la plupart, ce sont des gens qui n'avaient pas remarqué que c'était sans alcool", atteste Pariente.
6 €
Le prix d'une bière locale ou d'un hot-dog au Havre. Le club normand a presque triplé son panier moyen en améliorant la qualité de son offre.
Ce phénomène touche encore plus les clubs les plus modestes, souvent amenés à jouer en milieu d'après-midi qu'en prime time. Une heure à laquelle on est plus prompt à s'hydrater qu'à dîner, comme le constate Dalil Chati, responsable FnB (Food and Beverages) du Havre, qui "fait 80 % de boissons". Ce qui n'empêche pas le jeune diplômé d'école de commerce d'avoir repensé toute l'offre du HAC.
"Quand je suis arrivé (en 2022), c'était vraiment pas dingue. Il n'y avait que des sandwichs froids et des boissons, rembobine-t-il. J'ai pu aller voir d'autres clubs où j'ai été très bien reçu et j'ai vu ce qu'il fallait faire pour s'améliorer." Malgré son budget - le plus faible de Ligue 1 -, le club doyen a amélioré la qualité de ses produits et internalisé la production, pour reprendre la main sur ses stands et grignoter de la marge. Le tout en apportant son lot d'innovations, comme un mur à bières ou des bornes de commande, comme au fast-food.
Une embellie qui fait souffrir les commerces alentour
"On est passé d'un service dont personne ne s'occupait et presque déficitaire à une fierté qui gagne de l'argent", se félicite Chati. Le panier moyen a ainsi explosé de 1,70 € à 4,80 €, l'un des plus hauts de Ligue 1, en trois ans. Et ce grâce à la quantité plutôt qu'à une hausse des prix, puisque la pinte de bière brassée à deux kilomètres du stade est à 6 €, le même prix qu'un hot-dog retravaillé avec des produits frais.
Car c'est là aussi que les clubs ont fait des efforts. "On ne veut pas assassiner nos spectateurs sur les prix", assure Chati, qui reste conscient que les prix sont légèrement au-dessus du marché. "Mais certains considèrent que le prix d'une bière au pied de la Tour Eiffel est logiquement plus élevé. Un Paris-Barça, c'est aussi un cadre exceptionnel et on a plus de contraintes de logistique.", justifie Pariente.
Le retour à des prix plus justes a notamment drainé des clients aux commerces alentour, les friteries et autres bistrots sur les parvis du stade, qui font presque l'intégralité de leurs ventes les jours de match. "On a un peu moins de monde depuis deux ans, reconnaît le gérant d'une échoppe proche d'un grand stade de Ligue 1. Les habitués viennent toujours prendre leurs bières avant et après mais on a de moins en moins de famille qui viennent manger un bout par exemple."
Certaines politiques font aussi mal à ces commerces, comme à Strasbourg, où les portes du stade sont ouvertes trois heures avant la rencontre et où le plus grand bar d'Europe a été érigé sous La Meinau. Résultat, les supporters s'y massent bien plus tôt, délaissant la bière de débriefing dans les bars alentour. Et ça marche : presque tous consomment au moins un produit à la buvette du stade.
D'autres ont fait le choix de collaborer avec ces enseignes. À Lens, les friteries Sensas et Momo, monuments du parvis de Bollaert-Delelis, ont désormais leurs propres stands dans l'enceinte. Un "mariage évident", selon le communiqué du club, qui a annoncé 19 "baraques" les jours de match. Parce que la recette gagnante reste la même, peu importe les stades : des frites, du gras et - si possible - des buts à célébrer.
Et à l'étranger, où en est-on ?
Si la France s'est largement améliorée ces dernières années, elle reste loin des locomotives allemandes et anglaises. En Allemagne, le panier moyen est par exemple à 10 € par supporter, contre 3,5 € en France. Ces deux voisins ont néanmoins de la bière autorisée dans les stades, contrairement à l'Espagne, où l'offre est cantonnée à la nourriture. Mais tous les Européens demeurent à des années-lumière des États-Unis, où les buvettes font partie intégrante de l'expérience et les rencontres pensées pour ça, malgré des prix absolument délirants dans les enceintes sportives. Lors du SuperBowl 2024, le panier moyen du FnB a par exemple flirté avec les 170 €.
La trêve internationale n’a pas épargné le Stade Rennais, qui doit composer avec une absence de taille dans son effectif. Habib Beye et son staff sont confrontés à un véritable casse-tête tactique après la blessure de Przemyslaw Frankowski, victime d’une lésion aux ischios-jambiers lors de son rassemblement avec la sélection polonaise.

Le latéral, arrivé cet été en provenance du RC Lens, s’était rapidement imposé comme un rouage essentiel dans la rotation défensive bretonne. Sa polyvalence et sa régularité avaient convaincu le staff rennais, qui voyait en lui un garant de stabilité sur le flanc droit. Son intégration express dans le système de jeu de Beye avait été saluée par de nombreux observateurs.
La blessure de Frankowski intervient à un moment particulièrement délicat pour le club. Le diagnostic médical confirmé par le staff polonais a mis fin à tout espoir de le voir participer aux prochaines échéances internationales, mais surtout, il soulève de sérieuses interrogations quant à sa disponibilité pour les rendez-vous cruciaux de Ligue 1 à venir.
La Fédération polonaise a officialisé son forfait, obligeant le joueur à rentrer prématurément en Bretagne pour entamer sa convalescence. Cette absence tombe au plus mauvais moment, alors que Rennes doit affronter l’AJ Auxerre lors de la huitième journée, un match qui s’annonce déjà déterminant pour la suite de la saison.
Face à cette situation, Habib Beye devra revoir ses plans et puiser dans ses ressources pour maintenir l’équilibre défensif de son équipe. La profondeur de banc sera mise à rude épreuve, et il faudra sans doute faire appel à des solutions alternatives pour compenser la perte de l’ancien lensois.
Le staff médical rennais adopte une approche de prudence maximale. Les ischios-jambiers, particulièrement sensibles, nécessitent un protocole de soins strict afin d’éviter toute rechute. Les premières estimations suggèrent que Frankowski pourrait manquer plusieurs semaines de compétition, mais une évaluation plus précise sera réalisée dans les prochains jours.
Cette gestion minutieuse de la récupération témoigne de la volonté du club de ne prendre aucun risque avec la santé de son joueur. Les reprises précipitées dans ce type de blessure peuvent s’avérer contre-productives et prolonger l’indisponibilité, un scénario que Rennes veut à tout prix éviter alors que les échéances s’enchaînent.
Le coach de Rennes, Habib Beye, a exprimé son mécontentement face aux retards répétés de certains de ses joueurs à l’entraînement. Cette situation pourrait avoir des conséquences sur les performances de l’équipe.

“Je suis très déçu par le manque de professionnalisme dont certains joueurs ont fait preuve en arrivant en retard à l’entraînement,” a déclaré Beye lors d’une conférence de presse. “Nous travaillons dur pour atteindre nos objectifs, et il est inacceptable que certains joueurs ne respectent pas les règles.”
Beye a souligné que les retards pourraient entraîner des sanctions disciplinaires, notamment des suspensions de jeu. “Nous allons prendre des mesures pour résoudre ce problème,” a-t-il averti.
Les joueurs concernés ont présenté des excuses et ont promis de faire mieux à l’avenir. Cependant, Beye reste vigilant et déterminé à maintenir une discipline stricte au sein de l’équipe.
Le LOSC a rejoint ce lundi le PSG et l'OL au rang des labels Or de la restauration, décernés par la LFP. 21 clubs ont été récompensés au total.
La troisième édition des labels de la restauration, organisée par la LFP, a vu un troisième club empocher l'Or. Après l'OL la première année, rejoint par le PSG en 2024, le LOSC a hérité de la meilleure récompense possible lors de cette cérémonie.
Basés sur des critères précis comme l'hygiène, la fraîcheur et la provenance des produits, ces labels visent à récompenser les clubs qui ont fait de leur offre de restauration un enjeu. Le secteur, dont la croissance économique est exponentielle, connaît une progression fulgurante depuis le début de la décennie.
Pour preuve, 21 clubs ont été récompensés, dont 10 en argent. Derrière le trio doré suivent des clubs européens, comme Nice, l'OM et Strasbourg, mais aussi des plus petits budgets, à l'instar de Pau ou Le Havre. Sur les 18 clubs de Ligue 1, seuls cinq n'ont reçu aucune récompense.
Les labels restauration en 2025