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La première soufflante de la saison d'Habib Beye

Avant même que le championnat ne commence, le Stade Rennais a déjà ressenti la pression, et pas des moindres. Habib Beye, l’entraîneur du club, a donné le ton de manière très claire : il n’est pas là pour faire de la figuration. Lors d’une réunion avant la reprise, il a adressé une grosse soufflante à ses joueurs, leur rappelant fermement les exigences de la saison à venir.
La première soufflante de la saison d'Habib Beye

Dans un discours direct et sans détour, Beye a fait savoir qu'il attendait bien plus de rigueur, de discipline et d’engagement. Ce n’est pas juste une question de talent, mais de se donner à 100% à chaque entraînement, à chaque match. Le message est clair : la tolérance pour la médiocrité est zéro. Ce coup de gueule intervient après des performances décevantes par moments la saison précédente, et l’entraîneur ne compte pas se laisser prendre au piège de la complaisance.

Les joueurs, visiblement attentifs, ont compris que la barre était placée haut. Cette "soufflante" précoce est aussi un moyen pour Beye de marquer son autorité et de mettre tous les joueurs sur le même pied d’égalité, sans exception. Le Stade Rennais, avec son effectif ambitieux, ne veut plus se permettre de trébucher sur des erreurs évitables. Cette saison, la discipline sera la clé, et Beye est déterminé à en faire une priorité dès le départ.

Rongier en Rouge et Noir ? Le Kop ronge son frein

Valentin Rongier en rouge et noir? Un excellent choix, une provocation, ou juste un transfert mal inspiré?

Rongier en Rouge et Noir ? Le Kop ronge son frein

À l’annonce de cette potentielle arrivée de l’ex-capitaine nantais, le Roazhon Celtic Kop, groupe ultra rennais, s’est fendu d’un communiqué sur les réseaux sociaux. Dans cette affaire, ce n’est pas seulement le joueur qui prend une cartouche, mais bien toute la direction du Stade rennais.

Rongier en Rouge et Noir ? Le Kop ronge son frein

Le SRFC n’a encore rien officialisé sur son site Internet, mais une simple fuite et le mal serait fait. Pire : l’ex-canari ne viendrait pas seul. Quentin Merlin, né à Nantes et latéral gauche prometteur, serait inclus dans le deal avec l’OM. Une recrue au nom magique, certes, mais pour les supporters rennais, ce mercato ressemble surtout à un mauvais tour.

Valentin Rongier, c’est un symbole. Capitaine du FC Nantes, figure identitaire, le joueur est l’auteur de déclarations assassines dans le passé. "Je ne signerai jamais à Rennes", avait-il lancé dans les médias. Aujourd’hui, cette promesse tenue ressortie des limbes de l’histoire vole en éclats. Et pour le Roazhon Celtic Kop, ça ne passe pas.

Dans leur communiqué, les ultras parlent d’affront?, d’hypocrisie?, d’un footballeur sans légitimité pour porter le maillot rouge et noir. Bref, une ligne rouge — et noire — serait en train d’être franchie par le président. "Nous ne l’accepterons pas", prévient le Kop. "Valentin Rongier n’a, à nos yeux, aucune légitimité pour revêtir nos couleurs."

L’an dernier, Ludovic Blas avait quitté Nantes pour Rennes, dans une opération déjà explosive côté canari. Il y a quelque temps, c’est Matthis Abline, formé à Rennes, qui avait effectué le chemin inverse. Et voilà que maintenant, Rennes irait chercher Valentin Rongier, figure historique de la Beaujoire, en y ajoutant Merlin, au nom tout droit sorti de Brocéliande. Mais ici, la magie ne prend pas.

D’ores et déjà, une image (sans doute réalisée par l’IA) circule sur les réseaux sociaux : Rongier dans la tunique rouge et noire. Le Puma, le col noir, le blason sur le cœur, tout semble lui aller. Mais au-delà du look, le transfert reste piquant : comment un joueur qui a juré fidélité au rival peut-il devenir le visage d’un projet censé incarner des valeurs??

Le Roazhon Celtic critique surtout sur la direction. Celle qui prône "l’identité rouge et noire" à grand renfort de communication… et qui aujourd’hui s’apprête à signer l’exact opposé. Valentin Rongier et Quentin Merlin sont peut-être de bonnes pioches sportivement. Mais en tribunes, cela ne passerait pas. Car un maillot, aussi beau soit-il, ne suffit pas à habiller une âme. Décidément, les mercatos sont difficiles du côté de la route de Lorient…

Nous ne pourrons l’accepter

A travers un communiqué publié lundi, le Roazhon Celtic Kop, principal groupe de supporters du Stade Rennais a exprimé sa colère à propos du probable transfert du milieu de terrain de l'OM, Valentin Rongier. Les fans bretons n'acceptent pas le recrutement d'un joueur qui les a régulièrement chambrés lorsqu'il jouait avec le FC Nantes, son club formateur et grand rival de Rennes.
Nous ne pourrons l’accepter

Valentin Rongier et Quentin Merlin au Stade Rennais, c’est sans doute une question d’heures. Arrivés en Bretagne lundi, les deux joueurs de l’OM évolueront cette saison avec les Rouge et Noir après avoir satisfait leur visite médicale. Ils ont comme autre point commun d’avoir joué au FC Nantes avant de rejoindre Marseille. Des ex-Nantais chez le rival breton, ça ne passe pas chez les supporters rennais, surtout en colère pour la venue de Valentin Rongier.

Contrairement au latéral gauche, le milieu de terrain arrivé au centre de formation du FCN à 7 ans chambrait régulièrement le Stade Rennais lorsqu’il portait le maillot des Canaris. "C'est un club qui ne m'attire pas du tout", avait lâché le Nantais à Ouest-France en 2018. Un an auparavant, il avait aussi fait une allusion à des chèvres à propos de l’équipe d’Ille-et-Vilaine. Et d’ajouter: "Je ne pourrais pas aller là-bas. Je ne sais pas non plus si je serais le bienvenu."

Aucune légitimité pour porter nos couleurs
Des déclarations qui reviennent à la surface aujourd'hui mais que les ultras du Roazhon Celtic Kop n’ont jamais oublié. Dans un communiqué publié ce lundi, le principal groupe de supporters exprime "une certaine stupeur" à propos de la probable arrivée de Valentin Rongier. "Nul besoin de rappeler aux supporters Rouge et Noir l’aversion affichée de ce joueur envers notre club. Entre ses piques enfantines sur les réseaux sociaux et ses déclarations dans les médias Valentin Rongier n’a, à nos yeux, aucune légitimité pour porter nos couleurs."

Un gros tacle à la direction... du Stade Rennais
En attendant un accueil probablement très épicé pour le milieu de terrain, le RCK s’en prend aussi à la direction de son club: "Comment ne pas souligner l’hypocrisie flagrante de ceux qui, il y a quelques semaines encore, organisaient un week-end autour de "l’identité Rouge et Noir"… pour aujourd’hui envisager l’arrivée d’un joueur qui incarne tout le contraire", s’interroge le Roazhon Celtic Kop. En matière d’identité, de cohérence et de respect du peuple Rouge et Noir, nous attendons mieux." Et de conclure: "Ce recrutement serait pour nous un affront s’il aboutit et nous ne pourrons l’accepter."

Il n’a aucune légitimité à porter nos couleurs

Alors que l’arrivée de Valentin Rongier semble imminente au Stade Rennais, le RCK, un des groupes de supporters du club breton, a diffusé un communiqué pour dénoncer sa probable signature. En cause, des différends qui datent de son passage au FC Nantes.

Il n’a aucune légitimité à porter nos couleurs

C’est l’info chaude du mercato du Stade Rennais depuis 24 heures. Deux joueurs de l’Olympique de Marseille, Quentin Merlin et Valentin Rongier, devraient signer dans le club breton. "C’est quasi fait", affirmait même une source interne à l’Equipe, dimanche.

L’annonce de l’arrivée imminente de ces deux anciens nantais, et plus particulièrement celle de Rongier, a provoqué l’ire des supporters du SRFC. Le Roazhon Celtic Kop, un des principaux groupes de supporters des Rouge et Noir, a publié, ce lundi 21 juillet, un communiqué cinglant contre le milieu de terrain. "Nul besoin de rappeler aux supporters l’aversion affichée de ce joueur envers notre club", détaille le RCK.

"Entre ses piques enfantines sur les réseaux sociaux et ses déclarations dans les médias, dans lesquelles il affirmait ne "jamais vouloir signer au Stade Rennais" car il représente son club "ennemi" et jurait de "rester Nantais à jamais", ? Valentin Rongier n’a, à nos yeux, aucune légitimité à porter nos couleurs", s’est indigné le Roazhon Celtic Kop.

Chambrage sur les réseaux sociaux
Formé à Nantes, club historiquement rival du Stade Rennais, Valentin Rongier y a joué comme professionnel de 2014 à 2019, où il a même été capitaine. En 2017, il avait posté une photo de chèvres sur ses réseaux sociaux avec comme commentaire "Coucou les Rennais". "C’était pour rigoler, pour mettre un peu de piment dans ce derby", s’était-il justifié à l’Equipe quelques mois plus tard.

En 2018, il en avait remis une couche et déclaré dans Ouest-France ne "jamais" pouvoir signer au Stade Rennais. "C’est un club qui ne m’attire du tout", avait-il insisté à l’époque.

Le club de supporters s’en est également pris à la direction du club et pointe "l’hypocrisie flagrante de ceux qui, il y a quelques semaines, organisaient un week-end autour de l’identité Rouge et Noir", avant d’ajouter que le recrutement - très probable - du milieu de l’OM, serait "un affront".

Accord total avec Rennes pour Quentin Merlin et Valentin Rongier

Sur le départ de l’OM, Quentin Merlin et Valentin Rongier sont sur le point de rejoindre Rennes. Un accord total a été trouvé pour ce double transfert et l’OM recevra 22,5 millions d’euros bonus compris.
Accord total avec Rennes pour Quentin Merlin et Valentin Rongier

Cet été, l’OM aspire à réaliser un grand mercato. Dans la lignée de ses dernières périodes de mercato, le club phocéen voit les choses en grand et souhaite recruter le plus de joueurs susceptibles d’apporter une réelle plus-value à l’effectif de Roberto De Zerbi. En ce sens, les dirigeants phocéens n’ont pas chômé en ce début d’été. En effet, trois arrivées ont déjà été enregistrées et Pierre-Emerick Aubameyang est sur le point de faire son retour, deux ans après son départ.

Les Phocéens se sont d’ailleurs renforcés à des postes clés qui posaient problème l’an dernier. En effet, les arrivées de CJ Egan-Riley, gratuite, et de Facundo Medina, contre 22 millions d’euros, permettront d’apporter de la profondeur à un secteur défensif parfois en difficulté la saison passée. L’arrivée d’Angel Gomes contre 0 euro en provenance de Lille représente une superbe opération pour étoffer le milieu de terrain marseillais. L’arrivée imminente de Pierre-Emerick Aubameyang ne devrait pas être la seule pour apporter de la diversité en attaque.

Double vente pour l’OM
Des recrues intéressantes pour un montant total plus que raisonnable, l’OM travaille bien sur ce mercato estival. Désormais, l’un des autres facteurs de la réussite de l’été marseillais sera la capacité des dirigeants olympiens de se délester de plusieurs indésirables. Quentin Merlin n’est pas dans cette catégorie. Pour autant, si une offre intéressante apparaissait pour l’ancien de Nantes, auteur de 29 matches la saison passée, l’OM s’assoirait à la table des négociations. Cette belle proposition est arrivée, et Valentin Rongier est aussi dans l’opération.

Depuis quelques jours, Rennes discute avec l’OM pour attirer le défenseur gauche de 23 ans et le milieu de 30 ans. Après avoir vendu Adrien Truffert contre 17 millions d’euros à Bournemouth, Rennes va bien s’offrir le latéral et le milieu de terrain pour un montant de 22,5 millions d’euros bonus inclus. Signe que l’axe Marseille-Rennes tourne à plein régime après Lilian Brassier et Ismaël Koné. Deux départs qui seront logiquement compensés par des arrivées dans les prochaines semaines.

Vers une révolution de la règle du penalty ?

Plusieurs médias anglais ont annoncé que l’IFAB, l’instance qui gère les règles du football, envisage de modifier une règle sur les penalties. Un joueur qui voit son penalty repoussé par le gardien ou un montant ne pourrait pas, tout comme l’un de ses coéquipiers, tenter de marquer dans un deuxième temps. En cas d’échec, le jeu reprendrait sur un renvoi aux six mètres. Les arbitres du VAR pourraient également avoir un champ d’application plus large.

Vers une révolution de la règle du penalty ?

C’est une règle qui pourrait modifier beaucoup de choses. Selon les médias anglais The Times et The Sun , l’IFAB (International Football Association Board) souhaiterait modifier une règle existante depuis 134 ans.

Poursuivre un penalty en cas d’arrêt du gardien ou d’une tentative repoussée par un montant. L’instance souhaite mettre en place cette nouvelle règle à partir de la Coupe du monde 2026 qui sera organisée aux États-Unis, au Canada et au Mexique.

Cette nouvelle règle n’offrira donc qu’une seule chance au tireur, sans la possibilité que lui, ou l’un de ses coéquipiers puissent avoir une seconde chance de pousser le ballon au fond des filets. Un échec serait alors transformé en renvoi aux six mètres, même si le gardien repousse le ballon en corner.

Rééquilibrer le duel entre le tireur et le gardien
Scotchés sur leur ligne, et limités dans leurs mouvements, les gardiens apparaissaient en position d’infériorité dans leur duel avec le tireur. L’objectif de cette nouvelle règle est donc de rééquilibrer le rapport de force entre le gardien et le tireur. Plusieurs personnes consultées avancent également que, dans la majeure partie des cas, le penalty offre à l’équipe attaquante une chance bien plus grande de marquer que celle que l’infraction initiale avait empêchée, explique le journal anglais The Sun.

Cette nouvelle règle mettrait également fin aux débats sur l’empiètement des joueurs, qui doivent rester en dehors de la surface de réparation au moment de la frappe du tireur. L’application de cette nouvelle règle sera décidée via un vote qui aura lieu avant fin février 2026.

Les propos complètement lunaires du producteur de Ligue 1+

Ce mardi matin sur France Inter, Pierre-Antoine Capton, président de Mediawan Sports, est venu défendre le lancement imminent de Ligue 1+, la nouvelle chaîne de diffusion du championnat français, fruit d’un partenariat avec LFP Media. Entre déclarations triomphales et promesses d’innovation, le producteur s’est voulu rassurant sur l’état du football hexagonal. Une intervention qui tranche nettement avec la réalité économique, institutionnelle et sportive que traverse actuellement la Ligue 1.
Les propos complètement lunaires du producteur de Ligue 1+

Depuis l’effondrement du contrat Mediapro (prévu à 780 M€/an pour la période 2020–2024 mais jamais honoré au-delà de quelques versements), la Ligue 1 reste prisonnière d’un modèle trop dépendant des droits télévisés. Ce fiasco, suivi par un accord d’urgence avec Canal+ puis une série d’appels d’offres infructueux, a conduit à une revente des droits bien en dessous des attentes – environ 624?M€/an pour 2021–2024, puis non plus que 500?M€/an pour 2024–2029 via un partenariat DAZN/beIN Sports, soit une baisse d’environ 20 à 45?% selon les cycles. DAZN, pourtant engagé à verser 400?M€/an, peine à atteindre ses objectifs (500?000 abonnés au lieu de 1,5?M), réclame même à l’arbitrage plus de 500?M€ à la LFP pour rupture, soulignant un modèle économique jugé trop fragile. À chaque nouvel épisode, les clubs – particulièrement les plus modestes – voient leurs budgets amputés, mettant en péril fonctionnement sportif, investissements et formation.

Loin de se limiter aux droits TV, la crise touche l’ensemble de l’écosystème du football français. Depuis l’audit ordonné par la FFF et la mission du Sénat, les critiques se multiplient : dérives financières des clubs souvent déficitaires (pertes cumulées de plus de 2?milliards € entre 2018 et 2023), pression insoutenable sur les salaires, violences dans les stades, scandales sur l’arbitrage, et investigations judiciaires. Le rapport d’audit a même évoqué la "fin annoncée" de la LFP si elle ne se réinvente pas, poussant à envisager la création d’une chaîne contrôlée par la LFP (portée notamment par Mediawan Sports) et de nouveaux modèles de redistribution, au risque d’une remise en cause profonde des structures actuelles. En filigrane, la fragilité économique menace aussi le football amateur — via la baisse de la "taxe Buffet" — et le football féminin, nettement tributaires des revenus générés en haut lieu

Des déclarations totalement hors sol !
Pendant que le football français s’enfonce dans une crise financière, institutionnelle et morale sans précédent, certains continuent de jouer les illusionnistes, agitant des discours auto-congratulatoires comme des fumigènes pour masquer l’effondrement en cours. Ce mardi matin, sur France Inter, Pierre-Antoine Capton, patron de Mediawan Sports et nouveau chevalier blanc autoproclamé de la Ligue 1, s’est exprimé dans un mélange d’enthousiasme désincarné et de communication hors-sol : «on est en train d’y travailler. Mediawan Sports est le partenaire de la Ligue de football professionnel. On est au service de Nicolas de Tavernost et de ses équipes. On est extrêmement fier et heureux de pouvoir accompagner le football dans cette nouvelle transition. Jamais le championnat de Ligue 1 ne s’est aussi bien porté. Le travail de Vincent Labrune a payé puisqu’on voit que le PSG a quand même gagné la Ligue des champions pour la première fois cette année. Le championnat va bien. Il y a des très grandes équipes. On a une équipe de professionnels à la tête aujourd’hui de cette chaîne. Chez Mediawan Sports, Éric Hannezo, Frédéric de Vincelles et toutes les équipes sont à fond pour faire du mieux possible en termes de narration et d’innovation». Entre storytelling managérial et hallucination stratégique, il a livré une vision parallèle du football français — où tout va bien, tout est prêt, et surtout, tout est à réinventer. Extraits d’un vol plané stratosphérique. Mais le sommet est atteint lorsque Capton, en apôtre d’un football-spectacle 2.0, convoque Brad Pitt, Netflix et les vestiaires comme solutions miracles à la désaffection des fans.

Comme si le gouffre financier de la LFP allait se combler par un bon travelling ou quelques micros dans les douches. On croyait avoir tout vu, mais voici que la mise en scène remplace la gestion, et que la caméra devient l’ultime sauveuse d’un sport qui meurt à petit feu faute de gouvernance : «j’ai vu à travers le film de la Formule 1 que quand on arrivait à pouvoir pénétrer les coulisses de ces sports, la Formule 1, par exemple, on entend toutes les discussions entre un ingénieur et un pilote diffusées en direct. Le football, on doit encore révolutionner tout ça. Un film sur le foot, est-ce que Brad Pitt aurait pu faire un match de la Coupe du Monde en direct, comme il a été sur un circuit de Formule 1 ? Je ne suis pas totalement certain. On doit révolutionner et permettre à des caméras d’entrer dans les vestiaires, humaniser un peu tout ça. Oui, on doit changer, essayer d’innover. Et donc aujourd’hui, c’est le début. Il y a une chaîne qui doit se lancer pour le 14 août». Le football français n’a pas besoin d’un documentaire. Il a besoin d’un plan de survie. Pendant que les clubs vendent leurs meilleurs joueurs pour éponger les dettes, pendant que la Ligue peine à vendre ses droits et que les supporters désertent les stades ou y allument des fumigènes par désespoir, les élites du foot préfèrent rêver de caméras embarquées et de storytelling calibré. À force de confondre sport et divertissement, gouvernance et narration, on risque de finir avec une belle série Netflix… sur la chute du football français.

Ligue1+ fait déjà hurler les Français

Patron de LFP Media, Nicolas de Tavernost a présenté la chaîne Ligue1+, qui va voir le jour dans les prochaines semaines pour diffuser le championnat de France, et s’est offert une première polémique.

Ligue1+ fait déjà hurler les Français

DAZN, c’est terminé. Après seulement une saison, la Ligue 1 et la plateforme anglaise ont mis fin à leur collaboration. C’est à présent sur une chaîne créée par la LFP que les amoureux du championnat de France vont pouvoir suivre les matchs de leur équipe. Ligue1+ a été présenté jeudi en conférence de presse par Nicolas de Tavernost et pour l’heure, les premiers retours sont positifs. Le prix est correct (15 euros par mois avec engagement, 20 euros par mois sans engagement), les premiers journalistes annoncés sont de qualité et la promesse éditoriale est belle, avec de nombreux reportages en inside et une couverture haut de gamme de la Ligue 1.

Nicolas de Tavernost s’est cependant offert une première polémique. En précisant sur RMC que l’offre pour deux utilisateurs était valable pour deux écrans dans un même foyer, il a très largement déçu la majorité des consommateurs, qui s’attendaient à pouvoir partager leur abonnement avec un ami ou un membre de la famille, même si celui-ci n’était pas dans le même foyer. "Les offres pour deux utilisateurs seront valables pour deux écrans dans un même foyer" a lancé Nicolas de Tavernost. Une douche froide pour les internautes.

Nicolas de Tavernost frustre les consommateurs
"Ah ben oui c’est utile dans un seul foyer un écran dans les toilettes et l’autre au salon", "Ca c’est une grosse erreur. Il faut reconquérir les très nombreux abonnés que la LFP a envoyé vers l IPTV avec une stratégie commerciale désastreuse. Vous auriez réussi un super lancement avec une offre a deux utilisateurs même a 20€", "Là par contre vous avez tout faux. C'était le plus intéressant. Aucun intérêt d'avoir 2 écrans simultanés sur le même foyer", "Ridicule. Aucun interêt. Quand tu as plusieurs contenu ok. Mais là qui va vouloir regarder deux matchs différents en même temps" ou encore "Si on peut partager l'abonnement dans deux foyers différents, ça sera un succès sinon je pense qu'ils iront dans le mur cette saison et ça fonctionnera la saison prochaine quand il y aura tout les matchs pour 15€" peut-on lire sur X.

De nombreux internautes sont toutefois prêts à parier que techniquement, la LFP sera confrontée à certaines limites et que par conséquent, un abonnement pourra être partagé par deux personnes, même s’ils ne sont pas sous le même toit. Réponse d’ici quelques semaines avec la première journée de Ligue 1 le week-end du 15 août.

La LFP dévoile sa chaîne Ligue 1+

La toute nouvelle chaîne diffusant le championnat de France s'appellera Ligue 1+, a annoncé la Ligue de football professionnel (LFP) lors de la présentation de son nouveau produit jeudi à Paris. Il s'agit ainsi de "la première chaîne 100% dédiée à un championnat de football, une première mondiale", selon le président de la LFP Vincent Labrune".

La LFP dévoile sa chaîne Ligue 1+

"Ligue 1+". Voilà comment s'appellera la nouvelle chaîne qui diffusera le championnat de France, a annoncé la LFP ce jeudi. "La Ligue 1 est une très belle marque, elle s'imposait, et Plus est maintenant un terme générique pour toutes les plateformes", a expliqué le directeur de LFP Médias Nicolas de Tavernost au siège de la Ligue.

Ligue 1+ est "la première chaîne 100% dédiée à un championnat de football, une première mondiale", selon le président de la LFP Vincent Labrune. "Aujourd’hui, toutes les conditions nous semblent réunies pour lancer la première chaîne 100 % dédiée à un championnat national. Pourquoi maintenant ? Car la Ligue 1 dispose de tous les atouts pour réussir ce projet", a-t-il développé.

Après des années de crises des droits TV, de l'abandon de Mediapro à celui de DAZN au bout de cette première saison, les revenus des clubs français, provenant essentiellement de la télévision, ont fortement baissé et la LFP cherchait une nouvelle stratégie. Elle a choisi de produire elle-même son championnat.
Pour renforcer la visibilité de son produit, LFP Médias vise "l'hyperdistribution", a développé de Tavernost, expliquant que la plateforme sera disponible sur les quatre réseaux Orange, SFR, Free et Bouygues. Du côté des streamers, DAZN, qui diffusait la L1 pour la saison 2024-2025 avant de renoncer, proposera aussi Ligue 1+.

Le modèle de la chaîne s'imposait
La LFP a fait savoir qu'elle parlait à l'ensemble des autres streamers du marché et annoncera bientôt d'autres accords. Sa chaîne sera également diffusée sur les plateformes OTT (service par contournement, over the top en anglais), directement sans passer par les fournisseurs d'accès internet. La chaîne Ligue1+ diffusera 20 heures de direct par week-end (un match le vendredi, trois dont un en différé le samedi, cinq le dimanche). Il a été annoncé que la chaîne diffuserait gratuitement le premier match de la saison prochaine du PSG qui se déplacera à Nantes, le dimanche 17 août (20h45).

Les offres commerciales proposent un abonnement annuel à 14,99 euros par mois avec engagement pour deux utilisateurs, 19,99 euros sans engagement et une offre à 9,99 euros pour les moins de 26 ans sans engagement pour un utilisateur.

L'offre mobile est de 14,99 euros mensuels sans engagement pour un utilisateur sur mobile, tablette et PC. La LFP diffusera huit matches par journée, le neuvième étant par contrat sur beIN Sports pour encore la saison 2025-2026. "Le modèle de la chaîne s'imposait, a conclu de Tavernost. Il y aura deux années compliqués pour les ressources, c'est la constitution d'un marché, les rendements seront progressifs".

Les grandes annonces de la LFP pour sa plateforme Ligue1+

La LFP et LFP Média donnaient ce jeudi une conférence de presse de présentation de la nouvelle plateforme Ligue1+. Et les têtes pensantes du projet ont fait de grosses annonces.
Les grandes annonces de la LFP pour sa plateforme Ligue1+

C’est une nouvelle page que vient d’ouvrir la Ligue de Football Professionnel, avec son lot de curiosités et d’incertitudes. La semaine dernière, l’instance a annoncé la création de sa chaîne dédiée à la retransmission de la Ligue 1 à partir de la rentrée prochaine, gérée et pilotée par LFP Media. Un projet déjà évoqué depuis plusieurs mois, face au désengagement prévu de DAZN après une saison seulement, et au refus de Canal+ de revenir dans la partie comme indiqué par Maxime Saada.

On sait désormais que la plateforme sera commercialisée au prix de 14,99 euros mensuels avec engagement (une offre de 9,99€ devrait être disponible un peu plus tard pour les -26 ans), et qu’elle sera par ailleurs disponible auprès de tous les distributeurs (Orange, SFR, Bouygues, Free, télés connectées, consoles de jeu, etc…). D’un point de vue éditorial, c’est la société de production Mediawan qui a été retenue pour éditer les programmes, tandis que le casting commence à se dessiner. Thibault Le Rol, Marina Lorenzo, Sébastien Dupuis, Smaïl Bouabdellah, Lesly Boitrelle en feront tous partie, tandis que côté consultants, des discussions sont actuellement menées avec Franck Ribéry, Samir Nasri, Johan Djourou. On sait désormais que Xavier Domergue sera aussi aux commandes du match du dimanche soir aux côtés de Benoît Cheyrou.

Une ligne éditoriale rafraîchissante
La conférence de presse donnée ce jeudi au siège de la LFP nous a également offert plus de détails sur la direction éditoriale que devrait prendre cette plateforme. «On veut mettre le plus possible en scène les coulisses de la L1, on est en discussion avec plusieurs clubs pour faire évoluer la charte média, qui définit les obligations des clubs et des diffuseurs pour améliorer le traitement éditorial. On veut améliorer notre direct, on va vous proposer beaucoup de sujets, ce ne sera pas juste une chaîne qui diffuse des matchs, a insisté le directeur éditorial de LFP Média, Jérôme Cazadieu. Il y aura du magazine, on ira dans tous les clubs, on racontera des histoires, parce qu’il y a beaucoup d’histoires à raconter aussi bien chez les gros clubs, que les plus modestes.» À noter qu’une série immersive dans les coulisses du Paris FC est déjà ficelée, et qu’un programme "inside" consacré à la dernière saison de Dante, nommée «The Last Dante» en référence à la série dédiée à Michael Jordan, est aussi prévu.

La Ligue a par ailleurs annoncé que la soirée du premier dimanche de la saison (le 17 août) serait diffusée gratuitement. Un grand magazine d’avant-match à 19h15 précédera la rencontre entre Nantes et le champion de France, le PSG. Concernant les tarifs des différents abonnements : trois offres seront disponibles. La première : "l’offre grand public" 14,99€ avec engagement, pour 2 utilisateurs. Une seconde "offre mobile" à 14,99€, sans engagement, sera disponible sur mobile et tablette, mais pour un seul utilisateur. Et enfin une "offre -26ans", au prix de 9,99€ sans engagement et pour un seul utilisateur. Cette dernière fera son apparition un peu plus tard pour des considérations techniques. Pour ce qui concerne les objectifs, ils sont clairs : atteindre 1 million d’abonnés à la fin de la première année. Vincent Labrune a aussi insisté sur sa volonté de mettre l’accent sur le digital. Troisième championnat le plus suivi au monde sur les réseaux sociaux, derrière la Premier League et la Liga, la Ligue 1 a encore l’intention de grandir. De nombreux contenus de la plateforme seront accessibles sur les canaux digitaux de la Ligue.

La LFP dévoile le nom et les programmes de la chaîne de la Ligue 1

Ce jeudi matin, la LFP a tenu une conférence de presse pour présenter sa nouvelle chaîne de la Ligue 1, en dévoilant un nom très original : Ligue 1+. "C’est maintenant un terme générique pour toutes les plateformes, a expliqué Nicolas de Tavernost, patron de LFP Média. Le + est devenu un terme générique, un gage de qualité, c’est pourquoi il nous a semblé important d’associer un nom mémorisable."

La LFP dévoile le nom et les programmes de la chaîne de la Ligue 1

Les rendements seront progressifs
Plusieurs présidents de Ligue 1 étaient présents, comme Waldemar Kita, Joseph Oughourlian, Jean-Pierre Rivère, Pierre Ferracci ou encore Antoine Arnauld, le président de la FFF Philippe Diallo, celui de la LFP Vincent Labrune, et même Thibaut Le Rol, qui sera l’un des visages de cette chaîne 100% Ligue 1 qui diffusera huit des neuf rencontres chaque journée, avec celle de Bein Sports retransmise en différé.

Labrune a répété que c’était le bon moment, pour le championnat de France, un an après avoir déjà envisagé cette plateforme. "Ce projet s’imposait car il n’y a pas de marché, il faut reprendre en main notre destin, a posé Nicolas de Tavernost. Il y aura certainement deux années compliquées en matière de ressources, car c’est la constitution d’un actif et les rendements de cette chaîne seront progressifs."

La LFP a également dévoilé le programme type d’un week-end sur Ligue1+, annonçant également plus de coulisses en lien avec les clubs. Il y aura notamment deux docus séries consacrées à la saison du Paris FC et à la dernière saison de Dante à Nice, The Last Dante.

La LFP dévoile le nom et les programmes de la chaîne de la Ligue 1

En gros, il va quand même falloir se serrer la ceinture.

Maintenant, c’est à lui de jouer

Arrivé en "pompier de service" suite au flop Sampaoli, Habib Beye a enfin lancé sa carrière de coach dans l’élite. A l’arrivée, la mission maintien a été assurée mais pour autant, beaucoup d’interrogations subsistent. Le coach Beye est éloquent, connaît parfaitement le football et semble avoir son groupe avec lui. Est-il pour autant l’homme de la situation ? Plusieurs indices laissent à penser que oui…

Maintenant, c’est à lui de jouer

La jeunesse au cœur du réacteur
Club formateur à l’ADN reconnu, le Stade Rennais ne pouvait pas s’égarer plus longtemps dans des paris douteux sur des joueurs dits à potentiels formés loin de la Piverdière. Avec l’arrivée de Loïc Désiré, formateur dans l’âme et celle en amont du technicien sénégalais, le Stade Rennais choisi de remettre son savoir-faire au cœur du projet. Habib Beye n’a ainsi pas hésité longtemps avant de lancer dans le grand bain Djaoui Cissé, que ni Julien Stéphan, ni Jorge Sampaoli n’avaient jugé apte tout en l’ayant pourtant eu sous les yeux.

Il a aussi fait le forcing pour rapatrier Jérémy Jacquet depuis Clermont, avec succès. Prisé aujourd’hui par de grands clubs européens, l’international espoir a pris aisément place en défense centrale, rendant à son coach une confiance totale. Autre trouvaille, en attaque cette fois-ci, avec Mohamed Meité, buteur décisif en finale de Gambardella et auteur de deux buts en Ligue 1, à 17 ans. Profil athlétique, remiseur et très bon de la tête, le jeune attaquant illustre les partis-pris de l’ancien consultant de Canal +.

Peu importe les statuts, Habib Beye fera jouer ceux qui le méritent et le justifient, peu importe l’âge. La fin des privilèges en quelque sorte, ou des "pseudo-statuts", qui ne fera pas que des heureux mais qui a le mérite de rebattre les cartes. Très confiant en sa vision du football et dans le projet qu’il souhaite mettre en place, l’ancien latéral droit de l’OM ne sera pas du genre à se faire dicter ses choix. Une vraie force pour reconstruire un vrai projet.

Une connaissance et une vraie maîtrise de la Ligue 1
Si être consultant ne garantit pas de pouvoir faire carrière comme entraîneur, ce vécu, dans le cas d’Habib Beye, apporte indéniablement une connaissance très élargie de ce qu’offre son environnement, en fonctionnement, en ressources comme en joueurs. Passionné de foot, le coach rennais vit pour cela, connaît parfaitement son championnat, la Ligue 1 mais ne s’arrête pas à cela et ne laissera rien au hasard au moment de construire son onze de départ, puis son effectif.

Rien n’est laissé au hasard et les erreurs de casting seront rares, la compatibilité entre les uns et les autres s’annonçant être le futur juge de paix de la réussite, ou non, du projet. Avec un staff élargi et des compétences optimisées au maximum pour l’accompagner, l’entraîneur rennais a cette fois-ci la latitude de construire son projet, une fois les indésirables de l’effectif remplacés et son groupe constitué. Affichant une forte conviction en ses idées de jeu et son désir de fédérer, le coach rennais a la main.

Quatre premiers mois compliqués mais enrichissants
S’il affirme à qui veut l’entendre, et l’accepter, qu’il a un bilan très positif depuis son arrivée en Bretagne, Habib Beye, très habile et conscient du poids de chaque mot dans sa communication, sait pertinemment que tout a été loin, très loin même, d’être parfait et abouti. Si Rennes a logiquement dominé toutes les équipes à sa portée ou inférieures, il s’est aussi incliné face à ceux mieux classés, excepté Nice, prenant quelques roustes au passage contre Paris, à Marseille ou à Lyon.

Loin de pavoiser ou de bomber le torse, le technicien défend logiquement son bilan comptable, plutôt correct, mais a aussi pu cerner et identifier tous les maux dont souffre son équipe mais aussi le club depuis plus d’un an. Les limites de l’effectif, son manque de cohésion et d’unité, autant de problématiques dont il devra se débarrasser cet été pour repartir d’une page blanche où son écriture fera désormais foi.

Avec une base défensive identifiée, bien que le système ne soit pas encore arrêté et une animation offensive à construire, Habib Beye doit poser sa patte sur une équipe qui ne demande qu’un guide pour avancer, las des changements perpétuels de capitaine à la barre du navire et de cap à suivre. La stabilité est bienvenue et les qualités du coach, sa vision et ce qu’il souhaite faire du Stade Rennais mérite du temps pour être jugé, et tant pis pour les quelques défaites potentielles. Avec le chaos du championnat 2024-25, la perte de confiance a laissé des traces. Reste à rectifier le tir d’entrée, en août.

Des cadres prêts à suivre
Faire l’unanimité dans un vestiaire pro n’est pas chose aisée mais pouvoir s’appuyer sur ses cadres revêt une importance capitale. Là où ses deux prédécesseurs étaient en difficulté, Habib Beye semble, à ce jour, pouvoir s’appuyer sur un vestiaire où chacun a eu sa chance de lui prouver son envie ou ses capacités la saison passée. Faisant de la performance à l’entraînement le critère numéro 1, le technicien sait pour autant qu’il devra s’appuyer sur une colonne vertébrale expérimentée pour réussir.

Brice Samba dans les buts, Anthony Rouault en défense, Seko Fofana au milieu de terrain et pour le moment, Ludovic Blas en dépositaire du jeu offensif. Dans les recrues à venir, il y aura forcément, aux côtés d’une jeunesse toujours prisée, de l’expérience, du vécu et des capitaines d’expédition pour porter le message.

Ambitieux pour lui comme pour son club, le coach sait cette année capitale et aura besoin de relais prêts à le suivre, contre vents et marées. Fort d’un discours puissant et persuasif, l’entraîneur des "Rouge et Noir" a les moyens de ses ambitions, en s’appuyant sur les bons appuis. De là aussi dépendra la réussite d’un projet alléchant, qui repart à zéro non sans enseignement d’un passé déjà riche de vécu personnel comme collectif.

Le nouveau producteur déjà dans la tourmente ?

La LFP a choisi Mediawan Sport pour produire sa nouvelle chaîne 100% Ligue 1. Mais derrière l'annonce officielle, des zones d'ombre inquiétantes menacent déjà la crédibilité du projet.
 Le nouveau producteur déjà dans la tourmente ?

C’est officiel depuis ce lundi : LFP Media a retenu Mediawan Sport, filiale du géant des médias, pour assurer l’intégralité de la production éditoriale de la future plateforme "Ligue 1 McDonald’s", qui sera lancée le 15 août prochain. Un choix fort, présenté comme le reflet d’une "forte ambition éditoriale". Pourtant, derrière le discours rassurant, ce partenariat suscite déjà de sérieuses interrogations. Entre une expérience quasi nulle dans la production de football en direct, des affaires judiciaires et un climat social décrit comme tendu, le nouveau partenaire de la Ligue 1 semble traîner quelques "casseroles" qui pourraient le placer dans la tourmente avant même le coup d’envoi.

Un nom prestigieux, mais un palmarès foot encore vierge
Le premier motif d’inquiétude est l’inexpérience. Mediawan Sport est une entité très récente, lancée en septembre 2024, et n’a à ce jour jamais géré la production en direct d’un match de Ligue 1 ou de Ligue des Champions. Face à un mastodonte logistique comme la production de huit matchs par journée de championnat, ce manque de savoir-faire spécifique constitue un pari audacieux de la part de la LFP, qui a préféré cette option à des candidats plus expérimentés en la matière comme 21 Production (producteur de la Coupe de France).

Une épée de Damoclès judiciaire sur le patron de Mediawan
Plus préoccupant encore, une menace judiciaire plane sur la tête du groupe. Comme l’a révélé La Tribune en janvier 2024, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a requis une amende de 110 000 € contre le fondateur de Mediawan, Pierre-Antoine Capton, pour un soupçon de délit d’initié. La décision finale de la commission des sanctions est attendue courant 2025. Une véritable épée de Damoclès qui pourrait sérieusement entacher l’image "éthique" du producteur officiel de la Ligue 1 en pleine saison.

Un climat social interne qui inquiète
À ces doutes s’ajoute un climat social interne décrit comme difficile. Selon une enquête de L’Informé en juin dernier, plusieurs salariés de Mediawan Prod dénoncent une "brutalité du management" et des "réorganisations à marche forcée". Des tensions auraient également éclaté au sein de Troisième Œil, un label du groupe dirigé par l’ex-journaliste de RMC Mohamed Bouhafsi. Ces alertes internes posent la question de la stabilité sociale de l’entreprise à l’aube d’un défi aussi colossal que la production de la Ligue 1, et font craindre de possibles mouvements sociaux.

Le pari du LFP : Le business avant l’expérience ?
Alors pourquoi ce choix risqué ? La LFP semble avoir été séduite par un budget compétitif et la promesse d’une solution "tout-en-un" (Mediawan gère les 4 lots de production). Le partenariat de Mediawan avec la société de LeBron James, SpringHill, a aussi pu peser dans la balance, faisant miroiter un développement et des sponsors à l’international. Un pari sur le business et le potentiel, plutôt que sur l’expérience avérée.

Un défi double pour une chaîne à naître
En conclusion, la LFP n’a pas seulement misé sur un tarif, mais sur un producteur certes puissant, mais flambant neuf dans ce secteur et déjà sous le feu de plusieurs polémiques judiciaires et sociales. Si Mediawan Sport relève ce double défi avec brio, le pari de la Ligue sera jugé visionnaire. Dans le cas contraire, la nouvelle chaîne 100% Ligue 1 pourrait connaître son premier couac majeur… avant même le coup d’envoi du 15 août.

La LFP choisit Mediawan pour produire sa chaîne

Le choix de la Ligue de football professionnel pour produire les matchs du championnat français de la saison prochaine s'est porté sur Mediawan Sport, aux dépens de 21 Production, l'autre candidat retenu pour la dernière phase de l'appel d'offres.
La LFP choisit Mediawan pour produire sa chaîne

Le football français voit - on l'espère - enfin le bout du tunnel. À moins de six semaines de la reprise du championnat, la Ligue de football professionnel a dévoilé ce lundi son choix pour la production de sa nouvelle plateforme dédiée à la Ligue 1 alors qu'il ne restait plus que deux sociétés de production: 21 Production et Mediawan. Et ce sont les seconds qui ont eu les faveurs de la LFP et qui officieront dès le 15 août, jour de lancement de la plateforme et de la première rencontre.

"A l'issue d'une consultation initiée par LFP Media sur la production éditoriale de la nouvelle plateforme de la Ligue 1 McDonald's, LFP Media annonce retenir le candidat Mediawan Sport, filiale de Mediawan dédiée à la production de contenus autour du sport et à l'organisation d'événements sportifs", explique la LFP dans un communiqué publié sur son site.

Huit matchs sur neuf en direct et en exclusivité par journée sur la plateforme
"Le choix des quatre lots - gestion du personnel éditorial ; production éditoriale des matchs ; production éditoriale des multiplex ; production éditoriale des magazines - s'est porté sur Mediawan Sport, dont le projet correspond à l'ambition portée par les équipes de LFP Media", précise la Ligue.

Il y a quelques jours, la LFP avait officialisé le lancement de sa chaîne 100% Ligue 1 et dévoilé le prix de lancement, fixé à moins de 15 euros. Après le retrait de DAZN à l'issue de sa première saison seulement, la Ligue de football professionnel a décidé de se lancer dans la création d'une plateforme. Elle diffusera huit matchs par journée, le neuvième étant confié à BeIn Sports qui conserve ses droits.

La production désormais choisie, il faudra maintenir conclure des accords avec des opérateurs du marché pour diffuser cette nouvelle plateforme. Une chose est sûre, elle ne sera pas accessible sur Canal+, qui a décidé d'abandonner le projet récemment. Mais elle sera de qualité, si l'on en croit le directeur général de LFP Media, Nicolas de Tavernost.

Quelles ambitions pour l’exercice 2025-26 ?

Pour la deuxième année consécutive, le Stade Rennais ne disputera pas la coupe d’Europe. Pire encore, le club "Rouge et Noir" a même flirté avec la zone rouge, ne devant son salut qu’à un léger redressement en fin de saison suite à l’arrivée d’Habib Beye sur le banc. Le retour des beaux jours n’a donc pas eu lieu et les ambitions, elles, sont restées au placard. Jusqu’à quand ?

Quelles ambitions pour l’exercice 2025-26 ?

Une saison à oublier. Douzième de Ligue 1 à l’issue de l’exercice 2024-25, le Stade Rennais a beaucoup raté et le peuple "Rouge et Noir" n’avait qu’une hâte : que tout cela se termine. Stop au regard dans le rétroviseur, place aux nouveaux espoirs, droit devant, qui ne devront pas rester vains, au risque de rentrer dans le rang un peu plus encore et d’oublier la saveur des soirées européennes, devenues habituelles cinq ans durant et faisant aujourd’hui cruellement défaut…

Pour y regoûter, les chantiers sont nombreux et le SRFC n’a plus le droit à l’erreur, avec un bon quota de jokers grillés sur les derniers mercatos. Grand "artisan" de ceux-ci, avec très peu de succès et beaucoup de fiascos, Frederic Massara a retrouvé le Calcio et l’AS Roma après une petite année où son empreinte restera essentiellement sur le terrain financier. Place sur ce poste stratégique de directeur sportif à un tout autre profil : Loïc Désiré.

Place au dégraissage
Ancien responsable du recrutement du RC Strasbourg entre 2014 et 2025, mais aussi recruteur de l’Ajax Amsterdam entre 2005 et 2014, celui-ci est de retour en Bretagne où il occupa différentes fonctions du côté de Vannes pendant une quinzaine d’années. La mission ne s’annonce pas aisée pour l’ancien adjoint de Stéphane Le Mignan dans le Morbihan. Première certitude, place au dégraissage et aux réparations des dégâts avec un vestiaire à équilibrer.

Pour ce faire, Arnaud Pouille a annoncé, dans Pleine Lucarne sur TV Rennes, souhaiter redescendre à 25 joueurs sous contrat, contre plus de 35 la saison dernière, en comptant les joueurs prêtés. Les recrues, attendues moins nombreuses, devront être de vrais renforts et le recrutement s’orienterait logiquement vers des joueurs "Ligue 1 compatible".

Entourer la jeunesse
Plus de temps pour les paris, et si paris il y a, ils viendront de la pépinière rennaise, titrée pour la quatrième fois en coupe Gambardella et élue quelques semaines plus tard meilleur centre de formation pour la troisième saison consécutive. Si Jérémy Jacquet, Mohamed Meïté ou Djaoui Cissé ont déjà trouvé grâce aux yeux d’Habib Beye, d’autres jeunes vont gratter du temps de jeu la saison prochaine. Lucas Rosier, décisif durant le parcours en Gambardella, fait partie des prétendants légitimes.

Prêté l’année passée à Concarneau, Rayan Bamba devrait lui être la doublure du futur latéral droit titulaire. Aussi brillante soit-elle, la jeunesse ne suffira néanmoins pas pour retrouver un certain standing et celle-ci devra être bien entourée. Un groupe à remodeler dans sa vie interne comme dans son organisation. Pour retrouver de l’allant, la question du dispositif est ouverte. Sur les deux derniers matchs de la saison, contre Nice et à Marseille, l’ancien coach du Red Star s’est essayé à une défense à quatre.

Un test plutôt concluant face aux Aiglons au Roazhon Park avec l’un des meilleurs matchs de la saison mais beaucoup moins au Vélodrome avec une dernière valise avant de partir en vacances. À trois derrière, la base défensive est solide mais souvent au détriment de la percussion offensive… Pas sûr que l’idée séduise un public exigeant, le jeu devant retrouver toute sa place au cœur du projet. Comme souvent, tout sera une question d’équilibre et d’animation.

Enfin de la stabilité ?
Si le secteur défensif semble apporter quelques promesses, à défaut de garanties, tout est à refaire sur les côtés avec les départs de Lorenz Assignon et d’Adrien Truffert. Deux départs importants marquant la fin d’un cycle mais aussi d’une génération formée au club, qui devront être compensés par des arrivées au moins de même niveau. Le flou persiste au milieu de terrain et en attaque où le chantier est aussi vaste avec des départs qui devraient être nombreux. Qui, comment, dans quelle animation, avec le probable départ du meilleur buteur Arnaud Kalimuendo ? Autant de questions qui vont tenir en haleine le peuple rennais tout l’été…

Dernier point à ne pas négliger enfin, le "contexte rennais". Défini par l’ambiance dans et autour du groupe, la confiance, les relations staff-dirigeants et le crédit apporté au projet, il permettra le retour de la ferveur populaire. Après deux saisons sans Europe et une instabilité chronique, entre changements de coach, de dirigeants ou de président, le Stade Rennais doit sortir du tumulte pour retrouver une navigation plus paisible.

Un bon début de saison est indispensable pour offrir un nouveau souffle, porté par Habib Beye dans un autre rôle que celui de pompier de service. En manque d’émotions depuis trop longtemps, les supporters rennais ont été patients et plutôt conciliants, ne rajoutant pas trop d’huile sur le feu malgré la déception d’un championnat raté. Au club désormais de se mettre au diapason. Les moyens sont là, un luxe au regard de la situation du foot français dans son ensemble et ce sont désormais les choix et les actes qui redéfiniront des ambitions forcément attendues à la hausse.

L’Europe, un temps si proche et pourtant déjà si loin…
Rennes ne peut pas se contenter du ventre mou et doit retrouver le niveau qu’il avait mis tant de temps à atteindre. L’Europe ou du moins sa conquête, doit redevenir un quotidien. Dernier souvenir en date, une double confrontation contre le Milan AC avec, d’un côté, un déplacement à plus de 10.000 en Italie, et de l’autre, une victoire au Roazhon Park et un triplé de la légende Benjamin Bourigeaud. Un temps que les moins de 20 ans connaissent sur le bout des doigts, un temps si proche et pourtant déjà si loin…

Bien trop proche pour chérir une nostalgie qui viendra quand sonnera son heure et qui doit se nourrir d’autres pages à écrire dès demain par les futurs "Rouge et Noir". L’heure du rachat, à défaut d’avoir été proclamée est attendue par tout un public qui ne demande qu’à croire en une équipe en laquelle il pourra se retrouver et s’identifier. Voilà un horizon tout tracé pour reprendre le bon cap, dès août prochain.

S.G.S.B.

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