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04 Mai 2025

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Anthony Rouault a repris l’entraînement collectif

Remis de son entorse à la cheville, le défenseur Anthony Rouault a repris l’entraînement collectif avec le Stade Rennais lundi 24 février. La recrue du mercato d’hiver pourrait faire ses débuts avec le SRFC dimanche 2 mars, à Montpellier.

Anthony Rouault a repris l’entraînement collectif

Enfin le vrai départ de l’aventure rennaise pour Anthony Rouault ? L’ex défenseur de Stuttgart, l’une des recrues phares du mercato d’hiver à Rennes, s’était blessé à la cheville à l’entraînement juste après son arrivée le 2 février.

Ce pépin l’avait privé des matches face à Saint-Etienne (2-0), Lille (0-2) et Reims (1-0), retardant d’autant son intégration à une défense où il est censé devenir un pilier.

Blas et Samba de retour à Montpellier
Rétabli, l’ancien Toulousain (23 ans) a rejoint le groupe à l’entraînement ce lundi 24 février, et si la semaine se passe normalement, il pourrait donc faire ses débuts lors du déplacement à Montpellier, programmé dimanche 2 mars (17 h 15), aux côtés de Brassier et Jacquet dans la défense à trois du SRFC.

Pour le voyage dans l’Hérault, Rennes récupérera aussi Samba et Blas (de retour de suspension), mais pas Wooh, toujours suspendu.

Mandanda intéresse un club de Ligue 1

Mandanda intéresse un club de Ligue 1 et il pourrait quitter la Bretagne l'été prochain.
Mandanda intéresse un club de Ligue 1

Steve Mandanda, devenu la doublure de Brice Samba au Stade Rennais, a récemment été au cœur de nombreuses rumeurs de transfert. Bien que plusieurs clubs aient montré de l’intérêt pour lui, Mandanda a choisi de rester fidèle à son équipe actuelle.

Parmi les équipes qui s’intéressaient à Mandanda, le RC Lens cherchait activement un gardien après le départ de leur capitaine Samba en janvier. Hervé Koffi a temporairement occupé le poste vacant, en attendant l’arrivée d’une nouvelle recrue.

Le RC Lens a finalement opté pour Mathew Ryan, bien que Mandanda ait été l’une des pistes envisagées, aux côtés de Jean Butez. Les spéculations sur son avenir se sont donc calmées, Mandanda continuant son parcours au Stade Rennais.

En parallèle, Mandanda aurait également pu explorer des opportunités en MLS ou en Arabie saoudite, mais ces pistes n’ont pas abouti à un transfert. Le Havre était aussi sur la liste des prétendants intéressés par le gardien expérimenté.

Contre Reims, Mandanda a repris sa place dans les buts, profitant de la suspension de Brice Samba pour montrer qu’il restait un atout important pour son équipe. Sa performance a rappelé son talent et son expérience indéniables.

Habib Beye répond aux sifflets du Roazhon Park

Le public Rennais en veut plus.

Habib Beye répond aux sifflets du Roazhon Park

Mécontent malgré un troisième succès en quatre matchs décroché par le Stade rennais ce vendredi soir face à Reims (1-0), le public breton a offert une belle bronca à ses ouailles à la fin de la rencontre en réponse à la prestation terne proposée par son équipe. Ces sifflets n’ont pas échappé à Habib Beye, le nouveau druide des Rouge et Noir, qui y a réagi après la rencontre face à la presse : "Je ne demande rien au public. Quand vous venez au stade, les gens paient leur place pour venir voir un spectacle et s’ils ne sont pas satisfaits, ils sont en droit de manifester comme ils l’ont fait. Je dis juste qu’en tant que coach, c’est difficile pour moi parce qu’il ne faut pas qu’on oublie d’où l’on vient. La satisfaction du moment, ce sont les résultats positifs. Pour avoir discuté avec certains de mes joueurs, ils m’ont dit : “Coach, peut-être qu’il y a un mois, celui-là on ne le gagne pas. Il y a deux mois on peut même le perdre.”

Avec 26 points désormais au compteur, Rennes s’est bien éloigné de la zone rouge et pointe avant les autres rencontres de cette 23e journée à la 11e place du classement. Encore loin de l’Europe, mais désormais loin du pire.

Mandanda, ses mots très forts sur Samba

Steve Mandanda n’a pas langue dans sa poche. Après une première partie de saison très délicate, le champion du monde 2018 a vu sa direction faire un choix fort en s’attachant les services de Brice Samba. Doublure de l’ancien Lensois, Mandanda comble sa suspension et est donc relancé ce vendredi contre Reims.

Mandanda, ses mots très forts sur Samba

L’occasion pour la légende de l’OM de donner une réponse claire sur son niveau de jeu. Mandanda le dit ouvertement : il n’a pas été à son niveau avec le Stade Rennais cette saison.

Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même
« On ne vit jamais très bien ce genre de situation, a-t-il avoué sur RMC. Mais après, je connais aussi le foot. Aujourd’hui, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même, je n’ai pas été performant et à partir du moment où on n’est pas performant, c’est quelque chose qui peut arriver.

"Si j’avais été performant, il n’y aurait pas eu de débat, il n’y aurait pas eu besoin de réfléchir sur le poste de gardien de but, a continué Mandanda. À partir du moment où j’ai une première partie de saison qui est plus que moyenne, où je coûte pas mal de buts et de points à l’équipe, c’est logique que cette réflexion existe au sein du club. C’est Brice qui est arrivé, mais ça aurait pu être un autre aussi. C’est pour ça que je le dis et je le répète : je ne peux m’en prendre qu’à moi-même".

Je ne sais pas si j’ai cette force et cette volonté de continuer

Longuement interrogé par RMC Sport ce jeudi peu avant ses 40 ans (qu’il fêtera le 28 mars), Steve Mandanda est revenu sur ses derniers mois délicats avec Rennes, où il est relégué au poste de doublure depuis cet hiver.

Je ne sais pas si j’ai cette force et cette volonté de continuer

Très probable titulaire ce vendredi soir contre Reims avec la suspension de Brice Samba (trois avertissements en dix matchs), le presque quadragénaire n’est visiblement pas parti pour faire de vieux os en Bretagne. En effet, une éventuelle prolongation avec le SRFC ne semble pas vraiment dans les plans. «?En tout cas, je n’ai discuté et échangé avec personne. Moi-même je ne sais pas si j’ai cette force et cette volonté de continuer?», a-t-il admis.

La date de sa fin de carrière, elle, est encore plus incertaine. «?Je n’ai jamais été quelqu’un qui se projetait loin dans l’avenir et aujourd’hui, ça se confirme parce que quand je réfléchis à ce que je vais faire ou ce que je dois faire, je n’ai pas la réponse. J’ai beaucoup de questions, mais je n’ai pas de réponse. Donc on verra bien ce que l’avenir me réserve.?»

Sa seconde cohabitation avec Brice Samba
Une incertitude certainement amplifiée par l’arrivée de Brice Samba, son ancienne doublure à l’OM qui lui prend le statut de titulaire dix ans après. «?On ne vit jamais très bien ce genre de situation. Mais après, je connais aussi le foot. Aujourd’hui, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même, je n’ai pas été performant et à partir du moment où on n’est pas performant, c’est quelque chose qui peut arriver?. »

Bien que dépassé dans la hiérarchie par son cadet, Mandanda démonte toute rivalité avec Samba. «?Il n’y a rien à rétablir, je n’ai jamais eu de problème particulier avec Brice et je pense que lui non plus. C’est sûr que lui étant plus jeune, arrivant à Marseille, il avait cette volonté de pouvoir jouer. Moi, étant joueur à Marseille, j’avais envie aussi de garder cette place. Mais cette volonté de vouloir jouer ne doit pas enlever le respect ou le plaisir qu’on a de travailler ou de côtoyer l’autre?», a-t-il conclu.

Allez, un petit clean sheet vendredi et tout ira pour le mieux.

Je ne sais pas si j’ai cette force et cette volonté de continuer

Longuement interrogé par RMC Sport ce jeudi peu avant ses 40 ans (qu’il fêtera le 28 mars), Steve Mandanda est revenu sur ses derniers mois délicats avec Rennes, où il est relégué au poste de doublure depuis cet hiver. Très probable titulaire ce vendredi soir contre Reims avec la suspension de Brice Samba (trois avertissements en dix matchs), le presque quadragénaire n’est visiblement pas parti pour faire de vieux os en Bretagne. En effet, une éventuelle prolongation avec le SRFC ne semble pas vraiment dans les plans. "En tout cas, je n’ai discuté et échangé avec personne. Moi-même je ne sais pas si j’ai cette force et cette volonté de continuer", a-t-il admis.

Je ne sais pas si j’ai cette force et cette volonté de continuer

La date de sa fin de carrière, elle, est encore plus incertaine. «?Je n’ai jamais été quelqu’un qui se projetait loin dans l’avenir et aujourd’hui, ça se confirme parce que quand je réfléchis à ce que je vais faire ou ce que je dois faire, je n’ai pas la réponse. J’ai beaucoup de questions, mais je n’ai pas de réponse. Donc on verra bien ce que l’avenir me réserve.?»

Sa seconde cohabitation avec Brice Samba
Une incertitude certainement amplifiée par l’arrivée de Brice Samba, son ancienne doublure à l’OM qui lui prend le statut de titulaire dix ans après. «?On ne vit jamais très bien ce genre de situation. Mais après, je connais aussi le foot. Aujourd’hui, je ne peux m’en prendre qu’à moi-même, je n’ai pas été performant et à partir du moment où on n’est pas performant, c’est quelque chose qui peut arriver?. »

Bien que dépassé dans la hiérarchie par son cadet, Mandanda démonte toute rivalité avec Samba. «?Il n’y a rien à rétablir, je n’ai jamais eu de problème particulier avec Brice et je pense que lui non plus. C’est sûr que lui étant plus jeune, arrivant à Marseille, il avait cette volonté de pouvoir jouer. Moi, étant joueur à Marseille, j’avais envie aussi de garder cette place. Mais cette volonté de vouloir jouer ne doit pas enlever le respect ou le plaisir qu’on a de travailler ou de côtoyer l’autre?», a-t-il conclu.

Allez, un petit clean sheet vendredi et tout ira pour le mieux.

Toutes les décisions de la commission de discipline du 19 février

Retrouvez toutes les décisions de la commission de discipline de la LFP de ce mercredi concernant les joueurs de Ligue 1 McDonald’s.
Toutes les décisions de la commission de discipline du 19 février

Deux matchs de suspension ferme et un match avec sursis
Nicolas COZZA (FC Nantes)

Un match de suspension ferme et un match avec sursis
Deiver MACHADO (RC Lens)
Christopher WOOH (Stade Rennais FC)

Un match de suspension ferme
Melvin BARD (OGC Nice)

Un match ferme à la suite d’un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1 McDonald’s, Coupe de France, Trophée des Champions) ou par révocation du sursis. La sanction prendra effet à partir du mardi 25 février 2025 à 0h00.
Tanguy COULIBALY (Montpellier Hérault SC)
Derek CORNELIUS (Olympique de Marseille)
Nicolás TAGLIAFICO (Olympique Lyonnais)

DAZN réclamerait plus de 500 millions à la LFP

Le torchon brûle de plus en plus entre la LFP et le principal diffuseur de la Ligue 1 (huit matches par journée lors de la saison 2024-25). Selon les informations de RMC Sport, DAZN réclame 573 millions d'euros à la Ligue. L'entreprise britannique dénonce notamment une "tromperie sur la marchandise"et des "manquements observés".

DAZN réclamerait plus de 500 millions à la LFP

Les choses ne vont pas en s'arrangeant entre la LFP et DAZN, le principal diffuseur de la Ligue 1 (huit matches par journée lors de la saison 2024-25). Alors qu'elle n'a réglé que la moitié de son échéance du mois de février à la Ligue (soit 35 millions d'euros), l'entreprise britannique est allée encore plus loin en réclamant 573 millions d'euros à l'instance du football professionnel français, comme l'a révélé mercredi RMC Sport.

La LFP a avancé aux clubs de L1 au titre de l'échéance due de février
DAZN, qui a assigné la Ligue de football professionnel devant le tribunal de commerce de Paris le 30 janvier dernier, demande, dans un premier temps, à se faire rembourser 309 millions d'euros pour "tromperie sur la marchandise" puis 264 millions pour "manquement observé". Comme l'annonçait L’Équipe la semaine passée, la LFP a également attaqué DAZN sur le plan judiciaire.

Alors que plusieurs écuries de Ligue 1 n'ont pas caché leur inquiétude concernant la suite sur le plan financier, la Ligue de football professionnel a assuré lundi avoir activé son fonds de réserve pour avancer aux clubs au titre de l'échéance due de février. D'ici à une semaine, ce sera le début du mois de mars et une solution devra vite être trouvée pour éviter une catastrophe industrielle au sein du football français.

Je ne questionne pas du tout le niveau de Seko Fofana

Habib Beye a affiché mercredi toute sa confiance en Seko Fofana malgré les débuts très mitigés du milieu ivoirien avec le Stade Rennais.
Je ne questionne pas du tout le niveau de Seko Fofana

Arrivé à Rennes en janvier après une aventure compliquée en Arabie saoudite, Seko Fofana peine à retrouver le niveau qui était le sien à Lens. Pas encore au top de sa forme, le milieu ivoirien ne parvient pas encore à enchaîner les matchs et reste même sur deux rencontres débutées sur le banc en championnat. Avant le duel contre Reims, vendredi en ouverture de la 23e journée de Ligue 1, Habib Beye a rappelé tout le bien qu'il pensait de la recrue star des Bretons.

"Je pense que vous êtes durs sur l’expression 'entrée neutre'. Ce n’est pas facile de rentrer dans un match comme celui-ci", a ainsi ce mercredi l'entraîneur du Stade Rennais en référence à la récente défaite contre Lille. "Je l’ai dit et je le répète, j’ai toute confiance en Seko."

Fofana continuer de "monter en puissance"
Après ces premiers mots rassurants pour son milieu de 29 ans, Habib Beye s'est montré un peu plus prolixe et a encore justifié cet avis plutôt positif sur l'ancien taulier des Sang et Or.

"J’ai trouvé que c’était un joueur qui, cette semaine, était encore monté en puissance sur l’aspect athlétique", a renchéri le nouvel entraîneur de l'équipe bretonne. "Il est aussi monté en puissance en termes de confiance, dans cette volonté de faire partie de ce groupe-là et d’apporter toutes ses qualités."

Ce qu'il manque encore à Fofana pour briller selon Beye
Soucieux de soutenir publiquement Seko Fofana, Habib Beye a confirmé qu'il avait échangé avec lui pendant la semaine. En attendant de savoir s'il débutera contre Reims ou si le coach sénégalais lui préfèrera encore le jeune Djaoui Cissé dans l'entrejeu, l'Ivoirien peut-être rassuré: il aura sa chance. Une fois, bien sûr, qu'il aura retrouvé ce petit plus qui a fait sa force en Ligue 1.

"Je lui ai parlé cette semaine en lui disant qu’aujourd’hui je savais le joueur qu’il était et qu’il fallait qu’il soit totalement libre et en confiance pour s’exprimer lorsqu’il en aura l’opportunité", a ensuite affirmé le technicien rennais face à la presse. "Mais ce qui est sûr c’est que je ne questionne pas du tout le niveau de Seko Fofana. C’est pour moi un très grand joueur et il montrera toutes ses qualités."

Avant de conclure très clairement: Il l’a déjà fait ici (en Ligue 1) et il continuera à le faire au Stade Rennais."

Stéphane Richard approché pour le poste de directeur général de LFP Media

CVC, le fonds d'investissement à l'origine de la filiale commerciale de la LFP, cherche un nouveau directeur général pour remplacer Benjamin Morel. L'ancien patron d'Orange Stéphane Richard a été approché.
Stéphane Richard approché pour le poste de directeur général de LFP Media

À la crise audiovisuelle et financière traversée par le foot français s'ajoute une crise de gouvernance au sein de LFP Media, la filiale commerciale de la Ligue de football professionnel (LFP), très critiquée après le dernier appel d'offres télé. En effet, son directeur général, Benjamin Morel, va quitter son poste à la fin du mois. Il a décidé de s'en aller moins de deux ans après son arrivée en raison de divergences de points de vue avec Vincent Labrune, le président de la Ligue et de la société commerciale, notamment lors de la négociation des droits audiovisuels l'été dernier.

CVC, le fonds d'investissement à l'initiative de la création de la filiale de la LFP grâce à son apport de 1,5 milliard d'euros, échaudé lui aussi par l'épisode du processus d'attribution des droits télé et son résultat, a décidé d'être actif sur cette succession, même si Morel était déjà son candidat. « Compte tenu de ce qui s'est passé l'été dernier et des relations avec Labrune, je n'imagine pas que le fonds se fasse imposer un candidat », confie un connaisseur du dossier.

Selon nos informations, CVC a ainsi approché Stéphane Richard (63 ans), l'ancien PDG d'Orange (*). Actuellement associé dans une banque d'affaires américaine, cet énarque, passé notamment par les ministères de l'Économie et de l'Industrie, possède un profil qui renforcerait la fonction de DG de LFP Media. Même s'il ne serait pas le seul candidat en lice, il a déjà rencontré plusieurs dirigeants du football français. Preuve que sa candidature est avancée. Pour l'heure, les négociations pour son recrutement ne sont pas encore finalisées, plusieurs points doivent être réglés, notamment sur son champ d'action.

(*) Condamné en appel à un an de prison avec sursis et 50 000 € d'amende en novembre 2021 pour complicité de détournement de fonds publics dans l'affaire de l'arbitrage controversé de 2008 entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais (lorsqu'il était directeur de cabinet de la ministre de l'Économie, Christine Lagarde), Stéphane Richard avait démissionné de la direction d'Orange, où il était en place depuis 2010. Mais, en juin 2023, la Cour de cassation a ordonné la tenue d'un nouveau procès, qui doit avoir lieu du 24 mars au 1er avril devant la cour d'appel de Paris.

S'il est choisi, il aurait pour mission de renouer avec Canal +
L'idée de CVC est qu'il soit en totale autonomie par rapport à la Ligue et Labrune. Ce dernier assure qu'il ne s'immiscera pas dans cette désignation. Mais pourra-t-il rester encore longtemps président de LFP Media dans le contexte actuel ? Même si on n'en est pas là, le pacte d'associés entre la LFP et CVC prévoit une éventuelle révocation de l'ex-président de Marseille en raison des résultats obtenus deux années de suite.

S'il est poussé par CVC, Richard a aussi le soutien de Joseph Oughourlian, le président de Lens, homme d'affaires averti qui a été très critique ces derniers jours avec la LFP. Au vu de son expérience et de son réseau au plus haut sommet de l'État et parmi les grands chefs d'entreprises français, l'ex-patron d'Orange aurait notamment pour mission de renouer avec Canal +. Un objectif compliqué, mais fixé par les présidents de club de L1 et de L2, compte tenu des incertitudes pesant sur l'accord avec DAZN, diffuseur principal de la L1, qui paye 325 M€ cette saison et une moyenne de 400 M€ sur la durée du contrat jusqu'en 2029.

Selon des sources audiovisuelles, Vincent Bolloré, propriétaire de Canal +, qui n'est pas fan de Labrune, ne serait pas complètement fermé mais aurait fixé plusieurs conditions pour se pencher de nouveau sur le foot français, après avoir beaucoup investi ces dernières saisons sur d'autres droits (Ligue des champions, Top 14, Formule 1, Moto) : notamment obtenir un contrat longue durée et investir une somme assez proche de celle d'Amazon, le prédécesseur de DAZN, soit 259 M€ annuels. L'arrivée de Richard, si elle devait se confirmer, devra être validée par les clubs, la LFP, mais aussi la FFF.

Qui sont les membres du conseil des sages ?

Depuis quinze jours, le nouveau coach du Stade Rennais Habib Beye s’attelle à impulser une autre dynamique interne à un effectif qui manquait sérieusement de cohésion. Pour lui servir de relais, il a notamment créé un conseil des sages composé de Truffert, Fofana, Samba, Mandanda, Hateboer, Blas et Kalimuendo. Le SRFC reçoit Lille ce dimanche 16 février (20 h 45) au Roazhon Park, en clôture de la 22e journée de Ligue 1.

Qui sont les membres du conseil des sages ?

Dans le foot, c’est bien connu : quand ça gagne, tout le monde vit mieux ensemble. Les quinze derniers jours à Rennes ont été escortés de cet air plus léger, qui souffle depuis l’arrivée d’Habib Beye et le succès arraché 1-0 contre Strasbourg.

La victoire enchaînée à Saint-Etienne, samedi 8 février, n’a fait que renforcer les sourires et les échanges plus nourris durant une semaine de travail intense à la Piverdière. Les supporters ont pu le constater mercredi dernier, lors de la séance ouverte au public.

Le groupe ne doit pas être conditionné par l’humeur du résultat
Cela a changé de la soupe à la grimace des semaines précédentes, qui alimentait le débat redondant sur le manque de cohésion du vestiaire depuis qu’il avait été totalement refondé l’été dernier. "Il y a plus de liant, d’échange, de joie, mais c’est aussi lié aux résultats, rappelle Habib Beye. Le lien, vous le créez aussi à l’entraînement, à travers l’aspect de compétition. Il n’y a pas de logique de sélection sur la semaine d’entraînement : ce sont les joueurs qui animent et créent l’adversité, et dans l’adversité vous créez du lien, avec le même objectif, celui d’être performant."

Beye trace la marche à suivre : "Je ne veux pas que le groupe soit conditionné par l’humeur du résultat. L’humeur doit être liée à l’éthique de travail que vous fixez au quotidien, cela ne doit pas bouger, et c’est ce qui permet d’avoir des résultats dans le temps. J’observe au quotidien, je ne laisse rien passer, pour écarter tous les types de frustrations qui sont des freins à la performance. Mais tout dépend toujours de l’adhésion des joueurs…"

L’entraîneur ne rentre pas dans le vestiaire des joueurs, car "c’est leur lieu de vie. Mais j’observe tout et j’en réfère au conseil des sages, si l’éthique de travail ne correspond pas à ce qu’on veut".

Samba… et Mandanda parmi les sept relais désignés de Beye
Le conseil des sages, c’est ce que Beye a souhaité réinstaller, comme par exemple du temps de Bruno Genesio. Un groupe de cadres représentant les différentes tendances ou origines du vestiaire, qui sert à faire passer les messages du coach aux joueurs, ou des joueurs au coach. "On est un peu les entremetteurs", sourit Adrien Truffert.

Le capitaine en fait partie, comme Brice Samba, Seko Fofana, Arnaud Kalimuendo et Ludovic Blas, tous titulaires en puissance. Mais il y a aussi des "remplaçants", le Néerlandais Hans Hateboer… et Steve Mandanda, l’ex-capitaine devenu doublure de Samba, que Beye a souhaité quand même inclure dans ses relais. Et qui sera amené à jouer vendredi 21 février lors de la réception de Reims, puisque Samba sera suspendu…

Les propositions qui pourraient révolutionner les règles du football

L'ancien arbitre Pierluigi Collina a proposé cette semaine de modifier la règle des penalties. Ces dernières années, plusieurs légendes du foot ont tenté d'apporter des idées innovantes, à l'image d'Arsène Wenger ou Michel Platini.
Les propositions qui pourraient révolutionner les règles du football

L'ancien arbitre italien Pierluigi Collina a présenté, mardi, un nouveau projet nommé « one shot » pour révolutionner les penalties. Son idée est d'équilibrer le rapport de force entre les tireurs et les gardiens en instaurant la même règle que lors des tirs au but. « Soit tu marques, soit on relance par un six mètres, point final », a-t-il précisé. Il n'est pas le seul, ces dernières années, à tenter de proposer des nouvelles règles dans le football. Avant lui, Arsène Wenger, Marco Van Basten ou encore Michel Platini ont remué leurs méninges avec des idées à la fois novatrices et, parfois, loufoques.

La suggestion du carton blanc
Dès 2016, le Syndicat des arbitres du Football d'Elite (SAFE) a proposé plusieurs mesures aux instances du football professionnel. Si l'instauration de micros et l'application de l'arbitrage vidéo sont désormais en place, d'autres idées comme le « carton blanc » n'ont pas été retenues. Olivier Lamarre, alors président du SAFE, souhaitait que les joueurs « énervés » puissent être exclus temporairement durant dix minutes « pour souffler », afin d'éviter l'utilisation « un carton jaune ou d'un carton rouge ». Un carton bleu a également été évoqué pour sanctionner les fautes antisportives, avant que l'idée ne soit abandonnée.

Van Basten et l'abolition du hors-jeu
Alors en charge du développement technique de la FIFA en 2017, le Néerlandais Marco van Basten avait été clair sur la règle du hors-jeu dans le football. « Je suis convaincu que serait mieux sans », avait-il appuyé quatre années plus tard. L'ancien attaquant souhaitait un jeu davantage spectaculaire et offensif en expliquant que « si les attaquants peuvent se déplacer derrière les défenseurs, il y a beaucoup plus de possibilités de buts. »

Les touches au pied par Wenger
Une autre légende du football a tenté de rénover la règle du hors-jeu, en 2020. Arsène Wenger (75 ans), ancien coach d'Arsenal, a proposé de la modifier, sans la supprimer, avec cette même idée de favoriser les joueurs offensifs. Son objectif est de permettre à l'attaquant d'être devant le défenseur à condition qu'une partie de son corps soit au même niveau qu'un défenseur. Testée lors de tournois de jeunes en Suède et en Italie, la « loi Wenger » n'a toujours pas été mise en vigueur dans le monde professionnel.

Le Français, désormais directeur du développement du football mondial à la FIFA, a également milité pour l'instauration des touches au pied « au moins sur une partie du terrain » car « la touche doit être un avantage » selon lui.

Un trio arbitral identique toute la saison
Face aux critiques régulières sur l'arbitrage français, Luis Fernandez (65 ans) a proposé, en 2024, que les arbitres soient formés en équipe : un principal sur le terrain, le quatrième au bord du terrain et le superviseur à la vidéo. « Chacun prendrait à tour de rôle le terrain, le bord du terrain et la vidéo, et on donnerait une prime exceptionnelle en fin de saison aux meilleures d'entre elles. ». Ce dispositif renforcerait, selon l'ancien joueur, « leur relation et leur complicité. »

Platini veut jouer à 10
C'est une des propositions les plus révolutionnaires de ces dernières années. Michel Platini (69 ans), ex-capitaine de l'équipe de France, a proposé en 2024 dans l'émission Rothen s'enflamme sur RMC que les équipes soient composées de dix joueurs. « Le football, on l'a fait à 11 en 1900, mais en 1900 ils couraient moins qu'aujourd'hui, ils étaient moins costauds, ils allaient moins vite. ».

Une nouvelle règle pour les gardiens
L'International Football Association Board (IFAB), responsable des lois du jeu, a suggéré fin 2024 une nouvelle règle concernant les gardiens. Si un portier conserve plus de huit secondes le ballon dans ses mains, un corner pourrait être attribué à l'équipe adverse. Cette idée, qui permet d'accélérer le jeu, a déjà été mise en application dans les Championnats maltais et U21 anglais.

Le plan de la LFP est connu en cas de départ de DAZN

Face au conflit entre la LFP et DAZN, la Ligue pourrait choisir de lancer sa propre chaîne en cas de départ de son diffuseur actuel. Un projet déjà imaginé au printemps dernier.

Le plan de la LFP est connu en cas de départ de DAZN

Après avoir acquis les droits de la Ligue 1 pour diffuser 8 matchs sur 9 en direct chaque journée, la plateforme DAZN se retrouve dans la tourmente, avec seulement 500 000 abonnés enregistrés. Pour rappel, l’objectif initial était de compter 1,5 million d’abonnés. Un chiffre visiblement trop ambitieux.

Depuis quelques jours, un conflit a éclaté entre DAZN et la LFP, notamment autour du paiement de la quatrième échéance, avec seulement une moitié de la somme réglée, et l’autre mise sous séquestre. Une manière de créer un électrochoc, alors que la plateforme a assigné la Ligue pour non-respect des conditions du contrat, notamment concernant la lutte contre le piratage et la participation des clubs à l’amélioration des contenus.

Un projet de chaîne qui reprend de l’épaisseur
De son côté, la LFP a également saisi la justice et réclamé le paiement de cette somme devant le tribunal de commerce de Paris. La réponse est attendu le 28 février, mais une rupture entre DAZN et la LFP n’a jamais été aussi probable, en fin de saison ou même en fin d’année. Une clause permet à DAZN de se retirer en décembre si l’objectif d’abonnés n’est pas atteint.

Si relancer un appel d’offres semble difficile, le projet de créer une chaîne made in LFP reprend de l’épaisseur, indique L’Équipe ce samedi. Un projet datant du printemps dernier, qui prévoyait la création d’une chaîne Ligue 1 associée à la plateforme Max de Warner Bros Discovery, lancée en France en juin 2024.

Discovery reste intéressé
L’offre aurait été commercialisée à 27,99 euros par mois et aurait inclus 100 % des matchs de la Ligue 1, ainsi que des films, séries (comme celles de HBO), des documentaires et les chaînes Eurosport. Bien que ce projet n’ait pas été retenu à l’époque, Discovery reste intéressé, mais la LFP doit encore résoudre le problème de financement pour soutenir les clubs avant que la plateforme ne génère des revenus.

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Une inquiétude pour une recrue hivernale

Près d’un millier de fans avaient anticipé leur présence en réservant par le biais du club, et mercredi, environ 800 s’étaient rassemblés autour du terrain de la réserve. La séance, menée par Habib Beye et son équipe, a captivé les jeunes supporters en vacances à la Piverdière.

Une inquiétude pour une recrue hivernale

Bravant le froid breton, les supporters ont eu l’occasion d’observer de près plusieurs nouvelles recrues, bien que l’absence notable d’Anthony Rouault ait été remarquée. Le défenseur, blessé lors d’un entraînement précédent, n’a pas participé à la séance actuelle ni à celle du jour précédent.

Habib Beye a néanmoins pu compter sur un effectif presque complet, avec Azor Matusiwa parmi les présents. Les joueurs Olaigbe, Sishuba, Koné, Al-Tamari, Brassier et Jacquet ont également pris part aux exercices variés, permettant d’évaluer différentes combinaisons en situation.

Les entraînements ont inclus des formations défensives et offensives en lignes de trois, tandis qu’une ligne de quatre a évolué au milieu. Ces ateliers ont permis d’expérimenter diverses associations de joueurs, offrant un aperçu des potentielles stratégies à venir.

La question d’un forfait d’Anthony Rouault pour le match contre Lille demeure préoccupante, car sa participation reste incertaine. L’absence du défenseur, arrivé lors du mercato hivernal, pourrait influencer la composition de l’équipe pour les prochaines rencontres.

S.G.S.B.

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