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Benjamin Bourigeaud cambriolé pendant le match du Stade Rennais face à l'AC Milan

Le cambriolage du milieu de terrain a eu lieu, jeudi 22 février, en pleine rencontre de barrages pour la Ligue Europa au Roazhon Park, face aux Milanais.

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Le milieu de terrain du Stade Rennais Benjamin Bourigeaud a été cambriolé, jeudi 22 février, en soirée, à Rennes, indique une source policière, confirmant une information de France Bleu Armorique.

Selon les premiers éléments, personne ne se trouvait au domicile du joueur. Pour l’heure, le montant du préjudice est inconnu.

L’homme du match
C’est donc une soirée contrastée pour l’homme du match retour dans le cadre des barrages de la Ligue Europa face à l’AC Milan. En effet, le capitaine "Bourige" a réalisé un véritable exploit face aux Rossoneri avec un triplé.

Un gros chantier s’annonce au mercato d’été

Le Stade Rennais, qui ne jouera pas la Coupe d’Europe pour la première fois depuis 2018, va procéder cet été à une refonte de son effectif, en y ajoutant notamment davantage d’expérience et de puissance athlétique. De nombreux départs et arrivées sont pressentis, dans un marché des transferts qui sera aussi impacté par l’Euro et les JO. Voici les premières tendances.

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Il est un peu tôt pour savoir à quoi ressemblera le Stade Rennais 2024-2025, mais une quasi-certitude : l’effectif va beaucoup bouger. Le staff et la direction, qui sauf rebondissement devrait toujours compter Florian Maurice, vont déjà rencontrer les joueurs d’ici la semaine prochaine pour faire le point.

Mandanda, Seidu, Le Fée, Matusiwa, Gouiri, a priori Terrier, devraient rester. Désiré Doué, Kalimuendo, Yildirim, Salah sont partants. Theate, Truffert, Wooh ont des envies d’ailleurs et ne seront pas retenus. La gestion du cas Omari va aussi occuper les esprits.

Quid de Blas, de Bourigeaud ? De toute façon, quels que soient les désirs des joueurs, tout dépendra déjà des offres sur la table, et de la capacité des éventuels acquéreurs à s’aligner sur les salaires, qui sont élevés à Rennes.

Des contacts ont eu lieu pour Mikautadze
Le budget sera moindre sans les recettes de l’Europe (perte estimée entre 15 et 20 millions d’euros), mais il y aura quand même des moyens conséquents, notamment grâce aux ventes. L’attractivité du club ne sera pas nulle.

La ligne défensive pourrait être totalement refondée. Une partie de l’attaque aussi. Parmi les cibles envisagées, des discussions ont eu lieu, selon nos informations, pour faire venir le buteur de Metz Georges Mikautadze, sous contrat à l’Ajax jusqu’en 2028. Il était déjà surveillé de près l’été dernier.

Du côté des joueurs prêtés, on voit mal Assignon, dont les relations avec Stéphan étaient fraîches, revenir et rester à Rennes. Nantes a décidé de lever l’option d’achat à 6 millions d’euros pour Abline : reste à savoir si le SRFC activera la clause de rachat (entre 1,5 et 2 millions d’euros) avec l’idée potentielle de le transférer plus cher ailleurs...

"Il faudra modifier certaines choses par rapport aux manques constatés, faire un point précis sur l’effectif, a lancé dimanche Julien Stéphan. Le mercato décidera aussi qui sera sollicité ou pas. Il sera un peu particulier, il n’est pas certain que l’Euro et les JO permettent de le décanter rapidement, mais ce sera une période importante pour le club."

Le coach a presque dessiné en une phrase les profils qu’il espère, et pour lesquels il va devoir s’accorder avec son directeur sportif : "Il faudra avoir plus d’expérience, de maturité, de puissance, en gardant la qualité technique comme base essentielle. Comme l’ont fait Lyon et Monaco. Si on veut se battre avec ces clubs-là, il faudra être capable de garder un maximum de bons joueurs et pouvoir en attirer. Mais là, je me pose des questions sur des choses que je ne maîtrise pas…"

Une fin de cycle qui interroge

Après avoir été européen durant six années de rang, le Stade Rennais est assuré de ne plus jouer l'Europe à l'issue de cette saison 2023-2024. Alors que le club breton visait le Top 4 en début d'exercice, ses nombreux manques l'ont rattrapé. Les Rouge et Noir vont maintenant devoir se remettre en question. Et s'offrir un lifting plus ou moins prononcé. Avec les questions que cela engendre.

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C'est un échec. Il n'y a pas d'autres mots possibles après cette saison. Après six années consécutives en Europe, le Stade Rennais devra se passer de compétition continentale pour rythmer le cœur des semaines lors du prochain exercice. Le nul contre Lens (1-1) dimanche a mis fin à ses espoirs. Un coup d'arrêt fracassant pour le projet du club breton aux ambitions de Top 4 affichées en début de saison. "Ça fait partie de la vie d'un club. On a échoué. (…) On doit se remettre en question pour avancer", a lancé dans Ouest-France Arnaud Kalimuendo, dont l'avenir pourrait s'écrire loin de la Bretagne.

Comme pour la situation de Kalimuendo, les questions sont cependant légion après ce revers cinglant. Une révolution va-t-elle avoir lieu au sein du club breton aussi bien en coulisses que dans l'effectif ? Quels joueurs vont rester ? Le Stade Rennais a-t-il les reins assez solides pour vivre une année sans Europe et repartir de l'avant ? Certaines réponses seront apportées à ces interrogations dans les prochaines semaines. Mais il faudra faire preuve de patience pour savoir si le club rouge et noir n'a pas mis un terme à sa période la plus faste avec cette saison commencée par des rêves de C1 et si décevante au final.

Ce sera une période importante pour le club
Une chose est sûre alors qu'il reste un match pour conclure cet exercice 2023-2024 : l'été qui arrive sera en tout cas charnière pour le Stade Rennais. Car des changements plus ou moins profonds sont attendus. Si Julien Stéphan semble être assuré de continuer sur le banc rennais après avoir prolongé jusqu'en 2026 en mars dernier, la situation est un peu plus floue pour le directeur technique Florian Maurice au coeur des critiques et notamment sur le dernier mercato où il n'a pas renforcé l'axe de défense. Alors qu'il était sur le départ en novembre avant de décider finalement de rester, L'Equipe le dit "éprouvé" et annonce que des proches de François Pinault militent pour Bruno Cheyrou.

Dans les tous cas, le visage de l'équipe bretonne devrait elle s'offrir un lifting alors qu'une fin de cycle est évoquée dans les travées du Roazhon Park. Quelques minutes après la fin du match contre Lens, Stéphan a ainsi mis les points sur les i. "C'est certain que ce sera une période importante pour le club", a glissé le coach dans des propos repris par le quotidien régional de référence en Bretagne. "Il faudra avoir plus d'expérience, de maturité, de puissance aussi, en gardant la qualité des joueurs, la qualité technique, comme base essentielle." Si tous les secteurs vont être plus ou moins concernés par cette remise en question indispensable, la défense est notamment la plus concernée.

Un mercato animé en perspective
Si les Bretons dans l'ensemble ont affiché beaucoup trop de limites pour tenir leur rang, l'arrière-garde rennaise a cristallisé les frustrations tout au long de cet exercice. Ses errances et sa fragilité ont plombé le Stade Rennais. Et après s'être montré inactif pour renforcer l'axe cet hiver, ce sera assurément le chantier numéro 1 de Florian Maurice cet été. Mais la mission sera peut-être plus corsée que lors des marchés des transferts récents.

Sans Coupe d'Europe à son tableau, le Stade Rennais va être moins attractif pour certains profils. Il faudra alors se montrer à nouveau rusé pour réussir à séduire. Mais si du sang neuf est attendu pour relancer le club, tout n'est pas à jeter non plus. Et les dirigeants bretons vont devoir réussir à conserver les éléments clefs pour ne pas repartir d'une feuille blanche même si l'exercice 2022-2023 avait déjà montré quelques limites avec une qualification européenne arrachée à la dernière journée. "Il faudra être capable de garder un maximum de bons joueurs et pouvoir en attirer, sinon ça va être compliqué de lutter", annonce Stéphan, qui cite Lyon et Monaco comme modèles à suivre.

L'idée reste de toute manière de garder ses aspirations. Alors que le désir de François Pinault de construire un nouveau stade a été révélé par le Mensuel de Rennes en début de mois, le Stade Rennais compte poursuivre sa progression. Et cherchera donc cet été à démontrer que cette saison n'est que la fin d'un cycle mais pas la fin des ambitions en Bretagne. "Les gens savent aussi que ça peut faire partie de la vie d'un club. En même temps, il ne faut pas s'en satisfaire, mais très vite être en capacité de rebondir, de repartir, de redéclencher des choses et en modifier d'autres pour retrouver des objectifs importants la saison prochaine", conclut Stéphan. Mais pour cela, l'été sera bien encore un peu plus déterminant, à plus d'un titre.

Après une saison ratée, l'heure du bilan et des questions

La saison du Stade Rennais s'est achevée brutalement dimanche soir au Roazhon Park. Le match nul concédé face à Lens (1-1) a mis fin aux minces espoirs bretons d'accrocher l'Europe. Après un dernier déplacement sans enjeu à Reims dimanche prochain, Rennes finira au mieux 8e, au pire 10e. Loin des ambitions de Ligue des champions du mois d'août. Un sacré échec qu'il faudra assumer pour rebondir.
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Pour la première fois depuis 2017-2018, il n'y aura pas de soirées européennes au Roazhon Park la saison prochaine. C'est la fin d'une période dorée inédite pour le club et rare pour le foot français (seul le PSG fait mieux sur cette même période) de six qualifications continentales de suite pour les Bretons. Forcément, la déception était de mise dimanche soir au coup de sifflet final du nul contre Lens (1-1) sans pour autant se transformer en colère. Il n'y a pas eu de sifflets du public au moment du tour d'honneur des joueurs. Peut-être car cet échec final n'est finalement pas brutal, mais prévisible au vu de la première partie de saison manquée. Peut-être aussi "car les supporteurs ont perçu qu'au moins sur la deuxième partie de saison, il y a eu un engagement total des joueurs et qu'il y a quand même un parcours sur cette période qui mérite d'être souligné", a déclaré Julien Stephan.

Une saison ratée, ça arrive à tous les clubs. Voilà la phrase que l'on entend depuis déjà plusieurs semaines. Si elle est factuellement vraie, elle n'exonèrera pas les dirigeants de faire le bilan d'un exercice 2023-2024 qui aura été éprouvant. Olivier Cloarec et Florian Maurice le feront normalement face à la presse en début de semaine prochaine après le déplacement à Reims lors de la dernière journée. L'année dernière, au même moment du bilan et après une 4e place arrachée lors de l'ultime journée, Florian Maurice était apparu tendu, regard noir et revanchard pour défendre son travail qu'il trouvait exagérément critiqué. Cette fois, beaucoup parmi les supporteurs et les observateurs semblent l'attendre au tournant.

Florian Maurice en première ligne, ne pas exonérer Genesio
Car oui, bien sûr, il est en première ligne. Le directeur sportif a quitté le Roazhon Park rapidement dimanche après avoir pris la parole devant le groupe dans le vestiaire, visiblement touché et faisant part de sa profonde déception quant à la tournure de la saison. Parmi les questions qui attendent des réponses, il y a en premier lieu la constitution de l'effectif. Les recrutements rapides l'été dernier d'Enzo Le Fée et Ludovic Blas et l'arrivée de l'expérimenté Nemanja Matic, le "grand joueur" que le club attendait, avaient été salués par tous à l'époque. Il convient de le rappeler.

Neuf mois plus tard, Le Fée a déçu avant de se blesser en février. Blas n'a jamais vraiment existé au sein de l'équipe et Matic est parti avec pertes et fracas après seulement six mois. Les recrues ne sont malgré tout pas les seules à blâmer. Beaucoup de cadres n'ont que trop rarement été au niveau attendu ce qui a une importance primordiale (Bourigeaud, Gouiri, Terrier, Theate...). Reste que ce mercato d'été n'avait pas dissipé les interrogations sur le non-remplacement de Jérémy Doku par exemple par un profil similaire ou sur la qualité de la défense, une faiblesse pointée du doigt depuis un moment.

"Je ne doute pas de la défense et je pense qu'on va être plus solide à ce niveau-là", prophétisait Maurice début septembre. Les faits lui donnent torts. Des erreurs individuelles parfois grossières ont jalonné et plombé la saison rennaise. Les huit défenseurs actuels de l'effectif ont une moyenne d'âge d'à peine plus de 21 ans et suscitent des doutes légitimes. Le club s'est-il leurré sur leur niveau? Rennes a bien cherché activement des renforts d'expérience mais n'a-t-il pas visé trop haut en tentant des joueurs inaccessibles pour un club de la dimension actuel du Stade rennais (Savic, Lenglet, Nelsson, Morato…)? C'est peut-être aussi une leçon à tirer. Rennes et son environnement ne sont pas aussi attractifs qu'ils espèrent l'être pour cette catégorie de joueurs, l'exemple du départ de Matic vers Lyon et l'OL en étant la preuve cinglante.

Si beaucoup semblent vouloir se payer la tête de Florian Maurice, dans le bilan officiel à venir, il ne faudra pas exonérer de responsabilités le président Olivier Cloarec qui se montre solidaire de Maurice rappelant que les deux hommes travaillent de concert, mais aussi Bruno Genesio. L'ancien coach rennais a sans doute une part de responsabilité non négligeable dans la tournure de la saison. La constitution de l'effectif par Florian Maurice et Olivier Cloarec répond aussi en grande partie à ses demandes dans les profils des joueurs recrutés. Bruno Genesio qui en outre se posait des questions déjà en fin de saison dernière sur son énergie et sa volonté de continuer après un peu plus de deux années réussies. Le péché originel se trouve peut-être en partie là, dans le fait de ne pas avoir senti qu'un cycle avec lui était en train de se terminer.

Vers un statu quo à la tête du club
Et maintenant? "Le plus important c'est de rebondir", pouvait-on entendre dans les couloirs du Roazhon Park dimanche. La suite se fera avec Julien Stephan arrivé en novembre pour "relever le club" comme il aime à le rappeler sans objectif annoncé de classement. Stephan prend toujours bien soin de préciser qu'il a pris la saison en cours de route alors que Rennes était 13e pour mieux défendre ses résultats. Avec lui, de la 16e à la 34e journée, Rennes est la 6e équipe de Ligue 1, la 4e attaque et la 7e défense. Grâce à deux mois de janvier et février marquants, le Stade Rennais a repris vie et espoir, Stephan gagnant aux yeux des dirigeants le droit de continuer.

L'annonce de sa prolongation de contrat jusqu'en 2026 intervient le 25 mars dernier. Depuis cette annonce, l'équipe rennaise a perdu de son rendement. Hasard ou non? L'officialisation a-t-elle été trop précoce alors que rien ne la pressait? La direction voulait envoyer un message de clarté pour l'avenir. Peut-être a-t-elle au contraire envoyé le signal au groupe que le plus dur était fait après être revenu dans la course aux places européennes amenant une décompression et entrainant des matchs sans vie et des défaites piteuses à Strasbourg et face à Toulouse. C'est une piste que les dirigeants rennais n'excluent pas.

Stephan sera donc l'entraineur du Stade Rennais la saison prochaine et rien ne semble indiquer à ce jour d'autres changements. Florian Maurice et Olivier Cloarec devraient eux aussi continuer, preuve que l'actionnaire François Pinault, seul vrai décideur sur ces questions, leur maintient sa confiance malgré les objectifs non tenus.

Doué, Kalimuendo et d'autres sur le départ
Avec quel effectif? Sans Europe, Rennes va-t-il perdre gros en attractivité? "Comment ont fait Lyon, Monaco ces dernières saisons?" répond Julien Stephan. "Si on veut pouvoir se battre avec ces clubs, il faut être capable même sans Europe de garder nos bons joueurs et d'en attirer sinon ça va être compliqué de lutter. Garder une attractivité et des moyens financiers importants, ce sera notre enjeu."

Sauf que Rennes n'est ni Lyon ni Monaco. Des départs potentiellement nombreux sont à prévoir, certains quasi actés comme Désiré Doué, très convoité, ou Arnaud Kalimuendo. Adrien Truffert ou Arthur Theate ont déjà fait l'objet d'approches concrètes lors des précédents mercatos. Pas de sujet en revanche pour Martin Terrier, nous dit-on au club. Enzo Le Fée lui-aussi restera rennais. Quid de Gouiri? Ou de Benjamin Bourigeaud, au club depuis 2017 et qui pourrait s'interroger si des offres intéressantes de l'étranger arrivaient? Mais y aura-t-il des offres à la hauteur? Pour les arrivées, Stephan a déjà son idée sur les profils pour "pallier les manques qu'on a pu voir cette année avec plus d'expérience, plus de maturité, plus de puissance aussi le tout en gardant la qualité technique comme base essentielle". Le travail des prochains mois s'annonce intense pour le Stade Rennais. Rennes le sait. Il sera attendu au tournant.

Un geste déplacé suscite la polémique après Lens

Hier soir, le Stade Rennais a dit adieu à ses espoirs de qualification européenne pour la 7ème saison de suite. Après un match nul insuffisant face au RC Lens (1-1), les Bretons finiront, au mieux, à la 8ème place au classement de Ligue 1. Outre le constat amer de cette saison manquée des Rouge et Noir, un joueur de Julien Stéphan a remis de l’huile sur le feu ce dimanche soir.

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Face à une formation artésienne bien désireuse de ne pas céder sa 6ème place en Ligue 1 synonyme d’Europe, Les Bretilliens se sont heurtés à un mur. Avec l’obligation de l’emporter pour conserver un mince espoir de qualification en coupe d’Europe la saison prochaine, le Stade Rennais a échoué pour sa dernière au Roazhon Park. Après une première mi-temps où les deux équipes se sont neutralisées, ce sont les Sang et Or qui ont infligé le coup de massue aux Rouge et Noir en ouvrant le score au retour des vestiaires par l’intermédiaire d’Angelo Fulgini (48’). Alors que les chances de victoire s’effritaient peu à peu, c’est Ibrahim Salah, rentré quelques peu après l’heure de jeu, qui a redonné espoir à tout un peuple en égalisant à une dizaine de minutes de la fin de la partie (82’). Après ce but de renard des surfaces, l’international marocain n’a pas hésité à venir chambrer ses propres supporters.

Un geste révélateur de tensions entre joueurs et supporters
Ibrahim Salah, auteur de quelques fulgurances en début de saison 2023-2024, a peu à peu perdu en temps de jeu au fil de la saison sous les ordres de Julien Stéphan. Très peu utilisé ces derniers temps, l’ancien ailier de la Gantoise a effectué une entrée en jeu mitigée hier face à Lens. Centre raté, contrôle manqué, pourtant, le Marocain a ramené son équipe dans la rencontre en profitant d’une situation brûlante dans la surface de réparation de Brice Samba. En inscrivant son premier but sous la tunique rennaise depuis le 6 février dernier face à Sochaux en coupe de France, Ibrahim Salah, sifflé abondamment quelques minutes plus tôt par ses propres supporters, n’a pas manqué l’occasion de se diriger vers la tribune Mordelles. Sans exulter avec les fidèles supporters rennais, Ibrahim Salah a plutôt demander à ces derniers de se taire en portant sa main sous l’oreille et en poursuivant avec un geste de pince de la main.

Un geste incompris qui n’a pas manqué de faire jaser à l’issue de la rencontre. Bon nombre de passionnés du SRFC n’ont en effet pas digéré cette célébration alors que leur équipe de cœur vient tout juste de tirer un trait sur une qualification européenne…

Un nouveau stade à Rennes en 2030 ?

Troquer le Roazhon Park contre un stade plus grand serait légitime, selon certains supporters. D’autres mettent en garde contre la folie des grandeurs.
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Après une saison moyenne et le risque de passer à travers une qualification européenne, la construction d’un nouveau stade, à quelques centaines de mètres du Roazhon Park, sur le site de l’ancienne usine Citroën de la Barre Thomas à l’horizon 2030, est-elle encore d’actualité ? Pour beaucoup de supporters, oui.

Le Stade Rennais, depuis cinq ans, a changé de dimension et un stade flambant neuf de 40 000 places, au lieu des 29 000 actuelles, serait plus en adéquation avec ses nouvelles ambitions. « N’en déplaise à certains supporters, pourquoi ne pas donner à ce futur stade le nom d’un sponsor, propose Jérémy, dimanche, à la terrasse d’un bar, route de Lorient. Je veux que mon club gagne, un jour, le championnat de France. Et, pour cela, il faut de l’argent. »

Le stade actuel sature

D’autres, tout en vantant le charme du Roazhon Park, avec ses tribunes proches du terrain, confirment qu’il faut viser plus haut. « Le stade actuel sature. Il n’y a plus de nouveaux abonnements. Pour les gros matches, contre nos concurrents directs ou les derbys, augmenter la capacité de 10 000 places serait bienvenu. » Certains comptent aussi sur un stade plus grand pour faire baisser le prix des places.

Mais, le statu quo ou l’agrandissement d’environ 5 000 places du Roazhon Park a aussi ses adeptes. « Nous avons un super stade, se réjouit ce supporter. En changer serait du gâchis. Le Stade Rennais, 7e ou 8e au classement, est à sa place. Rennes n’est pas Marseille, ni même Lens. Attention à la folie des grandeurs. »

Un autre sponsor maillot prolonge jusqu’en 2029

Le Stade Rennais a annoncé la prolongation de son partenariat avec le Groupe Blot, sponsor ancien sur le maillot du club. Depuis 2007, le logo de Blot Immobilier orne le dos de la tunique Rouge et Noir, et cette nouvelle entente témoigne d’une relation solide et privilégiée entre les deux entités.

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Bolt et le Stade Rennais rempilent pour cinq ans
La continuité du partenariat est étendue jusqu’en 2029 ainsi que l’annonce le club sur les réseaux sociaux. Blot Immobilier est acteur majeur de l’immobilier en Bretagne qui revendique plusieurs corps de métier : habitation, gestion locative, immobilier d’entreprise, cessions de fonds de commerce et emplacements commerciaux.

Le SRFC prolonge ses sponsors sur le maillot
Le montant de cette prolongation n’est pas divulgué. Au début de ce même mois d’avril, c’est avec Samsic, un autre partenaire historique et celui-là majeur puisqu’à l’avant des maillots du club qui a étendu sa collaboration jusqu’à la même échéance du 30 juin 2029.

La diffusion illégale des compétitions sportives est en hausse en 2023

La consommation de compétitions sportives sur des sites de streaming illégaux est en hausse, selon un bilan de l'Arcom publié mardi.
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Poussé par les compétitions sportives, le "streaming" illégal en direct est en légère hausse en 2023, notamment via la diffusion de liens sur les réseaux sociaux, selon un bilan publié mardi par l'Arcom. Entre 2021 et 2023, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) note une baisse de 26 % de la fréquentation des directs illégaux, mais observe une légère hausse en 2023 "qui correspond quasi exclusivement à des retransmissions de compétitions sportives en direct."

Le gendarme des médias et du numérique explique cette hausse par l'utilisation de "réseaux privés virtuels (VPN) à des fins illicites" et le développement des services IPTV qui permettent de regarder chaînes payantes à un prix réduit. Il précise que plus d'un internaute sur deux (57 %) ayant des pratiques illicites utilise un VPN et appelle les acteurs du secteur à renforcer leurs mesures de blocage des diffusions illicites.

8,5 millions de Français consommaient du contenu illégal en 2023
Ces deux dernières années, 3 370 noms de domaine liés à des diffusions non autorisées de compétitions sportives ont ainsi été bloqués par la justice ou à la suite d'une notification de l'Arcom.

En janvier 2023, l'Arcom avait annoncé un accord visant à lutter contre les retransmissions pirates de compétitions sportives avec les quatre grands fournisseurs d'accès internet en France et les titulaires de droits sportifs.

Globalement, l'institution observe une diminution du streaming et du téléchargement illégal des biens sportifs et culturels (notamment les films et les séries) de 27 % entre 2021 et 2023, indiquant qu'environ 8,5 millions d'internautes consommaient toujours du contenu illégal l'an dernier, contre 11,7 millions en 2021.

Beinsport et le PSG menacent la Ligue 1

Le dossier des droits TV de la Ligue 1 prend un tout nouveau tournant. Car si la LFP est proche d'un accord, la répartition de l'argent essentiellement apporté par Beinsport risque de faire scandale.

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Depuis quelques semaines, la chaîne sportive qatarie fait figure d'énorme favori pour s'offrir les droits TV de la Ligue 1 pour la période allant de 2024 à 2029. Pour l'instant, la Ligue de Football Professionnel n'a toujours pas communiqué alors que le Championnat se termine et qu'on peut légitimement se demander où la L1 sera diffusée la saison prochaine. A en croire les dernières révélations de Daniel Riolo, si le feuilleton s'éternise, c'est que Beinsport souhaite que la répartition des droits TV change et que cela permettre au Paris Saint-Germain de prendre une plus grosse partie de cette enveloppe. Même si évidemment le PSG assure l'essentiel des plus grosses audiences de la Ligue 1 à la télévision, le fait que la chaîne et le club de la capitale ait le même propriétaire risque de faire hurler au scandale. Et le journaliste de RMC d'en dire plus.

Le PSG veut une plus grosse part du gâteau des droits TV

Dans l'After, Daniel Riolo a révélé les dernières rumeurs sur ce sujet forcément très sensible, les 18 clubs de Ligue 1 ayant impérativement besoin de cet argent des droits TV. « Pour La Ligue 1 ça ne va pas être dingo. La grosse tendance, c'est que cela va être Beinsport avec un bout sur Canal+. Mais dans la négociation, ce qui bloque actuellement, c’est que Beinsport dit : « OK on va mettre l’oseille, mais dans la distribution de cet argent, on veut qu’une grosse partie aille dans les poches du PSG. En même temps, c'est normal puisque ça passe de la poche droite à la poche gauche. Je ne trouve pas ça très heureux de la part du PSG de demander ça comme condition, mais c’est peut-être la direction qu’on est en train de prendre. Sur le contrat CVC le gros bout de gâteau, c'est déjà le PSG qui l’a pris et sur les droits TV, on veut casser la traditionnelle répartition. D’un point de vue stratégique, même si je suis le président du Paris Saint-Germain, je trouve cela absurde, car il faut que le championnat soit compétitif. La Ligue 1 l’est cette année pour toutes les autres places, mais pas pour le titre de Champion de France. On n’est pas très loin d’un : » c’est ça ou rien » dans ce dossier », prévient très clairement notre confrère.

De quoi forcément susciter des questions, même si la LFP n'a plus vraiment d'autre choix dans la mesure où aucune autre offre conséquente n'est en mesure de concurrencer Beinsport. D'autant plus que l'on sait déjà qu'il a fallu des interventions au plus haut niveau pour que la chaîne qatarie se penche sur ce dossier. La Ligue 1 sort d'une belle saison, mais les nuages s'amoncellent de nouveau à cause de ce dossier des droits TV qui empoisonne la vie du football français depuis le fiasco Mediapro.

Le Stade Rennais se penche sur un international turc

Un international turc aurait tapé dans l’œil du Stade Rennais en vue du prochain mercato d’été.

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Selon les informations relayées par le média Fichajes, les dirigeants du Stade Rennais lorgneraient du côté de la Turquie pour renforcer leur secteur offensif. Le club breton s’intéresserait de près à Irfan Can Kahveci.

Ailier droit de 28 ans, ce dernier porte actuellement à Fenerbahçe où il est encore sous contrat jusqu’en juin 2025. International turc à 31 reprises (2 buts), le natif de Corum dispose d’une belle cote sur le marché des transferts puisque le FC Séville, Newcastle et la Lazio Rome suivraient également ce profil.

Le joueur pourrait disposer d’un bon de sortie pour cet été mais pas à n’importe quel prix. Ses dirigeants auraient fixé un prix de départ à 20 millions d’euros. Côté terrain, il réalise une belle saison avec seize buts et douze passes décisives en 43 apparitions toutes compétitions confondues.

L’hommage touchant à Nicolas Holveck

Les supporters du Stade Rennais ont rendu hommage ce samedi à Nicolas Holveck, ancien président du club décédé cette semaine d'un cancer.
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Le Roazhon Park accueille la rencontre entre le Stade Rennais et Toulouse ce samedi, dans le cadre de la vingt-neuvième journée de Ligue 1. L’occasion pour les supporters bretons de rendre un dernier hommage à l’un de leurs anciens dirigeants disparus cette semaine, Nicolas Holveck. Alors qu’il souffrait d’un cancer colorectal diagnostiqué en 2021, celui qui occupait la présidence de l’AS Nancy Lorraine depuis août dernier a été emporté par la maladie le 8 avril dernier. Pour lui rendre hommage, les Rennais ont déployé une banderole.

« Reposez en paix Monsieur Holveck. » Tel a été le message adressé par les supporters au disparu. Une minute de silence a également été respectée juste avant le coup d’envoi de la rencontre entre Rennais et Toulousains. Après être passé par Nancy et l’AS Monaco, Nicolas Holveck a débarqué au Stade Rennais dont il a pris la présidence en mars 2020, succédant ainsi à Olivier Létang.

Il restera en poste durant un peu plus de deux ans malgré l’annonce de son cancer, puis il cèdera sa place à Olivier Cloarec en mai 2022, son départ n’étant officialisé que quinze mois plus tard (août 2023).

Le Stade Rennais infiltré de tricheurs, il jure le contraire

Le Stade Rennais vit une saison très décevante. Les Bretons restent d'ailleurs sur une série de trois défaites de suite, ce qui inquiète pas mal.

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A Rennes, c'est la saison de la déception. Pourtant, le dernier marché des transferts estival était plein de promesses au vu des joueurs recrutés. Mais les Bretons ont surtout fait preuve d'une énorme irrégularité pour espérer jouer les premiers rôles. Alors que le sprint final a débuté, les hommes de Julien Stéphan restent d'ailleurs sur une série de trois défaites de suite toutes compétitions confondues. Il sera désormais très difficile pour le Stade Rennais de terminer à une place européenne. En plus des résultats décevants, c'est l'état d'esprit qui inquiète aussi. Pourtant, selon Benjamin Bourigeaud, le vestiaire est on ne peut plus concerné.

Bourigeaud n'aime pas les critiques sur l'état d'esprit au Stade Rennais

Alors que Ouest France insistait sur le fait que l'impression donnée par les joueurs de Rennais était celle d'un groupe pas totalement concerné, le milieu de terrain a rétorqué en interview : « Si vous aviez vu nos réactions après le match du PSG ou de Monaco, vous ne diriez pas cela. On dépense beaucoup, beaucoup d’énergie. Vues les statistiques de courses, personne ne triche. On se donne énormément. On est des compétiteurs. On n’a qu’une envie, c’est de gagner des matches, donc dire qu’on ne se donne pas corps et âme, je ne suis pas d’accord. À Strasbourg, peut-être, mais pas sur les deux derniers matches ». A montrer donc dès ce samedi soir lors de la réception de Toulouse au Roazhon Park. Le Stade Rennais peut profiter de la défaite de Lens ce vendredi soir à Metz pour se rapprocher de la sixième place. Une opportunité à ne pas manquer face à un adversaire qui n'a pas encore assuré son maintien en Ligue 1.

Le préfet impose une mesure de police pour le match à Rennes

Rennes rencontre Toulouse au Roazhon Park, samedi 13 avril, pour la 29? journée de Ligue 1. En raison du risque de confrontations entre supporters, le préfet a pris un arrêté.

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« Il existe un risque avéré de troubles à l’ordre public », selon la préfecture, à l’occasion de la rencontre de football entre le Stade Rennais et le Toulouse FC, samedi 13 avril, à 21 h, dans le cadre de la 29? journée de Ligue 1, à Rennes.

Ainsi, Philippe Gustin, préfet d’Ille-et-Vilaine, a donc pris un arrêté autorisant l’utilisation de deux drones pour sécuriser les alentours du stade et le centre historique de la capitale bretonne.

Des rapports conflictuels depuis 15 ans
En effet, depuis 2009 et le vol de la bâche des supporters ultras du groupe Indians Tolosa 93 par les supporters du RCK, « les ultras entretiennent des rapports conflictuels qui donnent lieu à des affrontements« , mentionne la préfecture dans son arrêté.

Elle détaille également un certain nombre de faits qui se sont déroulés au cours des 15 dernières années entre les deux groupes de supporters.

De plus, la Division nationale de la lutte contre le hooliganisme classe cette rencontre au niveau 3 du risque de troubles, susceptible de se traduire par des affrontements entre supporters ultras des deux camps.

Des zones difficiles à identifier
L’utilisation de ces aéronefs est aussi justifiée par des zones d’affrontements difficilement identifiables à l’avance, ne permettant pas la mobilisation des forces de l’ordre, même en nombre important, pour éviter les troubles. Qui plus est dans un contexte du relèvement du plan Vigipirate au niveau « urgence attentat ».

Autre justification apportée, celle du manque de moyens de vidéoprotection sur les secteurs définis avec des caractéristiques topographiques des lieux ne permettant pas d’opérer une surveillance.

Beinsports refuse cette main tendue

La bataille des droits TV de la Ligue 1 fait rage dans les coulisses, mais la LFP n'a toujours rien communiqué sur ce sujet. On sait seulement que des alliances entre diffuseurs se négocient avec plus ou moins de réussite.

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Cette saison, pour suivre la saison 2023-2024 de Ligue 1, il faut être abonné à Prime Vidéo, qui diffuse sept matchs par journée, dont ceux du vendredi soir et du dimanche soir, tandis que Canal+ Sport donne le match du samedi soir et celui du dimanche en fin d'après-midi, mais pas sur sa chaîne Premium. A la reprise du prochain championnat, tout va être redistribué, puisque le contrat en cours se termine en mai prochain et que Prime Vidéo ne veut pas donner plus de 100 millions d'euros par an.

Du côté de Vincent Labrune, on est déterminé à se rapprocher du milliard d'euros, même si désormais, c'est plutôt 900ME, droits à l'international et de la L2 compris. Dans ce climat, Beinsports, sur ordre du Qatar, est disposé à prendre la totalité des droits de la Ligue 1, mais souhaite que Canal+ diffuse un ou deux matchs. Le média sportif qatari a cependant déjà refusé une offre venue d'ailleurs.

Beinsports ne dira pas oui à tout
A en croire Ouest-France, DAZN, dont l'offre de 500 millions d'euros pas saison, avec un accord à trouver d'urgence sous peine d'un règlement différé, a été refusée, a tout de même essayé de trouver un terrain d'entente avec Beinsports afin d'avoir un dossier plus solide. Peine perdue pour le Netflix du sport. « DAZN aurait même contacté beIN Sports pour sonder le terrain et conclure un accord de diffusion, en vain », révèle notre confrère, qui confirme que le diffuseur anglais est désormais totalement à l'écart des négociations.

Sauf à revenir avec une offre financièrement supérieure, et avec des garanties de paiement, DAZN ne donnera pas la Ligue 1 la saison prochaine, alors que cette saison Canal+ lui avait offert deux matchs. Après Amazon, c'est un deuxième abandon dans la course aux droits TV, Beinsports ayant de plus en plus le champ libre douze ans après avoir fait ses débuts en France avec l'Euro 2012, puis la Ligue 1 et la Ligue 2. La LFP peut remercier le Qatar.

Nouveau changement majeur en vue pour Stéphan

Au cœur d’une nouvelle spirale négative, le Stade Rennais doit réagir. Défaits contre Strasbourg, Paris, puis Monaco, les Rouge et Noir ont plus que mal géré cet enchaînement redouté, et ressortent de cette période avec un sentiment de tout devoir reconstruire. Dans le onze de départ, certains changements pourraient être consentis, dont un quelque peu forcé dans les prochaines semaines.

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La donne est simple pour le Stade Rennais à ce stade de la compétition. Avec six matchs restant à jouer en cette fin de saison, 39 points accumulés jusqu’alors, et quatre unités de retard sur la 6e place, les joueurs de Julien Stéphan se trouvent quasiment dans l’obligation de tout gagner s’ils souhaitent poursuivre leur folle série de qualifications consécutives en coupe d’Europe. Le prochain match s’annonce à domicile contre Toulouse, tandis que le suivant sera un déplacement crucial à Nantes, pour un derby très attendu. A l’occasion de ce match, un nouveau choix important se devra d’être fait par Stéphan au moment de composer son équipe.

Seidu ne verra pas Nantes
Très apprécié pour son activité et l’impact apporté lors de ses entrées en jeu, Alidu Seidu semble réussir son adaptation en Bretagne. L’ancien Clermontois n’est pas encore clairement le titulaire indiscutable dans cet effectif, mais le turnover observé avec Guéla Doué sur le côté droit, ou bien les tentatives effectuées comme arrière gauche en l’absence d’Adrien Truffert se sont montrées convaincantes à plus d’un titre.

Averti lors des derniers rendez-vous, Seidu sera de fait absent pour le déplacement à Nantes pour cause de suspension. En conséquence, Julien Stéphan devra certainement faire confiance à Doué et Truffert dans les couloirs, quitte à replacer Arthur Theate sur le côté en cas de changement.

Bien qu’elle ne soit pas encore clairement définie, la place de Seidu de la hiérarchie pourrait tendre à évoluer la saison prochaine, bien que de son côté, Doué semble être la future référence de l’équipe sur le côté droit.

S.G.S.B.

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