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Messi révèle les joueurs qu’il considère comme l’avenir du football et il cite un Rennais

Lionel Messi, figure emblématique du football mondial, a récemment mis en avant de jeunes talents évoluant dans différents championnats européens, dont la Ligue 1. Au cours d’une vidéo réalisée pour Adidas, l’attaquant argentin a dévoilé une sélection de joueurs qu’il considère comme des espoirs majeurs de la discipline.

Messi révèle les joueurs qu’il considère comme l’avenir du football et il cite un Rennais

Parmi les noms mentionnés par Messi, celui de Kader Meïté, jeune joueur évoluant en Ligue 1, a particulièrement retenu l’attention. Âgé de seulement 18 ans, Meïté a déjà réussi à s’illustrer cette saison en inscrivant un but et en délivrant une passe décisive en six apparitions. Il a connu ses débuts professionnels sous les couleurs du Stade Rennais en 2024 et porte également le maillot de l’équipe de France espoirs.

Messi n’a pas manqué de souligner la progression rapide de ce jeune attaquant, affirmant : "l’avenir du football." Cette déclaration place Meïté parmi un cercle restreint de joueurs scrutés de près pour leur potentiel.

La sélection de Messi inclut aussi d’autres jeunes talents tels que Nico Paz (Como), Lily Yohannes de l’Olympique Lyonnais, Mika Godts (Ajax), Rodrigo Mora (FC Porto), Kendry Páez et Andrey Santos, tous deux sous contrat avec Chelsea. Yohannes, internationale américaine de 18 ans, a elle aussi rejoint le championnat français récemment.

Nouveau coup dur pour Habib Beye et la poisse continue

Le Stade Rennais doit faire face à une nouvelle difficulté avec le forfait de Przemyslaw Frankowski, victime d’une blessure aux ischio-jambiers lors du rassemblement avec la sélection polonaise. Ce nouvel incident physique inquiète particulièrement la direction et le staff bretons, alors que le joueur peine à enchaîner les rencontres depuis son arrivée, accumulant déjà plusieurs absences pour raison médicale cette saison.

Nouveau coup dur pour Habib Beye et la poisse continue

Depuis le début de la saison, Frankowski a déjà dû renoncer à trois matchs, notamment contre Lorient et Nantes, puis il était resté sur le banc lors de la rencontre face à Lens car il n’était pas jugé suffisamment remis. Cette fragilité physique soulève des questions autour de la pertinence du recrutement de ce joueur de 30 ans, censé apporter stabilité et expérience à l’effectif.

La situation rappelle celle de Seko Fofana, lui aussi pointé du doigt pour son rendement jugé insuffisant au regard de son salaire conséquent, estimé à plus de cinq millions d’euros. Les deux transferts suscitent des interrogations dans l’entourage du club quant à la gestion de l’effectif et des ressources.

Le climat interne apparaît tendu, alors que, selon RMC, “plusieurs cadres comme Brice Samba et Seko Fofana auraient pris leurs distances avec leur entraîneur”. Ce manque d’unité complique la mission de l’entraîneur Habib Beye, déjà confronté à des résultats décevants et à la fragilité physique de certains titulaires.

Face à ces difficultés, l’entraîneur rennais pourrait être contraint de revoir ses choix tactiques. Son schéma en 3-5-2, critiqué pour son manque d’efficacité des deux côtés du terrain, pourrait laisser place à une formation plus traditionnelle avec quatre défenseurs.

Le prochain match contre l’AJ Auxerre au Roazhon Park revêt ainsi une importance particulière. Un nouvel échec face à l’équipe dirigée par Christophe Pélissier pourrait mettre en péril la position de Habib Beye à la tête du Stade Rennais.

Pas de nouvel entraîneur, mais un énarque comme président

Beaucoup espéraient le changement du coach. Finalement, le remue-ménage concerne la présidence. Mais bon, on n’est pas non plus dans une révolution du palais.

Pas de nouvel entraîneur, mais un énarque comme président

En revanche, on sera surpris par le nouveau profil du nouveau dirigeant, passé par la mode et les hôtels de ventes aux enchères. Alban Gréget (ex-Essec) quitte ce jour son poste de Président du Conseil d’administration du Stade rennais F.C, explique le club breton dans un communiqué. "Il est remplacé par Guillaume Cerutti. Administrateur depuis 2018, Alban Gréget (qui quitterait le groupe Artémis) a notamment contribué activement au développement du SRFC et à sa structuration. Il a suivi le projet stratégique du centre d’entraînement Henri Guérin, de son Académie et de son siège."

Le nouveau dirigeant s’appelle Guillaume Cerutti. Il travaille auprès de la famille Pinault depuis une dizaine d’années. Il est Président de Pinault Collection et du conseil d’Administration de Christie’s, société dont il a aussi été le PDG entre 2016 et 2025. Heureux de passer de la mode au football, il a fait part de sa satisfaction. J’exprime ma reconnaissance à François Pinault et François-Henri Pinault pour la confiance témoignée. Dans mes nouvelles fonctions, je m’attacherai à représenter leur engagement et leur ambition à l’égard du Stade rennais. Je travaillerai étroitement avec les autres membres du conseil, et avec Arnaud Pouille et l’équipe de direction, pour poursuivre les projets structurants déjà lancés, et pour atteindre les objectifs sportifs attendus par le club et ses supporters.

Né à La Ciotat en 1966, diplômé de Sciences Po et de l’ENA (promotion Victor Hugo), Guillaume Cerutti a d’abord fait carrière au sein de la haute fonction publique. Passé par l’Inspection générale des finances, il devient à seulement 30 ans directeur général du Centre Pompidou (1996-2001). Il y laissera l’image d’un administrateur rigoureux, soucieux d’ouverture au public et de rayonnement international. Quelques années plus tard, il rejoint le ministère de la Culture comme directeur de cabinet de Jean-Jacques Aillagon (ex-commissaire de l’expo Pinault aux Jacobins), entre 2002 et 2004. Cette collaboration est décisive. Car c’est à cette époque que se noue la relation avec François Pinault, futur fondateur de la collection éponyme.

En 2007, le nouveau président quitte l’administration pour le marché de l’art. Il prend la tête de Sotheby’s France, qu’il redynamise en quelques années avant de devenir vice-président de Sotheby’s Europe. En 2015, il rejoint Christie’s, l’autre géant mondial du secteur, et gravit rapidement les échelons jusqu’à devenir PDG mondial en 2017. Sous sa direction, Christie’s vit une période d’expansion record : la vente du Salvator Mundi, attribué à Léonard de Vinci, pour 450 millions de dollars ; la dispersion de la collection Rockefeller ;une ouverture accrue aux marchés asiatiques et du Golfe.

Dirigeant polyglotte, homme de réseaux mais discret, l’homme est reconnu pour sa capacité à concilier l’exigence économique et la dimension culturelle de l’art. "J’ai toujours vu les maisons de ventes comme des institutions culturelles avant d’être commerciales", confiait-il en 2022 à The Art Newspaper. Le 1er février 2025, Christie’s annonce son départ de la direction opérationnelle. Quelques jours plus tard, François Pinault officialise sa nomination à la tête de la Pinault Collection, la structure qui pilote les musées et projets culturels du groupe Artémis (Bourse de Commerce – Pinault Collection à Paris, Palazzo Grassi et Punta della Dogana à Venise, ainsi que divers projets d’expositions et d’acquisitions). "La famille Pinault m’a offert l’opportunité de continuer à travailler à un autre niveau, dans une mission profondément culturelle", a-t-il déclaré lors de son entrée en fonctions. L’homme n’a aucun lien avec le couturier Nino Cerruti. Selon des proches cités dans Le Journal des Arts, il suit "le football avec intérêt, sans excès", et apprécie "les clubs qui cultivent un esprit de formation et de culture du jeu" plutôt que le bling-bling. L’ADN du Stade rennais jusqu’à présent.

Habib Beye perd son clash contre les joueurs

Après un début de saison décevant, Habib Beye se retrouve au centre des débats. L’entraîneur du Stade Rennais ne fait pas l’unanimité au sein du vestiaire où certains joueurs ne comprennent pas son management et ses choix. Sans changement dans sa gestion, le technicien risque de prendre la porte.
Habib Beye perd son clash contre les joueurs

Compte tenu du mercato réalisé cet été, Habib Beye se savait attendu au tournant. Rennes a fait le nécessaire pour lui offrir un effectif à la hauteur de ses ambitions avec de nombreux mouvements dans le sens des départs et dans celui des arrivées. Après ce coup de balai, la direction attendait forcément mieux qu’une simple 10e place au terme de la 7e journée de Ligue 1. D’autant que le contenu n’est clairement pas au rendez-vous. Et pour ne rien arranger, l’entraîneur des Rouge et Noir est critiqué au sein de son propre vestiaire.

Comme l’indiquait Daniel Riolo cette semaine, les cadres Brice Samba et Seko Fofana ne s’entendent pas avec le technicien et tentent de le pousser vers la sortie. D’autres Rennais partagent leur avis sur Habib Beye à qui l’on reproche sa rigueur qui empêcherait plusieurs éléments de se lâcher, mais aussi certains choix comme la sortie du jeune milieu Djaoui Cissé après seulement 28 minutes face au Racing Club de Lens (0-0). Bien sûr, la saison ne fait que commencer et Rennes, à seulement trois points du top 5, n’est pas décroché. C’est pourquoi le licenciement du coach n’est pas encore d’actualité.

Mais selon les informations récoltées par Jérôme Rothen, l’ancien joueur de l’Olympique de Marseille a tout intérêt à changer son mode de gestion. "En posant des questions à l'ensemble de la structure rennaise, que ce soient les joueurs, l'encadrement, ceux qui sont proches de Rennes aujourd'hui, ils disent tous une chose : si Habib Beye ne se remet pas un peu plus en question et s’il ne fait pas preuve d'un peu plus d’humilité sur certaines choses, je pense que c’est voué à l’échec", a prévenu le consultant de RMC, plutôt pessimiste pour l’avenir de l’entraîneur rennais.

Rongier capitaine, l’erreur qui fait sauter Beye

Sur la sellette au Stade Rennais, Habib Beye pourrait payer au prix fort le choix d’avoir nommé Valentin Rongier capitaine cet été.
Rongier capitaine, l’erreur qui fait sauter Beye

Les prochains jours s’annoncent décisifs pour Habib Beye. En poste depuis l’hiver dernier au Stade Rennais, l’ex-capitaine de l’Olympique de Marseille est sur un siège éjectable. Les matchs nuls contre Angers, Nantes, Lens et Le Havre ne passent pas en interne, où l’entraîneur de 47 ans est de plus en plus fortement contesté. Par ses dirigeants, qui lui mettent une énorme pression pour obtenir rapidement de meilleurs résultats, mais aussi par certains de ses joueurs. Seko Fofana et Brice Samba sont par exemple très favorables à un départ d’Habib Beye et n’ont pas manqué de le faire savoir à l’état-major breton.

Selon les indiscrétions de Walid Acherchour, le choix de nommer Valentin Rongier capitaine alors que l’ancien Nantais venait d’arriver est également très mal passé auprès de certains joueurs de l’effectif dont Seko Fofana. L’international ivoirien courtisait sans doute le brassard et n’a pas digéré ce choix. Autant d’éléments qui fragilisent aujourd’hui Habib Beye, dont le départ de Rennes pourrait être acté en cas de contre-performances face à Auxerre et Nice après la trêve internationale. "J’ai l’écho que ça pue, ça sent mauvais pour Habib Beye au Stade Rennais. Après Le Havre, on lui a fait comprendre. Aujourd’hui, c’est tendu, il y a beaucoup de tensions sur son avenir" a expliqué Walid Acherchour sur les ondes de RMC avant de poursuivre.

"Rennes reçoit Auxerre et Nice après la trêve, s’il passe la trêve, il y aura un ultimatum sur les deux prochains matchs. Sur l’histoire de Fofana et Samba, j’en avais déjà parlé en fin de saison (dernière). J’avais raconté que Fofana était sorti de l’équipe après le 4-0 contre Lyon, ça a avait été compliqué dans le vestiaire entre Beye et certains joueurs. Cette saison, il était question de ramener un n°1 bis car la fin de saison de Samba n’était pas bonne. Pour le coup, heureusement que Samba fait un très bon début de saison, sinon le classement ne serait pas le même. De ce que j’ai entendu, Fofana n’a pas perçu de la meilleure des manières que Beye nomme Rongier capitaine car c’est un ancien Nantais et qu’il vient d’arriver" a lancé le chroniqueur. Des informations peu rassurantes pour l’avenir de l’ancien consultant de Canal+, lequel ne doit pas passer une trêve internationale des plus sereines pour le moment.

Nouvelles révélations sur Beye et les taupes

Pointé du doigt pour le début de saison très mitigé du Stade Rennais, Habib Beye est de plus en plus isolé au sein du club breton.
Nouvelles révélations sur Beye et les taupes

Les saisons se suivent et se ressemblent dans les rangs du Stade Rennais. Après deux campagnes ratées dans les grandes largeurs, le club breton était attendu au tournant, mais ses premiers mois dans ce nouvel exercice 2025-26 sont très contrastés. Englué en milieu de tableau, Rennes affiche un bilan qui ne correspond pas à son budget et ses ambitions. Pire, le contenu proposé est encore plus préoccupant, à l’image de la copie très insuffisante à onze contre dix pendant presque l’intégralité du match contre Lens (0-0).

Si Habib Beye affirme être conforté par sa direction, le technicien sénégalais serait aussi victime des clans du vestiaire, en particulier le groupe des anciens Lensois, incarné par Brice Samba et Seko Fofana. "Habib Beye est en difficulté à Rennes, comme à peu près tous les entraîneurs de ce club depuis des années", assure-t-il. "Pourquoi? Parce qu’il n’y a pas de pouvoir, ou que c’est un pouvoir complètement morcelé, disloqué. Genesio, ça n’a pas duré deux ans le fait qu’il soit tranquille. On a eu Stephan qui a eu la peau d’Olivier Létang auprès de la famille Pinault. Il n’y a que ça. On ne sait pas où est le pouvoir. C’est un pouvoir qui est morcelé, disloqué avec des pôles qui sont différents", a lâché Daniel Riolo sur RMC.

Habib Beye va devoir se montrer très persuasif.

Et Riolo d’apporter des précisions. "Le pôle tradi, à Rennes, c’était le pôle du père et le pôle du fils. Le pôle du père, il y a encore dedans René Ruello, Jacques Delanoë (ancien président bnon exécutif). Pour le fils, il y avait le fameux Alban Gréget, qui était très influent mais a été remplacé par Cerutti. Tous ces gens-là donnent leur avis: "fais ci, fais ça". Maintenant il y un troisième pôle familial, ce sont les petits-fils, qui sont un petit peu les deux étudiants à l’école de commerce, qui ont un boulard démesuré, qui pensent qu’ils peuvent gérer le club dès demain si on leur laisse. Ils ont regardé la télé, ils ont joué à Foot Manager sur la PlayStation, ils prennent le club demain, ils savent tout, ils peuvent tout gérer, les deux gamins. Eux aussi, ils donnent leur avis, ils interviennent."

Beye victime du "clan des Lensois"

Selon Daniel Riolo, c’est bien le "clan des Lensois" qui fragilise actuellement Habib Beye. "Le clan des Lensois, dirigé par Arnaud Pouille. Les mauvaises langues disent que les seules décisions qu’il est capable de prendre, c’est remplir les fiches de paye, de faire des transferts faramineux et de donner des salaires de malade à ces petits chouchous lensois dont Seko Fofana et Brice Samba, qui ont des salaires démesurés pour Rennes. Dans ce clan des Lensois, Pouille est plutôt effacé. Avant qu’ils prennent une décision… À l’intérieur de ce clan des Lensois, il y a deux hommes très très forts, de par le poids qu’ils ont dans le vestiaire, de par leur histoire et leur salaire, c’est Samba et Fofana", poursuit-il. "Et il se trouve que ça ne colle pas avec Beye. Et ces deux-là ont décidé qu’ils auraient la peau de Habib Beye. Après le match à Lens, Brice Samba va dans le vestiaire des Lensois – il y avait Rongier également mais lui soutient Habib Beye – pour tailler le coach. Seko Fofana et surtout Brice Samba ont décidé que Beye c’était mort, que ce n’était pas un bon coach, qu’ils n’avaient pas envie de bosser avec lui et que ça n’allait pas."

"Après le match face à Lens, ils vont dans le vestiaire de Lens comme si c’était le leur pour parler avec les anciens", conclut-il. "Ils ont le droit d’aller voir les anciens potes, ce n’est pas un problème mais si c’est pour tailler le coach, je trouve que c’est quand même un petit peu moins bien. Beye a essayé de faire des réunions avec certains joueurs, comme Fofana mais ça a été refusé. Samba et Fofana ont décidé d’avoir un petit peu sa peau. Pouille a, lui, la capacité à ne pas prendre de décisions", a ajouté le chroniqueur de l’After Foot.

Le Stade Rennais conteste les révélations de Daniel Riolo

Après les propos de Daniel Riolo, lundi soir dans l'After foot sur RMC, sur les tensions en interne à Rennes et la pression entourant Habib Beye, le club breton a tenu à réagir auprès de RMC Sport.
Le Stade Rennais conteste les révélations de Daniel Riolo

La séquence a fait beaucoup de bruit. Contacté par RMC Sport au sujet des révélations faites lundi soir par Daniel Riolo sur les tensions internes au Stade Rennais, le club breton - via son service communication - s'est vivement défendu ce mardi, évoquant "des théories complotistes de plus en plus fantaisistes".

Daniel Riolo, qui a maintenu ses informations ce mardi soir dans l'After Foot et s'est étonné qu'aucun représentant ou dirigeant du club ne veuille en débattre avec lui malgré les invitations lancées, avait notamment déclaré lundi que Brice Samba et Seko Fofana ne s'entendaient pas avec Habib Beye, au point de le critiquer et de vouloir son départ.

Fofana et Samba qui voudraient le départ de Beye? "Des rumeurs infondées", assure le club
"Après le match (contre Lens), Brice Samba va dans le vestiaire des Lensois - il y avait Rongier également mais lui soutient Habib Beye - pour tailler le coach. Seko Fofana et surtout Brice Samba ont décidé que Beye c'était mort, que ce n'était pas un bon coach, qu'ils n'avaient pas envie de bosser avec lui et que ça n'allait pas", avait lancé l'éditorialiste.

Sur ce point, le club rennais se dit "étonné des commentaires sur de supposés propos de certains de nos joueurs, dans le cadre privé du vestiaire lensois", parlant "de rumeurs toutes infondées" concernant "des joueurs cadres rennais particulièrement irréprochables".

La famille Pinault pense avoir démontré un investissement sans faille
Le Stade rennais se dit également "scandalisé par le jugement à l’endroit de la gouvernance et particulièrement de la famille Pinault", rappelant que le patron du club au quotidien est Arnaud Pouille qui reporte à François-Henri Pinault et Artemis, décisionnaire sur les investissements familiaux via son représentant au conseil d'administration. Alban Greget occupe ce rôle à la présidence et sera remplacé par Guillaume Cerrutti en fin de semaine. "Engagée depuis 1998, la famille Pinault pense avoir démontré un investissement sans faille et une passion sur trois générations pour le club", défend-on chez les Rouge et Noir.

Dans son intervention de lundi, Daniel Riolo avait notamment évoqué les pôles du père et du fils Pinault, d'un côté et de l'autre. "Tous ces gens-là donnent leur avis: 'Fais ci, fais ça'. Maintenant il y un troisième pôle familial, ce sont les petits-fils, qui sont un petit peu les deux étudiants à l'école de commerce, qui ont un boulard démesuré, qui pensent qu'ils peuvent gérer le club dès demain si on leur laisse. Ils ont regardé la TV, ils ont joué à Football Manager sur la PlayStation, ils prennent le club demain, ils savent tout, ils peuvent tout gérer, les deux gamins. Eux aussi, ils donnent leur avis, ils interviennent". Des propos jugés irrespectueux en interne.

Le temps est à l’analyse collective et approfondie sur le niveau de performance actuel du club
Le club se projette sur la suite en conclusion. Avec Habib Beye? "Le temps est à l’analyse collective et approfondie sur le niveau de performance actuel du club entre toutes les parties: présidence, direction sportive et entraineur", affirme-t-on.

Ni le président Arnaud Pouille, ni le directeur sportif Loïc Désiré ne prennent officiellement la parole pour le moment. Le coach rennais reste lui sous pression et sous le feu des critiques alors que les Bretons reprendront l'entrainement jeudi, après trois jours de coupure pour préparer la réception d'Auxerre le dimanche 19 octobre. Cette trêve internationale s'annonce tendue à la Piverdière.

La démonstration inquiétante des limites de Beye

Rennes s’enfonce dans une crise tactique inquiétante : Habib Beye apparaît dépassé, incapable d’adapter ses schémas à la réalité du terrain.
La démonstration inquiétante des limites de Beye

Le Stade Rennais traverse une crise sportive et tactique profonde sous la coupe de Habib Beye. Les résultats récents, combinés à des critiques venues de l’intérieur même du vestiaire, confirment qu’un fossé s’est creusé entre l’entraîneur sénégalais et son groupe. Ce malaise se traduit sur le terrain par des choix contestés, une stratégie figée et une équipe en perte de repères.

Des choix stratégiques qui coûtent cher à Rennes

Le 4-3-3 déployé face au Havre le 4 octobre en est l’exemple le plus parlant. Ce système, déjà critiqué lors des précédentes sorties, s’est à nouveau révélé inefficace, incapable d’assurer une transition défensive solide ni de proposer une animation offensive cohérente. Les pertes de balle au milieu se sont multipliées, ouvrant des brèches inquiétantes devant la surface rennaise. Selon Mohamed Toubache-Ter, le staff peine à faire adhérer les joueurs à des schémas jugés "trop figés" et inadaptés aux profils de cadres comme Seko Fofana ou Brice Samba. Ce manque d’ajustements en cours de match accentue le sentiment d’une équipe bloquée dans ses idées, minant peu à peu l’efficacité collective.

Les critiques ne s’arrêtent pas là. Plusieurs décisions d’Habib Beye sont pointées du doigt, notamment son remplacement tardif d’un milieu latéral à la 75e minute face à Lens, alors que le couloir droit était constamment débordé. L’absence de plan alternatif face aux blocs bas laisse l’équipe sans solution offensive dans les dix dernières minutes, tandis que le recours systématique au pressing haut désorganise les lignes et expose la défense centrale. Ces erreurs récurrentes ont coûté des points précieux et fragilisé la confiance du vestiaire, qui doute désormais de la capacité de son entraîneur à s’adapter aux réalités du jeu.

Le vestiaire de Rennes se rebelle face aux errements tactiques de Beye.

Le constat est renforcé par des statistiques préoccupantes. En trois matchs de Ligue 1 depuis fin septembre, Rennes ne compte qu’une seule victoire. Pire, l’équipe affiche une moyenne de seulement 1,2 tir cadré par match, un chiffre indigne d’un club aux ambitions européennes. Même la possession de balle, souvent supérieure, apparaît trompeuse lorsqu’elle n’est suivie d’aucune occasion franche. Ces données soulignent l’inefficacité d’un projet de jeu qui tourne à vide et peine à transformer sa domination en résultats.

Un besoin urgent de leadership tactique

La contestation grandissante des cadres, incarnée par Fofana et Samba, témoigne d’un besoin criant de leadership tactique. Les joueurs réclament désormais un entraîneur capable d’anticiper les aléas des matchs, d’ajuster ses plans en fonction des adversaires et d’exploiter pleinement le potentiel d’un effectif riche en talents. Rennes se retrouve ainsi à la croisée des chemins : persister dans un projet qui s’enlise ou opérer un virage stratégique avant que la saison ne bascule.

Rennes en est désormais là : sous Habib Beye, l’équipe semble avoir atteint ses limites. Son incapacité à faire évoluer ses schémas, à inspirer ses cadres et à répondre aux exigences de la Ligue 1 fragilise son avenir à la tête du club. La pression monte inexorablement pour un changement avant que la crise ne devienne irréversible.

Ils ont décidé d'avoir sa peau

Selon Daniel Riolo, éditorialiste de l'After Foot sur RMC, Brice Samba et Seko Fofana ne s'entendraient pas avec Habib Beye, entraîneur sur le banc depuis janvier 2025, au point de le critiquer et de vouloir son départ.
Ils ont décidé d'avoir sa peau

La pression monte autour de Habib Beye. Et selon Daniel Riolo, elle provient de son propre vestiaire. Dans un argumentaire développé lundi dans l'After Foot, l'éditorialiste de RMC est revenu sur le contexte très particulier qui entoure le club depuis de longues années avec plusieurs courants d'idées et de pensées qui fragilisent les dirigants et entraîneurs en place.

Une histoire de clans: les Pinault père et fils, les petit-fils... et le clan des Lensois
"Habib Beye est en difficulté à Rennes, comme à peu près tous les entraîneurs de ce club depuis des années", assure-t-il. "Pourquoi? Parce qu'il n'y a pas de pouvoir, ou que c'est un pouvoir complètement morcelé, disloqué. Genesio, ça n'a pas duré deux ans le fait qu'il soit tranquille. On a eu Stephan qui a eu la peau d'Olivier Létang auprès de la famille Pinault. Il n'y a que ça. On ne sait pas où est le pouvoir. C'est un pouvoir qui est morcelé, disloqué avec des pôles qui sont différents."

"Le pôle tradi, à Rennes, c'était le pôle du père et le pôle du fils. Le pôle du père, il y a encore dedans René Ruello, Jacques Delanoë (ancien président non exécutif). Pour le fils, il y avait le fameux Alban Gréget, qui était très influent mais a été remplacé par Cerutti. Tous ces gens-là donnent leur avis: "fais ci, fais ça". Maintenant il y un troisième pôle familial, ce sont les petits-fils, qui sont un petit peu les deux étudiants à l'école de commerce, qui ont un boulard démesuré, qui pensent qu'ils peuvent gérer le club dès demain si on leur laisse. Ils ont regardé la télé, ils ont joué à Foot Manager sur la PlayStation, ils prennent le club demain, ils savent tout, ils peuvent tout gérer, les deux gamins. Eux aussi, ils donnent leur avis, ils interviennent."

Selon Daniel Riolo, un "clan" plus récent est arrivé au club ces derniers mois: "le clan des Lensois, dirigé par Arnaud Pouille", président exécutif du club depuis octobre 2024. "Les mauvaises langues disent que les seules décisions qu'il est capable de prendre, c'est remplir les fiches de paye, de faire des transferts faramineux et de donner des salaires de malade à ses petits chouchous lensois dont Seko Fofana et Brice Samba, qui ont des salaires démesurés pour Rennes. Dans ce clan des Lensois, Pouille est plutôt effacé. Avant qu'ils prennent une décision..."

Fofana et Samba ont décidé qu'ils n'avaient pas envie de bosser avec lui
C'est de ce clan des anciens partenaires au RC Lens que soufflent les vents contraires contre Habib Beye, assure le journaliste RMC. "À l'intérieur de ce clan des Lensois, il y a deux hommes très très forts, de par le poids qu'ils ont dans le vestiaire, de par leur histoire et leur salaire, c'est Samba et Fofana", poursuit-il. "Et il se trouve que ça ne colle pas avec Beye. Et ces deux-là ont décidé qu'ils auraient la peau de Habib Beye. Après le match à Lens, Brice Samba va dans le vestiaire des Lensois - il y avait Rongier également mais lui soutient Habib Beye - pour tailler le coach. Seko Fofana et surtout Brice Samba ont décidé que Beye c'était mort, que ce n'était pas un bon coach, qu'ils n'avaient pas envie de bosser avec lui et que ça n'allait pas."

On n'apprend pas de nos erreurs : une trêve internationale crispante pour Rennes, encore décevant au Havre
"Après le match face à Lens, ils vont dans le vestiaire de Lens comme si c'était le leur pour parler avec les anciens", conclut-il. "Ils ont le droit d'aller voir les anciens potes, ce n'est pas un problème mais si c'est pour tailler le coach, je trouve que c'est quand même un petit peu moins bien. Beye a essayé de faire des réunions avec certains joueurs, comme Fofana mais ça a été refusé. Samba et Fofana ont décidé d'avoir un petit peu sa peau. Pouille a, lui, la capacité à ne pas prendre de décisions."

S.G.S.B.

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