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Le désamour des Français pour les abonnements menace l’avenir du football professionnel

C’est une claque que la Ligue de Football Professionnel ne peut plus ignorer. Alors que la saison 2025-2026 se profile, une étude OpinionWay révèle une réalité alarmante : près de deux tiers des Français (64 %) refusent de payer un abonnement pour regarder la Ligue 1. Dans un pays historiquement passionné de ballon rond, ce rejet massif résonne comme un symptôme inquiétant d’un divorce silencieux entre le public et son championnat.
Le désamour des Français pour les abonnements menace l’avenir du football professionnel

Après l’échec commercial de DAZN — contrat rompu dès la fin de la première saison — la LFP avait tenté de reprendre la main en lançant Ligue1+, une plateforme à 14,99 € par mois, bien en deçà des 39,99 € exigés initialement par DAZN. Mais rien n’y fait : le refus de payer s’enracine, et avec lui, la menace d’un effondrement du modèle économique du football professionnel français.

Une fracture populaire et générationnelle
Le détail de l’enquête est sans appel. Même parmi les amateurs de football, 44 % refusent de souscrire un abonnement. Et la tendance s’aggrave chez les jeunes : moins de 4 % des 18-24 ans accepteraient de payer plus de 10 € par mois pour suivre les matchs. Pour une industrie qui misait sur le numérique pour renouveler son audience, le désaveu est cruel.

Ce rejet ne semble pas lié uniquement au prix : il traduit aussi une lassitude face à des offres complexes, des matchs éclatés sur plusieurs plateformes, et une qualité sportive jugée déclinante. La Ligue 1, jadis produit de fierté nationale, peine aujourd’hui à convaincre même les siens.

Une exception : le club de cœur
Un chiffre, toutefois, retient l’attention : 67 % des supporters ayant un club de cœur se disent prêts à payer, contre seulement 35 % dans la population générale. Ce lien affectif pourrait être la dernière planche de salut pour un football en crise. Il suggère que la centralisation des droits dans une offre unique ne fonctionne plus, et que l’avenir pourrait passer par une vente directe des droits club par club, voire par du pay-per-view ponctuel.

Mais cette piste, si séduisante soit-elle, pose des questions lourdes : cela renforcerait les inégalités entre clubs, affaiblirait le principe de solidarité, et fracturerait davantage encore un championnat déjà à la peine sur la scène européenne.

Le football français à la croisée des chemins
La situation actuelle n’est pas tenable. Les clubs, largement dépendants des revenus audiovisuels, voient leur horizon se boucher. L’attractivité du championnat, déjà en retrait, risque de décliner encore. Moins d’argent, moins de visibilité, moins de stars : la Ligue 1 glisse lentement mais sûrement vers une marginalisation dangereuse.

Face à cette crise de confiance, le football français doit repenser en profondeur son rapport au public. L’enjeu n’est plus seulement financier : il est culturel. Il s’agit de savoir si, demain, le football professionnel français existera encore dans l’imaginaire collectif — ou s’il deviendra un produit de niche, coupé de sa base populaire.

Un sondage détruit la chaîne Ligue 1+

Après seulement une saison de contrat avec DAZN pour la diffusion de la Ligue 1, la LFP a pris la décision de laisser tomber le géant britannique pour offrir sa propre chaîne, Ligue 1+. Une nouvelle plateforme qui est encore loin d'avoir trouvé son public.

Un sondage détruit la chaîne Ligue 1+

Au début de ce mois de juillet, la Ligue de football professionnel convoquait la presse pour présenter son nouveau bébé, la plateforme Ligue 1+. Après une saison très délicate passée avec DAZN en tant que diffuseur principal du championnat de France, la haute instance du football français a pris les devants en ouvrant sa propre chaîne, avec ses propres émissions et règles. Toutefois, l'opinion publique au sujet de l'achat d'un abonnement pour regarder le football français est encore largement méfiante. Comme l'indique un récent sondage réalisé auprès de 1017 personnes par OpinionWay, entre le 13 et le 15 juin, 64% des Français, soit quasiment les deux tiers, déclarent ne pas vouloir souscrire un abonnement pour regarder la Ligue 1 la saison prochaine.

Des chiffres effarants qui prouvent encore une fois que la fracture est grande ouverte entre les diffuseurs du championnat de France et ses consommateurs. D'autres données statistiques ont d'ailleurs été publiées par l'entreprise de sondages. On apprend ainsi que chez les passionnés de football, le taux de refus descend à 44%, tandis que sur les 56% prêts à payer un abonnement, seuls 6% accepteraient de dépenser plus de 10 euros par mois. En d'autres termes, même avec une réduction drastique du prix de l'abonnement, lequel est passé à 14,99 euros par mois via Ligue 1+, la LFP n'est pas certaine de trouver son public. Une mensualité qui sera, de toute façon, bien moins élevée que les 39,99 euros par mois proposés par DAZN au lancement de sa campagne.

Enfin, le sondage permet aussi de voir qu'au sein d'une population de votants ayant un club de coeur qui évolue en Ligue 1, 67% des sondés se disent prêts à souscrire un abonnement. Une donnée sur laquelle la ligue peut peut-être se baser pour lancer, comme beaucoup l'espèrent un jour, la diffusion de matchs en pay-per-view (payer pour voir des matchs à la carte, ndlr). Le sondage ayant d'ailleurs été réalisé avant l'officialisation de la plateforme Ligue 1+, les avis ont peut-être changé depuis.

La première soufflante de la saison d'Habib Beye

Avant même que le championnat ne commence, le Stade Rennais a déjà ressenti la pression, et pas des moindres. Habib Beye, l’entraîneur du club, a donné le ton de manière très claire : il n’est pas là pour faire de la figuration. Lors d’une réunion avant la reprise, il a adressé une grosse soufflante à ses joueurs, leur rappelant fermement les exigences de la saison à venir.
La première soufflante de la saison d'Habib Beye

Dans un discours direct et sans détour, Beye a fait savoir qu'il attendait bien plus de rigueur, de discipline et d’engagement. Ce n’est pas juste une question de talent, mais de se donner à 100% à chaque entraînement, à chaque match. Le message est clair : la tolérance pour la médiocrité est zéro. Ce coup de gueule intervient après des performances décevantes par moments la saison précédente, et l’entraîneur ne compte pas se laisser prendre au piège de la complaisance.

Les joueurs, visiblement attentifs, ont compris que la barre était placée haut. Cette "soufflante" précoce est aussi un moyen pour Beye de marquer son autorité et de mettre tous les joueurs sur le même pied d’égalité, sans exception. Le Stade Rennais, avec son effectif ambitieux, ne veut plus se permettre de trébucher sur des erreurs évitables. Cette saison, la discipline sera la clé, et Beye est déterminé à en faire une priorité dès le départ.

Rongier en Rouge et Noir ? Le Kop ronge son frein

Valentin Rongier en rouge et noir? Un excellent choix, une provocation, ou juste un transfert mal inspiré?

Rongier en Rouge et Noir ? Le Kop ronge son frein

À l’annonce de cette potentielle arrivée de l’ex-capitaine nantais, le Roazhon Celtic Kop, groupe ultra rennais, s’est fendu d’un communiqué sur les réseaux sociaux. Dans cette affaire, ce n’est pas seulement le joueur qui prend une cartouche, mais bien toute la direction du Stade rennais.

Rongier en Rouge et Noir ? Le Kop ronge son frein

Le SRFC n’a encore rien officialisé sur son site Internet, mais une simple fuite et le mal serait fait. Pire : l’ex-canari ne viendrait pas seul. Quentin Merlin, né à Nantes et latéral gauche prometteur, serait inclus dans le deal avec l’OM. Une recrue au nom magique, certes, mais pour les supporters rennais, ce mercato ressemble surtout à un mauvais tour.

Valentin Rongier, c’est un symbole. Capitaine du FC Nantes, figure identitaire, le joueur est l’auteur de déclarations assassines dans le passé. "Je ne signerai jamais à Rennes", avait-il lancé dans les médias. Aujourd’hui, cette promesse tenue ressortie des limbes de l’histoire vole en éclats. Et pour le Roazhon Celtic Kop, ça ne passe pas.

Dans leur communiqué, les ultras parlent d’affront?, d’hypocrisie?, d’un footballeur sans légitimité pour porter le maillot rouge et noir. Bref, une ligne rouge — et noire — serait en train d’être franchie par le président. "Nous ne l’accepterons pas", prévient le Kop. "Valentin Rongier n’a, à nos yeux, aucune légitimité pour revêtir nos couleurs."

L’an dernier, Ludovic Blas avait quitté Nantes pour Rennes, dans une opération déjà explosive côté canari. Il y a quelque temps, c’est Matthis Abline, formé à Rennes, qui avait effectué le chemin inverse. Et voilà que maintenant, Rennes irait chercher Valentin Rongier, figure historique de la Beaujoire, en y ajoutant Merlin, au nom tout droit sorti de Brocéliande. Mais ici, la magie ne prend pas.

D’ores et déjà, une image (sans doute réalisée par l’IA) circule sur les réseaux sociaux : Rongier dans la tunique rouge et noire. Le Puma, le col noir, le blason sur le cœur, tout semble lui aller. Mais au-delà du look, le transfert reste piquant : comment un joueur qui a juré fidélité au rival peut-il devenir le visage d’un projet censé incarner des valeurs??

Le Roazhon Celtic critique surtout sur la direction. Celle qui prône "l’identité rouge et noire" à grand renfort de communication… et qui aujourd’hui s’apprête à signer l’exact opposé. Valentin Rongier et Quentin Merlin sont peut-être de bonnes pioches sportivement. Mais en tribunes, cela ne passerait pas. Car un maillot, aussi beau soit-il, ne suffit pas à habiller une âme. Décidément, les mercatos sont difficiles du côté de la route de Lorient…

Nous ne pourrons l’accepter

A travers un communiqué publié lundi, le Roazhon Celtic Kop, principal groupe de supporters du Stade Rennais a exprimé sa colère à propos du probable transfert du milieu de terrain de l'OM, Valentin Rongier. Les fans bretons n'acceptent pas le recrutement d'un joueur qui les a régulièrement chambrés lorsqu'il jouait avec le FC Nantes, son club formateur et grand rival de Rennes.
Nous ne pourrons l’accepter

Valentin Rongier et Quentin Merlin au Stade Rennais, c’est sans doute une question d’heures. Arrivés en Bretagne lundi, les deux joueurs de l’OM évolueront cette saison avec les Rouge et Noir après avoir satisfait leur visite médicale. Ils ont comme autre point commun d’avoir joué au FC Nantes avant de rejoindre Marseille. Des ex-Nantais chez le rival breton, ça ne passe pas chez les supporters rennais, surtout en colère pour la venue de Valentin Rongier.

Contrairement au latéral gauche, le milieu de terrain arrivé au centre de formation du FCN à 7 ans chambrait régulièrement le Stade Rennais lorsqu’il portait le maillot des Canaris. "C'est un club qui ne m'attire pas du tout", avait lâché le Nantais à Ouest-France en 2018. Un an auparavant, il avait aussi fait une allusion à des chèvres à propos de l’équipe d’Ille-et-Vilaine. Et d’ajouter: "Je ne pourrais pas aller là-bas. Je ne sais pas non plus si je serais le bienvenu."

Aucune légitimité pour porter nos couleurs
Des déclarations qui reviennent à la surface aujourd'hui mais que les ultras du Roazhon Celtic Kop n’ont jamais oublié. Dans un communiqué publié ce lundi, le principal groupe de supporters exprime "une certaine stupeur" à propos de la probable arrivée de Valentin Rongier. "Nul besoin de rappeler aux supporters Rouge et Noir l’aversion affichée de ce joueur envers notre club. Entre ses piques enfantines sur les réseaux sociaux et ses déclarations dans les médias Valentin Rongier n’a, à nos yeux, aucune légitimité pour porter nos couleurs."

Un gros tacle à la direction... du Stade Rennais
En attendant un accueil probablement très épicé pour le milieu de terrain, le RCK s’en prend aussi à la direction de son club: "Comment ne pas souligner l’hypocrisie flagrante de ceux qui, il y a quelques semaines encore, organisaient un week-end autour de "l’identité Rouge et Noir"… pour aujourd’hui envisager l’arrivée d’un joueur qui incarne tout le contraire", s’interroge le Roazhon Celtic Kop. En matière d’identité, de cohérence et de respect du peuple Rouge et Noir, nous attendons mieux." Et de conclure: "Ce recrutement serait pour nous un affront s’il aboutit et nous ne pourrons l’accepter."

Il n’a aucune légitimité à porter nos couleurs

Alors que l’arrivée de Valentin Rongier semble imminente au Stade Rennais, le RCK, un des groupes de supporters du club breton, a diffusé un communiqué pour dénoncer sa probable signature. En cause, des différends qui datent de son passage au FC Nantes.

Il n’a aucune légitimité à porter nos couleurs

C’est l’info chaude du mercato du Stade Rennais depuis 24 heures. Deux joueurs de l’Olympique de Marseille, Quentin Merlin et Valentin Rongier, devraient signer dans le club breton. "C’est quasi fait", affirmait même une source interne à l’Equipe, dimanche.

L’annonce de l’arrivée imminente de ces deux anciens nantais, et plus particulièrement celle de Rongier, a provoqué l’ire des supporters du SRFC. Le Roazhon Celtic Kop, un des principaux groupes de supporters des Rouge et Noir, a publié, ce lundi 21 juillet, un communiqué cinglant contre le milieu de terrain. "Nul besoin de rappeler aux supporters l’aversion affichée de ce joueur envers notre club", détaille le RCK.

"Entre ses piques enfantines sur les réseaux sociaux et ses déclarations dans les médias, dans lesquelles il affirmait ne "jamais vouloir signer au Stade Rennais" car il représente son club "ennemi" et jurait de "rester Nantais à jamais", ? Valentin Rongier n’a, à nos yeux, aucune légitimité à porter nos couleurs", s’est indigné le Roazhon Celtic Kop.

Chambrage sur les réseaux sociaux
Formé à Nantes, club historiquement rival du Stade Rennais, Valentin Rongier y a joué comme professionnel de 2014 à 2019, où il a même été capitaine. En 2017, il avait posté une photo de chèvres sur ses réseaux sociaux avec comme commentaire "Coucou les Rennais". "C’était pour rigoler, pour mettre un peu de piment dans ce derby", s’était-il justifié à l’Equipe quelques mois plus tard.

En 2018, il en avait remis une couche et déclaré dans Ouest-France ne "jamais" pouvoir signer au Stade Rennais. "C’est un club qui ne m’attire du tout", avait-il insisté à l’époque.

Le club de supporters s’en est également pris à la direction du club et pointe "l’hypocrisie flagrante de ceux qui, il y a quelques semaines, organisaient un week-end autour de l’identité Rouge et Noir", avant d’ajouter que le recrutement - très probable - du milieu de l’OM, serait "un affront".

Accord total avec Rennes pour Quentin Merlin et Valentin Rongier

Sur le départ de l’OM, Quentin Merlin et Valentin Rongier sont sur le point de rejoindre Rennes. Un accord total a été trouvé pour ce double transfert et l’OM recevra 22,5 millions d’euros bonus compris.
Accord total avec Rennes pour Quentin Merlin et Valentin Rongier

Cet été, l’OM aspire à réaliser un grand mercato. Dans la lignée de ses dernières périodes de mercato, le club phocéen voit les choses en grand et souhaite recruter le plus de joueurs susceptibles d’apporter une réelle plus-value à l’effectif de Roberto De Zerbi. En ce sens, les dirigeants phocéens n’ont pas chômé en ce début d’été. En effet, trois arrivées ont déjà été enregistrées et Pierre-Emerick Aubameyang est sur le point de faire son retour, deux ans après son départ.

Les Phocéens se sont d’ailleurs renforcés à des postes clés qui posaient problème l’an dernier. En effet, les arrivées de CJ Egan-Riley, gratuite, et de Facundo Medina, contre 22 millions d’euros, permettront d’apporter de la profondeur à un secteur défensif parfois en difficulté la saison passée. L’arrivée d’Angel Gomes contre 0 euro en provenance de Lille représente une superbe opération pour étoffer le milieu de terrain marseillais. L’arrivée imminente de Pierre-Emerick Aubameyang ne devrait pas être la seule pour apporter de la diversité en attaque.

Double vente pour l’OM
Des recrues intéressantes pour un montant total plus que raisonnable, l’OM travaille bien sur ce mercato estival. Désormais, l’un des autres facteurs de la réussite de l’été marseillais sera la capacité des dirigeants olympiens de se délester de plusieurs indésirables. Quentin Merlin n’est pas dans cette catégorie. Pour autant, si une offre intéressante apparaissait pour l’ancien de Nantes, auteur de 29 matches la saison passée, l’OM s’assoirait à la table des négociations. Cette belle proposition est arrivée, et Valentin Rongier est aussi dans l’opération.

Depuis quelques jours, Rennes discute avec l’OM pour attirer le défenseur gauche de 23 ans et le milieu de 30 ans. Après avoir vendu Adrien Truffert contre 17 millions d’euros à Bournemouth, Rennes va bien s’offrir le latéral et le milieu de terrain pour un montant de 22,5 millions d’euros bonus inclus. Signe que l’axe Marseille-Rennes tourne à plein régime après Lilian Brassier et Ismaël Koné. Deux départs qui seront logiquement compensés par des arrivées dans les prochaines semaines.

Vers une révolution de la règle du penalty ?

Plusieurs médias anglais ont annoncé que l’IFAB, l’instance qui gère les règles du football, envisage de modifier une règle sur les penalties. Un joueur qui voit son penalty repoussé par le gardien ou un montant ne pourrait pas, tout comme l’un de ses coéquipiers, tenter de marquer dans un deuxième temps. En cas d’échec, le jeu reprendrait sur un renvoi aux six mètres. Les arbitres du VAR pourraient également avoir un champ d’application plus large.

Vers une révolution de la règle du penalty ?

C’est une règle qui pourrait modifier beaucoup de choses. Selon les médias anglais The Times et The Sun , l’IFAB (International Football Association Board) souhaiterait modifier une règle existante depuis 134 ans.

Poursuivre un penalty en cas d’arrêt du gardien ou d’une tentative repoussée par un montant. L’instance souhaite mettre en place cette nouvelle règle à partir de la Coupe du monde 2026 qui sera organisée aux États-Unis, au Canada et au Mexique.

Cette nouvelle règle n’offrira donc qu’une seule chance au tireur, sans la possibilité que lui, ou l’un de ses coéquipiers puissent avoir une seconde chance de pousser le ballon au fond des filets. Un échec serait alors transformé en renvoi aux six mètres, même si le gardien repousse le ballon en corner.

Rééquilibrer le duel entre le tireur et le gardien
Scotchés sur leur ligne, et limités dans leurs mouvements, les gardiens apparaissaient en position d’infériorité dans leur duel avec le tireur. L’objectif de cette nouvelle règle est donc de rééquilibrer le rapport de force entre le gardien et le tireur. Plusieurs personnes consultées avancent également que, dans la majeure partie des cas, le penalty offre à l’équipe attaquante une chance bien plus grande de marquer que celle que l’infraction initiale avait empêchée, explique le journal anglais The Sun.

Cette nouvelle règle mettrait également fin aux débats sur l’empiètement des joueurs, qui doivent rester en dehors de la surface de réparation au moment de la frappe du tireur. L’application de cette nouvelle règle sera décidée via un vote qui aura lieu avant fin février 2026.

Les propos complètement lunaires du producteur de Ligue 1+

Ce mardi matin sur France Inter, Pierre-Antoine Capton, président de Mediawan Sports, est venu défendre le lancement imminent de Ligue 1+, la nouvelle chaîne de diffusion du championnat français, fruit d’un partenariat avec LFP Media. Entre déclarations triomphales et promesses d’innovation, le producteur s’est voulu rassurant sur l’état du football hexagonal. Une intervention qui tranche nettement avec la réalité économique, institutionnelle et sportive que traverse actuellement la Ligue 1.
Les propos complètement lunaires du producteur de Ligue 1+

Depuis l’effondrement du contrat Mediapro (prévu à 780 M€/an pour la période 2020–2024 mais jamais honoré au-delà de quelques versements), la Ligue 1 reste prisonnière d’un modèle trop dépendant des droits télévisés. Ce fiasco, suivi par un accord d’urgence avec Canal+ puis une série d’appels d’offres infructueux, a conduit à une revente des droits bien en dessous des attentes – environ 624?M€/an pour 2021–2024, puis non plus que 500?M€/an pour 2024–2029 via un partenariat DAZN/beIN Sports, soit une baisse d’environ 20 à 45?% selon les cycles. DAZN, pourtant engagé à verser 400?M€/an, peine à atteindre ses objectifs (500?000 abonnés au lieu de 1,5?M), réclame même à l’arbitrage plus de 500?M€ à la LFP pour rupture, soulignant un modèle économique jugé trop fragile. À chaque nouvel épisode, les clubs – particulièrement les plus modestes – voient leurs budgets amputés, mettant en péril fonctionnement sportif, investissements et formation.

Loin de se limiter aux droits TV, la crise touche l’ensemble de l’écosystème du football français. Depuis l’audit ordonné par la FFF et la mission du Sénat, les critiques se multiplient : dérives financières des clubs souvent déficitaires (pertes cumulées de plus de 2?milliards € entre 2018 et 2023), pression insoutenable sur les salaires, violences dans les stades, scandales sur l’arbitrage, et investigations judiciaires. Le rapport d’audit a même évoqué la "fin annoncée" de la LFP si elle ne se réinvente pas, poussant à envisager la création d’une chaîne contrôlée par la LFP (portée notamment par Mediawan Sports) et de nouveaux modèles de redistribution, au risque d’une remise en cause profonde des structures actuelles. En filigrane, la fragilité économique menace aussi le football amateur — via la baisse de la "taxe Buffet" — et le football féminin, nettement tributaires des revenus générés en haut lieu

Des déclarations totalement hors sol !
Pendant que le football français s’enfonce dans une crise financière, institutionnelle et morale sans précédent, certains continuent de jouer les illusionnistes, agitant des discours auto-congratulatoires comme des fumigènes pour masquer l’effondrement en cours. Ce mardi matin, sur France Inter, Pierre-Antoine Capton, patron de Mediawan Sports et nouveau chevalier blanc autoproclamé de la Ligue 1, s’est exprimé dans un mélange d’enthousiasme désincarné et de communication hors-sol : «on est en train d’y travailler. Mediawan Sports est le partenaire de la Ligue de football professionnel. On est au service de Nicolas de Tavernost et de ses équipes. On est extrêmement fier et heureux de pouvoir accompagner le football dans cette nouvelle transition. Jamais le championnat de Ligue 1 ne s’est aussi bien porté. Le travail de Vincent Labrune a payé puisqu’on voit que le PSG a quand même gagné la Ligue des champions pour la première fois cette année. Le championnat va bien. Il y a des très grandes équipes. On a une équipe de professionnels à la tête aujourd’hui de cette chaîne. Chez Mediawan Sports, Éric Hannezo, Frédéric de Vincelles et toutes les équipes sont à fond pour faire du mieux possible en termes de narration et d’innovation». Entre storytelling managérial et hallucination stratégique, il a livré une vision parallèle du football français — où tout va bien, tout est prêt, et surtout, tout est à réinventer. Extraits d’un vol plané stratosphérique. Mais le sommet est atteint lorsque Capton, en apôtre d’un football-spectacle 2.0, convoque Brad Pitt, Netflix et les vestiaires comme solutions miracles à la désaffection des fans.

Comme si le gouffre financier de la LFP allait se combler par un bon travelling ou quelques micros dans les douches. On croyait avoir tout vu, mais voici que la mise en scène remplace la gestion, et que la caméra devient l’ultime sauveuse d’un sport qui meurt à petit feu faute de gouvernance : «j’ai vu à travers le film de la Formule 1 que quand on arrivait à pouvoir pénétrer les coulisses de ces sports, la Formule 1, par exemple, on entend toutes les discussions entre un ingénieur et un pilote diffusées en direct. Le football, on doit encore révolutionner tout ça. Un film sur le foot, est-ce que Brad Pitt aurait pu faire un match de la Coupe du Monde en direct, comme il a été sur un circuit de Formule 1 ? Je ne suis pas totalement certain. On doit révolutionner et permettre à des caméras d’entrer dans les vestiaires, humaniser un peu tout ça. Oui, on doit changer, essayer d’innover. Et donc aujourd’hui, c’est le début. Il y a une chaîne qui doit se lancer pour le 14 août». Le football français n’a pas besoin d’un documentaire. Il a besoin d’un plan de survie. Pendant que les clubs vendent leurs meilleurs joueurs pour éponger les dettes, pendant que la Ligue peine à vendre ses droits et que les supporters désertent les stades ou y allument des fumigènes par désespoir, les élites du foot préfèrent rêver de caméras embarquées et de storytelling calibré. À force de confondre sport et divertissement, gouvernance et narration, on risque de finir avec une belle série Netflix… sur la chute du football français.

S.G.S.B.

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