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Arthur Theate : Jérémy Doku m’a fait part du beau club qu’est Rennes

Arrivé de Bologne la semaine dernière, Arthur Theate a officiellement été présenté ce mercredi. Le défenseur central est revenu sur les raisons qui l’ont convaincu de rejoindre les Rouge et Noir pour les quatre prochaines saisons.
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Deuxième recrue estivale du Stade Rennais, le Belge Arthur Theate a débarqué en Ille-et-Vilaine la semaine dernière. Aligné lors du dernier match de préparation face à Aston Villa (1-2), samedi, le défenseur central est revenu ce mercredi, lors de sa présentation officielle, sur ses premiers pas au Roazhon Park et les raisons qui l’ont convaincu de rejoindre les Rouge et Noir.

Arthur, qu’est-ce qui vous a intéressé dans le challenge rennais ?

Le club grandit depuis plusieurs années, il se dévoile au haut niveau, avec des compétitions européennes. Ça va être la première fois que je vais jouer dans une compétition européenne, c’est un challenge excitant et puis je pense que tous les joueurs qui passent par ici grandissent, s’améliorent, c’est un critère aussi. J’ai envie de m’améliorer, d’aller chercher le maximum de moi, au quotidien, avec le club.

Rester à Bologne était envisageable pour vous ou vous vouliez dans tous les cas rejoindre un club jouant une Coupe d’Europe ?

Quand j’ai signé à Bologne, il y avait un projet. Puis un autre club arrive. Le Stade Rennais est venu avec un projet clair qui m’a séduit. J’avais envie de rejoindre le club, j’en ai fait part à Bologne et à Rennes. On a trouvé la solution, et être ici, c’était une bonne chose pour moi.

Vous avez joué en Belgique, en Italie, que vous inspire le championnat de Ligue 1 ?

La Ligue 1 est un grand championnat, c’est l’un des cinq grands. C’est un championnat qui va me faire grandir. L’Italie et la Belgique sont deux championnats différents mais avec aussi beaucoup de similitudes avec la Ligue 1 : je pense qu’il y aura aussi beaucoup de physique, de rapidité d’exécution. Je suis impatient de pouvoir fouler les pelouses de Ligue 1 et de voir les attaquants auxquels j’aurai affaire.

"Je me sens déjà très bien avec le groupe et le club"

Vous avez l’impression que l’on parle de plus en plus du Stade Rennais vu de Belgique, vu d’Italie ?

Oui, c’est clair. Avec Jérémy (Doku), on en parlait déjà plus, depuis qu’il est ici. Il a fait de belles choses sa première saison, après il y a eu quelques petits soucis avec ses blessures mais on en parle beaucoup. Ils en ont fait une bonne publicité en Belgique.

Jérémy Doku a été important dans votre prise de décision ?

Tout le monde a été important dans ce qu’il s’est passé, mais oui, je l’ai eu au téléphone, et il m’a fait part du beau club qu’est Rennes. C’est sûr que ça joue aussi un rôle quand on a un repère qui est là dans le club avant. Il ne m’a dit que des bonnes choses du club, de la direction, du staff, des supporters, et j’étais vraiment tenté par ce projet.

Comment avez-vous vécu vos premiers pas avec le Stade Rennais face à Aston Villa samedi ?

Ça a été rapide, mais j’étais aussi impatient de jouer. Le coach m’a fait confiance dès le premier match et j’ai essayé de rendre un maximum à l’équipe. Ça s’est plutôt bien passé. Et les automatismes vont arriver de jour en jour, je vais me sentir de mieux en mieux, même si je me sens déjà très bien avec le groupe et le club.

Qu’avez-vous pensé de l’ambiance du Roazhon Park ?

J’ai trouvé que c’était déjà chaud, pour un dernier match de préparation à domicile. On m’a dit que le week-end prochain, ça allait être encore plus chaud, donc j’ai hâte de découvrir les supporters dans leur totalité.

Vous êtes international belge. La prochaine Coupe du monde est forcément dans un coin de votre tête ?

Si je vous dis que je n’y pense pas, vous allez me croire ? (rires) Après, en début de saison, la priorité va être mise sur le club. Ce sont les prestations en club qui vont faire que. Je suis à l’heure actuelle un joueur des Diables Rouges, j’espère le rester et faire partie de cette Coupe du monde. C’est un rêve de gosse. Mais on va mettre les priorités dans l’adaptation et les automatismes au club, et je verrais ça après.

Le podium dans toutes les têtes

Qualifié pour une cinquième campagne européenne de rang, le Stade Rennais, fort d’un recrutement ambitieux avec l’arrivée, notamment, de Mandanda, ne peut se cacher. La Ligue des Champion est bien dans le viseur.
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Sur le podium durant près d’un tiers du dernier championnat, soit douze journées (14e-18e, puis 29e-35e), le Stade Rennais a conservé sa quatrième place grâce à un but presque inespéré de Sehrou Guirassy dans les arrêts de jeu de la dernière journée à Lille (2-2). Après avoir loupé le coche du podium en allant perdre à Nantes (1-2), face aux tout frais vainqueurs de la Coupe de France, à trois journées du terme…

Ces points perdus - cette fois à la Beaujoire - à un moment crucial, Rennes n’a plus envie de les abandonner et de les compiler dans une malle aux regrets éternels. L’objectif est bel et bien de décrocher, sur un championnat complet, après sa troisième place obtenue en 2020, avant la pandémie, la qualification pour la Ligue des Champions. A peine arrivé, le nouveau gardien, Steve Mandanda, trahissait ce secret de Polichinelle.

Mandanda : Tout faire pour rivaliser
"L’ambition est de garder les résultats positifs, essayer de faire mieux, donc, oui, c’est la Ligue des Champions. Il ne faut pas s’emballer, mais on est là pour ça, pour être le plus performant possible. On sait que ça ne va pas être simple, il faut rester raisonnable. A nous de tout faire pour rivaliser avec ces équipes-là, qui ont un budget supérieur", lançait le champion du monde 2018, lors de sa présentation début juillet.

Avec ce renfort expérimenté, Rennes assume son statut de prétendant aux grandes agapes européennes et pas seulement aux Coupes d’Europe moins avantageuses financièrement et moins clinquantes sportivement. Cette saison, le club de la famille Pinault disputera, en Ligue Europa, sa cinquième campagne continentale consécutive, après la Ligue Europa (2018/19 et 2019/20), la Ligue des Champions (20/21) et la jeune Ligue Europa Conférence (21/22). Cette récurrence a forcément aiguisé les appétits. Les investissements récents l’ont déjà démontré, notamment les 26 M€ posés pour Jérémy Doku en 2020 ou les 15 M€ pour Laborde fin août dernier.

Toujours porté vers l’offensive
Les preuves ont encore été données ces derniers jours avec les arrivées d’Arthur Théate, contre 20 M€ (+ 2M€ de bonus), en provenance de Bologne, et de Joe Rodon, prêté par Tottenham, avec une option d’achat du même tonneau. Rennes a des moyens, les montre et cela n’est sans doute pas terminé… Le staff attend un milieu et un élément offensif pour aller encore plus de l’avant.

Assumant un jeu offensif, avec la bagatelle de 101 buts toutes compétitions confondues la saison dernière, Bruno Genesio - qui a prolongé son contrat jusqu’en 2025 début juillet - veut parvenir à ses fins avec le même fil conducteur. Florian Maurice, le directeur technique, entend l’y aider en ajoutant ces petits détails qui font la différence dans le "money time" en toute fin de saison. "On est de plus en plus attractifs à plusieurs niveaux, on amène ce club à lutter avec des clubs avec des budgets supérieurs. On veut bâtir une équipe capable de renverser des montagnes comme on l’a fait contre le PSG et Marseille (ndlr, battus 2-0 au Roazhon Park)", glisse le dirigeant. Il n’a pas manqué grand-chose au printemps. Les retouches estivales suffiront-elles ?

Rennes mise toujours sur l'attaque

Deuxième attaque de Ligue 1 la saison passée (82 buts), Rennes cultive une philosophie offensive chère à Bruno Genesio. Avec Terrier, Laborde et Bourigeaud, les Bretons ont conservé leur trio de feu.
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Avec la vente de Mathys Tel au Bayern Munich, Rennes a établi un record. L'attaquant de 17 ans est devenu le mineur le plus cher de l'histoire.

Les Bretons vont encaisser 28,5 M€ (bonus inclus) pour un adolescent qui ne comptait que sept matches en Ligue 1, pour un total de 49 minutes de jeu.

63,5 M€
C'est la somme perçue par Rennes pour le mercato 2023. Avec les ventes de Nayef Aguerd pour 35 M€ à West Ham, et de Mathys Tel pour 28,5 M€ (bonus compris) au Bayern Munich, Rennes va encaisser

63,5 M€. C'est déjà plus que lors des mercatos estivaux, côté départs, en 2020 (54 M€), 2021 (55 M€) et 2022 (45 M€).

"Cette cession n'était pas envisagée, tempère Bruno Genesio. On voulait davantage intégrer Mathys dans la rotation cette saison. Après, il y a eu sa volonté et le marché."

Ce grand espoir français, capitaine des champions d'Europe de moins de 17 ans en juin, a quitté son cocon breton sans avoir inscrit de but dans l'élite avec son club formateur. Mais si Rennes a perdu une belle munition, il n'en garde pas moins une sacrée force de frappe.

La saison passée, le quatrième de Ligue 1 a terminé avec la deuxième attaque du Championnat (derrière le PSG, 90 buts). L'armada rouge et noir a inscrit 82 buts (101, toutes compétitions confondues. ).

Le joueur à suivre : Theate, un Diable rouge... et noir
Quelques semaines après avoir levé l'option d'achat d'Arthur Theate (22 ans) auprès d'Ostende pour 6 M€ dans la foulée d'un prêt d'une saison (31 matches en Serie A, 2 buts), le FC Bologne a montré qu'il avait le sens des affaires. Et Rennes du cash ! Les Italiens ont fait monter les prix devant l'impatience bretonne pour céder leur international belge (3 sélections) 20 M€ (plus 2 M€ de bonus) avec un contrat de quatre ans à la clé. "C'est un gaucher, un joueur qui aime le duel et qui va vite", se réjouit Bruno Genesio, qui l'a vu marquer son premier but d'une tête puissante face à Aston Villa lors de l'ultime match de préparation breton, samedi, au Roahzon Park (1-2). "Il a aussi une bonne relance. C'est un défenseur encore jeune, qui doit progresser dans la lecture du jeu, mais déjà international et avec un bon potentiel. On en avait besoin." Formé au Standard de Liège puis passé par Genk, le Liégeois a connu sa première sélection avec les Diables rouges, le 16 novembre dernier, face au pays de Galles (1-1) de Joe Rodon, son futur partenaire rennais en défense centrale, qui vient d'être prêté par Tottenham.

Rennes a placé trois joueurs dans le top 20 des meilleurs réalisateurs avec Martin Terrier (troisième avec 21 buts), Gaëtan Laborde (15 buts, dont 3 avec Montpellier en début de Championnat) et Benjamin Bourigeaud (11).

Si l'on ajoute Serhou Guirassy (9 buts), Rennes a inscrit 65 % de son total de buts dans l'élite avec ce quatuor de feu, qui constitue encore l'essentiel de son secteur offensif en ce début de saison, avec Jérémy Doku, Kamaldeen Sulemana et les jeunes Matthis Abline (19 ans) ou Loum Tchaouna (18 ans).

La marque de fabrique de Genesio
"Les automatismes sont déjà là, et c'est rassurant à ce niveau, positive Genesio, qui a encore vu "de bonnes habitudes en préparation.

Notre ligne offensive n'a pas changé. Même si les enjeux sont de plus en plus importants, on doit garder notre philosophie qui fait que les joueurs, le staff, l'entraîneur et les gens qui viennent au stade prennent tous du plaisir.

"J'ai toujours eu envie d'avoir et de voir une équipe qui s'éclate sur le terrain"

Bruno Genesio, entraîneur du Stade Rennais

J'ai toujours eu envie d'avoir et de voir une équipe qui s'éclate sur le terrain. Ça ne veut pas dire que je suis utopiste. Tout cela n'empêche pas d'avoir une structure, notamment à la perte du ballon ou pour vite reformer le bloc.

Il faut aussi avoir les bons joueurs, et pas seulement des attaquants. Traoré, Meling, Truffert, Majer, Tait ou encore Santamaria sont importants dans la variété. Ils participent à cette recherche d'équilibre qui fait qu'on doit jouer pour marquer."

Le mouvement perpétuel anime Rennes. Pour des feux d'artifice qui ont enchanté le Roazhon Park et même quelques enceintes françaises la saison passée.

L'avis de "L'Équipe"
Qualifié en Ligue Europa, Rennes a réussi une des meilleures saisons de son histoire avec une 4e place en L1. Arrivé en mars 2021, Bruno Genesio continue le développement de son équipe portée vers l'offensive. Avec l'appui de son propriétaire François Pinault, l'entraîneur breton - qui vient de prolonger jusqu'en juin 2025 - peut de nouveau tutoyer le podium sur lequel il est monté plusieurs fois la saison dernière, avant d'en tomber à la 36e journée. Son effectif est resté relativement stable pour l'instant, et va accueillir un milieu défensif pour apporter plus de puissance et un attaquant.

Les Rennais ont remporté neuf matches en Ligue 1 en marquant quatre buts ou plus avec quelques beaux cartons. Cette marque de fabrique est la griffe de celui qui a été élu "meilleur entraîneur de Ligue 1" par ses pairs.

En quatre saisons avec Lyon, Bruno Genesio avait déjà fini à trois reprises deuxième attaque de l'élite entre 2016 et 2019. L'entraîneur rennais vient de permettre aux Bretons de retrouver la Ligue Europa avec cet état d'esprit détonant.

"La saison passée, on a terminé avant-dernière équipe de L1 en matière de dribbles, souligne le technicien, qui vient de prolonger jusqu'en juin 2025. Cette statistique illustre notre jeu collectif, de passes et de déplacements. Ça n'empêche pas d'être efficace. Il n'y a d'ailleurs pas que nos attaquants qui sont récompensés."

"On a notre style et on continue de jouer sur nos forces, comme on l'a vu en préparation"

Baptiste Santamaria, milieu de terrain de Rennes

Baptiste Santamaria (2 buts) a réalisé sa meilleure saison dans l'élite comme pilier du milieu breton. "On prend vraiment du plaisir avec ce jeu porté vers l'avant, conquérant et cette envie de toujours gagner, se réjouit le cadre de 27 ans.

Notre jeu est basé sur la possession avec beaucoup de permutations au milieu. J'essaie d'assurer un certain équilibre et d'être une première rampe de lancement. On a notre style et on continue de jouer sur nos forces, comme on l'a vu en préparation.

Comme il n'y a pas eu trop de mouvements dans l'effectif, on se connaît déjà très bien. L'objectif est maintenant de conserver cette régularité dans les résultats pour aller plus haut."

Et donc sur le podium. Comme une dernière marche à franchir pour l'armada rouge et noir.

Deux supporters anglais blessés samedi soir près du stade après le match Rennes-Aston Villa

Samedi, vers 22 h, dans un bar proche du Roazhon Park, à l’issue du match Stade Rennais-Aston Villa, des supporters anglais ont été agressés par un groupe du RCK. Deux Anglais ont été légèrement blessés.

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Samedi 30 juillet, vers 22 h, alors que le match amical Stade Rennais-Aston Villa est achevé depuis une bonne heure, supporters rennais et anglais voisinent au bar l’Équipe, route de Lorient, non loin du Roazhon Park, à Rennes (Ille-et-Vilaine).

Soudain, des supporters du RCK s’en sont pris à des supporters anglais et les auraient agressés. Deux des supporters anglais ont été blessés et transportés au centre hospitalier. L’un a dû être recousu, l’autre se plaignait de douleurs après avoir reçu un coup dans le dos. Ils ont été invités par les policiers à porter plainte.

La police n’a procédé à aucune interpellation. À leur arrivée sur place, les agresseurs avaient pris la fuite.

Dimanche après-midi, les deux Anglais sont sortis de l’hôpital mais n’avaient pas encore déposé plainte. Les investigations se poursuivent pour retrouver les auteurs de l’agression.

Pendant le mercato, ce fan traque le moindre avion dans l'espoir d'une arrivée

En attendant la reprise du championnat de France de football, Antoine Deport suit le recrutement de nouveaux joueurs grâce notamment aux vols aériens. Il nous explique le principe.

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Antoine Deport, alias "Antoine Airlines", devant ses écrans d’ordinateurs à Rennes. (©Antoine Deport / Transmis à Actu Rennes)

Il connait aussi bien l’effectif du Stade Rennais que les modèles d’avions qui passent au-dessus de son appartement.

Alors que le club Rouge et Noir se prépare pour la saison prochaine et constitue sa nouvelle équipe, Antoine Deport, 25 ans, observe le trajet des avions. L’objectif ? Être à l’affût de chaque nouvelle recrue pour, dans le meilleur des cas, rencontrer le joueur lorsqu’il pose ses bagages sur le tarmac de l’aéroport.

Comment ça marche ?
Comme pour une voiture, les avions disposent d’un numéro d’immatriculation qui permet de connaître leur position exacte en temps réel. À l’aide du site flightradar24, le Rennais suit les trajets de plusieurs avions à travers le monde : long courrier, biplan ou encore jet privé. Une fois la carte du ciel affichée sur son écran, Antoine établit une hypothèse. Beaucoup d’hypothèses.

"Imaginons qu’un joueur qui évolue en Turquie est tout proche de signer un contrat au club. Je vais d’abord observer tous les vols entre la Turquie et la France, comme Istanbul–Paris, puis regarder les correspondances vers Rennes", explique le passionné de data et fidèle abonné au Roazhon Park depuis 2017.

Un travail chronophage…
Ce travail d’observation demande du temps et de l’énergie. Antoine doit alors faire une veille méticuleuse pour récupérer un maximum d’informations (déclarations de joueurs, articles de presse à l’étranger…) qu’il utilise ensuite pour mieux filtrer les vols aériens.

J'alimente mon compte Twitter toute la journée et je me connecte chaque jour, pendant au moins une heure, sur le site de tracking, soit sur mon ordinateur, soit sur mon téléphone. C'est comme si j'allais sur Instagram ou Tiktok.

Antoine Deport

Ce fidèle supporter a réussi à bâtir une solide communauté autour de lui avec plus de 2300 abonnés. Son compte s’appelle Antoine Airlines et sa biographie ne manque pas d’humour : "Tour de contrôle hors pair. Météorologue de qualité. Supporter méprisable et détestable du SRFC. Expert développeur le reste du temps".

Parmi les personnes qui suivent son activité se trouve Lucas, administrateur du compte Actu SRFC. "Il est vraiment à fond dans ses recherches et il est devenu au fil du temps une référence en matière d’infos transferts. Je me souviens d’avoir suivi l’arrivée de Lovro Majer l’été dernier avec ses tweets. Bon, à la fin, c’est quand même usant car je regardais tous les avions passer au-dessus de ma maison en me disant : et si Majer était dans cet avion ?", raconte t-il auprès d’Actu Rennes.

…qui se révèle parfois payant !
Malgré le temps passé devant ses écrans, Antoine reste lucide : "dans 99% des cas, l’avion que je repère ne transporte pas le joueur en question, mais parfois c’est le cas, et je vais être honnête, faut aussi avoir un peu de chance !".

La chance, Antoine a su la provoquer, lors du mercato de l’été 2020. En effet, son travail de recherches lui a permis de rencontrer le joueur belge Jérémy Doku – plus gros transfert de l’histoire du club avec un montant fixé à 26 millions d’euros – à son arrivée à l’aéroport Rennes-Bretagne.

"J’étais avec ma copine et on regardait un match du Stade Rennais. Jérémy Doku devait arriver le jour même à Rennes. J’ai passé la journée à observer les vols. Au final, j’ai réussi à arriver à l’aéroport et j’ai pu prendre une photo avec lui, c’est un super souvenir", se rappelle le supporter Rouge et Noir pour Actu Rennes.

Une pratique remarquée par le club
Contacté par Actu Rennes, le club dit avoir "connaissance de ce types de recherches de la part de certains de ses supporters". Le service communication du Stade Rennais avait d’ailleurs utilisé, durant l’été 2021, une infographie retraçant le trajet en avion de Lovro Majer entre Zagreb (Croatie) et Rennes.

L'arrivée d'un joueur à l'aéroport ne conduit pas toujours à une signature de contrat
Au Stade Rennais, comme au sein des autres clubs de football professionnels, plusieurs heures peuvent s'écouler entre l'arrivée du joueur à l'aéroport et la signature de son contrat officiel avec les dirigeants. "Et l'arrivée d'un joueur à l'aéroport n'est pas une condition suffisante pour officialiser une recrue", rappelle une source proche du club. En effet, le joueur doit passer une batterie de tests médicaux (la fameuse "visite médicale", ndlr), et même si c'est très rare, elle peut parfois faire avorter un transfert à la dernière minute.

Reprise de la saison début août
Pour l’heure, Antoine continue à scruter le ciel dans l’espoir de voir arriver de nouvelles recrues du Stade Rennais. "Le club recherche absolument un défenseur et le gros dossier du moment c’est Arthur Theate, qui joue en Italie et qui souhaiterait rejoindre Rennes dans les prochains jours".

Si le mercato se termine officiellement le 1er septembre 2022, le championnat de France reprend quant à lui les 5, 6 et 7 août prochains. Abonné pour cette nouvelle saison, Antoine laissera de côté le ciel pour rejoindre les tribunes du Roazhon Park, où il assistera au premier match des Rouges et Noir face au FC Lorient, dimanche 7 août 2022, à 17h.

Gaëtan Laborde sur sa première saison à Rennes : Je pense avoir fait mon job

L'attaquant entame sa deuxième saison à Rennes et entend poursuivre sur sa lancée.

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Avec 20 buts et 8 passes décisives en 47 matches toutes compétitions confondues (Dont 3 buts en 4 matches avec Montpellier.), Gaëtan Laborde a grandement contribué la saison passée à la quatrième place de Rennes, synonyme de Ligue Europa. Et cela même si l'attaquant a coincé sur la fin (1 but sur les 13 derniers matches). Après s'être marié en juin, l'attaquant landais (28 ans) s'est préparé pour aller encore plus haut. Jeudi, à l'issue d'un décrassage à la Piverdière, il est revenu sur la dernière année, l'arrivée de Steve Mandanda à Rennes et sa complicité avec Martin Terrier.

"Comment se sont passées vos vacances ?
Bien. On aimerait bien rester plus longtemps (sourire), surtout quand on sait ce qui nous attend dans une préparation, mais on doit en passer par là.

Vous êtes-vous entretenu ?
On est obligés, on a un programme, quinze jours pour bien couper et, après, on doit se remettre en route, courir, faire des séances d'abdos-gainage pour préparer le corps à encaisser la préparation.

Comment vous sentez-vous à deux semaines de la reprise (contre Lorient le 7 août) ?
Plutôt excité. On est qualifiés pour une belle Coupe d'Europe, on est un cran au-dessus de la saison dernière.

Avec le recul, cette 4e place vous comble-t-elle ?
On aurait signé en début de saison pour être 4e, parce que c'est compliqué. On l'a vu : à deux minutes près, on pouvait être 5e et à deux journées près, on pouvait être 2e (2). C'était excitant à jouer et c'est une belle place. À nous de progresser, notamment dans la gestion du tempo, d'essayer de faire mieux. On a réussi à créer quelque chose entre nous, il faut le garder, ne pas commencer à penser chacun pour sa gueule. Là où on est le meilleur, c'est en équipe, qu'on presse ou qu'on soit dans le dur.

(2) L'égalisation de Serhou Guirassy à Lille (2-2) lors de la dernière journée a refait passer Rennes
de la 5e à la 4e place au détriment de Nice ; la défaite à Nantes (1-2, 36e journée) avait sorti Rennes du podium.

Mieux, c'est le podium, donc...
Oui. Mais c'est un éternel recommencement. On doit réattaquer fort. La concurrence se renforce, nous aussi, on va se renforcer. Enfin je ne pense pas qu'il faille non plus bouleverser tout un effectif. On n'a pas eu beaucoup de départs pour l'instant, donc on fera avec nos forces.

"On ne peut pas me réduire à de l'efficacité et des buts"

Et avec Steve Mandanda. Qu'apporte-t-il, déjà ?
Il vient d'arriver, donc ce n'est pas évident pour lui de parler comme ça, mais il commence, comme mercredi contre Caen à la mi-temps (2-1). Il prend sa place tranquillement et puis il est tellement légitime quand il s'exprime. Il a un respect et une bonne vision des choses, il faut qu'on s'en serve et qu'on avance avec lui. Il va apporter son expérience, c'est vraiment top. On avait une défense plutôt jeune, sa présence ne peut nous apporter que du positif.

L'une des forces de Rennes a été votre association avec Martin Terrier. Quelle différence avec votre complicité précédente avec Andy Delort à Montpellier ?
J'ai un peu avec Martin le rôle qu'Andy avait avec moi à Montpellier. Andy était plus âgé et axial que moi et, à Rennes, je suis plus âgé et axial que Martin. Avec Andy, on se faisait beaucoup de buts-passes décisives mais ce n'était pas le même jeu et, en 3-5-2, on se recherchait aussi beaucoup. Ils ont tous les deux des pieds extraordinaires, ils peuvent mettre la balle quasiment où ils veulent. Martin est peut-être plus efficace et fin dans ses frappes, Andy est un tueur devant le but et un meneur d'hommes. Quand je les accompagne, ils me le rendent aussi.

Comment jugez-vous votre dernière saison ?
C'est la meilleure de ma carrière. Bon, j'aurais aimé finir aussi bien que j'ai commencé, car, derrière, les gens gardent l'image de la fin. Mais, pour moi, 20 buts et 8 passes décisives, c'était énorme. Il y a quelques années, un combo proche de 20, j'aurais trouvé ça énorme, donc proche des 30, c'est top, ça marque une progression. Et je ne veux pas m'arrêter là.

Pourquoi est-ce devenu plus difficile pour vous au printemps ?
J'ai eu moins de situations, pas d'occasions. J'étais plus dans le sacrifice pour mes coéquipiers et des équipes nous attendaient beaucoup plus bas. Mais je pense avoir fait mon job dans le sens où j'ai pu libérer des espaces pour Martin et "Bourige" (Bourigeaud), qui ont été inspirés aussi. J'ai été dans une très bonne période pendant six ou sept mois, un peu moins à la fin et ils ont pris le relais. Mais si j'ai été prolifique avant, c'était aussi grâce à Martin et aux milieux. Peut-être aussi que, physiquement, sur la fin, ça a été un peu plus compliqué après une préparation avec Montpellier qui n'était peut-être pas optimale pour enchaîner tous les trois jours. Mais on ne peut pas me réduire à de l'efficacité et des buts : j'essaie toujours d'amener de l'énergie, du pressing, un mental qui peut aider l'équipe."

Plongée au cœur de l'impressionnant patrimoine de François Pinault

François Pinault, fondateur du groupe de luxe Kering, est l'une des plus grandes fortunes de France. Focus sur son impressionnant patrimoine.
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Selon le magazine Challenges, **François Pinault**clôture le top 5 des 500 plus grandes fortunes de France en 2020. Sa fortune est estimée à 32 milliards d'euros au 3 juillet 2020. L'homme d'affaires est devancé par la famille Bettencourt-Meyers (L'Oréal), les Wertheimer (Chanel), la famille Hermès et Bernard Arnault (LVMH) qui détient la première place. Ancien PDG du groupe Kering piloté par la holding Artémis, François Pinault a commencé à bâtir son empire alors qu'il était marchand de bois.

En 1962, François Pinault reprend l'affaire de son père, marchand de bois breton, qu'il renomme Établissements Pinault. Le business man développe le chiffre d'affaires de l'entreprise familiale en achetant des dizaines d'entreprises du secteur. Une dizaine d'années plus tard, il est contraint de vendre son affaire à Venesta International, une holding britannique, pour la somme de 25 millions de francs qu'il réussira à récupérer pour 10 millions de francs en 1974. Après ce revirement, François Pinault continue à étendre sa richesse en spéculant sur les matières premières et en rachetant des entreprises en difficulté avant de les revendre.

L'ascension de François Pinault grâce à PPR et Kering

Pour la première fois, Pinault SA fait son entrée à la Bourse de Paris en octobre 1988. Mais c'est au tournant des années 2000 que François Pinault prend la direction du secteur de luxe. D'abord en rachetant les grands magasins Printemps pour 5,3 milliards de francs. Un investissement qui lui rapporte un chiffre d'affaires annuel de 70 milliards de francs. Il s'impose dans le milieu de la distribution en reprenant le groupe Conforama à Bernard Arnault. Dans la foulée, Pinault fait l'acquisition de La Redoute et la Fnac, avant de se diversifier dans la presse avec le magazine Le Point. Puis dans l’art avec le rachat de la célèbre maison d'enchères Christie's. En 1992, François Pinault crée Artémis, société qui contrôle Pinault SA et, deux ans plus tard, il fusionne Pinault-Printemps avec La Redoute pour donner naissance au groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR). C'est seulement en 2013 que PPR devient Kering, groupe de luxe français à la tête de Gucci, Saint-Laurent, Bottega Veneta, Boucheron, Balenciaga, Alexander McQueen et Brioni. François Pinault devient ainsi le premier concurrent de Bernard Arnault. Entre-temps, l'homme d'affaires a cédé en 2005 le business à son fils : François-Henri Pinault.

Passionné d'art, François Pinault peut se vanter d'avoir l'une des plus belles collections d'art au monde. Elle réunit plus de 3000 œuvres, couvrant la période du XXème siècle à nos jours, qui sont exposées dans plusieurs musées à travers le monde, notamment au Palazzo Grassi à Venise. Ses œuvres seront bientôt présentées à la Bourse du Commerce. L'ouverture a cependant été repoussée à 2021 à cause de la crise du coronavirus. Côté immobilier, le milliardaire possède trois hôtels dont le Clermont-Tonnerre de 52 millions d'euros dans le VIIe arrondissement de Paris, ainsi qu'une villa à Saint-Tropez et une autre à Dinard, fidèle à ses origines bretonnes. En 2017, François Pinault s'offre le domaine de 7,5 hectares Clos de Tart qui produit 25 000 bouteilles de vin par an. Le vignoble s'ajoute ainsi aux quartes autres qu'il avait acquis antérieurement.

 

Une pelouse du Stade Rennais arrosée en pleine canicule : le club admet son erreur

Le Stade Rennais a été très critiqué après avoir déclenché l'arrosage automatique sur ses pelouses d'entraînement à la Piverdière, à Rennes, sous plus de 30 degrés.

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La scène a choqué beaucoup de monde. Alors que la chaleur continuait de toucher Rennes et la Bretagne mardi 19 juillet 2022, l’arrosage automatique des pelouses d’entraînement du Stade Rennais s’est déclenchée en pleine après-midi.

L’association Eau et Rivières en Bretagne (ERB), qui était la première à alerter sur le sujet, a ironisé sur Twitter sur l’exemple donné par le club professionnel à la population rennaise. « La préfecture est au courant de leurs agissements », précise Pauline Pennober, animatrice de l’association et chargée de mission sur la politique de l’eau pour ERB.

Une image en décalage
Le fait qu’un club de football arrose ses terrains n’est, à première vue, pas surprenant. D’autant plus que les pelouses sont le lieu de travail des joueurs professionnels. Mais ce qui a le plus choqué à travers cette photographie est le décalage avec la réalité des Rennais et Rennaises, subissant la chaleur extrême et les restrictions formulées par la préfecture ou la mairie.

Pourquoi cette scène a choqué
Premièrement, un arrêté de la préfecture d’Ille-et-Vilaine interdit formellement l’arrosage en journée en raison de l‘alerte sécheresse déclenchée depuis plusieurs semaines. Autres conséquences sur la vie des gens : les robinets des cimetières de Rennes sont coupés et certains usagers sont obligés de ramener leur propre bouteille d’eau pour entretenir les tombes.

De plus, certains loisirs ou manifestations sportives (Transat en ville, les projections sur le Parlement…) étaient annulées par la Ville de Rennes mardi 19 juillet en raison de la canicule. Enfin, l’arrosage automatique des terrains d’entraînement est intervenue à un moment crucial durant l’incendie de forêt des Monts Arrée (Finistère) où près de 250 sapeurs-pompiers étaient encore présents mercredi 20 juillet 2022.

Un couac interne
Face à la situation, le Stade Rennais n’a fait aucune prise de parole officielle. Mais selon une source interne au club, contactée par Actu Rennes, il s’agirait d’un « couac interne qui a rapidement été corrigé vu que l’arrosage a repris uniquement la nuit ».

Selon le club, en temps normal, « … de l’arrosage s’effectue de nuit » et très rarement en pleine journée. Pour autant, l’association Eau et Rivières de Bretagne dit avoir constaté un arrosage régulier des pelouses en journée depuis le début du mois. « Un club comme le nôtre est amené à évoluer en permanence », explique-t-on en interne.

Une évolution de l’arrosage à l’avenir ?
En juin dernier, lors de la présentation du projet du futur centre de vie du Stade Rennais F.C. sur le site de La Piverdière, les dirigeants et la Ville de Rennes ont émis l’idée d’un système de récupération d’eau de pluie au niveau des toitures. Un moyen peut-être de concilier l’arrosage des pelouses avec la gestion des ressources en eau.

L’association Eau Rivières en Bretagne se montre néanmoins prudente. « Ce système peut devenir positif pour l’intérêt général à condition qu’il ne devienne pas à un argument pour le club d’augmenter sa consommation d’eau potable ».

Elle ajoute : « la Bretagne sera de nouveau touchée par des périodes de canicules alors il faut que les grands acteurs locaux montrent l’exemple ».

Canal+ annonce la création d'une chaîne football

Canal+ annonce de la nouveauté. Ce jeudi, la chaîne cryptée a dévoilé sa grille en vue de la saison 2022-2023 et parmi les nouveautés, il y aura la création d'une chaîne dédiée au football. Ainsi, Thomas Sénécal, directeur du service des sports de Canal +, s'est confié auprès de L'Equipe et il a annoncé la création de Canal+ Foot.

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Une nouvelle chaîne foot pour Canal+

"On crée donc Canal+ Foot, intégrée dans le pack Sport (34,99 €/mois), avec toute notre offre foot (L1, D1, Ligue des champions, Ligue Europa, Premier League) et une émission à 20 h 30 du lundi au vendredi, Jour de Foot, présentée par Éric Besnard", a confié Sénécal. Cela annonce donc de belles choses pour les abonnés de la chaîne cryptée.

Incendie dans les monts d’Arrée : François Pinault apportera son soutien

L’homme d’affaires breton François Pinault informe qu’il participera à la reconstitution du site des monts d’Arrée actuellement ravagé par les flammes.
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« Bouleversé par l’incendie qui ravage, dans le Finistère, plusieurs communes des monts d’Arrée », François Pinault annonce « qu’il apportera son soutien aux collectivités locales dans leur futur travail de reconstitution de la lande et de mise en valeur de la chapelle de Saint-Michel-de-Brasparts qui domine cet extraordinaire paysage breton ».

La campagne d'abonnement grand public démarre mardi 19 juillet

Le club Rouge et Noir a annoncé que la campagne d'abonnement grand public pour la saison 2022-2023 débute mardi 19 juillet 2022. Elle devrait durer une semaine au maximum.

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Alors que la campagne de réabonnement a pris fin vendredi 8 juillet 2022, le Stade Rennais a annoncé l’ouverture de la campagne d’abonnement pour les nouveaux abonnés. Elle se tient du mardi 19 juillet 2022, dès 14h00, jusqu’au mardi 26 juillet inclus, au plus tard, dans la limite des abonnements disponibles.

Les nouveautés
Le club rappelle que les cartes d’abonnement seront dématérialisées pour cette nouvelle saison. « La e-carte d’abonnement sera valable pour tous les matchs de Ligue 1 Uber Eats de la saison, il n’y aura pas besoin de faire un téléchargement à chaque match comme la saison passée », précise le Stade Rennais.

Les tarifs
Quatre tarifs différents existent pour cette nouvelle campagne d’abonnement : tarif classique, tarif réduit, tarif réduit moins de 12 ans et tarif de groupe. Pour cette saison 2022-2023, les prix varient entre 189 euros (Tribune Ville de Rennes « Bas » ou Groupe Rose « Bas ») et 890 euros (présidentielle « Bas »).

« S’abonner pour l’intégralité des matchs à domicile de Ligue 1 Uber Eats, c’est aussi bénéficier d’une priorité d’achat pour les packs UEFA Europa League, dont les conditions de vente seront communiquées prochainement », indique le club.

Ce mardi 19 juillet 2022, toutes les demandes d’abonnements se feront exclusivement en ligne sur le site de la billetterie du club.

L’homme d’affaires François Pinault à l’entraînement des joueurs ce matin

L’homme d’affaires François Pinault, propriétaire du club de football rennais, était présent ce matin, vendredi 15 juillet 2022, à l’entrainement des joueurs, à Rennes (Ille-et-Vilaine).

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On l’a vu parler avec les joueurs en début de séance d’entraînement à La Piverdière et en pleine discussion avec le coach, Bruno Génésio. Il a ensuite assisté aux premières minutes de jeu.

Ce vendredi justement, à l’issue de l’entraînement, Bruno Génésio s’est exprimé sur le défenseur central du FC Barcelone, Samuel Umtiti, un temps désiré par le Stade Rennais, qu’il a dirigé à l’Olympique Lyonnais, comme adjoint puis entraîneur principal. « Je regrette les fausses informations divulguées, a-t-il commenté. En aucun cas il n’a passé de visite médicale, et encore moins de visite médicale non-concluante. Cette fausse information est grave pour le joueur et pour nous aussi. […] C’est même un peu vicieux. Je ne sais pas qui a sorti cette info mais c’est regrettable. Je pèse mes mots. »

Nouvelle dimension pour le Stade Rennais

Avec l’arrivée de Steve Mandanda, le Stade Rennais entend bien passer dans une nouvelle dimension et attirer de nouveaux grands noms.

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Steve Mandanda au Stade Rennais. Qui aurait pu imaginer, il y a de cela quelques années, qu’un tel transfert serait possible ? Et pourtant, c’est bel et bien l’international français, champion du monde 2018, qui aura la tâche de garder les buts rennais la saison prochaine. Avec la nouvelle qualification européenne des hommes de Bruno Génésio, le Stade Rennais entend bien passer dans une nouvelle dimension.

Il y avait ici un projet très ambitieux
Lors de sa conférence de presse de présentation, Steve Mandanda a par ailleurs loué les ambitions du club rennais, qui était à nouveau à deux doigts de terminer sur le podium en Ligue 1. « Ça a été un choix mûrement réfléchi. J’ai beaucoup, beaucoup réfléchi par rapport à ma situation qu’on connaissait à Marseille. À côté de ça, il y avait un ici un projet très ambitieux. »

Une ambition que Rennes a su construire au fil des saisons. Après avoir été pendant plusieurs années moqué pour ses résultats moyens et sa tendance à perdre les finales de Coupe, le Stade Rennais est devenu une équipe agréable à voir jouer, crainte par de nombreuses équipes de Ligue 1, voire même en Europe grâce à leurs beaux parcours en Ligue Europa et Ligue Europa Conférence.

Des ambitions concrétisées sur le mercato ?
Le recrutement de Steve Mandanda n’était qu’une énième étape dans le développement du club. En effet, depuis quelques saisons, Rennes est capable d’aller chercher les bons joueurs dans les différents clubs de Ligue 1. On pense notamment à Benjamin Bourigeaud, Martin Terrier, Gaëtan Laborde, Loïc Badé, Alfred Gomis, Nayef Aguerd… Beaucoup de noms qui ne paraissaient pas clinquants à leur arrivée, mais qui ont tous ou presque fait leurs preuves sur le terrain.

Par ailleurs, le Stade Rennais a également très bien travaillé sur le marché européen, en allant chercher des espoirs du football dans différents championnats. C’est notamment le cas de Jérémy Doku, recruté en provenance d’Anderlecht ; mais aussi de Lovro Majer (Dinamo Zagreb), ou encore Kamaldeen Sulemana (FC Nordjaelland), tous décrits comme des « cracks », et qui continuent leur progression au Roazhon Park. Sans parler des joueurs formés localement, comme Eduardo Camavinga, Warmed Omari ou encore Adrien Truffert, tous en équipe de France avec les catégories jeunes ou A.

La récente rumeur liant le Stade Rennais à Samuel Umtiti vient également dans ce sens. Rennes est donc capable d’attirer. Steve Mandanda en est la première preuve lors de ce mercato estival. Et d’autres pourraient bien suivre…

Majer cite Genesio comme "le meilleur entraîneur" qu’il a eu

Lovro Majer (24 ans) ne regrette pas du tout d’avoir rejoint le Stade Rennais malgré le scepticisme ayant accompagné ce transfert. Dix mois plus tard, il savoure ses progrès et loue le travail de son entraîneur Bruno Genesio.
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Quand il s’est engagé avec Rennes en toute fin de mercato l’été dernier, Lovro Majer (24 ans) a suscité une certaine incompréhension en Croatie. Dix mois plus tard, le milieu de terrain croate ne regrette pas son choix, après une saison accomplie avec le club breton (six buts, sept passes en 36 matchs toutes compétitions confondues).

"En Croatie, il y a beaucoup de joueurs de bon niveau sur le plan technique, mais tactiquement et physiquement, le championnat est incomparable avec la Ligue 1, confie l’ancien joueur du Dinamo Zagreb dans une interview à So Foot. Aujourd’hui, je ne suis plus le même joueur. Je suis arrivé à Rennes à la fin du mercato d’été, ce qui fait donc environ dix mois, et j’ai énormément progressé grâce au club, au staff..."

Beaucoup de joueurs apprécient vraiment de travailler avec lui
Il cite notamment Bruno Genesio comme le grand responsable de ses premiers pas réussis en Bretagne. "Pour moi, c’est un super coach, sans doute le meilleur avec lequel j’ai travaillé depuis le début de ma carrière, honnêtement, assure Majer. C’est quelqu’un qui sait vous mettre dans les conditions idéales, aux entraînements comme lors des matchs, et qui a une approche très moderne du jeu, que ce soit offensivement ou défensivement. Je pense que beaucoup de joueurs apprécient vraiment de travailler avec lui. Le football qu’on propose avec Rennes est clairement celui que j’aime regarder: un football vivant, attrayant, avec beaucoup de buts... Ce n’est que du plaisir."

Sous contrat jusqu’en 2026, l’international croate (7 sélections, 2 buts) n’envisage pas de quitter la capitale bretonne cet été malgré des intérêts suscités par ses performances. "En ce moment, tout va bien, explique-t-il. Je pense que je suis dans une bonne période, que j’ai fait une bonne première saison en France, que les choses se passent bien avec la sélection, mais que je peux aussi encore progresser dans plusieurs domaines."

Un départ pas à l'ordre du jour
"Je sais que plusieurs choses s’écrivent sur mon avenir, mais l’intérêt d’autres clubs, je le prends pour le moment seulement comme une confirmation que je fais bien les choses, conclut-il. Je suis heureux à Rennes, j’aime la ville, le club, je continue d’apprendre le français... Pour le moment, j’ai une ou deux leçons par semaine, mais encore une saison, et je pourrai encore mieux parler la langue."

S.G.S.B.

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