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La fin d’un long film d’erreurs

Le feuilleton des droits télé approche de son épilogue. Sans surprise, les clubs ont choisi la sécurité, tout en continuant de caresser leur rêve de grandeur pour l’avenir. Seule leçon de cette tragicomédie : le foot français n’a toujours pas tiré les leçons de ses erreurs et de ses errements.

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La fête nationale était placée sous le signe des JOP de Paris 2024, avec l’arrivée de la flamme, symbole d’un CIO qui s’apprête à privatiser la capitale. Un autre évènement majeur s’est dénoué dans le même temps, au sein du foot hexagonal. Après des semaines de tergiversations, d’angoisses, de règlements de compte feutrés et d’auditions devant une commission parlementaire, le conseil d’administration de la LFP a in fine accepté l’offre de DAZN, couplée avec l’arrivée, en deus ex machina, de beIN Sports. La plateforme anglaise acquiert la diffusion de huit matchs de L1 pour une somme rehaussée légèrement à 400 millions d’euros. La chaîne qatarie, pour sa part, en lâche 100 millions pour la dernière rencontre, c’est-à-dire soit la meilleure affiche ou le deuxième choix (hors top 10). Nasser al-Khelaïfi, avec sa double casquette – président du PSG et du groupe médiatique –, peut encore davantage se poser en homme fort, arbitre et sauveur.

La solution de l’urgence
La décision a été longue à accoucher. Les clubs ont donné l’impression de découvrir, au fil des reports et des tergiversations, leur dépendance aux droits TV et la valeur réelle, au regard du marché, de leur produit. Un stress permanent et la crainte d’un nouveau vide, après l’épisode traumatique de Mediapro et la rupture désormais consommée avec Canal+. Sans parler de ces grands hommes d’affaires, qui ont sorti d’un coup la calculette avant de s’arracher les cheveux face aux contreparties financières concédées ad vitam lors du deal avec CVC (qui récupérera dès la saison prochaine 18% puis ensuite 13% des revenus du foot français). Du coup, à la veille d’une période de rigueur pour beaucoup, principalement ceux qui ne sont pas adossés à de grands groupes étrangers, le train de vie de la LFP (nouveaux locaux, etc.) ou le salaire de Vincent Labrune, révélé publiquement lors de son passage devant la commission d’enquête du Sénat, ne passent plus aussi facilement, malgré les votes unanimes pour les entériner. Dorénavant, un sou est un sou.

Trouver une solution satisfaisante alors que l’appel d’offres avait piteusement échoué s’avérait certes de plus en plus compliqué. Échaudé par la faible rentabilité de leur investissement, pourtant raflé au rabais (moins de 350 millions d’euros), Amazon avait jeté l’éponge. Un message clair adressé aux futurs investisseurs : les soldes sont ouvertes. Il aura fallu des longs mois de tractations, de suppliques, de bluffs en interviews, pour que finalement une formule soit jugée admissible. Il fallait que le foot français soit visible sur les écrans dès le 18 août pour la reprise, et surtout que nos pensionnaires de L1 soient en capacité de commencer enfin leur mercato autrement qu’en vendant le couteau sous la gorge. Une urgence pour essayer de faire illusion sur le terrain européen et maintenir un fameux standing.

Le pire reste peut-être à venir
Tous les problèmes restent cependant posés sur la table. D’abord la question de la réparation de cette manne maigrichonne, notamment les droits internationaux, les seuls à avoir sensiblement progressé (presque doublé pour atteindre 160 millions d’euros). Les « petits » réclament leur part du gâteau aux futurs éliminés en C1, C3 et C4. Ensuite, en dépit de la dure vérité des chiffres, le foot français continue de se croire plus beau et plus grand qu’il n’est. La promesse du milliard reste d’abord considérée comme un dû, quasiment une rente légitime. Dans ce cadre, les clubs souhaitent imposer une clause de sortie sous deux ans, à laquelle ni beIN, ni DAZN ne semblent opposés, à en croire les informations de L’Équipe. Cette exigence suppose la certitude de traverser simplement une mauvaise passe, et que la conjoncture va bientôt revenir au beau fixe. Le fonctionnement de la LFP et la gouvernance de ce petit monde ont pourtant montré de graves carences, voire de l’incompétence, nourries par un entre-soi ou la confiance le dispute à l’aveuglement.

Oui, le pire reste peut-être à venir. Quelle sera l’audience, et la dimension économique, des matchs de Ligue 1, de notre foot national ? L’horizon des deux millions d’abonnés, avancé lorsque la Ligue prétendait lancer sa propre chaîne, laisse sceptique (les rares éléments qui ont filtré du côté d’Amazon ne dépassaient pas le million et demi), surtout que le prix de l’abonnement oscillerait toujours entre 25 et 30 euros (voire plus pour cumuler les deux diffuseurs). Dans un pays où le niveau de vie médian se situe autour de 1 900 euros (la moitié des Français vivent donc avec moins), espérer qu’un Montpellier-Le Havre puisse conduire à casser son PEL ou renoncer aux vacances des enfants relève quasiment de l’acte de foi, pas de l’étude de marché. Le piratage, l’IPTV ou la simple concurrence du stade « en vrai » vont également peser, tout comme celle de la Ligue des champions ou de la Premier League… sur Canal. À moins évidemment que le futur gouvernement, quand il sera formé, impose un prélèvement obligatoire à la source pour forcer nos concitoyens à s’abonner… ? Une fois encore, le foot français a sauvé les meubles sans penser à agrandir les murs.

Nouveau coup de tonnerre, la décision encore reportée

Il y aura au moins un nouvel épisode du feuilleton des droits TV de la Ligue 1 puisque les présidents de clubs n'ont pas voulu trancher ce vendredi. Un conseil d'administration de la LFP est prévu dimanche.

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Cette fois, c'était sûr, c'était la bonne ! Le collège des présidents de L1 devait, ce vendredi, déterminer qui allait diffuser le championnat de France pour les prochaines années. Il ne restait plus que deux candidats en lice, DAZN et la chaîne créée par la LFP pour être diffusée par la Warner. Les dirigeants du football français pensaient prendre une décision ce vendredi... mais ils n'y sont pas parvenus ! Selon L'Equipe, ils se donnent deux nouveaux jours de réflexion et rendront leur verdict dimanche lors d'un conseil d'administration de la LFP.

DAZN a apporté une garantie financière
Le quotidien sportif annonce que DAZN a "améliorer la protection financière de son offre et a finalement fourni une garantie de la maison mère de DAZN, Access Industries (Warner Music, Deezer...)". Cette offre s'élève à 375 M€ pour 8 des 9 matches de chaque journée. Alors que la chaîne de la LFP, elle, n'offre aucun minimum garanti, ce qui inquiète nombre de dirigeants.

En outre, le président du PSG et de beIN, Nasser al-Khelaïfi, s'est opposé à la création de la chaîne de la LFP, mais n'a pas incité la sienne à faire une offre. Bref, les présidents de clubs de L1 semblent partagés sur le sujet et pas franchement emballés par l'une ou l'autre des offres. D'ici à ce qu'il y ait un nouveau report dimanche...

Les clubs veulent un contrat limité à deux ans avec DAZN et beIN Sports

En amont du collège des clubs de l'élite qui doit décider, ce dimanche, du sort des droits de la L1 pour les cinq prochaines saisons, des discussions sont en cours avec DAZN pour avoir un contrat avec une porte de sortie au bout de deux ans. beIN Sports semble déjà d'accord avec cette option.
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C'est peut-être la solution susceptible de mettre tout le monde d'accord. Selon nos informations, une partie des présidents de club sont désireux de s'engager avec DAZN, qui propose 400 millions d'euros en moyenne par saison pour huit matches sur neuf. Et avec beIN Sports pour la dernière rencontre (la meilleure affiche et le deuxième choix en alternance une semaine sur deux, hors top 10), qui a proposé 100 millions d'euros annuels, comme l'a révélé L'Équipe samedi soir.

Ce schéma présente l'avantage de leur donner des revenus immédiats par rapport à la seconde option, la chaîne 100 % L1 distribuée de manière non exclusive par tous les opérateurs au tarif de 27,99 euros. Cette antenne s'appuie sur sept distributeurs, mais sans minimums garantis, et bénéficie d'une association avec la plate-forme Warner Bros Discovery, qui dispose de films, de séries et de programmes sportifs. Mais le démarrage sera forcément sans recettes pour les clubs, avec des trous dans la trésorerie compliqués à combler.

Solution médiane
En fait, la durée du contrat (cinq ans) bloquerait le football français dans un schéma un peu passéiste et sans garantie de succès. Comme en témoignent les échanges, ce dimanche matin, entre les clubs et la LFP, des discussions sont en cours avec DAZN pour qu'il y ait une clause de sortie au bout de deux ans, voire de trois ans. De son côté, beIN Sports paraît disposé à inclure une telle clause dans son contrat.

Si les négociations aboutissent, cela pourrait permettre de trouver une solution médiane entre les partisans du duo DAZN-beIN Sports et ceux qui veulent lancer la chaîne. Mais si ces discussions sont plus longues que prévu, il n'est pas exclu que la décision définitive ne soit pas forcément prise ce dimanche (un conseil d'administration de la LFP est prévu en fin d'après-midi).

BeIN Sports se dévoue et sauve le football français

Alors que l’on attend toujours le dénouement des droits TV de la Ligue 1 dans les prochaines heures, un diffuseur a avancé ses pions ces dernières heures pour tenter de sauver les finances des clubs français.

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Ce dimanche 14 juillet est un jour de fête nationale pour la France mais également le jour-j pour les droits TV de la Ligue 1. A un mois de la reprise du Championnat, les dix-huit clubs de l’élite ne sont toujours pas fixés sur l’identité du diffuseur des rencontres, ce qui représente un enjeu financier capital pour la plupart des clubs. Deux jours après la réunion des présidents de Ligue 1, le collège se réunit à nouveau ce dimanche. Les deux choix étaient le lancement d’une chaîne 100% Ligue 1 couplée à la plateforme Max de Warner Bros Discovery et une offre de DAZN. Ces dernières heures, un nouveau candidat est entré dans la danse, en l’occurrence beIN Sports. Selon RMC Sport, la chaîne qatarie a formulé une offre de 100 millions d’euros pour la diffusion d’une rencontre par week-end ainsi que pour des droits de sponsoring.

beIN Sports agit en sauveur des clubs de Ligue 1

La chaîne a gagné le droit exclusif de diffuser la Ligue 2 il y a quelques semaines et a déjà diffusé la Ligue 1 pendant plusieurs années jusqu’à l’arrivée du COVID-19 en 2020. L’intérêt de cette offre est de la rendre rentable mais il s’agit essentiellement d’un geste symbolique visant à sauver les clubs de l’élite dépendant majoritairement de l’argent des droits TV. C'est en tout cas ce que laisse sous-entendre la chaine qatarie selon BeIN Sports. Ces derniers jours, la Ligue de Football Professionnel et plusieurs équipes de Ligue 1 ont haussé le ton. En attendant de connaître l’heureux élu qui doit être connu d’ici la fin de la journée si tout se passe bien, l’offre de beIN Sports semble salvatrice pour bon nombre de clubs qui attendaient que la Ligue 1 trouve preneur afin de planifier économiquement leur saison. Les dirigeants en question peuvent remercier beIN Sports, qui agit pour le bien de la santé économique de tous.

Textor torpille l’accord DAZN – Bein sports

Propriétaire de l’Olympique Lyonnais, John Textor s’est insurgé contre la possible option de voir DAZN et beIN Sports travailler pour diffuser le championnat de France la saison prochaine.

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Jour J pour la résolution des droits TV ? C’est aujourd’hui à partir de 17h30 qu’un conseil d’administration de la Ligue doit se réunir afin de trouver enfin une solution pour diffuser la L1 sur la période 2024-2029. Selon L’Équipe, BeIN Sports se serait enfin engagé dans cette périlleuse négociation en formulant une offre aux alentours de 100 M€ par saison pour une affiche par journée.

Et DAZN aurait fait passer son offre de 375 à 400 M€ par an. Résultat, avec ces deux acteurs, toutes les rencontres de la L1 seraient bel et bien diffusées et, surtout, la LFP parviendrait à récupérer 500 millions d'euros par saison. Somme à laquelle il faudrait bien entendu rajouter les droits à l'international. Depuis les États-Unis, le propriétaire de l’OL John Textor n’a pas caché son inquiétude.

Le coup de gueule de Textor
« Signer un accord à long terme avec des modèles de diffusion traditionnels, c'est regarder vers le passé, alors que nous devrions nous tourner vers l'avenir, a assuré l’Américain, opposé à la solution DAZN-beIN, qui proposent selon lui des modèles commerciaux bientôt obsolètes. Le foot français est dans l’obscurité, nous devrions y voir une opportunité pour innover et construire une plateforme qui répond aux attentes des consommateurs : un accès complet et immédiat à tous les matches, tout le temps, partout, et sans être restreints par les intérêts des diffuseurs. »

Pour rappel, le patron d’Eagle, qui a bâti sa fortune en créant FuboTV, une plateforme de streaming spécialisée dans le sport.

Les clubs veulent un contrat limité à deux ans avec DAZN et beIN Sports

En amont du collège des clubs de l'élite qui doit décider, ce dimanche, du sort des droits de la L1 pour les cinq prochaines saisons, des discussions sont en cours avec DAZN pour avoir un contrat avec une porte de sortie au bout de deux ans. beIN Sports semble déjà d'accord avec cette option.
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C'est peut-être la solution susceptible de mettre tout le monde d'accord. Selon nos informations, une partie des présidents de club sont désireux de s'engager avec DAZN, qui propose 400 millions d'euros en moyenne par saison pour huit matches sur neuf. Et avec beIN Sports pour la dernière rencontre (la meilleure affiche et le deuxième choix en alternance une semaine sur deux, hors top 10), qui a proposé 100 millions d'euros annuels, comme l'a révélé L'Équipe samedi soir.

Ce schéma présente l'avantage de leur donner des revenus immédiats par rapport à la seconde option, la chaîne 100 % L1 distribuée de manière non exclusive par tous les opérateurs au tarif de 27,99 euros. Cette antenne s'appuie sur sept distributeurs, mais sans minimums garantis, et bénéficie d'une association avec la plate-forme Warner Bros Discovery, qui dispose de films, de séries et de programmes sportifs. Mais le démarrage sera forcément sans recettes pour les clubs, avec des trous dans la trésorerie compliqués à combler.

Solution médiane
En fait, la durée du contrat (cinq ans) bloquerait le football français dans un schéma un peu passéiste et sans garantie de succès. Comme en témoignent les échanges, ce dimanche matin, entre les clubs et la LFP, des discussions sont en cours avec DAZN pour qu'il y ait une clause de sortie au bout de deux ans, voire de trois ans. De son côté, beIN Sports paraît disposé à inclure une telle clause dans son contrat.

Si les négociations aboutissent, cela pourrait permettre de trouver une solution médiane entre les partisans du duo DAZN-beIN Sports et ceux qui veulent lancer la chaîne. Mais si ces discussions sont plus longues que prévu, il n'est pas exclu que la décision définitive ne soit pas forcément prise ce dimanche (un conseil d'administration de la LFP est prévu en fin d'après-midi).

Le prix exorbitant du package DAZN révélé

La LFP est toujours en discussions pour trouver qui sera le prochain diffuseur de la Ligue 1. Parmi les propositions, une d’entre elles a tout de même l’air de se démarquer, celle de DAZN. Une proposition, en compagnie probable de BeIN Sports pour les autres matches, qui pourrait rapporter 500 milions à la LFP, mais qui pourrait coûter près de 50 euros par mois aux consommateurs.

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Imaginons l’option DAZN est actée par les présidents de clubs. En y ajoutant BeIN ou Prime, les téléspectateurs payeront un abonnement entre 45 et 50€/mois pour les 5 prochaines saisons ? (30-35 de DAZN, 15€ de BeIN) Et le piratage dans tout ça ?

D’après RMC Sport, le pack DAZN est estimé à 30-35 euros et celui de BeIN Sports à 15 euros. Cela devrait en effet coûter aux alentours de la cinquantaine d’euros pour avoir toutes les rencontres de Ligue 1. Un tarif élevé qui fait déjà jaser les amateurs de football français alors que la question des droits TV en effraie plus d’un.

Canal+ a proposé une offre surprise à la LFP

Canal+ aurait aussi tenté une association avec la plateforme Max de Warner Bros Discovery pour racheter les droits TV de la Ligue 1 et aurait même avancé une offre à la LFP.

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Le verdict de l'interminable dossier des droits TV de la Ligue 1 devrait intervenir ce vendredi lors d'un nouveau collège des présidents de L1. Cela devrait se jouer entre la chaîne 100% Ligue 1 en association avec la plateforme Max de Warner Bros Discovery, DAZN et beIN Sports, qui se serait activée ces dernières heures pour tenter de trouver une solution.

Comme l'a annoncé ce lundi Maxime Saadé, Canal+, diffuseur historique de la Ligue 1, n'a plus les moyens financiers d'acquérir les droits TV du championnat de France. Mais d'après L'Équipe, la chaîne cryptée aurait bien tenté quelque chose dans ce dossier puisqu'elle aurait aussi songé de s'allier ces dernières semaines avec Warner Bros Discovery sous la forme d'un accord commercial.

Une idée qui n'a pas eu de suite
"Maxime Saadé, le président du groupe Canal+, aurait profité d'une réunion pour évoquer un possible projet commun autour des droits de la Ligue 1, ou plutôt de la chaîne 100 % L1 imaginée par la LFP. Canal+, qui gère la distribution de beIN Sports, contre 250 millions d'euros par saison, envisageait de s'associer à cette antenne avec un bundle (une offre couplée) exclusif, associant la chaîne 100 % Ligue 1 de la LFP avec Canal+ et/ou beIN Sports. En résumé, celui qui s'abonnait à cette chaîne totalement dédiée à la Ligue 1 aurait pu notamment avoir des programmes (cinéma, séries, sport...) issus de la chaîne cryptée et/ou de beIN en complément. Dans un schéma d'offre couplée "L1 - beIN Sports", Canal+ aurait avancé l'idée d'un abonnement à 25 euros par mois, avec un revenu entre 10 et 15 euros pour LFP Media", nous ont appris nos confrères. Mais ce se serait pas allé plus loin et Canal+ aurait donc abandonné l'idée de racheter des droits TV de la Ligue 1.

Canal+ a fait une proposition surprise à la LFP

Canal+ aurait aussi tenté une association avec la plateforme Max de Warner Bros Discovery pour racheter les droits TV de la Ligue 1 et aurait même avancé une offre à la LFP.

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Le verdict de l'interminable dossier des droits TV de la Ligue 1 devrait intervenir ce vendredi lors d'un nouveau collège des présidents de L1. Cela devrait se jouer entre la chaîne 100% Ligue 1 en association avec la plateforme Max de Warner Bros Discovery, DAZN et beIN Sports, qui se serait activée ces dernières heures pour tenter de trouver une solution.

Comme l'a annoncé ce lundi Maxime Saadé, Canal+, diffuseur historique de la Ligue 1, n'a plus les moyens financiers d'acquérir les droits TV du championnat de France. Mais d'après L'Équipe, la chaîne cryptée aurait bien tenté quelque chose dans ce dossier puisqu'elle aurait aussi songé de s'allier ces dernières semaines avec Warner Bros Discovery sous la forme d'un accord commercial.

Une idée qui n'a pas eu de suite
"Maxime Saadé, le président du groupe Canal+, aurait profité d'une réunion pour évoquer un possible projet commun autour des droits de la Ligue 1, ou plutôt de la chaîne 100 % L1 imaginée par la LFP. Canal+, qui gère la distribution de beIN Sports, contre 250 millions d'euros par saison, envisageait de s'associer à cette antenne avec un bundle (une offre couplée) exclusif, associant la chaîne 100 % Ligue 1 de la LFP avec Canal+ et/ou beIN Sports. En résumé, celui qui s'abonnait à cette chaîne totalement dédiée à la Ligue 1 aurait pu notamment avoir des programmes (cinéma, séries, sport...) issus de la chaîne cryptée et/ou de beIN en complément. Dans un schéma d'offre couplée "L1 - beIN Sports", Canal+ aurait avancé l'idée d'un abonnement à 25 euros par mois, avec un revenu entre 10 et 15 euros pour LFP Media", nous ont appris nos confrères. Mais ce se serait pas allé plus loin et Canal+ aurait donc abandonné l'idée de racheter des droits TV de la Ligue 1.

Le train de vie de la LFP fait grincer les présidents de club

Lors du collège de L1 samedi dernier, des présidents de club ont pointé les coûts de fonctionnement de la Ligue de football professionnel. Le sujet sera de nouveau abordé vendredi.
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Même si elles demeurent feutrées, des critiques visant Vincent Labrune et la Ligue de football professionnel (LFP) commencent à apparaître en pleine crise d'attribution des droits télévision du Championnat pour le cycle 2024-2029.

Samedi, lors du collège de L1, les offres de DAZN (qui se dit désormais prêt à améliorer ses garanties pour convaincre les clubs), d'un côté, et de l'autre celle de la chaîne de la Ligue associée à la plateforme Warner Bros Discovery distribuée par tous les opérateurs, ont été présentées. Mais outre la question des droits, des voix, dont celle de Laurent Nicollin, président de Montpellier et du syndicat des clubs Foot Unis (pourtant proche de Labrune), ont pointé le train de vie de l'instance.

C'est la première fois que ces reproches sont formulés lors d'une telle réunion. « Il n'y a rien de nouveau, la Ligue a toujours eu un train de vie élevé, rapporte un familier des instances. Avec les droits télé, l'argent tombait automatiquement et en grande quantité, sauf qu'aujourd'hui la source est en train de se tarir. »

Trois axes principaux sont ciblés par quelques présidents, « tels des symboles », dixit un dirigeant : l'achat du nouveau siège de l'instance, les nombreuses embauches au sein de LFP Media, la filiale commerciale de la Ligue, et le salaire de Labrune. Ceux qui aujourd'hui critiquent ces orientations les avaient votées à l'unanimité lorsqu'elles leur avaient été présentées en conseil d'administration ou en assemblée générale...

Un siège flambant neuf mais très cher
À l'étroit dans ses locaux du 6 rue Léo Delibes dans le XVIe arrondissement de Paris, au point d'avoir dû en louer d'autres avenue Kléber, à deux pas, la LFP envisageait depuis plusieurs années de déménager. Elle a un temps prospecté dans l'est parisien, nettement mois cher, mais qui ne convenait pas à tous les dirigeants, avant de jeter son dévolu sur un immeuble de 3 561 m2, situé au 34-36 boulevard de Courcelles, dans le XVIIe arrondissement, en face du parc Monceau où les équipes ont emménagé début juin. Coût de l'acquisition : 120 M€. Avec les différents frais annexes (sans compter les travaux de rénovation), le montant de l'opération atteint les 131 M€ (soit 36 800 € du m2). Le même immeuble avait été acheté 73,1 M€ trois ans et demi auparavant.

Aujourd'hui, ils sont nombreux à se demander si c'était bien nécessaire et raisonnable. Chaque année, la LFP doit rembourser, dans le cadre d'un crédit-bail, 7,3 M€. Pour amortir cette dépense, la LFP perçoit le loyer (1,084 M€ hors taxe par an) du 6 rue Léo Delibes, loué à un cabinet d'avocats. Elle compte aussi générer de nouvelles recettes grâce à son nouveau siège en louant certains espaces à des entreprises et va aussi faire des économies en n'organisant plus ses séminaires avec les clubs (une quinzaine l'an dernier) hors de ses murs.

Près de 160 salariés
Dans le plan d'expansion du foot français, acté lors de la création de la société commerciale il y a deux ans, le développement marketing et commercial du football français a été érigé en priorité. La Liga a souvent été citée en exemple, notamment pour son internationalisation avec l'ouverture de bureaux un peu partout dans le monde. Pour cela, il lui a fallu beaucoup recruter.

C'est ce qu'a fait la Ligue ces deux dernières années en passant de 90 à près de 160 salariés, dont entre 80 et 85 au sein de sa filiale LFP Media en incluant la vingtaine d'employés de Mon petit gazon, un jeu de fantasy football racheté récemment. Les présidents ont commencé à critiquer ce grand nombre d'embauches et les salaires généreux souvent octroyés à des cadres seniors. Dans le contexte actuel, un gel des recrutements prévus est à l'étude et des CDD pourraient ne pas être renouvelés afin de réaliser des économies.

Labrune et son salaire
Pour ses détracteurs, le salaire du président de la Ligue est aujourd'hui le symbole du train de vie coûteux de l'instance. Encore une fois, cette rémunération a été validée par les dirigeants du football français qui ont cru, comme on leur répétait, que leurs droits télé allaient sensiblement augmenter grâce à l'apport de CVC. Le 15 octobre 2020, le conseil d'administration de la LFP lui octroyait un salaire de 30 000 euros brut mensuels sur quatorze mois, soit 420 000 annuels. Ses frais de déplacements, d'hôtellerie et de restauration étant à la charge de la LFP. Et il est prévu qu'en cas de départ, quel que soit le motif, il empoche, comme ses prédécesseurs, deux ans de salaire sur la base des douze derniers mois (bonus inclus).

Avec l'arrivée de CVC et les retombées espérées, l'ex-patron de l'OM voit sa rémunération portée à 1,2 M€ annuel avec un bonus de 3 M€ touché en deux fois. Une analyse des autres ligues européennes avait été réalisée à l'époque et démontrait que le nouveau salaire de Labrune était dans les standards bas de ses homologues européens. Devant la mission d'information du Sénat qui enquête actuellement sur les fonds d'investissement dans le foot, Labrune a assuré qu'en cas de départ, il ne voulait pas bénéficier, dans le calcul de ses indemnités, de sa prime exceptionnelle. Et a assuré qu'un prochain conseil d'administration allait formaliser cet engagement.

La Ligue 1 se retourne contre Vincent Labrune

Le football français est plongé dans une crise sans précédent et son président Vincent Labrune est dans la tourmente alors qu’aucun contrat de droits TV n’a été signé à un mois de la reprise de la Ligue 1.

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Les prochains jours seront décisifs pour les clubs français ainsi que pour Vincent Labrune, le président de la Ligue de Football Professionnel. Ce vendredi, une décision doit être prise pour l’attribution des droits TV de la Ligue 1. A un mois de la reprise, on ne sait toujours pas sur quelle chaine sera diffusé le championnat de France. Le collège de Ligue 1 devra trancher entre l’offre de DAZN, qui propose 375 millions d’euros pour huit matchs sur neuf par journée, ou pour la création d’une chaîne de la Ligue associée à la plateforme Warner Bros Discovery et distribuée par tous les opérateurs. Une troisième option est espérée, elle consisterait à miraculeusement voir Beinsports, Canal + ou les deux se positionner à la surprise générale.

En attendant, les clubs de Ligue 1 doivent se serrer la ceinture comme jamais, sans revenus liés aux droits TV ni aucune assurance quant au montant qu’ils toucheront à l’avenir. Dans ce contexte de crise sans précédent, le train de vie de la LFP fait polémique chez les présidents des clubs français. Dans son édition du jour, L’Equipe pointe notamment le siège flambant neuf et très cher de la Ligue de Football Professionnel dans le XVIIe arrondissement ou encore le nombre de salariés important à la Ligue et chez LFP Media (près de 160 salariés en tout). Le point qui crispe le plus est néanmoins le salaire vertigineux du président de l’instance, Vincent Labrune.

Le salaire de Vincent Labrune fait grincer les dents
En 2020, le conseil d’administration de la LFP lui avait octroyé un salaire de 30.000 euros brut mensuels sur quatorze mois, soit un montant total de 420.000 euros par an. Ce salaire a explosé avec l’arrivée de CVC puisque l’ex-patron de l’OM touche désormais 1,2 millions d’euros par an plus un bonus de 3 millions d’euros touché en deux fois. Des émoluments qui font polémique chez les présidents des clubs français au vu du contexte, mais il est toutefois nécessaire de rappeler que ce sont eux qui ont voté le salaire de Vincent Labrune et que s’en plaindre désormais est un brin gênant. Ce ne serait toutefois pas la première fois. Pour justifier un tel salaire, le président de la LFP rappelle régulièrement à qui veut l'entendre que s’il n’avait pas trouvé CVC il y a quelques mois, certains clubs de Ligue 1 auraient sans doute mis la clé sous la porte. Mais s’il veut garder une certaine crédibilité, Vincent Labrune va surtout devoir trouver une solution viable pour les clubs au niveau des droits TV. Et inutile de rappeler à quel point il y a urgence…

Rennes craint des conséquences dramatique pour la L1 en l’absence d’accord pour les droits TV

Le nouveau directeur sportif de Rennes, Frédéric Massara, a indiqué mardi craindre que l'incertitude persistante sur les droits de retransmission de la Ligue 1 ne devienne sportivement dramatique pour le football français.

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«L'incertitude des droits TV affecte le foot français en général, ça, c'est sûr. Et je pense que ça peut avoir des conséquences, j'espère pas trop négatives, en général sur le foot, et sur la Ligue 1 et sa visibilité, ce qui serait absolument... très mauvais», a d'abord expliqué le dirigeant lors de sa conférence de presse de présentation.

«J'ai la chance d'être dans un club (...) qui a un propriétaire capable de faire en sorte que le club ne souffre pas», a admis Massara, en référence au milliardaire François Pinault. «On sait qu'on est solides, très solides même», mais si les négociations n'aboutissent pas rapidement, cela «risque de devenir sportivement dramatique», a-t-il alerté.

Un impact sur les caisses du club
À un peu plus d'un mois du début de la saison 2024/2025, la L1 n'a ni diffuseur, ni une idée de la somme que chaque club touchera au titre des droits de retransmission. Après un appel d'offres infructueux en octobre 2023, la Ligue, qui espérait 900 millions d'euros annuels, France et étranger cumulés, en mai dernier, s'est lancée dans des discussions directes avec les principaux acteurs du marché.

Mais la dernière offre en date, de la plateforme britannique DAZN, ne s'élevait qu'à 375 millions d'euros par an pour huit des neufs matches hebdomadaires. «C'est un sujet qui n'est pas négligeable à l'échelle du budget du Stade Rennais et de l'ensemble des clubs», a également souligné Alban Greget, président de son Conseil d'administration des Rouges et Noirs.

Mais «c'est un sujet qui va peut-être moins impacter le Stade Rennais que d'autres», a-t-il reconnu, mettant en avant des revenus en hausse, comme la billetterie ou les sponsors, «qui apportent un vrai soutien» aux finances bretonnes.

«Le Stade Rennais a absolument les moyens de (ses) ambitions cette année», a-t-il encore assuré, même si le club s'est surtout illustré pour l'heure dans le sens des départs, avec le prêt avec option d'achat de l'international suisse Fabian Rieder à Stuttgart et la vente imminente, selon la presse, d'Enzo Le Fée à la Roma.

Objectif l'Europe pour le nouveau directeur sportif

À un peu plus d’un mois du début du championnat de Ligue 1 de football, le nouveau directeur sportif du Stade Rennais a assuré que "l’équipe sera forte", avec "l’Europe" pour objectif, rappelle la présidence.

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Frédéric Massara, le nouveau directeur sportif du Stade Rennais, s'est présenté à la presse pour la première fois ce mardi. Ancien directeur du football de l'AC Milan, ce Franco-Italien de 55 ans remplace Florian Maurice, parti pour Nice. Sa feuille de route est simple, construire une équipe compétitive et retrouver l'Europe. "L'équipe sera forte" a-t-il assuré d’entrée.
Le problème, c'est que le Stade Rennais n’enregistre aucune arrivée, contre cinq départs, Alfred Gomis (Palerme), Jeanuël Belocian (Leverkusen), Matthis Abline (Nantes) et surtout Enzo Le Fée (AS Roma) et Fabian Rieder (Stuttgart). "Ces deux départs, c'est ma responsabilité", assure Frédéric Massara qui, à un mois du début du championnat (le 16 août) ne s’inquiète pas : "On échange tous les jours par rapport aux possibilités que le mercato offre. Il y a plein de noms, qui ne sont pas sortis mais qui aujourd'hui pourraient arriver, même rapidement". Et pour le recrutement c’est la Ligue 1 où "on veut regarder en priorité", même si "quelques joueurs pourraient arriver de l'étranger".

Concernant d'éventuels autres départs, "il n'y a aucune discussion en ce moment avec d'autres clubs", concernant Désiré Doué, assure Frédéric Massara qui ajoute qu'Adrien Truffert et Arnaud Kalimuendo sont "deux joueurs sur lesquels on compte". Concernant Arthur Theate, "il y a eu des discussions, on a été très proche de trouver un accord, mais les discussions se sont arrêtées". Quant au joueur préféré des supporters, Benjamin Bourigeaud, "on essayera de le garder" rappelant que "c'est le Stade Rennais qui décide si les joueurs partent et à quelles conditions".

Après la saison moyenne que vient de vivre le Stade Rennais, la tentation est grande de tout changer, notamment la défense tant décriée. Pas pour Frédéric Massara qui "ne pense pas qu'il faut changer la défense de A à Z. Je ne pense pas qu'il faut changer l'équipe de A à Z", même si "on sort d'une saison qui a été moins positive que ce qu'on espérait".

L'abandon de la VAR envisagé

La Ligue 1 n'a toujours pas trouvé de solutions concernant l'acquisition de ses droits TV. Une crise sans précédent qui pourrait provoquer des sacrifices importants.

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Alors que la reprise de la Ligue 1 pointe déjà le bout de son nez, le championnat de France n'a toujours pas de diffuseur(s). Les choses se compliquent un peu plus de jour en jour. Récemment, c'est Canal+, via Maxime Saada, qui confirmait que le média ne pourrait pas s'aligner sur le prix demandé. Les solutions sont de plus en plus minces. Outre Warner, beIN Sports ou DAZN, la Ligue de Football Professionnel se demande maintenant si la possibilité de créer sa propre chaine n'est pas la meilleure idée. Concernant les présidents de Ligue 1, on imagine désormais tous les scenarii, comme l'écran noir pour les premières journées ou même la coupure de certaines technologies. Et la VAR est concernée...

La VAR en sursis ?

Lors de quelques mots échangés avec L'Equipe, Jean-Pierre Caillot a en effet avoué que des coupes budgétaires devaient être envisagées. « Le VAR, ça coûte beaucoup d'argent. Est-ce qu'il faut le continuer ? On donne des sommes importantes à plein d'autres familles (joueurs, entraîneurs, syndicats...). On est toujours critiqués, mais on verse beaucoup de contributions. Il y a un moment, il faut que tout le monde se serre la ceinture. Il n'y a pas que les clubs et les présidents qui vont assumer. Des clubs avec des capitaux traditionnels n'ont plus les moyens de supporter tout ça. On a aussi une convention avec la Fédération (14,2 millions d'euros minimum sur les droits télé). Il faut peut-être en rediscuter. Ce qui était prévu avec un certain budget ne peut pas être identique aujourd'hui. C'est en chef d'entreprise que je réagis. À partir du moment où tu es en crise ou que tu peux l'être, il faut remettre en question ce qui a été fait par le passé », a notamment indiqué le président du Stade de Reims, peu optimiste donc sur ce qu'il pourrait se passer dans les prochaines semaines pour une Ligue 1 qui pourrait être amenée à faire des économies à plusieurs niveaux.

Les promesses de Frédéric Massara pour le mercato

Frédéric Massara, récemment nommé à la tête du Stade Rennais, a partagé ses ambitions pour le club breton.
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L’ancien directeur sportif de l’AC Milan a souligné son engagement à aider le club à poursuivre son développement, en exploitant les forces existantes, notamment la solidité des actionnaires, un club structuré et des joueurs de qualité. Massara a affirmé que la priorité est de constituer une équipe compétitive. Il a insisté sur l’importance d’une grande organisation de jeu, en complément des qualités techniques et physiques des joueurs. Sous la direction de Julien Stéphan, qui reste à la tête de l’équipe, le club vise à produire des performances de haut niveau pour satisfaire les supporters.

Le Stade Rennais est réputé pour son centre de formation, et Massara entend capitaliser sur cette force. Il a évoqué le projet de développement des jeunes talents, tout en maintenant un groupe compétitif. Cette approche vise à redonner au club sa place en Europe après une saison décevante. Plusieurs jeunes joueurs, comme Jeanuël Belocian et Désiré Doué, ont été nominés pour le Golden Boy 2024, illustrant le potentiel du vivier rennais.

S.G.S.B.

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