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DNCG : pas de sanction contre Rennes

Le gendarme financier de la Ligue 1 n’a retenu aucune sanction contre l’AS Monaco, le Stade Rennais et le Paris Saint-Germain.
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La DNCG a dévoilé son verdict concernant le passage de plusieurs clubs, et il n’y a pas de drapeau rouge pour les clubs que sont l’AS Monaco, le Stade Rennais et le PSG. « Aucune mesure prise à l’égard du club par la DNCG », a fait savoir l’instance financière, qui a également approuvé en l’état les comptes du FC Lorient et du FC Metz. En revanche, le FC Annecy va être surveillé de près avec un encadrement de la masse salariale et des transferts.

La Ligue 1 joue sa survie dans le money-time

À deux mois de la reprise, la Ligue 1 n'a toujours pas de diffuseur. Le plan A, mêlant beIN Sports et Canal+, est à l'arrêt. Tandis que le plan B, avec chaîne ouverte à tous les opérateurs, est très incertain. L'heure est grave.
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Âmes sensibles s'abstenir. Le 16 août, la Ligue 1 redémarrera, mais on ne sait pas sur quelles chaînes le feuilleton du Championnat de France trouvera place. Ni sur quels montants de droits télévisuels les clubs pourront compter pour faire leurs budgets et conclure des transferts lors du mercato qui s'est ouvert ce lundi.

Lancée depuis septembre, la vente de la L1 pour la période 2024-2029 n'a pas avancé d'un pouce, coincée entre un plan A et un plan B qui ont tous les deux des allures de mauvais plans. Le premier se résume à la création d'une chaîne 100 % L1 faite par beIN Sports et distribuée en exclusivité par le groupe Canal+. Mais la société présidée par Maxime Saada n'est pas prête à offrir au diffuseur franco-qatarien un contrat de distribution revu à la hausse qui lui permette de garantir à la LFP un montant conséquent.

Pas moins de 700 M€ annuels étaient espérés, mais même à un niveau revu à la baisse, autour de 500 M€, il n'est pas sûr que cette option soit possible. Dès lors, la Ligue a actionné en urgence son plan B : toujours une chaîne 100 % L1 (vendue 25 euros par mois), mais distribuée de façon non exclusive à tous les opérateurs. D'abord aux FAI (fournisseurs d'accès à Internet), tels qu'Orange, Free, Bouygues et SFR, mais aussi à DAZN, la société anglaise qui veut croître sur le marché français, ou Amazon Prime Video, qui diffusait la L1 cette saison.

En récupérant quelques minimums garantis auprès de plusieurs acteurs distribuant cette chaîne, la Ligue espère réunir des revenus suffisants pour pouvoir se lancer. Comme l'a révélé L'Équipe, elle a déjà acquis, pour plusieurs millions d'euros, des moyens techniques, notamment une régie finale, pour pouvoir démarrer.

"Je suis inquiet pour cette saison. Tous les clubs moyens et petits vont morfler"

Pierre Lescure, ancien président de Canal+

Mais cette option, activée à la hâte face à l'immobilisme du duo beIN Sports-Canal+, n'est pas rassurante, surtout en phase initiale. Car même si cette chaîne aura l'avantage d'avoir tous les matches en catalogue, elle aura sans doute du mal à réunir des minimums garantis susceptibles de rassurer les clubs.

La LFP multiplie les contacts avec les opérateurs du marché et cherche un « partenaire prioritaire », qui aurait des contenus additionnels contre un investissement supérieur. Orange ou Amazon pourraient jouer ce rôle si les discussions aboutissent. Mais même si la LFP croit en son développement puisqu'elle serait accessible sur quasiment tous les supports, la première année du contrat serait forcément très compliquée et la deuxième difficile. En espérant une montée en puissance qui opérera... ou pas.

Ancien président de Canal+, Pierre Lescure est sceptique. « J'ai un mal fou à imaginer comment, à deux mois du redémarrage du Championnat, ils peuvent lancer une chaîne, interroge-t-il. Il faut la financer et la commercialiser. Être dans une telle précipitation, on n'a jamais vu ça. Je suis inquiet pour cette saison. Tous les clubs moyens et petits vont morfler. Je ne pense pas aux plus riches. »

"Quand tu as un seul acteur, tu ne vas pas jouer à faire monter la mayonnaise avec des concurrents qui n'ont pas l'argent"

Xavier Couture, ancien président de Canal+

Lui aussi ancien patron de Canal+ (entre 2002 et 2003), mais aussi directeur des contenus d'Orange qui avait lancé sans succès une chaîne à base de L1 en 2008, Xavier Couture n'est pas non plus très optimiste : « Aujourd'hui, il y a une chaîne, Canal+, qui a des millions d'abonnés, qui est le partenaire historique et qui a été trahi plusieurs fois par le football français, qui a voulu faire monter les enchères à tout prix au risque de se couper de son seul client », estime-t-il, oubliant un peu que la chaîne cryptée a aussi cherché à profiter de sa position pour tirer les prix vers le bas.

« C'est comme si les Anglais décidaient de se priver de Sky, poursuit-il. Quand tu as un seul acteur, tu ne vas pas jouer à faire monter la mayonnaise avec des concurrents qui n'ont pas l'argent. Comme disait Jacques Brel dans sa chanson : "Il ne faut pas jouer les riches quand on n'a pas le sou." »

La LFP, et dans la foulée les clubs, auront-ils des sous ? Le plan B peut-il vraiment sauver le coup ? Et le plan A est-il totalement mort ou s'agit-il, pour beIN et Canal+, de faire traîner au maximum pour récupérer la L1 à la casse ? Cette dernière hypothèse n'est pas impossible. Avec son expérience des négociations tendues, Pierre Lescure ne l'exclut pas non plus. Mais il a une conviction : « Cela ne se terminera pas glorieusement. »

Cloarec heureux de travailler avec Massara

Dans une interview accordeé à L’Equipe, le président du Stade Rennais Olivier Cloarec a justifié le choix de Frederic Massara comme nouveau directeur sportif du club breton.
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Après une saison décevante terminée à la 10e place de Ligue 1, le Stade Rennais ne disputera pas de coupe d’Europe la saison prochaine. Afin de changer de cap, le club breton a changé de directeur sportif. Florian Maurice est parti à l’OGC Nice et c’est Frederic Massara qui l’a remplacé. Dans une interview accordé au journal L’Equipe, le président du Stade Rennais Olivier Cloarec a justifié le choix de l’homme franco-italien.

"Il a travaillé dans des clubs prestigieux, il a un réseau un peu différent, il parle très bien français… Ça va être une nouvelle façon de travailler. On a senti qu’il pouvait y avoir une complémentarité avec notre fonctionnement. C’est aussi un vrai challenge. C’est passionnant de se confronter à quelqu’un qui a travaillé à l’AS Rome et à l’AC Milan. C’est un signe positif pour le développement du club. On sort quelque part d’une forme de confort" a expliqué le dirigeant des Rouge et Noir.

Quel impact sur les recettes des clubs de Ligue 1

Le fiasco des droits TV de la Ligue 1, l’autre feuilleton de l’été.

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Le journal L’Équipe fait un nouveau point sur cette situation inquiétante pour le football français, alors que le plan A impliquant beIN Sports et Canal + semble définitivement abandonné et que le plan B ressemble davantage à une solution d’urgence. Tout cela devrait en tout cas avoir un impact sur les clubs de l’élite, les présidents ne cachant pas leur préoccupation en privé. Le quotidien précise que les pensionnaires de la L1 pourraient se retrouver avec 300 millions d’euros de droits domestiques à partager, soit 30% de moins que sur l’exercice 2023-2024.

Vincent Labrune évalue désormais la valeur du championnat à 500 millions d’euros (adieu le milliard), une somme de laquelle il faut retirer différents frais (coût de fonctionnement de la LFP, taxes et subventions). Par exemple, sur les 734,5 millions d’euros de droits TV la saison passée, les clubs ont pu croquer dans un gâteau de 430 millions d’euros, développe L’Équipe. Un grand flou qui va rythmer le mercato des clubs français, la DNCG n’ayant pas hésité à leur envoyer une note pour les inciter à ne pas faire de folies et à s’adapter à la crise des droits TV.

Pas sûr qu’un abonnement à 25 euros par mois ne suffise à sauver les meubles.

Olivier Cloarec dresse le bilan d’une saison ratée

Alors que Frédéric Massara a été intronisé comme nouveau directeur sportif du Stade Rennais ce lundi 10 juin, le président Olivier Cloarec livre son analyse et son regard sur les facteurs qui peuvent expliquer le gros échec sportif vécu lors de la saison 2023-2024.

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Le Stade Rennais a besoin de tourner la page, et l’arrivée officielle de Frédéric Massara à la tête du secteur sportif va lancer le début des grandes manœuvres. Mais avant cela, alors que Florian Maurice est parti à Nice, le bilan d’une saison 23-24 morose était forcément attendu de la part de la direction du club. Le président Olivier Cloarec s’y est collé dans un entretien qu’il nous a accordé.

Peut-on parler de fin de cycle au Stade Rennais ?

On ne le saura que plus tard, mais je ne crois pas. Ce sera la première saison sans Coupe d’Europe depuis six ans, c’est arrivé à d’autres clubs, et certains avaient su rebondir. On voudrait que tout soit linéaire, mais on ne peut pas oublier non plus le fait que le club a progressé de manière très régulière depuis l’arrivée de l’actionnaire. Pour repartir, on doit apprendre de nos erreurs, d’une saison décevante, pas en adéquation avec les ambitions affichées, très éprouvante, avec plusieurs secousses et une fin en queue de poisson. Ces hauts et ces bas, tous ces points perdus à domicile, cela nous interpelle, c’est clair.

Quel serait le principal regret ou erreur que vous concédez ?

Il y a plusieurs facteurs mêlés… Il y a eu un déséquilibre avec la jeunesse de l’équipe, liée à la formation qui est notre ADN, un enjeu majeur pour la pérenniser… Peut-être qu’on a été trop ambitieux sur le fait de lancer autant de jeunes en même temps. Mais ce serait trop réducteur de dire que c’est la faute des jeunes, ou de la défense. On n’a pas recruté de défenseur central expérimenté, cela nous est reproché. On a essayé, on n’a pas réussi, pour diverses raisons : parfois par choix, parfois aussi peut-être parce qu’on a été trop ambitieux sur certains profils ciblés.

Les gestions des cas Genesio et Stéphan
Aurait-il fallu se séparer dès l’été dernier de Genesio, qui semblait commencer déjà à s’interroger sur son avenir (1) ?

À postériori, on peut toujours le penser… Mais quand Bruno est reparti avec son staff l’été dernier, il ne nous avait pas évoqué le fait qu’il pensait à une fin de cycle. Et vu nos relations, il nous l’aurait dit. Il n’y avait pas eu signe avant-coureur en interne.

Comment expliquer le basculement négatif après la trêve internationale de mars (6 défaites en 9 matches), et regrettez-vous le timing de la prolongation de Julien Stéphan ?

Quand on décide de prolonger Julien, on est sur une excellente dynamique, et notre idée était d’amener de la continuité, de pouvoir se projeter dans un projet solide autour de lui. Quand on voit les résultats par la suite, évidemment qu’on peut s’interroger, mais l’impact est difficile à quantifier. La fin de saison interpelle, mais en interne, on n’a pas constaté d’investissement moindre des joueurs après cette prolongation.

Les frustrations de fin de saison vu chez certains joueurs vont-elles être faciles à digérer ?

Tout le monde est sorti frustré de cette saison, mais on ne peut pas non plus tout jeter. Il y a eu aussi une demi-finale de Coupe de France, en Coupe d’Europe on aurait dû finir premier de la poule, et Milan a procuré beaucoup d’émotions. Il va y avoir une coupure, des changements… Cette frustration, il faudra la transformer en envie de revanche. Il faut passer à autre chose.

Le départ de Maurice
Pourquoi Florian Maurice est-il parti ?

Il y a toujours eu beaucoup d’honnêteté et de proximité entre nous. Pour repartir, il fallait beaucoup d’énergie, et là, contrairement à ce qui s’était passé avec Genesio l’été dernier, on a senti qu’il était préférable de trouver un accord pour qu’il parte. On a échangé longuement, cela ne s’est pas décidé du jour au lendemain. Mais il n’y avait rien de prémédité sur son départ, ni aucune volonté de se séparer de lui, y compris du côté de l’actionnaire. On a même fait des réunions de projection ensemble sur le mercato 2024-2025… Je n’ai pas à regretter ce départ, on a fait ce choix tous les deux en connaissance de cause. Je veux remercier Florian pour l’ensemble de son travail sur ses quatre années, même si la dernière laisse forcément un goût amer.

Dès le départ, l’attelage avec Florian Maurice et Julien Stéphan, qu’il n’avait pas choisi, n’était-il pas bancal ?

Il y a eu un petit temps de réflexion normal de sa part au mois de novembre, mais une fois sa décision prise, chacun s’est investi à 100 % dans ses missions, on a travaillé ensemble. Est-ce qu’on parlait de cet attelage entre janvier et mars, quand les résultats étaient là ?

Et vous-même, avez-vous songé à partir ?

Je suis très bien au Stade Rennais, j’ai envie de relever ce challenge qui s’annonce avec l’ensemble des composantes du club, tous les salariés.

Le maillot domicile 2024-25 a leaké

Il arrive bientôt le nouveau maillot domicile du Stade Rennais.
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Au lendemain de la révélation du nouveau maillot domicile pour le RC Lens, Puma a lancé la sortie des tuniques des équipes que la marque habille. Il en reste deux autres en Ligue 1 que sont l’Olympique de Marseille et le Stade Rennais. A propos du club breton, voilà le modèle principal produit au bénéfice des joueurs du collectif rouge et noir.

Bientôt la sortie officielle du maillot du Stade Rennais 2024-25
Les couleurs iconiques de la formation rennaise sont évidemment respectées, le rouge domine ici le noir, comme à l’accoutumée. Du blanc s’y ajoute pour marquer le S de l’historique sponsor Samsic, qui a d’ailleurs prolongé fin avril pour quatre saisons de plus. Le col est rond noir, la même couleur qu’en bout de manches.

La sortie de cette tunique domicile 2024-2025 du Stade Rennais est proche, déjà un tiers des maillots des clubs de la Ligue 1 ont été révélés jusqu’ici.

Le montant dérisoire qu’espère désormais obtenir la LFP

En pleine galère pour vendre les droits TV des rencontres de Ligue 1 et Ligue 2, la LFP doit revoir ses ambitions à la baisse.
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Le milliard. Il y a tout juste un an, Vincent Labrune dévoilait ses ambitions pour la renégociation des droits TV de cet été : « pour celui-là, on s’en tient au plan d’affaires élaboré en compagnie de CVC avec des revenus audiovisuels globaux (domestiques et internationaux) aux alentours du milliard d’euros. On vise aux alentours du milliard d’euros, même si le contexte macro-économique et financier est délicat ».

Mais force est de constater que le patron de la LFP avait vu les choses trop en grand. La ligue n’a toujours pas de diffuseur, puisque Canal+ et beIN Sports ne veulent pas faire de folies. Le groupe qatari semblait d’ailleurs, au départ, prêt à mettre 700 millions d’euros sur la table, avant de se raviser. Quant à DAZN ou Amazon Prime, pas vraiment de nouvelles. Puis, il a été question de la création d’une chaîne par la LFP pour diffuser elle-même les rencontres, avec un prix de 25 euros par mois qui a logiquement beaucoup fait réagir, négativement, sur les réseaux sociaux.

On divise par deux
Une situation désastreuse, n’ayons pas peur des mots, qui pousse forcément Vincent Labrune à revoir ses ambitions à la baisse. Comme l’indique L’Equipe ce dimanche, le dirigeant de la ligue estime aujourd’hui que son produit vaut 500 millions d’euros par an. Soit la moitié de ce qui était espéré l’an dernier. Un total qui pourrait grimper avec des droits TV internationaux qui pourraient se vendre pour un montant situé entre 150 et 170 millions d’euros. Quoi qu’il en soit, ça sera bien moins que les plus de 800 millions d’euros reversés aux clubs jusqu’ici.

Une chute que Labrune explique, toujours selon le quotidien sportif, par un contexte financier difficile, indiquant qu’ailleurs en Europe, on connait des situations similaires. On imagine aussi que les récents départs de gros noms n’aident pas à mettre la ligue dans une position de force vis à vis des diffuseurs. Labrune a aussi confié que le gouvernement d’Emmanuel Macron suit la situation de très près…

La LFP a publié le bilan disciplinaire de la saison 2023-2024 de Ligue 1

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Classement des équipes au nombre de cartons jaunes cette saison :

  1. Stade Brestois : 80 cartons jaunes
  2. RC Lens : 77 cartons jaunes
  3. Toulouse FC : 75 cartons jaunes
  4. AS Monaco : 72 cartons jaunes
  5. FC Nantes : 68 cartons jaunes
  6. Montpellier HSC : 67 cartons jaunes
  7. Stade Rennais F.C. et Stade de Reims : 66 cartons jaunes
  8. FC Lorient et LOSC : 65 cartons jaunes
  9. Havre AC et OGC Nice : 62 cartons jaunes
  10. Clermont Foot : 60 cartons jaunes
  11. OM : 57 cartons jaunes
  12. RC Strasbourg Alsace : 56 cartons jaunes
  13. OL et FC Metz : 54 cartons jaunes
  14. PSG : 49 cartons jaunes

Classement des équipes au nombre de cartons rouges cette saison :

  1. AS Monaco : 8 cartons rouges
  2. OL, Clermont Foot, et Havre AC : 6 cartons rouges
  3. OM, SB29 et Montpellier HSC : 5 cartons rouges
  4. OGC Nice et Stade Rennais FC. : 4 cartons rouges
  5. PSG, LOSC, FC Nantes, RC Lens et SdR : 3 cartons rouges
  6. FC Metz et RCSA : 2 cartons rouges
  7. FC Lorient et Toulouse FC : 1 carton rouge

Les équipes ayant commis le plus de fautes cette saison :

  1. Toulouse FC : 501 fautes commises
  2. AS Monaco : 481 fautes commises
  3. RC Strasbourg Alsace : 462 fautes commises
  4. FC Nantes : 448 fautes commises
  5. RC Lens : 445 fautes commises
  6. Stade de Reims : 444 fautes commises
  7. Havre AC : 433 fautes commises
  8. Montpellier HSC : 432 fautes commises
  9. OL : 425 fautes commises
  10. Stade Rennais F.C. : 424 fautes commises

Les équipes ayant provoqué le plus de fautes cette saison :

  1. LOSC : 489 fautes provoquées
  2. Toulouse FC : 448 fautes provoquées
  3. Montpellier HSC : 447 fautes provoquées
  4. Stade Rennais F.C. : 438 fautes provoquées
  5. Clermont Foot : 429 fautes provoquées
  6. OM : 426 fautes provoquées
  7. RC Lens : 424 fautes provoquées
  8. Stade Brestois : 422 fautes provoquées
  9. FC Lorient : 416 fautes provoquées
  10. RC Strasbourg Alsace : 413 fautes provoquées

Les joueurs ayant commis le plus de fautes cette saison :

  1. Arouna Sanganté (HAC), 54 fautes
  2. Vincent Sierro (TFC), 52 fautes
  3. Benjamin André (LOSC) et Facundo Medina (RCL), 51 fautes
  4. Alexandre Lacazette et Ernest Nuamah (OL), 50 fautes
  5. Jordan Ferri (MHSC), Augusto Douglas (FCN) et J-J. Danley (FCM), 48 fautes
  6. Pierre Lees-Melou (SB29), 47 fautes

Les joueurs ayant provoqué le plus de fautes cette saison :

  1. Tiago Santos (LOSC), 87 fautes
  2. Téji Savanier (MHSC), 80 fautes
  3. Dilane Bakwa (RCSA), 75 fautes
  4. Romain Del Castillo (SB29), 58 fautes
  5. Pierre Lees-Melou (SB29), 57 fautes
  6. Muhammed Cham (CF63) et Jonathan David (LOSC), 56 fautes
  7. Désiré Doué (SRFC), 55 fautes
  8. Marvin Senaya (RCSA), 52 fautes
  9. Moussa Al Tamari (MHSC) et Amine Harit (OM), 51 fautes

Les joueurs les plus avertis cette saison en Ligue 1 :

  1. 11 cartons jaunes : Facundo Medina (RCL)
  2. 10 cartons jaunes : Pierre Lees-Melou (SB29)
  3. 9 cartons jaunes : B.André, (LOSC), N.Matic (SRFC, OL), J.Gradit (RCL), L.Brassier (SB29), D.Zakaria et A.Golovin (ASM)

Olivier Cloarec, à la tête du RC Vannes

Le Gourinois Olivier Cloarec ne connaissait rien au rugby lorsqu’il est entré comme partenaire au RC Vannes en 2006. Ce chef d’entreprise discret a su guider avec succès le club vers le professionnalisme.

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Lorsqu’on l’invite à mesurer le chemin parcouru par son club, Olivier Cloarec (48 ans) répond « plan de formation », « infrastructures » et « projet de territoire ». « Ce n’est pas le style à tirer la couverture à lui. Il est intelligent, humble et sait fédérer », souligne Olivier Rome, l’un de ses vice-présidents, chef d’entreprise comme lui. À la tête de plusieurs enseignes Intermarché en Bretagne, Olivier Cloarec est arrivé au RC Vannes comme simple partenaire, en 2006, l’année de la montée du club en Fédérale 1. « Je n’aimais pas du tout le rugby, je ne comprenais pas ce sport », explique cet ancien Numéro 10, qui a joué 20 ans au Gourin Football Club.

De retour à Rennes, Abline laisse déjà des regrets aux canaris

Mis en confiance par sa fin de saison au FC Nantes, Mathis Abline brille actuellement avec l'équipe de France U23 au tournoi Maurice-Revello.

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Joueur-clé de la fin de saison et du maintien du FC Nantes, Mathis Abline (21 ans) risque de laisser bien des regrets aux Canaris. En effet, si la direction ligérienne était prête à lever l’option d’achat pour le buteur (6 M€), le Stade Rennais a fait jouer sa clause pour récupérer le jeune buteur angevin et l’empêcher de signer définitivement chez l’ennemi.

Une bonne idée du côté des Rouge et Noir, une mauvaise nouvelle pour le FCN aux vues du rendement actuel d’Abline qui a encore brillé sous le maillot bleu mercredi soir.

Abline porte la France à Toulon
Actuellement au tournoi Maurice-Revello (ex-tournoi de Toulon) avec l’équipe de France U23, l’ancien joueur du Havre et de l’AJ Auxerre a marqué les esprits à son entrée en jeu contre le Mexique (2-2) en permettant aux Bleuets de repousser l’échéance d’une élimination précoce.

Entré en jeu en cours de match, Mathis Abline est d’abord impliqué dans le but de l’égalisation à 1-1 par Edouard Michut (63e) avant d’inscrire le deuxième but français d’une frappe du droit après un contrôle en pivot (77e). De quoi donner des idées à Thierry Henry pour les JO s’il a quelques désistements devant ?

25 euros pour toute la Ligue 1, la LFP défie Canal+

A l'occasion du conseil d'administration de la Ligue de Football Professionnel, la question des droits TV a été au cœur des discussions et évidemment le projet de chaîne unique créée par la LFP a été évoqué.

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Décidément, les murs des bureaux de la LFP ont des oreilles, ou bien certains des participants du conseil d'administration ont la langue bien pendue, à moins que finalement les fuites vers certains médias arrangent les équipes de la Ligue. A moins de deux mois de la reprise du championnat de Ligue 1, les grosses têtes de la Ligue de Football Professionnel se réunissaient ce mercredi, en attendant l'assemblée générale repoussée de toute urgence à la fin du mois. Sur la table, le fameux dossier des droits de diffusion de la Ligue 1 dont personne ne semble vouloir. Alors, à en croire L'Equipe, c'est le vieux serpent de mer de la création d'une chaîne par la LFP qui a été évoquée, et avec suffisamment de détails pour que le quotidien sportif évoque un abonnement mensuel autour de 25 euros pour recevoir la totalité des matchs du championnat.

710ME par an pour les clubs de Ligue 1
Il a été question d'environ 540 millions d'euros de chiffres d'affaires en année 1 et jusqu'à un montant de l'ordre de 870 millions d'euros en année 5, la dernière du futur contrat. En moyenne, les revenus seraient d'environ 710 millions d'euros par saison, précise notre confrère Etienne Moatti concernant les sommes que pourraient ainsi se partager les clubs de Ligue 1, sans oublier CVC évidemment. Pour cela, la Ligue de Football Professionnel pourrait s'appuyer sur un diffuseur comme Beinsports, mais aussi sur les fournisseurs d'accès à internet. Cependant, ce projet de chaîne 100% Ligue 1 initiée par la LFP ressemble tout de même à un ultime coup de bluff pour inciter Canal+ à faire une proposition. Car forcément, les 18 clubs de Ligue 1 souhaitent plus que tout renouer le fil du dialogue avec Maxime Saada, lequel n'a jamais masqué sa colère face à l'attitude du football français avec Canal+ lors des derniers appels d'offres.

Al-Khelaifi en vision pour soutenir Vincent Labrune
En attendant, pour éviter que Vincent Labrune se fasse trop secouer, Nasser Al-Khelaifi, qui porte la double casquette de président du PSG et de patron de beIN MEDIA GROUP, est intervenu à distance lors de cette réunion pour demander à l'ensemble des dirigeants de Ligue 1 de faire confiance au président de la LFP dans la gestion de droits TV. Preuve aussi qu'en interne, cela commence peut-être à souffler pour l'ancien dirigeant marseillais, les propos assassins de Daniel Riolo à l'encontre de Vincent Labrune ayant probablement eu un écho retentissant au sein des clubs et des instances.

Pire que Médiapro, l'idée de la LFP balayée

Faute d’accord avec un diffuseur traditionnel tel que Beinsports ou Canal+, la LFP envisage sérieusement de créer sa propre chaîne accessible pour 25 euros par mois afin de diffuser 100 % de la Ligue 1.

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Le périlleux dossier des droits TV de la Ligue 1 se poursuit et les nouvelles ne sont pas bonnes, autant pour les présidents des clubs français que pour les consommateurs. A date, il n’existe toujours aucun accord avec un diffuseur pour l’obtention des droits TV du championnat de France pour la période 2024-2029. Malgré des discussions avec Beinsports, DAZN, Canal+ ou encore Prime Video, la LFP n’a pas été en mesure de conclure un accord lors des discussions de gré à gré avec ses différents interlocuteurs. Une situation préoccupante.

Face à l’urgence de la situation, avec un championnat qui reprend au mois d’août, Vincent Labrune et ses équipes envisagent de créer une chaîne 100% Ligue 1 accessible pour 25 euros par mois et distribuée par les opérateurs traditionnels. Une solution qui ne fait pas du tout l’unanimité, d’abord car elle serait moins rémunératrice pour les clubs à court terme et surtout car elle reviendrait très cher au consommateur, qui devrait payer 25 euros pour une chaîne ne diffusant rien d’autre que des matchs de Ligue 1. Pour Daniel Riolo, il n’y a aucun doute : si cette solution est privilégiée et va au bout, alors le football français fonce plus que jamais dans le mur.

« Donc la LFP réfléchi à un plan B droits télé qui semble devoir devenir plan A. La chaîne 100% Ligue 1 a 25 euros sur 10 mois. Même folie que Mediapro en pire. Juste la L1 pour 25 euros par mois. Ok donc là pas de doute, s’ils retiennent cette idée, on va bien dans le mur. Le plan B est quasiment en train de devenir un plan A. Mediapro, c’était 20 euros par mois et on trouvait que c’était hors de prix. On arrêtait pas de le dire, et ils ont pris le mur. On sait qu’en France, nous n’avons pas un public à hauteur de 2 millions de personnes qui sont prêtes à mettre 25 euros par mois. Même 20 euros, les gens ne les mettent pas. Pour mettre 20 euros, tu dois avoir un autre produit à côté comme du foot étranger ou de la Ligue des Champions » a lancé le journaliste de RMC, plus pessimiste que jamais sur la bonne santé financière du football français au vu de la tournure du dossier des droits TV. Rappelons que pour certains clubs de Ligue 1, la part des droits télévisuels représente plus de la moitié du budget total. L’incertitude est donc immense pour les finances des clubs et tout cela alors que ces derniers préparent leur grand oral devant la DNCG.

Les nouveaux ballons de la Ligue 1 et de la Ligue 2

Comme pour la saison qui vient de se terminer, les ballons des deux championnats seront floqués de la marque de Décathlon pour la saison 2024-2025.

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Kipsta fournira pour la troisième saison d’affilée les ballons des Championnats de France de Ligue 1 et de Ligue 2. Ce mardi, la marque de Décathlon et la Ligue de football professionnelle (LFP) ont dévoilé les ballons que les joueurs retrouveront lors la saison 2024-2025. Pour la Ligue 1, le ballon à dominante blanche offre quelques éclairs noirs mais aussi rouges et bleus. Kipsta indique que les noms des champions de France sont annotés sur ce nouveau ballon « répartis selon leur zone géographique sur le territoire national ».

Pour le ballon de la Ligue 2, les motifs sont presque les mêmes, à la différence près que les couleurs sont vertes et jaune fluo sur un fond vert pétrole.

La LFP indique que ces ballons ont été "cocréés avec des footballeurs amateurs et professionnels des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 BKT et qu’ils disposent du label Fifa QUALITY PRO."

La Ligue précise que ces ballons à la pointe de la technologie sont « une amélioration renforcée des technologies déjà employées par la marque ». Aussi, la forme des douze panneaux thermocollés a été retravaillée de manière à « accroître encore davantage la stabilité de trajectoire et la restitution de vitesse ».

Ces ballons seront utilisés à chaque journée de championnat, à l’exception d’un ballon collector pour la journée de championnat dédiée aux Défenseurs de l’Enfance. La Ligue indique que le ballon du trophée des Champions, qui opposera Paris à Monaco en août, sera dévoilé prochainement.

Le championnat de Ligue 2 2024-2025 débutera le samedi 5 août, une semaine avant la Ligue 1.

La LFP ne regarde pas les dépenses

La Ligue de Football Professionnel est plus que jamais sous le feu des critiques. L'instance n'arrive toujours pas à trouver preneur concernant les droits tv de la Ligue 1 et de la Ligue 2

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La LFP est empêtrée dans la question des droits tv et commence à franchement inquiéter. Vincent Labrune n'arrive pas à trouver preneur, alors que BeIN Sports n'est plus très chaud à l'idée de dépanner le football français. Il se dit même que face à l'ampleur de la crise, la Ligue pourrait créer sa propre chaine. En attendant d'en savoir plus, la LFP continue de s'enliser dans la polémique. Et cette fois-ci, cela concerne son futur déménagement... Le siège de l'institution ne se trouvera en effet plus au 6 rue Léo Delibes dans le 16e arrondissement de Paris mais au 34-36 boulevard de Courcelles dans le 17e.

Ces dernières heures, Christophe Bouchet a d'ailleurs été l'auteur d'un post assez acerbe sur le sujet via son compte X. En cause ? Le prix déboursé par la LFP, jugé exorbitant alors que la Ligue a plus que jamais du mal à négocier pour les droits tv du championnat de France. « En juin, donc, la LFP va déménager... coût de l'opération pour cet immeuble : 130 millions d'euros, soit plus de 40.000 €/m2. Vous avez bien lu = 40.000 euros. A ce prix, il y aura du marbre et la vue sur le parc Monceau. Utile pour négocier les droits tv ? », a indiqué l'ancien président de l'OM, assez stupéfait par l'image renvoyée par la Ligue de Football Professionnel. Alors que Vincent Labrune espérait négocier la Ligue 1 pour 1 milliard d'euros, le montant final en sera très loin. Si jamais les droits trouvaient preneurs à un montant acceptable, ce qui ne parait plus si sûr au fil des semaines. Et ce n'est pas le récent départ de Kylian Mbappé au Real Madrid qui arrangera quoi que ce soit.

Pinault débute sa révolution

Ulcéré par la mauvaise saison de Rennes, le propriétaire François Pinault a décidé de faire bouger les lignes.

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Rennes change le président de son conseil d'administration. Après 12 ans au sein du conseil, Jacques Delanoë cède sa place à Alban Gréget, Directeur Général Adjoint d’Artémis, société patrimoniale de la famille Pinault, et administrateur du Stade Rennais F.C. depuis 2018. Ce changement fait suite à la volonté de François Pinault d’instaurer des changements après le dernier exercice conclu par une piteuse 10ème place en Ligue 1, bien loin des ambitions de podium affichées en début de saison.

François Pinault rend un dernier hommage à Jacques Delanoë, ex-président de Rennes
"Jacques a été un précieux relai pour moi et un important appui pour les dirigeants du club ces dernières années. Je l’en remercie très chaleureusement. Ce passage de témoin au sein du Conseil d’Administration s’opère dans un cycle de progression du Stade Rennais F.C. et d’investissements importants pour favoriser son développement sur le long terme et, à travers le club, le rayonnement de notre ville et de notre région" a remercié le propriétaire du Stade Rennais dans le communiqué transmis par le club. De son côté, Jacques Delanoë salue son bilan : "À un moment où le nouveau centre de la Piverdière sort de terre et où d’autres grands projets sont à l’étude, le club dispose de tous les atouts pour embrasser avec confiance son avenir." Il occupera prochainement la présidence du futur fonds de dotation du SRFC.

S.G.S.B.

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