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07 Mai 2025

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L’entraîneur du club rennais, Habib Beye, n’a pas caché son mécontentement face à l’attitude de ses joueurs après avoir assuré le maintien en Ligue 1. Suite à la défaite face à Toulouse (1-2), il a...

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06 Mai 2025

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04 Mai 2025

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L’audience vire au règlement de compte

Le premier face-à-face entre DAZN et la LFP au tribunal a révélé une fracture profonde : accusations, reproches et tensions marquent ce conflit déjà explosif.
L’audience vire au règlement de compte

Le tribunal de commerce de Paris a été, ce vendredi matin, le théâtre du premier round judiciaire entre DAZN et la Ligue de football professionnel (LFP). Alors que la LFP réclame les 35 millions d’euros de la dernière échéance des droits TV placée sous séquestre par DAZN, la plateforme britannique a choisi de contre-attaquer en assignant la Ligue pour non-respect des termes du contrat. Une bataille juridique qui s’annonce acharnée, et où chaque camp est prêt à tout pour l’emporter.

Un climat électrique dès l’ouverture
L’audience, présidée par Patrick Sayer, a rapidement plongé dans le vif du sujet, illustrant l’ampleur du fossé entre les deux parties. DAZN, qui a admis pour la première fois disposer de 500 000 abonnés en France, a justifié le blocage des fonds par l’insuffisance des mesures prises par la LFP contre le piratage. Loin de rester muette, la Ligue a riposté en affirmant que toutes ses obligations contractuelles étaient remplies et en dénonçant l’explosion du piratage depuis l’arrivée de DAZN et son offre à 40 euros par mois, un tarif bien plus élevé que celui d’Amazon la saison dernière (14 euros via Prime).

Piratage : le point de discorde majeur
Le piratage s’est imposé comme l’un des points les plus sensibles de cette audience. DAZN reproche à la LFP de ne pas assurer une gestion rigoureuse de son réseau de distribution, pointant notamment les flux étrangers accessibles en France via beIN Sports. La Ligue, de son côté, a souligné qu’elle demandait systématiquement aux diffuseurs internationaux de bloquer les cartes bancaires françaises, une mesure jugée insuffisante par DAZN, qui rappelle qu’aucun diffuseur ne pourrait garantir une obligation de résultat sur ce sujet.

DAZN – LFP, une fracture désormais assumée
Les échanges musclés et les accusations mutuelles ont mis en lumière une réalité : la rupture entre DAZN et la LFP semble consommée. DAZN, qui investit 400 millions d’euros par saison et plus de 2 milliards sur l’ensemble du contrat, défend sa position en insistant sur l’importance de l’exclusivité pour maintenir la valeur du produit. Face à une LFP intransigeante, le conflit semble loin d’être résolu. Une certitude : désormais, tous les coups sont permis.

L'origine des gants de gardien de but

1885, la naissance des gants de gardien de but en Angleterre.
L'origine des gants de gardien de but

C’est sur la terre du football qu’a été déposé, en 1885, par William Sykes, le premier brevet sur les gants de gardien de but. Ce dernier possédait une entreprise de ballons de foot. Pour créer cette première paire de gant, il avait combiné un gant en cuir avec une paume en caoutchouc venu d’Inde. Pour autant, les gants de gardien de but n’ont été utilisés qu’un demi siècle plus tard.

Amadeo Carrizo, une première pour les gardiens de but
Le gardien de but argentin Amadeo Carrizo semble être le premier gardien de but à avoir porté de façon régulière des gants de gardien. Il jouait dans les années 1940 à 1950 au River Plate, club argentin. A cette époque, les gardiens portaient des gants uniquement par temps de pluie. Le portier argentin était alors un des rares gardien à s’équiper de gants de gardien peu importe les conditions météorologiques. Mais ces gants en coton absorbaient l’eau, devenaient glissants et ne protégeaient que très peu les mains. Puis, pendant la Coupe du Monde de 1970 Gordon Banks  a expérimenté les "vrais gants de gardien". C’est à partir de ce moment que le gant a commencé à se faire connaître. En 1974 c’est au tour de Sepp Maier de collaborer avec le manufacturier Gebhard Reusch pour confectionner les gants qu’il portera lors de la Coupe du monde.

L’arbitre VAR du match entre Saint-Étienne et Rennes suspendu

La sécurité de l’emploi, ce n’est plus ce que c’était…

L’arbitre VAR du match entre Saint-Étienne et Rennes suspendu

Samedi dernier, alors que Rennes venait d’ouvrir le score à Saint-Étienne grâce à Arnaud Kalimuendo, le Gallois Jordan James est venu découper le pauvre Benjamin Bouchouari (17e). La cheville gauche du Stéphanois a été sévèrement touchée, au point qu’il en a perdu sa chaussure. M. Vernice, l’arbitre de la partie, a alors dégainé un carton jaune pour le Breton, avant de poser son doigt sur l’oreillette afin d’écouter ses assistants VAR. Mais ces derniers ne l’ont finalement pas invité à se déjuger en allant consulter lui-même les images. Une erreur qu’avait reconnue la Direction technique de l’arbitrage (DTA) en début de semaine.

Selon le site envertetcontretous.fr, une réunion a eu lieu en visioconférence ce mercredi entre Huss Fahmy et Samuel Rustem, deux dirigeants de l’ASSE, et le duo Mickaël Landreau (conseiller sportif des arbitres) et Amaury Delerue. La DTA a confirmé aux Stéphanois que le milieu rennais aurait dû écoper d’un carton rouge. Elle les a aussi informés de la suspension de l’arbitre VAR en charge de ce match, Cyril Gringore. Les Verts s’étaient finalement inclinés 0-2 sur leur pelouse et ont enchaîné un cinquième match consécutif sans la moindre victoire.

Ecran noir sur DAZN, la date du 18 mai annoncée

Le football français traverse une crise des droits TV sans précédent. Les tensions avec DAZN sont de plus en plus importantes, à tel point qu’une rupture de contrat entre la LFP et le diffuseur officiel du championnat de France de Ligue 1 pourrait avoir lieu beaucoup plus rapidement que prévue.

Ecran noir sur DAZN, la date du 18 mai annoncée

Cela n’a échappé à personne : la relation entre la Ligue de football professionnel (LFP) et DAZN est arrivée à un point de non-retour. Vincent Labrune a convoqué un conseil d’administration exceptionnel afin d’expliquer aux présidents des clubs de Ligue 1 que le diffuseur officiel du championnat de France n’avait pas payé l’intégralité du versement de février. Un état de fait qui inquiète logiquement les intéressés. Laurent Nicollin (MHSC) avoue par exemple que l’année prochaine sera très compliquée pour son club si le football français ne sort pas rapidement de cette crise. A l’heure où les tensions ont atteint leur paroxysme, l’idée de stopper prématurément de l’accord avec DAZN en levant la clause de sortie en décembre prochain est devancée par une éventuelle rupture de contrat encore plus précipitée.

DAZN n'ira pas au bout, la LFP y réfléchit

DAZN a déjà payé la moitié de son versement du mois de février (35 millions d’euros brut) et a placé l’autre moitié en séquestre, le temps de mettre la pression à la LFP. La ligue est accusée par le géant anglais de ne pas lutter assez efficacement contre le piratage. Face à une telle situation, comment croire que les tensions s’apaiseront immédiatement une fois que le diffuseur britannique aura payé la partie restante ? En attendant, une idée prend progressivement forme à la ligue. Selon les informations d’Arthur Perrot, une rupture de contrat d’ici à la fin de la saison en cours avec DAZN est à l’étude.

Prendre une telle décision dès le coup de sifflet final de la saison 2024-2025 le dimanche 18 mai au soir permettrait d’attirer avec plus de précaution un nouveau diffuseur pour les exercices futurs. "On a en effet du mal à imaginer comment on pourrait s’inscrire sur la durée avec un partenaire qui te met le pistolet sur la tempe après seulement sept mois de collaboration", confie un président de club au journaliste de RMC Sport. La guerre est définitivement déclarée entre DAZN et la LFP et cela pourrait laisser un champ de bataille totalement vierge pour un nouvel arrivant dès la fin de la saison.

Le CA de la Ligue s'annonce très animé

Le conseil d’administration extraordinaire convoqué par Vincent Labrune ce soir promet d’être animé ! Un habitué annonce que ça pourrait péter si une solution n’est pas trouvée pour les droits TV.

Le CA de la Ligue s'annonce très animé

RMC a publié ce midi un article dans lequel il cite plusieurs présidents de clubs de L1 et de L2 en vue du conseil d’administration de ce soir. Pour rappel, Vincent Labrune a programmé cette réunion extraordinaire en urgence après avoir appris que DAZN n’avait pas l’intention de verser sa part des droits TV le 14 février, comme cela était prévu. La chaîne britannique a de nombreux reproches à formuler à la LFP ainsi qu’aux clubs, en premier lieu une lutte peu efficace contre le piratage qui lui vaut un nombre d’abonnées (environ 500.000) trois fois plus faible qu’espéré.

Que la Ligue assume ses choix !
Une certitude, ça risque d’être très animé ce soir à la Ligue ! Un président a ainsi déclaré à RMC : "Ils vont devoir payer. Impossible qu’ils se fassent une telle publicité de mauvais payeur surtout depuis que l’Arabie saoudite les soutient". Mais un autre dirigeant pointe plutôt du doigt la LFP : "Je crois savoir qu’un fond de réserve a été créé depuis le crash de Mediapro pour faire face à ce type de situation. Donc c’est maintenant qu’il doit servir. Que la Ligue assume ses choix !". Enfin, un dernier a été plus direct encore : "De toute façon, s’il (Labrune) ne nous garantit pas le paiement de cette échéance du 14 février ça va péter".

Ce dernier avis ne semble pas faire l’unanimité puisque plusieurs présidents ont annoncé que, contrairement à ce que Daniel Riolo peut par exemple demander, il n’est pas question de réclamer la tête de Vincent Labrune. En revanche, un patron de club de L2 a annoncé que sans cette manne financière, il pourrait à peine aller au bout de la saison avant de devoir déposer le bilan. L’heure est grave pour le football français.

La décision de DAZN qui va faire hurler le football français

DAZN est le diffuseur majoritaire de la Ligue 1 depuis le début de la saison. Le groupe anglais n'est en revanche pas du tout satisfait concernant son nombre d'abonnés et une décision radicale pourrait rapidement être prise.

La décision de DAZN qui va faire hurler le football français

DAZN ne s'est pas fait que des amis depuis le début de saison. Le média, qui venait de rafler les droits pour la Ligue 1, proposait en effet des prix très élevés et ce, pour un service minimal, persuadé que les fans de foot français joueraient le jeu et s'abonneraient. Mais voilà, DAZN a fait fausse route et le groupe anglais peine à convaincre. Si des offres plus abordables sont désormais proposées, le compte n'y est pas. Selon certains échos, dont RMC, DAZN a récemment franchi la barre des 500 000 abonnés. Mais c'est encore bien loin des 1,5 million d'abonnés espérés.

DAZN prêt à prendre une décision radicale contre le foot français

Alors que la seconde moitié de la saison a débuté et que le piratage sévit toujours, empêchant DAZN d'augmenter ses recettes, le média serait apparemment disposé à prendre une décision XXL. Dans l'After d'RMC ce lundi soir, Gilbert Brisbois a en effet indiqué que des sources lui ont expliqué que DAZN est prêt à ne pas payer (totalement ou partiellement) la prochaine échéance des droits TV fixée au 15 février. DAZN reproche notamment la stratégie de la Ligue de Football Professionnel, qui n'aiderait pas suffisamment pour stopper le piratage. Aussi, les clubs ne collaboreraient pas assez au quotidien pour suivre le mouvement. Si DAZN ne payait pas, le football français se retrouverait donc dans une nouvelle impasse. Catastrophique pour son image et ses finances. Une réunion devrait avoir prochainement lieu pour trouver une solution selon Daniel Riolo avec tous les partenaires concernés.

Ce qui a changé avec Habib Beye aux manettes

Deux matches, deux victoires, 0 but encaissé : début de mandat parfait pour le nouveau coach du Stade Rennais Habib Beye qui, au-delà des résultats, a déjà impulsé quelque chose de nouveau dans l’approche psychologique et la manière de jouer du SRFC. Les profils recrutés au mercato d’hiver l’ont aussi aidé, et l’ensemble devrait encore progresser.

Ce qui a changé avec Habib Beye aux manettes

Bien sûr, il faudra plus que deux victoires contre Strasbourg (1-0) et Saint-Étienne (2-0) pour être convaincu d’une renaissance qui sera sérieusement mise à l’épreuve, dimanche 16 février (20 h 45) contre Lille au Roazhon Park.

Tout est encore très perfectible, mais c’est un fait, il y a déjà quelque chose de changé au royaume des Rouge et Noir. Effet Beye + effet mercato d’hiver = retour de l’espoir ? À l’instant T, c’est déjà beaucoup, vu où Rennes était tombé. « Il ne faut surtout pas s’euphoriser, a tempéré le coach après le succès dans le Chaudron. Il y en a encore 13 à aller chercher, match par match, et c’est que j’ai dit aux garçons : il faut avoir l’ambition d’aller chercher 13 victoires ! Si on l’a, je pense qu’on aura des résultats… »

Plus d’intensité
Avec « identité », c’est le mot le plus couru dans le langage d’Habib Beye. Cela s’est retranscrit concrètement, à l’entraînement déjà, puis en match : ce Stade Rennais joue à un rythme inédit, ce qui tend à montrer aussi que le travail athlétique effectué auparavant n’était pas si nul.

Tout est toujours d’abord question d’intentions, de libération des esprits. « Je n’accepterai pas des joueurs qu’ils n’aient pas d’intention, je leur avais dit à la causerie, a souligné Beye après Saint-Étienne. S’ils les ont, j’accepterai tout ! Ils ont compris ce message, je pense. »

Le coach parle de « volonté de dominer l’adversaire dans le rythme et l’espace de jeu, c’est-à-dire lui poser des problèmes avant même d’avoir le ballon . Après, cela dépend de l’adhésion des joueurs, la retranscription leur appartient. S’il y a métamorphose, c’est celle de l’état d’esprit et de la personnalité qu’il doit y avoir dans un match. »

Cela ne veut pas dire tout le temps à fond non plus. « C’est impossible de presser pendant 95 minutes… Il faut être capable d’assumer des temps faibles, avec des temps de possession, pour se régénérer. » Il a trouvé son équipe meilleure dans la gestion en deuxième période…

Le coach exige en tout cas un jeu énergivore, dont il va pouvoir davantage se permettre que ses prédécesseurs, compte tenu du « gap » qualitatif lié au mercato d’hiver, au sein d’un effectif à 23 joueurs de champ.

Il y a du monde au portillon, plus de profils athlétiques qui collent à l’idée d’intensité. Et au-delà des choix du onze (qui pourraient bien varier d’un match à l’autre vu le mode de management), le coaching sera essentiel pour tenir le plan de jeu.

Plus de verticalité
Admirateur du foot anglais (il a joué notamment à Newcastle ou Aston Villa), Beye demande l’utilisation maximale de la largeur du terrain, avec des pistons positionnés hauts et des renversements de jeu fréquents. Les joueurs l’ont écouté à Saint-Étienne, en réduisant les intervalles défensifs dans l’axe, puis en utilisant bien l’espace et la vitesse d’Al-Tamari pour ouvrir les Verts.

Mais chaque match a sa vérité. Lille sera forcément beaucoup plus costaud et moins naïf que ce Saint-Étienne aux moyens footballistiques pas en adéquation avec ses ambitions de jeu haut. Il sera intéressant, dimanche, de voir comment l’objectif de verticalité s’accordera à la force d’une équipe top 5 français.

Plus de prises d’initiatives
On en revient à la psychologie, au discours que vous servez aux joueurs avant même d’arriver sur le terrain. « Un immense entraîneur que j’avais pu rencontrer m’avait dit qu’il faut infuser les joueurs chaque jour, a souri Beye, en songeant à un certain Jürgen Klopp. Je passe mon temps avec mon staff à leur parler tout au long de la semaine, à leur faire un petit retour sur l’entraînement : parfois c’est un petit mot, ou un geste, juste une accolade, tout pour essayer de développer cette notion de confiance. Lorsque vous la donnez, les joueurs vous la rendent à un moment donné, surtout quand ils sont de qualité. »

Libérer les joueurs, cela passe aussi par les consignes de jeu. Et cela commence par la base arrière, chargée de « chasser » au maximum, comme sur l’ouverture du score à Saint-Étienne, avec la récupération haute de Jacquet puis le décalage de Wooh.

Les prises d’initiative doivent évidemment suivre au milieu (Cissé a épaté dans ce domaine) et devant, ce que le positionnement axial très libre de Blas a pu favoriser aussi sur plusieurs séquences.

La décision de DAZN qui va faire hurler le football français

DAZN est le diffuseur majoritaire de la Ligue 1 depuis le début de la saison. Le groupe anglais n'est en revanche pas du tout satisfait concernant son nombre d'abonnés et une décision radicale pourrait rapidement être prise.

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Pleine Lucarne du 10/02/2025

Pleine Lucarne du 10/02/2025

Le Rennes version Beye, c’est la folie même pour l’entraînement

Le Stade Rennais va bien mieux depuis l'arrivée sur son banc d'Habib Beye. Les Bretons viennent d'enchainer deux victoires de suite en Ligue 1 qui font du bien pour le moral de tout le monde au club.

Le Rennes version Beye, c’est la folie même pour l’entraînement

A Rennes, tout va un peu mieux depuis l'arrivée d'Habib Beye. Ce dernier a su donner un coup de fouet aux Bretons, qui sortent de deux succès de rang. Le dernier en date à Saint-Etienne est prometteur. Le chemin s'annonce encore long avant de pouvoir véritablement souffler mais les fans et observateurs du Stade Rennais se veulent confiants. Malgré son peu d'expérience au plus haut niveau, Habib Beye suscite l'intérêt. A tel point que le club rennais a décidé ce mercredi d'ouvrir au public la séance d'entraînement prévue à la Piverdière. Et les Bretons sont victimes de leur succès.

Habib Beye fait fort pour ses débuts avec le Stade Rennais

Ces dernières heures, le Stade Rennais a en effet indiqué sur son compte X que toutes les places avaient trouvé preneur pour la séance des Rouge et Noir. Une belle ambiance sera donc de mise dès 10h30 mercredi. De quoi préparer avec confiance également la réception du LOSC dimanche prochain en Ligue 1. Ce sera le premier grand choc pour Habib Beye. Les Dogues restent de leur côté sur un revers surprenant à domicile face au Havre. Un troisième succès de rang pour le Stade Rennais pourrait changer pas mal de choses pour la suite de la saison en championnat. Pour rappel, le club breton est 12e avec 23 points au compteur. Le dernier marché des transferts hivernal semble avoir fait du bien avec de nouvelles recrues de qualité déterminées à remettre les pensionnaires du Roazhon Park sur le devant de la scène.

L'Equipe du Soir applaudit l'anti-Sampaoli

 

Habib Beye a métamorphosé Rennes en seulement quelques jours. Avec deux victoires en deux matchs, le successeur de Jorge Sampaoli a déjà fait oublier l’Argentin, dont le passage en Bretagne aura été médiocre.

L'Equipe du Soir applaudit l'anti-Sampaoli

Viré trois mois après sa nomination sur le banc du Stade Rennais, Jorge Sampaoli n’aura pas marqué les esprits en Bretagne. L’entraîneur argentin a été débarqué en plein mois de janvier et c’est Habib Beye qui a été nommé à sa place. L’ancien entraîneur du Red Star a parfaitement débuté en Ligue 1 avec deux victoires de rang face à Strasbourg et ce week-end sur la pelouse de l’AS Saint-Etienne. L’ex-consultant de Canal+ fait déjà l’unanimité en Bretagne et au-delà grâce à son management positif qui tranche avec celui, très froid, de Jorge Sampaoli. Sur le plateau de la Chaîne L’Equipe, le consultant Régis Brouard a salué les débuts idéaux d’Habib Beye sur un banc de Ligue 1.

Habib Beye fait déjà l'unanimité

« Il a une qualité importante dans le foot d’aujourd’hui, c’est qu’il sait très bien s’entourer. Il se trompe rarement dans les gens qu’il prend avec lui, son staff a une grande importance, il y a beaucoup de compétences avec lui et c’est une qualité. Et puis à Rennes, il dégage une forme d’énergie. Il a un langage qui va bien passer avec la nouvelle génération. Il les comprend très bien, il utilise les bons mots pour les intégrer. Je ne suis pas surpris par les deux victoires. Peut-être que dans quinze jours, ce sera différent. Mais il est fait pour ça, il est habité par ça et je suis très heureux pour lui qu’il ait trouvé un club de Ligue 1 car c’était son ambition et son envie » s’est réjouit celui qui a notamment entraîné Rouen ou encore Bastia et Niort.

Dans les semaines à venir, le calendrier va se corser pour Rennes, qui va notamment affronter Lille, le PSG ou encore Lens d’ici un mois. Un bon moyen de se mesurer à plus fort pour Habib Beye, dont les débuts à Rennes provoquent en tout cas un vent d’optimisme. Ce qui tranche avec la courte période de Jorge Sampaoli au Roazhon Park puisque l’Argentin n’a jamais réussi à amener ne serait-ce qu’un vent d’optimisme en Bretagne.

Habib Beye, troisième entraîneur rennais à gagner deux fois pour ses débuts

Le Franco-sénégalais Habib Beye est devenu le troisième coach de Rennes à avoir remporté ses deux premiers matches dans l'histoire. Après Kalman Szekany, en 1932, et Julien Stéphan, en 2018.
Habib Beye, troisième entraîneur rennais à gagner deux fois pour ses débuts

Cela ne peut pas (encore ?) être considéré comme une série mais au vu de l'état de santé de l'équipe rennaise cette saison, la performance est à souligner. Samedi, le Stade Rennais a remporté à Saint-Etienne (2-0) son premier match à l'extérieur en Ligue 1 depuis le mois de mai 2024, à Metz (3-2), et un deuxième succès d'affilée pour la première fois depuis un an. Le tout sous la houlette de Habib Beye, devenu le troisième entraîneur de l'histoire du Stade Rennais à gagner ses deux premiers matches de Championnat après Kalman Szekany, en 1932, et Julien Stéphan, en 2018.

À Rennes, une petite révolution Beye
Interrogé samedi soir sur les facteurs pouvant expliquer ce mieux-être collectif, en totale opposition à l'ère Sampaoli (qui n'avait gagné que deux fois en huit matches), le néo-coach breton a souligné deux points majeurs. L'un mental : « S'il y a une métamorphose, c'est aussi de l'état d'esprit et de la personnalité qu'ils doivent avoir dans un match, a-t-il résumé après avoir expliqué en quelques mots son approche. « Vous savez, j'ai rencontré un jour un immense entraîneur (Jürgen Klopp) qui m'a dit : ''Il faut infuser les joueurs''. Les infuser, ce n'est pas une fois. C'est toute la semaine. On a passé notre temps, avec le staff, à parler avec eux, on a essayé de leur donner de la confiance, de leur faire un retour sur l'entraînement. Des fois, c'est un mot, un geste ou juste une accolade. Qu'ils comprennent que notre aventure, on va la vivre ensemble et la confiance que vous leur donnez, ils vous la rendent à un moment donné. »

Il faut rendre hommage aux joueurs sur les deux matches

En parallèle de cet accompagnement psychologique nécessaire avec un groupe longtemps miné par les résultats, il existe, naturellement, des éléments tactiques. « Dès le premier jour, on est arrivés avec des idées très claires sur la manière de faire jouer l'équipe, a souligné Beye à Geoffroy-Guichard. C'est vouloir dominer l'adversaire dans le rythme de jeu, dans l'espace de jeu, c'est-à-dire qu'avant même d'avoir le ballon, il faut qu'on pose problème à l'adversaire. Et puis après, la vision que vous avez à mettre de l'intensité, parce que vous pouvez avoir des idées claires, il faut rendre hommage aux joueurs sur les deux matches. L'équipe monte en puissance. »

Kalimuendo raconte son but contre l’ASSE et il juge l’arrivée d’Habib Beye

Le Stade Rennais a remporté sa première victoire en déplacement de la saison en battant l’ASSE 2-0 lors de la 21ème journée de Ligue 1. Cette victoire a été marquée par un fort esprit d’équipe et une solide performance collective.

Kalimuendo raconte son but contre l’ASSE et il juge l’arrivée d’Habib Beye

Arnaud Kalimuendo a exprimé sa satisfaction quant au déroulement du match, soulignant l’importance du premier but pour bien démarrer le match. Il a également mentionné l’intensité du jeu face à une équipe comme l’ASSE et l’importance de savoir gérer le score.

Kalimuendo a insisté sur la nécessité d’améliorer certains points, mais il a aussi pointé que l’unité de l’équipe était un atout majeur. Il a évoqué l’importance de conserver cet esprit d’équipe à l’entraînement et pendant les matchs.

Selon lui, les nouveaux joueurs doivent s’adapter rapidement et développer des automatismes. Kalimuendo s’efforce d’aider l’équipe en marquant et se remet en question lorsque ce n’est pas le cas. Il voit cette saison comme une opportunité de montrer un nouveau visage.

Le joueur a également commenté la performance de Mousa Al-Tamari, une nouvelle recrue. Il a décrit Al-Tamari comme un joueur talentueux qu’il suivait déjà à Montpellier, et qui possède des qualités de vitesse impressionnantes, essentielles pour renforcer l’équipe.

À Rennes, la révolution Beye a commencé

Vainqueur à Saint-Étienne (0-2) de son premier match à l'extérieur en Ligue 1 depuis mai 2024 et surtout du deuxième d'affilée avec son nouvel entraîneur Habib Beye, le Stade Rennais semble s'être métamorphosé samedi.
À Rennes, la révolution Beye a commencé

Il y a des impressions qui ne trompent pas, et la manière dont les Rennais ont maîtrisé dans les grandes largeurs, samedi, des Stéphanois bien timides semble pouvoir donner une autre teinte à cette saison jusque-là catastrophique.

Giflé au match aller après avoir été rapidement réduit à dix (0-5, le 30 novembre), Saint-Étienne était l'une des deux seules victimes de l'ère Sampaoli (avec Angers). Ce succès n'avait été qu'un mirage.

Avec ce qu'a montré cette équipe cette saison, il faut évidemment rester précautionneux, mais quand même : depuis la prise en main par Habib Beye il y a une dizaine de jours, Rennes respire, montre un visage bien plus conquérant et surtout a enchaîné deux victoires d'affilée en Championnat, ce qui ne lui était pas arrivé depuis un an.

À lui tout seul, le nouvel entraîneur (et son staff) ne peut bien entendu pas faire de miracle. Mais dès ses premières prises de parole publiques, il a tout de suite cherché à insuffler un élan de positivité. Le Stade Rennais était barragiste à son arrivée ? Oui, mais ce n'est pas ce qu'il a retenu.

Le technicien franco-sénégalais a cherché à redonner confiance à un groupe miné par les résultats et leur a donné une idée de jeu tournée vers l'offensive, et il a insisté samedi : « Je ne pense pas qu'il y ait un effet du nouvel entraîneur. »

Il y a en tout cas eu une métamorphose. Dans le Forez, ses joueurs ont été entreprenants d'entrée, tranchants dans la transition, ils menaient d'un but à la mi-temps mais auraient tout aussi bien pu tripler leur marge après avoir accumulé des occasions franches par Arnaud Kalimuendo (3e), Jordan James (26e), Mousa al-Tamari (32e) ou Ludovic Blas (41e).

Une jeunesse entreprenante
Mais ils ont eu l'ingénieuse idée de ne pas s'en mordre les doigts, finissant une deuxième fois de rang un match sans prendre de but, une semaine après le succès contre Strasbourg (1-0). « Lorsque vous avez des performances positives, c'est parce que les joueurs adhèrent à ce que vous leur demandez, a résumé Beye. Ce que j'ai bien aimé, c'est qu'on a réussi à s'adapter aux différents systèmes, parce qu'on a changé au moins trois fois et ça n'a pas posé de problème. »

Le mercato ultra-mouvementé a concentré toutes les attentions sur les (nombreuses) nouvelles signatures hivernales. On en oublierait presque que le Stade Rennais a aussi un centre de formation performant. À Geoffroy-Guichard, cinq joueurs issus de l'académie étaient titulaires. Au-delà des expérimentés Adrien Truffert, Lorenz Assignon et Lilian Brassier, les jeunes Jérémy Jacquet (19 ans), tout juste revenu de Clermont, et Djaoui Cissé (21 ans) ont été les meilleurs joueurs du match.

« La réussite passera forcément par nos jeunes, a appuyé Beye. Quand vous arrivez dans un club, il faut en comprendre l'identité. Celle de Rennes est bien connue de tout le monde et mon rôle est de la faire perdurer. Il faut trouver un équilibre entre cette identité et ces nouveaux joueurs auxquels il faut faire comprendre où ils sont arrivés. »

Samedi, il n'y avait que trois recrues hivernales dans le onze. Le reste suivra. Tout ce petit monde va tenter de faire remonter la pente à un club en mauvaise position, heureux de fêter les buts de Kalimuendo et de Mahamadou Nagida.

Habib Beye va créer un conseil des sages dans le vestiaire

Le nouveau coach du Stade Rennais Habib Beye ne va pas changer de capitaine, maintenant dans ce rôle Adrien Truffert, un joueur formé au club. En revanche, il va réinstaller un groupe de joueurs représentant le vestiaire auprès du staff. Pour l’instant, Beye en est encore au stade des consultations pour déterminer les noms. Le SRFC se déplace à Saint-Etienne, samedi 8 février en Ligue 1 (21 h 05).

Habib Beye va créer un conseil des sages dans le vestiaire

Il n’y aura pas de nouvelle révolution dans la révolution, sur le port du brassard de capitaine au Stade Rennais. Le nouveau coach Habib Beye le maintient sur le bras d’Adrien Truffert, comme il l’avait fait contre Strasbourg lors de sa première sur le banc.

Truffert, formé au club, avait récupéré ce rôle sous Jorge Sampaoli, quand Brice Samba avait pris la place de Steve Mandanda (capitaine sous Julien Stéphan) dans les cages. "Aujourd’hui, pour moi, Adrien incarne l’identité rennaise, comme d’autres joueurs, mais je trouve que c’est quelqu’un qui a des valeurs qui ressemblent au club", a justifié cette semaine Habib Beye à ce sujet.

Avec Truffert, Assignon, Fofana, Samba, Blas… ?
Le coach va en revanche innover par rapport à Sampaoli, en créant un "conseil des sages", petit groupe de joueurs chargés de faire le relais entre le staff et le vestiaire. "On a besoin de se voir, car j’ai aussi besoin de distinguer un noyau de joueurs pour former ce que j’appelle un "conseil des sages", qui est un peu le représentant du vestiaire, dit Beye. Je suis en train de voir un peu tout le monde. Tout s’est fait de façon très condensée jusqu’ici. On a aussi besoin de temps pour prendre le sentiment de chaque joueur, mais c’est en cours."

Beye serait loin d’être le premier coach à instituer ce genre de pratique extrêmement courante dans le foot pro. À Rennes, "le conseil des sages" avec Bourigeaud, Terrier ou Hamari Traoré était précieux du temps de Bruno Genesio.

S.G.S.B.

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