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Mentalement pas au niveau des ambitions du club

Battu à Lorient lors de la 9e journée de Ligue 1 (2-1), Rennes a concédé sa troisième défaite de rang toutes compétitions confondues. De quoi provoquer la colère de Bruno Genesio, qui regrette les nombreuses erreurs de son équipe.
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Rennes n'avance pas. Dominateurs mais plombés par des fautes de concentration, les Bretons ont concédé leur troisième défaite consécutive toutes compétitions confondues en s'inclinant à Lorient (2-1), dimanche pour la 9e journée de Ligue 1. Battus à Villarreal en Ligue Europa puis à domicile contre le PSG, les hommes de Bruno Genesio entament de la pire des manières ce retour de trêve internationale, à quelques jours d'un déplacement chez les Grecs du Panathinaikos en C3.

Dos au mur après un CSC improbable de Warmed Omari dès la 4e minute, Rennes a fait craquer le verrou par l'intermédiaire de Ludovic Blas mais est tombé sur un excellent Mvogo dans les cages des Merlus. Mais en raison d'une nouvelle faute de concentration individuelle, les Rouge et Noir se sont sabordés. Après une tête d'Isaak Touré derrière un centre d'Abergel, un contrôle raté d'Omari, sorti à la mi-temps après une première période cauchemardesque, a offert au géant de 2,06m la balle du 2-1 avant la mi-temps.

On doit montrer d'autres vertus
Face au scénario "bizarre" de la rencontre, Bruno Genesio est sorti amer après cette nouvelle défaite. "La première mi-temps est peut être une des plus abouties en terme de jeu avec le ballon. Il nous a manqué une fois de plus de l'efficacité offensive. Et un mental de compétiteur supérieur pour éviter d'être pris sur des dégagements ou des longs ballons", a jugé le coach breton. "Peut-être que je n'ai pas été bon à la mi temps, je n'ai pas su trouver les mots pour que mon équipe continue à faire ce qu'elle avait bien fait en première période et corrige ses erreurs. Mentalement on n'est pas au niveau des ambitions du club pour l'instant. On ne peut pas faire des erreurs répétées dans le même genre de situations. Il y a aussi ma responsabilité, si l'équipe répète les mêmes erreurs c'est que je n'arrive pas à les corriger. On doit montrer d'autres vertus, pour bien défendre, refuser de prendre des buts et non les donner comme on le fait depuis le début de saison."

Désormais relégué à six points du podium, les Rennais garderont de nombreux regrets de ce derby breton, où il sont tombés dans le piège de Merlus opportunistes malgré une grosse domination.

La relation entre Bruno Genesio et Florian Maurice serait de plus en plus tendue

Depuis plusieurs mois, la relation entre l'entraîneur du Stade Rennais, Bruno Genesio, et le directeur sportif du club Rouge et Noir, Florian Maurice, serait loin d'être au beau fixe.

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Et d'après Mohamed Toubache-Ter, la relation entre les deux hommes n'irait pas en s'arrangeant et ça chaufferait même de plus en plus entre les deux hommes forts du Stade Rennais. "C’était déjà tendu, au sortir de cet été ! Ça se tend très sérieusement entre Bruno Genesio et Florian Maurice. Ce dernier considérerait être en fin de cycle avec son coach", a révélé l'insider sur Twitter. Un départ de Bruno Genesio dans les prochains mois ne serait donc pas surprenant.

Canal+, l’incroyable coup de tonnerre ?

Alors qu’elle semblait totalement désintéressée par les droits de la Ligue 1, la chaîne cryptée ne serait pas hors-jeu selon Jean-Pierre Caillot, le président du Stade de Reims, administrateur de la LFP.
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La Ligue de football a essuyé un premier échec. Comme attendu, aucun acteur n’a en effet proposé le prix de réserve fixé par la LFP pour acquérir les droits du championnat pour la période 2024-29. Celui-ci s’élevait à quelque 800 millions d’euros: 530 millions d’euros pour le lot 1 contenant les deux plus belles affiches et le choix n°4 de chaque journée et 270 millions d’euros pour le lot 2 qui comprend les six autres matches.

Seuls deux diffuseurs potentiels ont formulé une offre en bonne et due forme: DAZN et beIN Sports. Pour autant, à en croire Jean-Pierre Caillot, président du Stade de Reims, administateur de la LFP, pas moins de six acteurs sont intéressés par les droits de la Ligue 1, prêts à dévoiler leur jeu alors que les dirigeants de la Ligue doivent désormais négocier de gré à gré, c’est à dire en direct, avec les candidats intéressés. Et Canal+, diffuseur historique de la Ligue 1, serait toujours sur les rangs.

Ils sont dans la danse
"Ils peuvent revenir puisque c’est de gré à gré. Oui, ils le sont (dans la danse). Il y a six acteurs potentiels qui ont dit depuis des mois qu’ils sont fortement intéressés par le produit", a-t-il ainsi confié au micro de RMC, affichant son optimisme quant à l’issue des discussions: "On n’est pas plus bête que les Espagnols, les Allemands ou les Italiens et regardez où est leur niveau. Il y a toujours de penseurs dans ce pays, ils te sortent des experts dont tout le monde sait qu’ils ne sont plus experts de rien du tout depuis bien longtemps et qui avec certitude, lancent des sommes sous couvert d’anonymat. Je le répète, on verra ce qu’il en sera à la fin et je ne suis pas plus inquiet que ça."

L’intérêt de Canal+ a de quoi surprendre. Son président, Maxime Saada avait en effet adressé un courrier au vitriol expliquant sa décision de ne pas participer à l’appel d’offres, celui-ci étant biaisé. "Les conditions ne sont pas aujourd’hui réunies pour que le groupe Canal + dépose une offre les 16 et 17 octobre, avait-il annoncé, ajoutant que les conditions de l’appel d’offres "ont achevé de nous convaincre que votre seul objectif était d’en écarter Canal + et de favoriser Amazon." Le dirigeant de Canal avait accuser la LFP de viser "l’échec" pour se "libérer de la contrainte juridique d’un appel à candidatures afin de pouvoir négocier une nouvelle fois directement et dans des conditions parfaitement opaques l’attribution des droits".

Si on n’étudie pas toutes les pistes, on ne fait pas notre travail d’anticipation

Alors que le Stade Rennais a lancé une étude de faisabilité pour la construction d’un nouveau stade, son directeur général adjoint, Benoît Müller, évoque les nouvelles règles du fair-play financier et les nouveaux enjeux du club pour développer ses recettes.
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Benoît Muller, directeur général adjoint du Stade Rennais, a tenu ce jeudi 19 octobre un point presse au Roazhon Park, pour évoquer les nouvelles règles du fair-play financier et les contraintes qu’elles imposent au SRFC, lancé dans une réflexion sur l’augmentation de ses recettes. Avec le débat sur l’agrandissement du Roazhon Park ou la construction d’un nouveau stade.

Quel impact des nouvelles règles du fair-play financier ?

Dans le fair-play financier aujourd’hui, il y a trois piliers : ne pas avoir de dette échue ; l’équilibre financier ; et désormais, la volonté de ne pas dépenser plus de 70 % (à partir de 2025, contre 90 % aujourd’hui) de ce que vous générez dans l’équipe professionnelle, c’est-à-dire les salaires, l’amortissement des contrats des joueurs et les commissions d’agents.

On connaît les règles depuis un certain temps donc on pilote nos dépenses en fonction de ce que l’on a le droit de faire. Et l’on sait qu’aujourd’hui, les règles du fair-play financier ne nous facilitent pas la tâche dans un développement logique. On sait que l’on a des désavantages forts par rapport à nos concurrents européens, notamment en termes de charges patronales, alors qu’ils doivent apporter les mêmes réponses que nous. Si le Stade Rennais était de l’autre côté du Rhin, il dépenserait plusieurs dizaines de millions d’euros de charges sociales en moins tous les ans.

L’enjeu des futurs droits TV

On prend des hypothèses prudentes, puisque l’idée du Stade Rennais n’est pas de faire une fuite en avant. On sait que si les droits TV pour la Ligue 1 sont au même niveau qu’aujourd’hui (663 millions d’euros par an jusqu’en 2024), on touchera moins d’argent puisque le fonds d’investissement CVC viendra rémunérer son apport initial sur les droits futurs.

Une balance positive de près de 100 M€ lors du dernier mercato

Clairement, le fair-play financier rentre en compte, même s’il n’y a pas que cela. Financièrement, il n’est pas possible de réinvestir toutes les sommes de ce que l’on vend, parce que cela nous emmènerait vers un coût d’équipe beaucoup trop élevé pour les règlements 2024 et 2025. Et je pense qu’il y a un caractère exceptionnel au marché de cet été, même si l’on n’en sait rien.

L’éventualité d’un nouveau stade

Il faut suivre l’ambition sportive du club, qui est grande. C’est du long terme, mais si l’on n’étudie pas toutes les pistes qui s’offrent à nous, on ne fait pas notre travail d’anticipation de l’avenir. Si l’on reste dans l’immobilisme, on est sûrs que le dimensionnement du club sera un frein aux résultats de l’équipe. Les investissements matériels ne rentrent pas en compte dans les règles du fair-play financier. De la même manière que les travaux de la Piverdière ne vont pas impacter directement nos comptes. Les règlements du fair-play financier encouragent les investissements dans les actifs physiques.

Comment le club doit s'adapter au fair-play financier de l'UEFA

Européen pour la sixième saison consécutive, le Stade Rennais doit s'adapter depuis plusieurs années aux règles économiques édictées par l'UEFA. Le fameux "fair-play financier", qui évolue avec des règles de plus en plus drastiques jusqu'en 2025.

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En 2010, l'UEFA alors dirigée par Michel Platini créait le désormais célèbre "fair-play financier", un ensemble de règles économiques qui visait alors à assainir la gestion des clubs de football participant aux compétitions européennes. Ces règles, qui concernent le Stade Rennais qui dispute la coupe d'Europe depuis six saisons, évoluent depuis cette année pour devenir de plus en plus contraignantes d'ici à 2025. Le club organisait ce jeudi un point presse au Roazhon Park en présence de Benoit Muller, directeur général adjoint du Stade Rennais, pour présenter les contours de cette nouvelle législation.

Une nouvelle mouture pour les règles financières de l'UEFA
L'UEFA organise sa législation économique autour de trois piliers : un club de foot doit évidemment payer ses dettes, être à l'équilibre entre ce qu'il dépense et ce qu'il génère, mais l'instance est surtout attentive à la manière dont l'argent est dépensé. Jusqu'à cette année comprise, les clubs peuvent réinvestir 90% de leurs recettes dans les charges liées à l'équipe première (salaires chargés des joueurs professionnels et du staff). Aujourd'hui, les salaires des joueurs et du staff représentent la dépense la plus importante pour un club de football. Cette proportion évolue : elle sera de 80% maximum en 2024, et 70% en 2025.

Si ces chiffres ne sont pas respectés, l'UEFA prévoit une grille de sanctions qui peut aller d'une amende importante à l'exclusion des compétitions continentales. Dans le passé, le système de sanctions était un peu plus opaque, il est désormais posé noir sur blanc. Et détail d'importance, là où les organes de contrôle en France prennent en compte les fonds propres des actionnaires des clubs en cas de déficit sur une année, ce qui permet au Stade Rennais une certaine souplesse dans la gestion de ses comptes d'une saison à l'autre avec la présence de la famille Pinault, ce n'est pas le cas au niveau européen. Il faut donc générer un maximum de revenus pour rester dans les clous.

Le club n'est "pas en danger" mais doit générer plus de revenus
Pour l'instant, le club affirme qu'il "n'est pas en danger", grâce à une "gestion prudente", et une balance commerciale sur les ventes de joueurs très largement positive cet été notamment. Mais puisqu'il veut rester ambitieux sur le plan sportif, ce qui implique des joueurs achetés à des prix élevés et avec des salaires correspondants, il lui faudra d'ici à 2025 générer plus de revenus, pour respecter la règle des 70% de recettes investies dans l'équipe première.

Les clubs de football ont un certain nombre de leviers pour faire grandir leur chiffre d'affaires : il y a les ventes de joueurs - mais il est difficile d'être largement bénéficiaire tous les ans tout en restant compétitif sportivement, les droits télévisuels - en cours de renégociation mais rien ne laisse à penser que leur montant va augmenter, mais aussi les revenus de sponsoring, de merchandising et de billetterie. Sur ces trois points, le club "peut toujours faire mieux".

En filigrane, on comprend donc que le Stade Rennais veut générer plus de recettes liées au stade, et que, de fait, le projet de nouvelle enceinte est considéré plus avantageux de ce point de vue puisque toutes les recettes iront dans la poche du club. D'autant que, si le projet venait à se concrétiser, les coûts de construction (comme ceux liés à l'extension du centre d'entraînement) ne seraient pas pris en compte dans le calcul des dépenses du fair-play financier, l'UEFA considérant ces investissements de structure comme étant vertueux sur le long terme.

Benoît Muller explique aussi que le club travaille avec d'autres clubs français à un ajustement des sanctions prévues par l'UEFA en cas de dépassement du seuil autorisé pour les coûts liés à l'équipe première. Les clubs concernés veulent faire valoir auprès de l'instance européenne que les cotisations sociales étant largement plus importantes en France que dans les autres pays européens, les dépenses liées aux salaires sont de fait beaucoup coûteuses à valeur de joueur égale.
François Rauzy
François Rauzy
France Bleu Armorique

DAZN se serait bien positionné, BEIN intéressé. Amazon absent

Si la Ligue de Football Professionnel (LFP) a indiqué qu’aucun lot n’avait été distribué lors de son appel d’offres des droits TV, l’identité de certaines chaînes intéressées ont fuité.

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Ce mardi en début d’après-midi, la Ligue de Football Professionnel a confirmé qu’aucun lot des droits télévisés pour la Ligue 1 (2024-2029) n’avaient été distribué lors de son appel d’offres. L’instance, par le biais de son président Vincent Labrune, va donc devoir négocier au gré à gré avec les potentiels futurs diffuseurs. Et RMC Sport vient de dévoiler l’identité de deux d’entre eux. En effet, beIN Sports, qui diffusait les deux gros chocs de Ligue 2 ces dernières années, se serait positionné sur tous les lots disponibles. La chaîne qatarie aurait vu le "Netflix du monde du sport", DAZN, se positionner sur les lots 1 et 2. Les Britanniques auraient garanti leur bonne santé financière, eux qui sont implantés dans de très nombreux pays. Les deux chaînes n’ont toutefois pas souhaité enchérir au prix de réserve souhaité par la LFP.

Prime Vidéo absent des négociations ?
Toujours selon la même source, Amazon Prime Vidéo n’aurait pas déposé de dossier qualitatif en ce 17 octobre. Le géant américain, qui diffuse la Ligue 1 et la Ligue 2 depuis deux saisons désormais, souhaite attendre les négociations individuelles afin de rentrer dans les tractions. Une manière donc de mettre la pression sur la Ligue de Football Professionnel, elle qui souhaitait récupérer un milliard d'euros par saison pour ses droits télévisés.

Benjamin Bourigeaud ne dit pas non à un retour au RC Lens

Sous contrat avec le Stade Rennais jusqu’en juin 2026, Benjamin Bourigeaud (30 ans en janvier 2024) est devenu au fil du temps la pièce maitresse du club breton.
Depuis juillet 2017, date à laquelle il a quitté le RC Lens pour Rennes, Benjamin Bourigeaud a joué 276 matchs toutes compétitions confondues pour 52 buts inscrits et 58 passes décisives.

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Interrogé par France Bleu Armorique dans l’émission "Le lundi c’est Rauzy", Benjamin Bourigeaud n’a pas fermé pas la porte à un éventuel retour au RC Lens, son club formateur, pour y terminer sa carrière :

"J’ai passé 13 ans au sein du RC Lens. Je ne renie pas de là où je viens. Avoir été formé, avoir grandi, avoir joué là bas, comme tout joueur dans sa carrière, beaucoup veulent repartir là où tout a commencé.
Après, je me suis très bien adapté à Rennes et je suis toujours très bien ici. On m’appelle le ch’ti Breton et ça me va très bien.
Terminer ma carrière à Lens ? Je ne sais pas de quoi sera fait l’avenir. Je ne sais pas, on verra. Aujourd’hui, je suis très bien au Stade Rennais. On verra de quoi est fait l’avenir."

TF1 refuse de payer 5 ME par an pour Téléfoot

L'appel d'offres concernant la future retransmission des matchs de Ligue 1 n'a pas trouvé preneur mardi. Néanmoins, ce n'est pas le seul lot pour lequel la LFP peine. Elle a aussi été snobée pour les magazines, TF1 passant son chemin au tarif proposé.

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Où verra t-on la Ligue 1 entre 2024 et 2029 ? Une question toujours en suspens depuis mardi malgré le dépôt des offres au cabinet d'avocats Clifford Chance mandaté par la LFP. Les lots n'ont pas trouvé preneur car aucun diffuseur n'a donné les montants définis par la Ligue. Cette dernière visait 530 millions d'euros pour les trois matchs principaux de chaque journée de Ligue 1 tandis que les 6 autres matchs étaient proposés à 270 millions d'euros par saison. L'échec est aussi la norme concernant les rencontres de Ligue 2 ainsi que les différents magazines. Ce dernier lot est pourtant moins cher et plus accessible pour les chaînes gratuites comme TF1.

TF1 veut les images de L1 mais pas à n'importe quel prix
Les différents lots magazines sont proposés pour 45 millions d'euros en tout. L'un d'eux, le magazine du dimanche matin sur la L1, est proposé pour 5 millions d'euros. Un droit qui intéresse TF1 pour son émission Téléfoot, où la première chaine proposait les résumés du championnat de France entre 1977 et 2007. Malheureusement, l'envie de TF1 se heurte à la gourmandise de la LFP.

Selon RMC Sport, si TF1 visait le lot magazine du dimanche matin, il n'a pas déposé de dossier pour l'appel d'offres. La première chaine française estime que le prix de réserve de 5 millions d'euros est beaucoup trop élevé. Comme le lot n'a pas été attribué, TF1 va pouvoir retenter sa chance dans les prochaines semaines via les négociations de gré à gré. A voir si TF1 voudra mettre le paquet alors qu'il a réussi à trouver un accord avec Amazon pour diffuser les images des matchs de samedi en L1 ces derniers mois.

L’objectif fixé par la LFP s’éloigne

La LFP a fait chou blanc avec les droits TV, ce début de semaine. Mais Vincent Labrune garderait espoir de retourner la situation lors des négociations de gré à gré.

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Dans son édition du jour, L’Équipe donne des précisions sur les droits TV. Aucune offre n’a été remise, mardi, dans le cadre de l’appel d’offres 2024-2029. Le quotidien affirme que la LFP n’a pas été surprise, mais que son objectif financier ne devrait pas être atteint (530 millions d’euros pour le lot premium, 270 millions pour celui de volume, et 25 millions pour les magazines). Vincent Labrune aurait encore espoir de retourner la situation lors des discussions de gré à gré. Ces négociations permettent à la LFP de trouver les combinaisons qui lui conviennent pour trouver un accord avec l’un des diffuseurs.

Cela devrait se jouer entre DAZN, qui pourrait ensuite revendre ses droits à Canal+, beIN Sports et Amazon. À noter que Canal s’est fendu d’une nouvelle provocation sur les réseaux sociaux, dans l’après-midi. La LFP doit trouver un moyen d’augmenter ses recettes. Car CVC décroche désormais 13 % des revenus de la L1, ce qui est assez énorme. Et sans limite dans la durée.

La LFP veut abandonner le maillot arc-en-ciel dès cette saison

Alors que la Ligue demandait aux clubs de Ligue 1 et 2 d'arborer un maillot avec un arc-en-ciel dans le dos dans le cadre de la lutte contre l'homophobie, on ne devrait plus revoir ce dernier à partir de cette saison.

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Toutefois, la LFP compte bien continuer ses actions et continue les discussions intensives avec les associations partenaires

On en sait plus sur l’appel d’offres raté de la LFP

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L’échec du premier appel d’offres pour les droits de diffusion de la Ligue 1 sur la période 2024-2029, qui met la LFP dans l’embarras, dévoile petit à petit ses contours. RMC Sport révèle ainsi que plusieurs diffuseurs n’ont pas participé à la consultation, à l’image de Canal+ qui avait déjà annoncé ses intentions. En premier lieu, on constate notamment l’absence d’offre de la part du diffuseur principal actuel Amazon tandis que parmi les autres absents, on peut noter le groupe Warner Bros Discovery qui détient Eurosport. Au contraire de ces derniers, beIN Sports et DAZN ont quant à eux bien participé et délivré une offre qualitative à l’appel. L’ancien diffuseur s’est même positionné sur l’ensemble des lots, alors que la plateforme britannique s’est contentée des lots 1 et 2, qui concernent la diffusion live des matchs.

L’histoire est encore loin d’être terminée.

Aucune offre retenue pour la Ligue 1, ouverture de la phase de gré à gré

Pas de fumée blanche à la LFP. Ce mardi, l'instance française qui doit choisir les diffuseurs de la Ligue 1 pour la période 2024-2029 a révélé qu'aucune offre n'avait su remplir les conditions demandées pour les lots imaginés. Résultat, c'est une négociation gré à gré avec les acteurs intéressés qui va désormais s'ouvrir. A noter par ailleurs que l'appel à candidatures pour la L2 est donc reporté.
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De miracle, il n'y a donc pas eu. De milliard, il n'y aura sans doute pas non plus. Alors qu'elle attendait un minimum de 825 millions d'euros de la part d'un ou de plusieurs diffuseurs à l'échelle nationale pour l'attribution des droits de la Ligue 1 sur la période 2024-2029 (en attendant la vente à l'international), la Ligue de Football professionnel a annoncé qu'aucun des lots proposés n'a été attribué.

Autrement dit, aucun média n'a aligné le tarif minimum, qui était de 530 millions d'euros pour le lot 1 (trois matches : choix 1, 2 et 4 en co-diffusion) et de 270 millions pour le lot 2 (choix 4 en co-diffusion et les autres rencontres). Les autres lots, des magazines, avaient été mis à prix à hauteur de 25 millions d'euros.

Désormais, la LFP va donc entamer une phase de négociations de gré à gré, c'est-à-dire avec chacun des opérateurs susceptibles d'être intéressés par la diffusion de matches de Ligue 1. Une manière de "poursuivre le processus de commercialisation", comme elle l'a annoncé via un communiqué plus que succinct, qui laisse entendre que cette issue était non seulement envisagée, mais également la plus probable. Autre conséquence directe : l'appel à candidatures pour la Ligue 2 a été reporté.

Être capitaine du Stade Rennais, c'est beaucoup de fierté

Le capitaine du Stade Rennais Benjamin Bourigeaud était l'invité exceptionnel de France Bleu Armorique ce lundi 16 octobre. La légende des Rouge et Noir est revenu pendant près d'une heure sur le début de saison rennais, son attachement au club et à la ville et sur son nouveau statut de capitaine.

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Dans ce 6e épisode de "Le lundi c'est Rauzy", le capitaine du Stade Rennais Benjamin Bourigeaud a répondu pendant près d'une heure aux questions de François Rauzy, Gaël Danic, Fabrice Pinel (Rouge Mémoire) et des auditeurs de France Bleu Armorique. Du début de saison timide des Rennais à son nouveau rôle de capitaine en passant par ses projets pour la suite de sa carrière, le milieu de terrain a évoqué de nombreux sujets.

Le vainqueur de la coupe de France 2019 a aussi évoqué des sujets plus tactiques comme son positionnement, son rôle sur les coups de pied arrêtés ou ses préférence de système de jeu.

Le football français victime d’un énorme coup de bluff

Les droits TV du football français sont en vente ce mardi, et la LFP attend de belles propositions. Attention à la chute, car tous les diffuseurs sont sur la même position, à moins d'un coup de bluff.

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C’est ce mardi à 10h00 que les enchères entre les candidats à l’acquisition des droits télévisuels du football français vont débuter. Une partie de poker menteur qui risque de tenir en haleine les dirigeants de la LFP pendant de longs moments, car les chances de voir les diffuseurs intéressés atteindre le prix demandé sont très faibles. Le Parisien comme L’Equipe l’affirment, avec l’annonce du refus de Canal+, qui n’a même pas présenté son dossier pour son offre qualitative, Amazon s’est mis en retrait sur une proposition ferme, et fait le dangereux pari de tabler sur une offre de gré-à-gré, c’est à dire en négociations directes avec la Ligue après l’appel d’offres. Il faut dire que la LFP réclame 530 millions d’euros pour attribuer directement le lot 1 (qui comprend le 1er, le 3e et le 4e choix de chaque journée) et 270 millions d’euros pour le lot 2 (pour le reste des rencontres). Les lots se répartiront entre ceux qui ont misé le montant demandé, avec par la suite une surenchère possible si le prix minimum était atteint.

DAZN, l'inconnu de l'enchère
Selon de nombreux spécialistes, il y a peu de chances que cela aille d’entrée aussi haut, et Etienne Moatti, le journaliste de L’Equipe qui suit de près ce dossier, lâche une tendance forte. Observation implacable ou coup de bluff, quasiment tous les candidats à cet appel d’offres ont laissé entendre que le prix demandé par Vincent Labrune n’était pas en accord avec la « valeur du produit », alors que de nombreux éléments n’aident en effet pas à une surenchère folle des droits TV. Tout d’abord, la Ligue 1 est tout de même passée à 18, soit 38 matchs en moins sur une saison. Le championnat de France n’a pas grimpé au niveau européen, bien au contraire, et reste peu suivi à l’étranger. Le départ de stars comme Lionel Messi et Neymar n’est pas spécialement un signal positif. Et en dehors de DAZN, dont la position reste mystérieuse, il n’y a pas de candidat capable de faire exploser la banque pour rafler les lots mis aux enchères. Si le prix minimum n’était pas atteint, cela ouvrirait des négociations personnalisés avec les diffuseurs, avec la possibilité de voir même Canal+ tenter sa chance même si c’est encore loin d’être une certitude.

Jour J pour les droits TV, une surprenante pluie d'offres

C’est le grand jour pour la LFP, qui récolte ce lundi les offres des diffuseurs souhaitant acquérir les droits TV de la Ligue 1 pour la période 2024-2029.

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La Ligue de Football Professionnelle attend un total de 825 millions d’euros au minimum pour l’ensemble des lots pour les droits TV de la Ligue 1. Le lot n°1, à savoir le premium est valorisé à hauteur de 530 millions d’euros : il comporte trois matchs, soit les choix 1, 2 et 4 en codiffusion. Le lot n°2 qui comprend le reste des rencontres en plus du choix 4 en codiffusion est lui valorisé à hauteur de 270 millions d’euros tandis que les lots suivants, constituées de magazines, sont estimées à 25 millions d’euros.

Comme indiqué par RMC et L’Equipe, les diffuseurs intéressés doivent remettre leurs offres "qualitatives" (couverture éditoriale, promotion, marketing, lutte antipiratage) et leurs offres financières à Clifford Chance, le cabinet d'avocats historique de la Ligue. C’est seulement après étude de leur dossier dans la journée de lundi qu’ils seront autorisés ou pas à soumettre une offre financière mardi. La question est maintenant de savoir qui va participer à cet appel d’offres. Le potentiel boycott de Canal + fait peur à la LFP mais selon les informations de RMC, les potentiels diffuseurs ne manquent pas.

DAZN, Amazon et BeInSports en concurrence
Et pour preuve, huit sociétés auraient manifesté leur intérêt pour les droits TV de la Ligue 1. C’est le cas de DAZN, distribué depuis peu par Canal + et qui fait office de favori pour l’acquisition du lot n°1. BeInSports et Amazon sont également pressentis pour participer à cet appel d’offres mais ces deux potentiels diffuseurs n’ont pas l’intention de faire de folies. Vont-ils atteindre les sommes exigées par la LFP ? Pour rappel, si la ligue n’obtient pas les prix de réserve fixé, l’appel d’offres sera jugé infructueux mardi et des négociations de gré à gré avec les diffuseurs seront menées. Dans deux jours, on saura peut-être qui seront les prochains diffuseurs de la Ligue 1 pour la période 2024-2029. Tout se joue en ce moment.

S.G.S.B.

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