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Droits TV : Canal+, la roue de secours de la LFP

En début de semaine prochaine, les diffuseurs intéressés par les droits TV de la Ligue 1 devront officiellement présenter leurs offres. Canal+ n’a pas prévu de participer à ces enchères. Mais en cas d’échec avec les différents candidats, la Ligue de Football Professionnel pourra toujours discuter avec la chaîne cryptée.

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Les choses sérieuses vont bientôt commencer. Le lundi 16 octobre, la Ligue de Football Professionnel va recevoir les offres qualitatives des médias intéressés par les droits TV de la Ligue 1 pour la période 2024-2029. Huit prétendants ont manifesté un intérêt. Mais tous ne présenteront pas forcément un dossier. La preuve, Canal+ en fait partie, mais a depuis annoncé qu’il ne participerait pas à l’appel d’offres.

L’instance dirigée par Vincent Labrune s’attend plutôt à des propositions de DAZN, beIN Sports, Amazon et du groupe Discovery, le propriétaire d’Eurosport. L’objectif sera dans un premier temps de rassurer la Ligue de Football Professionnel sur différents critères. Et une fois le dossier validé, chaque candidat devra transmettre une offre financière le mardi 17 octobre. Débuteront donc les fameuses enchères avec des prix de réserve déjà connus.

On sait par exemple que le lot 1, composé des deux meilleurs choix de match en exclu et du choix 4 en co-diffusion, a été fixé à 530 millions d’euros minimum. Ainsi, en se basant sur les montants annoncés par la Ligue de Football Professionnel, les cinq lots rapporteraient au moins 825 millions d’euros par an jusqu’en 2029, sans compter les droits à l’international qui permettraient à l’instance de se rapprocher du milliard tant espéré.

Canal+ pourrait être rappelé
Un échec reste évidemment envisageable. Alors en cas de désaccord sur certains lots, la Ligue se réserve la possibilité de discuter de gré à gré "avec n’importe quel acteur, y compris ceux qui n’auraient pas participé à l’appel d’offres", précise RMC. Autrement dit, Vincent Labrune pourra toujours essayer de reprendre contact avec le président de Canal+ Maxime Saada, qui serait alors en position plus favorable.

Arthur Theate a eu une grosse discussion, raison pour laquelle son transfert n’a pas abouti

Arthur Theate, défenseur des Diables Rouges, s’est exprimé devant la presse mercredi dernier. Il a discuté de ses performances récentes avec l’équipe nationale et de sa décision de rester au Stade Rennais cet été.

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La Belgique affrontera l’Autriche ce vendredi puis accueillera la Suède le lundi suivant. Malgré un calendrier chargé, Theate voit du positif dans ces rencontres rapprochées en équipe nationale. Selon lui, cela facilite l’adaptation entre les matchs en club et ceux avec la sélection nationale.

Depuis son arrivée à Tedesco, Theate est devenu une figure centrale en défense. Il se dit très heureux d’avoir reçu autant de confiance du coach, du staff et de la fédération. Sa position au sein du groupe a évolué car il fait partie depuis un certain temps maintenant.

Cet été, plusieurs clubs ont manifesté leur intérêt pour Theate, dont le RB Leipzig qui venait tout juste de recruter Lois Openda. Cependant, après avoir eu une bonne discussion avec Rennes, il a décidé de rester au club breton et a prolongé son contrat mi-septembre.

Theate explique qu’il avait envie de suivre le projet du club rennais et c’est pourquoi il a signé un nouveau contrat. Il se dit très fier de faire partie du projet rennais et espère que cette saison sera couronnée par l’Euro.

Un nouveau stade à Rennes ?

Le Stade Rennais, qui a lancé une étude de faisabilité pour construire un nouveau stade plus grand que le Roazhon Park, cherche de nouveaux revenus pour se développer davantage sportivement. Luc Arrondel, chercheur au CNRS et spécialiste de l’économie du football, explique pourquoi les clubs français ambitieux cherchent à devenir propriétaires de leurs enceintes, comme c’est déjà le cas par exemple pour la majorité des clubs en Angleterre.
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Le Stade Rennais a lancé une étude de faisabilité pour construire une nouvelle enceinte autour de 40 000 places, non loin du Roazhon Park, son stade actuel. Une stratégie qui répond à des besoins économiques, pour augmenter les revenus du club, afin de nourrir de plus hautes ambitions sportives…

Luc Arrondel, chercheur au CNRS et spécialiste de l’économie du football, explique à Ouest-France les enjeux pour les clubs français de devenir propriétaires de leurs enceintes et de rattraper une partie de leur retard par rapport à la concurrence européenne. En l’état, seul Lyon en Ligue 1 dispose d’un stade qui lui appartient.

En France, Rennes songe à construire un nouveau stade, Lille et Lens à acquérir le leur également… Quel regard portez-vous sur ces clubs de foot qui cherchent à devenir propriétaires de leurs propres enceintes ?

Dans les cinq grands championnats européens, en tout cas, c’est clairement la tendance. En Angleterre, quatorze clubs sont propriétaires de leur stade, ils ont misé sur la gentrification des tribunes, avec des places plus chères… Contrairement à l’Allemagne, où plusieurs clubs ont profité de l’organisation de l’Euro 2024 pour acquérir des stades, avec des tarifs pour le public moins prohibitifs. L’autre cas le plus typique, c’est la Juventus Turin en Italie, qui a pensé son business model en fonction de son stade (le Juventus Stadium, 41 000 places), choisi plus petit que l’ancien Stade des Alpes pour optimiser les recettes. Brest, à son échelle, semble aussi vouloir suivre cette stratégie-là avec son futur stade…

Être propriétaire de son stade, ça rapporte forcément plus d’argent à moyen terme ?

Être propriétaire de son stade, c’est essayer de rentabiliser la structure, à travers la billetterie, les hospitalités. En MLS (Major League Soccer, le championnat américain), 80 % des revenus proviennent des stades, ce sont de véritables lieux de vie. Lyon est le seul club en Ligue 1 qui possède son stade pour l’instant, et c’est un peu différent : le Groupama Stadium est devenu aussi un lieu de séminaires, avec un hôtel, des restaurants… Mais la logique globale reste de diversifier ses recettes à travers le stade.

Peut-être que certains ont vu trop grand, à Bordeaux ou à Nice par exemple

Vous comprenez l’idée du Stade Rennais de déménager du Roazhon Park ?

En 2022, l’exploitation du stade avoisinait les 10 millions d’euros, un peu dans la moyenne de la Ligue 1, autour de 10-20 % du budget. Mais si vous regardez le PSG, en valeur absolue c’est six fois plus, même en valeur relative c’est beaucoup plus… Dans le cas du Stade Rennais, qui est un club avec des ambitions sportives et déjà un taux de remplissage proche de 100 %, il y a un arbitrage à faire entre quantité et qualité : réfléchir à un business model qui soit cohérent avec le territoire. Le problème de Lyon, avec un stade de 60 000 places, c’est que le modèle est calqué aussi sur une qualification constante en Ligue des champions, donc là ils vont perdre de l’argent… Les revenus billetterie du PSG sont aussi beaucoup liés à la Ligue des champions, il n’y a pas de secret ! On parle d’abord de clubs de foot qui doivent performer, avant de les réduire à des sociétés de divertissement.

Les clubs français n’ont pas le choix s’ils veulent continuer à exister en Europe : ils vont devoir augmenter leurs propres revenus au-delà des droits TV ?

Si vous regardez le classement du top 20 européen, où en moyenne ces clubs touchent 62 millions d’euros de billetterie, la part billetterie reste assez faible par rapport aux revenus globaux… mais il ne faut pas oublier que plus vous avez de billetterie, plus vous engrangez des revenus commerciaux et des droits TV, qui sont exponentiels avec la Ligue des champions. Toutes ces recettes sont liées, mais cela suppose d’être compétitif sur la scène européenne.

Pour que ce soit le cas, la solution à moyen terme pour les clubs français sera forcément d’être propriétaire de son stade ?

En tout cas, il faut réfléchir à une meilleure exploitation de ces enceintes… Mais pour devenir propriétaire, il faut aussi souvent devoir résoudre des problèmes politiques, avec les municipalités. Avant l’Euro 2016, c’est le modèle des PPP (partenariat public-privé) qui avait été privilégié, mais on ne peut pas dire que la compétition a boosté par la suite les affluences dans les stades, comme cela avait été le cas en 1998, ou dans d’autres pays. Peut-être que certains ont vu trop grand, à Bordeaux ou à Nice par exemple. Il faut réfléchir à des projets raisonnables.

La sanction pour les chants hostiles à Abline est tombée

Ce mercredi soir, la Commission de discipline s’est réunie à la LFP. On attendait de voir à quelle sauce le Stade Rennais allait être mangé pour les chants homophobes contre Matthis Abline… et les Rouge et Noir s’en sont bien tirés.

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Au sujet des fumigènes et des chants hostiles à l’égard de Matthis Abline (subtilement appelés "expressions orales" dans le communiqué), le Stade Rennais n’a écopé que d’une amende de 70 000€ pour son derby contre le FC Nantes. Une décision qui confirme le deux poids deux mesures par rapport au PSG face à l’OM où d’autres chants ont donné lieu à la fermeture du Virage Auteuil pour un match et une suspension avec sursis pour quatre joueurs parisiens ayant entonné le chant des supporters.

Montpellier – Clermont jugé le 25 octobre
Concernant le match Montpellier – Clermont, arrêté à la 93ème minute après qu’un pétard a explosé à côté du gardien clermontois Mory Diaw, la Commission de discipline a placé le dossier en instruction. Le verdict final sera donné dans 14 jours, soit le 25 octobre après avoir entendu le MHSC sur l’incident. En revanche, il n’y a pas eu de clémence pour Neto Borges, très énervé et exclu par Monsieur Batta, qui a écopé de deux matchs.

Maxime Estève (MHSC) et Rassoul Ndiaye (Le Havre) ont écopé d’un match ferme. Lilian Brassier (Brest), Angel Gomes (LOSC), Kephren Thuram (OGC Nice), Elye Wahi (RC Lens), Stijn Spierings (Toulouse FC) et Denis Zakaria (AS Monaco) ont été frappé d’une révocation de sursis.

Enfin, en Ligue 2, le très chaud AC Ajaccio – SC Bastia a abouti à plusieurs suspensions parmi les officiels bastiais et l’ACA a écopé de 80 000€ d’amende pour les fumigènes et les "expressions orales" constatées et la fermeture d’un match avec sursis d’une tribune du Stade François-Coty.

L’inquiétude monte au sujet de cet homme, que se passe-t-il ?

Le Stade Rennais a subi une défaite à domicile contre le Paris Saint-Germain (3-1) lors de la 8ème journée du championnat. Malgré cette perte, l’équipe rennaise maintient sa position dans la première moitié du classement. Cependant, ce revers soulève des interrogations.

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L’effectif rennais s’est considérablement enrichi en début de saison, suscitant ainsi d’importantes attentes. Qu’il s’agisse des résultats collectifs ou individuels, il semble que le club pourrait encore améliorer ses performances.

Enzo Le Fée, recruté depuis Lorient durant le mercato estival, n’a pas su répondre aux attentes jusqu’à présent. Son rendement avec son ancienne équipe contrastait fortement avec ses performances actuelles, ce qui se ressent sur les choix tactiques de Genesio. Après avoir été titulaire lors des cinq premières journées, Le Fée n’a plus commencé aucun match et a même dû quitter prématurément le terrain suite à une blessure face à Montpellier.

Bien sûr, le Stade Rennais peut compter sur plusieurs autres talents tels que Blas, Gouiri ou encore Bourigeaud et Kalimuendo. Néanmoins, le profil polyvalent de Le Fée était un atout majeur pour la stratégie du club. En tant que milieu relayeur efficace, il contribuait autant offensivement que défensivement au jeu rennais.

Malgré tout cela, on ne peut qualifier le début de saison du Stade Rennais ni de bon ni de mauvais. Un point positif est que l’équipe n’a subi qu’une seule défaite, contre le PSG. Avec cinq matchs nuls et deux victoires à leur actif, les résultats restent peut-être en dessous des attentes des amateurs de football.

Il reste donc encore beaucoup de travail pour le Stade Rennais afin d’atteindre les objectifs fixés en début de saison. Le retour en forme d’un joueur comme Enzo Le Fée pourrait être un élément clé dans cette quête.

Un nouveau challenge pour Genesio ?

Dans le Parisien, Bruno Genesio a évoqué la possibilité de devenir sélectionneur d'un pays après son passage au Stade Rennais.

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Après avoir été longtemps dans l’ombre en tant qu’adjoint et avoir enchaîné des expériences de coach numéro 1 à l’OL, en Chine et désormais au Stade Rennais, Bruno Genesio (57 ans) envisage une nouvelle possibilité pour la suite de sa carrière.

Avec l’âge, il est de plus en plus tenté par une sélection
Dans un entretien au Parisien, l’entraîneur rennais a reconnu qu’il songeait de plus en plus … à reprendre une sélection nationale : « Arrivé à un certain âge, on peut aspirer à occuper d’autres fonctions de dirigeants, de manager. Je me verrai bien dans ce costume ou alors comme sélectionneur où tu conserves l’adrénaline de la compétition tout en ayant un rythme de vie moins intense. Avec bien plus de respiration, de moments de partage avec sa famille et les gens qu’on aime, que quand tu es H24 dans la lessiveuse, avec la tête uniquement accaparée par les compétitions. »

Si un départ de Rennes n’est pas encore à l’ordre du jour pour Genesio, à qui il reste encore 20 mois de contrat en Bretagne, il est possible que le cap des 60 ans se passe pour lui sur le banc d’une Nation…

Pleine Lucarne du 09/10/2023

Quand Bruno Genesio propose ses services à un grand entraineur

Grand admirateur de Pep Guardiola, Bruno Genesio se verrait bien devenir l'adjoint de la légende ibère. C'est ce qu'il a expliqué dans les colonnes du Parisien ce jour.

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Pep Guardiola, un coach qui suscite l'admiration
Pep Guardiola se place, sans conteste, comme l'un des meilleurs entraîneurs de sa génération. Après avoir bâti le FC Barcelone le plus marquant de ces vingt dernières années, son travail du côté de Manchester City est phénoménal depuis maintenant sept saisons. Un travail de longue haleine qui a débouché sur une victoire finale en Ligue des Champions en 2022-2023. Un tableau de chasse et une façon de manager qui impressionne tout particulièrement un certain Bruno Genesio.

Comme on peut s'en douter, le coach du Stade Rennais n'est pas le seul dans ce cas de figure, loin s'en faut. Mais Bruno Genesio voue une réelle admiration à l'égard de Pep Guardiola. De là à envisager même de retrouver un poste d'adjoint, à la manière de ce qu'il a connu à l'Olympique Lyonnais lors des prémices de sa carrière. Car oui, interrogé sur cette possibilité dans les colonnes du Parisien, le principal intéressé a expliqué les raisons qui pourraient le décider à choisir cette voie.

Bruno Genesio et les qualités de pep Guardiola
Est-ce que j'aimerais devenir l'adjoint de Pep Guardiola ? Ah oui, je pense. On doit apprendre tellement à son contact, s'enrichir, confronter les principes. Pep Guardiola réussit dans tous ses clubs à faire progresser ses joueurs, explique-t-il, admiratif. Il a des idées que les autres n'ont pas. Il invente des choses dans le but de bonifier son équipe. Et puis, il gagne. C'est important dans notre sport." Des louanges en bonne et due forme qui devraient, sans nul doute, faire plaisir au principal intéressé.

Baptiste Santamaria jugé coupable de violences réciproques

Le footballeur du Stade Rennais Baptiste Santamaria et son ex-compagne étaient jugés pour des violences réciproques commises devant leur enfant.
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Ce vendredi, le tribunal correctionnel de Rennes a rendu sa décision dans l’affaire de violences réciproques opposant le footballeur du Stade Rennais Baptiste Santamaria et son ex-compagne. Le milieu de terrain et son ex ont été reconnus coupables de violences mais dispensés de peine. Ils devront se verser un euro symbolique.

Le 22 septembre, l’ancien couple s’était retrouvé à la barre du tribunal pour donner sa version de la dispute qui avait éclaté le 21 octobre 2022 aux abords de leur maison à Vern-sur-Seiche, près de Rennes. Dans un échange "parole contre parole", les deux mis en cause avaient expliqué les violences subies de la part de leur ex, sous les yeux de leur fils, alors âgé de 5 ans.

Le milieu de terrain du Stade Rennais avait été convoqué à la gendarmerie pour s’expliquer après l’appel à l’aide lancée par sa compagne de l’époque. Quelques semaines avant la naissance de leur fille, l’ancien footballeur d’Angers avait quitté Stacy G. la mère de leur fils aîné, alors enceinte de 7 mois. Baptiste Santamaria était vraisemblablement parti pour une autre femme, ce que son ex n’a pas vraiment digéré. Ce jour d’octobre 2022, c’est avec sa nouvelle compagne que le milieu de terrain s’était présenté pour récupérer son fils.

Une histoire de trophée et de syphilis
Fragilisé par une opération récente à la cheville, Baptiste Santamaria avait souhaité confier son garçon à sa nouvelle petite amie afin qu’elle l’emmène en voiture, ce que son ex n’avait pas vraiment apprécié. "Elle m’a dit qu’elle conduisait mieux que moi. Je lui ai répondu que je préférais être piètre conductrice que de mettre un joueur de Ligue 1 en trophée et d’avoir la syphilis entre les jambes", avait expliqué l’ex-compagne du footballeur à la barre.

Cette dernière se plaignait de "deux coups" assénés par le footballeur, qui mesure plus d’une tête de plus qu’elle. Baptiste Santamaria avait expliqué qu’il avait agi "par peur" en réaction à un coup reçu sur sa cheville douloureuse. "J’ai senti une décharge à la cheville", avait-il déclaré.

L’ancien couple avait tenté d’éteindre la polémique en retirant sa plainte conjointement en janvier 2023, mais le parquet avait décidé de maintenir les poursuites, estimant qu’un mineur avait été témoin des faits. "Je n’y connais rien en football mais on peut penser que si monsieur n’était pas footballeur professionnel, il n’y aura pas eu toutes ces poursuites", avait plaidé Me Sammy Jeanbart, conseil de la jeune femme.

Commission de Discipline de la LFP

Retrouvez toutes les décisions de la Commission de Discipline de la LFP de ce jeudi concernant les joueurs de Ligue 1 Uber Eats.

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Deux matchs de suspension et un avec sursis

  • Mostafa Mohamed (FC Nantes)

Un match ferme à la suite d’un troisième avertissement dans une période incluant 10 rencontres de compétition officielle (Ligue 1 Uber Eats, Coupe de France, Trophée des Champions) ou par révocation du sursis. La sanction prendra effet à partir du mardi 10 octobre 2023 à 0h00.

  • Mahdi Camara (Stade Brestois 29)
  • Jean-Charles Castelletto (FC Nantes)
  • Soungoutou Magassa (AS Monaco)
  • Nemanja Matic (Stade Rennais FC)

Les joueurs passés par le Stade Rennais et le PSG

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  • Ousmane Dembélé : Rennes (2015-16), PSG (2023-...)
  • Arnaud Kalimuendo : PSG (2019-22), Rennes (2022-...)
  • Hatem Ben Arfa : PSG (2016-18), Rennes (2018-19)
  • Clément Chantôme : PSG (2006-15), Rennes (2016-18)
  • Sylvain Armand : PSG (2004-13), Rennes (2013-17)
  • Nicolas Douchez : Rennes (2008-11), PSG (2011-16)
  • Mevlüt Erding : PSG (2009-12), Rennes (2012-13)
  • Stéphane Dalmat : PSG (2000-01), Rennes (2010-12)
  • Jérôme Leroy : PSG (1992-2000, 2002-04), Rennes (2007-11)
  • Grégory Bourillon : Rennes (2002-07), PSG (2007-10)
  • Christophe Revault : PSG (1997-98), Rennes (1998-2000, 2006-07)
  • Kaba Diawara : Rennes (1997-98), PSG (2000-04)
  • Franck Gava : PSG (1997-98), Rennes (1999-03)
  • César : PSG (1999-00), Rennes (2000-02)
  • Grégory Paisley : PSG (1996-01), Rennes (2001-02)
  • Bernard Lama : PSG (1992-97, 1998-2000), Rennes (2000-01)
  • Édouard Cissé : PSG (1997-2007), Rennes (1998-99)
  • Stéphane Mahé : PSG (1995-96), Rennes (1996-97)
  • Jean-Luc Vasseur : PSG (1986-92), Rennes (1992-95)
  • Jocelyn Rico : PSG (1988-89), Rennes (1990-93)
  • Jocelyn Angloma : Rennes (1985-87), PSG (1990-91)
  • Yannick Guillochon : PSG (1978-85), Rennes (1990-91)
  • Christian Zajaczkowski : Rennes (1980-85), PSG (1987-88)
  • Gérard Lanthier : PSG (1984-85), Rennes (1985-86)
  • Claude Arribas : PSG (1971-72), Rennes (1976-78)
  • Philippe Redon : Rennes (1970-75), PSG (1976-78)
  • Daniel Bernard : Rennes (1969-77), PSG (1977-78)
  • Louis Cardiet : Rennes (1963-73), PSG (1973-76)
  • Louis Floch : Rennes (1965-69), PSG (1974-76)

Un projet de nouveau stade privé ?

Affichant régulièrement complet, le Stade Rennais étudie deux hypothèses : agrandir le Roazhon Park ou construire une nouvelle enceinte. Le club se laissera-t-il tenter par le fait de posséder son stade, comme de plus en plus de clubs en Europe ? Inenvisageable pour la maire de Rennes, Nathalie Appéré.

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Agrandissement du Roazhon Park ou nouveau stade ? Voici le dilemme des dirigeants du Stade Rennais. Le club est confronté à un taux de remplissage proche de 100 % de son enceinte et envisage deux solutions : l’agrandissement du Roazhon Park ou la construction d’un nouveau stade. Le club vient ainsi de confier une étude de faisabilité d’un projet sur le site de l’ancienne usine Barre-Thomas, route de Lorient, côté extérieur de la rocade. Elle porterait sur un stade de 40 000 places, soit 10 000 de plus qu’actuellement.

Si aucune hypothèse n’est pour l’heure privilégiée, le propriétaire semblerait voir d’un bon œil la construction d’une nouvelle structure, et rejoindrait ainsi Montpellier, Brest ou encore Nîmes, parmi les clubs qui envisagent de devenir propriétaires de leurs enceintes en France.

Des revenus plus importants
Plusieurs le sont déjà : l’AJ Auxerre, l’AC Ajaccio, le Gazélec d’Ajaccio et l’Olympique Lyonnais, devenu le quatrième club en France à devenir propriétaire de son stade en 2016, le Groupama Stadium. Le but ? Une stratégie d’investissement sur le long terme avec des revenus de plus en plus importants (billetterie, restauration, commerces, concerts…).

Les joueurs du Stade Rennais au Groupama Stadium, à Décines-Charpieu, près de Lyon. L’Olympique Lyonnais est le dernier club en France à avoir fait construire son propre stade.
Les joueurs du Stade Rennais au Groupama Stadium, à Décines-Charpieu, près de Lyon. L’Olympique Lyonnais est le dernier club en France à avoir fait construire son propre stade. | AFP
Avec si peu de clubs propriétaires, la France fait figure de cas isolé en Europe. Une situation qui s’explique par la difficulté de "s’arranger" avec les pouvoirs publics et les collectivités locales qui préfèrent conserver la maîtrise de leurs enceintes comme à Strasbourg, à Marseille ou encore à Paris.

Dans les autres championnats européens en revanche, les clubs propriétaires sont légion : Manchester United, Arsenal ou Liverpool en Angleterre. Le Bayern Munich en Allemagne, et son Allianz Arena inaugurée en 2004 et remboursé en moins de dix ans.

Un nouveau stade ? J’avoue, je ne vois pas
Pour continuer à grandir, le Stade Rennais est-il donc obligé de construire son propre stade ? La maire de Rennes, Nathalie Appéré, ne veut pas s’y résigner. "La Ville a toujours été aux côtés du Stade Rennais dans les bons comme les mauvais moments, rappelle-t-elle. Je me réjouis de leurs excellents résultats depuis quelques années sur le plan sportif, mais aussi du côté de l’engouement populaire, qui fait que, souvent, les matchs sont joués à guichets fermés au Roazhon Park."

"C’est dans ce cadre-là, poursuit-elle, qu’on dialogue avec les dirigeants du Stade Rennais pour leur permettre de mener à bien leurs projets, leurs ambitions. C’est comme ça, par exemple, que sur La Piverdière, on va quand même avoir un centre de formation et d’entraînement de grande qualité, après un travail très fin pour respecter l’environnement. Sur le Roazhon Park, de la même manière, j’ai dit ma disponibilité pour travailler sur une extension du site. On sait qu’il y a un certain nombre de contraintes, il faut regarder ce qu’on peut faire."

Nathalie Appéré tient toutefois à souligner son "attachement indéfectible au Roazhon Park. On a un beau stade, sur lequel la collectivité a investi beaucoup d’argent public. Il a été rénové il y a moins de 20 ans. On peut effectivement regarder sa jauge et les évolutions possibles… mais sur un nouveau stade, j’avoue que je ne vois pas."

Je n’estime pas avoir été à la hauteur de ce dont je suis capable

Dans un long entretien paru dans le nouveau numéro de So Foot, Enzo Le Fée évoque son début de saison compliqué au Stade rennais.

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Dans un long entretien publié dans le nouveau numéro de So Foot, sorti ce jeudi en kiosques, Enzo Le Fée revient sur son début de saison compliqué au Stade rennais. "Franchement, non, je n’ai pas encore pris de plaisir, assume le milieu de terrain. Le plaisir vient aussi de mes performances et je n’estime pas avoir été à la hauteur de ce dont je suis capable. Je ne m’exprime pas comme j’ai l’habitude de le faire, j’ai encore plein de repères à trouver."

Comment expliquer ces performances moyennes ? Un cadre peut-être plus strict pour celui qui avait raconté que le staff lui avait demandé d’être un peu moins fou-fou après sa première demi-heure contre Metz : "Si je gardais mon côté un peu fou-fou, je serais dans la continuité de ce que je faisais à Lorient et je pense que je serais meilleur. Après, si je veux passer un cap, j’ai aussi besoin d’un cadre, d’une structure. Tout ça va m’aider dans un futur proche, pour les matchs de haut niveau et en coupe d’Europe. Il faut que je réussisse à être influent au sein de cette structure, justement."

Trop de tactique, comme le soulignait Bruno Genesio le mois dernier ? "Je ne pense pas que ce soit la tactique qui nous perturbe, répond Le Fée. J’aime bien aussi quand les choses sont cadrées : c’est à l’intérieur de ce cadre que j’aime être le dépositaire du jeu. C’est ce que je recherche aujourd’hui, il faut prendre le temps. Là, par exemple, au milieu il y a Matic. On sent qu’il a le contrôle sur le jeu. Il faut s’adapter autour de lui, c’est normal. On lui demande de bien rester devant la défense. Je pense que je me suis peut-être mis un frein inutile parfois, je pourrais venir plus bas pour chercher des ballons, même s’il est là, ça ne doit pas me déranger. Pour l’instant, je ne le fais pas. Après, avoir ce profil dans une équipe, c’est super. Ce n’est quand même pas commun d’avoir un numéro six aussi grand, à l’aise techniquement et avec une telle expérience. On doit se servir de tout ça." En espérant que la mayonnaise prenne prochainement.

Le Stade Rennais lance une étude pour la construction d’un nouveau stade

Confronté à un taux de remplissage proche de 100 % du Roazhon Park, le Stade Rennais réfléchit à des solutions. L’hypothèse d’une nouvelle enceinte est désormais très concrète.

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Depuis 18 mois, tous les matches au Roazhon Park se jouent à guichets fermés (seul le match Rennes – Nice du 2 janvier 2023 échappe à la règle). La demande est aussi forte que la frustration, créant quelques tensions au niveau de la billetterie. Ainsi, le club de football de Rennes (Ille-et-Vilaine) ne peut quasiment plus accepter de nouveaux abonnés.

Le phénomène n’est pas prêt de s’arrêter avec les ambitions sportives du club, mais aussi la croissance de la population dans la métropole rennaise et le département. La taille du stade est devenue un sujet qui prend de l’ampleur. Mais faut-il agrandir le Roazhon Park avec les contraintes inhérentes (rocade, Vilaine, limitation de la jauge durant les travaux) ou construire un nouveau stade ?

Le site de l’ancienne usine Barre-Thomas envisagé
Le sujet du remplissage s’est invité lors du conseil municipal du 18 septembre 2023. La maire de Rennes Nathalie Appéré s’est dite ouverte à la discussion autour d’un projet d’extension. "Nous sommes prêts à étudier dans quelle mesure cette demande peut être satisfaite."

L’autre option, c’est la construction d’un nouveau stade. Selon nos informations, le Stade Rennais vient de confier une étude de faisabilité d’un projet sur le site de l’ancienne usine Barre-Thomas, route de Lorient, côté extérieur de la rocade. Une telle surface à proximité du Roazhon Park est une formidable opportunité, même s’il faudrait améliorer l’accessibilité en transports en commun.

Pour l’heure, la friche industrielle est en cours de réhabilitation pour laisser place à une zone mixant activité commerciale, économique et de loisirs. La superficie est très importante et permettrait de répondre à la problématique de parkings.

On n’en est qu’aux prémices de la réflexion, aucune option n’est encore privilégiée, mais le club ne ferme aucune porte. Selon nos sources, l’étude porte sur un stade d’une capacité proche de celle de Lens ou Nice, soit près de 40 000 places.

Cette piste existe depuis un moment au sein du club et est menée dans la continuité de l’extension du centre d’entraînement de la Piverdière. «"La progression du club ne peut être que globale, déclare d’ailleurs Jacques Delanoë, le président du conseil d’administration, dans un entretien à paraître prochainement dans Ouest-France. Dans un club, il y a deux dimensions : celle du court terme qui est le match du week-end, et le long terme. Les deux sont liées. Si le moyen et le long terme ne sont pas clairs, le court terme est plus zig-zaguant."

Difficile en effet pour le Stade Rennais de continuer à avoir une ambition sportive sans augmenter ses recettes, comme le réclame le fair-play financier. Cela passe notamment par une capacité d’accueil plus importante.

Beaucoup de chemin reste à parcourir avant qu’un nouveau stade ne sorte de terre et beaucoup de questions à trancher, dont celle du financement, mais le propriétaire du club verrait d’un bon œil cette idée de nouveau stade, ainsi que l’avenir du Roazhon Park.

S.G.S.B.

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