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Nemanja Matic au Stade rennais : bien plus qu’un transfert

En chipant Nemanja Matic à la Roma, le Stade rennais a mis la main sur un joueur d'expérience qui doit l'aider à franchir un nouveau cap sportif et d'image. La confirmation d'un changement de dimension, enclenché depuis quelques années et qui s'accompagne forcément d'objectifs plus élevés.

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Ils sont sans doute nombreux, ce lundi soir, à s’être pincés pour y croire. Au lendemain d’une démonstration inaugurale contre Metz au Roazhon Park (5-1), où voir Rennes planter quatre, cinq ou six buts est presque devenu une extraordinaire banalité ces deux dernières années, le Stade rennais a officialisé l’arrivée de Nemanja Matic, à travers un clip dépassant le million de vues. Ce transfert inattendu, estimé à un peu plus de deux millions d’euros, était en vérité devenu un secret de polichinelle depuis quelques jours, l’international serbe étant même arrivé la veille à l’aéroport, où plusieurs dizaines de supporters s’étaient déplacés pour l’accueillir. Rien à voir avec la traditionnelle folie des supporters en Turquie ou celle au Brésil pour Dimitri Payet, mais quasiment du jamais-vu pour une recrue chez les Rouge et Noir.

De la curiosité, l’envie de voir de ses propres yeux, avant cette question posée dans le microcosme rennais : Matic est-il le plus grand joueur recruté par le SRFC ? Les plus anciens ne peuvent pas s’empêcher de citer le nom de Laurent Pokou, bien sûr, et les autres pensent naturellement à Bernard Lama, au retour de Sylvain Wiltord à la fin des années 2000, voire à Steven Nzonzi et Steve Mandanda, deux internationaux arrivés en Bretagne avec leur statut de champion du monde. Au-delà de ces réflexions historiques, la signature de Matic à Rennes est un symbole pour le présent. Celui d’un club en pleine croissance et un peu plus ambitieux chaque année.

Un CV et un taulier
Le feuilleton a duré à peine quelques semaines, alors que la Roma et José Mourinho comptaient sur le milieu de terrain serbe pour la nouvelle saison après un premier exercice plutôt réussi en Italie (50 matchs, 2 buts, 3 passes décisives, plus de 3000 minutes jouées et une place dans l’équipe type de la Ligue Europa). Selon les premiers échos, notamment relayés par Ouest-France, Matic a été séduit par le discours du coach, l’ambition du club et souhaitait connaître une expérience en France pour préparer sa future reconversion comme entraîneur. Sur le terrain, le joueur de 35 ans a encore des choses à donner, entre son impact physique, sa qualité technique et son expérience colossale devant une ligne défensive très jeune. « C’est de la concurrence, assumait Baptiste Santamaria ce dimanche en zone mixte. Il va falloir être bon sur le terrain et ce sera le meilleur qui jouera. C’est important car on a un gros effectif et énormément de matchs cette saison, on aura besoin de tout le monde. »

Ça veut dire effectivement que le club grandit et que des grands joueurs ont envie de venir au Stade rennais, c’est plutôt réjouissant.

Bruno Genesio

Dans cette optique, le triple champion d’Angleterre, passé par Chelsea et Manchester United, pourrait apporter de la tranquillité à une équipe joueuse, parfois trop, et un peu plus d’équilibre et d’impact dans les rencontres difficiles face à des concurrents. En Ligue Europa, aussi, où le bonhomme a déjà disputé trois finales (toutes perdues). Les 93 matchs européens affichés à son CV (contre 85 pour le Stade rennais) ne seront pas de trop pour aider la bande de Bruno Genesio à franchir un cap après la désillusion contre le Shakhtar Donetsk la saison passée. « Ça veut dire effectivement que le club grandit et que des grands joueurs ont envie de venir au Stade rennais, c’est plutôt réjouissant », commentait le technicien breton en conférence de presse après la victoire contre Metz. Les dirigeants rennais n’ont pas attendu cet été pour tenter d’attirer des joueurs de classe internationale. En 2020, par exemple, Florian Maurice avait pris des renseignements sur Thiago Silva, avant que la porte à peine entrouverte ne soit immédiatement refermée.

Rennes, nouveau modèle français ?
La venue d’un joueur de la dimension de Matic devrait également permettre à Rennes de gagner en crédibilité, en plus des six campagnes européennes d’affilée, du jeu souvent séduisant proposé par l’équipe de Genesio ou encore des ventes importantes à de très grands clubs. "C’est sûr que ça donne plus de poids et qu’on est plus reconnus au niveau européen, posait le président Olivier Cloarec au début du mois d’août après le départ de Lesley Ugochukwu à Chelsea contre environ 30 millions d’euros. Ce qui est important, c’est de réussir à le pérenniser." Un exemple à tous les niveaux pour certains, à commencer par le Racing Club de Lens, qui avait voulu s’inspirer du SRFC au moment de revenir dans l’élite. Un modèle bien sûr permis par la présence de la famille Pinault, actionnaire milliardaire mais qui ne voit pas le club breton comme un simple objet de business, ainsi que par les excellentes ventes réalisées ces trois dernières années (plus de 220 millions d’euros en attendant le très probable transfert de Jérémy Doku cet été).

Un changement de dimension qui implique de nouvelles exigences et des objectifs plus élevés. Celui d’une qualification en Ligue des champions (la quatrième place offrira un ticket pour les tours préliminaires cette saison) a été annoncé par Maurice au début de l’été, quand Rennes finalisait déjà les arrivées d’Enzo Le Fée et de Ludovic Blas. "Il ne faut pas faire les timides, il faut montrer qu’on est ambitieux et qu’on veut aller la chercher", assumait d’ailleurs l’ancien Lorientais lors de sa présentation. Il devrait cependant encore se passer des choses en 15 jours de mercato : Lovro Majer est parti, Doku devrait le suivre et d’autres mouvements ne sont pas à exclure, le SRFC cherchant toujours à gagner en expérience. Rien ne devrait éteindre l’engouement local (et presque national en ce moment) autour du club rouge et noir, considéré par beaucoup comme un favori au podium. "On ne peut pas s’improviser du jour au lendemain comme un candidat au titre ou à la Ligue Europa, tempérait Genesio la semaine dernière. On doit franchir une étape supplémentaire qui doit nous permettre d’être en Ligue des champions, mais ce n’est pas garanti (…) C’est comme dans un Grand Prix de Formule 1, c’est quand le drapeau à damiers s’agite qu’on sait si on a bien fait le travail." Place à la course.

Francois Henri Pinault négocie le rachat de l’agence CAA

François-Henri Pinault, le milliardaire français et propriétaire du Stade Rennais, serait actuellement en négociations avancées pour l’achat d’une participation majoritaire dans l’agence Creative Artists Agency (CAA), une des plus importantes agences d’artistes d’Hollywood, selon une information de Bloomberg, alors qu’une source proche du dossier, précise que rien n’a été décidé définitivement pour le moment.

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La famille Pinault lorgne la puissante agence CAA
Si l’accord est conclu, cela représenterait une victoire significative pour l’actuel propriétaire de CAA, le groupe de capital-investissement TPG, et qui avait déjà acquis une participation de 35% dans l’agence en 2010, puis portée à 53% en 2014, évaluant ainsi l’agence à 1,1 milliard de dollars (environ 978 millions d’euros). Fondée en 1975, CAA est connue pour être une agence de talents très influente, représentant de nombreux acteurs, réalisateurs, musiciens et célébrités de renom tels que Tom Hanks, Zendaya, Steven Spielberg, Ariana Grande et Beyoncé. L’agence s’est également diversifiée en représentant des athlètes depuis 2006. Dans sa branche football, elle gère notamment les intérêts des champions du monde français, Raphaël Varane, Kingsley Coman, ainsi que du milieu de terrain de l’OM, Valentin Rongier ou de James Maddison, Heung-min Son et Richarlison à Tottenham.

Des pourparlers qui se poursuivent sans commentaire des parties concernées
Les pourparlers entre CAA et François-Henri Pinault se déroulent dans un contexte où les acteurs hollywoodiens ont décidé d’entamer une grève suite à l’échec des négociations avec les studios, rejoignant ainsi les scénaristes de cinéma et de télévision, entraînant des perturbations dans la production de nombreux films et séries. Selon Reuters, aucun commentaire n’a été fait pour le moment par le service de presse de CAA, ni par le porte-parole de François-Henri Pinault. La société de Pinault, Kering, a précisé qu’elle n’était pas impliquée dans ces discussions. De même, TPG a choisi de ne pas faire de commentaire sur cette situation.

Avoir réussi à convaincre un joueur comme Matic est exceptionnel

Pour le fondateur du site Rouge Mémoire, Fabrice Pinel, la signature de Nemanja Matic au Stade Rennais est le témoin d’une progression constante du club, aussi bien sur le terrain qu’en coulisses.

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Il est le fondateur du site Rouge Mémoire, qui retrace depuis 2011 l’histoire du Stade Rennais, à grand renfort de statistiques et d’archives. À 41 ans, Fabrice Pinel voit grandir le Stade Rennais chaque jour un peu plus. Selon lui, l’arrivée de Nemanja Matic marque un tournant dans l’histoire du club. Entretien.

Nemanja Matic est-il le plus gros transfert de l’histoire du club ?

Très souvent, lorsque l’on évalue le prestige de l’arrivée d’un joueur, on évalue le palmarès. Si on part de ce point de vue là, Matic est loin. Le Stade Rennais a déjà accueilli des vainqueurs de Coupe d’Europe, en club et en sélection, et des champions du monde. Or, évaluer la valeur d’une recrue par ce prisme est un petit peu réducteur. Si l’on se fie seulement au palmarès, Emiliano Martinez, champion du monde avec l’Argentine, serait meilleur que Petr Cech par exemple. C’est la même chose pour Matic. Il est en tout cas évident que c’est le plus beau CV étranger que le club ait accueilli.

Le premier joueur de l’histoire que Rennes va chercher dans un gros club alors qu’il n’est pas partant

En club, c’est le plus beau palmarès pour un joueur du Stade Rennais. Il a remporté trois Premier League en étant un véritable acteur de ces titres, il a influé sur le résultat. Il faut regarder l’importance du joueur dans les clubs où il est passé et son influence aujourd’hui.

C’est le premier joueur de l’histoire que Rennes va chercher dans un gros club alors qu’il n’est pas partant. José Mourinho ne voulait pas le lâcher. On a réussi à déloger un joueur de ce calibre dans un club qui ne voulait pas s’en séparer, c’est ce qui fait selon moi de ce transfert le plus fort en termes d’ambition.

Qu’en est-il en termes de chiffres ?

Matic n’est certainement pas dans le top 100 des recrues en termes de prix. Ce qui est plutôt marrant, c’est que 2,5 millions, c’est le montant du transfert de Birger Meling à Copenhague.

À ce jour, les deux recrues les plus chères de l’histoire du club restent Jérémy Doku, acheté 26 millions en 2020 et Amine Gouiri, acheté 28 millions en 2022. Pour Doku, 26 millions, c’est le prix de la marge de progression qu’on a payé. Il ne valait probablement pas ce prix-là à ce moment-là mais les dirigeants savaient qu’avec patience, sa valeur allait être multipliée par deux. Pour Gouiri, c’est pareil.

Avant lui, quels autres transferts ont marqué l’histoire du club ?

La plupart des gros coups concernent des joueurs français. On peut évidemment citer Bernard Lama, vainqueur de la Coupe des coupes avec Paris en 1996, champion du monde en 1998 et champion d’Europe en 2000 avec l’équipe de France. Sylvain Wiltord n’est pas loin de Lama. En 2007, il revient à Rennes avec un titre de champion d’Europe. Il a gagné la Premier League avec Arsenal, est multiple champion de France avec Lyon, vainqueur de la coupe des confédérations… Pour lui, c’est un peu un retour aux sources. On avait un avantage sentimental sur les autres.

En 2020, Steven Nzonzi arrive en tant que vainqueur de l’Europa League avec Séville et dans la peau d’un champion du monde. Mandanda est arrivé en tant que champion du monde lui aussi.

Où se situe Rennes aujourd’hui ?

Avoir réussi à convaincre un joueur comme Matic est exceptionnel. D’ailleurs, si on resitue chaque transfert concerné dans son époque, à chaque fois qu’un de ces nouveaux joueurs arrive, c’est à ce moment-là le joueur le plus prestigieux du club. C’était le cas pour Lama, Wiltord, Nzonzi, Ben Arfa et les autres… À chaque fois, on fait un peu mieux. Ce qui veut dire que si l’on continue de suivre cette trajectoire-là, on sera encore plus haut dans les années à venir.

Cela montre que le club franchit des paliers et arrive toujours à placer la barre plus haut pour son transfert le plus prestigieux. Le club progresse aussi bien sur le terrain qu’en coulisses.

Majer quitte le Stade Rennais et s’envole pour l’Allemagne

Deux ans après son arrivée à Rennes, Lovro Majer va poursuivre sa carrière en Bundesliga. Le milieu de terrain croate de 25 ans va s’engager avec Wolfsburg, qui versera 35 millions d’euros au club breton.

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Lovro Majer a pu faire ses adieux au Roazhon Park, dimanche, lors du carton du Stade Rennais face à Metz en ouverture de la Ligue 1 (5-1). Le milieu de terrain de 25 ans est entré à un quart d’heure de la fin pour participer à la démonstration face aux Grenats. Une manière de saluer une dernière fois le public d’Ille-et-Vilaine avant de prendre la direction de l’Allemagne. Deux ans après son arrivée en provenance du Dinamo Zagreb, l’international croate (21 sélections, 4 buts) va découvrir la Bundesliga sous les couleurs de Wolfsburg.

Le VfL, entraîné par Niko Kovac, va débourser 35 millions d’euros (bonus compris) pour s’offrir les services du gaucher d’1,78m, réputé pour sa vista et son élégance balle au pied. Il s’agit du deuxième transfert le plus coûteux de l’histoire du club de Basse-Saxe, après le recrutement de Julian Draxler à Schalke 04 en 2015 (43 millions). C'est également de la vente la plus rentable du Stade Rennais, à égalité avec Ousmane Dembélé (Dortmund en 2017) et Nayef Aguerd (West Ham l’an passé).

Un contrat de cinq ans au VfL
Après avoir disputé 79 matchs avec Rennes (toutes compétitions confondues), en alternant les titularisations et les entrées en jeu, Lovro Majer va signer un contrat de cinq ans avec le 8e de la dernière Bundesliga, qui ne disputera pas de compétition européenne cette saison.

Wolfsburg a lancé sa campagne 2023-2024 par un carton dimanche sur la pelouse du TuS Makkabi Berlin, qui évolue en sixième division, au premier tour de la Coupe d’Allemagne (0-6). Les futurs coéquipiers de Majer débuteront leur championnat par la réception d’Heindenheim, samedi à la Volkswagen Arena (15h30).

Roazhon's Call Paris

Lancement des adhésions pour cette nouvelle saison : dimanche 13 août à 17h05, à l'occasion de la J1 SRFC - FC METZ au bar "Aux Sports", 2 rue des Morillons - 75015 PARIS

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Winamax s’associe avec le Stade Rennais

Pour les deux prochaines saisons, Winamax annonce aussi devenir le sponsor officiel du Stade Rennais F.C. Dans le cadre de ce partenariat, Winamax affichera ses couleurs sur le dos du maillot Rennais.
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La marque bénéficiera également d’une forte visibilité au Roazhon Park (panneautique, LED, écran géant) et à la Piverdière, ainsi que sur l’ensemble des supports de communication print et digitaux du club.

Au-delà de cette visibilité, Winamax sera également présent auprès de la communauté de supporters du SRFC et lui offrira la possibilité de vivre des expériences inédites. Un tournoi de poker sera notamment organisé au cours de la saison en présence de certains joueurs de l’effectif pro mais aussi une chasse au trésor géante organisée dans la ville de Rennes avec des "Golden Tickets" à retrouver pour assister aux matchs. Toutes les semaines, le public Rouge & Noir aura ainsi l’opportunité de jouer et de remporter des cadeaux d’exception.

Le mur des légendes, oui, je l’espère un peu

Nouveau capitaine attitré du Stade Rennais après le départ d’Hamari Traoré, Benjamin Bourigeaud espère renforcer encore plus sa place dans l’histoire des Rouge et Noir cette saison.

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Avant le début de saison du Stade Rennais (ce dimanche 13 août, 17 h 05 contre le FC Metz au Roazhon Park), Benjamin Bourigeaud a accordé un entretien à Ouest-France. Le nouveau capitaine des Rouge et Noir évoque les responsabilités qui accompagnent la prise du brassard et l’importance de plus en plus en grande qu’il occupe dans l’histoire du club, à l’entame de sa septième saison avec les Rouge et Noir.

Avez-vous senti une montée en puissance collective durant la préparation ?

C’est notre objectif de monter en puissance pendant la préparation afin d’être prêts pour la reprise du championnat. Après, les résultats (quatre victoires, un match nul et une défaite) ne veulent rien dire sur ce qui va se passer en championnat puisque j’ai connu des saisons où l’on ne gagnait pas un match en préparation et où l’on démarrait fort le championnat, et l’inverse. Tu n’as pas de certitude sur la suite.

Par contre, c’est important d’engranger beaucoup de confiance dans cette préparation. C’est le but, travailler au maximum en match ce que l’on travaille aux entraînements. Ce que l’on souhaite, c’est travailler dur pour peaufiner les petits détails et être prêt à faire une grande saison tous ensemble. Il n’y a aucune enflammade à avoir, il faut travailler sereinement, ce que l’on fait.

Physiquement, on travaille. Le but d’une préparation, c’est de pouvoir enchaîner les matches et surtout, pouvoir jouer 90 minutes. On aura besoin de tout le monde, on a une grosse saison qui nous attend, on en est conscient. On veut continuer de se surélever et de faire grandir le club.

On sent une ambiance très différente de la saison dernière où l’équipe ne semblait pas prête au lancement de la saison, en grande partie à cause du mercato…

Chaque présaison est différente. Forcément, le mercato entre en jeu, il y a toujours des joueurs qui arrivent rapidement et d’autres plus tardivement. L’année dernière, on a eu des joueurs qui sont arrivés très tard et qui ont dû s’adapter très vite. Là, on a des joueurs qui ont déjà pu s’installer dans le groupe. Il y aura peut-être encore du mouvement, on ne sait pas.

Vous étiez très proche d’Hamari Traoré, qui a quitté le club cet été. Comment préparez-vous Lorenz Assignon à prendre sa succession au poste de latéral droit ?

Lorenz est quelqu’un d’intelligent et avec des qualités. Évidemment qu’avec Hamari, c’était assez spécial puisqu’on est arrivé ensemble au club et on a développé notre relation tout au long de notre période ensemble au Stade Rennais. Mais, aujourd’hui, Hamari est parti et Lorenz va être prêt à jouer ce rôle. Je pense qu’il a les capacités pour être performant et si on doit l’aider à gommer quelques petits soucis, on le fera avec le staff pour le faire progresser. Mais je pense qu’il est totalement prêt.

Cette saison est surtout votre première en tant capitaine, ce à quoi beaucoup de monde s’attendait. Le coach vous l’a-t-il annoncé de façon formelle ?

Il n’y a pas vraiment eu de discussion profonde à ce sujet mais oui, il me l’a annoncé. L’année dernière, Hamari était capitaine et moi vice-capitaine. Et en l’absence d’Hamari, je portais le brassard. Mais cela ne changera rien dans ma façon d’accompagner le groupe. Forcément, ce rôle de capitaine est une grande fierté, car tu es un peu celui qui représente les valeurs du club. Après six saisons, je connais ces valeurs et ce que l’on attend de moi. Je le vis très bien puisque c’est valorisant de porter le brassard des couleurs de son club et d’avoir des responsabilités. Je les prends avec beaucoup de plaisir et j’espère continuer à défendre les valeurs du club comme je le fais depuis que je suis arrivé.

Ressentez-vous malgré tout le besoin d’assumer un rôle vocal encore plus important au sein du vestiaire ?

Oui, peut-être en termes de statut. Mais ce n’est pas parce que je porte le brassard de capitaine aujourd’hui que je peux tout me permettre, que je dois être différent de ce que je suis dans la vie de tous les jours. Quand il faudra taper du poing sur la table, on tapera, mais je ne serai pas le seul. Et ce n’est pas parce que des joueurs n’ont pas le brassard qu’ils n’ont pas le droit de le faire, bien au contraire. D’autres joueurs avaient déjà un certain statut la saison dernière. Aujourd’hui, même les jeunes s’expriment. C’est vraiment l’osmose de groupe que l’on essaie de créer, parce que tout le monde est et sera important. C’est grâce à cela que l’on obtiendra nos objectifs de fin de saison.

Vous avez la possibilité d’atteindre les 300 matches avec le Stade Rennais cette saison, et d’entrer dans le top 10 des meilleurs buteurs de l’histoire du club. Ces chiffres ont-ils une importance pour vous ?

Je ne me dis pas forcément : « Il faut que je fasse ci ou ça », même si j’essaie d’être décisif à chaque match. Oui, il y a des records qui ont été atteints et que je veux aller chercher. Mais ce n’est pas un objectif principal. Faire partie des grandes lignes du club, c’est beaucoup de fierté et d’émotion parce que tu travailles dur pour atteindre ces objectifs. Et au bout de sept ans, tu finis par atteindre pas mal de choses. Rentrer encore plus dans l’histoire du club et dans le cœur des Rennais, j’en ai envie.

Quant au mur des légendes devant le Roazhon Park, avez-vous déjà songé à y voir votre visage un jour ?

Cela fait six ans que je partage beaucoup de choses avec les gens du club, notamment les supporters. Au-delà d’une aventure footballistique, c’est une aventure humaine incroyable que je suis en train de vivre. Cela devient rare de voir quelqu’un faire sept ans dans un club et moi, je suis toujours aussi content d’en faire partie. Il progresse et je progresse à travers lui. Faire partie du mur des légendes, oui, je l’espère un peu, parce que cela voudra dire que mon travail est reconnu et que les gens apprécient ce que je fais.

L'État met en place des amendes pour l'utilisation de fumigènes dans les stades

L'usage illégal d'engins pyrotechniques au stade peut désormais être puni d'une amende forfaitaire de 500 euros. Un nouveau dispositif qui ne fait pas l'unanimité.
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Nouvelle dans sa formule, la Ligue 1 va aussi connaître quelques évolutions dans ses tribunes pour la reprise. Parmi elles, depuis le 11 juillet dernier, une expérimentation est menée par l'État pour punir plus systématiquement l'utilisation de fumigènes lors des matches. Hors exceptions, la loi interdit déjà l'introduction, la détention et l'allumage d'engins pyrotechniques dans les stades, mais ce délit est désormais passible d'une amende forfaitaire délictuelle (AFD).

Agrandir le Roazhon Park à Rennes, la question s’est déjà posée par le passé

Face au taux de remplissage très fort du Roazhon Park, Olivier Cloarec, président du Stade Rennais, pose la question d’un futur agrandissement de la structure. La Ville de Rennes, propriétaire, fait savoir qu’elle n’a pas de tel projet. Pourtant, entre 1999 et 2004, le stade avait déjà connu des travaux d’extension, pour accueillir les plus grandes compétitions.
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Depuis sa construction en 1912, le Roazhon Park (ex-parc des sports et stade de la route de Lorient) n’a cessé de grossir. Aujourd’hui, le taux de remplissage du site est très fort. La plupart des matches se jouent à guichets fermés. Interrogé par Ouest-France mardi 8 août, le président du Stade Rennais Olivier Cloarec n’exclut pas un agrandissement du stade à terme, si l’engouement populaire se pérennise.

Cette question de l’agrandissement du stade a déjà été posée par le passé. Depuis sa création, le site a subi quatre phases d’extension. La dernière date de 1999 à 2004. Un chantier de cinq ans pour un terrain digne de recevoir les meilleures équipes de la Coupe d’Europe.

35 millions d’euros

Il aura donc fallu cinq années pour mener à bien l’un des chantiers les plus coûteux de l’agglomération : 35 millions d’euros. Ce sera au final la note que partagera la Ville, propriétaire des lieux, avec la Région, qui a accepté de contribuer pour 4 millions.

Dès le départ, le maire Edmond Hervé avait pris position en faveur de la rénovation du stade plutôt que sa reconstruction à un autre endroit. Le projet Stade rennais est allé plus loin que l’agrandissement, pour reprendre un à un tous les éléments du complexe : le centre d’entraînement de la Piverdière, les parcs de stationnement, sans oublier une passerelle pour piétons, réalisée en bois de chêne. Même la pelouse a été remplacée.

Pourquoi pas 30 000 places ?

C’est donc par tranches successives, et avec deux architectes différents, qu’a été mené à bien le projet. Au départ, on était seulement parti pour un stade de 20 000 places. C’est en janvier 1999, après un match contre Marseille, que fut donné le coup de sifflet des travaux. La même année, la première tribune était-elle à peine démarrée que déjà circulait le chiffre magique : et pourquoi pas 30 000 places ?

Malgré les résultats décevants, le Stade rennais a obtenu la plus belle enceinte qu’il pouvait espérer en 2004.

Aussi, en 2008, dans le cadre de la désignation des stades susceptibles d’accueillir l’Euro 2016, un projet d’accroissement de la capacité du stade de la route de Lorient à 35 000 places assises a vu le jour, consistant en un agrandissement de la tribune Vilaine. Présélectionné en juin 2009, le projet rennais est finalement retiré par la municipalité cinq mois plus tard, au motif d’une trop grande incertitude quant au soutien financier de l’État.

Avec plus de 29 000 places assises, le Roazhon Park est le seizième plus grand stade français.

De son côté, la Ville de Rennes, propriétaire des lieux, déclare "qu’elle n’a pas de projet d’agrandissement du Roazhon Park à ce jour."

Les travaux au centre d'entraînement du Stade Rennais visés par un recours en justice

L'association La Nature en Ville et le Collectif de la Prévalaye ont déposé un recours devant le tribunal administratif pour demander l'arrêt des travaux du centre d'entraînement du Stade Rennais.

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Les travaux au centre d'entraînement du Stade Rennais à la Piverdière ont débuté cet été. L'association Nature en ville soutenue par le collectif de la Prevalaye souhaite la suspension du projet d'agrandissement.

Ils ont saisi le tribunal administratif en référé. "On n'est pas contre le sport, mais il y a des limites", précise l'association Nature en ville.

Extension de 3,5 hectares
Le centre d'entraînement doit s'agrandir de 3,5 hectares, soit un terrain et demi en plus pour le club de Ligue 1 et de nouveaux bâtiments.

Inacceptable pour les opposants au projet. Cela détruirait des "terres historiquement maraîchères et paysannes" comprenant "une prairie, deux parcelles de jardins familiaux et ouvriers, une parcelle horticole, (et 63 arbres sur l'ensemble du périmètre des travaux)" font savoir l'association et le collectif dans un communiqué.

L'association Nature en ville s'oppose à des travaux qu'ils jugent dégradants pour la biodiversité locale. Ils dénoncent le début des travaux "en pleine période de reproduction et de nidification des espèces".

Les opposants au projet mettent également en avant l'impact des travaux en termes "d'artificialisation, d'imperméabilisation et de bilan carbone." Un terrassement a été nécessaire pour les constructions. L’association craint l'utilisation de produits phytosanitaires dans cette zone humide.

Le point avec Olivier Cloarec

À moins d’une semaine de la reprise de la Ligue 1 et au terme d’une préparation concluante, le président du Stade Rennais, Olivier Cloarec, s’est exprimé face à la presse. Le point sur les différents dossiers.

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Les sujets ne manquaient pas ce mardi matin au Roazhon Park. Avec la réception de Metz ce dimanche, dans un stade une nouvelle fois à guichets fermés (mais sans la tribune Mordelles bas), la question de l’agrandissement de l’enceinte rennaise a vite été mise sur la table : "Si le club continue de se développer, il faudra se poser la question", concède Olivier Cloarec. Un questionnement qui vient mettre en reflet les excellents chiffres de la saison dernière et ceux de la préparation. 1,6 millions personnes en France se revendiquent supporters du SRFC cette année, soit 200 000 de plus que la saison dernière.

Un taux de remplissage de 95% avec plus de 27 600 spectateurs de moyenne et 18 matchs sur 19 à guichets fermés, le Roazhon Park a fait le plein et surf sur la bonne dynamique sportive. Rajoutez à cela le match face à West Ham fin juillet dans un stade bien garni et plus de 550 000 vues lors des diffusions des matchs de préparation sur YouTube, la question devrait continuer à se poser.

Un engouement grandissant et une attente notamment au niveau des entraînements : "Le club souhaite rester proche de ses supporters et l’entraînement sera ouvert une fois par mois au public. Un compromis pour satisfaire le plus grand nombre, entre les résultats et l’ouverture", affirme le président du club. De plus, la journée des abonnés refera son apparition au mois de septembre. Côté sportif, l’objectif est clair, "terminer dans les quatre premiers". Avec un budget de 110M d’euros, le Stade Rennais continue de grandir et ne peut plus se cacher.

Nouveauté pour cette saison côté "Rouge et Noir", une équipe sénior féminine : "Nous souhaitons développer le football féminin. Romain Danzé sera en charge de la section féminine. Il y a 90 licenciées et l’équipe première commencera en district. Les entraînements se dérouleront au Moulin du Compte. Pour l’instant, il n’y a pas d’objectifs sportifs", explique Olivier Cloarec. Enfin, côté mercato, le président du SRFC est revenu sur les dossiers en cours.

Si Nemanja Matic fait bien parti des joueurs pistés, "il n’y a pas d’accord, ni avec le joueur, ni avec le club". Pour Jérémy Doku : "Il y a des intérêts mais pas d’offres". Lovro Majer est également convoité. Pour le milieu de terrain portugais Xeka, un entretien est prévu avec Bruno Genesio. Concernant Matthis Abline, la tendance est à un prêt en France ou à l’étranger. Un intérêt devrait se concrétiser dans la semaine pour le jeune Noah Françoise, revenu de son prêt à Avranches. Enfin, des pistes existent pour Alfred Gomis mais pas aussi avancées. "Le mois d’août est toujours actif et il va encore se passer des choses jusqu’au 1er septembre", conclue Olivier Cloarec.

Olivier Cloarec fait le point sur l’engouement autour du SRFC

Lors du point presse organisé face aux médias ce mardi 8 août, le président du Stade Rennais, Olivier Cloarec, est revenu sur le nombre d’abonnements et la popularité grandissante du club au-delà de l’Ille-et-Vilaine.

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S’il est un bon moyen d’évaluer l’état de santé d’un club, le nombre d’abonnés avant d’entamer une nouvelle saison est souvent un marqueur fort. Et une fois encore, le Stade Rennais ne déroge pas à la règle.

Avant la réception du FC Metz ce dimanche 13 août (17 h 05) au Roazhon Park pour le premier match de la saison des Rouge et Noir en Ligue 1, le président exécutif du club, Olivier Cloarec, a fait le point sur les deniers chiffres relatifs aux abonnements, à l’occasion d’un point presse organisé au Roazhon Park ce mardi 8 août.

Avec un taux de renouvellement de 97 %, le Stade Rennais confirme son statut de club particulièrement populaire. "On avait décidé de limiter le nombre d’abonnés à un peu plus de 16 000, ce qui fait un peu plus de la moitié du stade, présente Olivier Cloarec. Pas loin de 60 % du Roazhon Park sera rempli par les abonnés cette saison."

Un intérêt croissant pour le stade Stade Rennais partout en France
Illustration de la ferveur autour du club breton, les supporters sont aussi de plus en plus nombreux, et ce au-delà même de l’Ille-et-Vilaine. "Il y a un intérêt croissant pour le Stade Rennais partout, et pas qu’en Bretagne, poursuit Olivier Cloarec. D’après une étude Ipsos, 1,6 million de personnes en France se revendiquent supporters du Stade Rennais aujourd’hui. On a gagné 200 000 personnes par rapport au dernier bilan. 37 % de ces supporters sont basés en Bretagne et 63 % dans le reste de la France. Le Stade Rennais attire de plus en plus de monde, de plus en plus loin. On a des abonnés d’Alençon, Quimper, Concarneau, Laval, Le Mans… […] C’est confirmé par l’affluence contre West Ham où l’on a accueilli 26 500 personnes pour un match amical, je ne suis pas sûr que cela se soit déjà produit au Roazhon Park."

Si le club continue à se développer, il faudra se poser la question de l'agrandissement du Roazhon Park

Ce mardi matin Olivier Cloarec, le président rennais, a évoqué l'éventuel agrandissement du Roazhon Park, constamment à guichets fermés ou presque la saison passée.
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En dehors de la réception de Nice, début janvier, Rennes avait tout le temps évolué à guichets fermés la saison passée en Championnat dans son stade de près de 30 000 places, et l'engouement populaire s'est aussi illustré dans la vente de plus de 20 000 maillots.

Comme l'an passé, le club a limité à 16 000 son nombre d'abonnés (60 % de la capacité du stade), dont 3 000 VIP, avec 97 % de réabonnement.

La dernière rénovation de l'enceinte date de 2004 et avait porté le nombre de spectateurs à sa jauge actuelle.

Je sais que je vais faire beaucoup mieux

Après la défaite du Stade rennais contre Wolverhampton, Arnaud Kalimuendo s’est arrêté devant la presse pour revenir sur la rencontre et sur la préparation rennaise

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"On en ressort avec beaucoup d’enseignements, ça nous permet de nous confronter avec l’intensité de la Premier League, ça nous fait du bien. Au début, ça a été plutôt compliqué, puis on a su rééquilibrer la balance. Je pense que ça va nous faire du bien pour débuter le championnat.

Dans le travail, on a été tous très sérieux. On a fait ce qu’on devait faire, on a mis de l’intensité à l’entraînement. On a subi aujourd’hui, mais on a aussi su répondre d’une bonne manière en première période. On va essayer de tirer le positif et de bien préparer la semaine prochaine.

Le coach répète souvent qu’il sent que je vais faire une bonne saison.
Quand je suis revenu, j’ai senti une équipe très appliquée, très concernée, très connectée. Dans l’ambiance, aussi. C’est ce qu’on doit tirer de ce stage, on a fait beaucoup de choses bien. Maintenant, il faut tourner la page, c’est le début de championnat et on a des ambitions très fortes cette année, on a envie de bien commencer.

Personnellement, je me sens bien mentalement et physiquement. Je reste confiant, je suis un compétiteur, je sais que je peux faire beaucoup mieux et que je vais faire beaucoup mieux. C’est l’intérêt du collectif qui passera avant, je veux aider l’équipe à accomplir ses objectifs. Le coach répète souvent qu’il sent que je vais faire une bonne saison, beaucoup de personnes dans mon entourage le disent aussi. Je le sens aussi, même si je ne m’enflamme pas beaucoup. Je travaille et je donne le meilleur de moi-même."

Je ne me vois pas jouer jusqu'à 45 ans

Le gardien rennais Steve Mandanda, qui plonge dans sa vingtième saison en pro, prend toujours autant de plaisir. Mais il n'ira pas quand même jusqu'à suivre Gianluigi Buffon.
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À 38 ans, Steve Mandanda va étirer son immense carrière pour une deuxième saison à Rennes, après un exercice 2022-2023 qui lui aura permis d'imposer sa personnalité dans le but et le vestiaire breton, mais aussi de finir son histoire en équipe de France.

En stage cette semaine en Angleterre, dans le Clairefontaine anglais à Saint-George's Park, il s'est animé une bonne demi-heure autour de sujets variés : sa dernière année de contrat, les ambitions rennaises, la relève en bleu ou l'évolution du poste.

Que représente pour vous Gianluigi Buffon, qui raccroche à 45 ans ?
L'un des meilleurs gardiens qui aient pu exister. Il fait partie des tops par ses performances, ses titres et sa longévité. J'ai eu la chance de le croiser contre le PSG, la Juve ou l'Italie, et c'est un grand monsieur, tant sportivement qu'humainement.

Savez-vous combien de saisons vous avez disputées ?
Oui, j'attaque la vingtième depuis que je suis pro.

Steve Mandanda en bref
38 ans
1,87 m, 88 kg.
Rennes.
35 sélections.

2022 : le 6 juillet, après une saison où il aura alterné dans le but marseillais avec Pau Lopez, il s'engage pour deux ans à Rennes après avoir été libéré par l'OM.

Quand on vous voit vous rouler par terre après un dégagement un poil long contre West Ham en match amical (3-1, le 29 juillet), on ne sent pas de lassitude, en tout cas...
(Sourire.) C'est ce qui est beau, dès lors que j'arrive encore à prendre du plaisir, que je vis les matches avec passion et surtout que je suis encore performant, je ne me pose pas de questions, je joue et voilà. Le jour où je vois vraiment que je suis dépassé, que j'ai du mal ou que, physiquement, ça ne tient plus, je sais qu'il sera temps d'arrêter. Bon, honnêtement, je ne me vois pas jouer jusqu'à 45 ans (sourire). Mais aujourd'hui, je ne pense pas à ça, je veux accomplir une belle saison, qu'on réussisse une belle saison.

En sachant que contractuellement, il vous reste un an avant une possible reconversion à Marseille.
Oui, pareil, c'est pour moi encore trop loin, car je ne suis pas du tout du genre à me projeter.

Donc, ce n'est pas forcément la dernière.
Aujourd'hui, je ne saurais pas répondre.

Quand on a autant de bouteille, on s'améliore encore ?
On apprend toujours. Il y a des situations différentes, le foot et le poste évoluent, il faut s'adapter à différentes demandes selon les coaches. Aujourd'hui, même avec l'expérience que j'ai, on découvre encore. Des jeunes (gardiens) arrivent, on voit certains trucs chez eux qui suscitent la curiosité.

Comme quoi ?
Aujourd'hui, même si ça fait un moment, on demande aux gardiens de jouer plus haut, au pied, et il y a différentes techniques qui ont émergé, comme la croix (manière de sortir devant l'attaquant en prenant le plus de place), des gestes que, plus jeune, nous, on n'avait pas, et donc on essaie. Les Allemands le font très bien, les Espagnols aussi, quand c'est bien fait c'est top, quand on ne maîtrise pas, ça peut être particulier.

"Genesio ? Il a toujours qualifié ses équipes pour l'Europe, ce n'est pas un hasard"

La quatrième place arrachée en fin de saison vous a conforté dans le choix de Rennes ?
J'ai senti ici une réelle volonté de m'avoir et j'ai été accueilli chaleureusement. La fin à Marseille n'a pas été celle que j'aurais espérée, et Rennes, ça s'est fait naturellement. Ce fut une saison vraiment satisfaisante. Certes, il y a eu des trous, mais on a su à la fin être présents pour finir 4es, ce qui n'est pas rien dans un Championnat relevé avec des concurrents aux budgets supérieurs au nôtre.

Quelles sont vos sensations sur votre équipe ?
On est sur une bonne dynamique, on arrive à retranscrire ce qui est demandé en match de préparation, dans l'intensité, sur le jeu en mouvement, sans ballon, défensivement, les courses, les efforts. Et gagner, c'est important, même si ce sont des amicaux, on augmente le capital confiance. Mais le plus important, c'est de bien débuter, cette fois (2 défaites et un nul lors des 4 premiers matches), gagner ce premier match contre Metz (le 13 août), enchaîner, être plus réguliers que la saison dernière. Si on engrange plus à l'extérieur (12e la saison passée), on ne sera pas loin.

Allez-vous jouer le podium ?
C'est ce que Flo (Florian Maurice, directeur technique) a dit, et c'est sûr qu'on a l'ambition de faire mieux que la saison dernière. En sachant qu'en faisant aussi bien, on ferait mieux, puisque la 4e place est qualificative pour le 3e tour préliminaire de la Ligue des champions.

L'une des différences avec l'an passé, dans une équipe peu chamboulée, c'est que l'axe défensif, notamment, se connaît.
On a cet avantage, oui. Il y a un an, il nous manquait Warmed (Omari, blessé), Arthur (Theate) était arrivé une semaine avant le début du Championnat, avant Joe (Rodon). Là on est déjà en place, on sait ce que le coach demande. On part avec un peu plus d'avance que la saison dernière, ce qui se reflète aussi dans la préparation, avec des automatismes présents.

Après un an de pratique, comment percevez-vous la méthode Genesio, par rapport à ce que vous avez connu avant ?
C'est un coach très compétent, qui a une philosophie de jeu qui me plaît beaucoup. Il a toujours qualifié ses équipes pour l'Europe, ce n'est pas un hasard. Et puis il est très proche des joueurs, beaucoup dans l'échange. On a un rapport de confiance, sa présence avait compté énormément dans ma venue, car j'ai senti quelqu'un d'humainement vrai, simple et bon. Et au-delà de l'humain, il y a le pro, un très grand coach qui maîtrise très bien le foot et le Championnat.

Après l'ère Lloris-Mandanda, comment percevez-vous la relève chez les Bleus, incarnée par Mike Maignan et Brice Samba, en particulier ?
Mike fait partie des meilleurs pour tout ce qu'il dégage et ce qu'il a fait, que ce soit avec Lille, le Milan, les Bleus. Il est complet, fort sur sa ligne, capable d'aller dans les airs, est très bon au pied, gauche et droit, il a énormément de caractère et beaucoup de personnalité. C'est aussi quelqu'un que j'aime énormément, donc je suis vraiment content de tout ce qui lui arrive, je lui souhaite la plus belle carrière possible en bleu, au même titre que Brice, que j'ai connu à Marseille (de 2013 à 2015), qui a bien évolué et fait partie des meilleurs gardiens français."

Un an après avoir été libéré de son contrat à Marseille, Steve Mandanda a suivi de loin la fin de l'histoire entre l'OM et Dimitri Payet, qui n'est pas sans rappeler la sienne. Les deux hommes avaient prolongé leur contrat en 2020, sous la présidence de Jacques-Henri Eyraud, avec une reconversion à la clé. Ils seront finalement tous les deux partis avant la fin de leur bail. "C'est sûr que c'est toujours dommage et difficile quand ça se termine de cette façon, parce que Dim' méritait une fin différente avec l'OM. C'est le foot, des décisions sont prises par les coaches, les dirigeants, on doit faire avec. Je lui souhaite de retrouver un projet où il pourra s'éclater."

S.G.S.B.

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