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Ce qui a changé avec Habib Beye aux manettes

Deux matches, deux victoires, 0 but encaissé : début de mandat parfait pour le nouveau coach du Stade Rennais Habib Beye qui, au-delà des résultats, a déjà impulsé quelque chose de nouveau dans l’approche psychologique et la manière de jouer du SRFC. Les profils recrutés au mercato d’hiver l’ont aussi aidé, et l’ensemble devrait encore progresser.

Ce qui a changé avec Habib Beye aux manettes

Bien sûr, il faudra plus que deux victoires contre Strasbourg (1-0) et Saint-Étienne (2-0) pour être convaincu d’une renaissance qui sera sérieusement mise à l’épreuve, dimanche 16 février (20 h 45) contre Lille au Roazhon Park.

Tout est encore très perfectible, mais c’est un fait, il y a déjà quelque chose de changé au royaume des Rouge et Noir. Effet Beye + effet mercato d’hiver = retour de l’espoir ? À l’instant T, c’est déjà beaucoup, vu où Rennes était tombé. « Il ne faut surtout pas s’euphoriser, a tempéré le coach après le succès dans le Chaudron. Il y en a encore 13 à aller chercher, match par match, et c’est que j’ai dit aux garçons : il faut avoir l’ambition d’aller chercher 13 victoires ! Si on l’a, je pense qu’on aura des résultats… »

Plus d’intensité
Avec « identité », c’est le mot le plus couru dans le langage d’Habib Beye. Cela s’est retranscrit concrètement, à l’entraînement déjà, puis en match : ce Stade Rennais joue à un rythme inédit, ce qui tend à montrer aussi que le travail athlétique effectué auparavant n’était pas si nul.

Tout est toujours d’abord question d’intentions, de libération des esprits. « Je n’accepterai pas des joueurs qu’ils n’aient pas d’intention, je leur avais dit à la causerie, a souligné Beye après Saint-Étienne. S’ils les ont, j’accepterai tout ! Ils ont compris ce message, je pense. »

Le coach parle de « volonté de dominer l’adversaire dans le rythme et l’espace de jeu, c’est-à-dire lui poser des problèmes avant même d’avoir le ballon . Après, cela dépend de l’adhésion des joueurs, la retranscription leur appartient. S’il y a métamorphose, c’est celle de l’état d’esprit et de la personnalité qu’il doit y avoir dans un match. »

Cela ne veut pas dire tout le temps à fond non plus. « C’est impossible de presser pendant 95 minutes… Il faut être capable d’assumer des temps faibles, avec des temps de possession, pour se régénérer. » Il a trouvé son équipe meilleure dans la gestion en deuxième période…

Le coach exige en tout cas un jeu énergivore, dont il va pouvoir davantage se permettre que ses prédécesseurs, compte tenu du « gap » qualitatif lié au mercato d’hiver, au sein d’un effectif à 23 joueurs de champ.

Il y a du monde au portillon, plus de profils athlétiques qui collent à l’idée d’intensité. Et au-delà des choix du onze (qui pourraient bien varier d’un match à l’autre vu le mode de management), le coaching sera essentiel pour tenir le plan de jeu.

Plus de verticalité
Admirateur du foot anglais (il a joué notamment à Newcastle ou Aston Villa), Beye demande l’utilisation maximale de la largeur du terrain, avec des pistons positionnés hauts et des renversements de jeu fréquents. Les joueurs l’ont écouté à Saint-Étienne, en réduisant les intervalles défensifs dans l’axe, puis en utilisant bien l’espace et la vitesse d’Al-Tamari pour ouvrir les Verts.

Mais chaque match a sa vérité. Lille sera forcément beaucoup plus costaud et moins naïf que ce Saint-Étienne aux moyens footballistiques pas en adéquation avec ses ambitions de jeu haut. Il sera intéressant, dimanche, de voir comment l’objectif de verticalité s’accordera à la force d’une équipe top 5 français.

Plus de prises d’initiatives
On en revient à la psychologie, au discours que vous servez aux joueurs avant même d’arriver sur le terrain. « Un immense entraîneur que j’avais pu rencontrer m’avait dit qu’il faut infuser les joueurs chaque jour, a souri Beye, en songeant à un certain Jürgen Klopp. Je passe mon temps avec mon staff à leur parler tout au long de la semaine, à leur faire un petit retour sur l’entraînement : parfois c’est un petit mot, ou un geste, juste une accolade, tout pour essayer de développer cette notion de confiance. Lorsque vous la donnez, les joueurs vous la rendent à un moment donné, surtout quand ils sont de qualité. »

Libérer les joueurs, cela passe aussi par les consignes de jeu. Et cela commence par la base arrière, chargée de « chasser » au maximum, comme sur l’ouverture du score à Saint-Étienne, avec la récupération haute de Jacquet puis le décalage de Wooh.

Les prises d’initiative doivent évidemment suivre au milieu (Cissé a épaté dans ce domaine) et devant, ce que le positionnement axial très libre de Blas a pu favoriser aussi sur plusieurs séquences.

La décision de DAZN qui va faire hurler le football français

DAZN est le diffuseur majoritaire de la Ligue 1 depuis le début de la saison. Le groupe anglais n'est en revanche pas du tout satisfait concernant son nombre d'abonnés et une décision radicale pourrait rapidement être prise.

La décision de DAZN qui va faire hurler le football français

DAZN ne s'est pas fait que des amis depuis le début de saison. Le média, qui venait de rafler les droits pour la Ligue 1, proposait en effet des prix très élevés et ce, pour un service minimal, persuadé que les fans de foot français joueraient le jeu et s'abonneraient. Mais voilà, DAZN a fait fausse route et le groupe anglais peine à convaincre. Si des offres plus abordables sont désormais proposées, le compte n'y est pas. Selon certains échos, dont RMC, DAZN a récemment franchi la barre des 500 000 abonnés. Mais c'est encore bien loin des 1,5 million d'abonnés espérés.

DAZN prêt à prendre une décision radicale contre le foot français

Alors que la seconde moitié de la saison a débuté et que le piratage sévit toujours, empêchant DAZN d'augmenter ses recettes, le média serait apparemment disposé à prendre une décision XXL. Dans l'After d'RMC ce lundi soir, Gilbert Brisbois a en effet indiqué que des sources lui ont expliqué que DAZN est prêt à ne pas payer (totalement ou partiellement) la prochaine échéance des droits TV fixée au 15 février. DAZN reproche notamment la stratégie de la Ligue de Football Professionnel, qui n'aiderait pas suffisamment pour stopper le piratage. Aussi, les clubs ne collaboreraient pas assez au quotidien pour suivre le mouvement. Si DAZN ne payait pas, le football français se retrouverait donc dans une nouvelle impasse. Catastrophique pour son image et ses finances. Une réunion devrait avoir prochainement lieu pour trouver une solution selon Daniel Riolo avec tous les partenaires concernés.

Pleine Lucarne du 10/02/2025

Pleine Lucarne du 10/02/2025

Le Rennes version Beye, c’est la folie même pour l’entraînement

Le Stade Rennais va bien mieux depuis l'arrivée sur son banc d'Habib Beye. Les Bretons viennent d'enchainer deux victoires de suite en Ligue 1 qui font du bien pour le moral de tout le monde au club.

Le Rennes version Beye, c’est la folie même pour l’entraînement

A Rennes, tout va un peu mieux depuis l'arrivée d'Habib Beye. Ce dernier a su donner un coup de fouet aux Bretons, qui sortent de deux succès de rang. Le dernier en date à Saint-Etienne est prometteur. Le chemin s'annonce encore long avant de pouvoir véritablement souffler mais les fans et observateurs du Stade Rennais se veulent confiants. Malgré son peu d'expérience au plus haut niveau, Habib Beye suscite l'intérêt. A tel point que le club rennais a décidé ce mercredi d'ouvrir au public la séance d'entraînement prévue à la Piverdière. Et les Bretons sont victimes de leur succès.

Habib Beye fait fort pour ses débuts avec le Stade Rennais

Ces dernières heures, le Stade Rennais a en effet indiqué sur son compte X que toutes les places avaient trouvé preneur pour la séance des Rouge et Noir. Une belle ambiance sera donc de mise dès 10h30 mercredi. De quoi préparer avec confiance également la réception du LOSC dimanche prochain en Ligue 1. Ce sera le premier grand choc pour Habib Beye. Les Dogues restent de leur côté sur un revers surprenant à domicile face au Havre. Un troisième succès de rang pour le Stade Rennais pourrait changer pas mal de choses pour la suite de la saison en championnat. Pour rappel, le club breton est 12e avec 23 points au compteur. Le dernier marché des transferts hivernal semble avoir fait du bien avec de nouvelles recrues de qualité déterminées à remettre les pensionnaires du Roazhon Park sur le devant de la scène.

L'Equipe du Soir applaudit l'anti-Sampaoli

 

Habib Beye a métamorphosé Rennes en seulement quelques jours. Avec deux victoires en deux matchs, le successeur de Jorge Sampaoli a déjà fait oublier l’Argentin, dont le passage en Bretagne aura été médiocre.

L'Equipe du Soir applaudit l'anti-Sampaoli

Viré trois mois après sa nomination sur le banc du Stade Rennais, Jorge Sampaoli n’aura pas marqué les esprits en Bretagne. L’entraîneur argentin a été débarqué en plein mois de janvier et c’est Habib Beye qui a été nommé à sa place. L’ancien entraîneur du Red Star a parfaitement débuté en Ligue 1 avec deux victoires de rang face à Strasbourg et ce week-end sur la pelouse de l’AS Saint-Etienne. L’ex-consultant de Canal+ fait déjà l’unanimité en Bretagne et au-delà grâce à son management positif qui tranche avec celui, très froid, de Jorge Sampaoli. Sur le plateau de la Chaîne L’Equipe, le consultant Régis Brouard a salué les débuts idéaux d’Habib Beye sur un banc de Ligue 1.

Habib Beye fait déjà l'unanimité

« Il a une qualité importante dans le foot d’aujourd’hui, c’est qu’il sait très bien s’entourer. Il se trompe rarement dans les gens qu’il prend avec lui, son staff a une grande importance, il y a beaucoup de compétences avec lui et c’est une qualité. Et puis à Rennes, il dégage une forme d’énergie. Il a un langage qui va bien passer avec la nouvelle génération. Il les comprend très bien, il utilise les bons mots pour les intégrer. Je ne suis pas surpris par les deux victoires. Peut-être que dans quinze jours, ce sera différent. Mais il est fait pour ça, il est habité par ça et je suis très heureux pour lui qu’il ait trouvé un club de Ligue 1 car c’était son ambition et son envie » s’est réjouit celui qui a notamment entraîné Rouen ou encore Bastia et Niort.

Dans les semaines à venir, le calendrier va se corser pour Rennes, qui va notamment affronter Lille, le PSG ou encore Lens d’ici un mois. Un bon moyen de se mesurer à plus fort pour Habib Beye, dont les débuts à Rennes provoquent en tout cas un vent d’optimisme. Ce qui tranche avec la courte période de Jorge Sampaoli au Roazhon Park puisque l’Argentin n’a jamais réussi à amener ne serait-ce qu’un vent d’optimisme en Bretagne.

Habib Beye, troisième entraîneur rennais à gagner deux fois pour ses débuts

Le Franco-sénégalais Habib Beye est devenu le troisième coach de Rennes à avoir remporté ses deux premiers matches dans l'histoire. Après Kalman Szekany, en 1932, et Julien Stéphan, en 2018.
Habib Beye, troisième entraîneur rennais à gagner deux fois pour ses débuts

Cela ne peut pas (encore ?) être considéré comme une série mais au vu de l'état de santé de l'équipe rennaise cette saison, la performance est à souligner. Samedi, le Stade Rennais a remporté à Saint-Etienne (2-0) son premier match à l'extérieur en Ligue 1 depuis le mois de mai 2024, à Metz (3-2), et un deuxième succès d'affilée pour la première fois depuis un an. Le tout sous la houlette de Habib Beye, devenu le troisième entraîneur de l'histoire du Stade Rennais à gagner ses deux premiers matches de Championnat après Kalman Szekany, en 1932, et Julien Stéphan, en 2018.

À Rennes, une petite révolution Beye
Interrogé samedi soir sur les facteurs pouvant expliquer ce mieux-être collectif, en totale opposition à l'ère Sampaoli (qui n'avait gagné que deux fois en huit matches), le néo-coach breton a souligné deux points majeurs. L'un mental : « S'il y a une métamorphose, c'est aussi de l'état d'esprit et de la personnalité qu'ils doivent avoir dans un match, a-t-il résumé après avoir expliqué en quelques mots son approche. « Vous savez, j'ai rencontré un jour un immense entraîneur (Jürgen Klopp) qui m'a dit : ''Il faut infuser les joueurs''. Les infuser, ce n'est pas une fois. C'est toute la semaine. On a passé notre temps, avec le staff, à parler avec eux, on a essayé de leur donner de la confiance, de leur faire un retour sur l'entraînement. Des fois, c'est un mot, un geste ou juste une accolade. Qu'ils comprennent que notre aventure, on va la vivre ensemble et la confiance que vous leur donnez, ils vous la rendent à un moment donné. »

Il faut rendre hommage aux joueurs sur les deux matches

En parallèle de cet accompagnement psychologique nécessaire avec un groupe longtemps miné par les résultats, il existe, naturellement, des éléments tactiques. « Dès le premier jour, on est arrivés avec des idées très claires sur la manière de faire jouer l'équipe, a souligné Beye à Geoffroy-Guichard. C'est vouloir dominer l'adversaire dans le rythme de jeu, dans l'espace de jeu, c'est-à-dire qu'avant même d'avoir le ballon, il faut qu'on pose problème à l'adversaire. Et puis après, la vision que vous avez à mettre de l'intensité, parce que vous pouvez avoir des idées claires, il faut rendre hommage aux joueurs sur les deux matches. L'équipe monte en puissance. »

Kalimuendo raconte son but contre l’ASSE et il juge l’arrivée d’Habib Beye

Le Stade Rennais a remporté sa première victoire en déplacement de la saison en battant l’ASSE 2-0 lors de la 21ème journée de Ligue 1. Cette victoire a été marquée par un fort esprit d’équipe et une solide performance collective.

Kalimuendo raconte son but contre l’ASSE et il juge l’arrivée d’Habib Beye

Arnaud Kalimuendo a exprimé sa satisfaction quant au déroulement du match, soulignant l’importance du premier but pour bien démarrer le match. Il a également mentionné l’intensité du jeu face à une équipe comme l’ASSE et l’importance de savoir gérer le score.

Kalimuendo a insisté sur la nécessité d’améliorer certains points, mais il a aussi pointé que l’unité de l’équipe était un atout majeur. Il a évoqué l’importance de conserver cet esprit d’équipe à l’entraînement et pendant les matchs.

Selon lui, les nouveaux joueurs doivent s’adapter rapidement et développer des automatismes. Kalimuendo s’efforce d’aider l’équipe en marquant et se remet en question lorsque ce n’est pas le cas. Il voit cette saison comme une opportunité de montrer un nouveau visage.

Le joueur a également commenté la performance de Mousa Al-Tamari, une nouvelle recrue. Il a décrit Al-Tamari comme un joueur talentueux qu’il suivait déjà à Montpellier, et qui possède des qualités de vitesse impressionnantes, essentielles pour renforcer l’équipe.

À Rennes, la révolution Beye a commencé

Vainqueur à Saint-Étienne (0-2) de son premier match à l'extérieur en Ligue 1 depuis mai 2024 et surtout du deuxième d'affilée avec son nouvel entraîneur Habib Beye, le Stade Rennais semble s'être métamorphosé samedi.
À Rennes, la révolution Beye a commencé

Il y a des impressions qui ne trompent pas, et la manière dont les Rennais ont maîtrisé dans les grandes largeurs, samedi, des Stéphanois bien timides semble pouvoir donner une autre teinte à cette saison jusque-là catastrophique.

Giflé au match aller après avoir été rapidement réduit à dix (0-5, le 30 novembre), Saint-Étienne était l'une des deux seules victimes de l'ère Sampaoli (avec Angers). Ce succès n'avait été qu'un mirage.

Avec ce qu'a montré cette équipe cette saison, il faut évidemment rester précautionneux, mais quand même : depuis la prise en main par Habib Beye il y a une dizaine de jours, Rennes respire, montre un visage bien plus conquérant et surtout a enchaîné deux victoires d'affilée en Championnat, ce qui ne lui était pas arrivé depuis un an.

À lui tout seul, le nouvel entraîneur (et son staff) ne peut bien entendu pas faire de miracle. Mais dès ses premières prises de parole publiques, il a tout de suite cherché à insuffler un élan de positivité. Le Stade Rennais était barragiste à son arrivée ? Oui, mais ce n'est pas ce qu'il a retenu.

Le technicien franco-sénégalais a cherché à redonner confiance à un groupe miné par les résultats et leur a donné une idée de jeu tournée vers l'offensive, et il a insisté samedi : « Je ne pense pas qu'il y ait un effet du nouvel entraîneur. »

Il y a en tout cas eu une métamorphose. Dans le Forez, ses joueurs ont été entreprenants d'entrée, tranchants dans la transition, ils menaient d'un but à la mi-temps mais auraient tout aussi bien pu tripler leur marge après avoir accumulé des occasions franches par Arnaud Kalimuendo (3e), Jordan James (26e), Mousa al-Tamari (32e) ou Ludovic Blas (41e).

Une jeunesse entreprenante
Mais ils ont eu l'ingénieuse idée de ne pas s'en mordre les doigts, finissant une deuxième fois de rang un match sans prendre de but, une semaine après le succès contre Strasbourg (1-0). « Lorsque vous avez des performances positives, c'est parce que les joueurs adhèrent à ce que vous leur demandez, a résumé Beye. Ce que j'ai bien aimé, c'est qu'on a réussi à s'adapter aux différents systèmes, parce qu'on a changé au moins trois fois et ça n'a pas posé de problème. »

Le mercato ultra-mouvementé a concentré toutes les attentions sur les (nombreuses) nouvelles signatures hivernales. On en oublierait presque que le Stade Rennais a aussi un centre de formation performant. À Geoffroy-Guichard, cinq joueurs issus de l'académie étaient titulaires. Au-delà des expérimentés Adrien Truffert, Lorenz Assignon et Lilian Brassier, les jeunes Jérémy Jacquet (19 ans), tout juste revenu de Clermont, et Djaoui Cissé (21 ans) ont été les meilleurs joueurs du match.

« La réussite passera forcément par nos jeunes, a appuyé Beye. Quand vous arrivez dans un club, il faut en comprendre l'identité. Celle de Rennes est bien connue de tout le monde et mon rôle est de la faire perdurer. Il faut trouver un équilibre entre cette identité et ces nouveaux joueurs auxquels il faut faire comprendre où ils sont arrivés. »

Samedi, il n'y avait que trois recrues hivernales dans le onze. Le reste suivra. Tout ce petit monde va tenter de faire remonter la pente à un club en mauvaise position, heureux de fêter les buts de Kalimuendo et de Mahamadou Nagida.

Habib Beye va créer un conseil des sages dans le vestiaire

Le nouveau coach du Stade Rennais Habib Beye ne va pas changer de capitaine, maintenant dans ce rôle Adrien Truffert, un joueur formé au club. En revanche, il va réinstaller un groupe de joueurs représentant le vestiaire auprès du staff. Pour l’instant, Beye en est encore au stade des consultations pour déterminer les noms. Le SRFC se déplace à Saint-Etienne, samedi 8 février en Ligue 1 (21 h 05).

Habib Beye va créer un conseil des sages dans le vestiaire

Il n’y aura pas de nouvelle révolution dans la révolution, sur le port du brassard de capitaine au Stade Rennais. Le nouveau coach Habib Beye le maintient sur le bras d’Adrien Truffert, comme il l’avait fait contre Strasbourg lors de sa première sur le banc.

Truffert, formé au club, avait récupéré ce rôle sous Jorge Sampaoli, quand Brice Samba avait pris la place de Steve Mandanda (capitaine sous Julien Stéphan) dans les cages. "Aujourd’hui, pour moi, Adrien incarne l’identité rennaise, comme d’autres joueurs, mais je trouve que c’est quelqu’un qui a des valeurs qui ressemblent au club", a justifié cette semaine Habib Beye à ce sujet.

Avec Truffert, Assignon, Fofana, Samba, Blas… ?
Le coach va en revanche innover par rapport à Sampaoli, en créant un "conseil des sages", petit groupe de joueurs chargés de faire le relais entre le staff et le vestiaire. "On a besoin de se voir, car j’ai aussi besoin de distinguer un noyau de joueurs pour former ce que j’appelle un "conseil des sages", qui est un peu le représentant du vestiaire, dit Beye. Je suis en train de voir un peu tout le monde. Tout s’est fait de façon très condensée jusqu’ici. On a aussi besoin de temps pour prendre le sentiment de chaque joueur, mais c’est en cours."

Beye serait loin d’être le premier coach à instituer ce genre de pratique extrêmement courante dans le foot pro. À Rennes, "le conseil des sages" avec Bourigeaud, Terrier ou Hamari Traoré était précieux du temps de Bruno Genesio.

Brice Samba déjà pointé du doigt au Stade Rennais

Selon L’Equipe, Brice Samba n’aurait pas fait preuve du plus grand des professionnalismes au moment de son départ du RC Lens vers le Stade Rennais.

Brice Samba déjà pointé du doigt au Stade Rennais

Dans son édition du jour, L’Equipe est revenu sur le surprenant Mercato d’hiver du Stade Rennais. Mercato dont la gestion a précipité la chute de Jorge Sampaoli, sur fond de désaccord entre l’Argentin et son directeur sportif Frédéric Massara. Loin de son meilleur niveau depuis qu’il a quitté le RC Lens pour la Bretagne, on apprend à cette occasion que Brice Samba a fait quelques écarts.

Samba serait arrivé en surpoids à Rennes
En effet, d’après le quotidien sportif, le deuxième gardien des Bleus serait arrivé à Rennes avec « six à sept kilos de trop » en plus d’un nouvel entraîneur des gardiens -celui de Lens Hervé Sekli – provoquant la cohabitation complexe avec le tandem Mandanda – Sorin.

Longtemps irréprochable dans l’Artois et auteur d’un gros début de saison, Brice Samba s’était visiblement laissé aller durant les fêtes… Et à son retour de congés en apprenant que le Racing voulait bloquer son transfert.

Les dessous du départ prématuré de Jorge Sampaoli

Arrivé à la surprise générale avant de partir en coup de vent, Jorge Sampaoli ne laissera pas une trace indélébile au SRFC. Et voici pourquoi.
Les dessous du départ prématuré de Jorge Sampaoli

On peut dire que Jorge Sampaoli a su maintenir une certaine forme de régularité dans l’échec ces derniers mois. En effet, l’Argentin de 64 ans vient de boucler trois passages successifs dans des clubs (Flamengo, Séville FC et Rennes) où il n’est même pas resté cinq mois. En Bretagne, il a toujours dégagé l’impression de subir les événements, incapable d’insuffler le vent de révolte à une équipe scotchée dans les bas-fonds du classement de Ligue 1.

Ce matin, L’Équipe nous en apprend un peu plus sur le passage éclair de l’Argentin au Roazhon Park. Si l’arrivée d’El Pelado à Rennes en a surpris plus d’un, ce n’est pas pour rien. Sampaoli, c’était un choix du président Arnaud Pouille et non du directeur sportif Frederic Massara. Ce qui n’a pas manqué de surprendre au club. Comme à chaque fois qu’il débarque dans un nouveau club, Sampaoli a une nouvelle fois réclamé un tas de recrues pour mener sa mission. Le quotidien assure toutefois que l’Argentin a apprécié le profil de certains éléments tels qu’Adrien Truffert, Lorenz Assignon, Arnaud Kalimuendo et Alidu Seidu. Mais il voulait se renforcer et vite.

Sampaoli ne voulait pas de Samba, ni de Brassier
El Pelado souhaitait deux défenseurs centraux, un milieu défensif, un milieu box to box et un attaquant. De son côté, Massara a fait traîner certains dossiers pendant que Rennes collait Brice Samba dans les pattes de Sampaoli, un joueur que l’Argentin n’avait pas demandé. Malgré les apparences et sa brouille avec Steve Mandanda à l’OM, Sampaoli souhaitait terminer la saison avec Mandanda en numéro 1. L’ancien capitaine marseillais a d’ailleurs fini par s’apercevoir que l’arrivée de Samba était un choix de ses dirigeants et non de con coach. Et ce n’est pas tout.

Au lendemain de la défaite à Monaco (2-3) le 25 janvier dernier, Jorge Sampaoli retourne discuter avec Massara pour savoir où sont les deux défenseurs centraux qu’il réclame depuis des semaines. L’Argentin propose des pistes à l’Italien, mais voit Rennes activer la piste Lilian Brassier. Un choix que l’entraîneur sud-américain n’a pas compris. Au final, ce manque d’envie et ces nombreuses dissensions sur le mercato ont fini par pousser Sampaoli à écourter son séjour à Rennes.

On s’entend plutôt bien

Arrivé cet hiver en provenance du RC Lens, Brice Samba a pris la place de Steve Mandanda, qui était le numéro un lors de leur aventure commune à Marseille. En conférence de presse ce jeudi, Samba a fait le point sur leur collaboration.
On s’entend plutôt bien

Cette fois, les rôles sont inversés. Dans l’ombre de Steve Mandanda à Marseille il y a quelques années, Brice Samba est aujourd’hui en pleine lumière du côté du Stade Rennais, pendant que le champion du monde 2018 doit se contenter d’un rôle de doublure.

Je n’avais pas peur
La signature cet hiver de l’ancien Lensois (30 ans), pour près de 15 millions d’euros, a renvoyé Mandanda (39 ans) sur le banc, alors que ce dernier arrivera en fin de contrat en juin prochain. Un chassé-croisé délicat à vivre pour Samba? "Non, pas forcément délicat", a-t-il répondu ce jeudi en conférence de presse, à deux jours d’un déplacement à Saint-Etienne (samedi 21h05), pour le compte de la 21e journée de Ligue 1.

"Je savais un peu ce qui m’attendais. J’ai eu la chance de côtoyer Steve à Marseille. On s’entend plutôt bien, le courant passe plutôt bien. Vous savez, le football est comme ça. Même moi, peut-être qu’un nouveau gardien viendra, qu’il sera plus performant et qu’il prendra ma place… Je n’en sais rien. En tout cas, il n’y avait pas d’appréhension, je n’avais pas peur, pas du tout", a-t-il étayé, avant tout "fier" d’avoir "rejoint une grande institution". Avec un rôle de leader à jouer au sein d’une formation bretonne en quête de rachat après une première partie de saison totalement ratée.

Désormais entraînés par Habib Beye, les Rouge et Noir pointent seulement à la 15e place du championnat, mais restent sur un succès encourageant à domicile contre Strasbourg (1-0).

Le propriétaire François Pinault, de passage au club, a discuté avec Habib Beye

Le propriétaire du Stade Rennais François Pinault était à Rennes ce jeudi matin 6 février. Il a visité les installations du nouveau centre d’entraînement des pros à la Piverdière, en a profité aussi pour rencontrer la direction du SRFC et le nouvel entraîneur Habib Beye, qu’il a même vu en tête à tête. Beye a évoqué cette rencontre ce jeudi en conférence de presse.

Le propriétaire François Pinault, de passage au club, a discuté avec Habib Beye

En escale dans sa résidence de Dinard ces jours-ci, François Pinault était de passage au centre d’entraînement de la Piverdière, ce jeudi matin 6 février. Et ce n’est pas si courant.

Le propriétaire du Stade Rennais (avec son fils François-Henri Pinault), 88 ans, a notamment visité les installations du nouveau centre d’entraînement des pros (l’entrée des joueurs dans le nouveau bâtiment est prévue dès la semaine prochaine), en présence de l’architecte : un investissement qui compte pour la famille, puisque c’est elle qui l’a financé à fonds privés, pour un coût qui serait supérieur à 35 millions d’euros.

Je l’appelle M. Pinault
François Pinault a vu entre autres le président Arnaud Pouille, le directeur sportif Frederic Massara, ou les responsables du centre de formation. Les joueurs également, et en tête à tête l’entraîneur Habib Beye. « Je l’appelle M. Pinault, et j’avais pu le rencontrer déjà il y a un an (quand Beye avait été proposé par le duo Cloarec/Maurice pour succéder à Bruno Genesio en novembre 2023)… C’est toujours un plaisir de constater l’identité du club à travers l’amour qu’il a pour le Stade Rennais, son investissement pour son club, a loué le coach rennais ce jeudi midi en conférence de presse, quand il a été interrogé sur cette visite particulière. Il est arrivé avec toute sa bienveillance, son sourire, et il a regardé l’entraînement… C’était une bonne chose pour les joueurs, le staff. Cela montre son attachement, et c’est un regain d’énergie supplémentaire par rapport à ce qu’on veut mettre en place et ce que doit être le Stade Rennais. »

François Pinault, qui avait pu paraître plus éloigné des affaires de son club ces dernières semaines, n’était vraiment pas un grand défenseur de Jorge Sampaoli. Il ne serait pas le moins ravi de l’arrivée de Beye.

On sait le propriétaire attaché aussi à pouvoir discuter ballon avec l’entraîneur de son club. Et avec Beye, sa passion devrait être servie. « Je lui ai redonné mon numéro, mais il l’avait déjà ! Je suis quelqu’un de très ouvert, j’aime beaucoup parler de football, je ne me ferme rien parce que je pars du principe que cela ne doit pas être le fonctionnement d’un club comme le Stade Rennais, même s’il y a des choses qu’on garde pour nous… En tout cas, c’était un très bon moment ce matin de voir M. Pinault ! »

Djaoui Cissé, la belle surprise trouvée par Habib Beye

Titulaire au pied levé pour pallier aux blessures de Seko Fofana et Azor Matusiwa, le milieu de terrain de 21 ans s’est montré au niveau, alors qu’il ne comptait que deux bouts de match en Ligue 1 dans sa carrière jusqu’ici.

Djaoui Cissé, la belle surprise trouvée par Habib Beye

Si Habib Beye a très vite usé de la câlinothérapie à son arrivée à Rennes, on doute qu’il est allé jusqu’à faire des cadeaux d’anniversaire. Si Djaoui Cissé a vécu la première titularisation en Ligue 1 de sa jeune carrière, ce n’est probablement pas parce que le match contre Strasbourg est tombé deux jours après qu’il a fêté ses 21 ans. Mais plutôt parce que le milieu de terrain formé au club était devenu une option plus que crédible avec les forfaits de Seko Fofana et Azor Matusiwa.

Et aussi parce que Cissé a, semble-t-il, tapé dans l’œil de son nouvel entraîneur. « Le reflet, c’est le match de Djaoui Cissé, considérait Beye après la rencontre. Il rentre dans ce match en sachant au moment de la causerie qu’il va jouer. Djaoui fait partie de ces joueurs qui ont montré beaucoup de qualités ces 48 dernières heures, comme Meïté ou Coulibaly, et l’on continuera à les faire progresser avec du temps de jeu, surtout dans une saison comme celle-ci où l’on va encore avoir des difficultés. »

James : « Il était à sa place »
Le contexte apparaissait en effet tout sauf évident pour une mise à l’essai grandeur nature. Ce qui rend d’autant plus impressionnante l’entame de match du grand milieu (1,88 m), épatant d’aisance. Il a ainsi terminé son match avec des chiffres particulièrement propres (28 passes réussies sur 31 dont 13 vers l’avant, six duels gagnés sur huit), et aurait joué encore plus libéré sans son avertissement très sévère dès le quart d’heure de jeu.

L’épée de Damoclès qui a ensuite plané sur lui est d’ailleurs ce qui a poussé le staff à le remplacer par Naouirou Ahamada dès la 55e. « Il s’est mis au niveau », salue Jordan James, aux premières loges dans l’entrejeu. Le Gallois passerait presque pour un ancien en comparaison avec Cissé, alors qu’il est plus jeune de quelques mois. « C’était difficile, poursuit-il, Azor s’est blessé hier (samedi) à l’entraînement, ce qui était un gros coup dur. Mais Djaoui a été brillant, il était à sa place. Avec le carton jaune rapide, le staff a dû être prudent avec lui. »

« Il a montré de quoi il était capable, appuie Ludovic Blas. S’il prend confiance en lui, il peut faire de bonnes choses, il a beaucoup de talent. C’est quelqu’un de réservé mais sur le terrain, il n’est pas timide. » Avec les retours de blessure de Fofana et Matusiwa, et l’arrivée attendue d’Ismaël Koné, la fenêtre sera évidemment plus réduite pour de futures titularisations. Mais Cissé a en tout cas réussi ce qui n’est pas donné à tout le monde : saisir l’opportunité quand elle se présente à lui.

S.G.S.B.

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