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32 millions gaspillés, Massara attend la sentence

Pour son premier mercato à Rennes l’été dernier, Frederic Massara n’a pas été très inspiré. Le directeur sportif des Rouge et Noir constate que les joueurs recrutés ne donnent pas satisfaction. Certains vont même partir dès cet hiver. Pas sûr que l’Italien résiste à ce fiasco.

32 millions gaspillés, Massara attend la sentence

L’ouverture d’un loft et surtout sa composition en disent long sur la situation de Frederic Massara à Rennes. Parmi les éléments jugés indésirables figurent deux des 11 recrues amenées par le directeur sportif l’été dernier. On y trouve notamment Albert Gronbaek et Glen Kamara dont les transferts avaient respectivement coûté 15 et 10 millions d’euros. Ajoutez à cela les 7 millions d’euros dépensés pour l’attaquant Henrik Meister, déjà prêté avec option d’achat à Pise (Serie B), et l’on obtient un total de 32 millions d’euros gâchés par le dirigeant nommé en juin dernier. Le Stade Rennais n’a donc pas perdu de temps.

Dès le début du mercato hivernal, les arrivées de Seko Fofana et de Brice Samba montraient bien que le président Arnaud Pouille, ancien directeur général du Racing Club de Lens, avait pris la main sur le recrutement. Il n’était pas question de laisser Frederic Massara s’enfoncer après son premier mercato à 80 millions d’euros, et principalement réalisé avec l’agent italien Gabriele Giuffrida. D’après le journal L’Equipe, même s’il a manifestement perdu de l’influence en interne, le dirigeant passé par l’Udinese, la Roma et le Milan AC participe toujours aux décisions du club breton cet hiver. Mais son avenir est plus qu’incertain.

Pouille enfonce Massara
Dans les colonnes d’Ouest-France vendredi, Arnaud Pouille ne cherchait pas à le défendre. « Frederic a conscience de sa participation à certaines décisions qui n'ont pas été les plus heureuses depuis juin dernier, admettait le président rennais. Il n'est pas dans le déni. C'est comme avec les joueurs : serrons-nous les coudes, ayons conscience de nos erreurs et essayons de réparer au mercato avec des profils plus en lien avec l'ADN du club. » Autant dire que Frederic Massara n’est pas certain de rester jusqu’au mercato suivant.

Frédéric Massara déjà en danger ?

A Rennes, l’état d’urgence est déclaré. 14e de Ligue 1 à la mi-saison, les Bretons n’arrivent plus à enchaîner, et restent sur une série noire de sept défaites lors de leurs dix dernières sorties. Face à cette situation, le management a fait des choix forts au niveau des joueurs, même de ceux arrivés il y a six mois. L’attaquant danois Henrik Meister a été prêté avec option d’achat à Pise il y a quelques jours, alors que Glen Kamara et Albert Gronbaek ont rejoint un loft récemment créé par le club breton.

Frédéric Massara déjà en danger ?

Un nouveau mercato raté par Rennes, qui a dépensé plus de 100 millions d’euros depuis le 1er juillet dernier, avec des arrivées pas toujours réussies (Ostigard, Jota, Kamara, Meister…). Le président Arnaud Pouille s’est exprimé dans Ouest-France ce vendredi, mettant le doigt sur le problème sans attaquer son directeur sportif Frédéric Massara : «Frederic a conscience de sa participation à certaines décisions qui n’ont pas été les plus heureuses depuis juin dernier. Il n’est pas dans le déni. C’est comme avec les joueurs : serrons-nous les coudes, ayons conscience de nos erreurs et essayons de les réparer». Le remplaçant de Florian Maurice va devoir faire oublier ses erreurs pour ne pas voir sa place en danger.

Le loft Rennais fait scandale

A l’instar de plusieurs clubs français l’été dernier, le Stade Rennais a pris la décision d’écarter dans un "loft" plusieurs joueurs devenus indésirables lors de ce mercato hivernal. Une décision qui scandalise l’UNFP.

Le loft Rennais fait scandale

La crise est profonde au Stade Rennais, qui flirte avec la zone rouge en Ligue 1 et qui s’est fait éliminer de la Coupe de France par Troyes cette semaine. Le mercato doit permettre au club breton de se renforcer mais pour cela, il faut réussir à vendre les joueurs indésirables afin de garder un effectif cohérent en nombre. Dans le but de convaincre les plus réticents de faire leurs valises, le Stade Rennais a mis en place un loft. Autrement dit, plusieurs joueurs sont désormais mis à l’écart et doivent se trouver un club le plus vite possible.

L'UNFP condamne le loft du Stade Rennais
Une pratique qui n’est pas inventée par le Stade Rennais puisque l’OM, l’OL et même le PSG y ont eu recours l’été dernier… ce qui déplait fortement à l’UNFP, le syndicat des joueurs professionnels. Dans un communiqué, l’instance a prié le Stade Rennais de vite remédier à la situation. "La moustache de Frédéric Thiriez a dû se redresser d’un coup quand le nouveau président du Conseil national de l’éthique a appris que le Stade Rennais, qui s’évertue – allez savoir pourquoi – à devenir un club comme un autre, a créé un loft à défaut -pour le moment ? – de pouvoir ajouter quelques-uns de ses salariés, footballeurs professionnels sous contrat de leur état, au catalogue de chez Christie’s" regrette d’abord l’UNFP au sujet des méthodes du club breton avant de poursuivre.

"L’ancien président de la LFP, comme l’UNFP l’y encourage, va devoir expliquer à François-Henri Pinault, entre deux verres de Latour, que la FFF s’engage – c’est écrit dans sa Charte éthique – à garantir qu’aucune atteinte ne puisse être portée à la dignité ou à l’intégrité d’une personne, que ce soit sous forme de violences (physiques ou morales), de harcèlement ou de tout autre acte hostile dont l’objectif est d’isoler ou d’ostraciser une personne ou d’affecter sa dignité. Ce que la directrice juridique du club breton, membre du Comex de la FFF, n’a visiblement pas précisé au grand patron, comme elle a certainement oublié de prévenir l’équipe de Philippe Diallo qu’elle allait, en sa qualité d’élue, faire de la Fédération la complice des pratiques illégales, contraires aux lois de la République, mises en place par le Stade Rennais". A travers ce communiqué, l’UNFP pointe ce qu’elle qualifie comme "l’illégalité" du club détenu par François-Henri Pinault. Un gros coup de pression à l’égard des dirigeants rennais en cette période trouble du mercato hivernal.

La tendance se confirme pour l’avenir de Mandanda

Malgré son nouveau statut au Stade Rennais, Steve Mandanda ne va pas claquer la porte.

La tendance se confirme pour l’avenir de Mandanda

Comme lors de son passage à l’OM, Jorge Sampaoli a changé de gardien numéro 1 au détriment de Steve Mandanda (39 ans). En effet, cet hiver, l’entraîneur argentin a accueilli Brice Samba en provenance du RC Lens, qui est devenu le nouveau titulaire. De son côté, l’ancien international français prend désormais place sur le banc.

L’heure de la retraite pour Mandanda ?
Sous contrat jusqu’en juin prochain, son avenir à Rennes allait peut-être être remis en question cet hiver. Cependant, comme confirmé par L’Equipe vendredi, même si Mandanda dispose de quelques pistes, il devrait rester au SRFC jusqu’à la fin de la saison. Viendra ensuite une réflexion concernant la suite de sa carrière, avec la possibilité de prendre sa retraite.

Accusé à tort, Sampaoli balance son président

En pleine crise, le Stade Rennais a ouvert un loft. Plusieurs joueurs comme le Danois Albert Gronbaek sont mis à l’écart en attendant leur départ. La décision a beaucoup fait réagir et a alimenté la conférence de presse du coach Jorge Sampaoli, lequel a plaidé non coupable.

Accusé à tort, Sampaoli balance son président

L’Olympique de Marseille est loin d’être le seul club à utiliser ces méthodes. En plein milieu de la saison et du mercato hivernal, le Stade Rennais a ouvert un loft pour y placer les indésirables. Au moins quatre joueurs font partie de cette catégorie, à savoir Gauthier Gallon, Baptiste Santamaria, Glen Kamara et Albert Gronbaek. On ne s’attendait pas forcément à voir le nom du Danois apparaître.

Arrivé l’été dernier pour 15 millions d’euros, le milieu offensif, sans être un titulaire indiscutable, a régulièrement été aligné cette saison. Difficile de parler d’un véritable flop dans la mesure où l’ancien joueur de Bodo-Glimt a montré un potentiel technique intéressant. D’ailleurs, l’insider Mohamed Toubache-Ter nous apprend que des directeurs sportifs de Ligue 1 s’étonnent de voir Albert Gronbaek chez les indésirables à Rennes. Certains ont peut-être accusé Jorge Sampaoli. Alors afin de mettre les choses au clair, l’entraîneur des Rouge et Noir a plaidé non coupable en conférence de presse.

Gronbaek veut partir
L’Argentin assure que la mise à l’écart de la recrue estivale a été décidée par le président Arnaud Pouille. « Le loft est une décision du président, du club, a expliqué le coach rennais. Ce sont des joueurs qui ne jouaient pas et qui vont quitter le club lors de ce mercato. Gronbaek m'a dit qu'il voulait partir parce qu'il n'a pas trouvé sa place ici depuis son arrivée. Il n'est pas heureux et préfère partir dans un autre endroit. Sa place dans le loft est une décision personnelle. » Etant donné la pauvreté offensive à Rennes, Jorge Sampaoli aurait sûrement été ravi d’aligner Albert Gronbaek.

L'UNFP, demande au club de réintégrer les joueurs mis à l'écart

Après avoir mis quatre joueurs à l'écart de son groupe professionnel ce jeudi, le Stade Rennais s'est attiré les foudres de l'Union Nationale des Footballeurs professionnels. Dans un communiqué publié ce vendredi, le principal syndicat de joueurs en France dénonce "une pratique illégale".

L'UNFP, demande au club de réintégrer les joueurs mis à l'écart

L'UNFP, le syndicat des joueurs professionnels en France, a publié un communiqué au vitriol ce vendredi soir. Dans son viseur : le choix du Stade Rennais d'écarter quatre joueurs (Gauthier Gallon, Baptiste Santamaria, Glen Kamara et Albert Grønbæk) de son groupe professionnel. Priés de s'entraîner à l'écart de leurs partenaires, avec possibilité de réintégration future selon le président Arnaud Pouille, ils constituent un "loft" rennais selon une expression communément utilisée pour décrire ces mises à l'écart dans le football.

Une situation régulièrement pointée du doigt voire attaquée en justice par l'UNFP, qui réclame la réintégration des joueurs écartés au Stade Rennais. Dans un texte au ton acerbe voire mesquin, enchaînant les références aux entreprises de la famille Pinault (Christie's, Château Latour, Kering...), le syndicat attaque sans la nommer la directrice juridique du club Elodie Crocq, membre du comité exécutif de la FFF, l'accusant de rendre "la fédération complice de pratiques illégales". Il évoque encore "un profond mépris quant aux droits des salariés", et estime qu'en agissant de la sorte le club fait fi de plusieurs dispositions conventionnelles et de décisions de justice passées protégeant les joueurs de ces mises à l'écart parfois abusives.

Ces cas de figure sont normalement régis par la Charte du Football Professionnel, et son article 507 alinéa 2 relatif aux groupes d'entraînement. Un article qui permet aux clubs une relative souplesse pendant l'été pour constituer ces "lofts", mais qui se durcit en cours de saison et donc dans le cas en cours au Stade Rennais. Pour constituer un deuxième groupe d'entraînement, celui-ci doit notamment être constitué au minimum de dix joueurs sous contrat professionnel, stagiaire ou élite. Ces joueurs doivent conserver l'accès à des infrastructures d'entraînement, des soins, des équipements et des vestiaires de qualité identique au reste de leurs partenaires. Sollicité pour savoir si ces dispositions étaient respectées, le Stade Rennais ne nous a pas répondu à ce stade.

L’UNFP monte au créneau sur le loft du Stade Rennais

Quatorzième de Ligue 1 et éliminé de manière décevante par Troyes en 16es de finale de la Coupe de France, le Stade Rennais traverse une période de crise. Alors que le club breton travaille sur le renforcement de son effectif, des départs sont également envisagés. Dans cette perspective, un loft devrait bientôt voir le jour pour écarter certains joueurs.

L’UNFP monte au créneau sur le loft du Stade Rennais

Une situation qui n’a pas tardé à faire réagir l’Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP). Dans un communiqué, le syndicat a réagi : «La moustache de Frédéric Thiriez a dû se redresser d’un coup quand le nouveau président du Conseil national de l’éthique a appris que le Stade Rennais, qui s’évertue – allez savoir pourquoi – à devenir un club comme un autre, a créé un loft à défaut -pour le moment ? – de pouvoir ajouter quelques-uns de ses salariés, footballeurs professionnels sous contrat de leur état, au catalogue de chez Christie’s… L’ancien président de la LFP, comme l’UNFP l’y encourage, va devoir expliquer à François-Henri Pinault, entre deux verres de Latour, que la FFF s’engage – c’est écrit dans sa Charte éthique – à garantir qu’aucune atteinte ne puisse être portée à la dignité ou à l’intégrité d’une personne, que ce soit sous forme de violences (physiques ou morales), de harcèlement ou de tout autre acte hostile dont l’objectif est d’isoler ou d’ostraciser une personne ou d’affecter sa dignité.» Avant de conclure : «L’UNFP réclame la fermeture du loft rennais et rappelle au propriétaire de Kering ces quelques mots d’une créatrice de mode : "L’élégance n’est pas une question de luxe, de richesse, mais d’attitude"». Le message est clair.

Ni DAZN, ni IPTV

Malgré des prix diminués et une couverture améliorée, DAZN lutte pour s'imposer dans le paysage audiovisuel de la Ligue 1.

Ni DAZN, ni IPTV

Avec la Coupe de France qui vient de vivre deux tours en deux semaines en ce mois de janvier, les Français ont pu retrouver les joies de quelques matchs de clubs en clair. Entre la Coupe d’Europe sur Canal+ et la Ligue 1 répartie entre DAZN et BeIN Sports, il faut forcément payer pour suivre les clubs tricolores désormais. Si pendant longtemps, le championnat de France a permis de récolter des montants records pour la Ligue, ce n’est plus le cas depuis le récent appel d’offres, et des revenus de moins de 500 millions d’euros dans les caisses du football français désormais chaque année. Pour ses tarifs trop élevés, DAZN a été pointé du doigt au départ. Si depuis, la plateforme britannique a revu sa façon de faire, changeant ses tarifs et améliorant la qualité de sa production, nombreux sont ceux qui n’ont pas adhéré au projet. Même les abonnés de la première heure, dont certains s’estiment floués de devoir payer plein pot quand d’autres arrivés plus tard déboursent deux fois moins, ont parfois abandonné le suivi de leur championnat.

Le prix et la qualité, deux éléments décisifs

Le magazine Capital se penche ainsi sur les tentatives de DAZN de séduire le public français pour éviter d’avoir à tout abandonner dans un an, si le seul de 1,5 million d’abonnés n’est pas atteint. « De quoi tenter les indécis, et éviter qu'ils ne basculent vers les offres illégales d’IPTV. Mais aussi faire regretter leur engagement aux premiers clients, qui payent plein pot », livre ainsi le magazine économique, qui donne la parole à des clients qui se sont désabonnés. Certains se plaignent du prix, et d’autres de la qualité de l’image. Et le dénommé Hervé, lui, déplore les deux. « Hallucinant les tarifs de DAZN. Même à 19,99 euros, c’est beaucoup trop cher pour un service de piètre qualité. J’ai été abonné à 15 euros via Amazon. J’ai résilié au bout d’un mois : la qualité de diffusion est médiocre. Sur grand écran, vous suivez la trajectoire du ballon et elle n’est pas fluide. C’est certainement leur algorithme de compression pour optimiser la bande passante et faire des économies sur l’exploitation. Ils feraient mieux de s’inspirer de Canal+, TF1… Bref pas d’IPTV, mais pas de DAZN non plus », dénonce ce client qui s’est désabonné, et rappelle que les téléspectateurs français veulent en fait un service pas trop cher et de bonne qualité pour retrouver l’amour de la Ligue 1.

Arrêter de croire que c’est le club med!

Dans une interview à Ouest-France, Arnaud Pouille, président du Stade Rennais, allume ses joueurs après l’élimination à Troyes en Coupe de France au cœur d’une saison "merdique". Il défend son directeur sportif mais aussi Jorge Sampaoli, en assurant qu’il ne souhaite pas claquer la porte.
Arrêter de croire que c’est le club med!

Arnaud Pouille avait beaucoup de choses à dire. Le président du Stade Rennais, nommé le 4 octobre dernier en remplacement d’Olivier Cloarec, a tiré la sonnette d’alarme dans un long entretien à Ouest-France, ce vendredi, deux jours après la piteuse élimination (1-0) en Coupe de France à Troyes, pensionnaire de Ligue 2. Une nouvelle déconvenue au cœur d’une saison "merdique", selon ses termes où Rennes pointe à la 14e place de Ligue 1 avec un seul point d’avance sur Saint-Etienne, barragiste. Il cible en premier lieu les joueurs avec lesquels il s’est entretenu, jeudi. Certains d’entre eux ont d’ailleurs été invités à s’entraîner dans un loft.

On va concentrer l’effort sur ceux qui ont envie de porter le projet, pas sur ceux qui n’en ont rien à faire de l’histoire du club, balance-t-il.
"Il faut des gens investis, et malheureusement, on a constaté que certains le sont moins que d’autres. On ne peut plus se disperser sur des gens qui s’en fichent d’être là ou ailleurs. Ensuite, je leur ai rappelé que dans tous les contrats, qui sont plutôt bien faits ici, il y a une prime d’éthique associée à leurs salaires, et l’éthique est rattachée au respect du club et du maillot. Cela fait douze matches que je vois. Je ne dis pas que tout est à jeter, je trouve qu’une structure était revenue, mais il faut aller au-delà et faire beaucoup plus."

Arrêter de croire que c’est le Club Med!
Il confirme que plusieurs éléments de l’effectif seront sortis du groupe pour la réception de Brest, samedi (19h, 18e journée de L1). "Mais ils pourraient potentiellement être réintégrés", précise-t-il. "Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence, il faut qu’ils le comprennent vite. Cela veut dire être à l’heure, respecter les obligations du club. Il y a des droits, mais aussi pas mal de devoirs. Il faut vite rebrancher les fils et arrêter de croire que c’est le Club Med!"

Arnaud Pouille assure avoir toujours le soutien des actionnaires et défend son directeur sportif, Frederic Massara, très critiqué après les nombreux échecs de recrutement de l’été dernier. "Frederic ne fuit pas ses responsabilités", explique-t-il. "Personne ne défend l’indéfendable. Je l’ai déjà dit et je le répète : il a été pris par une vague de départs statistiquement exceptionnelle l’été dernier, mais ce n’est pas pour ça qu’il n’assume pas sa part de responsabilités sur un certain nombre de sujets. On en discute très librement entre nous."

Alors que les rumeurs d’un départ du Franco-Italien bruissent, Pouille assure qu’il est toujours impliqué dans le projet. D’autant que le club promet d’encore s’activer sur le match d’hiver. "On doit intégrer des profils psychologiques qui aiment lutter, car c’est notre réalité. Et ne pas rajouter l’erreur à l’erreur. (…) Oui, il y a des profils identifiés, des discussions en cours, des clubs avec lesquels on discute mais qui ont aussi leurs propres contraintes pour pouvoir libérer leurs joueurs au bon moment. (…) On est dans une situation d’urgence, mais ce n’est pas une raison pour faire n’importe quoi."

L’ancien président de Lens conclut enfin sur le fait que Jorge Sampaoli, nommé sur le banc rennais le 11 novembre en remplacement de Julien Stéphan, n’envisage pas de partir. "Il ne s’attendait sûrement pas à ce que la situation soit si compliquée, même s’il avait fait son analyse de l’équipe avant d’arriver", explique-t-il. "Jorge est quelqu’un qui déteste profondément la défaite. Après chaque défaite, il est déconfit. Mais ce matin (jeudi), à notre retour à Rennes, il est reparti avec une énergie folle. On m’a posé plusieurs fois la question: ‘attention, il peut partir, il peut claquer la porte!’ Mais non, il est combatif."

L'Arabie Saoudite vient sauver la Ligue 1

L'Arabie Saoudite devrait bientôt investir un milliard de dollars dans DAZN, principal diffuseur de la Ligue 1 en France. De quoi redonner de la puissance financière à la plateforme britannique et peut-être un peu de patience dans l'Hexagone ?

L'Arabie Saoudite vient sauver la Ligue 1

L'Arabie Saoudite investit massivement dans le football mondial et elle ne fait pas les choses à moitié. Elle a recruté plusieurs footballeurs stars pour son championnat local (Cristiano Ronaldo, Neymar, Karim Benzema), elle a obtenu l'organisation du Mondial 2034 et elle s'attaque même au secteur médiatique. Le Royaume s'est rapproché de DAZN ces dernières semaines, poussant la plateforme britannique à devenir diffuseur exclusif de la prochaine Coupe du monde des clubs. En contrepartie, le pouvoir saoudien va financer DAZN à hauteur d'un milliard de dollars via le PIF (Fonds public d'investissement d'Arabie Saoudite).

DAZN va t-il offrir un sursis à la LFP ?
Une aubaine pour un groupe britannique très présent à l'échelle du globe mais surtout très dépensier. DAZN ne rentabilise pas toujours ses investissements comme c'est le cas actuellement en France. Détenteur des droits télévisuels de 8 des 9 matchs de la Ligue 1, la chaine tarde à décoller auprès du public français. Elle n'a pas rempli ses objectifs d'abonnés pour le moment, ce qui pourrait l'amener à rompre légalement son contrat à la fin de l'année 2025. De quoi faire perdre 400 millions d'euros aux clubs français sur le champ.

Un scénario cauchemar qui peut s'éloigner grâce à l'argent saoudien selon le journaliste Abdellah Boulma. « Comme annoncé précédemment, le PIF (fonds souverain d’Arabie Saoudite) et DAZN finalisent un accord portant sur un investissement d’environ un milliard de dollars, permettant au PIF d’acquérir prochainement 10 % du capital. Une opération qui pourrait ouvrir de nouvelles perspectives pour DAZN France…? », a t-il écrit sur X. Il est vrai que cet énorme apport financier va rendre la plateforme britannique plus patiente et moins soumise à des impératifs de trésorerie, même si ce n'était déjà trop forcément le cas. Cela pourrait aussi l'aider à suivre une stratégie encore plus agressive en terme de tarifs.

Les révélations choquantes sur le dossier Seko Fofana

Arrivé en grande pompe cet hiver à Rennes, Seko Fofana ne réalise pas des débuts parfaits avec son nouveau club. L'Ivoirien pourrait mettre du temps avant de véritablement retrouver son niveau.

Les révélations choquantes sur le dossier Seko Fofana

Le recrutement de Seko Fofana par le Stade Rennais devait acter le renouveau du club breton, qui se montre très ambitieux cet hiver afin de remonter au classement en Ligue 1 et lutter à nouveau pour une qualification européenne. Mais force est de constater que les débuts de l'Ivoirien avec Rennes sont assez poussifs.

Recruté dès le 1er janvier pour un montant avoisinant les 20 millions d'euros, Seko Fofana a eu droit à deux bouts de matchs contre Nice puis Marseille, puis a connu sa première titularisation en Coupe de France mercredi face à Troyes. Ces trois sorties n'ont pas rassuré, et pousse même à s'interroger sur le niveau actuel de l'ancien milieu du RC Lens.

Les révélations choquantes sur le dossier Seko FofanaD'après des sources contactés par le journaliste Mohamed Toubache-Ter, certains adversaires qui ont croisé Seko Fofana depuis son retour en France auraient “halluciné” en voyant sa condition physique. “Il est cramé, c'est pas le Fofana de Lens”, aurait même déclaré une source.

Avant de rejoindre Rennes, Seko Fofana enchainait pourtant les matchs avec le club saoudien d'Al-Ettifaq et en sélection avec la Côte d'Ivoire. Arrivé dans le Golfe à l'été 2023, il a disputé 41 rencontres en un an et demi avant de revenir en Ligue 1. À 29 ans, difficile de croire que le joueur a totalement perdu son niveau et que son recrutement, très onéreux pour Rennes, est voué à l'échec. Peut-être aura-t-il besoin d'une période de réadaptation pour matcher les exigences du championnat de France, qui semble un peu plus intense que ce que le joueur a connu en Arabie Saoudite.

Le Stade Rennais multiplie les pistes pour sauver sa saison

10ème de Ligue 1 la saison dernière, le Stade Rennais n’est pas qualifié en Coupe d’Europe cette année et peut donc se concentrer pleinement sur le championnat pour espérer retrouver la scène européenne. Enfin ça, c’est ce que croyaient les Bretons en août dernier.

Le Stade Rennais multiplie les pistes pour sauver sa saison

Un point pris à l’extérieur. Un seul petit point. Seul Montpellier fait pire avec zéro. Après 17 journées de championnat et huit match à l’extérieur, les Bretons n’ont réussi à obtenir le match nul qu’une fois, c’était en octobre dernier, chez leur voisins Brestois, grâce à une égalisation de Jota à la 86ème minute. Donc en dehors de la Bretagne, les Rouge et Noir n’ont pas gagner le moindre point.

Deux anciens capitaines du RC Lens
Aujourd’hui, 14ème de Ligue 1 avec seulement un point d’avance sur le barragiste Stéphanois, les hommes de Jorge Sampaoli vont devoir réagir en deuxième partie de saison pour s’assurer le maintien. Et pour cela, il faut se renforcer. Et l’Argentin, recruté en novembre dernier pour sauver la saison rennaise, le savait déjà au moment de son arrivée en terre bretonne. « La situation n’est pas idéale, mais c’est celle-là. La ville, le club, les dirigeants, les supporters méritent autre chose. C’est une nouvelle étape. Il va falloir travailler beaucoup ». Et ses dirigeants sont prêts à le suivre, comme l’a déclaré le directeur sportif, Frédéric Massara, «on va tout faire et s’il y a besoin d’intervenir sur le mercato, les propriétaires soutiendront le club ».

Achat le plus cher de l’histoire du RC Lens, lors de son arrivée en 2021 pour renforcer les rangs Sang et Or, pour leur retour dans l’élite du football français. Seko Fofana a porté de nombreuses fois le brassard de capitaine, tout comme Brice Samba. Le portier d’origine Franco-Congolaise, aura explosé chez les Lensois atteignant l’Équipe de France et la place de numéro deux, derrière Mike Maignan.

2 urgences : recruter un milieu de terrain et un attaquant
Ces deux joueurs emblématiques du retour de Lens parmi l’élite du football français, ont tous les deux décidé de rejoindre Rennes et le projet Sampaoli, durant ce mercato hivernal. Mais cela est loin de suffire, à l’image de la prestation catastrophique des Bretons face à l’OM le week-end dernier (1-2). Selon nos informations, Jorge Sampaoli a deux priorités : recruter un milieu de terrain et un attaquant. Pour chaque poste, deux noms apparaissent en haut de la liste : Valentin Rongier (OM) et Reda Belayane (Hellas Verone) pour le milieu, Hakim Ziyech (Galatasaray) et Denis Bouanga (Los Angeles FC) en attaque.

Quatre pistes aussi compliquées les unes que les autres. Rongier est bloqué par l’OM, Belahyane est suivi de près par l’OM, mais aussi la Lazio, alors que Ziyech touche un gros salaire en Turquie (et intéresse plusieurs clubs, notamment en Arabie saoudite), et que Bouanga n’est pas très excité à l’idée de quitter les Etats-Unis pour la Bretagne.

En plus de ces cibles, Rennes pourrait aussi recruter un défenseur central et s’est positionné sur Lilian Brassier. Un prêt avec option d’achat est envisagé, mais l’ancien brestois a d’autres pistes, bien plus attirantes, notamment en Premier League.

Amine Gouiri, c’est quoi le problème ?

Le Stade Rennais se déplace à Troyes (Ligue 2) mercredi 15 janvier (18 h 30), pour le compte des 16es de finale de la Coupe de France. En l’absence d’Arnaud Kalimuendo, Amine Gouiri pourrait jouer à la pointe de l’attaque, mais pour quelle productivité ? L’international algérien, celui qui devait être le leader de l’attaque rennaise cette saison, n’est pour l’instant que l’ombre de lui-même.

Amine Gouiri, c’est quoi le problème ?

Le Stade Rennais est-il capable de battre Troyes sans Arnaud Kalimuendo, forfait en raison d’un protocole commotion mais espéré de retour samedi 18 janvier contre Brest ? Il vaudrait mieux que la question soit incongrue. Mais oser se la poser indique quand même l’état morose du secteur offensif des Rouge et Noir.

Il y a déjà les absents qui réduisent les solutions : Kalimuendo, Meister (parti à Pise), Jota (qui devrait partir aussi, officiellement forfait pour une douleur à l’adducteur), même Samaké, revenu de prêt de Châteauroux mais blessé… Écarté contre l’OM, Gomez, lui, revient dans le groupe.

Alors que Sampaoli appelle en renfort le néo-pro Mohamed Meité, Gronbaek, Blas et Gouiri seront chargés de recréer une étincelle dans l’Aube. Amine Gouiri, surtout, qui pourrait évoluer en "9" de substitution : même si ce ne sera que le 15e de Ligue 2 en face, il est grand temps que l’international algérien s’y remette.

Quel est le problème avec celui qui est toujours le joueur le plus cher de l’histoire du club (28 millions d’euros versés à Nice à l’été 2022), hormis le pépin physique qui l’avait stoppé fin 2024 ? On se le demande…

L’équipe a besoin d’une autre version de lui, et je lui ai dit…
Gouiri, 24 ans, devait être la référence de l’attaque rennaise cette saison. Celui qui tire les autres vers le haut, par son vécu au club et en L1, son talent. Malgré un but de la tête contre Saint-Etienne (5-0 le 30 novembre), sa première action décisive depuis… un but et une assist lors de SRFC - Lyon (3-0) le 18 août (!), il n’est globalement que l’ombre de lui-même.

Il faisait pourtant partie des joueurs pas mécontents du changement d’entraîneur et de l’arrivée de Jorge Sampaoli, lequel l’a toujours apprécié et le fait beaucoup jouer. "C’est un joueur qui me plaisait énormément quand j’étais à l’OM, il était très souvent décisif avec Nice, a d’ailleurs dit le coach argentin ce mardi. J’ai parlé avec lui, car l’équipe a besoin de lui, d’un joueur qui lutte davantage, qui retrouve sa forme idéale. Il doit nous donner des solutions de buts et de passes décisives. Ma tâche est de reconstruire Gouiri pour retrouver celui que j’ai connu. L’équipe a besoin d’une autre version de lui, et je lui ai dit personnellement…"

Sampaoli l’aurait aussi repris de volée, concernant sa manière - disons dilettante - de défendre au départ de l’action qui a amené l’égalisation de l’OM (1-2), samedi dernier. Le manque d’agressivité de Gouiri, avec ou sans ballon, a laissé dubitatif ces dernières semaines.

Il n’a pas trouvé non plus beaucoup de connexions dans le jeu avec ses partenaires d’attaque, et cela donne un Gouiri très loin de ses possibilités, lui qui se disait heureux cet été de pouvoir embrasser plus de responsabilités, désireux d’afficher plus de régularité…

A priori, il n’aurait pas jusqu’ici affiché de velléités de départ à court terme, à moins peut-être qu’une grosse offre d’un club étranger qui le séduirait aussi ne tombe sur le bureau de la direction du SRFC d’ici la fin du mercato d’hiver.

S’il reste bien à Rennes, dans une ligne d’attaque qui attend au moins un renfort capable de jouer à son poste (dans l’axe ou côté gauche), Amine Gouiri va devoir changer de braquet.

Maxime Le Marchand devrait intégrer le staff cet été

Formé au Stade Rennais sans y avoir joué en pro, l’ancien défenseur pro Maxime Le Marchand, originaire de Saint-Malo, est en stage auprès du SRFC en vue de passer son brevet d’entraîneur (BEF). Cet été, il devrait intégrer le staff, en charge du suivi des "hauts potentiels" du club.

Maxime Le Marchand devrait intégrer le staff cet été

Ancien défenseur de Nice, Le Havre ou Strasbourg, Maxime Le Marchand avait remporté avec le Stade Rennais, son club formateur, la Coupe Gambardella en 2008.

Celui qui est originaire de Saint-Malo avait stoppé sa carrière en juin 2023, suite à des problèmes de dos. Il entame sa reconversion à Rennes, où il est actuellement en stage en vue de passer son brevet d’entraîneur de football (BEF).

Le club précise qu’il devrait intégrer ensuite, à partir de cet été, le staff du SRFC, avec une mission de suivi des "hauts potentiels" du club. Ici Armorique parle de son côté d’une mission de "gestion des jeunes joueurs professionnels" et du "suivi des joueurs prêtés".

Maxime Le Marchand va intégrer le secteur sportif

Selon nos informations, le Stade Rennais va enregistrer un renfort dans son secteur sportif. Il s'agit du Malouin Maxime Le Marchand, ancien joueur pro et formé au club, qui prendra en main la gestion des jeunes professionnels et du suivi des joueurs prêtés à partir de cet été.

Maxime Le Marchand va intégrer le secteur sportif

Le Stade Rennais va renforcer son secteur sportif. Le club a récemment engagé l'ancien joueur professionnel Maxime Le Marchand, retraité depuis juin 2023, qui aura pour mission la gestion des jeunes joueurs professionnels et le suivi des joueurs prêtés par le club. Une mission qu'il débutera l'été prochain à l'issue de sa formation pour l'obtention de son Brevet d'Entraîneur de Football qu'il effectue au sein du club depuis peu.

Formé à Rennes où il remporte la Coupe Gambardella en 2008, Maxime Le Marchand n'a jamais porté le maillot Rouge et Noir chez les professionnels, avant de signer au Havre, puis de porter les couleurs de Nice, de Fulham et plus récemment de Strasbourg. Il retrouve ainsi sa région natale puisqu'il est originaire de Saint-Malo.

S.G.S.B.

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