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Le Stade Rennais se dit ouvert au projet d’agrandissement du Roazhon Park

Le projet de nouveau stade, souhaité par la famille Pinault, est suspendu en raison de l’opposition de la ville de Rennes, confirme le président du conseil d’administration du Stade Rennais Alban Gréget à Ouest-France. "Le projet étudié, c’est celui de la rénovation et de l’extension du Roazhon Park", ajoute-t-il. En l’état, seules les données techniques du projet ont été étudiées entre la ville et le Stade Rennais.

Le Stade Rennais se dit ouvert au projet d’agrandissement du Roazhon Park

Nouveau centre d’entraînement… puis nouveau stade ? Le rêve d’une "arena Pinault' de 45 000 places, exprimé par le propriétaire François Pinault, a du plomb dans l’aile. "C’était le souhait du Stade Rennais, mais en l’état, ce n’est pas la piste privilégiée, confie Alban Gréget, le président du conseil d’administration. Nous avions des vues sur un terrain (1) qui aurait pu servir pour créer un nouveau stade plus moderne, avec plus de places et un certain nombre d’avantages. Ce site n’est plus d’actualité. En tout cas, ce n’était pas le souhait de la ville. Or, c’est un projet qui se fait nécessairement ensemble. Le projet étudié, c’est le projet de rénovation et d’extension du Roazhon Park."

Celui-ci, révélé dans nos colonnes en novembre dernier, avait été commandé par la ville puis rendu aux élus à l’été 2024. Il s’agirait surtout de rehausser la tribune Vilaine (côté fleuve), au-dessus des loges et de la reculer, pour permettre de créer jusqu’à 13 000 places supplémentaires.

Ce serait un vrai plus à terme pour le club
La capacité du stade (environ 29 000 places aujourd’hui) atteindrait alors un peu plus de 40 000 places. "Nous avons regardé avec la mairie les données pour l’instant techniques, reprend Alban Gréget. Après, il y a d’autres enjeux qui vont être du registre juridique et financier, qui n’ont pas encore été ni abordés, ni tranchés. Donc pour l’instant, le projet en est là."

Il nécessiterait notamment l’installation d’une structure pour remonter les tribunes hautes, alors que la Vilaine borde le stade. "Cela fait aussi partie des discussions. Mais en tout cas, techniquement, c’est faisable. Y compris l’emprise sur la Vilaine, qui a été étudiée de manière très précise par les services compétents."

L’aspect financier est aussi épineux : qui payerait une facture qui serait estimée à quelque 100 millions d’euros, alors que le Stade Rennais n’est pas propriétaire du Roazhon Park, qu’il le loue à la ville contre environ 1 million d’euros par an, et que la ville rembourse toujours une partie des 35 millions d’euros liés à la rénovation de 2002 ?

L’option de l’agrandissement pourrait nécessiter deux ans de travaux, soit deux saisons à jauge réduite, sans compter le temps préalable de la prise de décision. Un aboutissement serait de toute façon difficilement envisageable avant 2028, au plus tôt.

Le Stade Rennais, en tout cas, se dit ouvert. "On a des contraintes aujourd’hui de jauge qui font qu’on a beaucoup de supporters qui aimeraient s’abonner et ne peuvent pas (2), termine Alban Gréget. On a un stade globalement plein. Si on pouvait avoir une jauge plus importante, ce serait un vrai plus à terme pour le club."

(1) : L’ancien site industriel de la Barre Thomas, situé près de Roazhon Park, mais de l’autre côté de la rocade.

(2) : le SRFC, qui a dû bloquer à 16 000 son nombre d’abonnés, compte une liste d’attente de 14 000 demandes supplémentaires.

Le projet de nouveau Roazhon park du Stade Rennais remplacé par une rénovation

Le projet de construction d’un nouveau stade ultra-moderne par la famille Pinault est officiellement abandonné. Un tournant dans l’avenir du Stade Rennais. Initialement prévue à proximité du Roazhon Park, cette enceinte devait offrir une capacité et des infrastructures à la hauteur des ambitions du club breton. Mais l’opposition des élus rennais a contraint les propriétaires du club à revoir leurs plans.
Le projet de nouveau Roazhon park du Stade Rennais remplacé par une rénovation

François Pinault, milliardaire et propriétaire du Stade Rennais, avait exprimé sa volonté de financer intégralement la construction d’un nouveau stade. Ce projet, situé à quelques centaines de mètres du Roazhon Park, visait à offrir au club un outil de travail à la pointe de la technologie et adapté aux exigences du football moderne.

Toutefois, devant la réticence des élus locaux, qui préfèrent une rénovation du Roazhon Park plutôt qu’une nouvelle infrastructure, les dirigeants rennais ont été contraints d’abandonner ce projet ambitieux. Cette décision intervient alors que le club vient tout juste d’inaugurer son centre d’entraînement ultra-moderne, le Pv2, financé entièrement par la famille Pinault.

Plutôt qu’un nouveau stade, le Stade Rennais et la municipalité ont désormais engagé des discussions sur la rénovation et l’agrandissement du Roazhon Park. L’objectif est de porter la capacité du stade de 25 000 à 40 000 places, afin de mieux répondre à la demande croissante des supporters et aux exigences des compétitions européennes.

Cependant, de nombreuses inconnues subsistent. Si l’intention est claire, le calendrier de ces travaux reste flou, et le financement demeure un point d’achoppement. La famille Pinault, bien qu’engagée dans le développement du club, n’a pas l’intention de supporter seule la charge financière de cette extension. De son côté, la ville de Rennes doit encore solder les coûts des travaux réalisés en 2002, ce qui complique davantage la planification des futures rénovations.

Cette situation place les supporters du Stade Rennais dans une position d’attente. Ceux qui espéraient une infrastructure flambant neuve devront se contenter, pour l’instant, du projet de modernisation du Roazhon Park du Stade rennais, sans garantie sur les délais de réalisation. Néanmoins, cette extension, si elle aboutit, pourrait permettre au club d’améliorer l’accueil des spectateurs, d’accroître ses revenus de billetterie et de renforcer son attractivité.

Bref, le Stade Rennais doit composer avec une réalité politique et financière qui freine son développement infrastructurel. Le financement de la rénovation du Roazhon Park représente une alternative intéressante, mais pas encore clairement financé. Les supporters, eux, devront se montrer patients avant de voir leur club disposer d’une enceinte à la hauteur de leurs ambitions.

Le nouveau centre d’entraînement de la Piverdière 2 passé au crible

Depuis début février, les joueurs professionnels du Stade Rennais ont pris leurs quartiers dans leur nouvelle structure de travail de près de 2 500 m². C’est la première étape du chantier du nouveau centre d’entraînement de la Piverdière 2 : il inclura, d’ici l’été 2026, sur un même site, le bâtiment administratif, l’Académie et l’internat du centre de formation, sur une superficie de 15 hectares. Coût total : 40 millions d’euros, financés par la famille Pinault.

Le nouveau centre d’entraînement de la Piverdière 2 passé au crible

Depuis le début du mois de février 2025, l’effectif professionnel du Stade Rennais occupe sa nouvelle structure de travail de près de 2 500 m². Il s’agit de la première étape du chantier du nouveau centre d’entraînement de la Piverdière 2.

La Piverdière 2, c’est quoi ?

La création d’un lieu unique pour la vie quotidienne du Stade Rennais (groupe professionnel, section amateur, Académie, siège administratif) sur le site de la Piverdière, à la Prévalaye, à l’ouest de Rennes, où le club est installé depuis 2001. Le SRFC, qui a fêté lundi 10 mars 2025 ses 124 ans d’existence, avait signé avec la ville de Rennes un bail emphytéotique de 50 ans pour occuper cet espace.

Le centre d’entraînement Henri-Guérin, c’est maintenant 7 terrains de foot (dont un synthétique), un ½ terrain gardiens, ½ synthétique, tous fibrés (en structure hybride, que l’on retrouve aujourd’hui dans quasiment tous les stades de Ligue 1), sur une superficie totale de 15 hectares. Les précédentes structures s’étendaient sur 11,4 hectares.

Les dates clés du projet Piverdière 2

Lancée il y a dix-huit mois, la première tranche des travaux a abouti avec la livraison de l’espace réservé aux professionnels début février 2025. Il se dresse sur près de 2500 m².

La livraison de l’ETP (l’internat pour les jeunes du centre de formation) est prévue pour le début de l’été 2025. Celle du bâtiment administratif et de l’Académie est prévue pour l’été 2026.

Les acteurs majeurs du chantier, financé à hauteur de 40 millions d’euros exclusivement par la famille Pinault, sont le cabinet d’architecte NEM, avec FM Ingénierie en maître d’œuvre, autour des équipes de Vincent Pïofret. 300 ouvriers ont été mobilisés.

Les terrains baptisés avec les noms des anciens

Les cinq terrains de l’Académie, où s’entraîneront et joueront toutes les équipes de jeunes du club, vont porter les noms d’anciens joueurs du Stade Rennais formés au club, devenus internationaux, parmi les plus emblématiques : Pierrick Hiard, Eduardo Camavinga, Yoann Gourcuff, Sylvain Wiltord et Ousmane Dembélé. « C’est important que les jeunes qui sont au centre se disent qu’un jour, s’ils performent, ils pourraient avoir un terrain à leur nom », sourit le président Arnaud Pouille.

Rennes ouvert à l'extension et la rénovation du Roazhon Park

Alors que la ville de Rennes s'oppose au projet de nouveau stade, le Stade Rennais se penche sur la possibilité de rénover et d'agrandir la capacité du Roazhon Park, comme l'a confié le président du conseil d'administration du club.
Rennes ouvert à l'extension et la rénovation du Roazhon Park

À Rennes, la mode est aux travaux. Alors que le Stade Rennais poursuit l'agrandissement de son centre de performance, les dirigeants bretons se penchent sur le cas de leur stade. Le président du conseil d'administration des Rouge et Noir a confié à Ouest-France que le club étudiait « le projet de rénovation et d'extension du Roazhon Park ». L'idée : rehausser et reculer l'une des tribunes afin de pouvoir créer jusqu'à 13 000 places supplémentaires.

Actuellement de 29 000 sièges, la capacité pourrait grimper au-dessus des 40 000. La question technique a été abordée avec la ville, pas les interrogations juridiques, ni financières, selon Alban Gréget, le président du C.A. À l'origine, la formation bretonne visait la construction d'un nouvel écrin, mais ce n'est « pas la piste privilégiée », a indiqué le dirigeant. « Nous avions des vues sur un terrain qui aurait pu servir pour créer un nouveau stade plus moderne, avec plus de places et un certain nombre d'avantages. Ce site n'est plus d'actualité. En tout cas, ce n'était pas le souhait de la ville », a précisé Gréget à Ouest-France.

Pleine Lucarne du 10/03/2025

Pleine Lucarne du 10/03/2025

Le Stade Rennais poursuit l'agrandissement de son centre de performance

Démarré à l'automne 2023, l'agrandissement du centre de performance du Stade Rennais, pour un coût de 40 M€, se poursuit et devrait être terminé d'ici à l'été 2026.
Le Stade Rennais poursuit l'agrandissement de son centre de performance

Démarré à l'automne 2023 pour un coût de 40 M€ supporté par l'actionnaire du Stade Rennais, la famille Pinault, l'agrandissement du centre de performance de Rennes, qui date de 2000, se poursuit. Une fois terminé, à l'été 2026, en passant de 11,4 à 15 ha, il sera l'un des centres les plus à la pointe de l'hexagone, derrière celui du PSG.

Le mois dernier, les pros ont intégré leur nouveau bâtiment, composé d'une spacieuse salle de musculation face au principal terrain d'entraînement. La nouveauté viendra aussi du déplacement sur le site de tout le centre de formation, situé près du Roazhon Park. Sur l'équivalent de huit terrains en pelouse hybride, cinq dédiés à l'académie vont porter le nom d'anciens internationaux rouge et noir : Eduardo Camavinga, Ousmane Dembélé, Sylvain Wiltord, Yoann Gourcuff et Pierrick Hiard.

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Démarré à l'automne 2023, l'agrandissement du centre de performance du Stade Rennais, pour un coût de 40 M€, se poursuit et devrait être terminé d'ici à l'été 2026.
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Démarré à l'automne 2023 pour un coût de 40 M€ supporté par l'actionnaire du Stade Rennais, la famille Pinault, l'agrandissement du centre de performance de Rennes, qui date de 2000, se poursuit. Une fois terminé, à l'été 2026, en passant de 11,4 à 15 ha, il sera l'un des centres les plus à la pointe de l'hexagone, derrière celui du PSG.

Le mois dernier, les pros ont intégré leur nouveau bâtiment, composé d'une spacieuse salle de musculation face au principal terrain d'entraînement. La nouveauté viendra aussi du déplacement sur le site de tout le centre de formation, situé près du Roazhon Park. Sur l'équivalent de huit terrains en pelouse hybride, cinq dédiés à l'académie vont porter le nom d'anciens internationaux rouge et noir : Eduardo Camavinga, Ousmane Dembélé, Sylvain Wiltord, Yoann Gourcuff et Pierrick Hiard.

Seko Fofana, le touriste à 20ME se fait dézinguer

Renfort vedette du dernier mercato d'hiver à Rennes, Seko Fofana a bien du mal à s'imposer en Bretagne. Au point d'être l'objet de vives critiques, notamment après son apparition face au PSG.

Seko Fofana, le touriste à 20ME se fait dézinguer

Remplaçant lors du choc face au Paris Saint-Germain, samedi au Roazhon Park, Seko Fofana a remplacé Jordan James à la 72e minute, Habib Beye tentant le tout pour le tout afin d'égaliser puisqu'à cet instant du match Rennes poussait fort pour revenir à 2-2. Mais, celui qui a été recruté en Arabie Saoudite pour 20 millions d'euros a du mal à convaincre depuis qu'il a fait son retour en Ligue 1, c'était alors à la demande de Jorge Sampaoli. Et désormais, Seko Fofana doit faire face aux critiques de ceux qui estiment que l'international ivoirien de 29 ans n'est pas pleinement investi dans son nouveau club, alors qu'il est lié jusqu'en juin 2029 avec le Stade Rennais. Yoann SRFC, qui écrit sur le club breton et suit l'actualité rennaise de très près, il ne faut plus cacher la réalité.

Fofana n'emballe pas les supporters rennais

"Fofana a des attitudes vraiment horribles depuis son arrivée… Syndrome du sauveur au départ à vouloir tout faire tout seul, désormais une nonchalance sur chaque action, un replacement à la carte… Va falloir montrer à quoi ont servi les 20M un jour (...) Je ne vois pas dans quel monde on peut placer Blas dans la même catégorie. Les efforts, il les fait. Tu compares peut-être leur nonchalance ? Ce qui me dérange, c'est qu’elle ne semble pas naturelle chez Fofana, qu’elle traduit plus un manque d’implication que chez Blas", remarque le spécialiste du Stade Rennais après la prestation très anonyme de Seko Fofana face au Paris Saint-Germain. Et visiblement, à lire les réactions sur X, Yoann SRFC n'est pas le seul à avoir la même opinion au sujet du milieu de terrain.

Brice Samba en colère contre l'arbitre après une main volontaire de Bradley Barcola

Coupable d'une main volontaire en première période du match Rennes-PSG (1-4) samedi, l'ailier parisien Bradley Barcola s'en est sorti sans la moindre sanction. Une action qui a provoqué la colère du gardien rennais Brice Samba, qui s'est expliqué avec l'arbitre de la rencontre à la pause.
Brice Samba en colère contre l'arbitre après une main volontaire de Bradley Barcola

À la 34e minute de jeu, samedi en Ligue 1, alors que le PSG menait 1-0 sur la pelouse du Stade Rennais, Bradley Barcola interceptait, à l'aide de sa main, une passe du défenseur breton Jérémy Jacquet destinée à Lorenz Assignon. Malgré le caractère volontaire du geste du Parisien, qui s'est tout de même rapidement excusé, l'arbitre Mathieu Vernice a choisi de ne sortir aucun carton. Une décision qui a provoqué la colère des Rennais, tellement que le gardien Brice Samba a, lui, écopé d'un carton jaune pour avoir protesté de façon trop véhémente aux yeux de l'homme en noir.

Si Barcola a finalement été averti d'un jaune dix minutes plus tard, pour une simulation à l'entrée de la surface, cette sanction n'a pas apaisé le mécontentement de l'ancien portier du RC Lens. Ce dimanche, Téléfoot a diffusé des images montrant Samba s'adresser à l'arbitre, à la fin du premier acte. "Si vous mettez jaune là, c'est parce que vous savez que vous avez oublié ce jaune !", aurait-il lancé.

À l'issue du match, perdu 1-4 par le SRFC, l'entraîneur Habib Beye avait aussi expliqué ne pas comprendre comment l'arbitre avait pu valider le premier but parisien, en pointant du doigt le coup franc, à l'origine de l'action, tiré plusieurs mètres devant l'endroit de la faute. "Je ne comprends pas qu'un coup franc cinq mètres dans leur terrain soit joué cinq mètres dans le nôtre", avait-il questionné.

C’est pas mon problème

Arbitre du match entre le Stade Rennais et le PSG, Mathieu Vernice a répondu fermement à Habib Beye après l'ouverture du score parisienne et cela fait du bruit.

C’est pas mon problème

Dans le climat actuel autour des arbitres, celui qui officiait lors de la rencontre entre Rennes et Paris, ce samedi au Roazhon Park, a remis de l'huile sur le feu et alimenté les tentants du grand complot. Alors que Bradley Barcola venait d'ouvrir le score pour le PSG, Habib Beye a clairement fait remarquer, à juste titre, que Paris avait rapidement joué un coup-franc, mais bien loin du lieu où la faute avait été sifflée.

En effet, si la faute rennaise avait été commise dans le camp parisien, le coup-franc qui a suivi a été joué dans celui de Rennes. Dans les bribes du dialogue saisies par Beinsports, on entend clairement Mathieu Vernice dire à l'ancien consultant de Canal+ : "Ce n’est pas mon problème" alors que clairement il y a avait un problème. Et ce n'est pas tout.

En effet, quelques minutes plus tard, dans un geste un peu stupide, Bradley Barcola arrêtait volontairement le ballon de la main, mais échappait à un avertissement alors que Brice Samba, venu se plaindre de cette situation, prenait, lui, un avertissement. Un arbitrage assez étonnant et qui aurait pu avoir un impact puisque quelques minutes plus tard, le jeune attaquant du PSG prenait cette fois un avertissement suite à une simulation dans la surface rennaise.

La LFP lance une campagne originale pour la journée internationale des droits des femmes

À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, célébrée chaque année le 8 mars, la LFP a décidé de floquer le slogan "WO = MAN" sur tous les maillots des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2 à la place des noms des joueurs ce week-end.
La LFP lance une campagne originale pour la journée internationale des droits des femmes

La Ligue de football professionnel (LFP) lance une campagne originale à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, célébrée ce samedi 8 mars. Cette communication, via les réseaux sociaux, le digital et dans l'ensemble des stades de Ligue 1 et de Ligue 2 ce week-end, se décline autour du slogan "WO = MAN", qui sera floqué sur l'ensemble des maillots des clubs des deux divisions professionnelles à la place des noms des joueurs. C'est la première fois que deux équipes s'affrontant auront le même flocage.

Cette action s'inscrit dans les initiatives de l'instance ces derniers mois pour lutter contre les violences sexuelles et sexistes dans le football. Des groupes de travail ont ainsi été constitués pour sensibiliser l'ensemble des acteurs du football, avec le soutien des associations Colosse aux pieds d'argile, la Fondation pour le Sport Inclusif et Her Game Too, et avec le concours de six clubs pilotes (Toulouse FC, Stade Rennais FC, FC Metz, Paris FC, AJ Auxerre et ESTAC Troyes). La LFP souhaite inciter les femmes et les filles à venir au stade. Selon le baromètre IPSOS pour la saison 2023-2024, réalisé en novembre 2023, 26 % des femmes s'intéressent à la L1, ce qui constitue un record.

Tout un écosystème mobilisé
Si le foot pro se féminise en tribunes, dans les clubs la place des femmes est encore assez limitée. Il y a deux directrices générales en L2, Hélène Schrub à Metz et Pauline Gamerre au Red Star. Sarah Palluel, qui occupait la fonction de directrice générale adjointe à Troyes, a, elle, quitté ses fonctions en fin d'année dernière. Plus globalement, au sein de la Ligue et de la Fédération les femmes se font rares au poste de direction. On peut citer également Olga Dementeva, Directrice générale adjointe de l'AS Monaco.

Pour la campagne "WO = MAN", la LFP a souhaité mobiliser tout l'écosystème du foot, et notamment ses partenaires. Ainsi, Decathlon, qui fournit les ballons officiels des matches, y affichera le slogan. Des clips ont été tournés dans différents clubs avec le concours de joueurs comme Alexandre Lacazette (Lyon), Bradley Barcola (PSG) ou encore Denis Zakaria (Monaco). On les voit floquer un maillot de leur club.

Des personnalités extra-football, telles que l'humoriste Ilyes Djadel, la journaliste Cécile Grès ou encore la chanteuse Hoshi ont prêté leur concours à l'opération afin de mobiliser leur communauté. En parallèle de l'opération, les clubs avaient l'opportunité de mener les actions qu'ils souhaitaient. Ainsi le Stade Malherbe de Caen a demandé à Anne D'Ornano, épouse de Michel, homme politique, dont le stade normand porte le nom, de donner le coup d'envoi de son match contre Laval ce vendredi.

Mousa Al-Tamari, ce footballeur devenu porte-drapeau de la Jordanie

Mousa Al-Tamari a rejoint le Stade Rennais cet hiver en provenance de Montpellier, un transfert évalué à 8 M€. L’ailier droit est un joueur virevoltant, mais qui traîne la réputation de ne pas être suffisamment décisif devant le but. Il est surtout plus qu’un joueur de foot : porte-étendard de la Jordanie, son pays qu’il aime tant et pour lequel il tente de briller chaque jour dans l’espoir de faire une différence.

Mousa Al-Tamari, ce footballeur devenu porte-drapeau de la Jordanie

Il a coché la date depuis longtemps. Jeudi 20 mars, dans quatorze jours, Mousa Al-Tamari foulera à nouveau la pelouse du stade international d’Amman. À l’occasion du troisième tour des éliminatoires de la Coupe du monde pour la zone Asie, la Jordanie reçoit la Palestine dans un match ô combien important sur le plan sportif et évidemment hautement symbolique dans le contexte international des dix-huit derniers mois. "Nous aimons la Palestine et j’espère que la guerre pourra s’arrêter à Gaza, livre le jeune homme de 27 ans. Mais il s’agit d’un match de foot et nous devons le gagner."

Au cours de l’entretien qu’il nous a accordé, le regard d’Al-Tamari s’est éveillé à chaque question sur son pays, la Jordanie. Son sentiment d’appartenance, de fierté nationale, est le fil conducteur de sa carrière et de sa vie.

Il ne fait rien sans avoir une pensée pour son illustre territoire, ilot de paix partageant des frontières avec Israël, la Syrie, l’Irak et l’Arabie saoudite. Un pays peuplé de 11 millions d’habitants, dont 4 millions pour la seule capitale d’Amman, l’un des berceaux de l’humanité dont il est originaire. "Je pourrais facilement aller jouer au Qatar ou ailleurs au Moyen-Orient si j’étais à la recherche d’argent, poursuit-il. Mais si je veux être un meilleur joueur et rendre mon pays fier, c’est mieux de continuer à suivre mon rêve de jouer en Europe. De jouer pour des grandes équipes. Je ne le fais pas uniquement pour moi mais pour mon pays et ses habitants."

Il est aujourd’hui une exception dans le football européen. Seul joueur jordanien à évoluer dans l’un des cinq grands championnats, il lui a fallu prendre des chemins de traverse pour arriver jusqu’en Bretagne. S’extirper du football de son son pays, d’abord, où les petits intérêts entre amis surpassent souvent le cadre sportif, puis passer par Chypre, la Belgique et enfin Montpellier. Passer de l’amateurisme au professionnalisme a été une aventure et pour y arriver, Al-Tamari a travaillé plus que les autres, au sens propre du terme.

Une voix qui porte dans son pays
Ce fan de kick-boxing, grand blagueur à ses heures perdues, continue à bûcher encore aujourd’hui (il est venu à Rennes avec un coach privé), parce que dans sa situation, il a toujours tout à prouver, malgré tous les objectifs qu’il a atteints avec sa sélection (première finale de l’histoire de la Jordanie en Coupe d’Asie en 2023 notamment).

Fils d’une mère au foyer et d’un technicien spécialisé dans la climatisation, issu de la classe moyenne, le gaucher a profité du foot comme d’un ascenseur social sans pareille. Jusqu’à devenir le "Messi jordanien", un surnom que lui ont donné les fans chypriotes lors de son passage à l’Apoel Nicosie et qu’il déteste. Et un proche du prince héritier Hussein ben Abdallah. "Une très bonne personne, glisse-t-il, c’est lui qui prend soin de l’équipe nationale."

Au fil du temps, Al-Tamari est devenu un étendard de la Jordanie. Du haut de son million d’abonnés sur Instagram, sa voix porte plus que d’autres. "Le roi prend soin du pays, c’est le plus important pour nous", dit-il notamment sans faire de la politique, mais quand même un peu.

Homme de foi aussi, il a appris son sport dans une école de foot religieuse (Abu Hurairah) et va chaque jour ou presque à la Mosquée. "Et sinon, je reste à la maison et je joue à la Playstation", s’amuse celui dont la femme habite actuellement en Californie (États-Unis).

Ses convictions profondes ne le font pas dévier de son chemin. Il a dit un temps qu’après sa carrière, il aimerait devenir imam. Mais tout finit par le ramener au foot. "J’aimerais voir un autre joueur jordanien en Europe. Quand nous aurons trois ou quatre joueurs en Europe, l’équipe progressera. Cela permettra de changer la mentalité", argumente celui qui se rêve sélectionneur de la Jordanie une fois sa carrière terminée. Avant cela, une première qualification pour la phase finale de la Coupe du monde serait un nouvel accomplissement. Et cela le hisserait pour l’éternité au rang de héros national.

Construction d’un nouveau stade de football à Rennes

Le milliardaire breton François Pinault, propriétaire du Stade Rennais, avait exprimé en juin 2024 son désir de construire un nouveau stade sur la friche industrielle de la Barre-Thomas, à quelques centaines de mètres de l’actuel Roazhon Park, où il n’est que locataire. Huit mois plus tard, avec des résultats sportifs en berne, une opposition ferme des élus de la Ville et surtout un terrain qui semble inadapté, ce rêve semble progressivement s’évaporer.

Construction d’un nouveau stade de football à Rennes

Pour gonfler ses recettes, le Stade Rennais rêve d’un stade plus grand. Avec 29 000 places, l’actuel Roazhon Park n’est que la quinzième enceinte sportive de France. Loin, très loin des 80 000 places du Stade de France – le plus grand stade du pays – du Stade Vélodrome de Marseille (Bouches-du-Rhône) aux 67 000 places, ou encore du Groupama Stadium, à Lyon (Rhône), et ses 59 000 places. La Ville, qui est propriétaire de l’infrastructure louée entre 800 000 € et 1 million d’euros par an (selon le chiffre d’affaires du club), n’est pas contre un agrandissement.

François Pinault ne cache pas son désir de créer un nouveau stade pour son club.
La famille Pinault, qui possède le Stade Rennais depuis 1998, préférerait construire un nouveau stade de 45 000 places, dont elle serait propriétaire. François Pinault a même un terrain dans le collimateur, comme il l’expliquait dans nos colonnes en juin 2024 : la friche industrielle de la Barre-Thomas, ancien fief de Citroën, située à 400 mètres de là, de l’autre côté de la rocade. « L’architecte Jean Nouvel – c’est un ami – est prêt à se mobiliser sur ce projet. Ce nouvel investissement serait totalement financé par ma famille », rassurait-il.

D’autres chats à fouetter pour le Stade Rennais
Quelques mois plus tard et alors que le Stade rennais qui traverse une saison difficile a d’autres priorités, cette option de la Barre-Thomas se révèle de plus en plus être une impasse. Différentes raisons à cela. La première : la Ville ne veut pas en entendre parler. Au-delà de l’attachement revendiqué au stade historique, les raisons écologiques et les difficultés d’accès routiers pèsent lourd dans cette réticence.

Deuxième raison, et non des moindres : le terrain en lui-même. Le site de la Barre-Thomas, propriété des groupes Mazureau et Lamotte, est certes idéalement placé sur le papier. Près du berceau historique du Stade Rennais, près de la rocade, de la route de Lorient. En revanche, il ne sera pas disponible avant dix-huit mois, au mieux. C’est le temps que l’entreprise Cooper Standard juge nécessaire pour dépolluer les terres contaminées par les activités passées.

Parcelle trop étriquée ?
Par ailleurs, la surface disponible semble difficilement compatible avec la construction d’un nouveau stade d’ampleur. Le terrain fait à peine 10 hectares. C’est plus que l’actuel Roazhon Park, jugé étriqué, et qui est installé sur 6,6 hectares. Est-ce pour autant suffisant ? Quelle serait la surface idéale pour un nouveau stade ? À titre d’exemple, à l’autre bout de la Bretagne, Brest s’apprête à bâtir sa nouvelle arène de 32 000 m² (trois gros hectares donc) sur une parcelle totale de 18 hectares, qui intègre les voies d’accès. Seulement les Finistériens visent une jauge maximum de 15 000 spectateurs.

Pour trouver une enceinte de taille équivalente à ce que veulent les Rennais, il faut regarder vers Bordeaux (Gironde) où en 2015, un stade multifonction de 42 000 places a été inauguré. Peu ou prou ce que voudrait François Pinault donc. Le stade, seul, s’étend sur 4,6 hectares pour une parcelle totale là encore de plus de 18 hectares.

Un nouveau Roazhon Park, et ses parkings, devrait alors tenir sur dix hectares. Ou plutôt neuf. En effet, dans un communiqué, le promoteur rennais qui poursuit en attendant la commercialisation de la zone, indiquait que sur cette parcelle « des réflexions sont avancées pour le développement d’un pôle sport indoor sur une surface de 6 000 à 12 000 m² », avec pourquoi pas terrains de soccer ou de paddle. Le rêve de François Pinault devra sans doute trouver un autre lieu pour s’exaucer.

13 000
C’est le nombre de places qu’il serait techniquement possible d’ajouter à l’actuel Roazhon Park, selon une étude commandée par la Ville et rendue au club à l’été 2024. À ce jour, le Stade Rennais ne s’est pas positionné sur ce possible agrandissement.

Ce club de foot dévoile un maillot inspiré par l’univers horrifique de Chair de poule

Le frisson s’invite sur le terrain ! Pour la saison 2025, le Columbus Crew frappe fort avec un nouveau maillot secondaire inspiré par l’auteur culte de la saga « Chair de poule », R.L. Stine. Ce design unique, qui joue sur une esthétique sombre et surnaturelle, marque un tournant historique en MLS : c’est le premier maillot du championnat à intégrer une technologie réactive aux UV.

Ce club de foot dévoile un maillot inspiré par l’univers horrifique de Chair de poule

Si ce maillot attire autant l’attention, ce n’est pas seulement pour son clin d’œil à Chair de poule, la série littéraire qui a fait trembler des millions de lecteurs. Il rend aussi hommage aux supporters du club, qui, en 2022, avaient conçu un tifo inspiré du livre « Frissons en eau trouble » lors du derby Hell is Real contre le FC Cincinnati. L’illustration n’avait pas laissé R.L. Stine indifférent, qui avait réagi sur X (ex-Twitter) avec un enthousiaste : “Go Crew!”

Un hommage à l’horreur et aux supporters
Le maillot se distingue par une base noire sur laquelle semble couler une substance jaune fluo, rappelant le célèbre “slime” des couvertures des livres. Et ce n’est pas tout : sous une lumière ultraviolette, les motifs prennent vie, donnant un effet encore plus effrayant sous les projecteurs.

Un design immersif pour faire trembler la MLS (Major League Soccer)
Pensé par Adidas, le maillot reprend des éléments phares de l’univers de Stine, tout en affichant fièrement le logo Goosebumps (soit l’appellation originale de Chair de poule) sur l’étiquette avant. Un lettrage “Columbus Crew” dégoulinant en style slime habille également le design. Le sponsor principal Nationwide occupe le centre de la tunique, tandis que la manche droite accueille pour la première fois le logo de DHL Supply Chain, nouveau partenaire officiel du club.

Katie Foglia, vice-présidente du marketing et de la stratégie de marque du Crew, voit dans ce design un condensé parfait de l’identité du club. “C’est une célébration de Columbus, de nos racines et de nos fans qui ont su intégrer cette culture horrifique dans leurs tifos au fil des années. Nous sommes ravis de voir les joueurs porter ce maillot et d’écrire un nouveau chapitre de notre histoire.”

R.L. Stine, lui-même, n’a pas caché son enthousiasme : “Mon équipe de cœur, le Columbus Crew, m’a toujours donné des Goosebumps! J’ai hâte de les voir effrayer leurs adversaires cette saison. Opponents, beware — you’re in for a scare!”

Les joueurs du Columbus Crew ont étrenné ce maillot inédit lors de leur match d’ouverture de la saison, le 22 février contre le Chicago Fire. Tandis que les supporters peuvent déjà mettre la main sur cette pièce de collection, disponible en exclusivité sur la boutique en ligne du club. Pour en savoir plus sur l’initiative, rendez-vous sur le site officiel du club.

Avec cette création audacieuse, le Columbus Crew prouve une fois de plus que l’histoire du football ne se limite pas au terrain, mais se raconte aussi à travers des maillots qui marquent les esprits… et donnent la chair de poule.

L’occasion idéale de vous (re)partager l’idée très originale de l’artiste italien Carlo Libri qui avait imaginé des maillots de football qui s’inspirent des personnages de Dragon Ball.

La France fait une promesse à DAZN, les pirates vont prendre cher

En France, DAZN se plaint depuis le début de la saison du piratage qui l'empêche d'avoir le nombre d'abonnés suffisant. Des moyens vont être mis en place dans les prochaines semaines pour tenter d'endiguer ce phénomène.

La France fait une promesse à DAZN, les pirates vont prendre cher

Les problèmes liés aux droits tv sont encore très loin d'être réglés en France. DAZN est en conflit ouvert avec la Ligue de Football Professionnel, accusée de ne pas assez prendre le problème du piratage au sérieux. Le média anglais n'a pas le nombre d'abonnés suffisant pour rentrer dans ses frais, ce qui pourrait entrainer un nouveau fiasco terrible pour le football français. L'Etat prend le problème au sérieux et aimerait notamment que le football soit moins dépendant des droits TV et des transferts. C'est en tout cas l'avis assumé de la ministre des Sports, Marie Barsacq.

Une proposition de loi en préparation

Ces dernières heures lors de mots échangés à sa sortie d’une réunion de crise organisée par la Fédération française de football, la ministre a en effet indiqué sur le sujet, promettant notamment d'aider à contrer le piratage : "Il y a des fragilités économiques sur lesquelles il faut véritablement travailler. Je sors de cette réunion, j’ai trouvé un climat de travail avec une vraie prise de conscience des différents enjeux. Maintenant je vais laisser les présidents de clubs discuter entre eux pour commencer à dresser les solutions et dresser la voie de cette refondation du football professionnel. Je suis plutôt optimiste. On a besoin d’avoir un football professionnel en bonne santé. Il faut s'attaquer au piratage, qui fragilise les diffuseurs. Nous travaillons pour une proposition de loi qui vienne outiller l’ARCOM et les clubs pour pouvoir faire du contrôle et interdire le piratage au maximum". Reste à savoir si cela sera suffisant pour rassurer DAZN, qui pourrait de nouveau menacer de ne pas régler son dû à la LFP si son nombre d'abonnés ne grimpe pas très vite.

S.G.S.B.

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