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Le procès du vol de la bâche du RCK a lieu ce mercredi 30 novembre

Quatre ultras du PSG doivent être jugés, mercredi 30 novembre 2022, devant le tribunal correctionnel de Rennes, pour le vol avec violence de la bâche du RCK, en septembre 2021, à Bréteil.

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Mercredi 30 novembre se tiendra le procès du vol de la bâche du RCK (principal groupe ultra du Stade Rennais). Quatre ultras du PSG seront jugés pour vol avec violence dans la nuit du 22 au 23 septembre 2021, à Breteil (Ille-et-Vilaine).

Initialement prévu en juin dernier, le procès avait été renvoyé. Depuis, les quatre hommes sont sous contrôle judiciaire. Ils ont tous interdiction d’entrer en contact les uns avec les autres et avec la victime, ainsi que de se rendre en Ille-et-Vilaine, et dans un stade. Plusieurs d’entre eux doivent aussi pointer au commissariat les soirs de matches du PSG.

Les quatre hommes, âgés d’entre 28 et 30 ans, avaient été interpellés le mardi 1er février 2022 en région parisienne, à la suite d’une enquête de la gendarmerie de Montfort-sur-Meu. Les perquisitions n’avaient pas permis de retrouver la bâche volée à un membre du RCK, devant son domicile d’une commune proche de Rennes.

À l’époque, le procureur de la République de Rennes avait précisé que l’enquête des gendarmes avait permis d’identifier ces hommes comme membres du groupe Karsud, des ultras du PSG qui ne se rendent plus au stade depuis la saison 2017-2018.

Proscrits par la Fifa sur le terrain, les brassards "One Love" en rupture de stock

Durant la Coupe du monde 2022 au Qatar, plusieurs capitaines de sélections nationales ont souhaité porter un brassard arc-en-ciel, flanqué du message « One Love », pour défendre des valeurs d’inclusion et de diversité. La Fifa a finalement interdit le geste. Basé à Utrecht (Pays-Bas), le fabricant des brassards affirme en avoir vendu 10 000 et se trouver désormais en rupture de stock.

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Par leur absence, les brassards "One Love" n’ont jamais autant fait parler d’eux. Dans le but de défendre des valeurs de diversité et d’inclusion, plusieurs capitaines de sélection de football avaient prévu de porter ce bout de tissu blanc, flanqué d’un cœur arc-en-ciel, lors des matches de leur équipe durant la Coupe du monde 2022 au Qatar. La Fifa avait finalement empêché cette initiative en la menaçant de lourdes sanctions.

Un coût de 4,99 €
Cette proscription n’a pas empêché la vente de ce brassard. Au contraire. Comme l’indique Reuters, leur fabricant, basé à Utrecht (Pays-Bas), a affirmé qu’il se retrouve en rupture de stock, après une semaine de compétition.

Son entreprise Badge Direct BV aurait ainsi expédié 10 000 brassards en quinze jours, pour la modique somme de 4,99 euros.

Cinq films autour du football à voir pendant ce Mondial

Si pour vous, le foot, c’est plutôt devant un écran que derrière le ballon rond, ça tombe bien : on vous a préparé une petite liste de films qui collent à l’actu du moment, sans devoir mettre les pieds au Qatar pour autant.

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Didier, le plus drôle
Premier film d’Alain Chabat en tant que réalisateur, Didier est une comédie complètement loufoque, où le héros, qui s’appelle donc Didier, n’est autre qu’un chien qui se serait réincarné en humain. Et qui au passage, devient la star du ballon rond grâce à son agent, joué par un excellent Jean-Pierre Bacri. Dans le rôle de Didier, le réalisateur himself. Un must-see qui vous fera mourir de rire.

Joue-la comme Beckham, le film à gros succès
Sorti en 2002, le film Joue-la comme Beckham a réalisé un carton lors de sa sortie en salles et est désormais considéré comme l’un des plus grands succès du cinéma britannique. En tout cas sur le plan commercial, puisqu’il a en effet généré plus de 75.000.000 dollars de recettes mondiales.

De quoi ça parle ? Jess, une adolescente d’origine punjabi, habitant la banlieue de Londres, est archifan de football et encore plus de David Beckham. Vu ses origines, elle cache cette passion à sa famille, qui n’a qu’une chose en tête : le futur mariage de Jess. Grâce à sa rencontre avec Jules (jouée par une Keira Knightley encore très peu connue à l’époque), Jess va enfin pouvoir intégrer une équipe féminine de football et vivre sa passion à fond. En tombant au passage amoureuse de l’entraîneur, ce qui, vu sa famille, ne va pas arranger les choses.

Si vous pensiez par contre y voir le vrai Beckham, c’est raté puisque David et Victoria n’ont jamais pu libérer leur agenda très busy pour apparaître au casting. La réalisatrice a donc été contrainte d’utiliser des sosies.

Hooligans, le film qui nous laisse au bord des stades
Avec ce titre évocateur, on ne sera pas surpris d’apprendre que le film Hooligans nous emmène au bord des stades de foot, dans les gradins, plutôt que sur le terrain. On y suit Matt, un étudiant américain qui vient de se faire renvoyer d’Harvard pour possession de drogue. Ne sachant pas trop quoi faire de sa vie, il finit par aller en séjour chez sa sœur, qui vit en Angleterre. Et il y fait la rencontre du beau-frère de cette dernière, qui n’est autre que le chef du Green Street Elite, un groupe de hooligans du club de West Ham United. Matt y découvre un monde tout à fait nouveau pour lui, qui ne le laisse pas complètement indifférent.

Dans le rôle de Matt, vous trouverez un Elijah Wood qui, au moment du tournage, sort tout juste de la trilogie du Seigneur des Anneaux. Il opère donc un virage à 180° avec ses précédents films, mais on s’y fait, rassurez-vous !

À noter que le film a bien failli ne jamais voir le jour puisque l’Angleterre freinait des 4 fers face à l’annonce d’un tel projet, qui aurait remis de l’huile sur le feu dans le dossier très chaud du hooliganisme anglais. L’accès aux stades pour les caméras était globalement très compliqué à obtenir pour les équipes de tournage. Rajoutez à cela une production portée essentiellement par des femmes, dans un milieu reconnu pour son machisme, et vous avez tous les ingrédients pour aboutir à un échec du projet. Mais c’était sans compter la ténacité de l’équipe… Le film a bien fini par sortir en 2005, et a même eu droit à 2 suites en 2009 et 2014.

Looking for Eric, le film un peu déprimant mais pas trop
Eric Bishop partage 2 choses avec son idole : la passion pour le foot et le même prénom. Son idole, c’est le célèbre Eric Cantona. Lequel, en plus d’être footballeur professionnel, a aussi réussi à prouver ses talents d’acteur grâce au récit que nous livre Ken Loach dans Looking for Eric.

Concrètement, la vie d’Eric (Bishop) est un peu morose, sa famille n’égaye en rien son quotidien. Alors, quand le grand Cantona, dont le portrait trône fièrement au mur, semble le regarder attentivement, Eric commence à imaginer ce que ferait son idole dans pareille situation. Résultat : un film un peu barré mais entraînant, qui vaut franchement le détour !

Pour la petite histoire, l’idée du film a été soufflée par Cantona à l’oreille de Ken Loach, et est basée sur une vraie relation qu’il entretenait avec un fan.

Les Petits Princes
On termine par une comédie dramatique qui sent bon l’espoir. Dans Les Petits Princes, film français sorti en 2013, on suit l’histoire de JB, un jeune espoir du football qui, du haut de ses 16 ans, n’a qu’un seul rêve : devenir footballeur professionnel. Son principal problème est qu’il est porteur d’une anomalie cardiaque qui devrait normalement le tenir éloigné des terrains de foot. Ce qu’il n’est évidemment pas prêt à faire.

Alors, il cache son problème de santé à tout le monde, malgré les doutes et interrogations de certains, et continue à risquer sa vie tous les jours sur le gazon.

La colère d'Elio Di Rupo: La FIFA montre que la seule chose qui compte, c’est l’argent

Le brassard "OneLove", en faveur de l'inclusivité, a été interdit par la FIFA, qui a fait peser de grosses sanctions sur les joueurs désireux de braver cette interdiction.

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Ce geste a soulevé la colère de nombreuses personnes, y compris le ministre-président du gouvernement wallon, Elio Di Rupo. "J’adresse un carton rouge à la FIFA pour son attitude vis-à-vis des équipes qui portent les brassards OneLove, écrit-il sur Twitter. C’est intolérable et cela va à l’encontre des valeurs inclusives enseignées par le sport. J’encourage vivement les Diables Rouges à le porter !"

Les Diables Rouges avaient déclaré lundi décider de ne pas porter le brassard, redoutant les cartons jaunes brandis en cas de non-respect des règles. "J'ai peur de dire quoi que ce soit. Je ne me sens pas à l'aise, c'est assez révélateur que nous sommes sous pression. C'est une situation regrettable que je n'ai jamais connue dans le football et j'espère ne plus revivre", avait déclaré Jan Vertonghen lors d'un point presse mardi.

C'est la FIFA qui est décevante
Elio Di Rupo a également exprimé sa tristesse à nos confrères de Sudinfo. "Cela me chagrine de voir que la FIFA, qui devrait montrer l’exemple en matière de sport et de libertés individuelles, décide finalement de se coucher devant les exigences nationales", déplore-t-il. "Ce brassard n’était pas seulement un symbole pour les LGBTQ+, mais un signe pour dire 'on est chez vous', mais nous défendons les libertés d’aller et venir, de vivre sa vie comme on l’entend, poursuit Elio Di Rupo. C’était vraiment une opportunité formidable mais là, la FIFA montre que la seule chose qui compte, c’est l’argent."

Cependant, le ministre-président du gouvernement wallon invite nos joueurs belges à porter le brassard en dépit de la menace, d'après son tweet. Une invitation qu'il nuance au vu du risque encouru par nos joueurs: "Je n’accable ni les fédérations nationales ni les joueurs. Je me rends compte que les joueurs peuvent être sanctionnés d’une carte jaune et cela peut s’avérer un réel handicap dans une compétition de cette importance", explique Elio Di Rupo.

Elio Di Rupo regrette un impact fort qui aurait pu être fait et qui n'aura pas lieu: "Un joueur de football, de hockey ou de tennis qui porte un tel brassard, cela a un impact important sur les jeunes (…) Cela doit nous faire prendre conscience que nous avons la chance de vivre en Belgique et en Europe".

La FIFA aux mains du Qatar, l’Angleterre sous le choc

Comme les autres nations européennes, l’Angleterre a renoncé au brassard "One Love" arc-en-ciel face aux menaces de la FIFA.

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A l’instar d’Hugo Lloris, le capitaine anglais Harry Kane a renoncé au brassard "One Love" aux couleurs de l’arc-en-ciel pour la Coupe du monde au Qatar. Il faut dire que la FIFA a fait son maximum pour dissuader les sélections d’arborer ce brassard en menaçant les capitaines d’un carton jaune avant même le coup d’envoi de la rencontre pour tenue non-conforme. Au lendemain de la victoire de l’Angleterre face à l’Iran (6-2) et de ce renoncement de la Fédération anglaise de faire porter ce brassard aux couleurs LGBTQ+, la presse britannique a été très critique à l’égard de la FIFA mais également de la fédération anglaise. "Oui, c'est une capitulation. Oui, c'est un drapeau blanc plutôt qu'un brassard arc-en-ciel. Mais ce retour en arrière honteux devrait jeter un éclairage critique bien plus féroce et bien plus accablant sur la FIFA et les organisateurs qataris" peut-on lire dans les colonnes du Daily Mirror.

La presse anglaise détruit la FIFA et le Qatar

"La protestation de l'Angleterre a toujours été un geste creux. Mais les vrais méchants ici sont encore la FIFA" peste de son côté le Daily Mail, préférant s’attaquer à la FIFA qui se plie aux règles du Qatar plutôt que de critiquer la fédération anglaise. Journaliste pour la BBC, Alex Scott était présente au bord de la pelouse pour le match entre l’Angleterre et l’Iran lundi après-midi. Elle a eu le courage de porter le brassard "One Love" aux couleurs de l’arc-en-ciel malgré les pressions de la FIFA et du Qatar. Un geste salué dans son édition du jour par The Telegraph, qui regrette qu’Harry Kane et la sélection anglaise n’aient pas eu le même courage que la présentatrice de la BBC. Quoi qu’il en soit, la FIFA et les organisateurs qataris n’ont pas fini d’être critiqués à ce sujet alors que plusieurs sélections européennes ont été contraintes de renoncer à ce brassard, dont l’Equipe de France. De son côté, Hugo Lloris a annoncé publiquement avoir accepté de porter le brassard classique de l'instance mondiale, expliquant vouloir respecter les règles locales.

Martin Terrier joueur du mois d’octobre

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Didier Deschamps n’ayant pas souscrit d’abonnement Ligue 1 depuis deux ans, ne pouvait pas le savoir. Fervent amoureux de la Bundesliga et de Francfort (à moins que Nantes, avant…), le sélectionneur des Bleus a découvert ce jeudi que Martin Terrier, joueur du Stade Rennais, club sympathique méconnu pour lui évoluant en Rouge et Noir (et surtout, en Ligue 1, ce championnat inconnu pour Dédé qui ne se souvient que des clubs où il passa) était élu Joueur du mois d’octobre devant son coéquipier Amine Gouiri et un certain Leo Messi, bien connu en revanche du sélectionneur des Bleus mais hélas non sélectionnable pour la France.

Avec cinq buts et trois passes décisives, le numéro 7 rennais a confirmé son excellent début de saison et véritablement porté son équipe, inarrêtable depuis début septembre. Egalement très convaincant sur la scène européenne, l’ancien lyonnais confirme sa magnifique saison passée avec 11 buts et 4 passes décisives toutes compétitions confondues et reçoit cette récompense pour la seconde fois de sa carrière sous les couleurs bretonnes, après son titre obtenu en mars dernier. De la continuité, de la régularité, des stats, la coupe d’Europe et le haut de tableau, chapeau l’artiste.

Je ne plaisais plus à Rennes

Convoqué par le Sénégal pour la Coupe du monde, le gardien Alfred Gomis s'exprime pour la première fois sur sa situation complexe à Rennes, où il n'a plus joué avec l'équipe première depuis le 21 mai (contre Lille, 2-2).
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Depuis l'arrivée de Steve Mandanda à Rennes pendant le mercato estival, le gardien de but sénégalais Alfred Gomis (29 ans) s'est vu rétrogradé à la quatrième place dans l'équipe première. Marquée par plusieurs absences (Covid, départ pour la CAN en janvier avec le Sénégal et une fracture au doigt), sa fin de saison dernière a fragilisé sa position en Ligue 1.

Depuis la reprise du Championnat, il n'a joué que deux matches, l'un, amical, avec le Sénégal contre la Bolivie (2-0, le 24 septembre), et un autre en National 2 avec la réserve de Rennes contre le Racing CFF (5-1, le 5 novembre), où il a été expulsé après seulement dix minutes pour être intervenu de la main en dehors de la surface. Avec le Sénégal, il est numéro 2 derrière Édouard Mendy.

Vous vous apprêtez à participer à la Coupe du monde avec le Sénégal. Dans quel état d'esprit êtes-vous alors que vous avez très peu joué en club ?
Ma situation en club n'est pas des plus positives, et cela indépendamment de ma volonté. En sélection, on en a bien sûr parlé, mais cela n'a pas altéré la confiance que l'on m'y accorde. Le coach a choisi les meilleurs joueurs disponibles pour amener le plus haut possible le Sénégal, et c'est une fierté pour moi. C'est dans l'optique de me préparer au mieux que j'avais demandé à mes dirigeants à Rennes de pouvoir jouer avec l'équipe réserve, vu que l'on ne m'a pas donné cette saison la possibilité d'être avec l'équipe de Ligue 1.

Comment expliquez-vous votre rétrogradation de premier à quatrième gardien entre la saison passée et l'actuelle ?
Difficile pour moi de donner une explication. Je peux juste dire qu'en fin de saison dernière j'ai parlé avec notre directeur technique (Florian Maurice) et notre coach (Bruno Genesio), qui m'ont communiqué leur décision de prendre un nouveau gardien titulaire. Ils m'ont dit : "Si tu restes à Rennes, tu seras le troisième gardien." Puis un gardien est recruté (Steve Mandanda). Et là, on me dit que je ne fais plus partie du projet rennais et que je dois partir.

Fin juin, Florian Maurice nous indiquait : "L'idée est de trouver un autre gardien et la meilleure solution pour Gomis"...
Eh bien, si l'on est arrivé à cette situation, cela veut dire que la meilleure solution pour moi n'a pas été cherchée ni trouvée ! Mon agent est en relation avec lui pour voir comment les choses peuvent évoluer. Mais je constate juste que, sans qu'il y ait eu de fracture, de rupture, je me trouve écarté du projet du club. Je continue à m'entraîner tous les jours avec l'équipe et l'entraîneur des gardiens travaille avec moi très professionnellement. Rien à dire là-dessus.

"Je me retrouve dans une situation qui, d'ordinaire, est celle d'un joueur qui crée des problèmes, divise un vestiaire"

Quelle a été la réaction du club à votre convocation pour le Mondial ?
Les responsables étaient sincèrement contents. Cela peut faire sourire parce que l'on m'a mis dans une situation où je risquais de perdre ma place en équipe nationale. Quelqu'un a sûrement dit : on n'a plus besoin de Gomis. Je ne plaisais plus, je ne faisais plus l'affaire, alors que tout s'est bien passé pendant pratiquement deux ans.

Au cours de la saison dernière, vous a-t-on préparé à cette décision ?
Absolument pas. J'étais et je suis toujours en bons rapports avec l'équipe, notre entraîneur, notre directeur sportif, notre président, Olivier Cloarec. Mais j'ai vraiment de quoi me poser des questions. Je me retrouve dans une situation qui, d'ordinaire, est celle d'un joueur qui crée des problèmes, divise un vestiaire, etc. Mes dirigeants ont toujours dit que je n'étais pas un joueur qui faisait des histoires. J'ai toujours pensé au collectif, alors que, par exemple, j'aurais pu émettre des remarques sur la méthodologie d'entraînement des gardiens. Mais je ne voulais pas créer de problèmes dans le vestiaire. J'ai préféré attendre la fin de saison pour leur dire tout ça. J'aurais peut-être dû me manifester plus tôt.

"Lorsqu'on évalue un joueur, il faut le faire dans la globalité. Victoires et défaites sont le résultat d'un ensemble, d'un collectif"

Pensez-vous avoir payé des prestations insuffisantes ?
J'ai sûrement fait des erreurs comme j'ai aussi fait de bonnes choses. Mais lorsqu'on évalue un joueur, il faut le faire dans la globalité. Victoires et défaites sont le résultat d'un ensemble, d'un collectif. Sur la saison 2021-2022, j'ai, dans la première partie, pu bénéficier d'une grande continuité, avec des résultats positifs pour l'équipe. Avec la nouvelle année, cela a été plus compliqué. Entre le Covid, mon départ pour la CAN, ma fracture à un doigt, j'ai été indisponible à plusieurs reprises.

Mais vous disputez les trois dernières journées, décisives pour l'Europe.
Après coup, certains pourraient dire : il aurait dû attendre. Mais je ne pense pas de cette manière. J'étais prêt à rejouer, je n'avais plus de douleur au doigt. Je ne regrette absolument pas. Même si quelqu'un, apparemment, a jugé, en faisant le bilan de ces trois matches, que je ne méritais plus de faire partie du projet. Sachant que dans ces trois rencontres, il y a eu la victoire (2-0) face à l'OM, où l'on m'a crédité d'un bon match, cela veut dire que l'on m'a écarté en se basant sur la défaite à Nantes (2-1, 36e journée) et le match nul à Lille (2-2, 38e journée). Alors que l'on avait atteint l'objectif européen fixé.

Vous êtes sous contrat jusqu'en 2025. Comment sortir de l'impasse ?
Là, je suis entièrement immergé dans l'aventure du Sénégal. Et je laisse travailler mon agent. Mais je suis un gardien de 29 ans et cette situation est vraiment compliquée. Elle est d'autant plus incompréhensible qu'il me reste trois ans de contrat et que ce n'est bénéfique ni pour moi ni pour le club d'être mis aux oubliettes. À moins de vouloir jeter l'argent par les fenêtres."

Programmation TV exceptionnelle, J16 et J17

En accord avec Prime Video et Canal+, diffuseurs officiels de la Ligue 1 Uber Eats, les 16ème et 17ème journées de Ligue 1 Uber Eats, qui marqueront la reprise du championnat durant les fêtes, feront l’objet d’un dispositif exceptionnel.
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16ème JOURNÉE DE LIGUE 1 UBER EATS

Mercredi 28 décembre 2022

• 2 matchs à 15h00 sur Prime Video

• 1 match à 17h00 sur Prime Video

• 1 match à 19h00 sur Prime Video

• 2 matchs à 21h00 : 1 match sur Canal+ et 1 match sur Prime Video

Jeudi 29 décembre 2022

• 1 match à 17h00 sur Prime Video

• 1 match à 19h00 sur Prime Video

• 2 matchs à 21h00 : 1 match sur Canal+ et 1 match sur Prime Video

17ème JOURNÉE DE LIGUE 1 UBER EATS

Dimanche 1er janvier 2023

• 4 matchs à 15h00 sur Prime Video

• 1 match à 17h05 sur Canal+

• 1 match à 20h45 sur Prime Video

Lundi 2 janvier 2023

• 1 match à 15h00 sur Prime Video

• 1 match à 17h00 sur Prime Video

• 1 match à 19h00 sur Prime Video

• 1 match à 21h00 sur Canal+

Le programme complet de la trêve

Le Stade Rennais n’a plus de match officiel à disputer avant le 28 décembre. Cette trêve aura une influence forte sur la suite de la saison. Il faut donc la gérer au mieux. Voici le programme complet.

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La Ligue 1 s’apprête à traverser une période qu’elle n’a jamais connue, avec cette trêve forcée du 14 novembre au 28 décembre, Coupe du monde oblige. Le Stade Rennais n’échappe pas à la règle et à l’inconnu, il faut arriver à tirer le meilleur. C’est en ce sens que les Rouge et Noir ont établi leur programme pour les six prochaines semaines.

D’abord, des vacances

Les joueurs rennais vont pouvoir profiter avant toute chose de plusieurs jours de congé. Loin d’être inutile à la vue de l’énergie déployée pendant quatre mois. Les plus chanceux coupent deux semaines et demie, jusqu’au 30 novembre. Il s’agit de Romain Salin, Lorenz Assignon, Xeka, Benjamin Bourigeaud, Flavien Tait et Martin Terrier.

Pour ceux qui sont internationaux mais ne participent pas à la Coupe du monde, il faut patienter jusqu’à la fin de la semaine pour avoir des congés, après les matches avec leurs nations respectives. Ceux-là reprendront l’entraînement en différé, à partir du 5 décembre (Alemdar, Meling, Traoré, Belocian, Truffert, Désiré Doué, Ugochukwu, Gouiri, Kalimuendo, Abline)

Du côté des mondialistes (Mandanda, Gomis, Wooh, Theate, Rodon, Majer, Sulemana, Doku), le retour sera progressif en fonction du parcours réalisé au Qatar.

Un stage au Portugal

Comme la plupart des clubs, le SRFC a fait le choix d’un stage au sud de l’Europe, là où le climat est plus tempéré à cette période de l’année. Il rejoindra Faro (Portugal) à partir du 9 décembre, jusqu’au 16. Hébergés dans le luxueux hôtel Wyndham, les Rennais effectueront leur préparation dans un centre dédié à la haute performance, Quinta do Lago.

Ils ont privatisé le terrain d’entraînement, la salle de musculation et la partie balnéothérapie. Là-bas, ils disputeront deux matches amicaux face à de bonnes équipes européennes : le Celtic Glasgow, samedi 10 décembre (premier du championnat écossais), et le Feyenoord Rotterdam (premier du championnat néerlandais), vendredi 16.

Un temps fort de la trêve. "On va faire une deuxième préparation avec des retours échelonnés. Il y a de très bonnes installations, c’est important de casser la routine, se retrouver entre nous", livre Bruno Genesio.

Journées des abonnés et amical au Roazhon Park

Les Rennais seront de retour à Rennes vendredi 16 décembre au soir. Ils concluront leur préparation par un match face à Angers, mercredi 21 décembre au Roazhon Park. Cette rencontre sera le point final des journées des abonnés, qui auront lieu du 16 au 21, avec notamment un entraînement ouvert au public, des visites du stade et de la nouvelle Galerie des légendes.

Le championnat reprendra le 28 ou 29 décembre par un déplacement à Reims. On peut imaginer que durant toute cette période, le staff, comme il a l’habitude de le faire, adaptera la préparation des joueurs au cas par cas. Si elle comporte son lot d’incertitudes, cette trêve devrait permettre à un joueur de retour de blessure comme Warmed Omari de rentrer petit à petit dans le rythme. Et au staff de continuer à travailler les automatismes, ce qu’il n’a pas pu vraiment faire lors des quatre premiers mois intenses de compétition. "Pour moi, c’est une deuxième saison qui débute le 28 décembre, ajoute le coach rennais. On est content aujourd’hui, mais on part complètement dans l’inconnu."

Tous les records volent en éclat

Nombre de matchs sans défaite, de points, de victoires à domicile... Rien ne semble résister aux Rouge et Noir cette saison, même les records établis la saison dernière.

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Si la saison passée fut celle de tous les records pour le Stade Rennais, celle en cours pourrait bien tout engloutir sur son passage. Les temps de passage de cette équipe à la trêve sont, en effet, juste monstrueux.

Record de points à la 15e journée

Avec 31 points, le Stade Rennais enregistre le meilleur total de son histoire à la 15e journée. L’an passé, saison record avec 66 points au final, le SRFC avait attendu la 17e journée pour se mettre sur son 31. Il est donc déjà en avance. Imaginez, lors de la saison 2014-2015, c’était lors de la 24e journée (stat Rouge Mémoire). Les progrès du club résumés en une stat ! 31 points, c’est plus de deux points par match, une moyenne qui permet généralement d’être sur le podium, ou pas très loin.

L’attaque aussi sur son 31

Côté buts marqués, Rennes est aussi très en avance sur la saison dernière qui était la meilleure de son histoire en Ligue 1 (82 buts en 38 journées). Après la 15e journée, voilà le SRFC avec… 31 buts, ce qui fait de lui la 2e meilleure attaque derrière le PSG. L’an passé à la 15e journée, les Rouge et Noir en étaient à 26.

Le Roazhon citadelle imprenable

Grâce à cette victoire contre Toulouse au Roazhon Park, le SRFC signe sa 7e victoire de suite à domicile en Ligue 1. Seul Lens a fait mieux cette saison avec huit victoires. Vingt et un points pris sur 24 avec, comme seul faux, pas la défaite inaugurale contre Lorient. En 1966 et 2011, le Stade Rennais avait déjà connu pareil invincibilité à la maison. Le record à faire tomber de huit victoires remonte à la saison 2004-2005.

Invincibles Rennais

Les hommes Genesio n’ont plus perdu depuis le 27 août (Lens, 2-1), cela fait maintenant 17 matches, 11 en Ligue 1 et 6 en Ligue Europa. Cela fera donc quatre mois lors de la reprise de la Ligue 1, le 28 ou le 29 décembre à Reims. Cette série de 17 matches est le record du Stade Rennais depuis qu’il évolue en première division, le record absolu est de 22 matches en D2 en 1988-1989.

On est très contents de ces derniers mois

Venu en zone mixte avant la trêve du Mondial au Qatar, Olivier Cloarec, le discret président du Stade Rennais, évoque un parcours quasi sans faute de son club et des ambitions intactes, voire rehaussées.
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Avec 31 points en 15 journées et une qualification en barrages de la Ligue Europa, l’entraîneur Bruno Genesio a parlé d’un « excellent début de saison ». Vous confirmez ?
Oui, je partage évidemment son avis. Tant au niveau comptable qu’au niveau de la manière, on est très contents de ce qui s’est passé sur ces derniers mois. Trente et un points, c’est le nombre de points que nous avions à la trêve la saison passée. Là, on a quatre matchs en moins… Au niveau performances, c’est très, très bien. Sur certains matchs, on a aussi montré de belles choses. Même si, sur les derniers, c’était un peu plus laborieux sur le terrain, il faut aussi le dire. Mais le bilan est très satisfaisant, oui.

À la fin du mercato, les doutes existaient, sur l’ensemble des lignes finalement. Ce groupe a vite pris corps, comment l’expliquez-vous ?
À chaque mercato, il y a des doutes. Chaque club pense avoir fait le meilleur qui soit et puis il y a des réussites et des échecs. Aujourd’hui, on est très content du mercato effectué. Encore une fois, c’est un travail au quotidien, réalisé par Florian Maurice (directeur technique) et toute son équipe, notamment Jérôme Bonnissel (responsable des scouts), qui porte ses fruits. C’est bien, mais on est mi-novembre. L’important, ce sera le 5 juin prochain…

Le Stade Rennais semble avoir changé de dimension, en assumant d’être un « gros » de L1 aujourd’hui, non ?
Je ne sais pas si on est un « gros », mais on le répète, et à maintes reprises : le club a de l’ambition. On travaille pour ça. On est très content de répéter les performances qui ont été faites les saisons passées. Cela fait cinq ans qu’on fait la coupe d’Europe. On a été, cette année, qualifié pour le tour suivant, après quatre journées en poules. Le club progresse. Ce qui est, pour moi, marquant : l’an dernier, on a fait 13 matchs sans défaite, aujourd’hui, on est sur une série en cours de 17… Ça démontre que le Stade Rennais est solide, pas un des favoris, mais solide, oui. Quand on est compétiteur, l’objectif est de gagner quelque chose à la fin, mais on va y aller progressivement.

Rennes est sur le podium, l’objectif Europe bascule-t-il en objectif Ligue des champions ?
Sept-huit équipes vont lutter pour une place sur ce podium. Il reste encore beaucoup de matchs. Ce n’est pas faire de la langue de bois. Mais je vous confirme qu’on fera tout pour finir le plus haut possible. On a de l’ambition, mais il faut continuer de travailler. On sait que la deuxième partie de saison va être très haletante, avec un rythme effréné, avec des échéances très importantes dès la fin du mois de décembre.

Rennes va-t-il profiter de cette trêve pour entamer/poursuivre des négociations pour des prolongations, notamment avec Hamari Traoré, libre en juin 2023 ?
On n’a pas chômé dans ce domaine depuis l’été dernier (prolongations de Tait, Bourigeaud, Meling, Terrier, Désiré Doué, Majer)… Pour Hamari, on va en discuter avec lui. On a fait un point avec lui. Ça va dépendre de pas mal de paramètres.

Quelle sera la teneur du mercato, avec un groupe qui tourne ?
Je serai tenté de vous dire qu’il sera calme. Mais on ne maîtrise pas le paramètre Coupe du monde… Logiquement, ça ne devrait pas bouger beaucoup. En tout cas, je le souhaite.

Une autre satisfaction, c’est le Roazhon Park qui est à guichets fermés depuis août…
On en est très, très content, oui. Tout va de pair : vous gagnez, vous attirez du monde. On est très content pour les supporters. J’étais très déçu qu’il n’y ait pas encore, ce samedi, le RCK (en raison de la suspension de la tribune bas Rose, pour utilisation de fumigènes)… En termes d’ambiance, sans eux, ce n’est pas la même chose. Mais, oui, être à guichets fermés, depuis la fin de la saison passée, c’est une vraie satisfaction, ça démontre l’engouement autour du club, que le club grandit, qu’il attire des gens dans une zone de chalandise qui ne cesse de croître d’année en année.

L'arbitre Johan Hamel est mort après un AVC à l'entraînement, à l'âge de 42 ans

Johan Hamel, résidant à Jacou, est décédé ce mardi 15 novembre au soir. Il officiait en Ligue 1 depuis la saison 2016-2017.

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C'est une terrible nouvelle qui vient de frapper l'arbitrage et l'ensemble du football français. Âgé de 42 ans, le Jacoumard Johan Hamel nous a quittés mardi soir des suites d'un AVC alors qu'il s'entraînait.

L'arbitre international avait fait ses débuts il y a une dizaine d'années (2015-2016 en Ligue 1) et avait dirigé plus de 300 matches au niveau professionnel (200 de L1 ou de L2). Il était encore arbitre vidéo, dimanche en début d'après-midi, à l'occasion de la rencontre entre le Paris Saint Germain et l'AJ Auxerre. Apprécié de tous pour sa gentillesse et son sens du collectif, il venait également de créer, près de Montpellier, un centre de formation de BTP.

Le drapeau LGBT a trouvé une astuce pour être au Qatar malgré son interdiction

Le 20 novembre prochain, la Coupe du Monde de la FIFA 2022 tirera son coup d’envoi au Qatar. Mais depuis quelques mois, l’approche de la compétition est très controversée, notamment avec un appel au boycott des médias et des sportifs pour dénoncer son impact écologique considérable et le non-respect des droits de l’homme qui a entraîné la mort d’au moins 6500 ouvriers lors de la construction des infrastructures.

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Récemment, le comité d’organisation du Qatar a de nouveau fait grincer des dents en publiant un document de 16 pages sur les règles de vie que les supporters devraient adopter dans le pays. Parmi elles, ne pas fixer un Qatari dans les yeux, ne pas s’approcher ni étreindre les hôtes féminins, s’habiller avec des vêtements couvrants les épaules et les genoux ou encore ne pas brandir un drapeau LGBTQIA+.

Face à cette dernière consigne jugée discriminante, l’association Stop Homophobie s’est associée à Pantone pour concevoir un drapeau spécial ne pouvant évoquer aucun soupçon. En effet, le traditionnel drapeau arc-en-ciel apparaît dorénavant blanc, tandis que chaque coloris a été remplacé par son code couleur Pantone, rendant leur distinction impossible par les autorités.

Derrière cette initiative intitulée “Colors of Love” et imaginée en collaboration avec l’agence TBWA Paris, l’association a tenu à pointer du doigt le caractère fédérateur et égalitaire de l’un des événements sportifs les plus attendus au monde qui a été évincé en dépit des droits humains.

L’enquête publique sur l’extension du Stade Rennais déchaîne les passions

Plusieurs collectifs organisaient un "banquet" sous les fenêtres du conseil municipal, notamment pour manifester leur opposition à l’extension du centre d’entraînement du Stade rennais.
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Jusqu’au 9 décembre, le public est invité à donner son avis sur le projet polémique d’extension du centre d’entraînement du SRFC à la Piverdière, au sud-ouest de Rennes.
En une semaine, déjà 180 contributions ont été déposées. Et autant dire que le registre en ligne de l’enquête publique sur l’extension du Stade rennais se transforme en foire d’empoigne. Depuis le 8 novembre, le public est en effet invité à donner son avis sur ce projet polémique du club de foot de la capitale bretonne. Les Rouge et noir entendent rénover leur centre d’entraînement vieillissant sur le site de la Piverdière. L’emprise passerait de 11,4 à 15 ha afin de construire deux terrains supplémentaires.

D’un côté, les opposants à ce projet, accusé d’artificialiser les dernières terres cultivables de la Prévalaye, écrin de verdure situé au sud-ouest de Rennes. "Ne validons pas un projet qui va détruire un milieu naturel porteur de biodiversité au profit d’un complexe sportif inutile", écrit par exemple Romain. Un discours porté depuis des années par des militants écologistes et les associations implantées sur place. Après de nombreuses discussions avec la mairie et le club, un semblant de consensus a été trouvé au sein du comité de gestion, instance de consultation des acteurs de terrain. Mais les plus remontés restent opposés à toute extension.

Commissaire enquêteur indépendant
De l’autre, les supporters du SRFC, favorables à ce projet qui poussera "le club vers de meilleures performances" et entraînera "des retombées économiques et une renommée culturelle importante", lit-on sur le site de l’enquête publique. Certains, au passage, ne se privent pas de chambrer les opposants dans des termes parfois peu amènes. "En vert et contre tout ! Voici le mot d’ordre des écolos… Oui à la nouvelle Piverdière !", s’exclame notamment "un abonné au stade depuis 20 ans". La plupart des commentaires étant anonymes, difficiles de savoir qui se cachent derrière, d’autant que le site n’interdit pas de publier plusieurs commentaires à la suite.

L’enquête publique se poursuit jusqu’au 9 décembre inclus. En plus du dépôt en ligne des contributions, des permanences physiques sont également organisées à l’hôtel de Rennes métropole les après-midi du 23 novembre et des 1er et 9 décembre. La procédure est placée sous l’autorité d’un commissaire enquêteur indépendant qui rendra un rapport dans les semaines suivantes. La préfecture et la mairie, chargées de délivrer les autorisations nécessaires au projet, ne sont cependant pas tenues de respecter son avis. C’est lui, aussi, qui sera chargé d’analyser les observations du public. Au rythme où les choses sont parties, il risque d’avoir un peu de lecture.

S.G.S.B.

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