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Mandanda – Sampaoli, une relation apaisée

Au Stade Rennais, une nouvelle ère débute sous la houlette de Jorge Sampaoli, épaulé par Steve Mandanda, figure emblématique des Rouge et Noir.
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Entre les deux hommes, dont la relation avait connu des turbulences à l’Olympique de Marseille, souffle désormais un vent d’apaisement, à l’heure où le club breton tente de redresser la barre après un début de saison décevant. À 39 ans, Steve Mandanda retrouve Jorge Sampaoli, avec qui la collaboration à Marseille n’avait pas été de tout repos. L’entraîneur argentin avait alors privilégié Pau Lopez, jugé plus apte pour son jeu au pied, reléguant le gardien français au rang de doublure. Aujourd’hui, Sampaoli tempère ces souvenirs en qualifiant leur relation de « claire, directe et franche ». Sous le maillot rennais, l’ancien international français aborde la dernière année de son contrat avec une ambition intacte : démontrer qu’il reste une pièce maîtresse dans le projet de reconstruction du club à en croire les informations de l’Equipe. Il aura le soutien de son entraîneur lors des prochaines semaines avant qu’une décision soit prise au sujet de ce poste important. La formation bretonne pourrait choisir de recruter un renfort en janvier 2025.

Rennes veut s’éloigner du bas du tableau
En difficulté, depuis le début de saison, en Ligue 1, le Stade Rennais est à la croisée des chemins. La mission confiée au nouvel entraîneur est sans ambiguïté : éloigner la menace de la relégation, stabiliser le club et redonner une identité forte à l’équipe. Premier test pour le technicien argentin, le choc face à Lille ce week-end, où ses méthodes seront mises à l’épreuve. Fidèle à son style, Sampaoli a déjà instauré un cadre strict : pesées régulières, analyses vidéo personnalisées et entretiens individuels rythment désormais la routine des joueurs.

Le renouveau rennais dépasse le terrain. Le centre d’entraînement de la Piverdière, en pleine rénovation, accueillera dès janvier des infrastructures modernes exclusivement réservées aux professionnels. Jorge Sampaoli sera le premier à profiter de ces installations, illustrant les ambitions du club. Privé d’une dizaine de joueurs pendant la trêve internationale, le staff technique doit patienter avant d’appliquer pleinement sa méthode. Pourtant, l’urgence est palpable. Le spectre de la relégation plane et les attentes sont immenses. Entre la rigueur imposée par le coach, les améliorations structurelles et des défis sportifs colossaux, Rennes entre dans une phase décisive.

L'arbitrage coûte trop cher, la LFP ne peut pas payer

Résolue à faire des économies, la LFP s'attaque au coût de l'arbitrage en Ligue 1 et en Ligue 2. Elle demande notamment à la FFF de lui apporter son aide pour réduire la facture.

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L'heure est venue de se serrer la ceinture pour la LFP et pour les clubs professionnels. L'année 2024 n'a pas été bonne avec la forte baisse des droits TV pour les 5 prochaines années. En plus, il va falloir débuter le remboursement du milliard et demi d'euros apporté par le fonds d'investissement CVC. Un contexte qui pousse l'instance à faire la chasse aux économies. La marge de manœuvre de la LFP n'est pas immense. Cependant, une dépense a été pointée du doigt par les clubs professionnels lors de la dernière réunion du conseil d'administration il y a une semaine.

La LFP réclame une aide de 10 ME pour l'arbitrage
RMC Sport a révélé la nouvelle idée du football professionnel français : baisser le coût de l'arbitrage. La LFP demande à la FFF de prendre en charge une partie des dépenses liées aux arbitres professionnels. Ainsi, pour une facture totale qui s'élève à 25 millions d'euros actuellement, la Ligue réclame un rabais de 10 millions d'euros sur la note finale. Cette part serait alors payée par la 3F, laquelle gère l'arbitrage en France avec la formation et la nomination des officiels.

Pour justifier cette demande, les clubs avancent le fait que la FFF réalise des superbes bénéfices depuis plusieurs années. En plus, la fédération a touché 20 millions d'euros de CVC. La LFP met aussi en avant le coût croissant de l'arbitrage, notamment avec l'instauration de la VAR en Ligue 1 en 2018. Cette requête n'est pas innocente au moment où la FFF est en pleine élection présidentielle avec le duel entre le président sortant Philippe Diallo et son challenger Pierre Samsonoff.

Sampaoli a fait un terrible constat à son arrivée

Le mois de novembre s’annonce intense pour le Stade Rennais, qui a débuté par une défaite cinglante face à Auxerre, un nouveau promu en Ligue 1, avec un score de 4-0. Quelques jours après ce revers, le club a pris la décision de se séparer de son entraîneur, Julien Stéphan, marquant ainsi une période de transition pour l’équipe.

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La situation ne s’est pas améliorée par la suite, puisque le 10 novembre, Rennes a subi une nouvelle défaite à domicile contre Toulouse, perdant 0-2. Le lendemain, Jorge Sampaoli a été officiellement nommé à la tête de l’équipe première, qui occupait alors la treizième place au classement, un défi de taille pour le nouvel entraîneur.

Alors que l’équipe se prépare à affronter Lille, la dynamique interne du club suscite des interrogations, notamment avec l’approche du mercato hivernal. Mohamed Toubache-TER a récemment révélé que les joueurs ont bien accueilli Sampaoli et semblent s’adapter à ses méthodes. Toutefois, l’entraîneur n’aurait pas encore perçu une véritable unité au sein de l’effectif.

L’objectif principal de Sampaoli sera de redonner cohésion et force au collectif rennais, cruciales pour éviter une descente en Ligue 2. Bien que des tensions internes puissent exister, il est impératif pour le groupe de retrouver une harmonie collective pour surmonter les défis à venir.

Parallèlement, des préoccupations hors du terrain émergent, le sportif étant relégué au second plan par la politique interne du club. Arnaud Pouille, ancien directeur général du RC Lens, a rejoint Rennes récemment, ce qui pourrait influencer la direction future du club.

Sous l’égide de la famille Pinault depuis 1998, le Stade Rennais n’a jamais été relégué en Ligue 2 et a même remporté la Coupe de France, participant également à la Ligue des champions. Cependant, l’avenir reste incertain, et les enjeux sont élevés pour maintenir ces réussites.

Sampaoli sous le choc, Rennes n'a pas d'équipe

Après le départ de Julien Stéphan, le Stade Rennais a fait le pari de l'explosivité et de l'excentricité en accueillant Jorge Sampaoli. Le technicien argentin aurait déjà ciblé un problème majeur dans l'effectif.

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Les problèmes du Stade Rennais ne seront pas résolus le temps d'une trêve internationale. Toutefois, avec l'arrivée de Jorge Sampaoli, les choses vont pouvoir progressivement changer. Du moins, c'est ce que souhaitent tous les observateurs du club breton. Avant l'arrivée du technicien argentin, Julien Stéphan n'a trouvé aucune solution. Des recrues trop peu utilisées, un effectif qui n'a jamais réussi à se mettre pleinement dedans depuis le début de saison, des faiblesses criantes défensivement et offensivement sont autant de raisons qui expliquent les difficultés rennaises. Pour Jorge Sampaoli, il y a toutefois une donnée, pourtant fondamentale, qui doit absolument être retrouvée : la cohésion d'équipe.

Jorge Sampaoli doit recréer un groupe

Selon les informations de l'insider Mohamed Toubache-Ter, Jorge Sampaoli n'aurait pas été très satisfait de ses premiers pas à la tête de sa nouvelle équipe. En cause, un manque criant de cohésion de groupe selon ses observations. Son équipe ne ferait pas qu'un. Le technicien argentin a donc un premier axe de travail qui « demandera de la patience » : créer un collectif puissant et confiant. C'est de cette manière qu'il avait réussi, notamment, à élever le niveau de jeu de l'Olympique de Marseille lors de son court passage d'une saison.

Ce n'est d'ailleurs pas tout. Notre confrère affirme que le groupe est très heureux de découvrir Jorge Sampaoli au quotidien. On peut penser que sa joie de vivre naturelle et sa passion pour le football seront transmises à ses joueurs. De quoi aider le Stade Rennais à redémarrer ? Réponse ce dimanche face à Lille en Ligue 1.

Sampaoli a déjà choqué ses joueurs

Les méthodes du nouvel entraîneur argentin du SRFC, notamment l’intensité qu’il réclame aux entraînements, surprennent les Rennais.

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Arrivé pendant la trêve internationale au chevet du Stade Rennais, Jorge Sampaoli n’a pas tardé à imposer ses méthodes aux joueurs. Et notamment l’intensité réclamée pendant les entraînements. L’Argentin veut que ses troupes se donnent à fond chaque jour lors des séances. "Ca chauffe à l’entraînement, il y a beaucoup d’investissement physique, tout le monde est mis sous pression", a déclaré un proche d’un joueur à L’Equipe. Un autre observateur a abondé : "Ca bosse dur, le coach veut montrer que ça cravache".

Le staff s’étoffe encore
Parmi les autres mesures fortes mises en place par Jorge Sampaoli, il y a la pesée obligatoire tous les deux jours mais également des retours vidéos personnalisés afin de montrer à chacun ce qu’il attend de lui. Par ailleurs, L’Equipe confirme l’arrivée d’un nouveau adjoint dans le staff de l’Argentin. Il s’agit du Portugais Abel Pimenta, qui arrive de Braga et intègrera la cellule performance. Il sera plus spécifiquement chargé des analyses vidéos et des coups de pied arrêtés. Il parle déjà français, ce qui est un plus car Sampaoli, même s’il prend des cours et a passé un an et demi à l’OM, ne s’exprime que dans sa langue natale…

Les chantiers de Sampaoli

Une semaine après son entrée en fonction, l'entraîneur argentin du Stade Rennais Jorge Sampaoli met peu à peu ses principes en place avec un effectif dont les internationaux reviennent au compte-goutte.
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Voilà une petite semaine que Jorge Sampaoli a découvert le cadre bucolique de la Piverdière, dont l'habituelle quiétude est bouleversée depuis plusieurs mois par les travaux de modernisation du centre d'entraînement. L'Argentin sera, à partir de janvier, le premier entraîneur rennais à bénéficier d'un bâtiment flambant neuf destiné aux pros et, parce que le parallèle s'impose de lui-même, l'avenir dira si le nouveau coach du club breton aura lui aussi avancé, d'ici là, dans ses travaux de (re) construction d'une équipe jusqu'ici privée de fondations solides.

Au bout de sept jours, il est encore bien tôt pour déceler des premiers signes de convalescence, a fortiori durant une trêve internationale qui a ponctionné dix joueurs de l'effectif. Et puisque Sampaoli (64 ans) s'inscrit dans un projet, il faudra sûrement patienter quelques mois pour que l'on se fasse une idée précise de l'impact de son travail. Mais à un tiers du Championnat, le "Pelado" (chauve) se sait attendu et l'on pourra sans aucun doute relever sur le chemin quelques signes révélateurs, dont les origines auront pris leurs racines sur les premiers jours de son mandat.

Au cours de sa conférence de presse d'intronisation, mardi dernier, l'Argentin avait posé les jalons de l'immense chantier qui l'attend dans le redressement d'un club (13e) ne possédant qu'un point d'avance sur la place de barragiste. "Mon premier objectif sera de mieux connaître l'équipe, pour qu'on puisse développer un fonctionnement collectif et une identité de jeu", avait-il annoncé.

En même temps qu'il continue son diagnostic sportif, l'énergique sexagénaire avance aussi sur les contours de son staff. Il devrait profiter de l'arrivée, pas encore finalisée mardi, d'un nouvel adjoint, avec le Portugais Abel Pimenta. Transfuge de Braga, ce dernier pourrait intégrer la cellule de performance dans un rôle élargi, entre l'analyse vidéo et la charge des coups de pied arrêtés. Comme d'autres assistants de Sampaoli, le Brésilien Diogo Meschine et l'Argentin Pablo Fernandez, il parle français, un atout que l'ancien coach marseillais, déjà lancé dans des cours de langue, cherche lui aussi à maîtriser.

Sur le terrain, le staff enregistre au compte-goutte le retour de ses internationaux. La majorité d'entre eux (Gouiri, Ostigard, Seidu, Lembet, Gronbaek, Kamara) est rentrée en début de semaine, tandis que Christopher Wooh, Jordan James et Arnaud Kalimuendo sont attendus aujourd'hui. Andrés Gomez, qui a joué la nuit dernière contre l'Équateur, arrivera en dernier.

"Ça bosse dur, le coach veut montrer que ça va cravacher"

Un observateur du groupe

Comme ses coéquipiers, le Colombien découvrira alors quelques nouvelles mises en place, comme une pesée tous les deux jours, et un rythme soutenu, cadencé par la grosse voix de Sampaoli, dont les cris ont fait tout drôle à certains joueurs. "Ça chauffe à l'entraînement, il y a beaucoup d'investissement physique, tout le monde est mis sous pression", relève un proche d'un joueur. "Ça bosse dur, le coach veut montrer que ça va cravacher", abonde un observateur du groupe.

En complément des séances, Sampaoli, qui s'est déjà entretenu en individuel avec une bonne partie de ses hommes, a mis en place des retours vidéo personnalisés afin d'indiquer à chacun d'entre eux ce qu'il en attend, sans que l'on sache encore quelle animation il souhaite mettre en place, dimanche, pour son premier match à Lille.

Un nouvel adjoint attendu dans le staff de Jorge Sampaoli

Jorge Sampaoli, le nouvel entraîneur du Stade Rennais, attend un quatrième adjoint dans le staff recomposé du SRFC. Après Diogo Meschine, Pablo et Marcos Fernandez, le Portugais Abel Pimenta devrait intégrer la cellule de performance du club breton.

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Le staff de Jorge Sampaoli doit s’élargir. Arrivé la semaine dernière à Rennes avec trois adjoints (son assistant-coach Diogo Meschine, les préparateurs physiques Pablo et Marcos Fernandez), le nouvel entraîneur du SRFC a décidé également de faire venir le Portugais Abel Pimenta (32 ans), qui était jusqu’à l’été dernier l’un des adjoints de Daniel Sousa au Sporting Braga.

Pimenta, qui dispose de la licence A UEFA, a connu plusieurs expériences diverses dans des staffs pros, notamment au Celta Vigo ou au FC Séville, où il était l’un des adjoints du coach Eduardo Berizzo et où il avait travaillé notamment avec Pablo Fernandez, homme de confiance de Sampaoli.

Pour se charger notamment des coups de pied arrêtés ?
Pimenta y fut analyste vidéo, l’une de ses spécialités, un rôle occupé par Rudy Cuni (dont le départ a été acté après ceux de Denis Zanko et Bouziane Benaraibi) avec l’ex coach Julien Stéphan. Si son arrivée se finalise, ce qui n’est pas encore le cas selon nos informations, le Portugais pourrait notamment être chargé de la gestion des coups de pied arrêtés au SRFC.

Le staff recomposé de Sampaoli comprendrait alors Meschine, Fernandez père et fils, Pimenta, auxquels s’ajoutent les membres de l’ancien staff toujours en place à l’heure actuelle : Romaric Boch (préparateur physique), Thomas Choinard (responsable performance), Olivier Sorin (entraîneur des gardiens), César Arghirudis (assistant en charge du département analyse) et Eric Rolland (directeur médical).

Jorge Sampaoli déniche un lieutenant au Portugal

A défaut de pouvoir recruter des joueurs pour le moment, Jorge Sampaoli récupère un staff technique à sa guise. C'est le cas avec Abel Pimenta.

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Nouvel entraineur du Stade Rennais, Jorge Sampaoli prend ses marques lors de cette trêve internationale, et va donc avoir un petit peu de temps pour préparer le match à venir contre Lille de ce dimanche. L’entraineur argentin sait qu’il aura les moyens de bouleverser l’effectif du club breton cet hiver, mais en attendant, il se permet d’agir sur ce qu’il peut déjà modifier. Il s’agit notamment de son staff technique et cela se traduit cette semaine par l’arrivée d’Abel Pimenta. Ce Portugais de 32 ans a été viré de Braga, où il était adjoint de l’entraineur principal, dès le début de la saison en raison des mauvais résultats du club lusitanien. C’est donc libre qu’il signe au Stade Rennais et retrouvera Jorge Sampaoli, qu’il a connu à Séville il y a quelques années de cela, explique Benjamin Quarez, le journaliste du Parisien.

Abel Pimenta fait partie de ces entraineurs portugais qui ont débuté très jeune, puisque le technicien de 32 ans a débuté le coaching alors qu’il n’avait que 19 ans, avec des équipes de jeunes, notamment au FC Porto. Il s’est spécialisé dans l’analyse vidéo et la data, avant de devenir chef du recrutement en Amérique du Sud puis adjoint à Séville et dans plusieurs clubs portugais. Avec toujours le profil d'un technicien travailleur, soucieux du détail et désireux de faire jouer ses équipes avec le ballon.

Avec Loïc Bodereau, l’herbe est plus verte au Roazhon Park

Formé auprès du jardinier star du PSG, Jonathan Calderwood, le Dijonais Loïc Bodereau, 32 ans, à la mission de bichonner la pelouse du Roazhon park pour le Stade Rennais depuis quatre saisons.

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Dans l’ombre des projecteurs, entre les chants des supporters et les dribbles des joueurs, Loïc Bodereau œuvre avec une dévotion que peu imaginent. Technicien de sols sportifs, comme il aime se définir, ce Dijonnais de 32 ans a troqué les vignes de sa Bourgogne natale pour les terres bretonnes.

Depuis quatre saisons, il est l’homme à qui le Stade Rennais confie son joyau : la pelouse du Roazhon Park.

Les ambitions m’ont donné envie de m’investir
Formé à la rigueur et à l’exigence au Paris Saint-Germain, sous la direction de Jonathan Calderwood, maître incontesté des pelouses françaises (élu quatre fois d’affilée meilleur jardinier de Ligue 1), Loïc a appris à forger sa science. ;C’est là-bas que j’ai tout appris;, confie-t-il.

Fort de cette expérience, il poursuit son aventure au Paris FC avant de se lancer dans un nouveau défi : le Stade Rennais. Le projet, le club, les ambitions m’ont donné envie de m’investir ici. Sous sa houlette et celle de son équipe de six jardiniers, la pelouse du Roazhon Park se transforme en véritable chef-d’œuvre d’ingénierie. ;C’est un outil de travail pour les joueurs, c’est leur bureau, leur scène;. Pour parvenir à cette excellence, des terrains hybrides - un mélange subtil de gazon naturel et de fibres synthétiques - ont fait leur apparition au Stade Rennais afin de renforcer la structure pour éviter les blessures et améliorer la fluidité du jeu.

La science du gazon m’attire
Mais le défi ne s’arrête pas là. L’exposition du stade complique encore la tâche. ;D’octobre à mars, une grande partie de la pelouse ne voit pas le soleil;, précise-t-il. Qu’à cela ne tienne, Loïc et son équipe redoublent d’ingéniosité en utilisant de la luminothérapie pour recréer des conditions d’ensoleillement.

Les rigueurs de l’hiver breton ajoutent une nouvelle pression. En hiver, rien ne pousse, tout s’arrête.; Grâce à un système de régulation thermique (chauffage), la pelouse reste à une température entre 8 et 10° ce qui permet aux racines de continuer leur croissance. ;La science du gazon m’attire. Je suis fier de ce métier noble mais méconnu.

Derrière chaque tacle, chaque but inscrit au Roazhon Park, il y a l’engagement d’un homme qui veille, silencieux, à ce que le terrain soit toujours parfait. Loïc Bodereau est le garant de l’excellence du Stade Rennais, un artisan de l’ombre qui fait briller le jeu et les joueurs.

Un amour partagé
Lorsque Loïc Bodereau parle du Stade Rennais, son regard s’illumine. Il y a une atmosphère les jours de match, une âme dans ce stade. Un club qu’il chérit autant que son club de cœur : l’AJ Auxerre. S’il devait choisir entre les deux lors d’un affrontement, un nul m’irait très bien, plaisante-t-il.

DAZN prêt à tout plaquer, la Ligue 1 tremble

Diffuseur principal de la Ligue 1 depuis le début de la saison, DAZN refuse toujours de communiquer ses audiences. Du côté des présidents de clubs, on craint que la chaîne n’atteigne pas ses objectifs.

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Aux dernières estimations de L’Equipe, qui remontent maintenant à quelques semaines, DAZN a convaincu 500.000 fans de foot de s’abonner à sa chaîne, qui diffuse huit matchs de Ligue 1 sur neuf chaque semaine. Un total décevant, d’autant que les abonnements ont véritablement décollé à partir du moment où DAZN a accepté de réduire son tarif, initialement fixé à 30 euros par mois et revu à hauteur de 20 euros par mois avec engagement. La plateforme n’est donc pas du tout dans les clous et ses objectifs sont loin d’être atteints alors que la chaîne vise 1,5 millions d’abonnés.

S’il n’y a pas d’abonnés à DAZN…
Pour rappel, le contrat entre la LFP et DAZN court jusqu’en 2029 mais il existe une clause de sortie au bout de deux ans si l’objectif n’est pas atteint. Ce scénario a de quoi terrifier les présidents de Ligue 1, qui ne veulent pas retomber dans un nouveau feuilleton interminable des droits TV. Interrogé par RMC, Laurent Nicollin ne cache pas ses craintes. "Il faut évoquer tous les scénarios. S'il y a des abonnés, tant mieux. S'il n'y en a pas… il faudra réfléchir à revoir notre façon de montrer le football français chez les gens. Est-ce que la ligue devra créer sa propre chaîne? Ce sera des choses qu'il faudra discuter dans les mois à venir" a lancé le président de Montpellier, qui estime par ailleurs que la lutte contre l’IPTV sera cruciale pour la réussite de DAZN.

"Il faut que l'État combatte l'IPTV, et après on verra si beIN et DAZN sont plus regardées. C'est toujours le risque quand tu pars sur une chaîne privée d'être moins vu. En n'étant plus sur Canal+, t'as certainement moins de visibilité. Il y a des gens plus intelligents que moi qui réfléchissent mieux à ça et qui ont dû étudier la question en estimant que c'était bien pour le football français" a conclu Laurent Nicollin, soutien numéro un de Vincent Labrune lors des dernières élections de la LFP et qui attend maintenant de voir comment la situation évoluera pour DAZN qui rappelons-le, paie près de 400 millions d’euros par an pour la diffusion du championnat de France. Une somme en baisse par rapport aux années précédentes, mais indispensable à la survie des clubs de Ligue 1.

Sampaoli arrive et déjà il s’offre une giga polémique

L’arrivée de Jorge Sampaoli au Stade Rennais surprend, car le club breton, connu pour sa tranquillité, a opté pour un entraîneur au tempérament marqué. Nombreux sont ceux qui s’interrogent sur le moment où surgiront les premières tensions avec l’Argentin.

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Interrogé sur son retour en Ligue 1, Sampaoli a exprimé son enthousiasme pour ce championnat compétitif, soulignant la capacité de la France à révéler de grands talents. «J’aime beaucoup la Ligue 1, la façon dont les équipes jouent. Je pense que les meilleurs joueurs du monde viennent de France et du Brésil.»

Cette déclaration a suscité des réactions en Argentine, où elle a été mal accueillie. Lionel Scaloni, sélectionneur national, a minimisé la polémique : "Je n’ai pas vu ce qu’il a dit, mais chacun a son opinion." Cependant, la presse locale n’a pas été aussi clémente.

Des médias argentins, tels que TyC Sports et Clarin, ont critiqué Sampaoli pour ses propos, le voyant comme une trahison envers le football argentin. El Destape a aussi exprimé le mécontentement des supporters face à ses déclarations depuis la France.

Claudio Mauri, journaliste à La Nacion, explique cette hostilité par la personnalité de Sampaoli, mal perçue en Argentine. Il est associé à l’échec du Mondial 2018 et ne bénéficie d’aucun soutien local, n’ayant jamais entraîné de club important dans son pays.

Sampaoli, qui a construit sa carrière en dehors de l’Argentine, en Amérique du Sud et en Europe, n’a pas de liens avec les clubs argentins. Cette distance renforce l’absence de défenseurs pour son parcours et ses choix professionnels.

Ils avaient escroqué ou tenté d’escroquer des clubs de foot

Le procès dit Carton Rouge, qui se déroulait à Nancy depuis trois semaines, s’est terminé ce jeudi 14 novembre par les plaidoiries des avocats de la défense. Jusqu’à 8 ans de prison ont été requis à l’encontre de 22 prévenus qui avaient notamment escroqué ou tenter d’escroquer neuf clubs de foot professionnel français. Le jugement a été mis en délibéré.

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Après plus de trois semaines de débats, le procès dit Carton Rouge, jugeant une escroquerie aux diamants et aux cryptomonnaies de 28 millions d’euros, impliquant aussi des clubs de foot professionnels, a pris fin jeudi après-midi à Nancy, après les plaidoiries des avocats de la défense. La décision, mise en délibéré, sera rendue le 31 mars.

Le procureur Vincent Legaut avait requis mardi des peines allant jusqu’à huit ans de prison à l’encontre des 22 prévenus, un seul échappant à une demande de prison ferme.

Compte tenu du nombre impressionnant de parties civiles, plus de 900, et d’avocats, qui étaient 150 à intervenir dans ce dossier, la justice avait loué le Centre des congrès de Nancy pour les audiences.

La vaste salle de spectacles n’a toutefois jamais été très remplie : au plus, une soixantaine de victimes sont venues entendre leurs avocats plaider la semaine passée.

Au total, plus de 1 300 particuliers ont été dupés sur des sites internet leur faisant croire à tort qu’ils investissaient dans des bitcoins ou dans des diamants, entre 2016 et 2019.

Des clubs de foot ont aussi subi, pour six d’entre eux (Lorient, Marseille, Brest, Rennes, Nantes et Dijon) des tentatives d’escroquerie en 2017. Trois autres (Sochaux, Angers et Toulouse) ont été escroqués de sommes allant de 10 000 à 35 000 €.

Un dixième du préjudice saisi par la justice
Ce sont ces escroqueries aux clubs de foot qui ont lancé l’enquête et permis de mettre au jour ce vaste réseau, comme l’a précisé l’avocat de la Ligue de football professionnel, Benjamin Peyrelevade.

Les têtes pensantes du réseau d’escrocs n’étaient pas présentes à l’audience, en fuite en Israël, ont regretté avocats et prévenus. Le procureur a d’ailleurs requis la peine de huit ans d’emprisonnement et demandé qu’un mandat d’arrêt soit décerné à l’encontre de l’homme considéré comme le chef du réseau, Mickaël I., 47 ans, en fuite en Israël.

L’escroquerie a duré quatre ans, de 2016 à 2019 : les escrocs appâtaient leurs victimes sur des sites internet où ils vantaient des rendements extraordinaires pour des investissements en bitcoins ou en diamants.

L’enjeu du délibéré, outre la culpabilité ou non des prévenus, sera aussi de savoir si les victimes auront droit à des dommages et intérêts au regard du préjudice subi. Un préjudice patrimonial, certes, mais aussi moral, a souligné Vincent Legaut dans ses réquisitions.

La justice a saisi durant la procédure 2,8 millions d’euros, soit un dixième seulement du préjudice financier total.

À peine arrivé, Sampaoli est déjà dans la tourmente

Dès sa première conférence de presse, Jorge Sampaoli a tenu des propos qui ont résonné jusqu’en Argentine…

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Présenté à la presse mardi, Jorge Sampaoli s’est fendu d’une déclaration qui a beaucoup fait parler. "J’aime beaucoup la Ligue 1, la façon dont les équipes jouent. Je pense que les meilleurs joueurs du monde viennent de France et du Brésil", a-t-il estimé, sans citer… l’Argentine, son pays d’origine. Le sélectionneur de l’équipe nationale, Lionel Scaloni, a évidemment été invité à rebondir sur le sujet, mais n’a pas souhaité polémiquer. "Je n’ai pas vu ce qu’il a dit, mais chacun a son opinion".

C’est un coach qu’on n’aime pas ici
Les médias locaux, eux, ont été plus tranchants. "La déclaration polémique de Sampaoli après son arrivée à Rennes" (TyC Sports), "La tirade de Sampaoli contre le football argentin alors qu’il prend les rênes d’un club de Ligue 1 en proie à la relégation" (Clarin), "Sampaoli a oublié l’Argentine et a exaspéré les supporters depuis la France" (El Destape), ont-ils écrit, comme l’a relevé Foot Mercato. Notre confrère a d’ailleurs recueilli le témoignage de Claudio Mauri, journaliste à La Nacion.

"Sampaoli, c’est un entraîneur qui provoque beaucoup de rejet en Argentine. Il n’est pas aimé à cause de sa personnalité, mais aussi parce qu’il représente le dernier épisode chaotique de la sélection lors du Mondial 2018 en Russie. Sa relation avec l’équipe, l’élimination face à la France… Ici, il a un profil qui ne plaît pas. Il n’a pas bien fait jouer la sélection alors que c’est tout le contraire avec Scaloni qui a calmé tout ça. C’est un coach qu’on n’aime pas ici aussi parce qu’il n’a aucun lien avec un club important d’Argentine. Il a développé sa carrière d’entraîneur à l’étranger, que ce soit en Amérique du Sud ou en Europe. Ici, il n’est lié à aucun club, grand ou petit. Personne ne le défend", a-t-il clarifié. Le message est passé…

Sampaoli prend une décision forte pour Mandanda

Le nouvel entraîneur du Stade Rennais a fait un choix fort pour le poste de gardien.
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Englué en bas de tableau, le Stade Rennais a misé sur Jorge Sampaoli pour tenter de redresser la barre. Un choix risqué avec un caractère à fort tempérament. Reste à savoir si ce mariage entre le feu et la glace fonctionnera dans les mois à venir.

En attendant, Sampaoli est prêt à prendre des décisions fortes pour sortir le Stade Rennais de ce tunnel. Le club breton pourrait se montrer très actif lors de la prochaine période de mercato, en janvier. Mais Sampaoli doit aussi trancher pour le poste de gardien.

Mandanda, les propos forts de Sampaoli
Personne n’a oublié que Jorge Sampaoli avait souhaité instaurer une concurrence en recrutant Pau Lopez à l’Olympique de Marseille, reléguant la légende Steve Mandanda sur le banc. Malgré son expérience, le gardien de 39 ans n’est pas irréprochable depuis le début de saison.

La doublure de Steve Mandanda, Gauthier Gallon, ne semble toutefois pas en mesure d’inquiéter le champion du monde 2018. "J’ai une très bonne relation avec Steve, je l’aime beaucoup. Nous avons toujours eu une relation très directe. Je suis heureux de le retrouver ici et il va nous aider à sortir de cette situation", a lancé l’entraîneur de Rennes.

Bientôt un recours à la vidéo pour les entraîneurs ?

La FIFA espère développer le système du Football Video Support (FVS), une alternative au VAR permettant aux entraîneurs de "challenger" une décision arbitrale qu'ils estiment erronée.

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Et si les entraîneurs de foot pouvaient avoir recours à un "challenge" comme leurs homologues du basket, par exemple ? C'est une option sérieusement envisagée par la FIFA, qui espère obtenir du Board l'autorisation de continuer des essais pour le système du Football Video Support (FVS), une alternative au VAR permettant aux coaches de contester au moins deux fois par rencontre une décision arbitrale.

Ce système, approuvé en mars par l'IFAB, a été expérimenté cette année pour les Coupes du monde femmes des moins de 17 ans et de 20 ans. "Les expériences lors de ces deux compétitions vont être analysées attentivement mais jusqu'ici, nous n'avons rien remarqué d'inattendu", a expliqué l'ancien arbitre Pierluigi Colina, désormais patron du comité des arbitres de la FIFA.

"Le FVS ne permettra de montrer ce que le VAR peut montrer"

Pierluigi Colina, patron du comité des arbitres de la FIFA.

L'instance doit maintenant présenter un rapport au Board, qui décidera si l'expérimentation peut être étendue. Plusieurs ligues ont déjà fait part de leur intérêt pour accueillir l'expérimentation.

"Il est toutefois essentiel de comprendre que le FVS n'est pas le VAR, a tenu à nuancer Colina. Car en raison du faible nombre de caméras utilisées, le FVS ne permettra de montrer ce que le VAR peut montrer."

S.G.S.B.

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