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Et si le piratage n'était que de la légitime défense ?

La menace du piratage des diffusions de match revient en force ces derniers temps. Au point qu’elle constitue un des points essentiels de ce qui reste du grand projet de loi "Sport et société" actuellement discuté à l’Assemblée nationale. Mais d’un certain point de vue, répressif, on oublie que la généralisation du procédé relève presque, quelque part, d’une légitime défense des amoureux du ballon rond devant l’augmentation permanente du coût du foot.
ds 0379Il existe tellement d’idées fausses auxquelles il faut tordre le cou autour de ce fameux phénomène du piratage. D’abord, la difficulté d’en évaluer le préjudice. Les chiffres cités par les acteurs économiques du monde sportif (clubs, chaînes de télé, etc.) et en particulier du foot (la Ligue ose même balancer 500 millions d’euros...) repose sur de fausses suppositions. Dont cette incroyable conviction que toutes les personnes qui s’embêtent à scruter leur streaming incertain ou figé sur leur ordi ou leur tablette seraient prêts à payer le coût, de plus en plus onéreux, d’un abonnement légal. Se baser sur une telle utopie illustre à quel point la réalité sociale échappe complètement aux dirigeants du foot pro. Le fiasco Mediapro l’avait d’ailleurs illustré. Que ce soit la LFP ou les diffuseurs potentiels, tous paraissent persuadés de l’existence d’un puits sans fond de clients capables de débourser n’importe quelle somme, non seulement pour la Ligue des champions, mais aussi la L1 voire la L2. Une addiction collective qui ne serait donc jamais calmée, peu importe le contexte économique. Il y aurait beaucoup à dire sur la rationalité du capitalisme sportif...

Le prix de l’amour ?
Naturellement, la réalité du terrain s’avère bien différente. Le premier point reste que les «?fraudeurs?» paient en fait déjà pour s’enthousiasmer ou pleurer devant leur match. À commencer par leur box internet, pour laquelle ils doivent payer tous les mois. La relation à la gratuité de tout contenu en ligne doit se penser en ces termes. Pas besoin donc de convoquer Proudhon et son mal compris «?La propriété c’est le vol?» . La musique et le cinéma ont déjà été confrontés à cette évolution. Les tentatives de freiner le piratage face à l’amplification massive de la consommation numérique et l’accélération des avancées technologiques (du haut débit à la 5G) ont contraint ces industries du divertissement à repenser leur modèle, en multipliant les parades. De fait, le succès des plateformes comme Netflix (qui doivent aussi composer avec la circulation des codes d’accès) ou des sites de streaming musicaux (avec leur double version : gratuite et pub, payante sans pollution...) l’illustre parfaitement.
Le monde du foot a de son côté bien du mal à penser la suite. Il n’en a presque pas envie. Il se plaint, réclame son dû ou quémande auprès de l’État. Il traite le public en délinquant qui refuserait de payer, même s’il n’en pas envie. Il s’enferme par exemple dans son incapacité à comprendre que Mediapro fut autant une déroute financière qu’un Waterloo culturel. Les patrons du foot pro tricolore en étaient arrivés à croire, ou plutôt à exiger, que leur «?produit?» valait un milliard, pour ensuite se lamenter que les gueux n’acceptent pas de s’acquitter de la dîme. Comment n’ont-ils pu comprendre que depuis des années, la montée du piratage résulte autant d’une amélioration de la connexion chez les particuliers qu’elle s’apparente à une sorte de résistance passive à cette flambée des prix ? Le plus paradoxal au demeurant reste d’observer les pontes du ballon rond désormais courir après les supposés nouveaux modes de dégustation de la jeunesse (extraits en ligne des plus beaux buts, ne payer que les quinze dernières minutes...), tandis qu’ils méprisent ceux et celles qui persistent au contraire à travers le piratage à préserver un rapport traditionnel et entier au foot, à l’aimer sur la durée de la saison ou de 90 minutes, y compris un 0-0 de la 22e journée de Ligue 2.

Légitime défense sociale
Légalement, nul débat. Le piratage et le recours au streaming sont hors jeu. Culturellement, il s’agit presque d’un hommage, ou plutôt d’une tranchée pour tenir la position devant l’effondrement du foot d’avant. Et nous sommes nombreux en ce moment à creuser des tranchées pour tenir. Sur le plan social ou politique, effectivement, le piratage ressemble à une légitime défense. Surtout dans un contexte où toutes les alternatives (voir le match au stade, dans un bar ou chez un ami) ont disparu. Ceux qui en possèdent les murs, les gradins, les caméras et les droits peuvent peut-être vendre le foot, mais le foot ne leur appartient pas pour autant. Pas davantage qu’un bar n’est finalement la propriété de son patron, mais plutôt de ses habitués. Les ultras et ceux qui regardent le foot en streaming ont en commun, en outre d’être souvent criminalisés, d’être les derniers à aimer le foot sans penser qu’ils faillent toujours en payer le (bon) prix.

Baisse de salaires : la Ligue 1 divisée

Pour faire face à la crise sanitaire et atténuer la baisse de revenus liée au conflit sur les droits télé, certains clubs sont parvenus à baisser les salaires de leurs joueurs ou se sont attaqués aux primes. D’autres, en revanche, n’ont pas bougé.
ds 0378aLens, Reims et Angers, les précurseurs
Dès la fin du mois de janvier, le RC Lens avait lui-même révélé l’information : « Un accord sur la baisse des rémunérations a été obtenu auprès de l’ensemble des collaborateurs du club ». Selon L’Équipe, les salaires seraient réduits entre 5 et 20 % avec plafonnement selon les tranches d’imposition des salariés concernés. Reims a également lancé le mouvement via une lettre ouverte rédigée par les joueurs : « Parce qu’il nous faut tous agir, parce que le football est l’exemple même de l’expression collective, nous avons échangé avec la direction du club et avons tous - absolument tous les joueurs comme les membres du staff - consenti spontanément à une baisse significative de nos salaires de janvier à juin 2021 ». Un effort qui permettrait au club de faire une économie de 2,7 à 3 M€.

Du côté d’Angers, l’idée est la même. Les joueurs et l’encadrement du club ont accepté des baisses de salaires allant de 10 à 30 % pour la fin de la saison.

Du cas par cas dans d’autres clubs
À Montpellier, ça n’a pas traîné non plus. Le club héraultais a été l’un des premiers à annoncer des baisses de salaires. Une grande majorité de joueurs aurait accepté de signer un avenant pour limiter les salaires et/ou les nombreuses primes prévues, jusqu’en juin. À Bordeaux, en l’absence d’accord collectif, des négociations au cas par cas auraient eu lieu. Selon L’Équipe, les éléments en fin de contrat en auraient été exemptés, à l’instar des jeunes qui ne gagnent pas assez pour être concernés.

ds 0378bLyon : baisse de salaire contre acquisition d’actions
Jamais à court d’idées, Jean-Michel Aulas, le président lyonnais, a proposé à ses joueurs une baisse des rémunérations affectant les salaires supérieurs à 50 000 euros mensuels. Un effort compensé par des primes de résultats ou l’acquisition d’actions du club avec l’espoir d’une plus-value. Le 8 mars, l’OL a informé qu’une partie de ses joueurs et joueuses avait accepté sa proposition de devenir des actionnaires d’OL Groupe, en contrepartie d’une baisse de salaire temporaire pour faire face à la crise liée à la covid-19.

À Brest, plusieurs pistes à l’étude
Au Stade Brestois, où l’effort se veut collectif, les discussions sur les baisses de salaires ont été entamées avec les joueurs et le staff. Une réunion s’est tenue la semaine dernière, car « nous voulions attendre de savoir ce qui allait réellement nous manquer en fin de saison pour proposer quelque chose de précis, témoigne Grégory Lorenzi, directeur sportif. Les discussions sont en cours, elles sont constructives et nous avons prévu de refaire bientôt un point ». Plusieurs pistes sont à l’étude, comme un pourcentage commun sur une éventuelle baisse de salaires, ou l’ajustement du variable, comme les primes de match.

PSG : le grand flou
Au micro de RTL, il y a une dizaine de jours, Marquinhos a assuré que les joueurs ont une nouvelle fois fait des efforts financiers pour aider le club dans la crise. « Personne ne l’a dit mais ça a été fait, ça a été mis en place », a expliqué le capitaine du PSG. Pourtant, il est assez peu probable que le club parvienne à baisser les rémunérations de Kylian Mbappé et Neymar (les plus élevées de la Ligue 1) alors même qu’il négocie actuellement la prolongation de contrats de ses deux cracks.

Rennes, statu quo
Contrairement à d’autres écuries de Ligue 1, les joueurs du Stade Rennais n’ont, pour l’heure, consenti aucune baisse de salaires et aucune démarche n’a été entreprise en ce sens. Ce qui n’empêche pas le club de s’interroger sur la gestion des contrats signés cet été, et notamment sur ceux de longue durée (jusqu’en 2024 ou 2025).

Lorient : négociations en cours
Dans l’optique des négociations sur d’éventuelles baisses de salaires au FC Lorient, le président Loïc Féry a rencontré joueurs et staff du club le mois dernier. « Il nous a réunis de manière collective pour nous expliquer la situation financière du club, avait alors expliqué l’entraîneur Christophe Pelissier. Chaque membre du staff et joueur a aussi été reçu par la direction. Les négociations sont en cours ».

Haro sur les primes
Dans une interview accordée au journal So Foot, Jacques-Henri Eyraud, l’ancien président de l’OM, explique avoir demandé aux joueurs de renoncer à toutes les primes de match. « Ils ont accepté ma demande, révèle celui qui a depuis été remplacé par Pablo Longoria. Ce qui fait une jolie somme… » Idem à Bordeaux, où, selon L’Équipe, les primes de victoire (1 600 €) ont été gelées jusqu’à nouvel ordre.

Ligue 2 : Guingamp aussi
Si le conflit sur les droits télé impacte moins les clubs de Ligue 2, puisque les montants dont ils devaient profiter étaient nettement moins importants, certains ont toutefois entrepris des baisses de salaires pour atténuer, par ailleurs, les pertes liées à la crise sanitaire. C’est le cas à Guingamp notamment. « C’est en cours, a expliqué le président Fred Le Grand. Il y a d’ores et déjà des signes positifs de la part de plusieurs joueurs. On les a rencontrés et nous sommes en phase de finalisation ». Celle-ci devrait intervenir cette semaine.

Merci Julien

Les premiers mots de Julien Stéphan après sa démission

Le désormais ex-entraîneur de Rennes explique les raisons qui l’ont poussé à démissionner et tient à remercier l’actionnaire, le club et les supporters.
ds 0373aAu lendemain de sa démission du poste d’entraîneur du Stade Rennais, Julien Stéphan prend la parole dans un communiqué où il explique une décision "difficile et mûrement réfléchie". Il y remercie aussi l’actionnaire François Pinault, la direction du club et les supporters avec qui "il a partagé des émotions uniques".

Voici donc les premiers mots de Julien Stéphan depuis sa démission, à l’image de l’homme sobres, justes, sincères :

"L’analyse de la situation, après notre défaite contre Nice, m’a conduit à présenter ma démission à mes dirigeants ce week-end. Je quitte le Stade Rennais le cœur gros mais avec le sentiment d’avoir toujours donné le meilleur de moi-même pour le bien du club.

Cette décision, difficile à prendre, est mûrement réfléchie. J’estime avoir fait tout mon possible, ces dernières semaines, pour sortir l’équipe de la spirale négative qui était la sienne depuis le début de l’année et que rien ne laissait présager après une première partie de saison prometteuse, puisque Rennes comptait 33 points à la fin de la phase aller. J’espère de tout cœur qu’avec un autre discours et une autre méthode, les joueurs renoueront avec des résultats plus conformes à leur niveau.

A l’heure de mon départ, je tenais à témoigner ma profonde gratitude à Monsieur Pinault et à son fils, François-Henri, pour leur confiance et leur soutien indéfectibles. Travailler au service de leur club fut un privilège, un honneur et je suis fier d’avoir partagé avec eux des joies intenses, comme lors de notre victoire en Coupe de France, ce titre tant mérité au regard de leur fidélité et leur investissement pour le club.

ds 0373bNeuf saisons inoubliables
Si mon passage au Stade Rennais ne se termine pas comme je l’aurais souhaité, je quitte le club avec le sentiment d’avoir toujours fait le maximum. Que ce soit en tant que formateur ou entraîneur des pros, j’ai passé neuf saisons inoubliables dans le club de la ville où je suis né. Ces moments de bonheur, je les dois aussi à tous les dirigeants qui m’ont confié des responsabilités dans l’encadrement technique du club. Que chacun d’entre eux soit certain de ma reconnaissance.

Je voudrais adresser mes sincères remerciements au président Nicolas Holveck et Florian Maurice, pour l’aide qu’ils m’ont apporté, le respect qu’ils ont témoigné à mon travail et mon métier, et plus généralement à tous les collaborateurs du Stade Rennais, l’ensemble des salariés dont je connais l’attachement et l’implication dans leur mission, les membres du staff dont la compétence, la rigueur et la loyauté méritent d’être soulignées.

Un entraîneur n’est rien sans ses joueurs et je sais ce que je dois à chacun de ceux que j’ai dirigés. Je leur souhaite le meilleur pour la suite de leur carrière.

Un immense merci, enfin, à vous, les supporters. En toutes circonstances, vous avez été formidables. Nous avons partagé des émotions uniques, qui me resteront gravées à jamais.

Je souhaite beaucoup de bonheur à ceux qui soutiennent et ceux qui font le Stade Rennais.

Sans Julien Stéphan, le Stade Rennais peut-il encore accrocher l'Europe ?

Le message émouvant de Camavinga pour Julien Stéphan suite à sa démission

ds 0372
"Coach,
Je vous remercie sincèrement pour tout car grâce à vous j’ai découvert le monde « adulte » de la N3 à la ligue 1 en passant par la ligue des champions.
Je vous dois beaucoup, vous m’avez toujours mis dans les bonnes conditions, merci pour vos conseils si précieux.
Je ne doute pas que votre avenir sera remplis de réussite car vous le méritez
God bless 💪🏾🙏🏾"
Source : Insta Camavinga

Julien Stéphan démissionne

La nouvelle est tombée ce matin, Julien Stéphan n’est plus l’entraîneur du Stade Rennais. Il a démissionné.
ds 0371Julien Stéphan n’est plus l’entraîneur du Stade Rennais, il a démissionné de ses fonctions, comme annoncé par L’Equipe. Après un dernier revers cuisant face à Nice (1-2), autre équipe malade, l’ex-entraîneur avait tenu des propos flous sur son futur. Lui qui égalait sa pire série à la tête du Stade Rennais, a décidé de quitter le navire.

Le Stade Rennais a pris acte de la décision de son entraîneur.

Son adjoint, Philippe Bizeul, assurera l’intérim à la tête de l’équipe.

Le maillot des 120 ans déjà en vente sur internet

Alors qu'il n'a pas encore été présenté par le club, un maillot qui pourrait bien être celui des 120 ans du Stade Rennais est disponible à la vente sur certains sites spécialisés.
ds 0370aUne bande rouge verticale sur un fond noir, un logo et des sponsors en écriture dorée : un maillot qui pourrait bien être celui prévu par le Stade Rennais pour célébrer ses 120 ans d'existence (le 10 mars prochain) a fuité sur les réseaux sociaux depuis plusieurs jours. Il est même disponible à la vente sur certains sites spécialisés.
Pour ses 100 ans, le Stade Rennais avait également édité un maillot spécial, avec une bande rouge diagonale sur fond noir. Le maillot qui a fuité depuis quelques temps s'en inspire en partie. Le Stade Rennais fêtera ses 120 ans le dimanche prochain, alors que les joueurs seront en déplacement à Marseille pour jouer leur match en retard contre les Phocéens.

Autre détail historique : les noms des quatre étudiants fondateurs du club, Duchesne, Philippe Ghis, Henri Jamin et Paul Peter apparaissent sous le col au dos du maillot :

ds 0370b

Les mots forts d'Holveck envers Stephan

Dans la tempête depuis plusieurs semaines, Julien Stephan a recueilli le soutien précieux de son président Nicolas Holveck.
ds 0351Au zénith en début de saison, le Stade Rennais découvre actuellement l'ombre, et les tourments qui vont avec. Lors des 13 derniers matchs toutes compétitions confondues, les Bretons n'ont réussi à l'emporter qu'à deux reprises face à Brest et Lorient. Une situation délicate qui a abouti à une élimination des Coupes d'Europe et une septième place en Ligue 1. Des résultats qui mettent en difficulté Julien Stephan, l'actuel entraîneur.

Pour autant, le principal intéressé peut compter sur un soutien sans faille de son président Nicolas Holveck. Dans un entretien accordé à Ouest-France, il lui a une nouvelle fois accordé sa confiance.

"Je n’ai aucun doute sur Julien, aucun doute, insiste le dirigeant. Je suis certain de lui. Pour moi, il incarne parfaitement le projet sur le long terme. Je ne connais pas beaucoup de coaches qui intègrent autant les jeunes et notre projet passe par les jeunes, bien sûr avec des joueurs d’expérience aussi. Je vois quel est le travail quotidien de Julien et de son staff, avec Florian. Sincèrement, je n’ai jamais vu un staff travailler autant dans tous les détails. Les gains marginaux, dont on parle beaucoup, c’est leur préoccupation à chaque instant" a-t-il ainsi expliqué. Des propos qui ne manqueront pas de plaire à Stephan avant la réception de Lens demain à 17h00 dans une rencontre déjà décisive pour la suite de la saison des Bretons.

Nicolas Holveck : "Le premier à se remettre en question, c’est moi"

À la suite de la défaite du Stade Rennais à Krasnodar mercredi (0-1), le président Nicolas Holveck analyse l’échec en Ligue des champions et appelle à une rapide réaction d’orgueil des joueurs.
ds 0352Comment qualifiez-vous la campagne européenne du SRFC ?
C’est beaucoup de frustration, surtout. Notamment pour les supporters, qui nous ont beaucoup manqué. On sait qu’on a un douzième homme au Roazhon Park et quel douzième homme. On ne leur donne même pas la satisfaction de voir des matches au printemps et ça, ça me frustre et je suis malheureux pour eux. Après, on savait qu’on avait un groupe difficile. Séville, c’est quatre Ligues Europa dans les six dernières années. Chelsea c’est le plus gros mercato européen de l’été, on voit ce qu’ils sont en train de faire. Donc on savait qu’on avait deux très gros morceaux.

Mais Krasnodar, actuel dixième du championnat russe, était à votre portée.
C’était notre concurrent direct qui a fait deux huitièmes de finale de Ligue Europa dans les trois dernières années. On a vu leurs installations, on voit désormais quel club c’est. On avait donc deux très gros morceaux et un très gros concurrent, mais c’est normal, on était chapeau 4, on l’avait dit dès le départ. Maintenant, je pense que sur chacun des matches, à part à Séville où on n’a pas existé, les joueurs ont fait le maximum. Je me rappelle surtout du premier match contre Krasnodar où on avait fait une très bonne entrée dans la compétition. Sur le match retour, le problème c’est que c’est le même sentiment que lors des six derniers matches, c’est-à-dire qu’on n’a pas l’impression d’être dominé, mais d’un autre côté, on n’arrive pas à marquer et on prend toujours ce but qui fait très mal. C’est malheureusement à l’image de nos derniers matches. On ne peut pas dire qu’on fait des mauvais matches, mais on ne met pas tous les ingrédients pour aller tuer l’adversaire sur nos opportunités et éviter que lui ne nous tue fasse sur ses rares opportunités.

Vous disiez après le match à Chelsea que cette équipe rennaise était jeune mais apprenait vite. N’a-t-elle toutefois pas manqué de temps pour arriver prête dans la configuration particulière de cette Ligue des champions ?
Si, certainement. Puis c’est le plus haut niveau. Cette compétition est intransigeante, donc elle ne laisse aucune chance à la moindre erreur et on a une équipe très jeune. Encore une fois, on n’a pas d’excuses et je ne cherche surtout pas d’excuses, mais il nous manquait à Krasnodar cinq recrues au coup d’envoi, blessées ou absentes. Encore une fois, ça peut être l’une des explications. C’est notre première participation, ça prend beaucoup d’énergie aux joueurs. Je pense qu’ls ont tellement envie de manger dans ces matches que ça prend une énergie folle pour les autres matches de championnat autour. Encore une fois, il y avait la place et si on avait réussi à faire chacun un petit peu de dépassement de fonction, je pense qu’on aurait pu être reversé en Ligue Europa. C’est malheureusement terminé et la seule préoccupation maintenant, c’est le championnat et le match de samedi contre Lens, qui est importantissime.

Une remise en question est-elle faite en interne après cet échec ?
Dans ce contexte, le premier qui se remet en question, c’est moi puisque c’est moi le patron. Je me remets vraiment en cause, je me pose des questions sur ce que je n’ai peut-être pas assez bien fait, sur ce que j’ai fait qui n’a pas été productif, sur ce que j’aurais dû faire. Est-ce que je n’ai pas assez soutenu Julien (Stéphan) ? Est-ce que je n’ai pas été assez dur avec les joueurs dernièrement ? Le premier à se remettre en cause, c’est moi. Par contre, j’attends une réaction forte des joueurs parce que je suis convaincu que la réponse viendra des joueurs. Quand je vois tout ce que le staff fait, tout ce que Julien propose, les entretiens individuels et collectifs, les séances vidéo, les séances d’entraînement, toutes les solutions qui sont cherchées par Julien, Florian (Maurice), le staff… Honnêtement, je pense qu’ils vont chercher au plus loin qu’ils peuvent, donc moi, j’attends vraiment une réaction très forte du groupe, une réaction collective.

>Cette équipe ne manque-t-elle pas de joueurs de caractère capables de sonner la révolte dans les périodes compliquées ?
Ce que l’on a fait sur les six premiers matches de la saison, ce n’est pas possible que l’on ne soit pas capable de le refaire parce que c’était surtout des matches gagnés collectivement. Donc j’attends de retrouver cette force collective. On est une équipe, on n’a pas d’individualité forte qui fait tourner un match, donc ça passera par une prise de conscience collective et par une réaction collective. J’attends de l’orgueil, j’attends un engagement maximum, j’attends beaucoup de solidarité entre joueurs. Dès samedi à 17 heures, on doit commencer le match comme des morts de faim. Aujourd’hui, on n’est plus en Coupe d’Europe. Si le championnat s’arrêtait aujourd’hui, on ne serait pas européens, donc on doit redevenir l’équipe morte de faim qui veut aller tout manger et ça commence samedi.

La remise en question dont vous parlez vous concernant, concerne-t-elle le mercato ? N’a-t-il pas manqué des recrues d’expérience ? N’avez-vous pas, personnellement, des regrets ? Vous aviez évoqué quatre joueurs de standing Ligue des champions...
Déjà, le mercato s’est terminé le 5 octobre, donc le juger au bout de deux mois, je ne peux pas, très sincèrement. En plus, comment juger quand au coup d’envoi à Krasnodar il manque cinq joueurs du mercato : Gomis, Terrier, Guirrassy, Aguerd et Rugani. Donc c’est pour moi impossible de juger le mercato. Maintenant, les joueurs qui sont sur le terrain, c’est ceux qui ont gagné la troisième place l’année dernière, donc ils en sont capables, il n’y a même pas débat. L’année dernière, ils ont été chercher cette troisième place entre eux. Encore une fois, on n’a aucune excuse, on peut chercher des explications, mais pas des excuses. Et il ne faut surtout pas s’en chercher parce que c’est le meilleur moyen de ne pas trouver des solutions à nos manques actuels.

Vous parlez de réponse collective, mais quels sont les leviers pour enrayer cette mauvaise série de résultats ?
La réponse, je suis persuadé qu’elle sera collective. Ça a toujours été la force du Stade Rennais avec nos joueurs expérimentés, nos jeunes pousses, il faut qu’on retrouve cet allant. Encore une fois, les six premiers matches, on louait l’esprit d’équipe, vraiment le caractère agressif de notre jeu. Autant j’ai vraiment répété qu’il ne fallait pas se voir trop beaux après ces six premiers matches quand on était premier. Tout le monde était admiratif de notre jeu, donc on ne peut pas tout avoir perdu comme ça. Autant aujourd’hui il ne faut pas, non plus, qu’on jette tout à la poubelle. On n’a pas pu tout perdre en deux mois. Il faut juste prendre conscience, une bonne fois pour toutes, qu’on a les capacités, qu’on a l’effectif pour, même s’il y a des absents, et que ceux qui sont sur le terrain, qui sont à Rennes aujourd’hui, sont capables d’aller chercher ce pourquoi on se battra jusqu’à la fin de saison, c’est-à-dire cette place en Coupe d’Europe.

Vous considérez donc cet effectif taillé pour aller chercher l’Europe et même un nouveau podium ?
Comme on l’a dit, l’objectif c’est de se battre chaque saison pour une place en Coupe d’Europe. Et maintenant, on n’a plus qu’un seul objectif, c’est faire un très bon championnat pour retourner en Coupe d’Europe et montrer qu’on a appris. C’est la seule chose que je veux que les joueurs se mettent en tête aujourd’hui. On ne pense plus à ce qui s’est passé. La Coupe d’Europe, c’est fini. Maintenant, on a cinq matches de championnat en décembre, on va parler du court terme, un match contre Lens puis quatre qui s’enchaînent en deux semaines. Ces matches-là, on doit aller les chercher comme des morts de faim et les équipes qui vont nous rencontrer devront à nouveau avoir peur du Stade Rennais, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.

Quel est l’objectif de classement à la trêve ?
Aujourd’hui, l’objectif à la trêve c’est d’être dans les cinq premiers. On doit être dans ce peloton des équipes dans les places qualifiables pour la Coupe d’Europe.

Qu’entendez-vous par "je n’ai peut-être pas été assez exigeant avec les joueurs" ?
Je n’ai peut-être pas assez aidé Julien et Florian, dans cette situation, c’est avant tout eux qui sont au contact quotidien des joueurs, c’est à eux de l’être et ils le sont. Mais est-ce que moi, j’ai assez aidé les deux, c’est la question que je me pose. Encore une fois, je me pose déjà des questions sur moi-même parce que j’ai la responsabilité du club et le premier qui doit se remettre en cause, c’est moi.

Quel regard portez-vous sur Julien Stéphan ?
Je n’ai aucun doute sur Julien, aucun doute. Je suis certain de lui. Pour moi, il incarne parfaitement le projet sur le long terme. Je ne connais pas beaucoup de coaches qui intègrent autant les jeunes et notre projet passe par les jeunes, bien sûr avec des joueurs d’expérience aussi. Je vois quel est le travail quotidien de Julien et de son staff, avec Florian. Sincèrement, je n’ai jamais vu un staff travailler autant dans tous les détails. Les gains marginaux, dont on parle beaucoup, c’est leur préoccupation à chaque instant. Donc tout est mis en œuvre pour les joueurs pour qu’on aille plus haut. Donc maintenant, c’est aux joueurs de se prendre en main parce que quand l’arbitre siffle le coup d’envoi d’un match, ce sont les joueurs qui décident et samedi à 17 heures, ils doivent décider, quoi qu’il se passe dans le match, d’aller gagner et de faire mal à Lens.

Parmi les joueurs, on attend beaucoup plus des cadres, qui n’ont pas porté l’équipe durant la campagne européenne, alors que des jeunes du centre de formation sont venues compenser cela, justement.
Non, je ne suis pas d’accord. Encore une fois, la réponse est toujours collective et on n’a pas d’individualité assez forte pour faire tourner les matches.

Mais vous avez un champion du monde avec Steven Nzonzi…
Oui, mais ce n’est pas un poste déterminant, ce n’est pas un avant-centre. Je ne remets personne en question et je ne pointerai personne du doigt, c’est collectif. D’un match à l’autre, ce n’est jamais le même joueur qui est un petit peu en dessous. Les données physiques sont là, on voit que les joueurs sont là, courent toujours. Alors, est-ce qu’ils courent bien, c’est un autre débat. Mais non, moi, je n’irai pas contre les cadres. Encore une fois, la solution est collective. On a des jeunes joueurs, certes, et une équipe très jeune, mais ce sont des joueurs de talent. Les cadres sont là aussi pour les encadrer. Eux, il y a un jour où ils ont été bien contents d’avoir ces jeunes.

Pour vous, il n’y a donc aucun problème avec le rendement de plusieurs cadres, Da Silva, Bourigeaud, Nzonzi ?
Non, c’est collectif. Les jeunes doivent apporter leur fraîcheur, les cadres leur expérience et c’est ce mix qui super bien marché en début de saison, donc il n’y a pas de raison qu’il ne remarche pas. Il faut juste en prendre conscience et en faire plus. De toute façon, si on n’a pas les résultats, le haut niveau, ça ne se joue à rien, 1 %, 2 %… Et bien il faut qu’on aille chercher ce 1 %, ces 2 % pour être meilleur que l’adversaire, ça passera par là, uniquement par là. Et aujourd’hui, c’est collectif et je pense que c’est surtout mental, mais il faut qu’on prenne conscience qu’aujourd’hui, on est une équipe normale. On n’est pas une équipe de Champions League, on n’est même pas une équipe d’Europa League, on est une équipe normale de Ligue 1. On doit refaire mal aux clubs qui sont au-dessus de nous pour aller les chercher et rejouer la Coupe d’Europe.

Voyez-vous Julien Stéphan et Florian Maurice avec la même motivation ?
Je n’ai aucun doute sur la motivation de Julien et Florian. Dès la fin du match à Krasnodar, la première priorité a été de chercher des solutions. On a échangé beaucoup avec Julien et Florian et ce n’est pas que ce match-là, ça fait quelque temps déjà qu’on cherche des solutions avec tout le staff. On n’est certainement pas spectateurs., on veut être acteurs du mois de décembre qui arrive, encore une fois prenons les choses par étapes. Et clairement, Julien et Florian sont en réflexion permanente entre eux et avec les joueurs. Il y a des échanges permanents. Je reste convaincu qu’on va trouver les leviers pour que dès le match de samedi les joueurs soient à 110 % parce qu’aujourd’hui, pour gagner un match, on a besoin d’être à 110 %, on n’a pas de marge et donc il faut qu’on fasse plus que l’adversaire. Voilà, c’est clair.

Le mystérieux coup de fil de Pinault à Stéphan

S’il n’est pas forcément sur un siège éjectable en raison des mauvais résultats du Stade Rennais, Julie Stéphan va vite devoir trouver le moyen de redresser la barre aux yeux de la famille Pinault.
ds 0348Il souffle comme un vent de panique au Stade Rennais. Incapables de réagir après un mercato prometteur et un début de saison brillant, les hommes de Julien Stéphan donnent l’impression d’être déjà arrivés à bout de souffle au tiers de la saison.

La défaite de samedi à domicile face au RC Lens (0-2) pourrait-elle précipiter le départ de l’entraîneur du SRFC ? A priori non. Selon Ouest France, l’actionnaire François Pinault aurait signifié à son coach qu’il lui maintenait sa confiance par téléphone.

Si le président Nicolas Holveck et le directeur sportif Florian Maurice ne se sont pas exprimés sur ce thème brûlant après le nouveau revers rennais, L’Équipe est plus circonspect sur les intentions de Pinault envers Stéphan. "La famille Pinault, très attachée à lui, commencerait tout de même à se poser des questions à son sujet", explique le quotidien sportif ce lundi. On pourrait rajouter qu' un entraîneur conforté par sa direction n’est jamais vraiment bon signe.

Pinault aurait appelé Julien Stéphan

Alors que son avenir est remis en question, Julien Stéphan aurait été conforté à son poste par l'actionnaire du Stade Rennais.
ds 0346Il n'est pas question pour Julien Stéphan de s'inquiéter pour son avenir. Voilà en substance ce que l'actionneur du Stade Rennais François Pinault aurait signifié à son coach, qu'il aurait appelé hier matin, selon des informations de Ouest-France. Le propriétaire du SRFC conserverait toute confiance en son entraîneur, pourtant critiqué pour sa récente sortie médiatique après la défaite face au RC Lens samedi.

Totale confiance
"Si c’est moi le problème, il n’y a pas de difficulté. On est suffisamment sincères au sein du club pour prendre les décisions qu’il faudra prendre. Il n’y a pas de difficulté par rapport à ça. Si vraiment la problématique vient de moi, j’ai une relation avec mon actionnaire, mon président et mon directeur sportif qui est très, très saine. On parlera de tout ça en temps voulu." avait déclaré Stéphan hier soir, avant de parler de maintien, déclaration reprise et très critiqué par la suite. Il n'y aurait cependant donc aucun doute sur la continuité du coach aux manettes du Stade Rennais, pour le moment.

Hamari Traoré n’est pas inquiet pour Jérémy Doku

ds 0294"Il a un potentiel de fou, il a une marge de progression qui est énorme. On n’a pas eu beaucoup d’entraînements avec l’enchaînement des matches. Je pense qu’il essaie de savoir comment jouer, comment il peut combiner avec moi. C’est un jeune. Il ne faut pas oublier qu’il vient d’arriver, il faut un temps d’adaptation. Ça va venir, je sais qu’on va faire une bonne doublette et qu’on va apporter le danger sur le côté"

Retour du public, reprise des majeurs, Coupe de France : le point sur le "footoir" ambiant

Un retour du public au stade envisagé dès le 16 décembre ; une Coupe de France annoncée "morte" par le Premier ministre, aussitôt démenti par le président de la fédération ; une reprise des seniors déjà effective… Le point sur le "footoir" ambiant.
ds 0301Invité ce mercredi matin sur RMC/BFM TV, le Premier ministre a ouvert la voie à un possible retour du public dans les stades dès le 15 décembre, faisant souffler un petit vent d’espoir pour les clubs pros, alors que le 17 novembre, Emmanuel Macron avait indiqué que ce ne serait pas avant 2021.

Mais l’interview de Jean Castex a aussi été remarquée par son timide "oui" lorsque son interviewer lui a suggéré que pour cette saison, la Coupe de France "est morte". Une incursion clairement en dehors de son champ de compétence, que Noël Le Graët a dû rectifier auprès de nos confrères du Parisien. "Nous réussirons à nous débrouiller et à trouver une formule, a assuré le président de la Fédération française de football (FFF). Pour moi c’est très clair : la Coupe de France aura lieu cette année. C’est sûr".

Des dérogations pour la Coupe de France ?
En attendant, la FFF a publié sur son site de nouvelles instructions, analogues à celles du rugby la veille, autorisant dès ce mercredi une reprise d’une pratique collective adaptée, pour les majeurs comme pour les mineurs : avec ballon mais sans contact. Bref, on se rapproche un peu du véritable foot (avec contacts), qui serait lui autorisé à partir du 15 décembre… mais uniquement dans le cadre d’entraînements internes au sein des clubs. En l’état actuel des bornes fixées par le gouvernement - liées à l’évolution sanitaire - la reprise des compétitions pour les amateurs serait autorisée à partir du 20 janvier.

Sur la base de ces données, la FFF travaille, selon nos informations, sur une reprise des championnats amateurs le 24 janvier. Dans une telle hypothèse, le 6e tour de la Coupe de France serait prioritaire ce jour-là pour les équipes concernées…. si du moins elles ne l’ont pas disputé auparavant en vertu de dérogations négociées avec le Ministère. La FFF rêverait encore de pouvoir faire disputer les 6e, 7e et 8e tours les 3, 10 et 17 janvier. Et dans un monde où "cela change tous les jours" (Le Graët) le rêve est permis.

Au Roazhon Park, la pelouse se dégrade pour une raison toujours inconnue

Le carré vert du Roazhon Park souffre depuis les matchs contre Bordeaux et Chelsea, fin novembre. Une analyse est en cours au Stade Rennais, avec l’aide d’ingénieurs agronomes, pour déterminer l’origine du problème.
ds 0293La pelouse du Stade Rennais est à la peine. Le club a détecté le problème juste avant la rencontre de Ligue 1 face à Bordeaux, le 20 novembre. "La pelouse du Roazhon Park est un organisme vivant qui peut réagir à son environnement, et sa qualité s’est dégradée ces deux dernières semaines", indique-t-on au Stade Rennais, évoquant "une perte de densité".

Le gazon a tenu tant bien que mal face aux Girondins puis lors de la réception de Chelsea (Angleterre), mardi 24 novembre, en Ligue des champions. "Accompagnés par des ingénieurs agronomes, nous sommes en cours d’analyse. Le problème est à ce jour non identifié", explique-t-on.

Un champignon à l’été 2014
Le sujet n’est malheureusement pas inconnu au club. À l’été 2014, au moment de l’intersaison dans ce qui était alors le Stade de la route de Lorient, un champignon était apparu, fruit d’un mélange de pluie et de chaleur. Plus récemment, en janvier 2020, le Stade Rennais a écopé d’une amende de 20 000 €, assortie d’un sursis d’un an, pour le mauvais état de sa pelouse. Le club ne devrait pas avoir à la régler puisqu’il a doté le Roazhon Park, au sortir du premier confinement, d’un tout nouveau revêtement végétal : une pelouse hybride, combinaison de gazon naturel et de fibres en polypropylène de 25 centimètres. Le substrat, au-dessous, a également été remplacé.

Le Stade Rennais n’a pas dévoilé, en mai dernier, le coût de la nouvelle pelouse, conçue pour "résister davantage au piétinement et à l’arrachement, et devrait garantir une qualité de jeu optimale, même en hiver". Seulement que les travaux étaient "un investissement sur le long terme" et "qu’il sera amorti sur quatre ou cinq saisons".

Camavinga, les raisons d’un coup de pompe

Le jeune prodige de Rennes est moins décisif, une méforme qui s’explique aussi par ce qui se trame dans les coulisses de son avenir
ds 0303Le 7 octobre, Eduardo Camavinga fêtait sa première titularisation en équipe de France d’un superbe retourné acrobatique. À 17 ans et 10 mois, le prodige rennais devenait le plus jeune buteur des Bleus après-guerre, le deuxième de toute l’histoire. Un nouveau record de précocité pour "Cama" qui le mettait un peu plus sous les projecteurs. Il disputait aussi, sans doute, son meilleur match cette saison. Quelques semaines plus tard, il réalisait une remarquable première mi-temps pour sa première en Ligue des champions, avec des projections autoritaires conclues par deux frappes cadrées.

Depuis, le milieu de terrain est l’ombre de lui-même. Vendredi, dans le brouillard alsacien, Julien Stéphan l’a sorti à la pause. Pas de blessure mais "un choix sportif". Le jeune joueur est physiquement au-dessous, moins déterminant dans les duels défensifs et le jeu, faisant moins de différence, se projetant moins.

"Les adversairesme regardent plus"
À pareille époque l’an passé, il avait endossé le maillot de taulier. "Il impulse le pressing, casse les lignes avec sa verticalité, donne le tempo", écrivait-on lors du bilan de mi-saison. Son influence est telle sur le groupe que son coup de pompe n’est pas étranger à la mauvaise passe du Stade Rennais, même si, bien sûr, il n’est pas la seule cause.

Cette baisse de régime a plusieurs explications. Sa vie a changé, il a eu 18 ans, son permis, autant de choses qui ne sont pas sans effet dans la vie d’un jeune homme. Mais c’est surtout son statut qui n’est plus le même. La pression est plus forte. "Je sors beaucoup moins, je me cache un peu. La vie extra-sportive a changé et les adversaires me regardent plus qu’il y a un an et demi", avouait l’intéressé en conférence de presse avant le match contre Bordeaux, il y a deux semaines.

Même s’il a une "tête bien faite et bien posée sur ses épaules", comme dit Julien Stéphan, Camavinga ne peut rester insensible aux louanges et aux sirènes des grands clubs européens, aux sommes astronomiques à son égard. "Il ne faut pas regarder ce qui se passe autour et se concentrer sur l’essentiel. Je vois, j’entends. Ça fait plaisir de recevoir des éloges mais ce n’est pas quelque chose qui va me rentrer dans la tête et me distraire."

"On échange quels que soient ses interlocuteurs"
Quelle que soit sa maturité, ce contexte reste perturbant. D’autant plus que ça s’agite en coulisses pour la prolongation de son contrat qui court jusqu’en 2022. L’enjeu est de le prolonger avec l’espoir de le vendre plus cher. Florian Maurice avait révélé, que le club discutait uniquement avec son papa. Ouvrant ainsi la porte à des rumeurs sur la représentation du joueur, son entourage, alors que son agent est, depuis ses débuts en pro, Moussa Sissoko.

"On échange, on avance, quels que soient ses interlocuteurs, avec qui nous étions en contact encore la semaine dernière, avoue Nicolas Holveck, le président du Stade Rennais. Mais je n’ai pas l’habitude de révéler comment se passe ce genre de négociations. Il est en contrat jusqu’en 2022 et au final c’est Eduardo qui est maître du jeu et de son avenir."

Impossible dès lors de rester de marbre quand les plus grands agents bataillent pour conduire les destinées du jeune joueur. Et c’est sans doute une des raisons de cette méforme passagère. "La seule chose qui importe c’est qu’il se sente bien dans sa tête et apporte tout ce qu’il peut à l’équipe, nous avons besoin de tous nos leaders techniques en ce moment", insiste Nicolas Holveck.En particulier demain à Krasnodar pour cette finale qui pourrait projeter Rennes vers une campagne de Ligue Europa et un nouveau printemps pour Eduardo Camavinga.

S.G.S.B.

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