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                                        Actualité                    Habib Beye sera bien sur le banc du Stade rennais à Toulouse, mercredi, mais le club breton a vécu un début de semaine agité, et la crise d’automne est déjà là, après un début de saison décevant....
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                                        Actualité                    Avant le déplacement à Toulouse, mercredi, Habib Beye a évoqué son avenir immédiat à Rennes. Il a indiqué avoir tenu un discours qui a conduit ses dirigeants à le maintenir. Comment se sont passées...
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Retrouvez les premières dates du calendrier de la saison 2022/2023 en Ligue 1 Uber Eats.
Réuni mercredi 13 octobre 2021, le Conseil d’Administration de la LFP a adopté le calendrier général de Ligue 1 Uber Eats de la saison 2022/2023.
En Ligue 1 Uber Eats, la 1ère journée de la saison 2022/2023 aura lieu le week-end des 6 et 7 août 2022.
La 15e journée, programmée le week-end des 12 et 13 novembre 2022, sera la dernière journée avant le début de la trêve internationale pour la Coupe du Monde de la FIFA 2022.
A titre exceptionnel, la reprise du championnat (16e journée) aura lieu le mercredi 28 décembre 2022 sous la forme d’un « boxing day » à la française. Cette programmation spéciale sera suivie d’une 17e journée de Ligue 1 Uber Eats qui aura lieu le dimanche 1er janvier 2023.
La 38e et dernière journée de Ligue 1 Uber Eats pour la saison 2022/2023 a été placée au dimanche 4 juin 2023.
L’intégralité du calendrier général des compétitions 2022/2023 sera publié jeudi 14 octobre à la suite à son adoption définitive par le Comité Exécutif de la FFF.
Comptant parmi les meilleurs buteurs de Ligue 1 cette saison, Gaëtan Laborde connait pour le moment son meilleur ratio d’efficacité en carrière.

Il est l’une des recrues phares de cet été au Stade rennais. Arrivé au bout du mercato, Gaëtan Laborde a choisi de quitter Montpellier pour la Bretagne, et s’est déjà montré décisif. Avec 3 buts toutes compétitions confondues (1 en Ligue Europa Conférence, 2 en Ligue 1), l’attaquant n’a pas trainé pour se mettre en action, par les stats, comme dans le jeu où son influence grandit, et les automatismes se créent.
Ce mardi, Sud-Ouest publie un récapitulatif des stats de Laborde, qui avec ses 6 buts en Ligue 1 cette saison (3 avec Rennes, et déjà 3 avec Montpellier en août, toutes compétitions confondues) affiche un le meilleur ratio de sa carrière, décisif toutes les 129 minutes. La saison dernière, sa meilleure en carrière avec 18 buts et 9 passes décisives sous le maillot de Montpellier, le joueur formé aux Girondins de Bordeaux avait été décisif toutes les 132 minutes, son meilleur ratio depuis sa saison bordelaise 2016-2017, avec 13 buts et 5 passes décisives.
Depuis 2016, et sans compter ce début de saison, Gaëtan Laborde est en moyenne décisif toutes les 202 minutes.
En quelques matches, la nouvelle sentinelle des Rouge et Noir s’est déjà imposée comme un joueur indispensable. Comme partout où il est passé ; Son parcours en témoigne.

Recruté au mois d’août pour remplacer Steven Nzonzi au poste de milieu défensif dans les rangs du Stade Rennais, Baptiste Santamaria qui évolue dans un registre différent, s’est déjà imposé comme un cadre de l’équipe. Ce joueur "fiable", comme le décrit Bruno Genesio, capable d’enchaîner les courses comme les matches, s’est livré en toute sincérité et simplicité.
À quoi ressemble l’enfance de Baptiste Santamaria ?
J’ai vécu avec mes deux parents et ma grande sœur. Un foyer solide. Ça a été une bonne chose pour mon évolution. J’ai commencé le foot à l’ES Justice Bourges. C’est ma mère qui m’a emmené dans ce petit club de proximité. J’avais 5-6 ans.
Avez-vous toujours fait du foot ?
Mon père n’avait pas forcément envie que j’en fasse, donc il m’a inscrit à tout : judo, karaté, même de la gymnastique ! Mais moi, il n’y avait que le ballon rond qui m’intéressait.
Il a été footballeur pro, pourquoi ne souhaitait-il pas que vous soyez joueur ?
Il a eu un peu tous les inconvénients qu’un footballeur peut avoir : des blessures, des dépôts de bilan, des clubs qui ne paient pas… Il a dû partir sur l’île de la Réunion pour rembourser ses crédits. Ce n’était pas, pour lui, une belle aventure, même s’il a fait une carrière honorable. À partir du moment où il a commencé à venir me voir jouer, il s’est dit que je pouvais peut-être rêver de devenir professionnel.
Quelle est votre relation ? Vous parlez foot, gestion de carrière ?
On aime bien débriefer les matches, avec mon père, comme ma mère d’ailleurs. Depuis de nombreuses années, elle a toujours regardé le foot, elle a appris à analyser et elle connaît bien. J’aime bien échanger avec eux, parce qu’ils ont toujours un regard droit et juste. Même quand je fais un mauvais match, ils ne me disent pas "c’est tout beau, c’est tout rose". Ils vont plutôt me dire "tu n’as pas été bon, il va falloir remettre le bleu de chauffe et être meilleur la semaine prochaine".
Qui est le plus sévère dans l’analyse des matches ?
Hum… Je dirais que c’est mon père, même s’il retire le positif. Quoi qu’il arrive, ils sont toujours fiers de moi, mais ils sont assez pointilleux et c’est bien, car je suis un perfectionniste aussi.
Revenons à vos débuts. Vous décidez, donc, de ne faire que du foot.
Oui. Quand je pratiquais les autres sports, je ne pensais qu’à une chose : sortir dans la rue avec les copains et taper la balle. Il n’y avait pas moyen…
Si on avance un peu, vous partez ensuite au centre de formation à Tours. Qu’en gardez-vous ?
Que de belles années. Tours a été le club tremplin pour moi, qui m’a fait passer de cette zone amateur à professionnelle. Et ça s’est fait en deux saisons et demie, ça a été une étape rapide et intéressante pour moi.
C’est le coach Blaquart, le premier à croire en vous ?
Il était directeur du centre de formation. À la sortie du pôle espoirs, après mes deux années de préformation, je n’avais pas trouvé de club pro. Je suis retourné un an à Bourges, mais il a toujours gardé un œil sur moi. Ça l’avait étonné que je ne trouve pas de club pro. Il m’a appelé plusieurs fois pour faire des tests à Tours. Un jour je sortais de l’école et je reçois un coup de fil. C’était Bernard Blaquart qui me disait qu’il était enthousiaste à l’idée de me voir parmi ses jeunes. Il m’a fait confiance et j’ai évolué petit à petit.
À Tours, vous êtes titularisé une fois et vous ne sortez plus de l’équipe. Ça a été le cas à chaque fois par la suite. Comment l’expliquez-vous ? Vous avez une force en vous ?
On essaie toujours de faire au mieux. En général, j’ai toujours eu de la chance de tomber sur des partenaires, amis, staffs, qui m’ont toujours mis dans les meilleures conditions pour pouvoir jouer et être performant. Et après c’est sûr, il y a cette volonté et cet enthousiasme de se dire "je suis content d’être là et j’ai envie de tout donner".
Avez-vous toujours joué au milieu ?
Mon année de U17 nationaux, je l’ai joué attaquant. J’ai fini meilleur buteur de l’équipe. C’est Alexandre Dujeux, l’entraîneur des U19, qui me voyait plus en 8. Il m’a dit : "si tu acceptes de jouer en 8 avec moi, je te ferai passer professionnel". Et c’est exactement ce qu’il s’est passé deux ans après. Olivier Pantaloni, qui avait eu Alex plus jeune, arrive comme entraîneur principal et le prend comme adjoint. Et c’est parti très vite.
C’est un gros changement, passer d’attaquant à milieu relayeur. Vous ne le prenez pas mal, au départ ?
J’avais confiance en lui. Je ne me suis pas posé de question. Je me suis : "s’il me voit là de son œil de professionnel, c’est là que je vais pouvoir me développer et réussir". Mon objectif, c’était d’être professionnel.
Après Tours, il y a eu Angers, donc. Que représente ce club pour vous ?
C’est un club qui m’a donné ma chance en Ligue 1. Je n’y ai passé que des belles années. C’est un club qui a été important pour moi et que le sera toujours.
En U17 vous marquez de nombreux buts. À Tours, vous marquez 14 fois en trois ans. À Angers, un peu moins. Cet aspect buteur vous manque-t-il, parfois ?
On a toujours envie d’être efficace ! Mais aujourd’hui, le poste que j’occupe, en sentinelle ou en 6, c’est davantage un rôle de passeur. L’une de mes qualités, c’est que j’ai une belle frappe de loin, et j’aimerais être davantage performant dans cette discipline. J’ai envie de progresser au niveau de mes stats.
Il vous reste des réflexes d’attaquants, comme lors de votre premier match à Rennes où vous tentez une Madjer ?
C’était marrant, parce que c’est la première réaction que j’ai eue avec ma famille ! Le premier but que j’ai marqué en professionnel à Tours, c’était une Madjer ! C’était un petit clin d’œil (rires).
Avez-vous une préférence entre 6 et 8 ?
Ça n’a aucune importance, dans le sens où je m’éclate dans les deux registres. Après, vu que j’ai joué sentinelle pendant plus de quatre ans, c’est quelque chose qui est ancré en moi. Le rôle de numéro 8, c’est mon poste formation, ça ne me gêne pas du tout d’y jouer.
Sur les trois dernières années, vous n’avez raté qu’un match. Comment expliquer ce côté "Iron Man" ?
Je fais attention à mon hygiène de vie. C’est important et ça fait partie de notre métier. Le sommeil, par exemple, est important. Il fait partie du travail. L’alimentation aussi. Et puis, il y a un gros facteur chance.
Ensuite, vous partez à Fribourg. Qu’avez-vous appris, tactiquement notamment, là-bas ?
J’ai découvert une autre culture du football. On se rend compte qu’en France, on est beaucoup plus organisé, discipliné. Ce sont des choix plus tactiques. En Allemagne, ce n’est pas que ça réfléchit moins, mais il y a beaucoup plus d’ouvertures, le jeu se fait naturellement, les équipes attaquent constamment. C’est un jeu box-to-box comme on peut le voir en Angleterre. J’ai pris énormément de plaisir.
N’avez-vous pas trop été frustré de voir la Bundesliga sans supporters ?
C’est vrai que ça aurait été un peu mieux, mais j’ai eu la chance de faire Dortmund avec un peu de supporters. J’ai fait un match à domicile avec du monde aussi. C’est sûr qu’en tant que footballeur, ce qui nous procure de bons moments, c’est le partage. Avec un stade plein, ça nous donne des frissons, on vit pour ça.
Licenciés par Canal+, Stéphane Guy, Sébastien Thoen et Julien Cazarre ont profité d'un sketch pour tourner en ridicule la chaîne cryptée.

Il y a encore un an, tandis que la Ligue 1 se débattait avec le dossier Mediapro, Canal+ restait à l’affût et la chaîne cryptée paraissait en position de force. Et puis, sur le plan de la communication, tout a dérapé pour la chaîne du groupe Bolloré. C’est d’abord Julien Cazarre, poussé vers la sortie auparavant, qui mettait le feu au poudre en s’en prenant aux dirigeants de la chaîne crypté :« Malheureusement, les gens qui ont créé J + 1, et les meilleures émissions de Canal, ne sont plus à Canal et les gens qui les ont remplacés sont des truffes ». Quelques semaines plus tard, Sébastien Thoen, toujours salarié de C+, participait à un sketch se moquant de Pascal Praud et de Cnews en compagnie de Julien Cazarre. Tout s’emballait alors.
La direction de Canal+ décidait de virer sans délai Sébastien Thoen, une sanction forte, mais ce n’était qu’un début. Quelques jours plus tard, en plein match Montpellier-PSG, Stéphane Guy rendait hommage à son ancien confrère…et en plein boxing day, le journaliste star de la chaîne cryptée était lui aussi viré sans ménagement. Dans les coulisses de C+ cela s’agitait violemment, plusieurs journalistes étant débarqués pour avoir soutenu Stéphane Guy. Tout cela avant même le début de la tempête provoquée par la diffusion du documentaire de Marie Portolano, laquelle quittait également la chaîne sur ce coup d’éclat qui mettait Pierre Ménès au tapie.
Stéphane Guy en procès avec Canal+
Depuis, le temps a fait son œuvre, mais forcément dans chaque camp on n’a pas oublié les événements de ces derniers. Si Stéphan Guy a retrouvé un job sur RMC, celui qui est toujours en procès avec Canal+ n’a pas manqué de saisir une perche tendue par Julien Cazarre et Sébastien Thoen de se rappeler avec humour au bon souvenir de Maxime Saada et de la chaîne. Et histoire d’appuyer là où cela fait mal, c’est via un sketch sur la chaîne d’un site de paris en ligne, la même qui avait diffusé celui sur Pascal Praud, que le trio a sévi.
Dans un sketch intitulé « Goodbye Leo » qui débute par le fameux commentaire de Stéphane Guy sur le sixième but du FC Barcelone face au PSG lors de la remontada de 2017, Julien Cazarre et Thomas Séraphin tentent de faire croire à Sébastien Thoen, tenant le rôle d'un supporter barcelonais tombé dans le coma ce soir-là, qu’en 2021 rien n'a changé et que le Barça est toujours le roi d’Europe grâce à Lionel Messi, Neymar…mais aussi Marco Verratti venu du PSG. Pour réussir à tromper son ami, Cazarre multiplie les montages avec des journaux, mais aussi avec des vidéos, et c’est là qu’à la surprise générale le vrai Stéphane Guy fait une apparition. Afin de duper Thoen, l’ancien commentateur vedette de Canal+ doit commenter des séquences censées prouver la toute-puissance du club catalan en 2021.
Dans un climat extrêmement tendu en Ligue 1 et en Ligue 2, des Ultras du PSG auraient fait le déplacement chez un membre des Ultras de Rennes pour lui voler, avec violence, une bâche.

Dans le monde des supporters, le vol d’une bâche est quasiment une déclaration de guerre, et les conditions dans lesquelles les Ultras du PSG auraient volé celle du Roazhon Celtic Kop annoncent probablement des événements désagréables. Vendredi, le RCK 1991 a annoncé sa mise en sommeil suite « au vol de notre bâche domicile dans des circonstances dignes d’un guet-apens sur l’un de nos membres qui portent directement atteinte à la sécurité de sa famille ». Et l’association de supporters rennais d’annoncer l’annulation de ses déplacements Bordeaux en Ligue 1, et à Arnhem en coupe d’Europe, une décision radicale et qui pourrait durer. Si le Stade Rennais a apporté son soutien au RCK 1991, le club breton n’a rien dit sur les conditions de ce vol, mais Ouest-France a quelques indices sur cette attaque.
Le quotidien affirme que des Ultras du PSG auraient suivi discrètement un responsable des Ultras rennais après la victoire contre Clermont, avant de passer à l’attaque à son domicile, arrosant ce dernier et son père avec du gaz lacrymogène. Après avoir volé la bâche, les agresseurs seraient repartis avec ce précieux butin. Selon OF, aucune plainte n’a été déposée par le supporter en question, le linge sale semblant devoir se laver entre Ultras. Car ce « braquage » serait la réponse à une baston entre supporters en 2019 lorsque des fans du PSG et du Stade Rennais s’étaient empoignés en marge de la finale de la Coupe de France gagnée par le club breton au Stade de France. A l'heure où le football français traverse un début de crise suite aux nombreux incidents intervenus dans plusieurs stades, la Ligue 1 se serait bien passée de cela.
La moustache la plus célèbre du football français - en tout cas depuis la retraite de Guy Lacombe - pense avoir la solution miracle.

Montpellier, Nice, Lens, Angers plus récemment... Les journées de championnat se suivent et les débordements engendrés par des supporters se multiplient dans les stades de Ligue 1. Pour y remédier, Frédéric Thiriez a une idée : ne pas lésiner sur les interdictions de stade. « C’est un dispositif que j’ai obtenu lorsque j’étais président de la LFP » , a rappelé, vendredi matin sur les ondes de France Info, celui qui a dirigé l’instance de 2002 à 2016.
« En France, nous avons 500 interdits de stade. En Allemagne, ils sont 3000. En Angleterre, 10 000. C’est l’axe principal de la prévention. C’est très efficace, et puis cela permet de mettre à l’écart les individus qu’on connaît » , a insisté l’avocat, nettement battu par Noël Le Graët lors de la dernière élection à la présidence de la FFF. Avant de poursuivre : « Il faut quand même rappeler que tous nos stades sont équipés de caméras de vidéosurveillance, que les policiers dans le PC de sécurité avec le directeur de la sécurité du club peuvent parfaitement identifier les fauteurs de trouble. »
Depuis qu'on a supprimé sa Coupe de la Ligue, Thiriez est sans pitié.
La couverture de la Ligue 1 par Amazon ne fait pas que des heureux. Pierre Ménès sort déjà les crocs.
La ligne éditoriale choisie par Amazon pour diffuser la Ligue 1 ne fait pas chavirer. Trop policée et ne prenant aucun risque, elle irrite Pierre Ménès au plus haut point. L’ancien journaliste de Canal+ a eu pas mal de reproches envers le diffuseur de la Ligue 1 sur Twitter, notamment sur la gestion de l’affaire Pochettino-Messi. Le coach argentin n’a pas été inquiété sur cet aspect par les journalistes de la chaîne américaine. De quoi agacer Ménès.
« On a une plateforme qui a les droits, on attend qu’elle fasse le boulot. Je n’ai pas entendu une seule question, ni même un propos un rien polémique sur Amazon. C’est pas la question de critiquer mais tu peux, tu dois même poser la question », a ainsi tonné l’ancien journaliste de L’Equipe, estimant qu’Amazon aurait du insister sur la fameuse sortie de Lionel Messi à 15 minutes de la fin dimanche. Face à l’argument du jeu face à la polémique et à la quête de controverse, Ménès a lancé un avertissement. « Si t’es content tant mieux. On verra les audiences ». Et toc.
Lancée il y a seulement trois ans, la start-up française de fantasy football Sorare vient de signer une levée de fonds record à 680 millions de dollars. Du jamais vu en France. De quoi nourrir ses ambitions à l'international.
C'était l'événement du jour dans le milieu des nouvelles technologies. Mais aussi du secteur du sport. Sorare, une start-up française de Fantasy Football, a annoncé ce mardi avoir conclu une levée de fonds record à 680 M de dollars (soit 580 M€), menée par l'un des groupes les plus profitables au monde Softbank. Ce qui en fait la plus importante levée de fond de l'histoire de la French Tech.
Sorare se voit désormais valorisée à 4,3 Mds de dollars (3,7 Mds€). « C'est aussi la deuxième levée de fonds la plus importante au monde dans le secteur de la crypto, la première appartenant à la plateforme d'échanges américaine FTX qui a levé 900 M$ en juillet dernier », souligne Stanislas Barthélémi, consultant en crypto et blockchain du cabinet de conseil KPMG.
Créé en 2018 par les Français Nicolas Julia et Adrien Montfort, Sorare connaît une ascension fulgurante ces derniers mois. La jeune pousse avait déjà levé 50 M$ en février dernier auprès d'investisseurs comme Benchmark (investisseur sur Twitter ou Instagram) ainsi que des joueurs de football comme Antoine Griezmann et Gerard Piqué. Elle devance donc, avec cette nouvelle levée de fonds, une autre pépite française Contentsquare, spécialisée dans l'analyse des comportements des internautes sur les sites marchands, qui avait levé 500 M$ en mai dernier.
Mais comment expliquer ce succès rapide et record ? Le positionnement de Sorare s'avère unique et inédit. La société a réussi à associer des cartes à collectionner numériques - genre de cartes Panini 2.0 - à un jeu de Fantasy Football.
« Avant de lancer Sorare, je travaillais chez Stratum (une société spécialisée dans la blockchain) en tant que chef des opérations où j'ai rencontré mon cofondateur Adrien, explique Nicolas Julia. À l'été 2018, nous avons découvert une technologie permettant de créer de la rareté numérique unique (les NFT) et donc de collectionner des objets numériques. En tant que fans de foot, on a tout de suite imaginé créer des cartes numériques avec les footballeurs. Tout en leur donnant une utilité dans un jeu de fantasy football mondial ». Les utilisateurs de Sorare peuvent donc acheter et collectionner des cartes de joueurs numériques - quatre niveaux de rareté existent -, tout en les alignant dans des équipes virtuelles. Ces cartes peuvent prendre de la valeur en fonction des performances des joueurs.
6 000 footballeurs licenciés et 180 clubs partenaires
Aujourd'hui, Nicolas Julia affirme que la société compte 600 000 utilisateurs enregistrés - même si 37 000 joueurs ont en réalité acheté au moins une carte -, 6 000 footballeurs licenciés et 180 clubs partenaires dont le PSG, le LOSC ou l'AS Monaco en Ligue 1. « Ils ont par exemple émis ce lundi quelques cartes de joueurs du PSG, dont Lionel Messi, et ils en ont vendu pour près d'un million d'euros (chaque carte est soumise à un tour d'enchères), c'est énorme, pointe Stanislas Barthélémi. Chaque jour, il y a au moins 300 à 500 joueurs qui achètent au moins une carte par jour ».
« Ils sont en train d'ouvrir un nouveau marché avec une technologie qui fonctionne et qui est en plein essor, pointe Raphaël Bloch, journaliste financier au magazine L'Express. C'est ce qui fait que cette boîte va devenir un monstre. Ils ont réussi à lever autant d'argent car il faut qu'ils développent les contrats avec les clubs et les joueurs. Ils s'embarquent dans une industrie mondiale avec beaucoup de futurs concurrents potentiels donc ils sont en train de recruter les meilleurs des géants de la tech, pour se placer en leaders. Ils ont des ambitions. Et c'est bien, quand on pense, par exemple, au cas de Deezer (plateforme française dédiée à l'écoute de musique en streaming). C'est une entreprise qui aurait dû écraser le monde mais qui a vu trop petit, alors que son concurrent Spotify a très vite visé le marché mondial ».
« Ils ont un business model rentable, Sorare table sur 100 M€ de chiffre d'affaires en 2021, le marché du foot est énorme tout comme celui de la crypto, qui n'est pas plus un secteur de niche »
Alexandre Stachtchenko, directeur blockchain et crypto chez KMPG France, n'est pas non plus étonné par cette levée de fonds XXL : « On parlait déjà de Sorare il y a deux ans aux journalistes qui nous questionnaient sur les start-ups en devenir. Ils ont un business model rentable, Sorare table sur 100 M€ de chiffre d'affaires en 2021, le marché du foot est énorme tout comme celui de la crypto, qui n'est plus un secteur de niche. La réalité, c'est qu'un Américain sur cinq possède de la cryptomonnaie. Les cryptos sont à la valeur ce qu'Internet a été pour l'information. Sorare est une boîte qui a mis l'essai et qui doit le transformer ».
Attirer les 20 meilleures ligues de foot au monde
Nicolas Julia a souligné ce mardi que son objectif était de « créer le prochain champion du monde du divertissement sportif en s'appuyant sur les NFT ». Pour cela, il compte recruter « les meilleurs talents en Europe et aux Etats-Unis » - un bureau devrait ouvrir aux USA, actuel premier marché de la start-up. Il espère aussi attirer les 20 meilleures ligues de football au monde ainsi que les équipes nationales. À savoir que Sorare a annoncé un partenariat exclusif avec la Liga début septembre et annoncerait bientôt un deal avec la Premier League selon The Telegraph.
La start-up, qui n'a pour l'heure pas de concurrent, compte également se développer à travers d'autres sports d'ici 2022. « Ils peuvent transposer leur technologie dans de nombreux autres domaines en dehors du sport, le potentiel est énorme », reconnaît Raphaël Bloch de L'Express. « Nous n'en sommes qu'au début. Les NFT vont révolutionner non seulement le foot mais tous les sports dans la façon dont les fans se connectent avec leurs clubs », conclut Nicolas Julia.
Après des années de domination en Chine et en Asie, ainsi que des mercatos XXL, Guangzhou Evergrande pourrait bientôt disparaître.
L'Eldorado chinois, le Guangzhou FC l'a longtemps incarné. Depuis une dizaine d'années, la formation de Chinese Super League a dominé le football local - remportant 8 fois le championnat, 2 fois la Coupe et 3 fois la Supercoupe - mais aussi continental, avec 2 Ligue des Champions d'Asie à son palmarès. Sous la houlette de coaches tels que Marcello Lippi, Luiz Felipe Scolari ou Fabio Cannavaro, le club a également attiré bon nombre de grands joueurs dans ses filets.
On peut citer pêle-mêle Dario Conca, Lucas Barrios, Alberto Gilardino, Alessandro Diamanti, Robinho, Paulinho, Anderson Talisca ou encore Jackson Martinez, tous attirés par de juteux salaires et des conditions fiscales préférentielles. Pour recruter le Colombien, alors à l'Atlético de Madrid, ils n'avaient pas hésité à mettre près de 42 M€ sur la table en 2016 ! Mais tout ça, aujourd'hui, c'est terminé.
Crise fatale
Evergrande Real Estate Group, principal actionnaire du club, connaît une crise sans précédent, affichant des dettes colossales de l'ordre de 300 milliards de dollars selon la presse chinoise. Le groupe aurait même fait appel à l'aide du gouvernement pour éviter la banqueroute. La situation est donc très critique et l'avenir du club est directement concerné.
S'il devrait être autorisé à terminer la saison (il a fini la phase aller à la 2e place du groupe A, avec le meilleur buteur Elkeson, 11 réalisations, dans ses rangs), le Guangzhou FC pourrait bien mettre la clé sous la porte une fois le championnat terminé, à l'image de ce qui était arrivé au Jiangsu Suning il y a quelques mois. Et même si une autre entreprise prenait le relai, le club devrait drastiquement revoir son train de vie et en finir avec les transferts ronflants. L'Eldorado chinois a fait son temps...
L’entraîneur du Bayern Munich aimerait s’appuyer sur les modes de communication qui existent entre joueurs et entraîneur dans le football américain.

Julian Nagelsmann risque de déclencher un débat. Au cours d’une interview accordée au média allemand TZ, le coach du Bayern Munich a en effet déclaré qu’il aimerait pouvoir communiquer avec ses joueurs sur le terrain à l’aide d’une oreillette.
Une idée qu’il tire du football américain, où certains joueurs ont des casques équipés de radio pour échanger avec le staff durant le match. « Le foot américain est incroyablement avancé d’un point de vue technologique en terme communication avec les joueurs, a développé le tacticien de 34 ans qui a récemment pu discuter avec Andy Reid, le coach des Kansas City Chiefs, vainqueur du Super Bowl en 2020. Le quater back peut écouter son entraîneur sur le terrain et je trouve qu’on peut tirer beaucoup de cette technologie. »
Nous en avons absolument besoin
Nagelsmann, qui considère que le football pêche au niveau de l’innovation à l’inverse de sa version américaine, invite ainsi ses homologues et les footballeurs à se saisir de la question. « Nous en avons absolument besoin. C’est extrêmement bruyant dans les stades et il n’y a pas de temps mort. Nous n’avons que la mi-temps pour discuter tactique avec les joueurs », développe-t-il.
Le coach allemand a déjà tout prévu. « L’idéal serait que les joueurs soient équipés d’un micro pour communiquer avec leur entraîneur. » Qu’importe si le règlement l’interdit, l’entraîneur du Bayern est prêt à se battre pour obtenir cette avancée. « Il faut dire qu’on le veut, a-t-il enchaîné. On veut équiper nos maillots pour que les joueurs et les entraîneurs puissent communiquer. »
Puma a fait savoir que les maillots « third » comme ceux de l’OM sans le logo du club concerné, ne seront probablement plus tentés la saison prochaine.

Tout a presque été tenté en ce qui concerne les maillots des clubs de football. Mais il faut faire vendre et toujours faire original pour se démarquer, quitte à perdre de vue l’essentiel. Puma a dévoilé pour cette saison plusieurs tenues « third » qui ont réussi à mettre tout le monde d’accord, notamment chez les supporters. Le logo du club a tout simplement disparu, remplacé par le nom de la ville écrit en gros à l’avant. Un maillot d’entrainement ou plus « streetwear », qu’une véritable tenue pour représenter le club. C’est le cas à l’OM où, malgré la publicité faite par Dimitri Payet en personne, les supporters n’ont pas adhéré à ce nouveau maillot. Même chose chez les autres clubs équipés par Puma, mais c’est à Dortmund que la grogne a été la plus forte, obligeant l’équipementier allemand à revoir sa copie. Dans un message dans la presse allemande, le boss de Puma a reconnu que les logos des clubs seront à nouveau visible à l’avenir.
« Nous regrettons la colère des supporters et nous souhaitons nous excuser. Les critiques sont liées au fait que le logo du BVB est seulement incorporé ton sur ton plusieurs fois sur le tissu, ainsi qu'en relief plus grand sur la poitrine du maillot, mais qu'il n'est pas clairement mis en évidence en tant qu'écusson. Nous avons vraiment pris les commentaires à coeur et nous en tiendrons compte pour les futurs maillots, comme nous l'avons fait par le passé », a prévenu Björn Gulden dans le journal Ruhr Nachrichten. Puma a encore plusieurs années de contrat avec l’OM, et pourra donc retenter sa chance la saison prochaine, avec des maillots que les supporters rêvent plus classiques, ou du moins avec le logo du club sur la poitrine.

Matthieu Luco est carreleur et possède un patronyme italien. Mais il rectifie tout de suite. “Je ne suis pas Italien. Je suis du Morbihan, de l’île aux Moines”, confie-t-il. A la tête d’une entreprise de carrelages, connue sous le nom de Luco-Bataller et fondée en 1967, il travaille pour les professionnels (boucherie, restaurant, boulangerie) et surtout les particuliers. “Nous sommes principalement dans la rénovation”, ajoute-t-il.

Mais malgré son succès, son savoir-faire, il a décidé d’ajouter une autre corde : la mosaïque. Non sans raison, l’artisan s’est passionné pour un certain Isidore Odorico. “C’est ma source d’inspiration. Comme Obélix, je suis tombé dans la marmite quand j’étais petit ! Je voyais ses mosaïques partout sur mes chantiers et je continue en voir partout”, confie-t-il. A L’Hermitage, le chef d’entreprise a ouvert depuis un atelier de mosaïque. “Chez nous, les clients viennent avec leur projet, une idée”, explique-il. Et parfois, les commandes sont particulières. “Un jour, le président du Stade Rennais, Jacques Delanoë, est venu nous voir. Il avait vu un oeuvre d’Odorico père dans le hall privé d’une banque privée rennaise. Il voulait la même pour son club. Nous avons mis 200 heures pour la fabriquer !”

Chez nous, les clients ont l’impression d’arriver dans un magasin de bonbons”, assure Matthieu Luco. “Il y a des couleurs, un peu partout!”
Avec des mosaïques de l’entreprise lilloise de Winckelmans dont la présidente est Barbara Winckelmans, il a réussi son…but. “Nous avons posé les carreaux un par par un an. Ce fut un sacré labeur et sans doute l’une de nos plus belles commandes.”Au fil des années, Matthieu a imaginé de nombreuses oeuvres. On lui doit une belle Marianne, des décorations pour des restaurants (L’Arrivée), des magasins (Chéri Chéri) et parfois de la restauration des réalisations du grand maître Odorico. “Pour ces derniers chantiers, nous avons une sévère difficulté, Il faut trouver la matière, les couleurs. On se bagarre avec la ville de Rennes pour récupérer du stock. On aimerait bien qu’elle nous aide.”


Au fil du temps, le mosaïste commence à se faire un nom. Mais à la différence d’Isodore Odorico, il n’impose pas encore ses oeuvres. “Dans notre atelier Les Mosaïques de la Vilaine avec mon neveu Alexis, nous n’allons pas fabriquer des choses pour ne pas savoir quoi en faire. Nous travaillons uniquement sur commande en échangeant beaucoup avec nos clients qui sont souvent aussi passionnés que nous.” Dans quelques années, on parlera peut-être encore d’Odorico, mais aussi et sans doute de Luco. Luco Bataller, ZA de la Hautière, 35590 L’Hermitage. 02 99 67 24 67. Pour tous renseignements. https://www.lucobataller.com