• ds_0880.jpg
  • DS_0093.jpg
  • DS_0116.jpg
  • ds_3136.jpg
  • ds_2369.jpg
  • ds_2109.jpg
  • ds_3442.jpg
  • ds_2024.jpg
  • ds_1153.jpg
  • ds_0994.jpg
  • ds_1012.jpg
  • ds_0459.jpg
  • ds_1473.jpg
  • ds_1131.jpg
  • ds_3876.jpg
  • ds_1316.jpg
  • ds_2619.jpg
  • ds_2643.jpg
  • ds_2094.jpg
  • ds_1629.jpg
Actualité

20 Août 2025

La crise des droits TV se caractérise par des chiffres anormalement bas en termes de revenus pour les clubs. Si le Paris Saint-Germain remporte la Ligue 1 cette année, il touchera moins d’argent que...

Anciens

20 Août 2025

Ciblé par des injures racistes à la suite de son tir au but raté lors de la Supercoupe d'Europe, l'attaquant français de Tottenham Mathys Tel s'est exprimé sur Instagram. L'attaquant français de...

Mercato

19 Août 2025

En quête d'un attaquant depuis plusieurs semaines, le Stade Rennais a trouvé son homme à quelques kilomètres de là avec Estéban Lepaul. L'attaquant d'Angers accepte le transfert et le SCO est tout...

Mercato

19 Août 2025

Courtisé par Parme, le milieu gallois de Rennes Jordan James est également dans le viseur de deux clubs de Championship. Alors que ses perspectives de temps de jeu se sont encore réduites après les...

Anciens

19 Août 2025

Arnaud Kalimuendo rejoint officiellement Nottingham Forest, qui a confirmé ce lundi l’arrivée de l’attaquant français pour un montant de 31,5 millions d’euros. L’avant-centre de 23 ans, auteur d’une...

Mercato

19 Août 2025

En plus de Conrad Harder et d'Estéban Lepaul, le Stade Rennais s'est positionné sur l'attaquant international néerlandais de l'Ajax Amsterdam, Brian Brobbey. En quête d'un numéro 9, le Stade Rennais...

Ligue 1

19 Août 2025

Découvrez les arbitres qui officieront lors de la 2ème journée de Ligue 1 FC Lorient - Stade Rennais FC (Dimanche, 15h00) Arbitre principal : Jérôme BRISARD Arbitres assistants : Alexis AUGER et...

Mercato

18 Août 2025

Après trois saisons en Bretagne, Arnaud Kalimuendo quitte le Stade Rennais. Après trois saisons en Bretagne, Arnaud Kalimuendo rejoint la Premier League et Nottingham Forest. @Crédit photo : JRS...

Mercato

18 Août 2025

L’attaquant rennais Arnaud Kalimuendo s’est engagé pour cinq ans en faveur de Nottingham Forest, a annoncé ce lundi le club anglais. L’avant-centre de 23 ans formé au Paris Saint-Germain, Arnaud...

Mercato

18 Août 2025

Nottingham Forest a officialisé ce lundi le transfert d'Arnaud Kalimuendo. Trois ans après son arrivée à Rennes, l'attaquant français s'apprête à découvrir la Premier League. Arnaud Kalimuendo...

Mercato

18 Août 2025

Arnaud Kalimuendo s’est engagé avec Nottingham Forest (Premier League) ce lundi 18 août. L’attaquant français de 23 ans quitte le Stade Rennais après trois saisons et pour un transfert supérieur à...

Mercato

18 Août 2025

Alors que le départ d’Arnaud Kalimuendo vers Nottingham Forest semble inévitable, le Stade Rennais s’active pour lui trouver un remplaçant. Selon des informations rapportées, la direction bretonne a...

Mercato

18 Août 2025

Après une entame de saison réussie avec une victoire convaincante face à l'Olympique de Marseille lors de la première journée de Ligue 1, le Stade Rennais poursuit activement sa restructuration...

Mercato

17 Août 2025

En quête d'un attaquant qui pourrait être le Danois du Sporting CP Conrad Harder, le Stade Rennais a aussi tenté Estéban Lepaul. Le montant demandé par le SCO a été dissuasif. Parallèlement aux...

Ligue 1

17 Août 2025

Non content de s’être fortement embrouillé avec Adrien Rabiot après la défaite à Rennes (0-1), l’ailier de l’OM Jonathan Rowe s’est aussi distingué par un like qui n’est pas passé inaperçu… Comme...

Actualité

17 Août 2025

Cette saison encore, l'écart de budget est énorme entre les plus gros clubs de Ligue 1, le PSG en tête, et les autres, dans un contexte global d'austérité pour le foot français en raison de...

Ligue 1

16 Août 2025

Mollo mollo, on n’est qu’en août. Qui des politiciens de droite et des suiveurs de l’OM utilisent le plus souvent le mot "crise" ? Après la première défaite de la saison marseillaise, hier soir à...

Ligue 1

16 Août 2025

La tension était à son maximum dans le vestiaire de l’OM après la défaite à Rennes (1-0) lors de la 1ère journée de Ligue 1. De quoi craindre une union déjà fissurée alors que le championnat démarre...

Des revenus de billetterie en (forte) souffrance

Sans surprise, le championnat de Ligue 1 a enregistré un net recul de ses revenus de billetterie à l’issue de la saison 2019-20 selon le dernier rapport DNCG publié par la LFP. Et l’impact de la crise sur les recettes matchday sera encore bien plus important lors de la publication des comptes 2020-21. Décryptage.

ds 0485

-15%. C’est la baisse des revenus de billetterie accusée par la Ligue 1 à l’issue de la saison 2019-20. Alors que le championnat d’élite de football professionnel était parvenu à franchir la barre des 200 M€ de recettes de billetterie à l’issue de l’exercice 2018-19 ; les 20 clubs de L1 n’ont cumulé que 170 M€ de revenus sur l’ensemble de la saison 2019-20. Un exercice qui s’est achevé au soir de la 28e journée en raison de l’éclatement de la crise du Covid-19.

Un périmètre mouvant
Le PSG conserve la tête du classement des ressources en billetterie en engrangeant un peu plus de 38 M€ de revenus. Le club parisien domine néanmoins moins largement ce classement que celui du sponsoring. L’Olympique Lyonnais talonne le PSG avec des recettes de l’ordre de 35,5 M€ sur l’ensemble de la saison. A noter néanmoins que le périmètre pris en compte par la DNCG est défavorable aux pensionnaires du Parc des Princes : en effet, une très grande partie des revenus de billetterie B2B du PSG n’est pas prise en compte dans les revenus de ticketing affichés par la DNCG. En y intégrant les revenus issus des hospitalités et autres sources matchday, le PSG se rapproche des 90M€ sur l’ensemble de la saison.

Parmi les gros gadins de la saison 2019-20, on retrouve notamment le Toulouse Football Club. La formation de la Ville Rose a supporté une contraction de ses recettes de billetterie de 56% – seul club de L1 à afficher une baisse de plus de 50%. Outre l’arrêt anticipé de la saison, le club toulousain paie également le (lourd) prix d’un exercice complètement raté sur le plan sportif. Le FC Girondins de Bordeaux supporte également une baisse de ses revenus de billetterie de 45%.

L’exception lilloise
Les clubs ayant participé à l’édition 2019-20 de la Champions League ont considérablement limité la casse. Le LOSC a fait même mieux en étant le seul club de L1 à enregistrer… une progression de ses revenus de billetterie sur l’ensemble de la saison 2019-20 ! Le club nordiste est ainsi parvenu à faire progresser ses recettes de ticketing de… 36% pour franchir la barre des 13,5 M€, plaçant le LOSC au 4e rang, juste derrière l’Olympique de Marseille.

L’Olympique Lyonnais ne s’en sort également pas trop mal sur l’exercice 2019-20. Le club rhodanien n’a accusé qu’une baisse de 15% de ses revenus de ticketing sur l’exercice, soit une contraction bien inférieure à ces deux principaux rivaux en la matière, l’OM et le PSG. Juste avant l’éclatement de la crise, le club de Jean-Michel Aulas a battu son record de revenus matchday en une soirée au Groupama Stadium, à l’occasion de la réception de la Juventus FC pour le compte des huitièmes de finale aller de C1. Le club lyonnais a encaissé ce soir-là plus de 6 M€. A noter que l’OL a également engrangé 6,7 M€ de revenus « Events » liés à l’exploitation du Groupama Stadium en-dehors des jours de match sur la saison 2019-20 – recettes non-comptabilisées dans les revenus de billetterie.

Un exercice 2020-21 épouvantable
Bien entendu, la contraction des revenus de billetterie va être bien plus forte lors de l’exercice 2020-21. Les différents clubs de Ligue 1 ont disputé la quasi-intégralité de la saison à huis clos en raison des restrictions sanitaires. Et le mécanisme de compensation partielle de billetterie mis en place par l’Etat ne couvre que très partiellement le manque à gagner supporté par les clubs de l’élite – de nombreuses conditions ont été définies et son montant est de toute manière plafonné à 5 M€ par bénéficiaire éligible.

La publication des comptes de l’Olympique Lyonnais donne un premier aperçu des dégâts. Sur les neuf premiers mois de l’exercice 2020-21 – soit du 1er juillet 2020 au 31 mars 2021 – le club rhodanien a engrangé… 1,8 M€ de revenus de billetterie. Soit un montant en baisse de… 95% par rapport à l’exercice précédent. Clairement, le retour du public en ce début de saison 2021-22 sera perçu comme une excellente nouvelle par tous les acteurs du football professionnel français. En espérant que ce retour à la normale ne soit pas contrarié par une quatrième vague…

Des revenus de sponsoring en hausse en Ligue 1 ?

Curieusement, la Ligue 1 affiche une hausse de ses revenus de sponsoring lors de l’exercice 2019-20. Une saison qui a pourtant été marquée par une interruption définitive dès la 28e journée en raison de l’éclatement de la crise du Covid-19. Mais cette tendance haussière cache de fortes disparités entre les clubs.

ds 0482

"Le marché du sponsoring résiste bien en France." C’est ainsi que Ludovic Dumas, Fondateur de l’agence XIX Sports Consulting, nous résumait la situation au mois de décembre dernier. Une analyse qui est confirmée par les chiffres. Du moins en Ligue 1. Alors que les 20 clubs de l’élite avaient engrangé un peu plus de 414 M€ de recettes de sponsoring lors de la saison 2018-19 ; la L1 a ainsi encaissé plus de 470 M€ de revenus publicitaires à l’issue de la saison 2019-20. Le championnat français affiche ainsi une progression de l’ordre de 15%.

Vers un effet à retardement ?
En apparence, le marché du sponsoring résiste bien mieux à la crise sanitaire que celui des droits TV. Pourtant, plusieurs discussions tendues ont été déclenchées suite à l’interruption anticipée de la saison 2019-20 dans certains clubs de Ligue 1. Marc Vanhove, patron de Bistro Régent, sponsor principal du FC Girondins de Bordeaux, avait notamment pris la décision d’interrompre temporairement son partenariat avec le club au scapulaire. "Je ne peux pas payer pour une prestation qui n’a pas lieu. Il n’y a pas de match, pas de représentation de la marque au niveau national" avait-il ainsi justifié au mois d’avril 2020 sa décision dans les colonnes de Sud-Ouest alors que sa société déboursait 1,4 M€ par an pour figurer sur la face avant du maillot des Girondins. D’autres acteurs, à l’image de Samsic, sponsor maillot du Stade Rennais, se sont interrogés sur les contrats en cours durant cette période délicate.

Toutefois, très peu d’acteurs ont renoncé à leurs engagements. Dans la plupart des situations, des arrangements ont été convenus afin de préserver les rentrées d’argent. Des avoirs ont notamment été négociés concernant les prestations non-délivrées : une politique qui devrait entraîner des répercussions sur les recettes commerciales de la saison 2020-21.

Le PSG, moteur de la croissance française
Par ailleurs, cette hausse globale des activités de sponsoring en Ligue 1 est essentiellement due à un facteur : l’entrée en vigueur des juteux accords commerciaux signés par le Paris Saint-Germain. Négociés avant l’irruption de la crise sanitaire, le Paris Saint-Germain bénéficie désormais d’un contrat de sponsoring maillot avec Accor à hauteur de 65 M€ par saison et d’un accord équipementier avec Nike / Jordan Brand évalué à 80 M€ par exercice.

Ces deux contrats ont fortement contribué à la croissance des revenus de sponsoring du Paris Saint-Germain, qui a engrangé plus de 286 M€ de recettes publicitaires lors de l’exercice 2019-20, soit un montant en hausse de… 47% par rapport à la saison précédente ! Le Paris Saint-Germain représente à lui-seul… plus de 60% des revenus de sponsoring de Ligue 1. L’évolution de ses revenus publicitaires a ainsi une incidence très forte sur la tendance globale de la compétition.

Ligue 1, des situations hétérogènes
Le Paris Saint-Germain n’est néanmoins pas le seul club à enregistrer une hausse de ses revenus de sponsoring lors de la saison 2019-20. C’est le cas également du LOSC qui affiche une progression de 12% par rapport à la saison précédente avec un montant de 11,8 M€, lui permettant de grimper au 4e rang du classement. L’arrivée de Boulanger sur la face avant du maillot du club nordiste – pour un montant estimé à 2,5 M€ par saison – a certainement contribué à cette augmentation des revenus.

En revanche, 14 clubs ont enregistré une contraction de leurs ressources de sponsoring entre les saisons 2018-19 et 2019-20. La baisse la plus importante en pourcentage a été supportée par l’AS Saint-Etienne, qui enregistre une contraction de 50% de ses recettes publicitaires entre les deux exercices. Une évolution qui s’explique très certainement par l’intégration dans les recettes de sponsoring de certains revenus provenant des hospitalités. Des prestations d’hospitalités que les clubs n’ont plus délivrées à leurs partenaires depuis mars 2020…

Nathalie Iannetta quitte TF1 et devient la nouvelle directrice des sports de Radio France

Nathalie Iannetta quitte TF1, qu’elle avait rejoint 2018, pour prendre la direction de Radio France. La journaliste va devenir directrice des sports à la rentrée.
ds 0480

Nathalie Iannetta et TF1, c’est terminé ! C’est en tout cas ce que rapporte L’Équipe en ce jeudi 8 juillet. L’ancienne journaliste de Canal + et LCI était journaliste au sein de l’émission Téléfoot, et apparaissait dans le Mag de l’Euro sur TF1. Elle va prendre la tête du service sports de Radio France à partir du 1er septembre prochain.

C’est ce qu’a confirmé Vincent Giret, directeur de l’information et des sports de la « maison ronde" : "Nathalie Iannetta nous rejoint. L’idée était d’engager une nouvelle phase de développement du sport sur les antennes et l’ensemble des supports de Radio France dans la perspective des Jeux Olympiques de Paris 2024. Avoir une personnalité comme celle de Nathalie, une femme très emblématique du journalisme sportif, et quelqu’un avec une telle expérience et une telle énergie dans une phase où le sport va prendre une importance particulière, c’était une vraie opportunité. Le fait que ce soit une femme était aussi un signal à donner, d’autant qu’elle se sentait prête à occuper ce poste à responsabilités."

Elle se consacrera pleinement à ce nouveau poste
"J’ai démissionné de tous mes postes. C’est un sacré défi et j’aime bien cela. Il y a toujours cette chose au fond de moi, ce métier de l’info et de l’évènement, avec une vraie liberté intellectuelle et éditoriale, et il n’y a qu’à cet endroit-là que toutes ces choses pouvaient se conjuguer. Donc, je n’ai quasiment pas réfléchi quand on me l’a proposé il y a quelques semaines", a-t-elle raconté.

Elle prend la place de Vincent Rodrigue, en poste depuis janvier 2019, qui passera chez France Bleu en tant que secrétaire général des rédactions de France Bleu.

Amazon débarque à la Ligue, le prix enfin connu ?

Diffuseur principal de la Ligue 1 et de la Ligue 2 à partir de la saison prochaine, Amazon va tenter de séduire les présidents des clubs français ce lundi devant la LFP, à quelques semaines de la rentrée.

ds 0736

En juin dernier, Amazon a frappé un grand coup dans le monde audiovisuel du football français. Puisqu’en récupérant les anciens lots de Mediapro, à savoir huit matchs par journée, dont la grande affiche du dimanche soir, le géant de l’e-commerce a effectué une arrivée remarquée en Ligue 1. D’autant plus qu’Amazon a fait une bonne affaire en rachetant toutes ces rencontres contre un chèque annuel de 259 millions d'euros, sur la période 2021-2024. Mais désormais, le plus dur commence pour le nouveau diffuseur principal du championnat de France. Car après l’échec Mediapro, les clubs ne veulent pas revivre un autre drame médiatique… Ce qui ne devrait toutefois pas arriver, sachant qu'Amazon a quand même les reins solides au niveau financier.

Un premier rendez-vous important entre Amazon et la L1
En tout cas, Amazon compte faire les choses bien. Si la reprise de la Ligue 2 approche déjà à grands pas, pour la fin juillet, Amazon met tranquillement son dispositif en place, avec notamment la construction de sa rédaction de journalistes et son équipe de consultants. Histoire de rassurer tout le monde, Alex Green sera présent à l'assemblée générale de la Ligue ce lundi. Lors de cette réunion, le chef des sports d'Amazon Europe va rencontrer pour la première fois les présidents des clubs français. Si ce premier rendez-vous depuis l'attribution d’une grande partie des Droits TV de la L1 au géant américain sera important, L’Equipe annonce qu’Amazon ne dévoilera pas énormément d’informations sur son futur. Mais quoi qu’il en soit, les offres et les contenus de Prime Video seront connus assez rapidement, sachant que le foot de clubs va vite reprendre le dessus après l’Euro 2021.

Le programme de la préparation

Deux stages et cinq matchs amicaux sont au programme de la préparation des Rennais, qui retrouveront la Piverdière le mardi 29 juin.

Découvrez le programme complet* :

ds 0475

  • Mardi 29 juin : Retour à la Piverdière - tests physiques et médicaux
  • Du dimanche 4 juillet au dimanche 11 juillet : Stage de préparation n°1 à Dinard (35)
  • Samedi 10 juillet : match de préparation n°1 contre Le Havre AC (Ligue 2) – 18h – Dinard (35) – stade Paul Audrin
  • Mardi 13 juillet : Reprise de l’entraînement à la Piverdière
  • Samedi 17 juillet : Match de préparation n°2 contre le Standard de Liège (BEL) – 18h – stade de Sclessin (Liège, Belgique)
  • Du mardi 20 juillet au samedi 24 juillet : Stage de préparation n°2 à La Finca (Espagne)
  • Mercredi 21 juillet : Match de préparation n°3 contre Getafe CF (ESP) – 19H à Pinatar (Espagne)
  • Samedi 24 juillet : Match de préparation n°4 contre Levante UD (ESP) – 18H à Pinatar (Espagne)
  • Lundi 26 juillet : Reprise de l’entraînement à la Piverdière
  • Samedi 31 juillet : Match de préparation n°5 contre le Torino FC (ITA) – 18h – Roazhon Park

Plus d’informations seront communiquées ultérieurement sur la possibilité ou non d’accueillir du public et les médias à la Piverdière, sur les lieux de stage et lors des matchs amicaux.

* sous réserve de modifications

Aurélien Montaroup dans la liste des 57 diplômés du DESJEPS

Découvrez les lauréats de la promotion 2020-2021 du Diplôme d’Etat Supérieur de la Jeunesse, de l’Education populaire et des Sports, mention football

ds 0474

Après neuf mois de formation, cinquante-sept entraîneurs et entraîneures ont été diplômé du DESJEPS mention football. Ce diplôme d’Etat permet d’entraîner en N2 et N3 chez les hommes mais aussi en D1 Féminine. Les entraîneurs des équipes de jeunes U17 et U19 Nationaux (garçons) de clubs dont le centre de formation est agréé par la FFF doivent également posséder ce diplôme, a contrario des clubs amateurs où seul le BEF suffit.

"La session du DESJEPS 2020/2021 s’est déroulée du 21 septembre 2020 au 15 juin 2021 au Centre National du Football et au sein des Instituts Régionaux de Formation. Le jury final a eu lieu à la DRAJES Ile de France", précise la FFF. Six femmes font partie de cette promotion 2020-2021.

Les diplômés du DESJEPS
6 femmes
Jessica Silva (Entraîneure FC Metz, D2 Féminines)
Rosette Germano (Entraîneure AS Cagnes Le Cros, R1)
Caroline La Villa (Entraîneure U19 Féminines LOSC)
Morgane Brillaux (Conseillère Technique Régionale PPF, Ligue Paris IDF)
Claire Chambon (Conseillère Technique Régionale DAP, Ligue Méditerranée)
Laure Clavé (Conseillère Technique Départementale, District Alsace)

51 hommes
Laurent Agouazi (Entraîneur adjoint FC Metz B, N2)
Stéphane Aguiar (Conseiller Technique Régional DAP, Hauts-de-France)
Guillaume Allanou (Directeur Général et coach Stade Briochin B, N3)
Yoann Andreu (Entraîneur adjoint U17 Nationaux Angers SCO)
Yann Bechen (Entraîneur adjoint au Pôle Espoir Océan Indien, La Réunion)
Olivier Blondel (Entraîneur des gardiens Amiens SC, L2)
Mario Bocaly (Sélectionneur Martinique)
Stéphane Breerette (Entraîneur FC Côte Sauvage Arnaud Cambremer, D2)
Jérémy Clément (Entraîneur FC Bourgoin Jallieu, N3)
Cédric Clerc (Entraîneur Bassin Piennois, R1)
Luc Davaillon (Responsable technique et entraîneur ES Guéret, R1)
Pape Malickou Diakhaté (US Vandoeuvre, R1)
David Ducourtioux (Entraîneur GFC Ajaccio, N2 mais rétrogradé administrativement en N3 hier)
Patrice Feys (Conseiller Technique Régional, responsable pôle Futsal Ligue Grand Est)
Kévin Garnier (Entraîneur AS Misérieux-Trévoux, R1)
Thibault Giresse (Entraîneur adjoint EA Guingamp, L2)
Florian Goergen (Entraîneur U16, FC Chambly Oise)
Jordan Gonzalez (Entraîneur U18 R1, adjoint et analyste vidéo en N1 au SC Lyon)
Julien Gout (Directeur Technique Blanc Mesnil SF)
Sidney Govou (Ancien attaquant OL, conseiller sportif Limonest, N3)
Bruno Grougi (Entraîneur équipe de jeunes Stade Brestois)
Valentin Guichard (Entraîneur Jura Sud, N2)
Olivier Guiton (Conseiller Technique Régional, Ligue Nouvelle Aquitaine)
Brahim Hemdani (Entraîneur Courbevoie SF, R2)
Cédric Hengbart (Entraîneur adjoint SM Caen B, N2)
Alexandre Hugeux (Entraîneur adjoint U19 Féminines OL)
Julien Ielsch (Entraîneur U16 Amiens SC)
Mehdi Izeghouine (Entraîneur Wasquehal, N3)
Daniel Jean-Alfonse (Entraîneur U16 AS Béziers)
Franck Lebel (Entraîneur Olympique Saint-Marcellin, R2)
Francis Liaigre (Adjoint N2 2020-2021 FC Nantes, entraîneur U17 Nat. FC Nantes 2021-2022)
Rio Antonio Mavuba (Entraîneur adjoint Girondins de Bordeaux, N3)
Sébastien Mazzotti (Entraîneur Morteau/Montlebon, N3)
Sarafoulé Mendy (Entraîneur FC Rouen, N2)
Aurélien Montaroup (Entraîneur U17 Nat. Stade Rennais)
Teddy Morand (Entraîneur AS Clermont St-Jacques, R1)
Vincent Nogueira (Entraîneur RC Strasbourg Alsace, D2 Féminines)
Benoit Pedretti (Entraîneur adjoint U17 Nat AS Nancy Lorraine)
Guillaume Perreau-Niel (Entraîneur adjoint U19 Nat Dijon FCO)
Lucas Pouliquen (Entraîneur U18 R2 Grenoble Foot 38)
Sébastien Puygrenier (Entraîneur adjoint AJ Auxerre B, N2)
Johann Ramaré (Entraîneur adjoint U19 Nat. Brest)
Benjamin Rytlewski (Entraîneur adjoint USL Dunkerque, L2)
Franck Sanson (Entraîneur AS Saint-Amant Montrond, R1)
Olivier Szkwarok (Entraîneur U16 LOSC)
Marama Vahirua (Entraîneur U17 Nat OGC Nice)
Gimmy Valerin (Responsable des jeunes et entraîneur U17 Claye-Souilly)
Maxime Vautrin (Entraîneur D2 Féminines AS Nancy Lorraine)
Yacoub Yassine (Entraîneur US Chantilly, N3)
Abdelkader Zahi (Entraîneur U17 Nationaux Pau FC)
Rabie Zeroual (Entraîneur Le Poiré-sur-Vie, N3)

Amazon ne retient pas le Stade Rennais pour les affiches du dimanche soir

Nouveau diffuseur de la Ligue 1, Amazon a remporté un lot de huit matchs par journée, dont l'affiche du dimanche soir pour la saison 21/22. Le géant américain est prioritaire pour choisir les affiches du dimanche soir.

ds 0472

Les matchs retenus par Amazon :

• OM – PSG
• PSG – OM
• OL – PSG
• PSG – OL
• OL- OM
• OM – OL
• Lille – PSG
• PSG – Monaco
• ASSE – OL
• OM – Nice

Labrune veut équiper les arbitres de micros

Vincent Labrune, président de la Ligue de football professionnel (LFP), souhaite équiper les arbitres de micros afin d’entendre les conservations avec les joueurs et de comprendre leurs décisions.

ds 0382

Hormis les droits TV, les chantiers de Vincent Labrune à la tête de la Ligue de football professionnel (LFP) sont nombreux. Il a récemment participé à faire passer la Ligue 1 à 18 clubs pour lors de la saison 2023-2024. "Le passage à 18 est la première brique d'une réforme plus globale qui vise à améliorer notre produit", confie-t-il dans une interview à L’Equipe, ce vendredi.

"Cela passera par un effort tout particulier sur la réalisation des matches, avec aussi des contenus "inside", développe l’ancien président de l’OM. Et comme il n'y a pas de sujet tabou, évidemment qu'il faut ouvrir un sujet sur l'arbitrage. Sous réserve d'accord de la FIFA, il faut une sonorisation des arbitres pour qu'il y ait moins d'ambiguïtés sur certaines décisions."

Ce ne sera pas son seul cheval de bataille. Il milite notamment pour étendre les contrats des jeunes joueurs, actuellement fixés à trois ans maximum, ce qui participe à l’exode de nombreuses pépites à l’étranger.

"Il faut un dialogue social beaucoup plus fort pour des réformes essentielles, comme le contrat de cinq ans pour les jeunes joueurs, détaille Labrune. Il faut sacraliser la formation à la française. Il n'est pas normal que nos meilleurs talents quittent le pays à 17 ans. Il faut aussi une limitation du nombre de joueurs pros par effectif. Et enfin, réfléchir à la mise en place d'un salary cap global par rapport au budget des clubs. Toutes les pistes qui vont permettre d'avoir un Championnat plus attractif, on va les accélérer."

François Pinault veut racheter l'hôtel particulier de Bernard Tapie

D'après le Canard Enchaîné, François Pinault voudrait racheter l'hôtel particulier de Bernard Tapie à Paris.
ds 0471

Depuis une quarantaine d'années, l'hôtel de Cavoye est associé aux rebondissements financiers et judiciaires de Bernard Tapie. Situé au 52, rue des Saints-Pères, en plein coeur du VIIe arrondissement, il comprend trois bâtiments en U sur une surface d'environ 600 m², une cour d'honneur pavée et un très beau jardin de 885 m². Acheté pour 100 millions de francs en 1986 par l'homme d'affaires au temps de sa splendeur, c'est vite devenu un symbole que les créanciers et la justice voulaient obtenir pour rembourser une partie des dettes de "Nanard" entretemps mis en faillite.

Une longue, très longue bataille judiciaire
Las, Bernard Tapie n'entendait pas se laisser déloger si facilement et ses avocats ont entamé de nombreuses procédures pour empêcher son expropriation, en attendant la résolution de l'arbitrage de l'affaire Adidas annulé en 2015. Pour faire patienter le tribunal de Bobigny chargé de la liquidation de ses biens, Bernard Tapie avait annoncé au printemps avoir trouvé une mystérieuse acheteuse canadienne qui n'a finalement pas concrétisé son offre. Mais, ultime rebondissement révélé ce mardi 15 juin par le Canard Enchaîné: le milliardaire François Pinault a à son tour déposé une offre de rachat au tribunal de l'hôtel de Cavoye pour 80 millions d'euros. D'après le Palmipède, l'homme d'affaires breton n'entendrait toutefois pas expulser trop rapidement l'ancien propriétaire d'Adidas. L'hôtel de Cavoye n'a pas fini de faire parler de lui...

Le groupe Canal explique son retrait surprise

Le président du directoire de Canal Maxime Saada a expliqué les raisons du retrait du groupe français.

ds 0470

"Après l'échec du choix de Mediapro en 2018, Canal + regrette la décision de la Ligue de football professionnel (LFP) de retenir aujourd'hui la proposition d'Amazon au détriment de celle de ses partenaires historiques Canal + et beIN Sports. Canal + ne diffusera donc pas la Ligue 1." Dans un communiqué officiel publié vendredi, le groupe Canal annonçait son retrait et son intention de dire adieu aux droits de diffusion du championnat de France pour la période 2021-2024.

Un communiqué assez bref, et qui laisse donc Amazon seul diffuseur de la Ligue 1. La saison prochaine, le géant américain aura donc huit rencontres de Ligue 1, avec les deux matchs restants abandonnés par Canal encore à distribuer. Dans un mail envoyé aux écuries du championnat vendredi soir, le président du directoire du groupe Canal Maxime Saada a expliqué cette décision.

Saada charge la LFP et les clubs
"Ces lots, qui représentent 80 % des matches de L1, dont les dix meilleures affiches, ont été cédés pour 250 M€ à Amazon alors qu'ils avaient été acquis par Mediapro en 2018 pour 784 M€. La LFP a considéré à tort que la proposition d'Amazon se cumulait aux montants des lots attribués en 2018, à savoir les 332 M€ de Canal+ et les 42 M€ de Free pour le lot digital. Ce scénario n'existe pas. Canal+ ne paiera pas 332 M€ pour 20 % des matches, quand Amazon en diffuse 80 % pour 250 M€. Nous ne diffuserons donc pas la Ligue 1. Après la chimère Mediapro, la LFP et les présidents de clubs reproduisent donc la même erreur qu'en 2018", a-t-il lancé.
"J'ai conscience de l'émotion que va créer cette situation, dans la maison comme en externe. Soyez assurés de notre mobilisation la plus totale pour préserver nos intérêts. Il n'est pas question de se retrouver dans une situation où Canal+ est l'acteur qui paye le plus, pour avoir le moins", a ajouté Saada. Grand sauveur de la Ligue 1 cette saison, Canal ne sera donc pas de la partie à la reprise...

Classement du Championnat des pelouses BKT de Ligue 1 Uber Eats 2020-2021

ds 0469

 

  1. Montpellier Hérault SC – Stade de la Mosson – 18,63 de moyenne
  2. RC Lens – Stade Bolleart-Delelis – 17,87
  3. Stade Brestois 29 – Stade Francis Le Blé – 17,74
  4. Paris Saint-Germain – Parc des Princes – 17,66
  5. Olympique de Marseille – Orange Vélodrome – 17,63
  6. Olympique Lyonnais – Groupama Stadium – 17,35
  7. AS Saint-Etienne – Stade Geoffroy Guichard – 17,02
  8. FC Lorient – Le Moustoir – 16,91
  9. Stade de Reims – Stade Auguste Delaune – 16,66
  10. Girondins de Bordeaux – Matmut Atlantique – 16,45
  11. Dijon FCO – Stade Gaston-Gérard – 16,07
  12. FC Metz – Stade Municipal Saint-Symphorien – 16,03
  13. OGC Nice – Allianz Riviera – 15,95
  14. AS Monaco – Stade Louis II – 15,88
  15. Nîmes Olympique – Stade des Costières – 15,81
  16. RC Strasbourg Alsace – Stade de la Meinau – 15,77
  17. LOSC – Stade Pierre Mauroy – 15,55
  18. Stade Rennais – Roazhon Park – 15,38
  19. FC Nantes – Stade de la Beaujoire – 14,21
  20. Angers SCO – Stade Raymond Kopa – 13,57

* À chaque journée de championnat, chaque pelouse est évaluée par les clubs, l’arbitre central et le réalisateur TV (en Ligue 1 Uber Eats uniquement). 1 note moyenne donnée par chaque club, 1 note moyenne donnée par l’arbitre central de la rencontre et 1 note moyenne donnée par le réalisateur TV (en Ligue 1 Uber Eats) sont prises en compte.

Les critères d’évaluation, au nombre de 5, sont les suivants :

• Pour les clubs et l’arbitre central :

  • –  Trajectoire du ballon au sol,
  • –  Souplesse/Dureté du sol,
  • –  Qualité des appuis (changement de direction, accélération, arrêt course…),
  • –  Qualité du tapis végétal (densité, couleur, homogénéité,…),
  • –  Appréciation globale de l’aire de jeu et de ses abords (couloirs arbitres assistants,zones d’échauffement, tracés,…).

• Pour le réalisateur TV :

  • –  Couleur (qualité du vert, homogénéité, …)
  • –  Densité du terrain (présence de zones abimées, rapiécées, …)
  • –  Dessin de tonte (bandes transversales bien distinctes, respectueuses des tracés)
  • –  Comportement aux tacles (stabilité sous les appuis, présence de mottes)
  • –  Appréciation globale de l’aire de jeu et de ses abords (qualité des tracés, zonestechniques, …)

Droits TV : Canal + décide finalement de se retirer !

Alors qu'Amazon et Canal + avaient acquis les droits TV de la Ligue 1 pour les prochaines saisons, la chaîne cryptée a décidé de se retirer au dernier moment. Un véritable coup de tonnerre.

ds 0468

Après le fiasco Mediapro en début de saison, et donc la fin de «Téléfoot La Chaîne» il y a quelques mois, le groupe Canal était venu à la rescousse de la Ligue de Football Professionnel et avait récupéré les droits TV de la Ligue 1 pour la fin de la saison 2020/21. Mais pour les trois prochains exercices, soit jusqu'en 2024, il fallait trouver un nouveau diffuseur, ou même plusieurs.

Ce vendredi après-midi, tout le monde attendait de connaître le choix final de la LFP lors du Conseil d'Administration. Rapidement, les premiers échos expliquaient que Canal + et Amazon avaient raflé la mise. Une information confirmée il y a quelques minutes par la Ligue via un communiqué officiel transmis par mail. Mais on peut parler d'un petit fiasco... Car dans le même temps, le groupe Canal a surpris tout le monde en annonçant qu'il se retirait !

La L1 sur Canal +, c'est fini

«Après l'échec du choix de Mediapro en 2018, Canal + regrette la décision de la Ligue de football professionnel (LFP) de retenir aujourd'hui la proposition d'Amazon au détriment de celle de ses partenaires historiques Canal + et beIn Sports. Canal + ne diffusera donc pas la Ligue 1», explique d'abord la chaîne cryptée dans son communiqué, avant de parler de l'avenir et des prochaines échéances sportives à venir sur la chaîne.

«A partir de la rentrée, le groupe Canal + proposera à ses abonnés, pour la première fois, les deux plus belles affiches de chaque journée de la Ligue des Champions et, dès le 11 août, la Supercup entre Chelsea et Villarreal. La plus prestigieuse compétition européenne complétera une offre de sport riche de Premier League, de Top14, de Formule 1, ou encore de MotoGP, diffusés en intégralité.» Reste désormais à savoir qui diffusera le match du samedi soir et celui du dimanche à 17h, que Canal + avait glané il y a quelques heures...

La Ligue 1 diffusée sur Amazon et Canal + à partir de la saison prochaine

La LFP a attribué à Amazon les lots abandonnés par Mediapro, soit huit matches de L1 et huit de L2 jusqu'en 2024. Canal + conserve ses deux rencontres actuelles de L1. La LFP va encaisser 663 millions d'euros par an.

ds 0466

La saga des droits télévisés de la L1 a pris fin ce vendredi après-midi et a livré un verdict inattendu. Selon nos informations, le conseil d'administration de la LFP a attribué à la quasi-unanimité les droits de la Ligue 1 et de la Ligue 2 abandonnés par Mediapro à Amazon.

Il y a huit matches de Ligue 1, dont l'affiche du dimanche soir avec les « top ten », pour lesquels le géant du numérique doit payer 250 millions d'euros par an, plus 9 millions d'euros pour huit rencontres de L2. Si on ajoute les 332 millions d'euros de Canal + pour ses deux matches (samedi 21 heures et dimanche 17 heures), les 42 millions d'euros versés par Free pour les droits mobiles (des extraits de matches en quasi-direct) et les 30 millions d'euros de beIN Sports pour deux affiches de L2, on atteint 663 millions d'euros annuels jusqu'en 2024.

La Ligue 1 diffusée sur Amazon et Canal + à partir de la saison prochaine

Cette offre d'Amazon a été préférée à celle de Canal + et beIN Sports pour les trois prochaines saisons. Dans ce schéma imaginé par ces deux alliés, il était prévu que Canal + récupère les deux affiches de L1 qu'elle souhaite, celles du samedi après-midi (choix 3) et du dimanche soir (choix 1). Pour ces deux rencontres, Canal + proposait, en moyenne, selon nos informations, 370 millions d'euros par an. Avec aussi le lancement d'une chaîne éditée par beIN Sports incluant le reste des matches et la L2. Une nouvelle antenne financée à égalité par beIN Sports et Canal +, avec un montant fixe, en moyenne, de 165 millions d'euros annuels, plus des bonus.

Cette part variable était de 35 millions d'euros la saison prochaine, pour atteindre 103 millions d'euros lors de la troisième et dernière année du contrat. À l'arrivée, si l'on ajoutait, là encore, les 42 millions d'euros versés par Free pour les droits mobiles (des extraits de matches en quasi-direct) et les 18 millions d'euros prévus pour toute la L2 (un montant revu à la baisse), la LFP encaissait 595 millions d'euros de fixe en moyenne sur les trois ans et, si tout allait bien, 673 millions d'euros par saison avec les bonus.

Une solution qui ne va pas plaire à Canal +

La LFP a préféré la sécurité des sommes fixes supérieures d'Amazon et la possibilité de faire entrer un nouvel acteur. Mais cette solution ne va évidemment pas plaire à Canal +, qui avait indiqué, par la voix de son président Maxime Saada, qu'il n'était pas question de continuer à payer sans rien dire si un nouvel entrant récupérait les meilleurs matches mois chers que les siens.

Droits TV : la nouvelle chaîne de la LFP coûterait 10 ou 11 euros par mois

Le conseil d'administration de la LFP est favorable au lancement d'une antenne bon marché, avec 80 % de la Ligue 1 et 100 % de la Ligue 2. Canal + conserverait deux affiches.

ds 0454

Mûri depuis plusieurs mois, le projet de chaîne « made in LFP » a été largement détaillé, mercredi matin, par les dirigeants de l'instance aux membres du conseil d'administration. Face à l'impossibilité actuelle de trouver un diffuseur intéressé par l'essentiel des matches de L1 et la totalité de ceux de L2, la Ligue réfléchit sérieusement à se lancer un nouvelle fois dans l'aventure d'une chaîne dédiée à ses compétitions, comme elle l'avait fait, en 2011, avec CFoot, une expérience qui a tourné court.

L'idée est de vendre à Canal + les deux affiches de L1 qu'elle souhaite, celles du samedi après-midi et du dimanche soir, pour un montant qui pourrait tourner autour de 380 millions d'euros annuels, et de lancer une antenne avec le reste des rencontres. La chaîne cryptée aurait les choix 1 et 3, tandis que celle de la Ligue aurait le choix 2, donc un grand match lors de chaque journée, avec l'OM ou le PSG.

Le projet est relativement abouti

Présenté, documents à l'appui, par Mathieu Ficot, le directeur général adjoint de la LFP en charge des droits TV, avec de régulières interventions du président Vincent Labrune, le projet est relativement abouti. Selon nos informations, la LFP prévoit une chaîne vendue 10 ou 11 euros par mois, par l'intermédiaire de tous les opérateurs afin d'être accessible au plus grand nombre. Elle doit s'appuyer sur un partenaire, qui n'a pas encore été choisi, pour tout l'aspect technique (production des matches, moyens de retransmission, régies...).

Il n'est pas exclu que d'anciens salariés de Téléfoot puissent être recrutés

Ils sont trois en lice, mais il ne devrait pas être issu de Téléfoot, la chaîne lancée par Mediapro et rapidement arrêtée en plein milieu de la saison. La volonté est de réaliser quelque chose de différent, avec des programmes concentrés entre 18 heures et minuit en semaine et plus largement le week-end autour des matches. Mais il n'est pas exclu que d'anciens salariés de Téléfoot (journalistes, techniciens...) puissent être recrutés individuellement.

Le coût de fonctionnement de cette chaîne a été chiffré à 56 millions d'euros par an. Mais la LFP pense qu'elle doit être très rapidement rentable. Elle table sur des recettes nettes de l'ordre de 200 millions d'euros annuels au bout de deux saisons.

Les présidents de L1 ont approuvé cette initiative

Le conseil d'administration de la LFP s'est montré enthousiaste, conscient que cette solution, au vu du peu d'empressement des diffuseurs, hors affiches de prestige, risque de devenir la seule alternative. Les présidents de L1 ont approuvé cette initiative et ceux de L2 y voient un peu la seule issue pour que leurs matches ne restent pas sur le carreau.

Pour l'heure, aucune décision définitive n'est prise. La LFP attend encore de voir si une autre solution est encore possible, notamment avec beIN Sports, l'allié naturel de Canal +, qui devait initialement lancer une chaîne dédiée au Championnat de France. Mais le diffuseur d'origine qatarienne, en discussion depuis des semaines avec la LFP, mais aussi avec Maxime Saada, le président de Canal+, traîne les pieds.

Une décision définitive devrait être prise assez rapidement

Au vu de l'avancement du projet de la Ligue, réellement prête à se lancer si c'est nécessaire, beIN Sports peut-il enfin se décider à bouger ? Pas si sûr... Présent lors du conseil d'administration (dont il ne fait pas partie), Jean-Michel Aulas (président de l'OL), largement consulté dans ce dossier sensible, a indiqué lors de la réunion de mercredi qu'il s'agissait, de toute façon, de la bonne stratégie et de la bonne façon de discuter avec Canal +. Une décision définitive devrait être prise assez rapidement, sans doute lors du conseil d'administration de la LFP du 3 juin, qui précédera l'assemblée générale de l'instance prévue le même jour.

Que deviennent les jeunes non conservés au centre de formation ?

Une vingtaine de jeunes du Stade Rennais ne seront pas conservés après le 30 juin. Parfois c’est un rêve d’enfant qui s’effondre mais, finalement, les possibilités de rebondir sont nombreuses.

ds 0786

La nouvelle peut être difficile à accepter. Comme dans tous les secteurs d’activité, se faire remercier par son employeur, ou bien par son formateur comme ici, n’est jamais agréable. C’est le cas de nombreux jeunes évoluant dans les centres de formation de football et notamment celui du Stade Rennais. « C’est la partie la plus difficile de notre métier. C’est facile de proposer un contrat à un garçon, mais c’est moins agréable de lui annoncer que l’aventure va s’arrêter, reconnaît Denis Arnaud, directeur du centre de formation du Stade Rennais depuis un an et demi. Mais ça répond aux exigences du haut niveau. » Et cette année, il a dû tenir ce discours à 22 jeunes footballeurs de l’Académie du club

Cette structure se découpe en trois entités avec en premier lieu « la formation », accueillant des garçons à partir de la catégorie U16 jusqu’à senior. C’est le groupe où les plus grands espoirs rennais figurent. Dans cette section, ils étaient une soixantaine, et huit d’entre eux ne sont pas reconduits pour la saison suivante.

Une vingtaine de jeunes du Stade Rennais ne seront pas conservés après le 30 juin. Un rêve d’enfant qui s’effondre parfois, mais aussi des possibilités de rebondir qui sont nombreuses. En cette fin de saison, retrouvez notre dossier :

À 16-17 ans, c’est difficile de parler d’échec
Avant la catégorie U16, les jeunes pousses évoluent dans la section « préformation », qu’ils peuvent intégrer à partir des U10. Ils seront deux à ne pas y être conservés. La troisième et dernière entité est la section sportive en partenariat avec le lycée Bréquigny, qui n’est pas considérée de la même manière car les jeunes ne sont pas détenteurs d’une convention de formation. Tout de même rattachés au SRFC, ils seront douze à ne pas être gardés. Le niveau y est moindre et la chance d’y signer un contrat de stagiaire professionnel est utopique. Cette année par exemple, aucun n’y est parvenu.

Si pour certains, c’est un échec, d’autres estiment qu’il s’agit d’une bonne rampe de lancement. « À 16-17 ans, c’est difficile de parler d’échec. Ils ne continueront pas chez nous, mais ce qu’ils auront acquis au club va leur servir pour une autre expérience. La formation rennaise est reconnue et c’est un atout indéniable pour rebondir dans un autre projet », relativise Denis Arnaud, qui a été entraîneur des U19 de l’Angers SCO pendant trois ans.

« Je n’ai pas de regrets car je ne considère pas cela comme un échec, mais c’est plus la fierté qui en prend un coup, confie Émilien Waflart. J’étais venu à Rennes pour réussir. » Âgé de 20 ans, il fait partie de la liste des huit du centre de formation à avoir été remercié. Pour établir cette liste, les formateurs évaluent plusieurs critères « technique, tactique, mental et physique, détaille Arnaud. On analyse l’évolution du garçon dans ces critères-là et la capacité qu’il a de se projeter vers l’équipe professionnelle. »

On n’est pas un centre d’intérêt pour eux
Cela a été le cas cette saison pour Brandon Soppy, Adrien Truffert, Lesley Ugochukwu, Matthis Abline et Andy Diouf, tous issus du centre de formation du SRFC et portant pour la première fois la tunique de l’équipe fanion. Mais eux ont eu le sort le plus favorable en signant un contrat professionnel alors qu’en moyenne ils sont environ 10 % à y réussir.

Pour optimiser leur intégration ailleurs, Denis Arnaud et le staff du centre de formation ont monté des clips vidéo des jeunes en match et à partir de mars – le moment où ils ont été informés qu’ils ne continueraient pas avec le SRFC – ils ont pu entamer leur recherche pour rebondir, conseillé par leur agent car la quasi-totalité en a déjà un à cet âge-là.

Certains d’entre eux se cherchent, par exemple, un nouveau projet en championnat amateur. « Moi je veux jouer en U19 National ou dans un club de R1. Je suis content de quitter le Stade Rennais pour commencer un autre challenge », affirme Carl Hodebert, joueur de 18 ans qui avait intégré le club en U11. Il quittera la section sportive du club le 30 juin.

Mais pour les clubs de la région, convaincre des jeunes qui ont été bercés dans le « cocon », comme beaucoup de joueurs en parlent, n’est pas simple. C’est dur à accepter pour un joueur qui rêvait encore du monde professionnel il y a quelques mois. « Je vois bien que l’on n’est pas un centre d’intérêt pour eux. On ne les fait pas rêver et je les comprends mais ils pourraient se servir d’une expérience chez nous comme tremplin », raconte Jacques Le Normand, entraîneur de la TA Rennes en National 3.

Un ancien du centre est haut responsable du métro
Et les joueurs qui se sont servis du monde amateur comme tremplin, il en existe. Alexis Poissonneau, formé au SCO d’Angers, avait joué à Beaucouzé en R1 avant de tenter le pari de la N3 à la TA. Une expérience concluante, puisque l’intéressé avait fini la saison meilleur buteur du club avec 14 réalisations, lui permettant de franchir un échelon en signant à Châteaubriant, club de N2.

D’autres décident de quitter complètement le monde du football. Patrick Rampillon, ancien directeur du centre de formation rennais entre 1987 et 2013, a vu des centaines de jeunes passer par sa structure et se souvient d’un exemple qu’il évoquera d’ailleurs dans le film des 120 ans du club. « Un des hauts responsables de la deuxième ligne de métro de la ville de Rennes était au Stade Rennais. On lui avait offert un aménagement d’horaire à l’INSA de Rennes, raconte-t-il. Ce n’est pas parce qu’un garçon va quitter le football qu’il ne va pas réussir dans la vie. »

D’autres, comme Aurélien Montaroup, ont intégré l’encadrement du club après être passés par le centre de formation. Beaucoup d’exemples de reconversion existent, et comme le dit le proverbe, l’échec est le fondement de la réussite.

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme