• ds_0239.jpg
  • ds_2181.jpg
  • ds_1471a.jpg
  • ds_0559.jpeg
  • ds_3064.jpg
  • ds_2930.jpg
  • ds_1669.png
  • ds_0524.jpeg
  • ds_0512a.jpg
  • ds_0243.jpg
  • ds_3416.jpg
  • DS_0162.jpg
  • ds_3117.jpg
  • ds_3420.jpg
  • ds_0413b.jpg
  • ds_0580a.png
  • ds_1959.jpg
  • ds_1893d.jpg
  • DS_0065.jpg
  • ds_2911.jpg
Mercato

20 Mai 2025

En fin de contrat au Stade Rennais, Steve Mandanda (40 ans) n’est pas le choix numéro du LOSC au poste de gardien en vue du mercato estival. Steve Mandanda en frissonne encore. Ovationné comme...

Mercato

19 Mai 2025

Selon les informations de Mohamed Toubache Ter, Loïc Désiré, qui vient tout juste d’arriver au Stade Rennais en qualité de directeur sportif, travaille déjà sur deux dossiers. Ce qui s’appelle ne...

Féminines

19 Mai 2025

À l'issue d'un parcours presque parfait (17 victoires pour une seule défaite), les Séniors ont été sacrées championnes de Régional 2, accédant ainsi à la division supérieure la saison prochaine....

Mercato

19 Mai 2025

Le Stade Rennais a annoncé un changement majeur pour son avenir à court et moyen terme. C’est un changement stratégique qui ressemble à un virage à 180 degrés après une saison ratée dans les grandes...

Ligue 1

18 Mai 2025

Après le match contre l'OM, le coach rennais Habib Beye n'a pas mâché ses mots au sujet de l'arbitrage. Ce samedi soir, l’Olympique de Marseille recevait le Stade Rennais pour le compte de la 34e et...

Anciens

18 Mai 2025

Sous contrat jusqu'en juin 2026, l'entraîneur du LOSC Bruno Genesio a réussi sa saison avec une 5e place. Moins sa relation professionnelle avec son président Olivier Létang, au point de songer à...

Actualité

18 Mai 2025

Ce samedi soir, le Stade Vélodrome n’a pas seulement vibré pour un dernier match de Ligue 1 riche en buts (victoire 4-2 de l’OM contre Rennes). Il a surtout rendu un hommage immense à l’un de ses...

Mercato

16 Mai 2025

Vidé par son passage au Stade Rennais, Frédéric Massara serait tenté à l’idée de faire une petite pause avant d’accepter un nouveau projet en Italie. Officialisé hier, le départ de Frédéric Massara...

Actualité

15 Mai 2025

Arrivé au Stade Rennais l’hiver dernier, avec un contrat hors-normes, le milieu de terrain Seko Fofana tarde à convaincre. Pis, Habib Beye l’installe même sur le banc des remplaçants. A se demander,...

Mercato

14 Mai 2025

Arrivé cet hiver au Stade Rennais, le Japonais Kyogo Furuhashi ne devrait pas faire de vieux os en Bretagne. Après une première partie de saison catastrophique, le Stade Rennais a investi 75...

Actualité

14 Mai 2025

Parmi les idées émises dans le cadre de la réforme du football professionnel, on a appris que la FFF pensait à créer des play-offs pour déterminer le champion de France de Ligue 1. Une idée qui n'a...

Actualité

14 Mai 2025

Si les pouvoirs de la Fédération française de football visent à être renforcés à l’avenir, l’instance pense déjà à plusieurs réformes pour relancer l’attractivité de la Ligue 1. En pleine...

Actualité

13 Mai 2025

Le Roazhon Park a tous les atouts d'un stade qui fleure bon le football et qui donne envie de s'y éterniser. Mais les résultats du Stade Rennais cette saison ont quelque peu terni une ambiance qui...

Actualité

13 Mai 2025

Le Vélodrome devance le Parc des Princes et Geoffroy-Guichard au premier classement des stades où il fait bon vivre une soirée de Ligue 1. L'idée était toute simple : un stage en immersion dans les...

Actualité

13 Mai 2025

Recrue importante du mercato hivernal du Stade Rennais, Kyogo Furuhashi est loin de répondre aux attentes. Mis de côté par Habib Beye, l’attaquant japonais de 30 ans n’a pas vraiment d’avenir en...

Mercato

13 Mai 2025

Le directeur sportif du Stade Rennais, Frédéric Massara, est sur le départ. Des prétendants se bousculent déjà pour l’accueillir lors du prochain mercato estival. Le directeur sportif du Stade...

Ligue 1

13 Mai 2025

L'arbitre rhodanien a été désigné pour officier samedi soir au Vélodrome pour la réception de Rennes, en clôture du championnat. Il n'avait croisé l'OM qu'une seule fois cette saison, lors de la...

Mercato

13 Mai 2025

Susceptibles de quitter les rangs du PSG à l’issue de la saison, Gonçalo Ramos et Kang-In Lee feraient d’excellents renforts pour le Stade Rennais, selon Pierre Ménès. Alors que le Paris...

Les clubs pros bretons apprécient la formation fougeraise

Après Fabien Lemoine, Eduardo Camavinga, Alexis Duclos, Enora Guillois, Célia Aggoune, Robin Pavis et Melvin Gueï, jeunes Fougerais, sont en pré-formation dans deux clubs bretons.

ds 1405

Bientôt âgé de 15 ans, Robin Pavis vient de signer un contrat d’aspirant au Stade Rennais où il se trouve en formation depuis deux ans (U14 – U15), après avoir signé un accord de non sollicitation (ANS) en février 2021.

Ce nouveau contrat lui garantit trois années de formation (U16 – U17 – U18), au terme desquelles le Stade Rennais pourra lui proposer un nouveau contrat de stagiaire pro ou le laisser libre.

Formé à l’US Fougères de 2015 à 2020, Robin Pavis, dont nous avions dressé le portrait dans notre édition du 17 novembre 2022, appartenait à la catégorie U15 mais a le plus souvent évolué surclassé avec les U16.

Droitier, le jeune fougerais joue comme milieu gauche. Si la route est encore longue, pour l’instant tous les clignotants sont au vert.

Melvin Gueï (Guingamp)
Né en 2009, à Sèvres (Hauts-de-Seine) d’une maman originaire de Fougères et d’un papa franco-ivoirien, Melvin Gueï est le gardien U14 de l’US Fougères, suivi de près par les éducateurs de l’En Avant de Guingamp.

Aujourd’hui en 4e au collège Jeanne d’Arc, Melvin a commencé à jouer au foot à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) après avoir tâté pendant un an du basket.

Arrivé en 2018 à Fougères, celui qui est un admirateur de Thibault Courtois, gardien du Real Madrid, a aussi évolué comme défenseur ou milieu. Mais, très vite, ses qualités naturelles, sa grande taille notamment, l’ont installé dans les buts.

Repéré et invité par Guingamp
Le fait d’évoluer au niveau régional avec son club d’origine lui a permis de se faire remarquer lors de certaines confrontations. La coupe U13 contre la TA et le Stade Rennais, la finale du tournoi de Redon contre le FC Nantes par exemple ont été des occasions de briller pour le jeune Fougerais.

Parmi ses qualités, il cite "la communication, les envolées à mi-hauteur, les arrêts sur penalty".

Pour ses éducateurs guingampais, François Bellugou, ancien pro qui l’a managé lors de la victoire en Bocage Cup, Malo Roland, entraîneur des gardiens et Pierre-Henri Coulon, sa grande taille est certes un avantage mais il a aussi un gros potentiel à développer.

Sa personnalité a aussi séduit les recruteurs : très réceptif aux conseils, il s’efforce de les mettre rapidement en application.

Actuellement, Melvin ne bénéficie d’aucune garantie d’intégrer le centre de formation : seule une convention tripartite entre son club, l’US Fougères, ses parents et le club de Guingamp lui permet d’évoluer dans des compétitions ponctuelles ou amicales avec le club des Côtes-d’Armor.

Lors de chaque vacances scolaires, il est invité une semaine au centre de formation pour des entraînements et des tournois. C’est à lui de faire ses preuves s’il veut intégrer en septembre 2024, à son entrée au lycée, le centre de formation costarmoricain et bénéficier d’un contrat aspirant.

Sa maman

Le chemin est encore très long mais pourquoi ne pas imaginer un jour, un Fougerais dans les buts professionnels de l’En Avant de Guingamp ?

Trouver une nouvelle voix pour le foot

Nommé il y a un an, Thomas Sénécal, le directeur des sports de Canal+, heureux de la saison écoulée, lance la suivante avec notamment une émission originale, "Au micro". Un casting géant de commentateurs non professionnels.
ds 1365

Thomas Sénécal, patron des sports de Canal+ depuis l'été 2022, ne change pas sa feuille de route. Animé de l'envie que "devant leur écran, les gens chez eux se sentent encore mieux qu'au stade ou au bord d'un circuit", il plaide pour encore plus d'immersion dans les programmes de rentrée de ses chaînes dont il dévoile les grandes lignes.

Êtes-vous satisfait de votre première saison, notamment sur les audiences ?
On a battu quelques records : en huitième de finale de la Ligue des champions (2,8 M de téléspectateurs pour le PSG-Bayern Munich (0-1) à l'aller), une année de F1 terminée à 1,2 M de moyenne, donc 6 % de plus par rapport à 2021, la moto à plus de 800 000... Le Top 14 a aussi fait une très belle saison avec 1,1 M en pic sur la finale (Toulouse-La Rochelle, 29-26). Et on a eu aussi de grands moments d'antenne comme les dix ans de la F1 célébrés au GP de Monaco, le match de NBA en janvier... A chaque fois, on a accompagné nos grands événements par des contenus additionnels plutôt plébiscités. Il faut être très fort en direct, avec l'expertise du consultant et la passion du commentateur mais je veux qu'on arrive aussi à sentir à la télé ce frisson du sport avant la compétition et ensuite proposer plus tranquillement de l'analyse, de l'expertise, notre savoir-faire...

Les chaïnes Canal+ Foot et Canal+ Sport 360, créées l'an passé, ont-elles eu les résultats attendus ?
Elles ont tout de suite trouvé leur public. Elles permettent d'encore mieux traiter nos droits parce qu'avec plus de canaux, on peut prendre l'antenne plus tôt et ne pas être pressé de zapper. D'autant qu'avec le nouvel accord sur la Ligue des champions (pour 2024-2027), il y aura encore plus de dates, plus de matches.

Maxime Saada, votre président, a annoncé ne pas vouloir sous-licencier les Coupes d'Europe. Vous le confirmez ?
On se prépare pour couvrir l'ensemble des matches, en intégralité, sur nos chaînes.

Pourquoi avez-vous renouvelé la D1 Arkema ?
On a eu la garantie de la fédération que les deux affiches sur Canal+ Foot le vendredi et le dimanche à 21 heures seront à la hauteur d'un championnat de football professionnel. Un cahier des charges strict oblige les clubs à remplir un certain nombre de critères, notamment d'éclairage, d'accueil pour nos structures, de nos moyens de production. Et nous avons vraiment l'intention de développer les contenus autour, avec une émission d'avant match le dimanche soir sur Canal+ Foot, et les plus belles images du week-end dans le CFC en clair. Le championnat change aussi de format avec des play-off. On a un moyen de fidéliser un public autour de la D1.

"Notre vocation, c'est la diffusion de longs feuilletons de championnats, de rendez-vous pendant neuf ou dix mois"

Les placer en face de la Ligue 1, c'est un peu provocateur ?
Non. On veut faire grandir ce championnat, on expose ce droit. On passe du vendredi à 18 heures et le dimanche à 12h45 à deux cases de prime time. Et s'il y a de la Ligue 1 en face, il y a aussi du Top 14, parfois des GP de F1. Notre ambition de développer la D1 n'est pas seulement dans les mots.

Pourquoi ne pas être allé sur la Coupe du monde féminine ?
Notre vocation, c'est la diffusion de longs feuilletons de championnats, de rendez-vous pendant neuf ou dix mois. Nos abonnés l'attendent et cela justifie aussi leur abonnement. On est moins appétant sur des compétitions de quinze jours ou de trois semaines. Sans compter que celle-ci a lieu en plein été et à des horaires très matinaux.

À l'automne, irez-vous sur l'appel d'offres de la Ligue 1?
Ce n'est pas dans mon périmètre, mon président (Maxime Saada) s'en occupe. Notre boulot, c'est de mettre en valeur et de traiter les droits acquis.

Quelles seront alors les grandes lignes de la saison à venir ?
Prolonger l'immersion avec notamment Un1que, un documentaire sur Victor Wembayama, en prime-time en octobre sur Canal+. Depuis un an, nous le suivons pour comprendre le phénomène sportif et extra-sportif. On en aura aussi un sur les jeunes joueuses du Stade Français, et fin août, sur Antoine Dupont. Dans les tuyaux, il y a un Gabart, une série sur Alain Prost. 24H de Boulleau, né de la créativité de nos équipes digitales, sera de plus en plus produit comme un documentaire pour nos antennes. Et on va relancer Intérieur Sport avec Amandine Morhaim.

Astrid Bard prend donc la tête du Canal Rugby Club ?
Et j'en suis ravi. L'émission sera repensée et plus ancrée sur le terrain en avant match avant les rencontres du samedi et du dimanche à 21 heures. On ne s'interdit pas d'avoir des consultants sur site. Ça peut ressembler un peu à l'émission La grille(en F1), avec un plateau à Paris et d'autres au circuit. On veut être au bon moment, au bon endroit, améliorer la fluidité entre nos studios et nos stades. Cette année, on a aussi fait un grand pas en termes de production, avec l'utilisation de drones, les micros sur les joueurs de rugby, de foot, des pilotes. On filme aussi les sportifs maintenant en direct avec des caméras qui ont des rendus du cinéma. Les moyens techniques nous invitent à écrire des émissions différemment et à oser plus de choses en direct. On veut encore plus d'agilité, pouvoir interroger les championnes et les champions à des moments parfois cruciaux, sans les déranger bien sûr.

"Ce qu'on cherche, c'est de la compétence, une plus-value éditoriale, et une relation avec nos abonnés"

Qui va présenter le Canal Sport Club ?
On réfléchit et on a plutôt l'embarras du choix. Mais on a un peu de temps car le CSC ne redémarrera qu'à la fin de la Coupe du monde de rugby.

Cette émission sera-t-elle obligatoirement présentée par une femme ?
Non, mais tant mieux si ça l'est. Car par le passé, les programmes sportifs étaient un peu la chasse gardée des hommes. Ce qu'on cherche, c'est de la compétence, une plus-value éditoriale, et une relation avec nos abonnés.

Au-delà des émissions, quels sont vos autres projets ?
Je souhaitais depuis longtemps faire une émission qui sort du cadre du sport pur. Alors on lance au printemps une série (neuf épisodes de 30 minutes), qui s'appellera Au micro et présentée par Redouane Bougheraba. Il s'agira de trouver une nouvelle voix pour le football. En 2024, la Ligue des champions va s'étendre sur nos antennes, donc on doit faire entrer de nouveaux talents. Mais au lieu d'un recrutement classique, on a choisi d'en faire un programme. Un jury d'experts avec Hervé Mathoux, Laure Boulleau et David Ginola notamment sillonnera la France. Le casting est ouvert à tous, sauf à ceux qui sont en contrat avec une chaîne ou une radio, dès mardi matin. On peut s'inscrire en ligne. On espère un maximum de candidatures qu'on réduira au fur et à mesure jusqu'à une grande finale. Et la gagnante ou le gagnant aura, l'été prochain, un contrat pour intégrer la rédaction de Canal, même si il ou elle ne fera pas d'entrée le match emblématique de la journée (il sourit). Mais au sein de nos équipes, on l'accompagnera, on le fera grandir et il aura déjà sa communauté.

Avez-vous par ailleurs prévu d'enrôler de nouveaux consultants ?
Le travail est en cours. Même si le CFC et le Canal Champion's Club seront eux aussi dans la continuité, la saison prochaine."

Record d’affluence dans les espaces visiteurs de Ligue 1

Dans la continuité des records historiques d’affluence enregistrés dans les stades de Ligue 1 Uber Eats et de Ligue 2 BKT au cours de la saison 2022-2023, la Ligue de Football Professionnel est heureuse d’annoncer de nouveaux records d’affluence dans les zones visiteurs des stades du football professionnel français.
ds 1360

Alors qu’elle était déjà en forte hausse à la mi-saison, la fréquentation des espaces visiteurs des stades de Ligue 1 Uber Eats et Ligue 2 BKT a poursuivi sa forte progression en deuxième partie de saison 2022-2023 pour atteindre des niveaux records.

Pour rappel, 58 346 supporters s’étaient déplacés dans les espaces réservés aux supporters visiteurs des stades de Ligue 1 Uber Eats sur la phase aller (324 visiteurs par match en moyenne, représentant une hausse de 36% par rapport à la saison précédente). Sur la phase retour, un nombre record de 66 861 supporters se sont déplacés (371 par match en moyenne), soit 15% de plus que lors de la phase aller.

Au total, les secteurs visiteurs de Ligue 1 Uber Eats ont accueilli 125 207 supporters (lors des 358 rencontres ayant accueilli au moins un supporter en secteur visiteurs), en hausse de 53% par rapport à la saison 2021-2022, soit une moyenne de 350 supporters visiteurs par match (contre 286 la saison passée).

Plusieurs clubs affichent une progression supérieure à 100% du nombre moyen de supporters présents lors de leurs rencontres à l’extérieur, comme le Stade de Reims (+301%), le Toulouse FC (+146%) ou encore l’AJ Auxerre (+119%).

À eux trois, les supporters du RC Lens, de l’Olympique de Marseille et du Paris Saint-Germain représentent près du tiers de l’affluence cumulée des espaces visiteurs de Ligue 1 Uber Eats. Enfin, dix clubs terminent la saison 2022-2023 avec une moyenne supérieure à la moyenne globale de la saison 2021-2022 (286).

Ces affluences en forte hausse trouvent plusieurs explications :

• Une préparation approfondie et anticipée des déplacements de supporters, reflétant l’important travail des différentes parties prenantes au quotidien et la professionnalisation des métiers opérationnels au sein des clubs (Directeurs Sûreté Sécurité, Référent Supporters et Responsables Billetterie notamment) ;

• L’importance de la coopération entre les clubs et leurs autorités locales, notamment dans le cadre de l’organisation des réunions préparatoires des rencontres en Préfecture ;

• L’adoption, à partir de la saison 2019-2020, d’un tarif visiteurs unique de 10€ en Ligue 1 Uber Eats et 5€ en Ligue 2 BKT pour les supporters visiteurs, favorisant des tarifs abordables pour des supporters devant déjà assumer des coûts de déplacement parfois importants ;

• L’intégration du Parcours Supporters Visiteurs, visant à améliorer et harmoniser les conditions d’accueil et de déplacements des supporters, dans le Règlement des Compétitions de la LFP et son application par les clubs de Ligue 1 Uber Eats et de Ligue 2 BKT, et sa publication sur le site de la LFP dans une démarche transparente sur les conditions d’accueil attendues en secteur visiteurs ;

• Une réduction des mesures administratives, disciplinaires et sanitaires notamment grâce à la pérennisation du dialogue mis en place à différentes échelles (358 rencontres de Ligue 1 Uber Eats ont eu lieu avec des supporters visiteurs en 2022-2023 contre 286 sur la saison 2021-2022 / 356 rencontres de Ligue 2 BKT avec supporters visiteurs en 2022-2023 contre 294 sur la saison 2021-2022) ;

• Le déploiement des Policiers Référents Supporters Visiteurs, au travers de l’expérimentation de la Fondation Nivel, sur plusieurs secteurs visiteurs accueillant des rencontres de Ligue 1 Uber Eats et Ligue 2 BKT ;

• Une forte mobilisation des groupes de supporters et des clubs, pour organiser les déplacements de leurs supporters ;

• Des contextes sportifs favorisant, pour certains clubs, l’engouement d’un plus grand nombre de supporters visiteurs et la découverte pour certains clubs et certains supporters d’un nouveau championnat.

Avec cette moyenne de 350 supporters visiteurs par match de Ligue 1 Uber Eats et 135 par match de Ligue 2 BKT, ces affluences en hausse sont aussi le fruit du travail quotidien des opérationnels de clubs pour préparer et organiser des déplacements aux volumes de plus en plus importants (en témoigne la présence croissante lors des déplacements des Référents Supporters, dits SLO).

L’efficacité 2022-2023 des centres de formation

L’évaluation des centres de formation en fonction de leur efficacité durant la saison écoulée a été validée le vendredi 23 juin par la Fédération.

ds 1355

La Direction technique nationale (DTN) de la FFF a procédé cette saison à l'évaluation des centres de formation de trente-quatre clubs : les vingt de Ligue 1, douze de Ligue 2 et deux du National. Validée par la Commission nationale paritaire le vendredi 23 juin, cette expertise examine les domaines dans lesquels ces centres ont été les plus performants en 2022-2023, balayant tous les aspects des parcours de formation de leurs jeunes joueurs.

Les centres de l1 les mieux évalués

  • 4,2 étoiles pour le centre du Stade Rennais FC
  • 4,1 étoiles pour le centre de l’Olympique Lyonnais
  • 3,7 étoiles pour le centre de l’AS Monaco FC

Les centres de l2 les mieux évalués

  • 3,8 étoiles pour le centre du FC Girondins de Bordeaux
  • 3,6 étoiles pour le centre de l’AS Saint-Étienne
  • 3,5 étoiles pour le centre du Havre AC

Les critères d’efficacité
L’efficacité des centres de formation des clubs de Ligue 1, de Ligue 2 et du National est évaluée depuis trois saisons par la FFF sur la base de cinq critères :

  • professionnalisation (U16 à U23 sous contrat professionnel dans les deux premières divisions des dix premiers pays au classement UEFA et le National)
  • temps de jeu en équipe première du club formateur
  • sélections nationales (rencontres internationales disputées par le joueur, sans distinction de nation)
  • scolarité (diplômes obtenus lors de la saison précédente)
  • représentation européenne (joueurs de clubs ayant des points au classement UEFA, avec convention de formation d’au moins un an).

Le classement des meilleurs centres de formation de France est tombé

Le classement des meilleurs centres de formation de France pour la saison 2022/23 a été publié ce jeudi par la FFF
ds 1354

Depuis de nombreuses années, la formation occupe une place parfois prépondérante dans le succès d’un club sur le long terme. En France, valoriser de jeunes joueurs ici des centres de formation a souvent été la poule aux œufs d’or de nombreuses institutions telles que l’Olympique Lyonnais, l’AS Monaco ou encore le Stade Rennais. Via le système implanté dans l’Hexagone depuis près d’une trentaine, voire une quarantaine d’années, la France a ainsi pu devenir une place forte du football mondial en créant de nombreux joueurs de classes mondiales à travers les époques.

Critère non négligeable de la pérennité d’un club, la formation est évaluée par la FFF chaque année qui dresse un diagnostic de l’état de la formation de chaque club. Et alors que l’équipe de France Espoirs s’est imposé hier lors de son entrée en lice à l’Euro Espoirs face à l’Italie (2-1) ce jeudi, grâce à son incroyable vivier de talents, la Fédération a décidé de sortir son bilan annuel ce vendredi. Comme d’habitude, ce classement se base sur plusieurs critères parmi lesquels figurent la professionnalisation, la scolarité, le temps de jeu des joueurs formés au club en équipe premières et en sélections de jeunes ainsi que la représentation européenne.

Rennes détrône l’OL, Bordeaux mène la danse en Ligue 2
Et avec une note de 4,2 étoiles (sur 5) obtenues, le Stade Rennais a été élu meilleur centre de formation français pour cette nouvelle cuvée. A l’image de la montée en puissance de nombreux joueurs comme Lesley Ugochukwu, Désiré Doué ou encore Adrien Truffert, le club breton s’affirme comme étant l’un des bastions de la formation en France. Comme chaque année depuis près de deux décennies, l’Olympique Lyonnais truste les premières places, mais chute à la deuxième marche du podium cette saison avec 4,1 étoiles. Presque capable d’aligner un onze de qualité exclusivement issu de son centre de formation, les Gones peuvent se targuer d’avoir encore beaucoup de réservoir à ce niveau-là.

Monaco ferme le podium, suivi de près par le Paris Saint-Germain et le Toulouse FC. À noter que dans l’élite, l’OM n’est que le quinzième meilleur centre de formation, toujours en retrait de ses concurrents dans ce domaine, et ce, depuis de nombreuses années. Dans l’antichambre de l’élite, Bordeaux, malgré sa fin de saison cauchemardesque, peut se targuer d’avoir le troisième meilleur centre de formation de France avec 3,8 étoiles. Les émergences de Dilane Bakwa et Junior Mwanga prouvent que les Girondins disposent toujours de jeunes joueurs talentueux. C’est aussi le cas de l’ASSE et du Havre qui complète le trio de tête en Ligue 2.

Le Stade Rennais élu meilleur centre de formation de France sur la saison 2022-2023

Selon le classement de la Fédération française de football (FFF), le Stade Rennais est le meilleur centre de formation de France en 2022-2023.

ds 1351

Avec une note de 4,2 (sur 5), le Stade Rennais obtient la meilleure évaluation des centres de formation français pour la saison 2022-2023. Il termine juste devant l’Olympique Lyonnais (4,1/5) et l’AS Monaco (3,7/5).

Parmi les points forts du centre de formation rennais, la scolarité, mais aussi la présence des jeunes en sélections nationales (Mathis Lambourde en U17, Jérémy Jacquet et Jeanuel Belocian en U18, Lesley Ugochukwu et Désiré Doué en U19)

Le Stade Brestois, roi de la scolarité
Le FC Lorient est 11e, le Stade Brestois 18e (malgré un 5 étoiles, le maximum, sur la scolarité). Dans le classement de Ligue 2, dominé par Bordeaux, Saint-Etienne et Le Havre, En Avant Guingamp se classe 9e (sur 12), avec seulement une étoile concernant la scolarité.

Les critères pour la classification des centres de formation (chaque critère obtient une note comprise entre zéro et cinq étoiles) :

  • Professionnalisation (U16 à U23 sous contrat professionnel dans les deux premières divisions des dix premiers pays au classement UEFA et le National).
  • Temps de jeu en équipe première du club formateur.
  • Sélections nationales.
  • Scolarité (diplômes obtenus lors de la saison précédente).
  • Représentation européenne (joueurs de clubs ayant des points au classement UEFA, avec convention de formation d’au moins un an).

Tribunes fermées pour le Stade Rennais après l’usage d’engins pyrotechniques

La commission de discipline a prononcé mercredi soir la fermeture de tribunes à Rennes (un match ferme et un match avec sursis) pour le début de la saison prochaine, en raison d’usage d’engins pyrotechniques lors des deux dernières journées de L1.

ds 1338

L’instance du foot professionnel a décidé de sanctionner le Stade Rennais à la suite d’usage d’engins pyrotechniques lors des 37e et 38e journées de Ligue 1.

Le Stade Rennais (contre Monaco, 37e journée) se voit indiquer la fermeture de la tribune Mordelles basse du Roazhon Park pour un match ferme et un match avec sursis, mais aussi la fermeture de l’espace visiteurs (après les incidents contre le Stade Brestois, 38e journée) à l’extérieur pour un match ferme.

Il s’est vraiment passé quelque chose en 2019

Ancien disc-jockey et animateur radio, Alain Rousseau termine sa dix-neuvième saison en tant que speaker du Stade Rennais. À l’aube de la "vingtaine", il se remémore avec nous les grands moments vécus au Roazhon Park et nous fait découvrir un métier pas comme les autres, non sans quelques anecdotes croustillantes.

ds 1345

Comment s’est passée ton arrivée au Stade Rennais ?

Avant de devenir le speaker du Stade Rennais, j’officiais à Angers et dans le handball. Un jour, on me dit que Rennes recherche quelqu’un et je me retrouve à passer des tests avec cinq autres speakers au stade de la Route de Lorient. Le stade était vide et nous devions simuler des annonces au micro, comme des changements ou des buts. Finalement je suis pris et je commence l’aventure aux côtés de Jacky Sourget en 2003. Nous avons bien rigolé ensemble. Il y avait un peu de pression au départ mais Jacky m’a bien aidé. Il connaissait les codes et j’ai pu m’habituer au stade en partie grâce à lui. Les gens du club m’ont aussi mis dans des bonnes conditions. Nous avions chacun notre micro et nous avions des rôles bien précis. Lui s’occupait plutôt de l’ambiance hors match, alors que de mon côté, je m’occupais plutôt de la rencontre en elle-même.

Qu’est-ce qui a changé en 20 ans ?

Il y a eu beaucoup de changements. Maintenant je suis tout seul au micro et je suis équipé d’oreillettes. Les écrans géants diffusent des tas d’informations, les publicités… Le club a également beaucoup changé, tout comme l’ambiance au stade. C’est incroyable d’être quasiment tout le temps à guichets fermés, ce n’était pas le cas avant. J’en profite au maximum, car je sais aussi que je suis dans un milieu où tout peut s’arrêter du jour au lendemain.

"Il y a ce fameux derby face Nantes en 2016, avec l’appel des chauffeurs de bus. Nous avions déjà les oreillettes à l’époque et j’entends : "Il faut que tu fasses une annonce, il faut que tu appelles les chauffeurs." Je me suis même demandé si c’était une blague."

Justement au niveau de l’ambiance, il y a eu une vraie bascule !

Il s’est vraiment passé quelque chose en 2019. Même si ça commençait déjà à monter en puissance avec les finales disputées, le curseur a vraiment explosé avec cette victoire en coupe de France. Avant ça, je n’avais jamais vu les gens sauter dans les autres tribunes et c’est désormais coutumier. Je pense également que le public s’est rajeuni, avec plus de supporters actifs. Au-delà des matchs, le constat est similaire en ville. Il y a une atmosphère différente et, les jours de coupe d’Europe par exemple, on ressent une certaine effervescence.

Comment prépares-tu les matchs ?

En général, je reçois les textes la veille du match, ou le vendredi quand la rencontre se déroule le dimanche. Ensuite, il y a un tout un travail de recueil d’informations. Nous avons un groupe avec les autres speakers et il m’arrive d’appeler les confrères pour connaître la prononciation de certains joueurs adverses. Je m’informe également sur une éventuelle minute d’hommage. Enfin pour compléter, je lis la presse et il m’arrive d’aller faire un tour sur les réseaux sociaux.

Y-a-t-il a des rencontres qui t’ont particulièrement marqué ?

Instinctivement, je dirais le Rennes-Marseille de 2008. Un match fou qui se termine à quatre buts partout. Sinon, il y a les finales au stade de France, ainsi que les envahissements de terrain en demi-finales au Roazhon Park. Les soirs de coupe d’Europe aussi, il y a un parfum particulier. Le match contre Arsenal reste évidemment dans les mémoires. Même s’il y a un regret de n’avoir pu accueillir que 5.000 personnes, entendre l’hymne de la Ligue des Champions au Roazhon Park fut un grand moment. Tu sens que tu es dans la catégorie au-dessus et que tout est millimétré. Et puis bien sûr, il y a ce fameux derby face Nantes en 2016, avec l’appel des chauffeurs de bus. Nous avions déjà les oreillettes à l’époque et j’entends : "Il faut que tu fasses une annonce, il faut que tu appelles les chauffeurs." Je me suis même demandé si c’était une blague. Nous n’avions pas leurs numéros et le délégué me confirme qu’il faut les appeler aux haut-parleurs. C’était avant tout une question de sécurité.

"Les rapports ont pas mal changé avec les joueurs. Nous avions plus de proximité avec eux il y a quelques années. Récemment, j’avais laissé le micro à Eduardo Camavinga pour qu’il annonce le but de Serhou Guirassy face au PSG."

As-tu d’autres anecdotes marquantes ?

J’en ai quelques-unes. J’ai déjà loupé plusieurs buts. Une fois parce que j’étais aux toilettes et une autre fois parce que j’étais dans l’ascenseur. Heureusement, on m’a donné le nom du buteur au moment de l’annoncer au micro. L’anecdote la plus marquante est sans aucun doute celle du jour de l’inauguration du stade en 2004. L’équipe de France venait à Rennes pour l’occasion. Avec Jacky, nous préparions le match et il était prévu que le Président de la Fédération coupe un ruban afin que des ballons s’envolent. Mais, pendant la préparation, Jacky a coupé le ruban et les ballons se sont envolés avant l’inauguration (rires). Nous avions aussi l’habitude de faire des repas ou d’aller boire des coups avec les joueurs. À l’époque avec Étienne Didot, Alexander Frei ou encore Olivier Monterrubio. Quelques années plus tard, je me souviens avoir bien fêté le départ de Rod Fanni à Marseille. Et puis il y a eu le retour de Yoann Gourcuff, l’ovation qu’il a reçue était impressionnante.

As-tu parfois des demandes spéciales de la part des joueurs ?

Les rapports ont pas mal changé avec les joueurs. Nous avions plus de proximité avec eux il y a quelques années. Récemment, j’avais laissé le micro à Eduardo Camavinga pour qu’il annonce le but de Serhou Guirassy face au Paris Saint-Germain. Je l’avais également fait avec la journaliste Margot Dumont pour qu’elle annonce le temps additionnel, et avec Laurent Paganelli. Cependant, ça reste quelque chose de très normé. Il ne faut pas être irrespectueux envers l’équipe adverse. Il y a des moments qui sont plus propices au chambrage, comme le challenge du pot Malo à la mi-temps.

Que ressens-tu lors de l’annonce des buts ?

C’est très sympa quand tu vois qui a marqué et c’est plus facile. Néanmoins, depuis qu’il y a VAR, c’est un peu différent. Avant, dès que l’arbitre validait le but, tu pouvais te lâcher instantanément. Dorénavant il faut attendre, et heureusement qu’il y a la musique pour patienter. Personnellement, j’adore faire la composition d’équipe, je trouve ça génial. Parfois, je peux aller sur la pelouse pour la faire et c’est un vrai bonheur. Annoncer l’hymne breton, c’est aussi un moment particulier. Pourrais-tu faire comme à Lens, avec une composition personnalisée pour chaque joueur ? D’abord, il faudrait que le club et les joueurs soient d’acco. Le speaker de Lens a la particularité d’être un ancien capo, c’est davantage un ambianceur. Ça passe bien à Lens, mais il faut voir ailleurs. Je pense qu’il faut plutôt trouver quelque chose qui se démarque dans chaque stade. Il a également fait participer un jeune à l’annonce des joueurs et ça par exemple, je pense que ça serait jouable à Rennes. Pour ma part, j’étais l’un des premiers à scander le nom du buteur à trois reprises. Il faut que chacun amène sa patte.

Pourquoi la LFP ne communique pas la date de sortie du calendrier ?

 

Voici pourquoi la LFP n'a pas encore donné de date officielle pour la sortie du calendrier de Ligue 1 et Ligue 2.

ds 1336

Les amoureux de la Ligue 1 sont toujours dans l'attente. Alors que la saison de Ligue 1 reprendra le week-end du 11 août 2023, personne ne sait encore à quelle date le calendrier officiel des rencontres va être publié par la Ligue de Football Professionnel. Un silence renforcé par le fait que la LFP elle-même n'a pas communiqué à ce sujet, ce qui agace de plus en plus les supporters qui ont envie de voir leur équipe être fixée sur leur sort pour les semaines voire les mois à venir.

Une programmation délicate cette année
La Ligue 1 est arrivée à un tournant cette année, puisque pour la première fois depuis 20 ans, seules 18 équipes seront en compétition tous les week-ends, contre 20 depuis 2002. Mais si la date de publication des calendriers est retardée cette saison, c'est à cause de la Coupe du monde de rugby. En effet, plusieurs clubs professionnels verront leurs stades être utilisés à l'automne prochain (c'est notamment le cas de Lille, Lyon, Marseille, Nice et Toulouse en Ligue 1) et le règlement stipule qu'une équipe n'a pas le droit de jouer trois rencontres consécutives à l'extérieur, ce qui pose forcément quelques soucis dans la conception du calendrier. Pas de panique cependant, tout devrait être réglé d'ici à fin juin voire début juillet selon plusieurs sources.

Tu ne peux pas défendre contre Jérémy Doku

Dans un entretien accordé à Eleven Sports, Arthur Theate chante les louanges de Jérémy Doku.

ds 1347

Dans un entretien accordé au média belge Eleven Sports, Arthur Theate parle de son compatriote et coéquipier rennais Jérémy Doku, revenu en forme en deuxième partie de saison. "Comme je l’ai dit plusieurs fois à mes proches, à tout le monde, je le vois tous les jours travailler, c’est-à-dire que je savais que Jérem allait rebondir, assure-t-il. Il a trop de talent, trop de potentiel, même mentalement il est bien. Pour moi, c’est juste une question physique. On le voit sur le dernier match, c’est indéfendable. Il faut être honnête, tu ne peux pas défendre contre Jérem. S’il est à 100%, tu ne peux pas, ce n’est pas possible."

Un nouveau Doku, comme le raconte Theate : "Il le sait, il a travaillé aussi sur ses statistiques. Il a marqué beaucoup, fait des assists et il a été décisif. Je suis très heureux pour lui parce que je pense qu’il a souffert de ses petits pépins physiques. Même en sélection, il venait, il devait repartir. Là maintenant, il est prêt." La Belgique doit jouer son dernier match de la saison ce mardi soir, en Estonie.

Deux Rennais nommés pour le titre de Golden Boy

Les deux joueurs du Stade Rennais Lesley Ugochukwu et Désiré Doué sont nommés pour le titre de meilleur joueur de moins de 21 ans évoluant en Europe.

ds 1340

Chaque année, Tuttosport dresse la liste des 100 nommés pour le titre de Golden Boy de l’année. Pour cette édition du titre de meilleur joueur de moins de 21 ans évoluant en Europe, on retrouve notamment les deux jeunes joueurs du Stade Rennais Désiré Doué (18 ans) et Lesley Ugochukwu (19 ans). À noter, la présence d’Andy Diouf (20 ans), l’ancien Rennais désormais à Bâle ou encore Mathys Tel (18 ans), parti au Bayern Munich. Avec 14 joueurs, la France est le pays le mieux représenté.

Cette liste sera réduite tous les mois et le Golden Boy sera délivré en octobre prochain.

Des joueurs envisagent de poursuivre L'UNFP après avoir perdu leurs économies

Selon une enquête de L'Equipe, une trentaine de joueurs, anciens joueurs et entraîneurs envisagent de saisir la justice. Ils accusent l'UNFP de les avoir mal conseillés sur des placements qui devaient être garantis et qui se sont avérés désastreux.
ds 1334

Aux commandes de l'Union syndicale des footballeurs professionnels (UNFP) depuis 1969 et encore réélu en décembre dernier, Philippe Piat (81 ans) est aujourd’hui dans la tourmente. Dans une longue enquête en trois volets dévoilée samedi, L’Equipe révèle dans un premier temps que l’ancien attaquant de Strasbourg pourrait être placé dans une situation de conflits d'intérêts en raison de ses liens avec Alain Guerrini, le patron en France du groupe Panini, qui rapporte aujourd'hui près d'un million d'euros par an à l'UNFP avec ses célèbres albums, grâce à l'exploitation des droits à l'image collectifs des joueurs.

L'UNFP a déposé une main courante
Cette manne financière a été contestée en justice par certains footballeurs, actifs et retraités. Le tribunal a rejeté la quasi-totalité de ces actions en justice, en raison de la prescription, mais pas celle par exemple de Jérémy Doku. L’avocat de l'international belge du Stade Rennais explique que son client n'a jamais adhéré syndicat, qu’il n’a pas donné son accord pour une cession totale et sans contrepartie de ses droits à l'image collectifs, et qu’il n’a pas été rémunéré pour l’exploitation de son image dans les albums Panini.

Les arbitres pour la saison 2023/2024

Retrouvez la liste des arbitres Fédéraux 1 pour la saison 2023/2024 en Ligue 1 Uber Eats.

ds 1329

La Commission Fédérale des arbitres de la FFF a délivré le classement des arbitres F1 sur la saison 2022/23 et a communiqué la liste de ceux qui officieront en Ligue 1 Uber Eats lors de la saison prochaine (23/24).

M. Letexier 1er du classement 22/23

Tout d’abord, les cinq premiers du classement 2022/23, à savoir François Letexier (1er), Clément Turpin (2e), Benoît Millot (3e), Stéphanie Frappart (4e) et Willy Delajod (5e) sont les premiers à apparaître dans la liste des F1 pour la saison 2023/24.

Si 15 autres arbitres figurent à leurs côtés dans le nouveau listing en Ligue 1 Uber Eats, un a été relégué en F2 : il s’agit de Karim Abed. A l'inverse, Gaël Angoula et Romain Lissorgue montent de F2 à F1.

Les 20 arbitres F1 pour la saison 2023/24 :

  • François Letexier
  • Clément Turpin
  • Benoît Millot
  • Stéphanie Frappart
  • Willy Delajod
  • Gaël Angoula
  • Benoît Bastien
  • Florent Batta
  • Hakim Ben El Hadj
  • Marc Bollengier
  • Jérôme Brisard
  • Ruddy Buquet
  • Bastien Depechy
  • Pierre Gaillouste
  • Thomas Léonard
  • Romain Lissorgue
  • Jérémie Pignard
  • Jérémy Stinat
  • Mathieu Vernice
  • Eric Wattellier

Les arbitres assistants F1 pour la saison 2023/24 :

Julien Aube, Aurélien Berthomieu, Nicolas Danos, Aurélien Drouet, Erwan Finjean, Cyril Mugnier, Huseyin Ocak, Benjamin Pages, Mehdi Rahmouni, Hicham Zakrani, Alexis Auger, Mikael Berchebru, Guillaume Debart, Valentin Evrard, Steven Torregrossa, François Boudikian, Laurent Coniglio, Cédric Favre, Julien Haulbert, Philippe Jeanne, Thomas Luczynski, Christophe Mouysset, Brice Parinet Le Tellier, Gwenaël Pasqualotti, Florian Goncalves de Araujo, Bastien Courbet, Ludovic Reyes, Julien Pacelli.

Il coordonne le site Transfermarkt sur toute la France depuis le pavillon de ses parents

Promu en juin 2021 "area manager France", Ronan Caroff (22 ans) coordonne l’activité du site Internet allemand Transfermarkt, spécialisé dans les statistiques et le calcul des valeurs marchandes des joueurs, en France. Ouest-France et Prolongation ont passé une journée avec lui dans le petit pavillon de ses parents à Orgères, près de Rennes, où il télétravaille depuis sa chambre du lundi au vendredi.
ds 1331

Un beau jour d’été, alors que Ronan Caroff est confortablement installé en terrasse sous le soleil de Barcelone, l’écran de son téléphone s’allume. « C’était écrit : “Clément Grenier veut vous envoyer un message” », rembobine-t-il en souriant. Un frisson parcourt la nuque de celui qui n’est alors que tout juste sorti de l’adolescence. Pourquoi un ancien international français, passé avec succès par l’OL, l’AS Rome et le Stade Rennais, entre autres, souhaiterait-il prendre contact avec lui ? « Il avait un souci sur son profil Transfermarkt, explique-t-il. Sur le site, on liste les agences qui représentent les joueurs. Il y avait une erreur sur le sien. On a rapidement corrigé ça et tout est rentré dans l’ordre. »

Un exemple parfait pour illustrer le rôle du Rennais (22 ans) pour le site allemand, spécialisé dans les data de matches et le calcul de valeurs marchandes des footballeurs. « Un rôle assez large, analyse-t-il. Je m’assure que les données de matches et de joueurs sont bien à jour. Je gère une partie des stratégies de contenu. Il y a aussi un peu de relationnel avec les joueurs, les clubs et les agents. » Il travaille en collaboration avec Joachim Durand, un collègue français établi en Belgique, et quelques bénévoles.

Un jour, il faudra que je laisse tranquille mes parents

Pour rencontrer Ronan Caroff, il faut se rendre à Orgères (Ille-et-Vilaine), un petit patelin de tout juste 4 000 âmes, au sud de Rennes. À quelques pas du collège André-Récipon se trouvent une poignée de petites maisons mitoyennes. C’est là qu’il habite. Ou plutôt que ses parents et sa sœur vivent avec lui. « Un jour, il faudra quand même que je m’en aille, que je les laisse tranquille », glisse-t-il dans un sourire. À l’étage, sa chambre fait office de bureau de travail. C’est là, entouré de quelques affiches de concerts et d’expositions, qu’il branche son ordinateur, du lundi au vendredi, pour une quarantaine d’heures hebdomadaire.

Derrière sa longue tignasse, sa barbe épaisse et ses lunettes, Ronan Caroff est un garçon discret. Qui pèse ses mots, mais les choisit avec soin. Son premier souvenir ayant trait au football remonte à la Coupe du monde 2006. « Un souvenir douloureux », qui ne l’a pas empêché de développer sa passion pour le football. Longtemps, il s’est vu photographe sportif, au plus près des pelouses professionnelles. Au Roazhon Park, peut-être, lui qui supporte le Stade Rennais depuis l’enfance.

Si tu fais ça, je t’offrirai une place de match

« La première fois que je suis allé sur Transfermarkt, je cherchais un outil capable de répertorier le nombre de matches que j’ai vus dans ma vie, se souvient celui qui a un temps été à temps partiel, avant d’occuper le poste qui est aujourd’hui le sien. Ça m’a donné envie de creuser un peu sur le site et je me suis rendu compte que le National n’était pas très bien suivi. J’ai commencé comme ça, en tant que bénévole. »

« C’est toujours une bonne opportunité pour nous de recruter des personnes de la communauté, se réjouit Christian Schwarz, chef de l’international du site. Il connaissait mieux que personne le fonctionnement du domaine en France. Il sait comment gérer le quotidien. On s’est dit que c’était le bon candidat pour ce poste. »

Au gré de son activité, il tombe sous le charme d’un certain nombre de joueurs, comme l’attaquant Fahd El Khoumisti, qui évolue à Concarneau. Pourtant, Ronan Caroff n’est pas un « boulimique » de football, comme son job pourrait le laisser penser. Il ne regarde pas plus de trois matches par week-end, « en fonction des affiches », mais ne manque jamais celui du Stade Rennais.

Transfermarkt recense actuellement plus d’un million de profils de joueurs dans la majorité des pays du globe, des professionnels aux amateurs, pour environ 100 000 clubs. Plus de 100 000 membres de staff sont également enregistrés, de même que 60 000 arbitres et 9 000 pages de cabinets d’agence. En moyenne, le domaine français du site recense entre 70 et 100 000 visites quotidiennes, en fonction de l’actualité footballistique. En clair, c’est une grosse machine qui fait partie intégrante du monde du football, et suscite parfois des intérêts mal placés.

Parfois, on le contacte. Les agents de Martin Terrier (Rennes) et de Matheus Tete (Leicester) lui ont déjà écrit, mécontents de la valeur marchande de leur protégé sur le site. Les dirigeants du Stade de Reims, alors en pourparlers pour le transfert d’Hugo Ekitike au PSG, avaient fait la même chose. « Ça arrive qu’on me dise : “Si tu fais cette correction, je t’offrirai une place de match”. Mais s’il y avait une erreur, je la corrige et je fais mon travail, et je ne mérite pas de récompense pour ça. Sinon, ce serait mettre la main dans l’engrenage. Le mot passerait que le mec de Transfermarkt est facilement corruptible. »

Et voici comment en quelques mois de travail, cet ancien étudiant de l’Université Rennes-2, diplômé d’une licence en sciences de l’information et de la communication, a fait son nid dans l’univers du football. À une place qui lui convient, assez près pour côtoyer (un peu) les décideurs, mais assez loin pour ne pas être « dans le cœur du réacteur » des négociations. La sienne, qu’il n’a pas prévu de quitter pour le moment.

Mathéo GIRARD. Ouest-France

L1, L2, N1, N2, N3 ET R1 : Les équipes promues et reléguées

Foot-National vous propose de découvrir l’ensemble des équipes promues et reléguées dans l’ensemble des championnats professionnels (L1, L2), nationaux (N1,N2 et N3) et amateurs (R1) à l’issue de la saison 2022-2023.

ds 1318

Alors que la saison 2022-2023 touche à sa fin, Foot-National vous propose de découvrir l’ensemble des équipes promues et reléguées dans l’ensemble des championnats professionnels (Ligue 1 et Ligue 2), nationaux (National 1,National 2 et National 3) et amateurs (Régional 1) à l’issue de cet exercice*.

*Sous réserve des procédures en cours ainsi que les passages des clubs devant la DNCG.

Ligue 1

  • Relégués en Ligue 2 : Angers, Ajaccio, Troyes, Auxerre

Ligue 2

  • Promus en Ligue 1 : Le Havre, Metz
  • Relégués en National : Niort, Nîmes, Dijon, Annecy

National

  • Promus en Ligue 2 : US Concarneau, USL Dunkerque
  • Relégués en National 2 : Football Bourg-en-Bresse Péronnas, AS Nancy-Lorraine, FC Bastia-Borgo, Le Puy Foot 43, Paris 13 Atletico, Saint-Brieuc

National 2

  • Promus en National : Rouen, Marignane-Gignac-Côte-Bleue, Épinal, GOAL FC
  • Relégués en National 3 : C’Chartres Football*, SM Caen 2, Vannes OC, Stade Rennais 2, Evreux FC (Groupe A). Stade de Reims 2, Sainte-Geneviève-des-Bois FC, FC Metz 2, ASM Belfort, US Lusitanos Saint-Maur-des-Fossés, O. Saint-Quentin (Groupe B). FC Sète 34, AS Saint-Priest, O Lyon 2, Canet-en-Roussillon FC, Louhans/Cuiseaux FC, Aubagne FC (Groupe C). Vierzon FC, Moulins/Yzeure Foot, Stade Bordelais, FC Nantes 2, FC Lorient 2 (Groupe D)

* C’Chartres Football a été rétrogradé en Régional 1 par la DNCG.

National 3

  • Promus en National 2 : AF Virois (Normandie), AS Cannes (Corse/Méditerranée), Feignies-Aulnoye (Hauts-de-France), FC Libourne (Nouvelle-Aquitaine), ASC Biesheim (Grand Est), Dinan-Léhon (Bretagne), UF Mâconnais (Bourgogne-Franche-Comté), Aubervilliers (Ile-de-France), La Roche VF (Pays-de-la-Loire), Bourgoin-Jallieu (Auvergne-Rhône-Alpes), AS Béziers (Occitanie), Avoine Chinon (Centre-Val-de-Loire).
  • Relégués en Régional 1 : Stade Montois Football, ES Guérétoise, CA Neuville-de-Poitou, FC Portes-Entre-Deux-Mers, Girondins de Bordeaux 2 (Nouvelle-Aquitaine). US Changé, Pouzauges Bocage FC, SC Beaucouzé, ESOF La Roche-sur-Yon, Le Mans FC 2 (Pays-de-la-Loire). USM Montargis, FC Drouais, C’Chartres Football 2, Saint-Jean Le Blanc FC, Chambray-lès-Tours FC (Centre Val de Loire). Gazélec Ajaccio (Forfait Général), Marignane/Gignac/Côte Bleue FC 2, OGC Nice 2, Carnoux-en-Provence FC, EUGA Ardziv Marseille (Méditerranée). AS Quetigny, FC Montceau Bourgogne, ASC Saint-Apollinaire, FC Grandvillars, FC Morteau/Montlebon (Bourgogne/Franche Comté). Jarville Jeunes, RC Champigneulles, FA Illkirch-Graffenstaden, RC Epernay, SC Schiltigheim (Grand-Est). FC Bagnols-sur-Cèze/Pont-Saint-Esprit, L’Union/Saint-Jean FC, Balma SC, Rodez AF 2, USS Aigues-Mortes (Occitanie). ESC Longueau, ES Lambres-lez-Douai, Amiens AC, Amiens SC 2, US Maubeuge (Hauts-de-France). Le Havre ES Mont-Gaillard, Grand Quevilly FC, US Avranches MSM 2, ESM Gonfreville-l’Orcher, SU Dives-sur-Mer/Cabourg (Normandie). US Montagnarde, ES Dol-de-Bretagne, Stade Brestois 2, OC Cesson-Sévigné, GSI Pontivy (Bretagne). Le Mée-sur-Seine SF, Le Blanc-Mesnil SFB, Paris SG 2, Paris FC 2, CO Les Ulis (Paris-Île de France). Montluçon Football, Lyon La Duchère 2, Aix-les-Bains FC, AS Domérat, Chambéry SF (Auvergne/Rhône-Alpes)

** EUGA Ardziv Marseille est en « pôle position » pour être repéché à la suite de la rétrogradation de C’Chartres Football.

Régional 1

  • Promus en National 3 : FC Chauray, AS Panazol, Saint-Paul-lès-Dax SF (Nouvelle-Aquitaine). Les Sables FC Olonne Château, AS La Châtaigneraie, Ancienne Château-Gontier (Pays-de-la-Loire). CS Mainvilliers, ES du Moulon Bourges, Vineuil SF (Centre Val de Loire). SC Bastia 2 (Corse). ES Saint-Zacharie, AS Cagnes-sur-Mer/Le Cros-de-Cagnes (Méditerranée). AS La Chapelle-de-Guinchay, ASPTT Dijon, Vesoul FC (Bourgogne Franche-Comté). ES Thionville Lusitanos, le Football Club Olympique Strasbourg Koenigshoffen 1906, le FC Métropole Troyenne (Grand-Est). Union Saint-Estève Espoir Perpignan MM, Blagnac FC, Entente Saint-Clément/Montferrier (Occitanie). US Pays de Cassel, ES Le Pays du Valois, Saint-Amand-les-Eaux FC (Hauts-de-France). AS Villers/Houlgate, FC Flérien, ASPTT Caen (Normandie). AS Chatou F, US Saint-Ouen-l’Aumône F, SFC Neuilly-sur-Marne (Paris-Île de France). PD Ergué-Gabéric, FC Redon AV, CPB Bréquigny Rennes (Bretagne). FC Espaly-Saint-Marcel, Olympique Valence, Chassieu/Décines-Charpieu FC (Auvergne Rhône-Alpes).

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme