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Florian Maurice tacle Deschamps sur l’absence de Terrier au Mondial

Florian Maurice, directeur technique du Stade Rennais, peste toujours contre l’absence de Martin Terrier en équipe de France lors de la dernière Coupe du monde. Il accuse Didier Deschamps d’envoyer un très mauvais message aux joueurs évoluant en France.
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La Coupe du monde est terminée mais Florian Maurice ne décolère pas. Dans une interview à L’Equipe, le directeur technique du Stade Rennais déplore l’absence de Martin Terrier dans le groupe de l’équipe de France après une saison 2021-2022 à 21 buts en Ligue 1 et un début d’exercice encore consistant en 2022-2023 (11 buts, 4 passes décisives). Le dirigeant s’étonne du peu d’attrait du staff des Bleus pour les joueurs rennais.

"Déjà, il faut venir les voir, lance-t-il. Peut-être qu'on les observe en vidéo, mais déjà, venir au Roazhon Park ou quand on joue à l'extérieur, je ne sais pas. (...) Je n'ai jamais reçu d'appel: ‘Allo Flo, comment il est Martin (Terrier), comment il est Bourige (Benjamin Bourigeaud)?’ Je trouve ça un peu surprenant, je ne sais pas si ça craint de le dire ou pas, mais ce n'est pas grave."

Pré-sélectionné, Terrier n’a finalement pas été appelé pour pallier les différents forfaits (Nkunku, Benzema...), le staff lui préférant Randal Kolo Muani, appelé pour la première fois en septembre. "Kolo Muani par exemple: très bien, c'est un très bon joueur, pas de problème, poursuit Maurice. Quand je lis qu'il surfe sur la saison passée avec Nantes à Francfort, et que j'ai un mec dans mon effectif qui a marqué 21 buts la saison dernière et encore 8 cette année en championnat, OK. Peut-être qu'il (Deschamps) n'apprécie pas le profil de Martin, ou alors, il y a autre chose et là il faut s'interroger. Profondément."

"Quel message tu envoies aux joueurs français, en fait? Barre-toi à l'étranger pour jouer en équipe de France?"
Maurice convient que le très beau parcours des Bleus achevé en finale sur un revers aux tirs au but justifie les choix du sélectionneur mais se dit peiné pour Terrier qui aurait "mérité d’être vu". "Il a été top Kolo Muani, il a réussi une entrée exceptionnelle, assure-t-il encore. Je ne critique pas le niveau du joueur, c'est un super joueur. Mais j'avais entendu: oui, pour aller en équipe de France, il faut avoir de l'expérience, avoir joué en Coupe d'Europe! Martin Terrier a joué les trois (C1, C3, C4), donc il faut quoi?"

Une question en forme de reproche à Deschamps sur le message envoyé aux joueurs évoluant en France. "On arrive à retenir l'été dernier Martin Terrier, qui ne part pas dans un club de Premier League, rappelle-t-il. Et là, quel message tu envoies aux joueurs français (évoluant en France), en fait? Barre-toi à l'étranger pour jouer en équipe de France? Ce n'est pas forcément le bon message. Je ne crois pas."

Le Stade Rennais ferme sa boutique en gare de Rennes

La boutique du Stade Rennais installée dans le hall de la gare de Rennes va fermer ses portes le samedi 24 décembre 2022 au soir. Le club dit vouloir se concentrer sur la boutique du Roazhon Park et celle en ligne.

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En arrivant à Rennes en train, il était difficile de la rater. Dans le hall principal de la gare, la boutique du Stade Rennais affichait fièrement les couleurs du club. Mais ce sera bientôt terminé.

La boutique fermera définitivement ses portes le samedi 24 décembre 2022 à 19 h. Le club l’a annoncé sur ses réseaux sociaux, ce vendredi.

Ouverte depuis 2017
Nous préférons nous concentrer sur la boutique du Roazhon Park et la vente en ligne, indique le club, sans donner plus de détails.

La boutique du Stade Rennais avait ouvert en juillet 2017, avec l’arrivée de la LGV. Sur 40 m², il était possible d’y trouver des maillots du club ainsi que de nombreux objets dérivés.

Le nom de l’enseigne remplaçante n’a pas encore été communiqué.

Un container maritime en guise de tribunes de football

À Brec’h, un container maritime aménagé en tribunes a trouvé sa place au complexe Sport Ti Brec’h depuis le 6 décembre.
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C’est officiel, les supporters du club USB Brec’h pourront désormais soutenir leur équipe à partir de la nouvelle tribune. Celle-ci a pris place, mardi 6 décembre, au complexe Sport Ti Brec’h. C’est un container maritime aménagé qui abrite cette tribune.

Accueillir 72 personnes
Ce concept, découvert au salon des maires à Paris, a d’emblée séduit le maire de Brec’h, Fabrice Robelet. Sa structure déplaçable, sa mise en œuvre rapide, son entretien facile et ses places couvertes ont été des avantages convaincants pour la commune. Par ailleurs, son prix, 41 000 € est également un atout non négligeable.

Cette tribune fabriquée par Mouv’Box, une entreprise perpignanaise, permet d’accueillir 72 spectateurs dont une place réservée aux personnes à mobilité réduite (PMR). Son garde-corps et son son toit permettent, eux, une protection optimale contre la pluie et le soleil. Sa conception est inspirée du stade 974 conçu pour le Mondial du Qatar.

Donner une seconde vie à un container maritime
L’aspect écologique de cette tribune a également séduit le maire. En effet, elle permet d’offrir une seconde vie à un container maritime et limite ainsi les matériaux de construction que peut engendrer une tribune traditionnelle.

Elle représente également, pour le club de football, "un cadeau de Noël avant l’heure", s’amuse le maire. Cela fait longtemps que le club réclame un espace couvert pour se protéger des intempéries. Le voici, et ils pourront l’inaugurer, dimanche 18 décembre à 13 h, à l’occasion d’un match régional 3 contre Languidic FC.

Quatre supporters du PSG jugés pour le vol de la bâche du kop du Stade Rennais

Le tribunal correctionnel de Rennes a requis des peines de prison, ferme et avec sursis, ce mercredi, à l’encontre des quatre supporters du PSG accusés d’avoir volé avec violence la bâche du Roazhon Celtic Kop (RCK) à Bréteil (35) en septembre 2021.
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Trois supporters du Paris Saint-Germain (PSG), respectivement âgés de 32, 28 et 40 ans, comparaissaient ce mercredi 30 novembre 2022 devant le tribunal correctionnel de Rennes. Absent, le quatrième prévenu, âgé de 30 ans, souffre de la covid-19. Ils sont soupçonnés d’avoir dérobé la bâche du RCK, le club de supporters du Stade Rennais (SRFC), dans la nuit du 22 au 23 septembre 2021 chez un supporter, après le match de championnat de Ligue 1 qui opposait Rennes à Clermont-Ferrand.

Le supporter rennais, membre du RCK, n’a pas déposé plainte et a refusé de faire constater ses blessures chez un médecin. Mais il avait appelé la gendarmerie peu avant 2 h du matin, cette nuit-là, indiquant que "deux mecs (…) cagoulés et gantés" étaient venus chez lui, au domicile de ses parents. Il pensait même dans un premier temps qu’ils avaient "cassé sa voiture".

Des "proches du Karsud", un groupe de hooligans du PSG
Il avait ensuite reçu "un coup de matraque sur l’avant-bras gauche" et "du gaz lacrymogène" avant de courir en criant "papa". Le voisin s’était alors "réveillé" et les deux hommes avaient constaté que "le véhicule n’était pas dégradé" mais que "les trois sacs de sport contenant les bâches de supporters" du Stade rennais avaient pour leur part disparu. Le plaignant avait également dit d’emblée qu’il "pensait" que les auteurs du vol étaient des "supporters parisiens".

Des surveillances avaient donc été mises en place sur les données de téléphonie mobile et sur les images de vidéo-surveillance des péages de La Gravelle (Mayenne) et de Saint-Arnoult (Yvelines). Finalement, les gendarmes ont pu établir que "quatre personnes dans deux véhicules différents" - habitant la région parisienne - avaient fait "sept heures de route" et "attendu plusieurs heures dans un hameau, à Bréteil" pour voler la bâche.

Les trois prévenus sont soupçonnés d’être des proches du Karsud : ce "groupe de hooligans" a été créé en 1993. "Il a quitté les tribunes depuis 2017-2018 pour se consacrer uniquement à des confrontations de rue et du vol de matériel", a affirmé, ce mercredi, le procureur de la République devant le tribunal correctionnel de Rennes.

La bâche est souillée, on ne la récupère pas
Mais les intéressés nient être membres de ce groupe de supporters. Le vol du totem des ultras du Stade rennais est en fait "une blague qui a mal tourné" : deux d’entre eux ont d’ailleurs indiqué avoir quitté Bréteil - "une ville de gueux", selon les mots de l’un d’eux - avant l’arrivée du membre du RCK détroussé de sa bâche.

Selon eux, ils étaient "partis sur Rennes pour un anniversaire en banlieue, dans un bar" lorsqu’ils avaient rencontré un supporter qui était "contre les agissements des supporters de Rennes". Selon leurs explications, cet homme leur aurait alors indiqué l’adresse de celui chargé de conserver la bâche après le match.

"En ayant bu deux/trois bières, on s’est dit que ça pouvait être intéressant. (…) S’il s’était défendu, je pense qu’on se serait retrouvés comme des cons", a fait valoir l’un des prévenus à la barre. Il n’y a en revanche "pas eu de gaz lacrymogène" utilisé. Deux d’entre eux reconnaissent donc un "vol sans violence", tandis que les deux autres affirment être innocents.

Reste qu’ils ont refusé de dire à qui ils comptaient remettre la bâche : ils avaient, en revanche, proposé de la "rendre" en garde à vue. Mais "dans le code du bon ultra, la bâche est souillée, on ne la récupère pas", a rappelé l’avocat des trois prévenus, Me Jean-Laurent Panier, qui considère, pour sa part, qu’aucune violence n’est intervenue.

L’un d’eux déja condamné pour des faits en lien avec le PSG
"Il s’est fait détrousser et est bien embêté parce qu’il n’oppose aucune résistance" a encore fait valoir l’avocat des trois supporters parisiens, qui encourent cinq ans de prison. Me Olivier Pacheu, l’avocat du quatrième, a, lui aussi, rappelé que les gendarmes n’avaient "constaté aucune blessure". Ils avaient d’ailleurs indiqué que "des doutes subsistent quant à l’existence de potentielles violences".

Le procureur de la République a pour sa part estimé qu’il s’agissait d’un "vol travaillé et commis avec violence", à tout le moins "psychologique". "La valeur pécuniaire de cette bâche est extrêmement faible mais sur le plan symbolique elle est importante : si la victime avait été armée, ça aurait pu dégénérer", s’est-il dit convaincu.

De plus, trois des quatre prévenus ont déjà été condamnés à trois, quatre et cinq reprises, dont l’un par une cour d’assises pour des faits "d’enlèvement, séquestration" et un autre pour une "participation à un groupement en vue de commettre des violences", déjà en lien avec le PSG.

Le représentant du parquet a donc requis un an de prison ferme contre l’un d’entre eux, huit mois ferme contre le deuxième et dix mois avec sursis simple à l’encontre du troisième, dont le casier est vierge. Il a également requis "une interdiction de paraître en Ille-et-Vilaine" et "aux matchs de Ligue 1 et de Ligue 2" pour une durée de trois ans. Le tribunal, qui a mis sa décision en délibéré, se prononcera le 21 décembre 2022.

Canal + et beIN déboutés par l’Autorité de la concurrence

Nouveau revers pour les diffuseurs du football français : Canal + et beIN Sports France ont été déboutés, ce mercredi, par l’Autorité de la concurrence dans le conflit avec la Ligue (LFP) sur la réattribution des droits TV de la Ligue 1 à Amazon après le fiasco Mediapro.
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"L’Autorité de la concurrence relève que les éléments apportés par GCP (Canal +, NDLR) et beIN sont insuffisants pour conclure que la LFP (Ligue de football professionnel, NDLR) aurait abusé de sa position dominante, en les traitant différemment d’Amazon dans la procédure de réattribution des lots de Mediapro, ou en ne privilégiant pas leur offre par rapport à celle d’Amazon", a-t-elle indiqué dans un communiqué publié ce mercredi.

"L’Autorité rejette les saisines au fond pour défaut d’éléments suffisamment probants et, par voie de conséquence, les demandes de mesures conservatoires qui en sont l’accessoire", poursuit le texte.

Canal + et beIN estimaient que la LFP avait commis un "abus de discrimination" en octroyant à Amazon les droits de diffusion de 80 % des rencontres pour les saisons 2021-22 à 2023-24 pour un montant de 250 millions d‘ euros par saison, tandis qu’ils étaient tenus dans le même temps de diffuser les matches du lot 3 (diffusion de deux matches par journée de L1), acquis en 2018 pour 332 millions d’euros par saison.

En juillet, le tribunal de commerce de Paris avait déjà rendu une décision défavorable à Canal +, lui ordonnant de continuer à diffuser et payer deux matches par journée de L1.

Vainqueur initial, en 2018, de ce lot 3 pour la période 2020-24, beIN Sports avait décidé de sous-licencier ses droits à Canal + au même prix.

Depuis la faillite fin 2020 du groupe Mediapro, ancien diffuseur majeur de la L1, Canal + juge ce lot de matches surévalué et cherche à s‘ en débarrasser par de multiples procédures judiciaires, y compris en tentant de rompre son contrat de sous-licence, pour obliger beIN à payer et diffuser les rencontres à sa place.

Le feuilleton judiciaire des droits TV de L1 n‘ est pas encore terminé, puisque plusieurs assignations perdurent, la plupart menées de concert par beIN et Canal + contre la LFP. Jusqu’à présent, la Ligue a toujours été confortée dans sa position par la justice dans cet interminable conflit.

Le rapport Bauer recommande la fin des répressions sur les fumigènes

La LFP avait demandé un rapport général sur la sécurité dans les stades de Ligue 1.

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Depuis de longs mois, la sécurité dans les stades de Ligue 1 est devenue une priorité pour la LFP et son président Vincent Labrune. En ce sens, l'instance avait demandé à Alain Bauer, criminologue, de rédiger un rapport sur ce sujet, dans le but de faire un état des lieux de la situation et d'en dégager des propositions.

Le journal L'Équipe, qui a pris connaissance de ce rapport, en a dévoilé une partie. On peut notamment y trouver une préconisation visant à stopper la répression systématique des fumigènes, Alain Bauer mettant en avant la nécessité d'ouvrir le dialogue entre la LFP et les groupes ultras. Il estime aussi qu'il serait plus judicieux de sanctionner individuellement les fauteurs de troubles et non plus de manière collective (groupes de supporters, clubs). Enfin, il conseille à la Ligue d'adapter son jugement et ses sanctions à la capacité des stades, une enceinte comme le Stade Vélodrome étant plus difficile à gérer que le Stade Louis II.

Le procès du vol de la bâche du RCK a lieu ce mercredi 30 novembre

Quatre ultras du PSG doivent être jugés, mercredi 30 novembre 2022, devant le tribunal correctionnel de Rennes, pour le vol avec violence de la bâche du RCK, en septembre 2021, à Bréteil.

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Mercredi 30 novembre se tiendra le procès du vol de la bâche du RCK (principal groupe ultra du Stade Rennais). Quatre ultras du PSG seront jugés pour vol avec violence dans la nuit du 22 au 23 septembre 2021, à Breteil (Ille-et-Vilaine).

Initialement prévu en juin dernier, le procès avait été renvoyé. Depuis, les quatre hommes sont sous contrôle judiciaire. Ils ont tous interdiction d’entrer en contact les uns avec les autres et avec la victime, ainsi que de se rendre en Ille-et-Vilaine, et dans un stade. Plusieurs d’entre eux doivent aussi pointer au commissariat les soirs de matches du PSG.

Les quatre hommes, âgés d’entre 28 et 30 ans, avaient été interpellés le mardi 1er février 2022 en région parisienne, à la suite d’une enquête de la gendarmerie de Montfort-sur-Meu. Les perquisitions n’avaient pas permis de retrouver la bâche volée à un membre du RCK, devant son domicile d’une commune proche de Rennes.

À l’époque, le procureur de la République de Rennes avait précisé que l’enquête des gendarmes avait permis d’identifier ces hommes comme membres du groupe Karsud, des ultras du PSG qui ne se rendent plus au stade depuis la saison 2017-2018.

Proscrits par la Fifa sur le terrain, les brassards "One Love" en rupture de stock

Durant la Coupe du monde 2022 au Qatar, plusieurs capitaines de sélections nationales ont souhaité porter un brassard arc-en-ciel, flanqué du message « One Love », pour défendre des valeurs d’inclusion et de diversité. La Fifa a finalement interdit le geste. Basé à Utrecht (Pays-Bas), le fabricant des brassards affirme en avoir vendu 10 000 et se trouver désormais en rupture de stock.

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Par leur absence, les brassards "One Love" n’ont jamais autant fait parler d’eux. Dans le but de défendre des valeurs de diversité et d’inclusion, plusieurs capitaines de sélection de football avaient prévu de porter ce bout de tissu blanc, flanqué d’un cœur arc-en-ciel, lors des matches de leur équipe durant la Coupe du monde 2022 au Qatar. La Fifa avait finalement empêché cette initiative en la menaçant de lourdes sanctions.

Un coût de 4,99 €
Cette proscription n’a pas empêché la vente de ce brassard. Au contraire. Comme l’indique Reuters, leur fabricant, basé à Utrecht (Pays-Bas), a affirmé qu’il se retrouve en rupture de stock, après une semaine de compétition.

Son entreprise Badge Direct BV aurait ainsi expédié 10 000 brassards en quinze jours, pour la modique somme de 4,99 euros.

Cinq films autour du football à voir pendant ce Mondial

Si pour vous, le foot, c’est plutôt devant un écran que derrière le ballon rond, ça tombe bien : on vous a préparé une petite liste de films qui collent à l’actu du moment, sans devoir mettre les pieds au Qatar pour autant.

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Didier, le plus drôle
Premier film d’Alain Chabat en tant que réalisateur, Didier est une comédie complètement loufoque, où le héros, qui s’appelle donc Didier, n’est autre qu’un chien qui se serait réincarné en humain. Et qui au passage, devient la star du ballon rond grâce à son agent, joué par un excellent Jean-Pierre Bacri. Dans le rôle de Didier, le réalisateur himself. Un must-see qui vous fera mourir de rire.

Joue-la comme Beckham, le film à gros succès
Sorti en 2002, le film Joue-la comme Beckham a réalisé un carton lors de sa sortie en salles et est désormais considéré comme l’un des plus grands succès du cinéma britannique. En tout cas sur le plan commercial, puisqu’il a en effet généré plus de 75.000.000 dollars de recettes mondiales.

De quoi ça parle ? Jess, une adolescente d’origine punjabi, habitant la banlieue de Londres, est archifan de football et encore plus de David Beckham. Vu ses origines, elle cache cette passion à sa famille, qui n’a qu’une chose en tête : le futur mariage de Jess. Grâce à sa rencontre avec Jules (jouée par une Keira Knightley encore très peu connue à l’époque), Jess va enfin pouvoir intégrer une équipe féminine de football et vivre sa passion à fond. En tombant au passage amoureuse de l’entraîneur, ce qui, vu sa famille, ne va pas arranger les choses.

Si vous pensiez par contre y voir le vrai Beckham, c’est raté puisque David et Victoria n’ont jamais pu libérer leur agenda très busy pour apparaître au casting. La réalisatrice a donc été contrainte d’utiliser des sosies.

Hooligans, le film qui nous laisse au bord des stades
Avec ce titre évocateur, on ne sera pas surpris d’apprendre que le film Hooligans nous emmène au bord des stades de foot, dans les gradins, plutôt que sur le terrain. On y suit Matt, un étudiant américain qui vient de se faire renvoyer d’Harvard pour possession de drogue. Ne sachant pas trop quoi faire de sa vie, il finit par aller en séjour chez sa sœur, qui vit en Angleterre. Et il y fait la rencontre du beau-frère de cette dernière, qui n’est autre que le chef du Green Street Elite, un groupe de hooligans du club de West Ham United. Matt y découvre un monde tout à fait nouveau pour lui, qui ne le laisse pas complètement indifférent.

Dans le rôle de Matt, vous trouverez un Elijah Wood qui, au moment du tournage, sort tout juste de la trilogie du Seigneur des Anneaux. Il opère donc un virage à 180° avec ses précédents films, mais on s’y fait, rassurez-vous !

À noter que le film a bien failli ne jamais voir le jour puisque l’Angleterre freinait des 4 fers face à l’annonce d’un tel projet, qui aurait remis de l’huile sur le feu dans le dossier très chaud du hooliganisme anglais. L’accès aux stades pour les caméras était globalement très compliqué à obtenir pour les équipes de tournage. Rajoutez à cela une production portée essentiellement par des femmes, dans un milieu reconnu pour son machisme, et vous avez tous les ingrédients pour aboutir à un échec du projet. Mais c’était sans compter la ténacité de l’équipe… Le film a bien fini par sortir en 2005, et a même eu droit à 2 suites en 2009 et 2014.

Looking for Eric, le film un peu déprimant mais pas trop
Eric Bishop partage 2 choses avec son idole : la passion pour le foot et le même prénom. Son idole, c’est le célèbre Eric Cantona. Lequel, en plus d’être footballeur professionnel, a aussi réussi à prouver ses talents d’acteur grâce au récit que nous livre Ken Loach dans Looking for Eric.

Concrètement, la vie d’Eric (Bishop) est un peu morose, sa famille n’égaye en rien son quotidien. Alors, quand le grand Cantona, dont le portrait trône fièrement au mur, semble le regarder attentivement, Eric commence à imaginer ce que ferait son idole dans pareille situation. Résultat : un film un peu barré mais entraînant, qui vaut franchement le détour !

Pour la petite histoire, l’idée du film a été soufflée par Cantona à l’oreille de Ken Loach, et est basée sur une vraie relation qu’il entretenait avec un fan.

Les Petits Princes
On termine par une comédie dramatique qui sent bon l’espoir. Dans Les Petits Princes, film français sorti en 2013, on suit l’histoire de JB, un jeune espoir du football qui, du haut de ses 16 ans, n’a qu’un seul rêve : devenir footballeur professionnel. Son principal problème est qu’il est porteur d’une anomalie cardiaque qui devrait normalement le tenir éloigné des terrains de foot. Ce qu’il n’est évidemment pas prêt à faire.

Alors, il cache son problème de santé à tout le monde, malgré les doutes et interrogations de certains, et continue à risquer sa vie tous les jours sur le gazon.

La colère d'Elio Di Rupo: La FIFA montre que la seule chose qui compte, c’est l’argent

Le brassard "OneLove", en faveur de l'inclusivité, a été interdit par la FIFA, qui a fait peser de grosses sanctions sur les joueurs désireux de braver cette interdiction.

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Ce geste a soulevé la colère de nombreuses personnes, y compris le ministre-président du gouvernement wallon, Elio Di Rupo. "J’adresse un carton rouge à la FIFA pour son attitude vis-à-vis des équipes qui portent les brassards OneLove, écrit-il sur Twitter. C’est intolérable et cela va à l’encontre des valeurs inclusives enseignées par le sport. J’encourage vivement les Diables Rouges à le porter !"

Les Diables Rouges avaient déclaré lundi décider de ne pas porter le brassard, redoutant les cartons jaunes brandis en cas de non-respect des règles. "J'ai peur de dire quoi que ce soit. Je ne me sens pas à l'aise, c'est assez révélateur que nous sommes sous pression. C'est une situation regrettable que je n'ai jamais connue dans le football et j'espère ne plus revivre", avait déclaré Jan Vertonghen lors d'un point presse mardi.

C'est la FIFA qui est décevante
Elio Di Rupo a également exprimé sa tristesse à nos confrères de Sudinfo. "Cela me chagrine de voir que la FIFA, qui devrait montrer l’exemple en matière de sport et de libertés individuelles, décide finalement de se coucher devant les exigences nationales", déplore-t-il. "Ce brassard n’était pas seulement un symbole pour les LGBTQ+, mais un signe pour dire 'on est chez vous', mais nous défendons les libertés d’aller et venir, de vivre sa vie comme on l’entend, poursuit Elio Di Rupo. C’était vraiment une opportunité formidable mais là, la FIFA montre que la seule chose qui compte, c’est l’argent."

Cependant, le ministre-président du gouvernement wallon invite nos joueurs belges à porter le brassard en dépit de la menace, d'après son tweet. Une invitation qu'il nuance au vu du risque encouru par nos joueurs: "Je n’accable ni les fédérations nationales ni les joueurs. Je me rends compte que les joueurs peuvent être sanctionnés d’une carte jaune et cela peut s’avérer un réel handicap dans une compétition de cette importance", explique Elio Di Rupo.

Elio Di Rupo regrette un impact fort qui aurait pu être fait et qui n'aura pas lieu: "Un joueur de football, de hockey ou de tennis qui porte un tel brassard, cela a un impact important sur les jeunes (…) Cela doit nous faire prendre conscience que nous avons la chance de vivre en Belgique et en Europe".

La FIFA aux mains du Qatar, l’Angleterre sous le choc

Comme les autres nations européennes, l’Angleterre a renoncé au brassard "One Love" arc-en-ciel face aux menaces de la FIFA.

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A l’instar d’Hugo Lloris, le capitaine anglais Harry Kane a renoncé au brassard "One Love" aux couleurs de l’arc-en-ciel pour la Coupe du monde au Qatar. Il faut dire que la FIFA a fait son maximum pour dissuader les sélections d’arborer ce brassard en menaçant les capitaines d’un carton jaune avant même le coup d’envoi de la rencontre pour tenue non-conforme. Au lendemain de la victoire de l’Angleterre face à l’Iran (6-2) et de ce renoncement de la Fédération anglaise de faire porter ce brassard aux couleurs LGBTQ+, la presse britannique a été très critique à l’égard de la FIFA mais également de la fédération anglaise. "Oui, c'est une capitulation. Oui, c'est un drapeau blanc plutôt qu'un brassard arc-en-ciel. Mais ce retour en arrière honteux devrait jeter un éclairage critique bien plus féroce et bien plus accablant sur la FIFA et les organisateurs qataris" peut-on lire dans les colonnes du Daily Mirror.

La presse anglaise détruit la FIFA et le Qatar

"La protestation de l'Angleterre a toujours été un geste creux. Mais les vrais méchants ici sont encore la FIFA" peste de son côté le Daily Mail, préférant s’attaquer à la FIFA qui se plie aux règles du Qatar plutôt que de critiquer la fédération anglaise. Journaliste pour la BBC, Alex Scott était présente au bord de la pelouse pour le match entre l’Angleterre et l’Iran lundi après-midi. Elle a eu le courage de porter le brassard "One Love" aux couleurs de l’arc-en-ciel malgré les pressions de la FIFA et du Qatar. Un geste salué dans son édition du jour par The Telegraph, qui regrette qu’Harry Kane et la sélection anglaise n’aient pas eu le même courage que la présentatrice de la BBC. Quoi qu’il en soit, la FIFA et les organisateurs qataris n’ont pas fini d’être critiqués à ce sujet alors que plusieurs sélections européennes ont été contraintes de renoncer à ce brassard, dont l’Equipe de France. De son côté, Hugo Lloris a annoncé publiquement avoir accepté de porter le brassard classique de l'instance mondiale, expliquant vouloir respecter les règles locales.

Martin Terrier joueur du mois d’octobre

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Didier Deschamps n’ayant pas souscrit d’abonnement Ligue 1 depuis deux ans, ne pouvait pas le savoir. Fervent amoureux de la Bundesliga et de Francfort (à moins que Nantes, avant…), le sélectionneur des Bleus a découvert ce jeudi que Martin Terrier, joueur du Stade Rennais, club sympathique méconnu pour lui évoluant en Rouge et Noir (et surtout, en Ligue 1, ce championnat inconnu pour Dédé qui ne se souvient que des clubs où il passa) était élu Joueur du mois d’octobre devant son coéquipier Amine Gouiri et un certain Leo Messi, bien connu en revanche du sélectionneur des Bleus mais hélas non sélectionnable pour la France.

Avec cinq buts et trois passes décisives, le numéro 7 rennais a confirmé son excellent début de saison et véritablement porté son équipe, inarrêtable depuis début septembre. Egalement très convaincant sur la scène européenne, l’ancien lyonnais confirme sa magnifique saison passée avec 11 buts et 4 passes décisives toutes compétitions confondues et reçoit cette récompense pour la seconde fois de sa carrière sous les couleurs bretonnes, après son titre obtenu en mars dernier. De la continuité, de la régularité, des stats, la coupe d’Europe et le haut de tableau, chapeau l’artiste.

Je ne plaisais plus à Rennes

Convoqué par le Sénégal pour la Coupe du monde, le gardien Alfred Gomis s'exprime pour la première fois sur sa situation complexe à Rennes, où il n'a plus joué avec l'équipe première depuis le 21 mai (contre Lille, 2-2).
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Depuis l'arrivée de Steve Mandanda à Rennes pendant le mercato estival, le gardien de but sénégalais Alfred Gomis (29 ans) s'est vu rétrogradé à la quatrième place dans l'équipe première. Marquée par plusieurs absences (Covid, départ pour la CAN en janvier avec le Sénégal et une fracture au doigt), sa fin de saison dernière a fragilisé sa position en Ligue 1.

Depuis la reprise du Championnat, il n'a joué que deux matches, l'un, amical, avec le Sénégal contre la Bolivie (2-0, le 24 septembre), et un autre en National 2 avec la réserve de Rennes contre le Racing CFF (5-1, le 5 novembre), où il a été expulsé après seulement dix minutes pour être intervenu de la main en dehors de la surface. Avec le Sénégal, il est numéro 2 derrière Édouard Mendy.

Vous vous apprêtez à participer à la Coupe du monde avec le Sénégal. Dans quel état d'esprit êtes-vous alors que vous avez très peu joué en club ?
Ma situation en club n'est pas des plus positives, et cela indépendamment de ma volonté. En sélection, on en a bien sûr parlé, mais cela n'a pas altéré la confiance que l'on m'y accorde. Le coach a choisi les meilleurs joueurs disponibles pour amener le plus haut possible le Sénégal, et c'est une fierté pour moi. C'est dans l'optique de me préparer au mieux que j'avais demandé à mes dirigeants à Rennes de pouvoir jouer avec l'équipe réserve, vu que l'on ne m'a pas donné cette saison la possibilité d'être avec l'équipe de Ligue 1.

Comment expliquez-vous votre rétrogradation de premier à quatrième gardien entre la saison passée et l'actuelle ?
Difficile pour moi de donner une explication. Je peux juste dire qu'en fin de saison dernière j'ai parlé avec notre directeur technique (Florian Maurice) et notre coach (Bruno Genesio), qui m'ont communiqué leur décision de prendre un nouveau gardien titulaire. Ils m'ont dit : "Si tu restes à Rennes, tu seras le troisième gardien." Puis un gardien est recruté (Steve Mandanda). Et là, on me dit que je ne fais plus partie du projet rennais et que je dois partir.

Fin juin, Florian Maurice nous indiquait : "L'idée est de trouver un autre gardien et la meilleure solution pour Gomis"...
Eh bien, si l'on est arrivé à cette situation, cela veut dire que la meilleure solution pour moi n'a pas été cherchée ni trouvée ! Mon agent est en relation avec lui pour voir comment les choses peuvent évoluer. Mais je constate juste que, sans qu'il y ait eu de fracture, de rupture, je me trouve écarté du projet du club. Je continue à m'entraîner tous les jours avec l'équipe et l'entraîneur des gardiens travaille avec moi très professionnellement. Rien à dire là-dessus.

"Je me retrouve dans une situation qui, d'ordinaire, est celle d'un joueur qui crée des problèmes, divise un vestiaire"

Quelle a été la réaction du club à votre convocation pour le Mondial ?
Les responsables étaient sincèrement contents. Cela peut faire sourire parce que l'on m'a mis dans une situation où je risquais de perdre ma place en équipe nationale. Quelqu'un a sûrement dit : on n'a plus besoin de Gomis. Je ne plaisais plus, je ne faisais plus l'affaire, alors que tout s'est bien passé pendant pratiquement deux ans.

Au cours de la saison dernière, vous a-t-on préparé à cette décision ?
Absolument pas. J'étais et je suis toujours en bons rapports avec l'équipe, notre entraîneur, notre directeur sportif, notre président, Olivier Cloarec. Mais j'ai vraiment de quoi me poser des questions. Je me retrouve dans une situation qui, d'ordinaire, est celle d'un joueur qui crée des problèmes, divise un vestiaire, etc. Mes dirigeants ont toujours dit que je n'étais pas un joueur qui faisait des histoires. J'ai toujours pensé au collectif, alors que, par exemple, j'aurais pu émettre des remarques sur la méthodologie d'entraînement des gardiens. Mais je ne voulais pas créer de problèmes dans le vestiaire. J'ai préféré attendre la fin de saison pour leur dire tout ça. J'aurais peut-être dû me manifester plus tôt.

"Lorsqu'on évalue un joueur, il faut le faire dans la globalité. Victoires et défaites sont le résultat d'un ensemble, d'un collectif"

Pensez-vous avoir payé des prestations insuffisantes ?
J'ai sûrement fait des erreurs comme j'ai aussi fait de bonnes choses. Mais lorsqu'on évalue un joueur, il faut le faire dans la globalité. Victoires et défaites sont le résultat d'un ensemble, d'un collectif. Sur la saison 2021-2022, j'ai, dans la première partie, pu bénéficier d'une grande continuité, avec des résultats positifs pour l'équipe. Avec la nouvelle année, cela a été plus compliqué. Entre le Covid, mon départ pour la CAN, ma fracture à un doigt, j'ai été indisponible à plusieurs reprises.

Mais vous disputez les trois dernières journées, décisives pour l'Europe.
Après coup, certains pourraient dire : il aurait dû attendre. Mais je ne pense pas de cette manière. J'étais prêt à rejouer, je n'avais plus de douleur au doigt. Je ne regrette absolument pas. Même si quelqu'un, apparemment, a jugé, en faisant le bilan de ces trois matches, que je ne méritais plus de faire partie du projet. Sachant que dans ces trois rencontres, il y a eu la victoire (2-0) face à l'OM, où l'on m'a crédité d'un bon match, cela veut dire que l'on m'a écarté en se basant sur la défaite à Nantes (2-1, 36e journée) et le match nul à Lille (2-2, 38e journée). Alors que l'on avait atteint l'objectif européen fixé.

Vous êtes sous contrat jusqu'en 2025. Comment sortir de l'impasse ?
Là, je suis entièrement immergé dans l'aventure du Sénégal. Et je laisse travailler mon agent. Mais je suis un gardien de 29 ans et cette situation est vraiment compliquée. Elle est d'autant plus incompréhensible qu'il me reste trois ans de contrat et que ce n'est bénéfique ni pour moi ni pour le club d'être mis aux oubliettes. À moins de vouloir jeter l'argent par les fenêtres."

Programmation TV exceptionnelle, J16 et J17

En accord avec Prime Video et Canal+, diffuseurs officiels de la Ligue 1 Uber Eats, les 16ème et 17ème journées de Ligue 1 Uber Eats, qui marqueront la reprise du championnat durant les fêtes, feront l’objet d’un dispositif exceptionnel.
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16ème JOURNÉE DE LIGUE 1 UBER EATS

Mercredi 28 décembre 2022

• 2 matchs à 15h00 sur Prime Video

• 1 match à 17h00 sur Prime Video

• 1 match à 19h00 sur Prime Video

• 2 matchs à 21h00 : 1 match sur Canal+ et 1 match sur Prime Video

Jeudi 29 décembre 2022

• 1 match à 17h00 sur Prime Video

• 1 match à 19h00 sur Prime Video

• 2 matchs à 21h00 : 1 match sur Canal+ et 1 match sur Prime Video

17ème JOURNÉE DE LIGUE 1 UBER EATS

Dimanche 1er janvier 2023

• 4 matchs à 15h00 sur Prime Video

• 1 match à 17h05 sur Canal+

• 1 match à 20h45 sur Prime Video

Lundi 2 janvier 2023

• 1 match à 15h00 sur Prime Video

• 1 match à 17h00 sur Prime Video

• 1 match à 19h00 sur Prime Video

• 1 match à 21h00 sur Canal+

Le programme complet de la trêve

Le Stade Rennais n’a plus de match officiel à disputer avant le 28 décembre. Cette trêve aura une influence forte sur la suite de la saison. Il faut donc la gérer au mieux. Voici le programme complet.

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La Ligue 1 s’apprête à traverser une période qu’elle n’a jamais connue, avec cette trêve forcée du 14 novembre au 28 décembre, Coupe du monde oblige. Le Stade Rennais n’échappe pas à la règle et à l’inconnu, il faut arriver à tirer le meilleur. C’est en ce sens que les Rouge et Noir ont établi leur programme pour les six prochaines semaines.

D’abord, des vacances

Les joueurs rennais vont pouvoir profiter avant toute chose de plusieurs jours de congé. Loin d’être inutile à la vue de l’énergie déployée pendant quatre mois. Les plus chanceux coupent deux semaines et demie, jusqu’au 30 novembre. Il s’agit de Romain Salin, Lorenz Assignon, Xeka, Benjamin Bourigeaud, Flavien Tait et Martin Terrier.

Pour ceux qui sont internationaux mais ne participent pas à la Coupe du monde, il faut patienter jusqu’à la fin de la semaine pour avoir des congés, après les matches avec leurs nations respectives. Ceux-là reprendront l’entraînement en différé, à partir du 5 décembre (Alemdar, Meling, Traoré, Belocian, Truffert, Désiré Doué, Ugochukwu, Gouiri, Kalimuendo, Abline)

Du côté des mondialistes (Mandanda, Gomis, Wooh, Theate, Rodon, Majer, Sulemana, Doku), le retour sera progressif en fonction du parcours réalisé au Qatar.

Un stage au Portugal

Comme la plupart des clubs, le SRFC a fait le choix d’un stage au sud de l’Europe, là où le climat est plus tempéré à cette période de l’année. Il rejoindra Faro (Portugal) à partir du 9 décembre, jusqu’au 16. Hébergés dans le luxueux hôtel Wyndham, les Rennais effectueront leur préparation dans un centre dédié à la haute performance, Quinta do Lago.

Ils ont privatisé le terrain d’entraînement, la salle de musculation et la partie balnéothérapie. Là-bas, ils disputeront deux matches amicaux face à de bonnes équipes européennes : le Celtic Glasgow, samedi 10 décembre (premier du championnat écossais), et le Feyenoord Rotterdam (premier du championnat néerlandais), vendredi 16.

Un temps fort de la trêve. "On va faire une deuxième préparation avec des retours échelonnés. Il y a de très bonnes installations, c’est important de casser la routine, se retrouver entre nous", livre Bruno Genesio.

Journées des abonnés et amical au Roazhon Park

Les Rennais seront de retour à Rennes vendredi 16 décembre au soir. Ils concluront leur préparation par un match face à Angers, mercredi 21 décembre au Roazhon Park. Cette rencontre sera le point final des journées des abonnés, qui auront lieu du 16 au 21, avec notamment un entraînement ouvert au public, des visites du stade et de la nouvelle Galerie des légendes.

Le championnat reprendra le 28 ou 29 décembre par un déplacement à Reims. On peut imaginer que durant toute cette période, le staff, comme il a l’habitude de le faire, adaptera la préparation des joueurs au cas par cas. Si elle comporte son lot d’incertitudes, cette trêve devrait permettre à un joueur de retour de blessure comme Warmed Omari de rentrer petit à petit dans le rythme. Et au staff de continuer à travailler les automatismes, ce qu’il n’a pas pu vraiment faire lors des quatre premiers mois intenses de compétition. "Pour moi, c’est une deuxième saison qui débute le 28 décembre, ajoute le coach rennais. On est content aujourd’hui, mais on part complètement dans l’inconnu."

S.G.S.B.

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