Eduardo Camavinga et Didier Deschamps auraient eu un échange houleux après le match nul entre l’équipe de France et la Pologne (1-1) lundi soir.

L’atmosphère se tend au sein du groupe France… Après avoir débuté l’Euro 2024 par un succès face à l’Autriche, les Bleus ont enchaîné deux matches de nuls de rang, contre les Pays-Bas (0-0) et la Pologne (1-1), terminant ainsi deuxièmes de leur poule. De quoi faire naître des tensions au sein des membres de l’équipe de France.

Au sortir du match nul face à la Pologne, Didier Deschamps est apparu particulièrement agacé contre les remplaçants entrés en cours de match. Le sélectionneur tricolore leur a notamment reproché leur manque d’impact. "Certains noteront que du banc, on ne fait pas beaucoup la différence", avait-il d’ailleurs déclaré après la rencontre.

Deschamps s’en est pris durement à Camavinga
"DD" s’en serait également pris personnellement à Eduardo Camavinga, qui a fait son entrée sur la pelouse de Dortmund à l’heure de jeu, rapporte le quotidien L’Equipe. L’ancien coach de l’OM aurait intercepté le milieu de terrain madrilène au moment où les Bleus allaient saluer le public tricolore après le match. Le ton serait alors monté, le sélectionneur reprochant à son joueur ses glissades et son faible impact sur le jeu.

Les prestations décevantes des Bleus depuis le début de l’Euro sont manifestement en train de faire naître des tensions au sein du groupe. Les cadres de cette équipe de France que sont Olivier Giroud et Antoine Griezmann, tous deux remplaçants face aux Polonais, auraient également eu des différents avec le sélectionneur. Une ambiance pas idéale pour préparer le huitième de finale face à la Belgique, lundi (18 heures).

Un nouveau renfort d’expérience pour le Clermont Foot, relégué en Ligue 2 ! Ce vendredi, le club auvergnat a annoncé la signature jusqu’en 2025 de Damien Da Silva. Le défenseur central de 36 ans revient de deux années en Australie, où il a porté les couleurs du Melbourne Victory.

L’ancien joueur de Rennes revient en terrain connu, puisqu’il avait déjà porté le maillot du CF63 lors de la saison 2013-2014 avant de s’envoler pour Caen et de faire de longues saisons en Ligue 1 en Normandie, en Bretagne puis chez les Gones. Il vient remplacer l’emblématique Florent Ogier, en fin de contrat et dont le départ a déjà été annoncé par Clermont.

Passé par le Stade rennais entre 2013 et 2016, le Polonais Kamil Grosicki (94 sélections, 17 buts) a annoncé ce lundi qu'il prendrait sa retraite internationale après le match face aux Bleus, mardi.

À la veille de France-Pologne, le Polonais Kamil Grosicki a annoncé sa retraite internationale à l'issue de l'Euro, après 94 sélections et 17 réalisations. La Pologne étant déjà éliminée, la rencontre de mardi sera donc la dernière avec son pays pour l'ancien ailier de Rennes, entre 2013 et 2016.

« Aujourd'hui, lors de l'entraînement, j'ai informé le coach Michal Probierz et toute l'équipe qu'à la fin du tournoi, je mettrai fin à ma carrière internationale », a annoncé sur Instagram le joueur du Pogon Szczecin (D1 polonaise), avec qui il a inscrit 13 buts et 10 passes décisives la saison passée.

« Jouer avec un aigle sur la poitrine, représenter son pays est le plus grand bonheur et honneur. Pendant seize ans, performer en équipe nationale a été la chose la plus importante pour moi. » Entré en cours de jeu face à l'Autriche, il devrait également prendre part à la rencontre face au Bleus ce mardi.

En fin de contrat à Clermont, Medhi Zeffane ne cache pas son envie de rester en Ligue 1.

Après avoir connu des moments difficiles, Medhi Zeffane s'est bien relancé du côté de Clermont. Le Latéral algérien n'a pu empêcher la relégation du club auvergnat mais il a disputé 23 matches (1 passe décisive).

Je reste ouvert à tout
Un temps pisté par le FC Nantes, l'ancien joueur de l'OL et de Rennes a évoqué son avenir dans un entretien à Foot Mercato. "J’ai déjà été sans club, je n’ai pas envie de revivre ça une deuxième fois, a-t-il expliqué. Je suis en fin de contrat, je vais quitter le club. Je ne peux pas me permettre de fermer des portes. Je serais tout aussi heureux de rester en Ligue 1 que de relever un défi à l’étranger. Je suis très attentif à ce qui se fait dans le Golfe. Il y a des championnats de plus en plus attractifs, ça donne envie. Mais je reste ouvert à tout."

L’ancien entraîneur du Stade Rennais (2021-2023), Bruno Genesio a été nommé, ce mercredi, entraîneur de Lille en remplacement de Paulo Fonseca, a annoncé le club nordiste dans un communiqué.

A 57 ans, l‘ancien entraîneur de Rennes et de Lyon « a paraphé un contrat de deux ans », a précisé le Losc. Fonseca, qui a dirigé l’équipe lilloise pendant deux saisons, est pressenti au Milan AC, selon plusieurs médias.

Les deux anciens gardiens de but du Stade Rennais, Christophe Revel et Benoit Costil, ont pris officiellement en main le club de National 3. La première ambition est de remettre le Voc sur les rails.

« Le Vannes OC est une Ferrari qui n’a plus que 20 € à mettre dans l’essence. » Dans la présentation du projet qu’il a pour le club, Christophe Revel, le nouveau président, n’a pas vendu du rêve mais fait un constat sans appel de la situation du club qui s’est maintenu de justesse en National 3.

« Depuis un mois, j’ai appelé tout le monde, fait le bilan, pris le pouls et mon constat est que c’est un vieux club. Et il y a des problèmes. » Et de les énumérer : Financièrement : « on doit rembourser le PGE, l’Urssaf et à la banque. » Sportivement : « le maintien en N3 est miraculeux, la jeunesse est en berne et beaucoup se moquent de nous. » Socialement : « c’est un club divisé, ça fracasse dans tous les sens et j’ai été surpris de le trouver dans cet état. »

Pourquoi est-il venu ? « J’aime le Voc, j’y suis resté 5 ans, Benoît (Costil) habite maintenant Carnac, il connaît la région. On va mettre une organisation en place car on n’aura pas besoin d’être là toute la journée. »

Il est revenu sur le départ de la Rabine : « Qu’est-ce qu’un club de N3 va faire à la Rabine ? La mairie s’est engagée à faire des travaux (1 M€ va être investi). On va mettre une organisation en place car on n’a pas besoin d’être là toute la journée. »

L’objectif ? « On veut faire de Vannes un des meilleurs clubs amateurs de la région, poursuit Revel. On ne luttera jamais face à Lorient, Brest, Guingamp, Rennes mais on veut développer des compétences avec ces clubs-là. Il y a un potentiel ici et je veux rendre au Voc ce qu’il m’a donné. »

Pas d’argent, mais de l’énergie positive
Jean-François Creachadec, (ancien directeur du Stade Rennais et nouveau trésorier du club) et déjà passé ici il y a cinq ans, a donné les premières perspectives financières. « J’avais fait le constat à l’époque que le club vivait au-dessus de ses moyens. Je fais le même aujourd’hui. Mais on ne veut plus aujourd’hui construire un club professionnel. Il faut réduire la masse salariale, notamment sur l’équipe de N3 et on ne paiera pas avec les indemnités kilométriques car c’est illégal. »

Christophe Revel et Benoît Costil, secrétaire, ne vont pas investir d’argent personnel. « Le club doit d’abord mieux fonctionner, mieux dépenser et gagner plus. Ensuite, on pourra investir. Cela prendra du temps, il y aura encore des difficultés la saison prochaine. » Dans la nouvelle équipe, on trouve également Fabrice Devillers (ancien du Stade Rennais et du FC Lorient), sera chargé d’amener de nouveaux sponsors, Gaëlle Favennec sera en charge du projet social et Jacques Gabillet, fils de l’ancien président, sera référent de la section féminine. Enfin Pierre Ruello, fils de René Ruello, ancien président du Stade Rennais, « mais qui a grandi derrière la Rabine, sera chargé de développer la marque Voc ». Sylvain Didot et Yohann Guillouche s’occuperont de l’équipe première.

Pas de miracle donc mais une volonté de ramener de la vie et de l’énergie dans ce club. « On a besoin de toutes les énergies positives. »

Benoit Costil, ancien gardien international tricolore, passé notamment par le Stade Rennais et Bordeaux, est de retour au Vannes OC (National 3), en tant que secrétaire du club où il a évolué en 2008-2009.

Benoit Costil, ancien gardien international tricolore, passé notamment par le Stade Rennais et Bordeaux, est de retour au Vannes OC (National 3), en tant que secrétaire du club où il a évolué en 2008-2009.

Benoît, votre engagement au Voc signifie-t-il la fin de votre carrière ?

Je ne dis pas ça. Pour l’heure, je ne m’interdis rien et je ne sais pas encore si j’ai envie de totalement arrêter ou si je peux repartir sur un nouveau projet. Ce qui est sûr, c’est que je quitte Salernitana (Série A Italienne) où j’ai évolué cette saison. Il y a eu Auxerre, Lille et Salernitana ces trois dernières saisons et j’ai besoin de me poser. Je suis revenu habiter à Carnac depuis peu et ce sera chez moi désormais.

Pourquoi vous investir au Vannes OC ?

Il y a un côté sentimental, ça a été un coup de cœur de venir ici, je suis amoureux de ce département, de la région et de ce club. Tous les projets qui m’ont bercé sont ceux où je me suis bien senti en tant qu’homme. Je serai en charge de l’événementiel.

Cela signifie quoi dans un club de N3 ?

Remettre de la vie. J’aime qu’il y ait des sourires, qu’on perde ou qu’on gagne mais il faut passer de bons moments. Ce sera des choses simples. Quand j’étais petit au SM Caen, il y avait la fête de l’école de foot en septembre. Il y en aura une dès septembre au Voc. Même chose pour Noël. On veut faire revivre le foyer aussi, amener de l’échange avec les parents, les licenciés, les bénévoles. Si je suis venu, c’est par amour de ce club, je n’ai pas d’autres intérêts. Je suis un bosseur, c’est grâce au travail que j’ai pu réussir la carrière que j’ai faite mais j’aime aussi que ça se fasse avec le sourire.

Le Sénégalais a publié, puis supprimé dans la foulée, une story Instagram dans laquelle il annonçait sa retraite professionnelle.

Depuis son départ de Rennes en 2020, Mbaye Niang a beaucoup voyagé et fait actuellement le bonheur d'Empoli, pensionnaire de Série A. Le Sénégalais a d'ailleurs été le héros de son club, puisque ce dernier a permis à Empoli de se maintenir, en inscrivant un but dans les dernières secondes de la dernière journée de championnat, face à l'AS Rome (2-1). Quelques jours après cet exploit, l'international sénégalais aux vingt-trois sélections a posté une story Instagram énigmatique, dans laquelle le joueur a annoncé qu'il mettait un terme à sa carrière de footballeur professionnel. Niang a ensuite supprimé sa story quelques minutes après l'avoir publiée, ce qui a beaucoup fait réagir.

Au lendemain de la relégation de Metz en Ligue 2, le RC Lens a officialisé dans un communiqué la nomination de Pierre Dréossi au poste de directeur général.

Directeur du football à Metz jusqu’à hier, Pierre Dréossi est le nouveau directeur général du RC Lens, où il va succéder à Arnaud Pouille. Une officialisation au lendemain de la relégation de Metz en Ligue 2 à l’issue du barrage à rebondissements contre Saint-Etienne. Le RC Lens annonce par ailleurs que Jean-Louis Leca accompagnera Pierre Dréossi en tant que coordinateur sportif des Sang et Or. « Dirigeant d’expérience, doté d’un rare profil de bâtisseur, Pierre Dréossi rejoint le Racing en qualité de Directeur général.

Après une riche carrière de joueur professionnel (plus de 450 matchs à son actif en Division 1) le natif de Roubaix s’est illustré dans des fonctions exécutives qu’il exerce depuis près de 30 ans. Homme de base du Stade Rennais FC pendant onze saisons (2002-2013), un club dont il a été notamment Manager général, Pierre Dréossi a occupé des fonctions dirigeantes au Paris FC (Manager général) et récemment au FC Metz (Directeur du football).

Dans l’Artois, en relais du Président Oughourlian, il managera le club avec une forte tonalité sportive et une ambition de rationalisation de ses moyens. Pour étoffer ce secteur clé et aider Pierre Dréossi dans son action, le Racing a le plaisir d’annoncer la nomination de Jean-Louis Leca dans un rôle de coordinateur sportif » peut-on ainsi lire sur le site officiel du RC Lens.

En fin de contrat avec le Stade rennais, José Capon s'est engagé pour Charleroi, en Belgique.

Nouvelle aventure pour José Capon. Arrivé en cours de saison il y a un an et demi, l’attaquant évoluait avec le groupe pro 2 du Stade rennais, ayant signé l’été dernier un contrat pro d’un an avec le SRFC. Celui-ci n’a pas été renouvelé à l’issue de la saison, et Capon était laissé libre par le club breton. Il retrouve un nouveau challenge à Charleroi, en Belgique.