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Les Derbies Bretons de la saison 2020/2021

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Après la nationalité française, Eduardo Camavinga a obtenu son bac

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La jeune pépite du Stade Rennais Eduardo Camavinga est officiellement bachelier. Le milieu âgé de 17 ans est actuellement en stage à Dinard avec ses partenaires du Stade Rennais.

Eduardo Camavinga est officiellement bachelier. Le milieu du Stade Rennais a pu voir son nom sur les listes des admis, alors que les résultats sont tombés ce mardi. Alors qu’il aura 18 ans en novembre prochain, le voici désormais titulaire d’un bac économique et sociale.

Le joueur a fêté cette nouvelle dans le car, avec ses coéquipiers. Actuellement à Dinard pour un stage, il prépare activement la saison avec le club breton, dans lequel il va, selon son président Nicolas Holveck, rester la saison prochaine. Courtisé par de nombreuses équipes, dont le Real Madrid, il avait affirmé, dans un entretien donné à Ouest-France , qu’il se sentait bien à Rennes. Il pourrait donc découvrir la Ligue des champions avec le SRFC à l’automne prochain.

Nicolas Holveck : "Des pertes (liées au Covid) de l’ordre de 20 millions d’euros"

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Invité de l’émission Pleine Lucarne ce mercredi 1er juillet, Nicolas Holveck n’a esquivé aucune question. Le président du Stade Rennais chiffre les pertes financières, liées au Covid-19, à 20 millions d’euros. S’il dit se préparer à en subir de nouvelles la saison prochaine, il ne cache pas que les signes sont plus positifs qu’ils n’étaient imaginés. Avec des partenaires au rendez-vous, déjà plus de 5 000 abonnés et un fonctionnement interne qui lui correspond.

Nicolas Holveck n’a esquivé aucune question. Sa fonction présidentielle, la nouvelle organisation aux commandes, le Roazhon Park, la réalité du marché des transferts, qui sera fermé en France du 10 juillet au 10 août, la stratégie du recrutement… Sur le plateau de Pleine Lucarne, l’émission réalisée en partenariat avec Ouest-France et TV Rennes, le président du Stade Rennais a joué franc jeu, laissant par ailleurs entendre que la crise du Covid-19 a généré des pertes de chiffre d’affaires estimées à 20 millions d’euros et qu’il se prépare à en subir de nouvelles la saison prochaine. L’ancien directeur général adjoint de l’AS Monaco se dit toutefois confiant et optimiste quant à la dynamique du club, structuré, ambitieux et attractif.

Le nouveau maillot sera présenté le 16 juillet, Nicolas Holveck entretient le mystère

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Le maillot domicile du Stade Rennais pour la saison 2020-2021 sera dévoilé le jeudi 16 juillet prochain, date à laquelle les Rouge et Noir accueillent Châteauroux en match amical. Sur le plateau de Pleine Lucarne, le président Nicolas Holveck s’est fendu d’un indice autour de sa conception. « Il fera référence à une personne qui a marqué l’histoire de Rennes et du Stade Rennais », a-t-il dévoilé.

Il est chaque année attendu par les supporters du Stade Rennais. Souvent présenté lors de la dernière journée de championnat au Roazhon Park. Contexte oblige, avec une fin de saison brutale après une dernière victoire sous forme de démonstration face à Montpellier (5-0) le 8 mars dernier, le nouveau maillot (2020-2021) ne sera présenté que le jeudi 16 juillet prochain, date à laquelle les Rouge et Noir accueillent Châteauroux à la Piverdière à l’occasion d’un match amical.

Sur le plateau de l’émission Pleine Lucarne, dont il était l’invité ce mercredi, le président Nicolas Holveck s’est fendu d’un indice quant à la tenue domicile. « Il fera référence à une personne qui a marqué l’histoire de Rennes et du Stade Rennais », a-t-il laissé entendre. Une révélation qui entretient le mystère et qui alimente la curiosité des supporters. Quant au troisième maillot et celui extérieur ? « La suite plus tard… Il faut être un petit peu patient », a conclu Nicolas Holveck.

Le Stade Rennais va bien rester à la Piverdière

DS 0004

Le président du Stade Rennais Nicolas Holveck a confirmé, ce mercredi 1er juillet 2020, que le club gardera son centre d’entraînement à la Piverdière et le réaménagera complètement, théoriquement fin 2021.

Invité de l’émission Pleine Lucarne, réalisée en partenariat entre Ouest-France et TV Rennes, le nouveau président du Stade Rennais Nicolas Holveck (49 ans) a évoqué, ce mercredi 1er juillet 2020, le centre d’entraînement et livré une information conséquente : Le projet Piverdière 2 a été relancé, on va bientôt lancer le concours d’architectes. Le projet est complètement sur les rails, avec des objectifs assez importants puisqu’on va regrouper tous les sites. Le centre de formation sera la priorité et va venir à la Piverdière. On veut conserver surtout l’esprit du site, avec beaucoup d’espaces verts.

Un projet à destination des Rennais
Alors que certains sont inquiets d’une bétonnisation du site – une pétition a même été lancée – Nicolas Holveck s’est voulu rassurant : « Ce n’est pas du tout l’objet. Vous pouvez faire confiance à l’actionnaire pour avoir un projet qui se fond complètement dans l’environnement, un projet qui soit à destination aussi des Rennais, qui deviennent peut-être un lieu où les Rennais pourraient venir le week-end pour faire un peu d’activité physique. Ce sera un lieu qui sera fermé, bien sûr, sur sa partie centrale, mais ouvert en périphérie. Les gens auront l’impression de rentrer un peu dans le saint du Stade Rennais.

"Plus question de quitter la métropole, comme cela avait été envisagé un temps par Olivier Létang, à l’origine d’une vive polémique ? Non, le projet est à la Piverdière. L’objectif serait de commencer les travaux en fin d’année prochaine sur deux ans à deux ans et demi de travaux.La partie actuelle des bureaux serait détruite et reconstruite pour avoir l’hébergement, la restauration et l’école. Les bureaux seraient hébergés dans un nouveau bâtiment. On passerait de 12 hectares à 20 hectares, soit 8 de plus. Avec des terrains en plus. C’est un site fantastique, exceptionnel. Et l’on conservera le chemin qui traverse la Piverdière de part et d’autre, les gens auront vraiment l’impression d’être dans le centre de performance du Stade Rennais. » Et le boss des Rouge et Noir d’ajouter : « J’ai eu la chance de faire une visioconférence avec Nathalie Appéré pendant le confinement et on doit se voir la semaine prochaine, normalement."

À Rennes, l'objectif est d'avoir "une équipe féminine, et vite" selon Holveck

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Invité de l'émission "Pleine Lucarne" sur TV Rennes, le président du Stade Rennais Nicolas Holveck a affirmé que la création d'une équipe féminine était un objectif pour le club breton.

Le Stade Rennais va désormais avoir sa section féminine ! "Je peux vous dire que, dans le projet de la Piverdière (le centre d'entraînement du Stade Rennais, ndlr), la place est réservée pour le football féminin" a déclaré le président du Stade Rennais dans l'émission "Pleine lucarne" sur TV Rennes. "C'est un sujet de réflexion important au club en ce moment. On va sûrement commencer par l'école de foot parce que c'est la base de la pyramide. On réfléchit justement à créer une école de foot féminin et nos missions, à terme, c'est d'avoir une équipe féminine, et vite. Je ne sais pas si on ira vers la première division. En tout cas, on va créer ce département féminin et on va le développer."

Le délai encore un peu flou
Interrogé sur le délai "de 4/5 ans", pour la mise en place d'une telle équipe féminine, M. Holveck a répondu qu'à la Piverdière "il faudra bien qu'on occupe l'emplacement qui est réservé pour l'équipe féminine. Donc, je pense que peut-être, même à plus court terme, on aura créé la section. Ce sont des choses qui se construisent dans le temps et qui ne sont pas si simples que ça à établir", a-t-il complété, en référence au fait que le club ne dispose pas encore d'une telle équipe.

Interrogé sur le fait qu'une équipe féminine puisse devenir obligatoire pour les clubs professionnels, M. Holveck a répondu : "C'était une question il y a quatre ou cinq ans, mais vous ne pouvez pas imposer à un club d'avoir une section féminine. Je pense même que ce serait mal venu d'imposer une section féminine. Ça doit être une volonté, ça doit être un souhait des clubs. Mais aujourd'hui je crois que, pour tout le développement des clubs professionnels, le football féminin est vraiment un élément important. Il y a une dimension sociale très forte. Et pourquoi les petites filles ne viendraient pas jouer au foot au Stade Rennais, avec demain une équipe élite au sein du club ? C'est l'avenir", a-t-il affirmé.

La Coupe de France va changer de nom

En marge de la finale PSG-Reims ce samedi soir (21h), la FFF a conclu un accord avec le Crédit Agricole pour le naming de la Coupe de France sur les trois prochaines saisons.
La Coupe de France va changer de nom

Alors que son épilogue oppose le PSG et Reims ce samedi soir (21h, en direct commenté) au Stade de France, la Coupe de France s'apprête à changer de nom dès la saison prochaine. En marge de la finale de ce cru 2024-2025, le président de la Fédération française de football Philippe Diallo signera un accord avec le Crédit Agricole pour le naming de la compétition masculine jusqu'en 2028.

Elle prendra le nom de Coupe de France Crédit Agricole pour les trois prochaines saisons, moyennant un engagement financier de "plus de 10 M€" sur l'ensemble du contrat. "C'est un accord économique de très bonne qualité pour la Fédération, ne cache pas son patron. Avec l'équipe de France A, la Coupe de France est le deuxième poumon économique de la FFF. Notre football, qui traverse une crise, conserve son pouvoir d'attraction. C'est très positif pour l'avenir." En élargissant son partenariat vieux de 51 ans, le Crédit Agricole se hisse au niveau de Nike parmi les principaux partenaires fédéraux.

Pour la Fédération, voilà un apport financier bienvenu alors que le dernier appel d'offres pour la diffusion télé de l'épreuve avait trouvé preneur pour à peine plus de 16 M€ annuels (avec France Télévisions et beIN Sports), contre 23,5 M€ sur le précédent cycle. La situation avait contraint la FFF à réduire nettement les dotations attribuées aux clubs engagés. "Dès la saison prochaine, nous allons pouvoir réfléchir aux dotations des années futures", ouvre le président. Un nouvel appel d'offres sera aussi lancé cet automne alors que les contrats de diffusion avec France Télé et beIN s'achèveront le 30 juin 2026.

"J'ai bien conscience du patrimoine que représente la Coupe de France, on ne peut pas faire n'importe quoi"

Philippe Diallo, président de la FFF

Un namer sera aussi recherché pour la Coupe de France féminine et Philippe Diallo ne cache pas son espoir de poursuivre la revalorisation d'une compétition qu'il estime sur une excellente dynamique. "Les indicateurs d'attractivité sont au vert. On a cumulé plus de 20 millions de téléspectateurs avant la finale. France Télévisions a fait plus de 3 millions pour la demi-finale Dunkerque-PSG (2-4). De son côté, beIN a fait son record historique, près de 900 000 téléspectateurs, pour Lens-PSG (en 32es, 1-1, 3-4 aux t.a.b.). C'est mieux que la Liga ou que les matches de Ligue 1."

Interrogé sur le risque pris en accolant une marque à la plus vieille compétition du football français (première coupe décernée en 1918), Philippe Diallo tempère. "J'ai bien conscience du patrimoine que représente la Coupe de France, on ne peut pas faire n'importe quoi. Il fallait un partenaire qui corresponde à nos valeurs. Le Crédit Agricole est un partenaire historique avec une très forte légitimité dans le football. C'est une banque très investie dans les territoires, présente partout et qui correspond parfaitement à la géographie de nos clubs. Il cochait toutes les cases pour devenir le namer de l'épreuve." S'appuyant sur l'existence de naming de coupes nationales ailleurs en Europe, la FFF voit dans cet accord "une forme de modernité".

On ne peut pas cracher sur le maillot

Après la piteuse élimination du Stade Rennais à Troyes, en 16es de finale de Coupe de France (1-0), le président a souhaité prendre la parole, en exclusivité pour Ouest-France.

On ne peut pas cracher sur le maillot

Arnaud Pouille a livré sa façon de penser, conscient de la situation préoccupante dans laquelle se trouve le club. Il a aussi eu des mots forts devant les joueurs ce jeudi 16 janvier, et annonce des sanctions à venir à l’encontre de certains d’entre eux.

Arnaud Pouille a préféré laisser passer 24 heures avant de s’exprimer face à la presse. Le président du Stade Rennais n’a pas du tout goûté la piteuse élimination en Coupe de France, mercredi 15 janvier à Troyes (1-0). Au retour à la Piverdière ce jeudi, et après avoir échangé avec le directeur sportif Frederic Massara et l’entraîneur Jorge Sampaoli, il a pris la parole devant les joueurs. L’occasion de leur dire sa façon de penser et de tirer la sonnette d’alarme.

Puis, en fin d’après-midi, il s’est posé en exclusivité pour Ouest-France. Dans son survêtement du club, les mains croisées, le regard noir. Et avec de nombreux messages à faire passer, alors que selon nos informations, 4 joueurs de l’effectif (Gallon, Santamaria, Gronbaek et Kamara) ont été priés de s’entraîner pour l’instant à l’écart du groupe…

Arnaud Pouille, qu’avez-vous dit aux joueurs après la défaite à Troyes ?

Hier soir (mercredi), contrairement à Auxerre où il y avait eu une première vague de honte et où l’émotion était restée dans le vestiaire, j’ai fait un point sur la situation avec Jorge (Sampaoli) et Frederic (Massara). On est dans une situation largement inacceptable, et il faut que l’on prenne le taureau par les cornes rapidement. On ne peut pas se satisfaire de ce que l’on voit.

Au-delà du résultat, il y a des choses qui se voient à l’œil nu. Il suffit de regarder les retours (défensifs) des joueurs parfois. Ou quand le ballon est au milieu de trois joueurs, il ne faut surtout pas le prendre et le laisser aux copains… Ce sont quand même des révélateurs d’une certaine distance par rapport à ce que doit être le Stade Rennais. Bien entendu, les résultats pèsent, mais c’est surtout le fait de voir un manque d’état d’esprit collectif, qui est la base du foot. Si vous ne courez pas, avec ou sans ballon, vous ne pouvez rien espérer.

Chaque saison est une aventure, mais celle-ci est vraiment merdique à l’heure actuelle

Ensuite, je sais que les médias et une partie des supporters le regrettent, mais mon mode opératoire, c’est de dire aux gens ce que je pense d’eux avant d’aller le dire publiquement. J’ai dit aux joueurs cet après-midi ce que j’avais à dire.

Je leur ai parlé après l’entraînement pour partager ce sentiment de honte, leur dire que c’était inacceptable. Que chaque saison était une aventure, mais que celle-ci était vraiment merdique à l’heure actuelle, et qu’ils devaient en avoir conscience. Mais ils ont de la chance dans leur métier, c’est qu’il y a toujours une occasion de se refaire. Là, c’est Brest samedi, et je leur ai dit ce que j’attendais comme état d’esprit.

Comment ce groupe a-t-il pu en arriver là ?

Déjà, personne ne fuit ses responsabilités. Il y a certainement une somme d’erreurs accumulées, le principal étant pour moi qu’il faut vite que tout le monde comprenne la situation : nous sommes dans un club qui va bientôt avoir 124 ans, il y a un maillot à porter, et il ne faut pas lui cracher dessus. Je pense que les joueurs ont compris cela, et nous aussi. Je leur ai dit que c’était l’heure de la discipline et de l’effort.

On va concentrer l’effort sur ceux qui ont envie de porter le projet, pas sur ceux qui n’en ont rien à faire de l’histoire du club. Il faut des gens investis, et malheureusement, on a constaté que certains le sont moins que d’autres. On ne peut plus se disperser sur des gens qui s’en fichent d’être là ou ailleurs. Ensuite, je leur ai rappelé que dans tous les contrats, qui sont plutôt bien faits ici, il y a une prime d’éthique associée à leurs salaires, et l’éthique est rattachée au respect du club et du maillot. Cela fait douze matches que je vois. Je ne dis pas que tout est à jeter, je trouve qu’une structure était revenue, mais il faut aller au-delà et faire beaucoup plus. Ce sont les joueurs qui peuvent retourner cela. Je peux aller crier toutes les semaines dans le vestiaire, Frederic peut leur passer la pommade, Jorge peut sauter les deux pieds sur la table à la mi-temps… Mais à un moment donné, c’est sur le terrain que cela doit transpirer.

Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence…

Quand vous parlez de joueurs moins concernés, cela veut-il dire que certains seront sortis du groupe contre Brest, par exemple ?

Oui. Mais ils pourraient potentiellement être réintégrés (1)... Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence, il faut qu’ils le comprennent vite. Cela veut dire être à l’heure, respecter les obligations du club. Il y a des droits, mais aussi pas mal de devoirs. Il faut vite rebrancher les fils et arrêter de croire que c’est le Club Med ! Sinon, le club dans son ensemble va vite être rattrapé par la réalité qui est celle de la compétition. Personne ne va nous faire de cadeau. La photo, c’est que l’on est éliminé piteusement en Coupe de France, et que l’on a 17 points à la moitié du championnat, ce qui est un rythme de relégable. À eux de faire démentir les tendances.

Quels messages vous ont fait passer les actionnaires ?

Un message de confiance et d’invitation à trouver des solutions… Ils sont investis sur trois générations, tout le monde peut imaginer leur sentiment. Ce sont aussi des bâtisseurs, qui savent que des cycles négatifs peuvent exister. On ne peut pas leur reprocher de tarder dans leurs prises de décisions. Beaucoup ont été prises ces derniers mois, mais il ne faut pas rajouter de l’instabilité à l’instabilité. Jorge est le coach, il fait partie du schéma de décision, et on ne prendra pas un joueur au mercato si cela ne rentre pas dans ses critères. Frederic fait aussi partie du schéma de décision, il connaît maintenant mieux que le club qu’à son arrivée, comprend mieux ce que le territoire attend du Stade Rennais. Les décisions sont prises à trois. Quand un club est dans un moment faible, on essaye de l’enfoncer : cela fait partie des circonstances à appréhender dans un système, cela existe partout, mais cela ne doit pas nous empêcher d’avancer.

Ces trois mois de présidence ont été difficiles…

On m’a toujours appelé à des moments difficiles, dans le rugby au Stade Français, à Lens qui était 19e de Ligue 2… Ce n’est pas une situation inconnue, et dans les clubs, il y a toujours un moment d’urgence. Là, on y est. Dans la compétition, il faut aussi avoir un peu peur. Le Stade Rennais est en L1 depuis 30 ans, avec un actionnaire solide qui investit, vous vous dites que cela va le faire, mais à un moment… Il faut que la prise de conscience soit générale dans le club, être très lucide. Il faut se serrer les coudes, faire les efforts, et avancer, ce que l’on n’a pas fait lors des derniers matches.

(1) Quatre joueurs vont s’entraîner à l’écart du groupe pour l’instant : Gronbaek, Kamara, Santamaria, Gallon, selon nos informations.

Massara sort la sulfateuse après l’élimination en Coupe de France

Après l’élimination du Stade rennais face à Troyes en coupe de France, Frédéric Massara a exprimé sa déception. Il a décrit la performance de l’équipe comme « vraiment honteuse », ajoutant qu’ils ne s’y attendaient pas du tout. Le directeur a néanmoins félicité Troyes pour sa victoire.

Massara sort la sulfateuse après l’élimination en Coupe de France

Réfléchissant aux prochaines étapes, Massara a souligné la nécessité de comprendre les raisons de ces performances décevantes. Il a insisté sur l’importance de se recentrer pour améliorer la situation et de reconnaître que, pour éviter la relégation, l’équipe doit se concentrer sur son sauvetage.

Il a aussi exprimé sa gratitude envers les supporters qui continuent de soutenir l’équipe malgré ses mauvais résultats. "Je veux les remercier, et les assurer qu’on va tout faire pour que cette équipe mette un peu plus d’âme sur le terrain, plus de cœur", a-t-il déclaré.

Interrogé sur la situation actuelle, Massara a reconnu que les résultats des dernières semaines étaient insatisfaisants. Il a insisté sur la nécessité pour les joueurs de se surpasser et de se remettre en question, soulignant que cela dépasse les systèmes de jeu ou les entraîneurs.

Pour lui, la clé du succès réside dans la capacité à remporter les duels sur le terrain. S’ils commençaient par exceller dans cet aspect, ils obtiendraient de meilleurs résultats. Le directeur sportif a mis l’accent sur l’importance d’une implication totale de la part des joueurs.

L’aube du désespoir pour Rennes

Contre le quinzième de Ligue 2, ce mercredi 15 janvier, Rennes a sombré en 16es de finale de coupe de France. Contre Troyes, elle a perdu sur le score de 1 à 0. Une défaite frustrante, scandaleuse et humiliante pour le club breton, qui poursuit son début d’année 2025 catastrophique avec un troisième revers consécutive.

L’aube du désespoir pour Rennes

Coach rennais, Jorge Sampaoli avait pourtant aligné un onze compétitif avec son trio offensif Amine Gouiri, Ludovic Blas et Seko Fofana. Mais dès les premières minutes, les Rennais semblaient dans le dur. La possession de balle était bien là, mais stérile. Elle offrait aux Troyens l’occasion de se réorganiser rapidement en défense à cinq et de miser sur des contres dangereux.

Dès la 15e minute, Rennes manquait la correctionnelle, après une faute de James à l’entrée de la surface, sanctionnée d’un simple coup franc. Les vagues troyennes devenaient toutefois de plus en plus menaçantes. À la 25e minute, Rafiki Saïd obtenait un penalty suite à une main de Leo Ostigard. Heureusement pour les Rouge et Noir, Saïd ratait complètement son tir.

Malgré ce premier avertissement, Rennes n’a jamais su accélérer ni concrétiser ses rares incursions offensives. Les frappes molles de Ludovic Blas ou les tentatives hors cadre de Seko Fofana et Amine Gouiri ont illustré le manque de tranchant des Bretons. À l’inverse, les Troyens, bien plus dangereux, imposaient leur rythme sur chaque contre et rendaient les Rennais fébriles jusqu’à la pause (0-0).

Au retour des vestiaires, Rennes semblait enfin vouloir réagir. Dès la 47e minute, Amine Gouiri touchait le poteau sur une combinaison avec Blas, laissant entrevoir un léger sursaut d’orgueil. Mais c’est finalement Troyes qui frappait en premier. À la 56e minute, Rafiki Saïd, servi par Paolo Gozzi, trouvait la faille après un beau mouvement côté droit. 1—0 pour Troyes.

Dès lors, Rennes a tenté de revenir au score, mais son manque de précision et de créativité dans les 30 derniers mètres était criant. Amine Gouiri avait une nouvelle occasion en or à la 75e minute, bien servi dans la profondeur par James, mais Nicolas Lemaître, le gardien troyen, remportait son duel. Ce fut le dernier moment de véritable danger pour l’ESTAC. Troyes aurait pu alourdir la marque en fin de match sur des contres bien menés, notamment par Ibrahim Traoré, mais les frappes ont manqué de justesse.

Peu importe, le mal était déjà fait : Rennes, sans âme ni efficacité, devait quitter prématurément la coupe. Cette défaite contre une équipe de Ligue 2 est un vrai camouflet pour le Stade rennais. Le club breton semble cette saison loin de son niveau habituel. Avec trois échecs en trois matchs en 2025, Rennes inquiète. Pire encore, cette élimination laisse le SRFC avec une seule compétition à jouer pour le reste de l’année : la Ligue 1. Le derby face à Brest, samedi au Roazhon Park, et le déplacement à Monaco la semaine suivante, s’annoncent cruciaux pour les hommes de Jorge Sampaoli. Ce samedi, le Stade rennais pourrait compter sur le jeune Kader Meïté (17 ans).

Les notes de Frédo : Samba 3, Ostigard 2, Hateboér 2, Truffert 2.5, Assignon 3, Matuisiwa 3, James 3, Blas 3, Fofana 2 Gouiri 4.

C’est une honte

Le Stade Rennais a été éliminé de la Coupe de France à Troyes (1-0) dès les 16es de finale, ce mercredi 15 janvier. En conférence de presse, Diogo Meschine, l’adjoint de Jorge Sampaoli (suspendu), a livré un constat implacable sur la prestation des Rouge et Noir, transparents au stade de l’Aube.

C’est une honte

Le Stade Rennais est sorti de la Coupe de France par la petite porte dès les 16es de finale, ce mercredi 15 janvier. Auteurs d’un non-match à Troyes (Ligue 2), les Rouge et Noir ont été battus 1-0 et concèdent leur 3e défaite en autant de matches depuis le début de l’année civile. Jorge Sampaoli étant suspendu après la révocation de son sursis contre Nice, c’est son adjoint Diogo Meschine qui était à la tête du staff rennais durant la rencontre.

L’équipe a plus besoin d’amour que d’un électrochoc
Le Brésilien s’est également exprimé en conférence de presse après la rencontre, en ne mâchant pas mots quant à la prestation rennaise : "C’est une honte pour une équipe de notre calibre. On a du mal à se regarder en face, par rapport à nos supporters. Cette défaite va nous marquer. J’espère que ce qui s’est produit aujourd’hui ne se reproduira plus. Nous sommes arrivés dans une période un peu spéciale, le contexte est assez défavorable, avec 80 % de nouveaux joueurs qui doivent mûrir, mais nous n’avons pas de temps pour ça. Après, je sais que vous pourrez avoir une analyse différente… On a joué huit matches, on en a perdu cinq, c’est la réalité."

"Faire des changements pour provoquer un électrochoc ? Jorge l’a déjà dit, il a besoin de joueurs avec un certain style, de l’énergie, un caractère différent, a poursuivi Meschine. Nous n’avons pas assez d’options dans l’équipe aujourd’hui, et nous avons besoin de la développer. En ce moment, on pense que l’équipe a plus besoin d’amour que d’un électrochoc. Le mercato ? Nous donnons des profils, la direction essaie de nous aider. C’est difficile d’être dans cette position aujourd’hui pour Rennes, par rapport au statut du club, on essaye de fortifier cette équipe. On travaille chaque jour sur notre jeu, les adversaires, avec du spécifique, de la vidéo, pour que l’on s’améliore. Malgré ce contexte, il faut s’accrocher, suivre notre chemin. Je n’ai pas été surpris par cette équipe de Troyes, j’avais regardé au moins neuf matches… C’est une équipe qui a du potentiel. Ce qui m’a le plus surpris, c’est notre absence de réaction, on aurait pu encaisser un deuxième but dans ce match."

Rennes tombe à Troyes

Ce mercredi en Coupe de France, Rennes a perdu au Stade de l'Aube contre l'ESTAC (0-1).
Rennes tombe à Troyes

Du haut d'une tribune du Stade de l'Aube, Jorge Sampaoli, suspendu, a observé avec impuissance le naufrage de son équipe à Troyes, ce mercredi soir. Le Stade Rennais restait sur deux défaites en Ligue 1, englué à la 14e place après une demi-saison ratée. Le voilà éliminé de la Coupe de France après une nouvelle sortie inquiétante, battu par un Estac entreprenant.

Sampaoli avait pourtant décidé de sortir son onze type du moment et il a été bien trop timide, à l'image de l'activité d'Amine Gouiri ou des frappes molles à répétition de Seko Fofana et de Ludovic Blas. Les Troyens, eux, étaient bien organisés, défendant à cinq à la perte de balle en début de match, avec Cyriaque Irié en latéral droit de temps en temps. Mais même avec une possession limitée, les joueurs de Stéphane Dumont ont été les plus dangereux.

La revanche de Saïd

Ils ont été à deux doigts d'obtenir un penalty pour une faute de Jordan James à la limite de la surface (15e), et ils en ont bel et bien concédé un quand Leo Ostigard a fait une main sur une frappe de Rafiki Saïd (25e), mais ce dernier a totalement manqué le cadre de Brice Samba (27e). Seulement, l'ailier déroutant de Troyes a été récompensé en seconde période. Malgré une entame plus consistante de Rennes, Saïd a marqué de près sur une relance approximative de Samba, bien servi par Paolo Gozzi (1-0, 56e).

Malgré quelques occases rennaises, notamment ce un-contre-un perdu par Gouiri face à Nicolas Lemaître (76e), Troyes a mieux fini et cumulé deux balles de 2-0, hors cadre, mais peu importe : l'Estac verra les huitièmes de finale de la Coupe de France pour la première fois depuis la saison 2017-2018. F. T., à Troyes

Le Stade Rennais prend la porte dès les 16es

Sans idées et peu dangereux offensivement, le Stade Rennais a logiquement été éliminé de la Coupe de France par Troyes (L2), ce mercredi 15 janvier, en 16es de finale (1-0). Les hommes de Jorge Sampaoli enchaînent une troisième défaite de suite en 2025.

Le Stade Rennais prend la porte dès les 16es

Le Stade Rennais a-t-il touché le fond ? Cela y ressemble en tout cas. Battus par Troyes, modeste 15e de Ligue 2, en 16es de finale de la Coupe de France ce mercredi 15 janvier, les Rennais quittent déjà la compétition.

Rennes insipide, Troyes solide
Avec un onze de départ pourtant « type » avec notamment les recrues Seko Fofana et Brice Samba, le Stade Rennais se présentait en favori au Stade de l’Aube. Pourtant, la première période fut poussive avec peu d’occasions si ce n’est des tentatives de loin de Fofana et Blas (20', 32').

À l’inverse, Troyes a su se montrer piquant sur ses moindres situations. Saïd a ainsi obtenu un penalty après une belle ouverture de M’Changama, en voyant sa frappe toucher le bras d’Ostigard. Mais l’ancien Brestois n’a pas converti l’offrande en manquant assez nettement son tir au but (26').

En deuxième période, Rennes est revenu avec de meilleures intentions et il a fallu le poteau de Lemaître pour empêcher Gouiri de débloquer la rencontre. Paradoxalement, c’est après ce temps fort rennais que Troyes a trouvé la faille. Touché côté gauche, Gozzi a bien débordé avant de trouver Saïd en retrait, qui a ajusté Samba en force (1-0, 56').

Derrière, Troyes a tenu tandis que Rennes n’a jamais su faire douter son adversaire. Au coup de sifflet final, la qualification troyenne était méritée.

Les moments forts
26' : Penalty pour Troyes ! Sur une sublime ouverture de M’Changama, Saïd fixe Hateboer avant de prendre sa chance. Son tir est contré par le bras d’Ostigard. Penalty à suivre.

27' : C’est manqué par Saïd ! L’ailier troyen tente sa chance en force mais manque le cadre.

47' : Le poteau pour Gouiri ! Le ballon navigue dans la surface et arrive jusqu’à Gouiri, au point de penalty. L’attaquant ouvre son pied droit mais son tir vient mourir sur le montant gauche de Lemaître.

56' : BUT DE TROYES ! L’Estac trouve la faille. Gozzi percute sur la gauche et centre en retrait vers Saïd. L’ailier s’emmène difficilement le ballon mais conclut d’une frappe en force à bout portant.

76' : L’arrêt de Lemaître ! Gronbaek trouve Gouiri dans le dos de la défense, plein axe. L’Algérien tente le piqué mais Lemaître repousse !

82' : Traoré manque le 2-0 ! Superbe travail d’Irié qui renverse vers le jeune Traoré. Ce dernier fixe Truffert avant de croiser sa frappe du droit. Ça passe tout proche du but de Samba.

La fiche technique
Troyes : Lemaître - Mendes, Monfray (cap.), Diaz, Gozzi - Kanté, Diop, M’Changama - Irié, De Préville (Traoré, 70'), Saïd.

Stade Rennais : Samba - Hateboer, Ostigard, Wooh (Gomez, 74') - Assignon, Matusiwa, James (Ahamada, 83'), Truffert (cap.) - Blas (Meïté, 83'), Fofana (Gronbaek, 68') - Gouiri.

La réception du Stade Rennais pas à huis-clos, forte affluence attendue

Ce dimanche, les Girondins de Bordeaux (N2) recevront le Stade Rennais (L1) en 32es de finale de Coupe de France. Un match qui se disputera avec du public.

La réception du Stade Rennais pas à huis-clos, forte affluence attendue

Une bonne nouvelle pour la formation administrativement rétrogradée en National 2. Dernièrement, Bordeaux avait vu le préfet de la Gironde, Étienne Guyot, faire disputer les matchs à domicile à huis clos. Et pour cause, les tensions entre les UB87 et la North Gate n’avaient jamais été aussi fortes. Le week-end dernier, et après un nouvel épisode de violences, les UltraMarines Bordelais ont décidé d’apaiser les choses en proposant à leurs homologues de signer un "pacte de non-agression" afin de ne pas pénaliser le club au scapulaire et de continuer à pouvoir supporter ce dernier au Matmut Atlantique, ou ailleurs. Comme souligné par nos confrères de Sud-Ouest, la Préfecture a vu d’un très bon oeil cette initiative de la part du principal groupe d’Ultras Bordelais, suivie par la North Gate.

Une démarche "qui témoigne de l’engagement des signataires à modifier dans la durée les comportements irresponsables déplorés depuis le début de la saison afin de garantir une atmosphère saine, apaisée et respectueuse au sein et autour du club" selon le préfet. De ce fait, le FCGB recevra le Stade Rennais ce dimanche (14h45) avec du public, à l’occasion des 32es de finale de la Coupe de France. 19 600 spectateurs pourront garnir les tribunes des Girondins, dans un match qui devrait afficher guichets fermés.

Le match de Coupe de France à Bordeaux menacé de huis clos

Le Stade Rennais doit disputer son 32e de finale de Coupe de France à Bordeaux (N2) le dimanche 22 décembre. Mais la Préfecture de Gironde a menacé que le match se dispute à huis clos au Matmut Atlantique, si un conflit ouvert entre deux groupes de supporters girondins ne cesse pas. Si le huis clos était décrété, la Fédération française de football pourrait demander d’inverser le match… au Roazhon Park.

 Le match de Coupe de France à Bordeaux menacé de huis clos

Le match entre Bordeaux (N2) et le Stade Rennais, comptant pour les 32e de finale de la Coupe de France et prévu dimanche 22 décembre à 14 h 45, est menacé par un huis clos, comme l’a annoncé France Bleu Gironde.

La raison ? Un conflit ouvert entre deux groupes de supporters des Girondins, les Ultrasmarines et les North Gate, qui avaient provoqué notamment des incidents en marge du dernier match de championnat de N2 contre Saint-Brieuc.

Les supporters de Bordeaux ont jusqu’à mardi 17 pour signer la paix
La Préfecture de Gironde, qui a rencontré mardi 10 décembre les dirigeants bordelais pour évoquer ce problème, a écrit aux groupes de supporters pour qu’ils s’engagent sur un « pacte de non-agression » jusqu’à la fin de la saison. Ils ont jusqu’à mardi 17 décembre pour le faire.

Dans le cas contraire, l’autorité préfectorale assure que le match contre le Stade Rennais se déroulerait à huis clos total. Si ce couperet était prononcé, la FFF (qui ne souhaite pas voir jouer des matches de Coupe se disputer sans public à partir des 32e de finale) pourrait demander à inverser la rencontre… qui se déroulerait alors potentiellement au Roazhon Park.

On n’en est pas encore là, mais le coup de pression a été délivré.

S.G.S.B.

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