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L'opération maintien est lancée

Annoncé comme un possible renfort de l'Olympique de Marseille, Amine Gouiri devrait rester à Rennes pour participer à l'opération maintien.

L'opération maintien est lancée

En s'inclinant à Monaco, malgré un match plutôt intéressant, le Stade Rennais savait que cela pourrait avoir des conséquences brutales au classement de Ligue 1. Et c'est le cas, puisque ce lundi, l'équipe entraînée par Jorge Sampaoli se réveille à la place de barragiste avec seulement deux points d'avance sur Montpellier, relégable. Avant de recevoir Strasbourg, équipe en forme de la L1, et de se déplacer à Saint-Etienne où il n'est jamais facile de s'imposer, les dirigeants bretons veulent rapidement faire signer des renforts supplémentaires. Mais leur première décision concerne un joueur convoité par l'Olympique de Marseille, Amine Gouiri. Depuis quelques jours, le nom de l'attaquant rennais circule du côté du Vélodrome. Ce lundi, Ouest-France confirme que sauf énorme surprise, Gouiri restera à Rennes au moins jusqu'à la fin de la saison.

Rennes ne va pas laisser partir un tel attaquant

Plutôt en vue samedi à Louis II, l'attaquant rennais a éludé les questions sur son avenir et sur la possibilité de rejoindre l'OM, mais nos confrères du quotidien régional pensent que l'affaire est réglée et qu'Amine Gouiri ne partira pas d'ici au 3 février. « Amine Gouiri, lui, semble parti pour rester (...) L'international algérien était dans les radars de l’OM, à la recherche d’un attaquant, qui a sondé Rennes. Lequel apprécie toujours Gouiri et ne serait pas enclin à donner suite, malgré la proposition d’échange de deux joueurs (Koné et Meïté ?). Le SRFC n’est notamment pas chaud pour accueillir le milieu Ismaël Koné, les échos sur son manque d’investissement à l’OM ayant résonné jusqu’en Bretagne… », explique Guillaume Lainé. Et cela, même si le Stade Rennais a fait signer Kyogo Furuhashi pour renforcer un peu plus son secteur offensif.

Seko Fofana cherche sa place à Rennes

Utilisé dans un rôle inhabituel de milieu offensif gauche, Seko Fofana, la recrue phare du mercato rennais, a involontairement déclenché un buzz samedi autour des choix de son entraîneur, Jorge Sampaoli.
Seko Fofana cherche sa place à Rennes

Cela doit faire forcément tout drôle à l'environnement rennais, où les déclarations fortes n'ont jamais vraiment fait partie des habitudes. Samedi soir, juste avant de s'engouffrer dans le car après la défaite à Monaco (2-3) qui a fait tomber son équipe en position de barragiste, Seko Fofana a involontairement secoué tout un microcosme avec un discours teinté d'honnêteté, mais aussi d'un brin de maladresse, quand il lui a été demandé s'il devait y avoir un échange nécessaire entre le vestiaire et Jorge Sampaoli sur l'approche tactique rennaise, après avoir été ballotté en 5-2-3. « Bien sûr que si j'avais été coach, certains choix auraient pu être différents, mais le coach a ses idées, il fait aussi avec les joueurs qu'il a », a estimé l'Ivoirien de 29 ans.

Souvent reprise sans élément de contexte et de manière tronquée, la première partie de sa phrase a déclenché le buzz, donnant l'impression que le champion d'Afrique 2024 remettait en cause les décisions de Sampaoli. Ce n'était pas le cas, mais cette sortie invite toutefois à s'attarder sur l'utilisation que le « Pelado » (le chauve en espagnol) fait de lui depuis que Fofana, qui récupère peu à peu son aptitude physique, a été recruté contre un chèque de 20 M€ à Al-Nassr (Arabie saoudite).

En le plaçant à gauche, dans un rôle où il n'a pas ni repères ni la consigne de pouvoir jouer dans un rôle libre, Sampaoli sait qu'il bride l'impact de son meilleur joueur. Mais l'entraîneur argentin considère aussi qu'il dispose de peu de choix dans son effectif. Samedi, quand son équipe était menée, il n'a fait que trois changements et si Amine Gouiri était sur le banc au coup d'envoi, c'est aussi parce que son entraîneur semble vouloir avoir au moins un joueur à même d'entrer pour faire une différence.

Un replacement dans l'axe prometteur à Monaco
Mais à Monaco, comme contre Brest une semaine plus tôt (1-2), la performance de Fofana a pris une tout autre tournure quand il a été replacé dans l'axe, son secteur préférentiel, d'où il a déclenché les deux buts bretons. L'intéressé l'a d'ailleurs souligné : « Ce qu'il faut retenir, c'est quand je suis replacé au milieu : les Monégasques ont tout de suite commencé à reculer, a affirmé l'ex-Lensois, au discours direct. Il y a eu de la peur de leur part et on s'est procuré des situations. Donc à un moment donné, il faut qu'on joue sur nos points forts et ne pas attendre qu'on prenne des buts pour faire les choses. »

Même si Fofana sait que son entraîneur a peu de latitude, son message est clair. Seuls le mercato ou la mise en place du 4-3-3 testé durant la semaine écoulée pourront faire évoluer la donne.

Le Stade Rennais devient barragiste

Avec le match nul du FC Nantes (1-1) contre l’Olympique Lyonnais, ce dimanche, le Stade Rennais pointe désormais à la 16e place championnat, synonyme de barrage.

Le Stade Rennais devient barragiste

Le Stade Rennais est barragiste ! Après sa défaite face à l’AS Monaco (3-2), samedi, le Stade Rennais a enchaîné une cinquième défaite de rang (4 en Ligue 1). Et, ce dimanche, le FC Nantes a enfoncé encore un peu plus les Rennais dans la crise en arrachant le point du match nul (1-1) dans les dernières minutes du match, face à l’Olympique Lyonnais. Les prochains jours s’annoncent donc tendus à Rennes avec les mauvais résultats des Rouges et Noirs et notamment la récente déclaration de Seko Fofana pleine d’humilité.

Mais, les hommes de Jorge Sampaoli vont devoir vite se remobiliser avec la réception de Strasbourg, dimanche 2 fevrier 2025 (17 h 15).

Si j'avais été coach, certains choix auraient peut-être été différents

Baladé du poste d'ailier gauche à celui de milieu de terrain, Seko Fofana a clairement exprimé sa préférence ce samedi 25 janvier en zone mixte, après la défaite de Rennes sur le terrain de Monaco. Arrivé cet hiver, l'ancien milieu de Lens évoque les choix de Jorge Sampaoli et incite à plus d'attaque et à des options plus simples et claires.
Si j'avais été coach, certains choix auraient peut-être été différents

Le sourire et le ton calme de Seko Fofana ne sont pas sans dévoiler des interrogations prégnantes sur certains choix tactiques de son entraîneur. Après la défaite du Stade Rennais à Monaco (3-2) samedi 25 janvier, dans le cadre de la 19e journée de Ligue 1, la recrue hivernale a insisté sur le thème de la "frustration" collective et individuelle.

"Il y a énormément de frustration. On sait qu'on doit faire mieux. Encore une fois on a réagi, c'était positif mais ce n'était pas suffisant pour dire qu'on est complètement satisfaits. On sait qu'il va falloir trouver des solutions parce qu'on est dans une situation d'urgence. Il faut réagir. J'espère qu'on va pouvoir trouver des solutions très rapidement pour ne pas avoir les mêmes regrets après les matchs", confie l'ancien joueur du RC Lens à Ici Armorique en zone mixte. "Il y a beaucoup d'erreurs, un manque de personnalité au départ. Parfois la meilleure défense, c'est l'attaque, pas d'entamer les matchs en ayant peur, jouer. Il y a un manque de confiance, je pense, de la part de certains joueurs. Mais si on veut gagner, il faut se mettre au niveau. Quand on arrive, au départ on analyse. Il y a énormément de frustration. Moi si je compare à Lens, c'est un vestiaire totalement différent. On sent qu'il y a de l'amélioration. On communique tous, on essaie de faire en sorte que ça change."

"Ce qu'il faut retenir, c'est la deuxième mi-temps, je suis passé au milieu de terrain, ils ont tout de suite commencé à reculer"
Positionné sur l'aile gauche au coup d'envoi - comme lors des derniers matchs - Seko Fofana s'est dit clairement plus à l'aise en deuxième période, quand il a reculé au milieu de terrain à son poste de prédilection. Repositionnement qui coïncide avec le regain de forme des Bretons.

"Vous connaissez le football puisque vous émettez des jugements. C'est vrai qu'il y a eu beaucoup de critiques à mon égard. J'arrive dans une situation compliquée où le club était en difficulté. Je suis quelqu'un qui prend ses responsabilités, je suis prêt à tout prendre même si je trouve que c'est parfois injuste. On parle de mon positionnement au départ mais on voit qu'il y a du mieux par la suite. Oui il y a énormément de frustration, je suis sur les deux buts. Mais ce qu'il faut retenir, c'est la deuxième mi-temps, je suis passé au milieu de terrain, ils ont tout de suite commencé à reculer. Il y a eu de la peur de leur part, on s'est créé des situations. Je pense qu'il faut qu'on joue sur nos points forts, pas attendre de prendre des buts pour faire les choses normalement."

On suit les consignes du coach
Une façon de critiquer les décisions de Jorge Sampaoli? Seko Fofana sait que le contexte n'est pas non plus facile pour l'entraîneur. "C'est sûr que si j'avais été coach, il y a certains choix qui auraient peut-être été différents", concède le joueur. "Mais aujourd'hui le coach a des idées et fait aussi avec les joueurs qu'il a. On a essayé des choses cette semaine, certaines ont marché, d'autres moins. Quand on entame le match, on a confiance, on fait en sorte que les choses se passent bien. On suit les consignes du coach. Tout n'est pas parfait non plus mais il faut s'appuyer sur nos qualités parce qu'à trop vouloir s'adapter à certaines situations, malheureusement on paie cash. La meilleure défense, c'est l'attaque."

Sampaoli se sent déjà menacé et fait une annonce sur la fin du Mercato

Jorge Sampaoli fait grise mine après la nouvelle défaite du Stade Rennais à Monaco, samedi dans le cadre de la 19e journée de Ligue 1 (2-3).

Sampaoli se sent déjà menacé et fait une annonce sur la fin du Mercato

C’est officiel : le Stade Rennais doit regarder vers le bas. Hier, le club breton a encore mordu la poussière et encaissé à Monaco (2-3) sa douzième défaite après 19 matchs lors d’une saison en Ligue 1 pour la 1ère fois depuis 1983/84 (12). En Principauté, les joueurs de Jorge Sampaoli étaient encore très loin de pouvoir instiller l’idée d’une reprise en main.

Le constat est là : avec cinq défaites en cinq matches, Coupe de France comprise, le club breton n’aurait pas pu plus mal aborder l’année 2025. Et ce qui commence à ressembler à un début de bilan dans l’ère Sampaoli est préoccupant. Depuis que l’entraîneur argentin a pris la suite de Julien Stéphan le 11 novembre, le Stade Rennais a perdu 7 matches sur 10. Et quand le Français enregistrait un total inquiétant de 1,1 point par match, son successeur en dénombre encore moins (0,8 en L1, voir notre infographie).

J’ai la capacité de faire quelque chose pour ce club
« Je regrette beaucoup les erreurs en deuxième mi-temps qui ont permis à Monaco de marquer très vite alors qu’on était revenus à égalité juste avant la pause », souffle l’ancien coach de l’OM. Notre problème, c’est avec le ballon, pas sans. La philosophie de jeu dépend des capacités des joueurs qu’on a à disposition, donc on essaie de faire avec cet effectif. »

Ce qui sous-entend qu’il va falloir s’activer encore sur le marché des transferts, après avoir déjà dépensé environ 45 M€ ? « Quand on est arrivés au club, on a exprimé nos besoins, a repris le technicien. Maintenant, on arrive à la fin du mercato, et c’est toujours difficile de trouver des solutions concrètes. » En attendant l’officialisation de Kyogo Furuhashi, le Stade Rennais a encore neuf jours pour recruter des joueurs à même d’apporter un surplus de vie dans un vestiaire touché. À la question de savoir s’il pouvait se sentir menacé, Sampaoli a répondu : « On se sent toujours menacé, mais je sens également que j’ai la capacité de faire quelque chose pour ce club, pour le faire sortir d’une situation difficile. » Le chantier est vaste.

Il y a un manque de personnalité

Quatrième défaite consécutive en Ligue 1 pour un Stade Rennais dépassé défensivement, samedi 25 janvier, à Monaco (3-2), et qui pourrait devenir barragiste ce dimanche. Brice Samba et surtout Seko Fofana, très frustré à chaud, n’ont pas mâché leurs mots dans la zone mixte du stade Louis-II.

Il y a un manque de personnalité

Arrivés cet hiver au Stade Rennais, Seko Fofana et Brice Samba espéraient certainement des débuts moins compliqués avec le club breton.

Les deux anciens Lensois, qui n’ont connu que la défaite avec le SRFC - la dernière en date à Monaco (3-2), samedi 25 janvier -, ont fait part de leur énorme frustration après la rencontre sur le Rocher, tout en proposant des solutions pour retourner une situation qui devient grave.

Rennes compte 12 défaites après 19 matches cette saison, son plus haut total à ce stade depuis 1983/84. 8 des 10 équipes ayant subi exactement 12 revers après 19 rencontres d’une saison de L1 au 21e siècle ont été reléguées, les exceptions étant St Etienne en 2008/09 et Montpellier en 2022/23...

Je pense que la meilleure défense, c’est l’attaque !
« Il y a énormément de frustration, on sait qu’on doit faire mieux, que ce n’est pas suffisant malgré notre réaction. Il va falloir trouver vite des solutions, car il y a urgence, pour ne plus avoir de regrets après les matches.

Il y a beaucoup d’erreurs, un manque de personnalité au départ. Parfois, je pense que la meilleure défense c’est l’attaque, il ne faut pas entamer les matches en ayant peur… Il y a un manque de confiance, on communique tous, mais si on veut gagner, il faut se mettre au niveau.

Avant la dernière journée, avez-vous aimé la nouvelle formule de la Ligue des champions ?
Vous connaissez le football puisque vous émettez des jugements. Il y a eu des critiques à mon égard, je suis arrivé dans un club en difficulté, mais je suis quelqu’un qui prend ses responsabilités. Je suis prêt à tout prendre, même si je trouve ça parfois injuste.

Vous parlez encore de mon positionnement au départ, et on voit qu’il y a du mieux par la suite… En deuxième période, quand je suis passé au milieu, ils ont plus reculé. Il faut qu’on joue sur nos points forts, et ne pas attendre de prendre les buts pour faire les choses.

(A la question s’il pense qu’il doit y avoir un échange des joueurs avec le coach pour évoquer la tactique) Si j’avais été coach (il sourit), certains choix auraient peut-être été différents, mais le coach a ses idées, il fait aussi avec les joueurs qu’il a. On a aussi essayé des choses cette semaine, certaines ont marché, d’autres moins… On suit les consignes du coach, et même si tout n’est pas parfait, il faut s’appuyer sur nos qualités. Car à vouloir trop s’adapter à des situations, malheureusement on paye cash. »

Seuls les courageux permettront de nous en sortir...
« Ce n’est pas évident, la période est vraiment compliquée, la confiance touchée. Du coup, il y a un manque d’initiatives, trop de largesses derrière. Mais on est obligé de positiver, on ne va pas lâcher. Il manque peu et beaucoup à la fois… On va se battre et changer cette tendance négative.

Tout le monde est à l’écoute de ce que le coach met en place, adhère, après il faut quelques ajustements, et une prise de conscience de chacun. Seuls les courageux permettront de nous sortir de cette situation. Il va falloir porter ses c… (sic), le Stade Rennais ne peut pas être dans cette position-là. »

Gouiri fait un constat clair sur sa saison et il annonce la couleur pour la suite

Amine Gouiri, l’attaquant du Stade Rennais, ressent une certaine déception face à sa performance actuelle en Ligue 1. Avec ses 24 ans, il s’attendait à mieux que ses 2 buts marqués en 18 apparitions cette saison. L’équipe est positionnée à la 14e place, et il reconnaît ne pas être à la hauteur des attentes.

Gouiri fait un constat clair sur sa saison et il annonce la couleur pour la suite

Gouiri admet que sa saison est en deçà de ses précédentes performances. Les statistiques ne mentent pas : seulement deux buts et deux passes décisives en 18 matchs. Il sait qu’il doit progresser et travaille dur pour se remettre physiquement après une blessure au genou.

Il affirme : « Mentalement, je vais bien. Après, c’est vrai que la situation n’est pas facile. » Cette période difficile est aggravée par ses problèmes physiques, mais il reste déterminé à s’améliorer. Il s’efforce de retrouver son niveau optimal à l’entraînement quotidiennement.

Face aux critiques, Gouiri ne se dérobe pas. « Les critiques ? Oui, je comprends totalement. De toute façon, je suis le premier déçu, je suis quelqu’un de très exigeant avec moi-même, » déclare-t-il. Il est conscient des attentes élevées et veut prouver sa valeur.

Malgré sa mauvaise passe, l’attaquant algérien est surveillé par l’Olympique de Marseille. Cette situation ne le distrait pas. Il reste focalisé sur son objectif de démontrer ses compétences et souhaite que la seconde moitié de la saison soit plus fructueuse.

L’OM avance pour le prêt d’Amine Gouiri, Rennes veut Koné

En quête d’un remplaçant à Elye Wahi, l’OM est entré en négociations avec Rennes pour se faire prêter Amine Gouiri. Le club breton voudrait inclure Ismaël Koné dans l'opération.
L’OM avance pour le prêt d’Amine Gouiri, Rennes veut Koné

Qui pour remplacer Elye Wahi? Après seulement six mois à Marseille, l’ancien attaquant de Montpellier va faire ses valises direction l’Eintracht Francfort, comme l’a indiqué Roberto De Zerbi ce vendredi en conférence de presse. "Wahi est un joueur fort. Mais on arrive à un certain point où il faut prendre des décisions avec courage. Wahi sait pourquoi les dernières semaines et derniers mois se sont passées comme ça. Il est fort, je ne change pas d'avis sur ce joueur et sa personne. Il m'a envoyé un très long message ce matin. Mais on travaille, on doit prendre des décisions et faire des choix pour obtenir des résultats", a confié le technicien italien devant les médias.

Gouri dans le viseur
Ce dernier a confirmé qu’il voulait un nouvel attaquant pour compenser le départ du joueur de 22 ans, auteur de trois buts en 13 matchs de Ligue 1 cette année. En coulisse, le club phocéen avance pour un prêt d’Amine Gouiri (24 ans), sous contrat jusqu’en 2027 avec Rennes. Les deux clubs sont en négociations.

De son côté, le club breton pense à demander l'inclusion dans l'opération d'Ismaël Koné, pas assez convaincant à l’entraînement avec Marseille.

Arrivé en provenance de Watford l’été dernier contre 12 millions d’euros, le Canadien n’a joué que neuf matchs mais s’est surtout fait remarquer dans le mauvais sens. Comme expliqué par RMC Sport, le club est déçu par son attitude et ses efforts insuffisants pour répondre à la concurrence et aux attentes.

Son entraîneur Roberto De Zerbi, qui ne l’a plus utilisé depuis la victoire face au Havre, le 5 janvier (5-1). "Koné est sur le départ. Il va probablement s'en aller, c'est pour cela que ça n'avait pas de sens qu'il s'entraîne avec nous. C'est un choix du club. On a voulu ce joueur, il est très fort, c'est un bon garçon, mais on connaît nos objectifs. On sait quelle équipe on veut. J'ai en tête ce que je veux. Au cours des derniers mois il ne m'a pas montré qu'il était en mesure de faire partie de ce projet. Il y a beaucoup de concurrence. On construit une équipe toujours plus forte", a rappelé RDZ ce vendredi.

Normal qu’on me tape dessus

Amine Gouiri est revenu ce vendredi sur la sale période du Stade Rennais en Ligue 1 et sur son manque d’efficacité devant le but.
Normal qu’on me tape dessus

Avec quatre défaites lors des cinq derniers matchs de Ligue 1, le Stade Rennais se rapproche dangereusement de la zone rouge. Devant le barragiste Saint-Étienne à la faveur d’une meilleure différence de buts, le club breton connaît une véritable crise que l’arrivée de Jorge Sampaoli n’a pas réussi à enrayer. La faute, notamment, à une attaque défaillante avec seulement 24 réalisations. À la veille du choc contre Monaco au stade Louis-II lors de la 19e journée de la saison, Amine Gouiri s’est confié avec honnêteté sur sa sale période.

"Ce qu’il faut se mettre dans la tête, c’est d’aller sur le terrain pour gagner des matches et prendre des points", a tenté de remobiliser l’attaquant de 24 ans lors d’un entretien diffusé vendredi par Ouest-France. "C’est après la 34e journée que l’on verra. Mais on ne se met pas de pression, on ne se dit pas qu’il faut jouer le maintien ou l’Europe. C’est vrai que l’on est dans une position très limite, on en est conscient."

Je suis le premier déçu
A titre personnel, aussi, la campagne 2024-2025 ne se passe pas vraiment comme prévu pour l’international algérien. Pas au mieux sur le plan physique et malgré un temps de jeu régulier (il a participé à tous les matchs de Ligue 1), Amine Gouiri n’a marqué que 2 buts en 18 apparitions en championnat. Ciblé par les critiques, l’ancien de Lyon et Nice préfère assumer.

"Je suis le premier déçu, je suis quelqu’un de très exigeant avec moi-même, parce que c’est ce que l’on attend de moi", a encore concédé le buteur des Fennecs. "Donc c’est normal qu’on me tape dessus. J’en suis conscient et j’espère continuer de travailler pour montrer de quoi je suis capable."

Histoire de relancer l’attaque bretonne, Rennes devrait rapidement enregistrer le départ de Jota. Arrivé cet été d’Al-Ittihad, le Portugais devrait retourner au Celtic. Le Japonais Kyogo Furuhashi va, lui, faire le chemin inverse et quitter Glasgow pour Rennes lors du mercato hivernal.

Jorge Sampaoli évoque la réunion cette semaine entre dirigeants et supporters du SRFC

Présent en conférence de presse ce jeudi 23 janvier, à deux jours du déplacement du Stade Rennais à Monaco, l’entraîneur Jorge Sampaoli est revenu sur la rencontre entre dirigeants et supporters survenue mardi à la Piverdière, trois jours après les tensions lors du derby contre Brest.

Jorge Sampaoli évoque la réunion cette semaine entre dirigeants et supporters du SRFC

Avec son président Arnaud Pouille et son directeur sportif Frederic Massara, l’entraîneur du Stade Rennais Jorge Sampaoli a participé à la rencontre entre dirigeants et supporters qui a eu lieu au centre de la Piverdière, ce mardi 21 janvier dans la soirée. Une réunion survenue trois jours après les nombreux messages de contestation lancés par le Roazhon Celtic Kop depuis la tribune Mordelles du Roazhon Park pendant le derby contre Brest, dont la fin de match avait été tendue au bord du terrain.

On n’est plus au temps des reproches
"C’est moi qui l’ai proposé, a assuré Sampaoli ce jeudi 23 janvier en conférence de presse. Nous avions besoin d’entendre le sentiment des supporters. J’estime que c’est ensemble que l’on va sortir de cette situation, c’est la seule manière d’y arriver. On n’est plus au temps des reproches, mais à celui de l’union. Il faut que tout le monde y mette du sien de son côté, que l’équipe se sente vraiment soutenue. L’écusson doit être au-dessus de tous, on doit être ensemble."

Et maintenant, on fait comment ?

Battu pour la quatrième fois consécutive en 2025 lors du derby contre Brest (1-2), samedi 18 janvier, le Stade Rennais est plus que jamais à la lisière de la zone rouge, avant d’aller jouer à Monaco, le 25 janvier. Il y a forcément le feu à la maison rouge et noir. En attendant des solutions de mercato, on ne voit pas comment le coach Jorge Sampaoli ne pourrait pas faire enfin bouger les lignes.

Et maintenant, on fait comment ?

Le Stade Rennais a perdu contre un Brest moyen un derby qui aurait dû se terminer au moins en match nul, si le niveau de réussite et d’efficacité avait été juste comparable entre les deux équipes.

Voilà pour le constat froid autour d’un SRFC malade, co-barragiste avec Nantes et Saint-Etienne (mais devant à la différence de buts), qui n’a plus que cinq points d’avance sur la lanterne rouge. Pas battu pour la 4e fois consécutive en 2025 sans raison, n’en déplaise à Jorge Sampaoli.

Il faudra faire plus que ça, sur la longueur d’un match, pour apercevoir la lumière. Et c’est au coach argentin, autour duquel la pression monte aussi, de déverrouiller des portes maintenues fermées jusqu’ici. On parle de plan de jeu, de choix de joueurs, même si les solutions ne sont pas légion en l’état.

S’attaquer au problème de la défense
Les problèmes sont partout. Mais ils commencent derrière, à partir de ce trio défensif qui ne marche pas, surtout côté Ostigard et Hateboer, incapables de défendre autrement qu’avec le jeu face à eux.

Samba, qui a déjà encaissé cinq buts en trois matches, dont deux où il est impliqué directement par une mauvaise relance au pied (un comble), doit être sacrément dépaysé, lui qui était protégé à Lens par l’une des meilleures arrière-gardes de l’élite…

Changer de système, passer du 3-4-3 à un 4-3-3 ? Cela ne semble pas pour tout de suite, si l’on se fie encore au discours de l’Argentin après Brest. « L’équipe jouait à quatre avant qu’on n’arrive et ne gagnait pas de match, s’est défendu Sampaoli. Si on joue à cinq, c’est aussi parce que nos deux latéraux sont très attirés par l’avant. Si on n’avait pas ce troisième défenseur, on aurait des problèmes à faire face aux transitions adverses… »

Sampaoli, ce chantre du « contrôle », en a horreur. Sauf que les réduire à néant, c’est impossible, surtout avec une maîtrise technique et un impact aussi nébuleux plus haut sur le terrain. De fait, Rennes joue à cinq derrière et se fait punir en transition… « On pourrait jouer à quatre, on l’a fait un moment dans ce match (à la fin), mais avec nos trois défenseurs, l’un d’entre eux peut apporter à l’attaque. Cela a été le cas par moments avec Hateboer, Wooh et Truffert… Pour moi, ce n’est pas un problème de schéma, mais d’erreurs individuelles ponctuelles qui se répètent à tous les matches. »

Un milieu à trois avec Fofana, évidemment
Si le mercato amène ce défenseur costaud, meilleur relanceur, que Rennes attend, Sampaoli deviendra probablement moins têtu. En attendant, Assignon sera suspendu, samedi 25 janvier (17 h 15), à Monaco, Hateboer pourrait le suppléer en piston droit si le 3-4-3 est maintenu. Ce qui forcera déjà le coach à changer des noms dans son axe défensif.

Truffert axial gauche, comme en fin de match contre Brest, avec Wooh recentré ? Relancer Faye, tenter Ait Boudlal, qui fait bonne impression en interne ? Santamaria aurait pu être une bonne option, mais il a été écarté et est en instance de départ vers Nice.

À cinq ou à quatre derrière, installer un milieu à trois avec Fofana, Matusiwa et James (en attendant une autre recrue dans ce secteur) semble déjà évident. Devant, un renfort est aussi attendu, pour venir secourir Kalimuendo et Blas, les solutions préférentielles. Quel chantier…

Après les tensions, une rencontre a eu lieu entre les supporters et la direction

Les supporters du Stade Rennais sont remontés contre leur équipe, à nouveau battue (2-1), samedi 18 janvier 2025, face à Brest (Finistère). Une réunion avec les dirigeants du club s’est tenue, mardi 21 janvier, pour tenter de renouer le dialogue.

Après les tensions, une rencontre a eu lieu entre les supporters et la direction

Mardi 21 janvier 2025, 18 h, des voitures franchissent, les unes après les autres, la grille d’accès au centre d’entraînement du Stade Rennais, à la Piverdière à Rennes (Ille-et-Vilaine). En ce début de soirée, loin de l’effervescence des soirs de match, des représentants des trois clubs de supporters (Allez Rennes, les Socios et le Roazhon Celtic kop) ont rendez-vous avec Arnaud Pouille, le président du Stade Rennais, Jorge Sampaoli, son entraîneur, et le directeur sportif Frederic Massara.

L’heure est grave : il faut absolument renouer le dialogue entre dirigeants et supporters, après les tensions apparues, le week-end dernier, à l’issue d’une nouvelle défaite à domicile, sur la pelouse du Roazhon Park, contre Brest (Finistère).

Qu’espèrent les fidèles des Rouge et Noir d’une telle réunion ? "Il y aura, certainement, beaucoup de blabla, je connais un peu la maison, sourit Marcel Géraux, 76 ans, président du club "Allez Rennes", depuis 1994, et présent au stade depuis 1964. "Nous allons demander aux dirigeants s’ils ont prévu de recruter des joueurs. L’équipe est défaillante en défense comme en attaque où il manque un buteur. Et il y a urgence : dès samedi, il y a le déplacement à Monaco" Le dialogue suffira-t-il à calmer les esprits ? Pour l’instant, rien n’a filtré sur la rencontre de mardi soir. Mais dans l’environnement du club, beaucoup espèrent une forme d’union sacrée dès la réception de Strasbourg le dimanche 2 février (17 h 15).

Le malaise est profond
Samedi dernier, quelques supporters, refoulés par les CRS, ont tenté, de rage, d’envahir la pelouse du Roazhon Park au coup de sifflet final. Une scène rarement vue à Rennes et que Marcel Géraux ne cautionne pas.

"Je respecte les autres clubs de supporters, précise-t-il. Mais, des gens encagoulés, qui tentent des coups de force, n’ont pas leur place au stade. Si on n’est pas content, on reste chez soi." Soit. Mais, les résultats catastrophiques de cette saison ont de quoi miner le moral des plus tolérants. "En termes de gestion, c’est la pire, depuis 1994 et la montée du club en Ligue 1. Comment c’est possible, alors que le budget du Stade Rennais est deux fois supérieur à celui du Stade Brestois"

Beaucoup de supporters déplorent que l’aspect commercial l’emporte, aujourd’hui, sur l’intérêt sportif. "Trop de joueurs importants ont été vendus à l’intersaison, estime Pauline Romé, 35 ans, la présidente des Socios. Le malaise est profond. Le Stade Rennais ne s’appuie plus sur son centre de formation. Depuis Eduardo Camavinga, on ne voit plus de jeunes joueurs, formés à Rennes, dans l’effectif professionnel. (le Stade Rennais possède le meilleur centre de formation de France depuis deux ans selon le classement de la FFF et a sorti de nombreux joueurs depuis Camavinga, notamment Désiré Doué ou Mathys Tel NDLR) Les supporters viennent au stade, non plus pour voir un match qui sera de toute façon décevant, mais par habitude, pour se retrouver entre amis."

95 % d’inquiets
95 % des internautes, sollicités par Ouest-France, se disent inquiets de la situation actuelle. Pas moins de 450 ont confié leur opinion sur le Stade Rennais. "Le club a perdu son âme depuis 18 mois, exprime Hervé Goinvic dans un avis qui revient souvent. Je n’ai plus envie de me rendre au stade alors que c’est un club et un stade que j’adore depuis 50 ans…"

Si les hommages à la famille Pinault sont nombreux, les critiques sur leurs choix également. "Les Pinault permettent au club d’avoir une assise financière rassurante, mais question management, c’est le contraire, souligne Jean-Michel Alesi. Valse des présidents, projets mal structurés, choix ratés des directeurs sportifs, entraîneurs vite au bout du rouleau, le tout dans un club "pépère" sans rigueur, ni pression salutaire. Depuis un an, voire davantage, le club s’enfonce, pire, désormais, il chute".

Autre sujet d’inquiétude : la constitution du groupe. "Les journées s’enchaînent et on ne voit aucune envie, aucun respect pour le maillot. Avant on avait des joueurs symboles à qui on pouvait s’identifier. Aujourd’hui on a des mercenaires du foot", lance Mickaël Pirot.

Classement des taux de remplissage

Voici le classement des taux de remplissage moyens de Ligue 1 à la mi-saison

Classement des taux de remplissage

  1. Paris : 99,4%
  2. Lens : 98,8%
  3. Strasbourg : 97,3%
  4. Brest : 97,1%
  5. Marseille : 95,7%
  6. Auxerre : 93,9%
  7. Rennes : 93,3%
  8. Lyon : 89,2%
  9. Lille : 84%
  10. Nantes : 83,9%
  11. Le Havre : 82,3%
  12. Toulouse : 82%
  13. Reims : 78,4%
  14. Angers : 78,2%
  15. Saint-Étienne : 74,6%
  16. Nice : 72,4%
  17. Montpellier : 61,6%
  18. Monaco : 57,8%

Quand le Stade Rennais voit poindre la fracture avec ses supporters

Encore battu par Brest (1-2) samedi 18 janvier, le Stade Rennais est une équipe malade qui ne donne plus envie à ses supporters de le porter. Le Roazhon Park a fait passer sa colère lors du derby… enfin, surtout le kop, qui a refusé le dialogue avec les joueurs au terme d’un match où la tension était vive en bord terrain.

Quand le Stade Rennais voit poindre la fracture avec ses supporters

Ce fut une scène jamais vue dans l’histoire récente du Stade Rennais. Après le coup de sifflet final samedi 18 janvier, une poignée de supporters encagoulés sont descendus de la tribune Mordelles, furieux. Certains ont tenté de rentrer sur le terrain (une interpellation au bilan), mais ils ont vite été contenus par les stadiers et un renfort de CRS.

L’affaire n’a pas dégénéré, mais la tension était vive. Et les joueurs rennais qui s’étaient approchés du kop ont vite compris qu’il n’y aurait pas de dialogue possible.

La fracture s’ouvre, et si l’ambiance n’était pas délétère pendant le match, elle a quand même été sacrément triste. Les tribunes latérales sont restées prostrées la plupart du temps, laissant le kop se charger de manifester le mécontentement général, sans excès non plus.

Il y a eu la grève des encouragements pendant vingt minutes, des sifflets réguliers, un peu de chambrage, une dizaine de banderoles brandies successivement, où tout le monde (joueurs et dirigeants) en a pris pour son grade, sans que le message ne soit vulgaire pour autant.

Colère, tristesse, lassitude, incompréhension
On a navigué entre colère et lassitude, voire tristesse, à voir où en est arrivé ce Stade Rennais auquel les fans ne s’identifient pas, après une jolie période qui s’était étendue de 2019 à 2023, grosso modo.

Par essence, le sport de haut niveau, et le foot en particulier, est une affaire de cycles, au-delà de la question des moyens. Après des hauts, il y a souvent des bas, avec quelques règles universelles dont la principale est celle-ci : une succession d’erreurs stratégiques finit toujours par se payer comptant.

Là, le retour de bâtons est sévère, l’incompréhension nourrie. Et c’est normal qu’elle s’exprime, même si on a rarement vu une équipe de foot malade mieux jouer au ballon sans le soutien de ses supporters. « Je les comprends, a réagi le coach Jorge Sampaoli. Ils ont le droit de protester, d’autant plus dans la position dans laquelle nous nous trouvons au classement. Ce que je peux dire, c’est que je m’efforce tous les jours d’essayer de changer la situation. »

C’est la loi du genre aussi, à une époque où le sujet des ultras nourrit de sempiternels débats (on ne parle pas spécifiquement de Rennes), et où se multiplient les images en mondiovision de joueurs sommés de venir s’expliquer ou s’excuser comme des enfants devant leurs plus fervents supporters, quand les mauvais résultats s’enchaînent.

Samedi, les Rennais n’en ont donc pas eu le loisir, et cela va être le moment de montrer qu’ils ont plus de caractère que ce que certains pensent. Il va falloir qu’ils se sortent seuls, ensemble obligatoirement, du guêpier dans lequel ils se sont eux-mêmes fourrés.

Le projet De Zerbi ne prend pas

Après l’énième défaite du Stade Rennais face à Brest samedi, Raymond Domenech s’est fendu d’une réaction pour le moins étonnante, confondant Roberto De Zerbi et Jorge Sampaoli.

Le projet De Zerbi ne prend pas

Pour fustiger les résultats d’un entraîneur étranger en Ligue 1, Raymond Domenech n’est jamais bien loin. Encore faut-il s’attaquer à la bonne personne. Ce samedi, dans la foulée de la nouvelle défaite rennaise face à Brest (1-2) en championnat, l’ex-sélectionneur de l’équipe de France a réagi sur son compte X (ex-Twitter) pour se moquer des difficultés actuelles de Jorge Sampaoli sur le banc des Rouge et Noir. Problème, Domenech a cité... Roberto De Zerbi qui dirige l’Olympique de Marseille. «Rennes encore battu à domicile par Brest le projet De Zerbi ne prend pas à quand le retour de Stéphan», a-t-il écrit avec un «smiley» hilare. Une improbable confusion, visiblement involontaire, qui n’a pas manqué de faire réagir les internautes.

S.G.S.B.

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