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DAZN veut renégocier son contrat à la baisse

Le diffuseur de la Ligue 1 a communiqué à la LFP son nombre d’abonnés et il n’est pas content. Malgré toutes les opérations éditoriales et les promotions au niveau des abonnements, DAZN n’est pas satisfait et souhaite renégocier son contrat.
DAZN veut renégocier son contrat à la baisse

DAZN a tout tenté pour sauver les meubles. Critiqué dès le coup d’envoi de la saison pour avoir proposé des abonnements jugés hors de prix pour la diffusion de 8 matches de Ligue 1 sur 9, le diffuseur du championnat avait répliqué lors des fêtes de fin d’année. La plate-forme a lancé de nouveaux programmes et a surtout fait un effort en proposant de nombreuses promotions pour ses abonnements.

Depuis le vendredi 3 janvier, vous pouvez, par exemple, bénéficier d’une nouvelle offre qui vous permet de voir les matches jusqu’à la fin de la saison, avec le "Pass Mi-Saison" à 69 €. Plus tôt, Vincent Labrune, président de la LFP, avait clamé son soutien à DAZN. «On a réussi l’exploit de lancer en moins de deux semaines un produit sans bug ni écran noir. Après oui, ils ont peut-être fait une erreur en tapant un peu fort au départ sur les tarifs. Mais on apprend tous en marchant. On est à fond derrière eux.»

DAZN a une clause de sortie
Mais rien n’y fait. Ça ne prend pas. Selon RMC, DAZN a récemment communiqué à la LFP le nombre de ses abonnés. Le chiffre n’a pas encore fuité, mais le média assure que le diffuseur n’est absolument pas satisfait. En novembre dernier, RMC assurait que le nombre d’abonnés tournait autour des 400 000. Depuis, il semble qu’il n’a pas augmenté comme voulu. Et la barre de 1,5 million de fidèles semble très loin. Mais ce n’est pas tout. Au siège du diffuseur, beaucoup estiment que 90% des abonnés qui pouvaient être attirés dans leur filet l’ont déjà été. En clair, personne ne voit une explosion d’abonnements à venir.

Résultat : DAZN voudrait aujourd’hui renégocier son contrat. Pour rappel, la plate-forme paie environ 400 M€ par saison jusqu’en 2029. La LFP a refusé de commenter l’information, mais c’est une mauvaise nouvelle de plus pour les clubs de L1 qui tirent déjà la langue avec ce contrat qui a déjà subi une grosse baisse. Pour rappel, DAZN dispose d’une clause de sortie en décembre 2025 si la barre des 1,5 million d’abonnés n’est pas atteinte. Enfin, RMC rappelle à juste titre qui si le contrat de DAZN est renégocié, celui avec beIN Sports serait automatiquement cassé. La chaîne qatarie se préparerait déjà à renégocier elle aussi.

Peur sur le village

Le Stade rennais a perdu son onzième match de la saison en championnat, contre Brest à domicile, et se met pour la première fois depuis très longtemps à craindre pour son maintien dans l’élite. Récit d’une soirée faite de contrastes, au sein d’une route de Lorient qui ne respire plus vraiment la joie.

Peur sur le village

Il est pas loin de 22h30, ce samedi soir, quand les derniers stands de galettes saucisses finissent de plier bagage route de Lorient. La rue qui se transforme en petit village les jours de match au Roazhon Park est calme, mais pas encore tout à fait déserte. Il reste des traînards dans les différents bars faisant face à l’enceinte bretonne, des lieux devenus des institutions quand on est un supporter du Stade rennais. Chez Marco, on ne nous cache pas que la mauvaise santé du club breton a une influence sur la fréquentation de l’établissement inévitablement lié au SRFC, en tout cas les soirs de match. Il y a encore deux ans en arrière, le trottoir devant l’enseigne était plein à craquer, même deux heures après le coup de sifflet final, et les soiffards rennais se lançaient parfois dans un clapping improvisé avec Benjamin Bourigeaud et Flavien Tait, perchés avec leurs familles dans la tribune Lorient. Une autre époque.

Ce n’est pas la température tournant autour de zéro degré qui a fait fuir les amoureux des Rouge et Noir, mais sans doute la nouvelle défaite de leurs protégés qui ne le sont pas vraiment cette saison. Un peu plus loin, au Roazhon Pub, la guinguette extérieure est moins animée que l’intérieur, où près d’une centaine de supporters désabusés se réchauffent à coups de pintes, entre un tube de Céline Dion et Dans les yeux d’Émilie de Joe Dassin. L’un d’eux avait même quitté le stade à la pause, préférant se mettre au chaud pour suivre la suite de la rencontre. C’est une troisième mi-temps comme une autre, au fond : des moments de tension, des chants de mecs bourrés et d’interminables débats sur la composition d’équipe de Jorge Sampaoli. Et ce refrain plus effrayant qu’entraînant : "On va aller en Ligue 2, tu crois ?"

Tant d’années sabotées en quelques mois…
Le prolongement d’une soirée dont le gros millier de supporters brestois n’avaient pas compris le thème : la déprime, la contestation et la colère. Dans leur parcage, les Ty Zefs ont préféré mettre de la couleur, de la vie et de la fête, contrastant avec l’atmosphère pesante régnant dans les autres tribunes. Dans la Mordelles, dont la partie basse est réservée au Roazhon Celtic Kop, les ultras rennais, la première banderole déployée à l’arrivée des joueurs à l’échauffement a donné le ton : "Vous ne valez rien, pas même notre soutien." La défaite à Troyes en Coupe de France en milieu de semaine aura été celle de trop pour le kop rennais, qui a ensuite profité des 20 premières minutes pour faire son "audit du club" (en réponse à celui commandé par le président Arnaud Pouille en novembre) dans le silence.

Six messages déroulés, plus ou moins salés : "Un club mal géré, un effectif mal pensé, des branquignols trop limités : c’est donc ça le nouveau SRFC ?", "Tant d’années sabotées en quelques mois, qui doit-on remercier pour cela ?", "On dépense des millions et on n’a toujours pas la moindre émotion", "Passer d’un club européen à une élimination contre l’ogre troyen", "Vous arrivez encore à vous regarder dans un miroir ? Car nous, on ne peut plus vous voir !", "Maintenant qu’on s’est tout dit, et peu importe votre mépris, on va chanter pour ce club à travers lequel on vit". Manque de pot : Hugo Magnetti a ouvert le score cinq minutes plus tard, stoppant net les encouragements rennais jusqu’au dernier quart d’heure où le public a parfois tenté de pousser une équipe qui aurait pu passer du 0-2 à 2-2. Seulement, Rennes a perdu, Brest a gagné, et le contraste était encore plus saisissant quand plusieurs supporters cagoulés menaçaient d’envahir la pelouse, provoquant l’intervention des CRS, pendant que les Finistériens célébraient leur succès en parfaite osmose avec leurs supporters.

En attendant l’union sacrée
Une quatrième défaite d’affilée pour les Rennais, mais surtout la onzième de la saison en championnat après dix-huit journées. Plus de 40 ans que ce n’était pas arrivé, selon les statisticiens d’Opta. À l’époque, le SRFC comptait douze revers au même stade, et avait fini relégué dans le costume de lanterne rouge, lors de l’exercice 1983-1984. Ce n’était pas tout à fait le même club. Pas du tout, même. Le Stade rennais avait donné des raisons d’être heureux à ses supporters ces dernières années, entre qualifications européennes successives et beau jeu, mais il s’est effondré bien plus vite qu’il ne s’est construit, malgré les millions alignés sur le mercato (environ 114 depuis cet été, et ce n’est a priori pas terminé). "Je suis très préoccupé, mais j’estime que l’évolution de l’équipe a été bonne dans le jeu, même si on n’avance pas au classement, glissait Sampaoli, qui n’a pas changé grand-chose et tourne à 0,86 point de moyenne par match en L1. On se bat contre des éléments adverses. […] C’est difficile de comprendre pourquoi on n’a pas gagné."

Seko Fofana, plus à l’aise une fois repositionné au milieu, est le seul joueur à s’être présenté en zone mixte. Son discours a ressemblé à celui d’un potentiel leader : "Je suis quelqu’un qui aime ce type d’épreuve, je suis persuadé qu’on va retourner les choses. Quand on est en difficulté comme ça, il faut accepter la réalité et le travail." La fin d’une semaine éprouvante à Rennes, où le président Pouille est sorti du bois en sollicitant un entretien à Ouest-France pour sonner la fin du "Club Med" et acter la création d’un loft dénoncé comme illégal par l’UNFP. C’était peut-être une semaine pour se dire les choses, comme aiment le répéter les footballeurs, avant de proclamer la fameuse union sacrée.

Il faut souvent un responsable dans ces moments de déliquescence : Bruno Genesio, Florian Maurice, Warmed Omari, Julien Stéphan, Steve Mandanda, Olivier Cloarec, Frederic Massara, et même Olivier Sorin, l’entraîneur des gardiens, tous sont passés dans la machine à responsabilités des supporters. C’est rarement la faute d’un seul homme et, ici, c’est un club tout entier qui s’est perdu en chemin, à force de ne pas prendre les décisions aux bons moments, ou de prendre les mauvaises aux mauvais moments, justement. Ce sont aussi les erreurs de la famille Pinault, toujours silencieuse et dont les deux petits-fils entrés au conseil d’administration au printemps, que l’on dit passionnés, étaient présents au Roazhon Park ce samedi soir. Ils n’ont pas connu la Ligue 2 à Rennes, comme toute une génération qui n’a pas envie d’y goûter et qui espère que la route de Lorient redeviendra très vite un village heureux.

Pleine Lucarne du 20/01/2025

Pleine Lucarne du 20/01/2025

L’UNFP réclame la fermeture du loft

Alors que quatre joueurs du Stade Rennais, dont Albert Gronbaek, ont été mis à l’écart du groupe professionnel durant cette fin de semaine, ce "loft" a été mal vu par l’UNFP. Le syndicat des joueurs professionnels a fustigé la décision prise par le club, et a attaqué avec vigueur son propriétaire ainsi que sa directrice juridique dans un communiqué publié ce vendredi 17 janvier.

L’UNFP réclame la fermeture du loft

Une fois n’est pas coutume, l’UNFP a publié un communiqué mordant ce vendredi 17 janvier. Dans le viseur du syndicat des footballeurs professionnels ? Le Stade Rennais, qui, empêtré dans une crise sportive conséquente, a annoncé la mise à l’écart du groupe professionnel de plusieurs de ses joueurs. Lesquels sont quatre, selon nos informations : Gauthier Gallon, Baptiste Santamaria, Glen Kamara et Albert Gronbaek.

Une décision motivée par divers paramètres, notamment extra-sportifs, qui n’a pas plu du tout à l’UNFP. Le syndicat des joueurs professionnels de football est monté au créneau ce vendredi, sur un ton assez… particulier, afin de réclamer "la fermeture du loft rennais".

Francois-Henri Pinault et la directrice juridique du club attaqués frontalement
Et tout le monde en prend pour son grade. Le propriétaire François-Henri Pinault, pour commencer : "L’ancien président de la LFP (Frédéric Thiriez), comme l’UNFP l’y encourage, va devoir expliquer à François-Henri Pinault, entre deux verres de Latour, que la FFF s’engage – c’est écrit dans sa Charte éthique – à garantir qu’aucune atteinte ne puisse être portée à la dignité ou à l’intégrité d’une personne, que ce soit sous forme de violences (physiques ou morales), de harcèlement ou de tout autre acte hostile dont l’objectif est d’isoler ou d’ostraciser une personne ou d’affecter sa dignité."

C’est ensuite une attaque envers Elodie Crocq, la directrice juridique du club et également membre du Comex de la FFF : "Elle a certainement oublié de prévenir l’équipe de Philippe Diallo qu’elle allait, en sa qualité d’élue, faire de la Fédération la complice des pratiques illégales, contraires aux lois de la République, mises en place par le Stade Rennais, histoire de reporter sur les joueurs les errements de ses dirigeants dans la constitution de l’effectif."

L’UNFP avance des tas de menaces juridiques
L’UNFP avance aussi que la création de ce loft hivernal fait fi "des dispositions conventionnelles qui interdisent la pratique de la mise à l’écart ; des engagements contractuels et de l’obligation de loyauté liant les parties dans l’exécution du contrat ; des décisions de justice en matière pénale et prud’homale intervenues ces deux dernières années et qualifiant la pratique de la mise à l’écart comme étant constitutive de faits de harcèlement moral ; des dernières décisions de la commission de discipline de la LFP qui a reconnu le préjudice physique et psychologique subi par un licencié de la LFP en raison du non-respect par un des acteurs des dispositions réglementaires et conventionnelles ; de l’enquête pénale en cours après le dépôt de plainte contre X par l’UNFP auprès du Procureur de la République portant spécifiquement sur les mises à l’écart comme étant constitutifs de faits d’extorsion et de harcèlement."

La DNCG envisage 1,2 milliard d'euros de pertes cette saison

Le patron du gendarme financier du foot français a annoncé, lors d'un conseil d'administration en novembre, que les clubs seront très largement déficitaires en juin.
La DNCG envisage 1,2 milliard d'euros de pertes cette saison

C'est un chiffre qui donne le vertige. La direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) de la Ligue de football professionnel (LFP) table sur une perte d'exploitation de 1,2 Md€ cette saison pour les clubs de L1 et de L2. L'annonce a été faite par son patron, Jean-Marc Mickeler, lors du conseil d'administration de l'instance en visioconférence, le 18 novembre dernier.

Deux ans après la manne de 1,5 Md€ (les clubs se sont partagé environ 1,2 Md€) apportée par CVC, le fonds d'investissement à l'origine de la création de la société commerciale de la Ligue, ce trou apparaît abyssal. Il interroge sur le modèle du foot français actuel, d'autant que, la saison passée, la perte était déjà proche du milliard, mais grâce à des ventes exceptionnelles sur le marché des transferts (830 M€), elle avait pu être ramenée à 250 M€. Pour 2024-2025, si les clubs parviennent encore à performer lors des mercatos, la DNCG espère la diminuer de plus de la moitié et ainsi l'établir entre 500 M€ et 600 M€.

Une obligation de repenser le modèle
Mais comment expliquer de telles pertes ? « Les clubs professionnels français ne génèrent pas autant de revenus d'exploitation que leurs homologues des autres grandes ligues, mais ils bénéficient d'un modèle économique axé sur le développement et la vente de talents, ce qui est crucial pour leur viabilité financière. Dans ce contexte, la maîtrise des coûts et la vente de joueurs sont deux conditions essentielles pour équilibrer le modèle, lequel a été particulièrement mis à l'épreuve ces dernières années », a rappelé Mickeler lors de sa prise de parole.

Plusieurs raisons expliquent ce décrochage. La majorité des clubs ne bénéficient plus des revenus CVC qui leur ont rapporté 472 M€ en 2022-2023, puis 550 M€ la saison passée. En 2024-2025, il ne reste qu'un reliquat de 136 M€ pour les clubs européens, essentiellement. S'ajoutent aussi la baisse des droits télé domestiques (-35 % par rapport à l'an dernier), un peu compensée par la hausse des droits internationaux (+ 80 %), mais aussi le droit au dividende de CVC de 125,4 M€ cette saison qui intègre le rattrapage prévu contractuellement.

Une fois ce rattrapage pris en compte, ainsi que les frais de fonctionnement de la LFP et différentes contributions, les montants pour les clubs diminuent de 47 %. « Nos recettes ont baissé à l'inverse de nos charges, nous confirme un dirigeant de club. CVC nous avait demandé de flécher son apport sur le sportif dont les joueurs, les infrastructures, le digital, l'académie, par exemple. On continue d'amortir ces investissements, certains postes comme celui de l'énergie ont aussi augmenté et, avec la crise économique, certains partenaires limitent leur engagement. »

Plus globalement, les clubs, avec le passage à 18 formations dans l'élite, n'ont pas baissé leur masse salariale pour tenter de conserver leur compétitivité, sauf qu'en face ils ne parviennent pas à générer de revenus stables. Une situation qui va nécessiter de repenser le modèle.

Rennes n'avait plus autant perdu en Championnat depuis... 41 ans

Avec déjà 11 défaites en 18 matches, le Stade Rennais présente son pire ratio en Championnat depuis la saison 1983-1984, lors de laquelle ils avaient fini derniers.
Avec Opta
Rennes n'avait plus autant perdu en Championnat depuis... 41 ans

Quatre défaites d'affilée toutes compétitions confondues, un nouveau revers à domicile contre Brest samedi malgré 22 tirs, des supporters en grève arborant des banderoles hostiles : le Stade Rennais traverse une mauvaise passe. Une très mauvaise passe même, selon les statistiques d'Opta.

Rennes compte déjà 11 défaites après 18 journées de Ligue 1. C'est son pire total à ce stade du Championnat depuis 41 ans et la saison 1983-1984. À l'époque, les Bretons avaient accumulé 12 défaites sur leurs 18 premiers matches, et avaient fini derniers en fin de saison.

32 millions gaspillés, Massara attend la sentence

Pour son premier mercato à Rennes l’été dernier, Frederic Massara n’a pas été très inspiré. Le directeur sportif des Rouge et Noir constate que les joueurs recrutés ne donnent pas satisfaction. Certains vont même partir dès cet hiver. Pas sûr que l’Italien résiste à ce fiasco.

32 millions gaspillés, Massara attend la sentence

L’ouverture d’un loft et surtout sa composition en disent long sur la situation de Frederic Massara à Rennes. Parmi les éléments jugés indésirables figurent deux des 11 recrues amenées par le directeur sportif l’été dernier. On y trouve notamment Albert Gronbaek et Glen Kamara dont les transferts avaient respectivement coûté 15 et 10 millions d’euros. Ajoutez à cela les 7 millions d’euros dépensés pour l’attaquant Henrik Meister, déjà prêté avec option d’achat à Pise (Serie B), et l’on obtient un total de 32 millions d’euros gâchés par le dirigeant nommé en juin dernier. Le Stade Rennais n’a donc pas perdu de temps.

Dès le début du mercato hivernal, les arrivées de Seko Fofana et de Brice Samba montraient bien que le président Arnaud Pouille, ancien directeur général du Racing Club de Lens, avait pris la main sur le recrutement. Il n’était pas question de laisser Frederic Massara s’enfoncer après son premier mercato à 80 millions d’euros, et principalement réalisé avec l’agent italien Gabriele Giuffrida. D’après le journal L’Equipe, même s’il a manifestement perdu de l’influence en interne, le dirigeant passé par l’Udinese, la Roma et le Milan AC participe toujours aux décisions du club breton cet hiver. Mais son avenir est plus qu’incertain.

Pouille enfonce Massara
Dans les colonnes d’Ouest-France vendredi, Arnaud Pouille ne cherchait pas à le défendre. « Frederic a conscience de sa participation à certaines décisions qui n'ont pas été les plus heureuses depuis juin dernier, admettait le président rennais. Il n'est pas dans le déni. C'est comme avec les joueurs : serrons-nous les coudes, ayons conscience de nos erreurs et essayons de réparer au mercato avec des profils plus en lien avec l'ADN du club. » Autant dire que Frederic Massara n’est pas certain de rester jusqu’au mercato suivant.

Frédéric Massara déjà en danger ?

A Rennes, l’état d’urgence est déclaré. 14e de Ligue 1 à la mi-saison, les Bretons n’arrivent plus à enchaîner, et restent sur une série noire de sept défaites lors de leurs dix dernières sorties. Face à cette situation, le management a fait des choix forts au niveau des joueurs, même de ceux arrivés il y a six mois. L’attaquant danois Henrik Meister a été prêté avec option d’achat à Pise il y a quelques jours, alors que Glen Kamara et Albert Gronbaek ont rejoint un loft récemment créé par le club breton.

Frédéric Massara déjà en danger ?

Un nouveau mercato raté par Rennes, qui a dépensé plus de 100 millions d’euros depuis le 1er juillet dernier, avec des arrivées pas toujours réussies (Ostigard, Jota, Kamara, Meister…). Le président Arnaud Pouille s’est exprimé dans Ouest-France ce vendredi, mettant le doigt sur le problème sans attaquer son directeur sportif Frédéric Massara : «Frederic a conscience de sa participation à certaines décisions qui n’ont pas été les plus heureuses depuis juin dernier. Il n’est pas dans le déni. C’est comme avec les joueurs : serrons-nous les coudes, ayons conscience de nos erreurs et essayons de les réparer». Le remplaçant de Florian Maurice va devoir faire oublier ses erreurs pour ne pas voir sa place en danger.

Le loft Rennais fait scandale

A l’instar de plusieurs clubs français l’été dernier, le Stade Rennais a pris la décision d’écarter dans un "loft" plusieurs joueurs devenus indésirables lors de ce mercato hivernal. Une décision qui scandalise l’UNFP.

Le loft Rennais fait scandale

La crise est profonde au Stade Rennais, qui flirte avec la zone rouge en Ligue 1 et qui s’est fait éliminer de la Coupe de France par Troyes cette semaine. Le mercato doit permettre au club breton de se renforcer mais pour cela, il faut réussir à vendre les joueurs indésirables afin de garder un effectif cohérent en nombre. Dans le but de convaincre les plus réticents de faire leurs valises, le Stade Rennais a mis en place un loft. Autrement dit, plusieurs joueurs sont désormais mis à l’écart et doivent se trouver un club le plus vite possible.

L'UNFP condamne le loft du Stade Rennais
Une pratique qui n’est pas inventée par le Stade Rennais puisque l’OM, l’OL et même le PSG y ont eu recours l’été dernier… ce qui déplait fortement à l’UNFP, le syndicat des joueurs professionnels. Dans un communiqué, l’instance a prié le Stade Rennais de vite remédier à la situation. "La moustache de Frédéric Thiriez a dû se redresser d’un coup quand le nouveau président du Conseil national de l’éthique a appris que le Stade Rennais, qui s’évertue – allez savoir pourquoi – à devenir un club comme un autre, a créé un loft à défaut -pour le moment ? – de pouvoir ajouter quelques-uns de ses salariés, footballeurs professionnels sous contrat de leur état, au catalogue de chez Christie’s" regrette d’abord l’UNFP au sujet des méthodes du club breton avant de poursuivre.

"L’ancien président de la LFP, comme l’UNFP l’y encourage, va devoir expliquer à François-Henri Pinault, entre deux verres de Latour, que la FFF s’engage – c’est écrit dans sa Charte éthique – à garantir qu’aucune atteinte ne puisse être portée à la dignité ou à l’intégrité d’une personne, que ce soit sous forme de violences (physiques ou morales), de harcèlement ou de tout autre acte hostile dont l’objectif est d’isoler ou d’ostraciser une personne ou d’affecter sa dignité. Ce que la directrice juridique du club breton, membre du Comex de la FFF, n’a visiblement pas précisé au grand patron, comme elle a certainement oublié de prévenir l’équipe de Philippe Diallo qu’elle allait, en sa qualité d’élue, faire de la Fédération la complice des pratiques illégales, contraires aux lois de la République, mises en place par le Stade Rennais". A travers ce communiqué, l’UNFP pointe ce qu’elle qualifie comme "l’illégalité" du club détenu par François-Henri Pinault. Un gros coup de pression à l’égard des dirigeants rennais en cette période trouble du mercato hivernal.

La tendance se confirme pour l’avenir de Mandanda

Malgré son nouveau statut au Stade Rennais, Steve Mandanda ne va pas claquer la porte.

La tendance se confirme pour l’avenir de Mandanda

Comme lors de son passage à l’OM, Jorge Sampaoli a changé de gardien numéro 1 au détriment de Steve Mandanda (39 ans). En effet, cet hiver, l’entraîneur argentin a accueilli Brice Samba en provenance du RC Lens, qui est devenu le nouveau titulaire. De son côté, l’ancien international français prend désormais place sur le banc.

L’heure de la retraite pour Mandanda ?
Sous contrat jusqu’en juin prochain, son avenir à Rennes allait peut-être être remis en question cet hiver. Cependant, comme confirmé par L’Equipe vendredi, même si Mandanda dispose de quelques pistes, il devrait rester au SRFC jusqu’à la fin de la saison. Viendra ensuite une réflexion concernant la suite de sa carrière, avec la possibilité de prendre sa retraite.

Accusé à tort, Sampaoli balance son président

En pleine crise, le Stade Rennais a ouvert un loft. Plusieurs joueurs comme le Danois Albert Gronbaek sont mis à l’écart en attendant leur départ. La décision a beaucoup fait réagir et a alimenté la conférence de presse du coach Jorge Sampaoli, lequel a plaidé non coupable.

Accusé à tort, Sampaoli balance son président

L’Olympique de Marseille est loin d’être le seul club à utiliser ces méthodes. En plein milieu de la saison et du mercato hivernal, le Stade Rennais a ouvert un loft pour y placer les indésirables. Au moins quatre joueurs font partie de cette catégorie, à savoir Gauthier Gallon, Baptiste Santamaria, Glen Kamara et Albert Gronbaek. On ne s’attendait pas forcément à voir le nom du Danois apparaître.

Arrivé l’été dernier pour 15 millions d’euros, le milieu offensif, sans être un titulaire indiscutable, a régulièrement été aligné cette saison. Difficile de parler d’un véritable flop dans la mesure où l’ancien joueur de Bodo-Glimt a montré un potentiel technique intéressant. D’ailleurs, l’insider Mohamed Toubache-Ter nous apprend que des directeurs sportifs de Ligue 1 s’étonnent de voir Albert Gronbaek chez les indésirables à Rennes. Certains ont peut-être accusé Jorge Sampaoli. Alors afin de mettre les choses au clair, l’entraîneur des Rouge et Noir a plaidé non coupable en conférence de presse.

Gronbaek veut partir
L’Argentin assure que la mise à l’écart de la recrue estivale a été décidée par le président Arnaud Pouille. « Le loft est une décision du président, du club, a expliqué le coach rennais. Ce sont des joueurs qui ne jouaient pas et qui vont quitter le club lors de ce mercato. Gronbaek m'a dit qu'il voulait partir parce qu'il n'a pas trouvé sa place ici depuis son arrivée. Il n'est pas heureux et préfère partir dans un autre endroit. Sa place dans le loft est une décision personnelle. » Etant donné la pauvreté offensive à Rennes, Jorge Sampaoli aurait sûrement été ravi d’aligner Albert Gronbaek.

L'UNFP, demande au club de réintégrer les joueurs mis à l'écart

Après avoir mis quatre joueurs à l'écart de son groupe professionnel ce jeudi, le Stade Rennais s'est attiré les foudres de l'Union Nationale des Footballeurs professionnels. Dans un communiqué publié ce vendredi, le principal syndicat de joueurs en France dénonce "une pratique illégale".

L'UNFP, demande au club de réintégrer les joueurs mis à l'écart

L'UNFP, le syndicat des joueurs professionnels en France, a publié un communiqué au vitriol ce vendredi soir. Dans son viseur : le choix du Stade Rennais d'écarter quatre joueurs (Gauthier Gallon, Baptiste Santamaria, Glen Kamara et Albert Grønbæk) de son groupe professionnel. Priés de s'entraîner à l'écart de leurs partenaires, avec possibilité de réintégration future selon le président Arnaud Pouille, ils constituent un "loft" rennais selon une expression communément utilisée pour décrire ces mises à l'écart dans le football.

Une situation régulièrement pointée du doigt voire attaquée en justice par l'UNFP, qui réclame la réintégration des joueurs écartés au Stade Rennais. Dans un texte au ton acerbe voire mesquin, enchaînant les références aux entreprises de la famille Pinault (Christie's, Château Latour, Kering...), le syndicat attaque sans la nommer la directrice juridique du club Elodie Crocq, membre du comité exécutif de la FFF, l'accusant de rendre "la fédération complice de pratiques illégales". Il évoque encore "un profond mépris quant aux droits des salariés", et estime qu'en agissant de la sorte le club fait fi de plusieurs dispositions conventionnelles et de décisions de justice passées protégeant les joueurs de ces mises à l'écart parfois abusives.

Ces cas de figure sont normalement régis par la Charte du Football Professionnel, et son article 507 alinéa 2 relatif aux groupes d'entraînement. Un article qui permet aux clubs une relative souplesse pendant l'été pour constituer ces "lofts", mais qui se durcit en cours de saison et donc dans le cas en cours au Stade Rennais. Pour constituer un deuxième groupe d'entraînement, celui-ci doit notamment être constitué au minimum de dix joueurs sous contrat professionnel, stagiaire ou élite. Ces joueurs doivent conserver l'accès à des infrastructures d'entraînement, des soins, des équipements et des vestiaires de qualité identique au reste de leurs partenaires. Sollicité pour savoir si ces dispositions étaient respectées, le Stade Rennais ne nous a pas répondu à ce stade.

L’UNFP monte au créneau sur le loft du Stade Rennais

Quatorzième de Ligue 1 et éliminé de manière décevante par Troyes en 16es de finale de la Coupe de France, le Stade Rennais traverse une période de crise. Alors que le club breton travaille sur le renforcement de son effectif, des départs sont également envisagés. Dans cette perspective, un loft devrait bientôt voir le jour pour écarter certains joueurs.

L’UNFP monte au créneau sur le loft du Stade Rennais

Une situation qui n’a pas tardé à faire réagir l’Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP). Dans un communiqué, le syndicat a réagi : «La moustache de Frédéric Thiriez a dû se redresser d’un coup quand le nouveau président du Conseil national de l’éthique a appris que le Stade Rennais, qui s’évertue – allez savoir pourquoi – à devenir un club comme un autre, a créé un loft à défaut -pour le moment ? – de pouvoir ajouter quelques-uns de ses salariés, footballeurs professionnels sous contrat de leur état, au catalogue de chez Christie’s… L’ancien président de la LFP, comme l’UNFP l’y encourage, va devoir expliquer à François-Henri Pinault, entre deux verres de Latour, que la FFF s’engage – c’est écrit dans sa Charte éthique – à garantir qu’aucune atteinte ne puisse être portée à la dignité ou à l’intégrité d’une personne, que ce soit sous forme de violences (physiques ou morales), de harcèlement ou de tout autre acte hostile dont l’objectif est d’isoler ou d’ostraciser une personne ou d’affecter sa dignité.» Avant de conclure : «L’UNFP réclame la fermeture du loft rennais et rappelle au propriétaire de Kering ces quelques mots d’une créatrice de mode : "L’élégance n’est pas une question de luxe, de richesse, mais d’attitude"». Le message est clair.

Ni DAZN, ni IPTV

Malgré des prix diminués et une couverture améliorée, DAZN lutte pour s'imposer dans le paysage audiovisuel de la Ligue 1.

Ni DAZN, ni IPTV

Avec la Coupe de France qui vient de vivre deux tours en deux semaines en ce mois de janvier, les Français ont pu retrouver les joies de quelques matchs de clubs en clair. Entre la Coupe d’Europe sur Canal+ et la Ligue 1 répartie entre DAZN et BeIN Sports, il faut forcément payer pour suivre les clubs tricolores désormais. Si pendant longtemps, le championnat de France a permis de récolter des montants records pour la Ligue, ce n’est plus le cas depuis le récent appel d’offres, et des revenus de moins de 500 millions d’euros dans les caisses du football français désormais chaque année. Pour ses tarifs trop élevés, DAZN a été pointé du doigt au départ. Si depuis, la plateforme britannique a revu sa façon de faire, changeant ses tarifs et améliorant la qualité de sa production, nombreux sont ceux qui n’ont pas adhéré au projet. Même les abonnés de la première heure, dont certains s’estiment floués de devoir payer plein pot quand d’autres arrivés plus tard déboursent deux fois moins, ont parfois abandonné le suivi de leur championnat.

Le prix et la qualité, deux éléments décisifs

Le magazine Capital se penche ainsi sur les tentatives de DAZN de séduire le public français pour éviter d’avoir à tout abandonner dans un an, si le seul de 1,5 million d’abonnés n’est pas atteint. « De quoi tenter les indécis, et éviter qu'ils ne basculent vers les offres illégales d’IPTV. Mais aussi faire regretter leur engagement aux premiers clients, qui payent plein pot », livre ainsi le magazine économique, qui donne la parole à des clients qui se sont désabonnés. Certains se plaignent du prix, et d’autres de la qualité de l’image. Et le dénommé Hervé, lui, déplore les deux. « Hallucinant les tarifs de DAZN. Même à 19,99 euros, c’est beaucoup trop cher pour un service de piètre qualité. J’ai été abonné à 15 euros via Amazon. J’ai résilié au bout d’un mois : la qualité de diffusion est médiocre. Sur grand écran, vous suivez la trajectoire du ballon et elle n’est pas fluide. C’est certainement leur algorithme de compression pour optimiser la bande passante et faire des économies sur l’exploitation. Ils feraient mieux de s’inspirer de Canal+, TF1… Bref pas d’IPTV, mais pas de DAZN non plus », dénonce ce client qui s’est désabonné, et rappelle que les téléspectateurs français veulent en fait un service pas trop cher et de bonne qualité pour retrouver l’amour de la Ligue 1.

Arrêter de croire que c’est le club med!

Dans une interview à Ouest-France, Arnaud Pouille, président du Stade Rennais, allume ses joueurs après l’élimination à Troyes en Coupe de France au cœur d’une saison "merdique". Il défend son directeur sportif mais aussi Jorge Sampaoli, en assurant qu’il ne souhaite pas claquer la porte.
Arrêter de croire que c’est le club med!

Arnaud Pouille avait beaucoup de choses à dire. Le président du Stade Rennais, nommé le 4 octobre dernier en remplacement d’Olivier Cloarec, a tiré la sonnette d’alarme dans un long entretien à Ouest-France, ce vendredi, deux jours après la piteuse élimination (1-0) en Coupe de France à Troyes, pensionnaire de Ligue 2. Une nouvelle déconvenue au cœur d’une saison "merdique", selon ses termes où Rennes pointe à la 14e place de Ligue 1 avec un seul point d’avance sur Saint-Etienne, barragiste. Il cible en premier lieu les joueurs avec lesquels il s’est entretenu, jeudi. Certains d’entre eux ont d’ailleurs été invités à s’entraîner dans un loft.

On va concentrer l’effort sur ceux qui ont envie de porter le projet, pas sur ceux qui n’en ont rien à faire de l’histoire du club, balance-t-il.
"Il faut des gens investis, et malheureusement, on a constaté que certains le sont moins que d’autres. On ne peut plus se disperser sur des gens qui s’en fichent d’être là ou ailleurs. Ensuite, je leur ai rappelé que dans tous les contrats, qui sont plutôt bien faits ici, il y a une prime d’éthique associée à leurs salaires, et l’éthique est rattachée au respect du club et du maillot. Cela fait douze matches que je vois. Je ne dis pas que tout est à jeter, je trouve qu’une structure était revenue, mais il faut aller au-delà et faire beaucoup plus."

Arrêter de croire que c’est le Club Med!
Il confirme que plusieurs éléments de l’effectif seront sortis du groupe pour la réception de Brest, samedi (19h, 18e journée de L1). "Mais ils pourraient potentiellement être réintégrés", précise-t-il. "Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence, il faut qu’ils le comprennent vite. Cela veut dire être à l’heure, respecter les obligations du club. Il y a des droits, mais aussi pas mal de devoirs. Il faut vite rebrancher les fils et arrêter de croire que c’est le Club Med!"

Arnaud Pouille assure avoir toujours le soutien des actionnaires et défend son directeur sportif, Frederic Massara, très critiqué après les nombreux échecs de recrutement de l’été dernier. "Frederic ne fuit pas ses responsabilités", explique-t-il. "Personne ne défend l’indéfendable. Je l’ai déjà dit et je le répète : il a été pris par une vague de départs statistiquement exceptionnelle l’été dernier, mais ce n’est pas pour ça qu’il n’assume pas sa part de responsabilités sur un certain nombre de sujets. On en discute très librement entre nous."

Alors que les rumeurs d’un départ du Franco-Italien bruissent, Pouille assure qu’il est toujours impliqué dans le projet. D’autant que le club promet d’encore s’activer sur le match d’hiver. "On doit intégrer des profils psychologiques qui aiment lutter, car c’est notre réalité. Et ne pas rajouter l’erreur à l’erreur. (…) Oui, il y a des profils identifiés, des discussions en cours, des clubs avec lesquels on discute mais qui ont aussi leurs propres contraintes pour pouvoir libérer leurs joueurs au bon moment. (…) On est dans une situation d’urgence, mais ce n’est pas une raison pour faire n’importe quoi."

L’ancien président de Lens conclut enfin sur le fait que Jorge Sampaoli, nommé sur le banc rennais le 11 novembre en remplacement de Julien Stéphan, n’envisage pas de partir. "Il ne s’attendait sûrement pas à ce que la situation soit si compliquée, même s’il avait fait son analyse de l’équipe avant d’arriver", explique-t-il. "Jorge est quelqu’un qui déteste profondément la défaite. Après chaque défaite, il est déconfit. Mais ce matin (jeudi), à notre retour à Rennes, il est reparti avec une énergie folle. On m’a posé plusieurs fois la question: ‘attention, il peut partir, il peut claquer la porte!’ Mais non, il est combatif."

S.G.S.B.

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