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Après une saison ratée, l'heure du bilan et des questions

La saison du Stade Rennais s'est achevée brutalement dimanche soir au Roazhon Park. Le match nul concédé face à Lens (1-1) a mis fin aux minces espoirs bretons d'accrocher l'Europe. Après un dernier déplacement sans enjeu à Reims dimanche prochain, Rennes finira au mieux 8e, au pire 10e. Loin des ambitions de Ligue des champions du mois d'août. Un sacré échec qu'il faudra assumer pour rebondir.
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Pour la première fois depuis 2017-2018, il n'y aura pas de soirées européennes au Roazhon Park la saison prochaine. C'est la fin d'une période dorée inédite pour le club et rare pour le foot français (seul le PSG fait mieux sur cette même période) de six qualifications continentales de suite pour les Bretons. Forcément, la déception était de mise dimanche soir au coup de sifflet final du nul contre Lens (1-1) sans pour autant se transformer en colère. Il n'y a pas eu de sifflets du public au moment du tour d'honneur des joueurs. Peut-être car cet échec final n'est finalement pas brutal, mais prévisible au vu de la première partie de saison manquée. Peut-être aussi "car les supporteurs ont perçu qu'au moins sur la deuxième partie de saison, il y a eu un engagement total des joueurs et qu'il y a quand même un parcours sur cette période qui mérite d'être souligné", a déclaré Julien Stephan.

Une saison ratée, ça arrive à tous les clubs. Voilà la phrase que l'on entend depuis déjà plusieurs semaines. Si elle est factuellement vraie, elle n'exonèrera pas les dirigeants de faire le bilan d'un exercice 2023-2024 qui aura été éprouvant. Olivier Cloarec et Florian Maurice le feront normalement face à la presse en début de semaine prochaine après le déplacement à Reims lors de la dernière journée. L'année dernière, au même moment du bilan et après une 4e place arrachée lors de l'ultime journée, Florian Maurice était apparu tendu, regard noir et revanchard pour défendre son travail qu'il trouvait exagérément critiqué. Cette fois, beaucoup parmi les supporteurs et les observateurs semblent l'attendre au tournant.

Florian Maurice en première ligne, ne pas exonérer Genesio
Car oui, bien sûr, il est en première ligne. Le directeur sportif a quitté le Roazhon Park rapidement dimanche après avoir pris la parole devant le groupe dans le vestiaire, visiblement touché et faisant part de sa profonde déception quant à la tournure de la saison. Parmi les questions qui attendent des réponses, il y a en premier lieu la constitution de l'effectif. Les recrutements rapides l'été dernier d'Enzo Le Fée et Ludovic Blas et l'arrivée de l'expérimenté Nemanja Matic, le "grand joueur" que le club attendait, avaient été salués par tous à l'époque. Il convient de le rappeler.

Neuf mois plus tard, Le Fée a déçu avant de se blesser en février. Blas n'a jamais vraiment existé au sein de l'équipe et Matic est parti avec pertes et fracas après seulement six mois. Les recrues ne sont malgré tout pas les seules à blâmer. Beaucoup de cadres n'ont que trop rarement été au niveau attendu ce qui a une importance primordiale (Bourigeaud, Gouiri, Terrier, Theate...). Reste que ce mercato d'été n'avait pas dissipé les interrogations sur le non-remplacement de Jérémy Doku par exemple par un profil similaire ou sur la qualité de la défense, une faiblesse pointée du doigt depuis un moment.

"Je ne doute pas de la défense et je pense qu'on va être plus solide à ce niveau-là", prophétisait Maurice début septembre. Les faits lui donnent torts. Des erreurs individuelles parfois grossières ont jalonné et plombé la saison rennaise. Les huit défenseurs actuels de l'effectif ont une moyenne d'âge d'à peine plus de 21 ans et suscitent des doutes légitimes. Le club s'est-il leurré sur leur niveau? Rennes a bien cherché activement des renforts d'expérience mais n'a-t-il pas visé trop haut en tentant des joueurs inaccessibles pour un club de la dimension actuel du Stade rennais (Savic, Lenglet, Nelsson, Morato…)? C'est peut-être aussi une leçon à tirer. Rennes et son environnement ne sont pas aussi attractifs qu'ils espèrent l'être pour cette catégorie de joueurs, l'exemple du départ de Matic vers Lyon et l'OL en étant la preuve cinglante.

Si beaucoup semblent vouloir se payer la tête de Florian Maurice, dans le bilan officiel à venir, il ne faudra pas exonérer de responsabilités le président Olivier Cloarec qui se montre solidaire de Maurice rappelant que les deux hommes travaillent de concert, mais aussi Bruno Genesio. L'ancien coach rennais a sans doute une part de responsabilité non négligeable dans la tournure de la saison. La constitution de l'effectif par Florian Maurice et Olivier Cloarec répond aussi en grande partie à ses demandes dans les profils des joueurs recrutés. Bruno Genesio qui en outre se posait des questions déjà en fin de saison dernière sur son énergie et sa volonté de continuer après un peu plus de deux années réussies. Le péché originel se trouve peut-être en partie là, dans le fait de ne pas avoir senti qu'un cycle avec lui était en train de se terminer.

Vers un statu quo à la tête du club
Et maintenant? "Le plus important c'est de rebondir", pouvait-on entendre dans les couloirs du Roazhon Park dimanche. La suite se fera avec Julien Stephan arrivé en novembre pour "relever le club" comme il aime à le rappeler sans objectif annoncé de classement. Stephan prend toujours bien soin de préciser qu'il a pris la saison en cours de route alors que Rennes était 13e pour mieux défendre ses résultats. Avec lui, de la 16e à la 34e journée, Rennes est la 6e équipe de Ligue 1, la 4e attaque et la 7e défense. Grâce à deux mois de janvier et février marquants, le Stade Rennais a repris vie et espoir, Stephan gagnant aux yeux des dirigeants le droit de continuer.

L'annonce de sa prolongation de contrat jusqu'en 2026 intervient le 25 mars dernier. Depuis cette annonce, l'équipe rennaise a perdu de son rendement. Hasard ou non? L'officialisation a-t-elle été trop précoce alors que rien ne la pressait? La direction voulait envoyer un message de clarté pour l'avenir. Peut-être a-t-elle au contraire envoyé le signal au groupe que le plus dur était fait après être revenu dans la course aux places européennes amenant une décompression et entrainant des matchs sans vie et des défaites piteuses à Strasbourg et face à Toulouse. C'est une piste que les dirigeants rennais n'excluent pas.

Stephan sera donc l'entraineur du Stade Rennais la saison prochaine et rien ne semble indiquer à ce jour d'autres changements. Florian Maurice et Olivier Cloarec devraient eux aussi continuer, preuve que l'actionnaire François Pinault, seul vrai décideur sur ces questions, leur maintient sa confiance malgré les objectifs non tenus.

Doué, Kalimuendo et d'autres sur le départ
Avec quel effectif? Sans Europe, Rennes va-t-il perdre gros en attractivité? "Comment ont fait Lyon, Monaco ces dernières saisons?" répond Julien Stephan. "Si on veut pouvoir se battre avec ces clubs, il faut être capable même sans Europe de garder nos bons joueurs et d'en attirer sinon ça va être compliqué de lutter. Garder une attractivité et des moyens financiers importants, ce sera notre enjeu."

Sauf que Rennes n'est ni Lyon ni Monaco. Des départs potentiellement nombreux sont à prévoir, certains quasi actés comme Désiré Doué, très convoité, ou Arnaud Kalimuendo. Adrien Truffert ou Arthur Theate ont déjà fait l'objet d'approches concrètes lors des précédents mercatos. Pas de sujet en revanche pour Martin Terrier, nous dit-on au club. Enzo Le Fée lui-aussi restera rennais. Quid de Gouiri? Ou de Benjamin Bourigeaud, au club depuis 2017 et qui pourrait s'interroger si des offres intéressantes de l'étranger arrivaient? Mais y aura-t-il des offres à la hauteur? Pour les arrivées, Stephan a déjà son idée sur les profils pour "pallier les manques qu'on a pu voir cette année avec plus d'expérience, plus de maturité, plus de puissance aussi le tout en gardant la qualité technique comme base essentielle". Le travail des prochains mois s'annonce intense pour le Stade Rennais. Rennes le sait. Il sera attendu au tournant.

Un geste déplacé suscite la polémique après Lens

Hier soir, le Stade Rennais a dit adieu à ses espoirs de qualification européenne pour la 7ème saison de suite. Après un match nul insuffisant face au RC Lens (1-1), les Bretons finiront, au mieux, à la 8ème place au classement de Ligue 1. Outre le constat amer de cette saison manquée des Rouge et Noir, un joueur de Julien Stéphan a remis de l’huile sur le feu ce dimanche soir.

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Face à une formation artésienne bien désireuse de ne pas céder sa 6ème place en Ligue 1 synonyme d’Europe, Les Bretilliens se sont heurtés à un mur. Avec l’obligation de l’emporter pour conserver un mince espoir de qualification en coupe d’Europe la saison prochaine, le Stade Rennais a échoué pour sa dernière au Roazhon Park. Après une première mi-temps où les deux équipes se sont neutralisées, ce sont les Sang et Or qui ont infligé le coup de massue aux Rouge et Noir en ouvrant le score au retour des vestiaires par l’intermédiaire d’Angelo Fulgini (48’). Alors que les chances de victoire s’effritaient peu à peu, c’est Ibrahim Salah, rentré quelques peu après l’heure de jeu, qui a redonné espoir à tout un peuple en égalisant à une dizaine de minutes de la fin de la partie (82’). Après ce but de renard des surfaces, l’international marocain n’a pas hésité à venir chambrer ses propres supporters.

Un geste révélateur de tensions entre joueurs et supporters
Ibrahim Salah, auteur de quelques fulgurances en début de saison 2023-2024, a peu à peu perdu en temps de jeu au fil de la saison sous les ordres de Julien Stéphan. Très peu utilisé ces derniers temps, l’ancien ailier de la Gantoise a effectué une entrée en jeu mitigée hier face à Lens. Centre raté, contrôle manqué, pourtant, le Marocain a ramené son équipe dans la rencontre en profitant d’une situation brûlante dans la surface de réparation de Brice Samba. En inscrivant son premier but sous la tunique rennaise depuis le 6 février dernier face à Sochaux en coupe de France, Ibrahim Salah, sifflé abondamment quelques minutes plus tôt par ses propres supporters, n’a pas manqué l’occasion de se diriger vers la tribune Mordelles. Sans exulter avec les fidèles supporters rennais, Ibrahim Salah a plutôt demander à ces derniers de se taire en portant sa main sous l’oreille et en poursuivant avec un geste de pince de la main.

Un geste incompris qui n’a pas manqué de faire jaser à l’issue de la rencontre. Bon nombre de passionnés du SRFC n’ont en effet pas digéré cette célébration alors que leur équipe de cœur vient tout juste de tirer un trait sur une qualification européenne…

Un nouveau stade à Rennes en 2030 ?

Troquer le Roazhon Park contre un stade plus grand serait légitime, selon certains supporters. D’autres mettent en garde contre la folie des grandeurs.
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Après une saison moyenne et le risque de passer à travers une qualification européenne, la construction d’un nouveau stade, à quelques centaines de mètres du Roazhon Park, sur le site de l’ancienne usine Citroën de la Barre Thomas à l’horizon 2030, est-elle encore d’actualité ? Pour beaucoup de supporters, oui.

Le Stade Rennais, depuis cinq ans, a changé de dimension et un stade flambant neuf de 40 000 places, au lieu des 29 000 actuelles, serait plus en adéquation avec ses nouvelles ambitions. « N’en déplaise à certains supporters, pourquoi ne pas donner à ce futur stade le nom d’un sponsor, propose Jérémy, dimanche, à la terrasse d’un bar, route de Lorient. Je veux que mon club gagne, un jour, le championnat de France. Et, pour cela, il faut de l’argent. »

Le stade actuel sature

D’autres, tout en vantant le charme du Roazhon Park, avec ses tribunes proches du terrain, confirment qu’il faut viser plus haut. « Le stade actuel sature. Il n’y a plus de nouveaux abonnements. Pour les gros matches, contre nos concurrents directs ou les derbys, augmenter la capacité de 10 000 places serait bienvenu. » Certains comptent aussi sur un stade plus grand pour faire baisser le prix des places.

Mais, le statu quo ou l’agrandissement d’environ 5 000 places du Roazhon Park a aussi ses adeptes. « Nous avons un super stade, se réjouit ce supporter. En changer serait du gâchis. Le Stade Rennais, 7e ou 8e au classement, est à sa place. Rennes n’est pas Marseille, ni même Lens. Attention à la folie des grandeurs. »

Pleine Lucarne du 13/05/2024

Pleine Lucarne du 06/05/2024

Un autre sponsor maillot prolonge jusqu’en 2029

Le Stade Rennais a annoncé la prolongation de son partenariat avec le Groupe Blot, sponsor ancien sur le maillot du club. Depuis 2007, le logo de Blot Immobilier orne le dos de la tunique Rouge et Noir, et cette nouvelle entente témoigne d’une relation solide et privilégiée entre les deux entités.

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Bolt et le Stade Rennais rempilent pour cinq ans
La continuité du partenariat est étendue jusqu’en 2029 ainsi que l’annonce le club sur les réseaux sociaux. Blot Immobilier est acteur majeur de l’immobilier en Bretagne qui revendique plusieurs corps de métier : habitation, gestion locative, immobilier d’entreprise, cessions de fonds de commerce et emplacements commerciaux.

Le SRFC prolonge ses sponsors sur le maillot
Le montant de cette prolongation n’est pas divulgué. Au début de ce même mois d’avril, c’est avec Samsic, un autre partenaire historique et celui-là majeur puisqu’à l’avant des maillots du club qui a étendu sa collaboration jusqu’à la même échéance du 30 juin 2029.

La diffusion illégale des compétitions sportives est en hausse en 2023

La consommation de compétitions sportives sur des sites de streaming illégaux est en hausse, selon un bilan de l'Arcom publié mardi.
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Poussé par les compétitions sportives, le "streaming" illégal en direct est en légère hausse en 2023, notamment via la diffusion de liens sur les réseaux sociaux, selon un bilan publié mardi par l'Arcom. Entre 2021 et 2023, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) note une baisse de 26 % de la fréquentation des directs illégaux, mais observe une légère hausse en 2023 "qui correspond quasi exclusivement à des retransmissions de compétitions sportives en direct."

Le gendarme des médias et du numérique explique cette hausse par l'utilisation de "réseaux privés virtuels (VPN) à des fins illicites" et le développement des services IPTV qui permettent de regarder chaînes payantes à un prix réduit. Il précise que plus d'un internaute sur deux (57 %) ayant des pratiques illicites utilise un VPN et appelle les acteurs du secteur à renforcer leurs mesures de blocage des diffusions illicites.

8,5 millions de Français consommaient du contenu illégal en 2023
Ces deux dernières années, 3 370 noms de domaine liés à des diffusions non autorisées de compétitions sportives ont ainsi été bloqués par la justice ou à la suite d'une notification de l'Arcom.

En janvier 2023, l'Arcom avait annoncé un accord visant à lutter contre les retransmissions pirates de compétitions sportives avec les quatre grands fournisseurs d'accès internet en France et les titulaires de droits sportifs.

Globalement, l'institution observe une diminution du streaming et du téléchargement illégal des biens sportifs et culturels (notamment les films et les séries) de 27 % entre 2021 et 2023, indiquant qu'environ 8,5 millions d'internautes consommaient toujours du contenu illégal l'an dernier, contre 11,7 millions en 2021.

Beinsport et le PSG menacent la Ligue 1

Le dossier des droits TV de la Ligue 1 prend un tout nouveau tournant. Car si la LFP est proche d'un accord, la répartition de l'argent essentiellement apporté par Beinsport risque de faire scandale.

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Depuis quelques semaines, la chaîne sportive qatarie fait figure d'énorme favori pour s'offrir les droits TV de la Ligue 1 pour la période allant de 2024 à 2029. Pour l'instant, la Ligue de Football Professionnel n'a toujours pas communiqué alors que le Championnat se termine et qu'on peut légitimement se demander où la L1 sera diffusée la saison prochaine. A en croire les dernières révélations de Daniel Riolo, si le feuilleton s'éternise, c'est que Beinsport souhaite que la répartition des droits TV change et que cela permettre au Paris Saint-Germain de prendre une plus grosse partie de cette enveloppe. Même si évidemment le PSG assure l'essentiel des plus grosses audiences de la Ligue 1 à la télévision, le fait que la chaîne et le club de la capitale ait le même propriétaire risque de faire hurler au scandale. Et le journaliste de RMC d'en dire plus.

Le PSG veut une plus grosse part du gâteau des droits TV

Dans l'After, Daniel Riolo a révélé les dernières rumeurs sur ce sujet forcément très sensible, les 18 clubs de Ligue 1 ayant impérativement besoin de cet argent des droits TV. « Pour La Ligue 1 ça ne va pas être dingo. La grosse tendance, c'est que cela va être Beinsport avec un bout sur Canal+. Mais dans la négociation, ce qui bloque actuellement, c’est que Beinsport dit : « OK on va mettre l’oseille, mais dans la distribution de cet argent, on veut qu’une grosse partie aille dans les poches du PSG. En même temps, c'est normal puisque ça passe de la poche droite à la poche gauche. Je ne trouve pas ça très heureux de la part du PSG de demander ça comme condition, mais c’est peut-être la direction qu’on est en train de prendre. Sur le contrat CVC le gros bout de gâteau, c'est déjà le PSG qui l’a pris et sur les droits TV, on veut casser la traditionnelle répartition. D’un point de vue stratégique, même si je suis le président du Paris Saint-Germain, je trouve cela absurde, car il faut que le championnat soit compétitif. La Ligue 1 l’est cette année pour toutes les autres places, mais pas pour le titre de Champion de France. On n’est pas très loin d’un : » c’est ça ou rien » dans ce dossier », prévient très clairement notre confrère.

De quoi forcément susciter des questions, même si la LFP n'a plus vraiment d'autre choix dans la mesure où aucune autre offre conséquente n'est en mesure de concurrencer Beinsport. D'autant plus que l'on sait déjà qu'il a fallu des interventions au plus haut niveau pour que la chaîne qatarie se penche sur ce dossier. La Ligue 1 sort d'une belle saison, mais les nuages s'amoncellent de nouveau à cause de ce dossier des droits TV qui empoisonne la vie du football français depuis le fiasco Mediapro.

Pleine Lucarne du 29/04/2024

Pleine Lucarne du 22/04/2024

Le Stade Rennais se penche sur un international turc

Un international turc aurait tapé dans l’œil du Stade Rennais en vue du prochain mercato d’été.

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Selon les informations relayées par le média Fichajes, les dirigeants du Stade Rennais lorgneraient du côté de la Turquie pour renforcer leur secteur offensif. Le club breton s’intéresserait de près à Irfan Can Kahveci.

Ailier droit de 28 ans, ce dernier porte actuellement à Fenerbahçe où il est encore sous contrat jusqu’en juin 2025. International turc à 31 reprises (2 buts), le natif de Corum dispose d’une belle cote sur le marché des transferts puisque le FC Séville, Newcastle et la Lazio Rome suivraient également ce profil.

Le joueur pourrait disposer d’un bon de sortie pour cet été mais pas à n’importe quel prix. Ses dirigeants auraient fixé un prix de départ à 20 millions d’euros. Côté terrain, il réalise une belle saison avec seize buts et douze passes décisives en 43 apparitions toutes compétitions confondues.

L’hommage touchant à Nicolas Holveck

Les supporters du Stade Rennais ont rendu hommage ce samedi à Nicolas Holveck, ancien président du club décédé cette semaine d'un cancer.
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Le Roazhon Park accueille la rencontre entre le Stade Rennais et Toulouse ce samedi, dans le cadre de la vingt-neuvième journée de Ligue 1. L’occasion pour les supporters bretons de rendre un dernier hommage à l’un de leurs anciens dirigeants disparus cette semaine, Nicolas Holveck. Alors qu’il souffrait d’un cancer colorectal diagnostiqué en 2021, celui qui occupait la présidence de l’AS Nancy Lorraine depuis août dernier a été emporté par la maladie le 8 avril dernier. Pour lui rendre hommage, les Rennais ont déployé une banderole.

« Reposez en paix Monsieur Holveck. » Tel a été le message adressé par les supporters au disparu. Une minute de silence a également été respectée juste avant le coup d’envoi de la rencontre entre Rennais et Toulousains. Après être passé par Nancy et l’AS Monaco, Nicolas Holveck a débarqué au Stade Rennais dont il a pris la présidence en mars 2020, succédant ainsi à Olivier Létang.

Il restera en poste durant un peu plus de deux ans malgré l’annonce de son cancer, puis il cèdera sa place à Olivier Cloarec en mai 2022, son départ n’étant officialisé que quinze mois plus tard (août 2023).

Le Stade Rennais infiltré de tricheurs, il jure le contraire

Le Stade Rennais vit une saison très décevante. Les Bretons restent d'ailleurs sur une série de trois défaites de suite, ce qui inquiète pas mal.

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A Rennes, c'est la saison de la déception. Pourtant, le dernier marché des transferts estival était plein de promesses au vu des joueurs recrutés. Mais les Bretons ont surtout fait preuve d'une énorme irrégularité pour espérer jouer les premiers rôles. Alors que le sprint final a débuté, les hommes de Julien Stéphan restent d'ailleurs sur une série de trois défaites de suite toutes compétitions confondues. Il sera désormais très difficile pour le Stade Rennais de terminer à une place européenne. En plus des résultats décevants, c'est l'état d'esprit qui inquiète aussi. Pourtant, selon Benjamin Bourigeaud, le vestiaire est on ne peut plus concerné.

Bourigeaud n'aime pas les critiques sur l'état d'esprit au Stade Rennais

Alors que Ouest France insistait sur le fait que l'impression donnée par les joueurs de Rennais était celle d'un groupe pas totalement concerné, le milieu de terrain a rétorqué en interview : « Si vous aviez vu nos réactions après le match du PSG ou de Monaco, vous ne diriez pas cela. On dépense beaucoup, beaucoup d’énergie. Vues les statistiques de courses, personne ne triche. On se donne énormément. On est des compétiteurs. On n’a qu’une envie, c’est de gagner des matches, donc dire qu’on ne se donne pas corps et âme, je ne suis pas d’accord. À Strasbourg, peut-être, mais pas sur les deux derniers matches ». A montrer donc dès ce samedi soir lors de la réception de Toulouse au Roazhon Park. Le Stade Rennais peut profiter de la défaite de Lens ce vendredi soir à Metz pour se rapprocher de la sixième place. Une opportunité à ne pas manquer face à un adversaire qui n'a pas encore assuré son maintien en Ligue 1.

Le préfet impose une mesure de police pour le match à Rennes

Rennes rencontre Toulouse au Roazhon Park, samedi 13 avril, pour la 29? journée de Ligue 1. En raison du risque de confrontations entre supporters, le préfet a pris un arrêté.

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« Il existe un risque avéré de troubles à l’ordre public », selon la préfecture, à l’occasion de la rencontre de football entre le Stade Rennais et le Toulouse FC, samedi 13 avril, à 21 h, dans le cadre de la 29? journée de Ligue 1, à Rennes.

Ainsi, Philippe Gustin, préfet d’Ille-et-Vilaine, a donc pris un arrêté autorisant l’utilisation de deux drones pour sécuriser les alentours du stade et le centre historique de la capitale bretonne.

Des rapports conflictuels depuis 15 ans
En effet, depuis 2009 et le vol de la bâche des supporters ultras du groupe Indians Tolosa 93 par les supporters du RCK, « les ultras entretiennent des rapports conflictuels qui donnent lieu à des affrontements« , mentionne la préfecture dans son arrêté.

Elle détaille également un certain nombre de faits qui se sont déroulés au cours des 15 dernières années entre les deux groupes de supporters.

De plus, la Division nationale de la lutte contre le hooliganisme classe cette rencontre au niveau 3 du risque de troubles, susceptible de se traduire par des affrontements entre supporters ultras des deux camps.

Des zones difficiles à identifier
L’utilisation de ces aéronefs est aussi justifiée par des zones d’affrontements difficilement identifiables à l’avance, ne permettant pas la mobilisation des forces de l’ordre, même en nombre important, pour éviter les troubles. Qui plus est dans un contexte du relèvement du plan Vigipirate au niveau « urgence attentat ».

Autre justification apportée, celle du manque de moyens de vidéoprotection sur les secteurs définis avec des caractéristiques topographiques des lieux ne permettant pas d’opérer une surveillance.

Beinsports refuse cette main tendue

La bataille des droits TV de la Ligue 1 fait rage dans les coulisses, mais la LFP n'a toujours rien communiqué sur ce sujet. On sait seulement que des alliances entre diffuseurs se négocient avec plus ou moins de réussite.

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Cette saison, pour suivre la saison 2023-2024 de Ligue 1, il faut être abonné à Prime Vidéo, qui diffuse sept matchs par journée, dont ceux du vendredi soir et du dimanche soir, tandis que Canal+ Sport donne le match du samedi soir et celui du dimanche en fin d'après-midi, mais pas sur sa chaîne Premium. A la reprise du prochain championnat, tout va être redistribué, puisque le contrat en cours se termine en mai prochain et que Prime Vidéo ne veut pas donner plus de 100 millions d'euros par an.

Du côté de Vincent Labrune, on est déterminé à se rapprocher du milliard d'euros, même si désormais, c'est plutôt 900ME, droits à l'international et de la L2 compris. Dans ce climat, Beinsports, sur ordre du Qatar, est disposé à prendre la totalité des droits de la Ligue 1, mais souhaite que Canal+ diffuse un ou deux matchs. Le média sportif qatari a cependant déjà refusé une offre venue d'ailleurs.

Beinsports ne dira pas oui à tout
A en croire Ouest-France, DAZN, dont l'offre de 500 millions d'euros pas saison, avec un accord à trouver d'urgence sous peine d'un règlement différé, a été refusée, a tout de même essayé de trouver un terrain d'entente avec Beinsports afin d'avoir un dossier plus solide. Peine perdue pour le Netflix du sport. « DAZN aurait même contacté beIN Sports pour sonder le terrain et conclure un accord de diffusion, en vain », révèle notre confrère, qui confirme que le diffuseur anglais est désormais totalement à l'écart des négociations.

Sauf à revenir avec une offre financièrement supérieure, et avec des garanties de paiement, DAZN ne donnera pas la Ligue 1 la saison prochaine, alors que cette saison Canal+ lui avait offert deux matchs. Après Amazon, c'est un deuxième abandon dans la course aux droits TV, Beinsports ayant de plus en plus le champ libre douze ans après avoir fait ses débuts en France avec l'Euro 2012, puis la Ligue 1 et la Ligue 2. La LFP peut remercier le Qatar.

S.G.S.B.

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