Après une première partie de saison loin des attentes, Rennes espère encore un renfort par ligne sur ce mercato. Cette recherche fait l'objet de quelques divergences entre l'entraîneur et son directeur sportif.

JJamais Rennes n'avait autant perdu (10 fois) après dix-sept journées en L1 dans l'ère Pinault, et il faudrait un miracle comme à l'OL la saison passée pour finir européen. Pour se donner les chances d'y croire, le club breton souhaite encore recruter à chaque ligne dans le champ, même après les arrivées de Seko Fofana et de Brice Samba. Il brasse assez large le marché, ce qui en fait la cible des adeptes des jeux de dupes (agents, représentants, dirigeants), qui n'hésitent pas à le citer pour mieux exercer une pression dans des négociations dont les dirigeants bretons ne se sont en réalité jamais mêlés.

Cela peut expliquer en partie que des profils de joueurs, qui n'ont rien à voir les uns avec les autres, sortent ici ou là. Mais ce n'est pas la seule explication. En Ille-et-Vilaine, trois hommes forts travaillent ensemble pour valider les arrivées et les départs : le président Arnaud Pouille, le directeur sportif Frederic Massara et l'entraîneur Jorge Sampaoli. Normalement, aucun dossier ne se conclut sans que cela fasse l'unanimité, avec comme stratégie globale un rééquilibrage de l'effectif et une nécessité de trouver des joueurs à même de performer à court terme et Sampaoli-compatibles. Les signatures de Fofana et de Samba correspondent à cette feuille de route, selon des efforts financiers impensables quand le club allait bien, il y a deux, trois ans.

lMais la difficulté au sein de ce nouveau triptyque - ils sont tous trois arrivés au cours des six derniers mois -, c'est qu'il serait traversé régulièrement par des divergences, parfois profondes. Avec d'un côté Massara, de l'autre Sampaoli. Le premier est arrivé en juillet pour changer le visage d'une équipe en fin de cycle, conscient que Rennes était un habitué des places européennes, tout en s'appuyant en partie sur un fonctionnement de trading. C'est dans cette optique que des joueurs comme Albert Grönbaek (23 ans), Mikayil Faye (20), Andrés Gomez (22) ou Henrik Meister (21, déjà exfiltré en prêt à Pise) ont été recrutés.

Des pistes proposées par Sampaoli mises de côté
Sampaoli, lui, a remplacé Julien Stéphan début novembre, avec pour mission de redresser la courbe de résultats, et l'Argentin entend bénéficier de nouveaux joueurs expérimentés. Quitte à se confronter à Massara, qui a perdu du crédit avec son mercato estival, pour cela ? En interne, on a en tout cas déjà observé plusieurs fois les deux hommes se renvoyer les dossiers. Le milieu Reda Belahyane (20 ans, Hellas Vérone) s'inscrirait dans la logique de trading ? Il ne correspond pas à ce que souhaite Sampaoli. Kyogo Furuhashi, l'attaquant du Celtic (29 ans) plaît au coach ? Il ne fait pas l'unanimité. L'Argentin a laissé entendre mardi qu'il avait des idées, mais qu'il ne tranchait pas : « On ne décide pas nous, comme staff, de qui arrive, mais nous avons communiqué le type de joueurs que nous souhaiterions avoir, et ensuite, c'est à la discrétion du club. »

Ces dernières semaines, en bon connaisseur des Championnats sud-américains, Sampaoli a soufflé plusieurs noms, dont certains côtoyés à Flamengo, comme le milieu chilien Erick Pulgar (30 ans) ou le défenseur brésilien Fabricio Bruno (28 ans), ciblé par Massara l'été dernier. Ils ont jusqu'ici été classés sans suite pour diverses raisons (prix, profil, etc.). Il n'empêche que le départ de Bruno pour Cruzeiro, il y a quelques jours, aurait agacé Sampaoli. S'il n'est pas impossible qu'un élément venu d'Amsud vienne renforcer l'équipe d'ici au 3 février, le dernier jour du mercato hivernal, puisqu'il reste deux places d'extracommunautaires, on garde en tête à Rennes que la plupart des recrues venues de cette région ont besoin de temps pour s'acclimater. Et le club n'en a pas.

Les décideurs rennais se concentrent donc davantage sur des éléments comme Lilian Brassier (25 ans), qui connaît Rennes pour y avoir été formé. S'il devait aller au bout, ce dossier ne pourra se débloquer qu'une fois un accord trouvé avec Brest, ce qui ne se fera pas au moins avant ce week-end, puisque les deux équipes se croiseront samedi.

Malgré le refus initial de Roberto De Zerbi de laisser partir Valentin Rongier, le Stade Rennais semble déterminé à poursuivre ses efforts pour recruter le milieu de terrain marseillais. Cette insistance pourrait faire hésiter les dirigeants de l'Olympique de Marseille face à une offre importante évoquée par les médias. Ancien Nantais, Valentin Rongier ne fait pas l'unanimité auprès des supporters du Stade Rennais

Une offre alléchante de 12 millions d'euros
Selon les informations du Quotidien du Sport, Rennes serait prêt à formuler une offre de 12 millions d'euros pour s'attacher les services de Rongier. Un montant loin d'être négligeable pour un joueur de 30 ans qui n'a plus qu'un an de contrat restant. Cette proposition financière substantielle pourrait inciter Pablo Longoria, le président de l'OM, à envisager d'accepter l'offre.

Un intérêt réciproque de Rongier pour Rennes ?
Cependant, l'issue de ce dossier ne dépend pas uniquement de l'Olympique de Marseille. Valentin Rongier aurait également son mot à dire dans cette affaire. Son entourage serait ouvert aux discussions avec Rennes, qui pourrait même revoir à la hausse le salaire du joueur avec un contrat de longue durée. Cette perspective alléchante pourrait peser dans la balance pour l'ancien Nantais, devenu un élément clé de l'effectif marseillais.

Une surprise potentielle du mercato hivernal
Malgré les réticences initiales de Roberto De Zerbi, le dossier est loin d'être fermé. Le feuilleton autour de Valentin Rongier pourrait bien être la surprise du mercato d'hiver, tant l'insistance de Rennes semble se confirmer. Une issue qui dépendra à la fois de la position de l'Olympique de Marseille face à une offre substantielle, mais aussi des aspirations personnelles du joueur lui-même.

Rennes devrait être l'un des clubs les plus actifs dans cette deuxième partie de mercato. Ses dirigeants ont l'espoir de faire venir le milieu de terrain de l'Hellas Vérone et international marocain, Reda Belahyane.

Après Samba et Seko Fofana, le Stade Rennais est loin d'en avoir terminé avec son mercato. Le club breton doit encore accueillir plusieurs éléments dans la deuxième quinzaine de ce mercato. Reda Belahyane (20 ans, sous contrat jusqu'en 2028) fait partie des pistes ouvertes ces derniers jours. Le milieu de terrain défensif de l'Hellas Vérone réalise une première partie de saison pleine en Série A (19 matches).

Arrivé de Nice en janvier 2024 pour 500 000 euros, l'international marocain (1 sélection) pourrait déjà quitter le club italien. Les dirigeants rennais se sont concrètement positionnés, sans faire une offre ferme. Dans une moindre mesure, l'Olympique de Marseille surveille attentivement la situation du natif d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).

La première offre ferme a été envoyée par la Lazio, pour un prêt avec une option d'achat très facilement atteignable de 12M€.

Recruté sept millions d'euros par Rennes cet été, Henrik Meister quitte déjà la Bretagne. Le buteur danois a été prêté un an avec option d'achat à Pise, deuxième de Serie B.

Sept millions, quatre matches et un but face à Lyon. Recruté cet été par Rennes puis très peu utilisé, l'attaquant danois Henrik Meister (21 ans, sous contrat jusqu'en 2028) va être prêté jusqu'en janvier prochain à Pise, deuxième de Serie B. Comme annoncé il y a quelques jours, Il s'agit d'un prêt payant avec une option d'achat supérieure à 7 millions d'euros.

La période des transferts prend de l’ampleur, et une fois de plus, les clubs européens se tournent vers les talents de la MLS. Cette fois, c’est le Stade Rennais de la Ligue 1 française qui s’intéresse à Denis Bouanga, l’attaquant gabonais de LAFC. Le club français semble véritablement intéressé, mais comme souvent, attirer un joueur de haut niveau n’est pas si simple. LAFC sera-t-il flexible, ou imposera-t-il un tarif élevé pour Bouanga afin de s’assurer que personne ne l’obtienne sans le payer ?

Le Stade Rennais ne fait pas une simple demande comme beaucoup d’autres clubs ; ils ont déjà contacté les représentants de Bouanga. Il ne s’agit pas d’un flirt léger, mais d’une tentative sérieuse pour conclure l’affaire.

La question maintenant est : combien LAFC demande-t-il ? Un montant cool de 10 millions de dollars. C’est une somme importante, c’est sûr. Mais ce que beaucoup pourraient négliger, c’est à quel point ce chiffre est vraiment stratégique. Nous parlons d’un club de la MLS qui, bien qu’encore en pleine expansion, agit sur le marché des transferts comme un pro aguerri. LAFC sait exactement ce qu’il possède avec Bouanga. C’est un joueur clé, et on ne laisse pas partir des gars comme ça pour des broutilles.

Décomposons cela : ces 10 millions de dollars ne sont pas qu’un simple prix élevé, mais plutôt un pari sur l’avenir. Le marché des transferts n’est plus ce qu’il était, où les clubs européens détenaient toutes les cartes. De nos jours, la MLS n’est plus un simple tremplin pour les joueurs en fin de carrière. Bouanga en est un exemple parfait. C’est un joueur de qualité qui sait se positionner sur le terrain et a ce charisme de star. LAFC, tout en appréciant que leur joueur soit remarqué, sait que sa place sur le marché est forte.

Personnellement, je pense que le Stade Rennais pourrait tenter le coup, mais ce prix de 10 millions de dollars risque d’être difficile à digérer. Et n’oublions pas la pression autour de cet accord. Le club français sait que d’autres équipes commenceront bientôt à s’intéresser à Bouanga, et compte tenu de son niveau de compétence, il ne restera pas un secret bien longtemps. S’ils n’agissent pas rapidement, ils pourraient le voir dans une autre ligue, ou pire encore, en Premier League, pour un tarif encore plus élevé.

Il semble que le Stade Rennais essaie de passer à l’action, se plaçant ainsi en avance sur la concurrence. Mais qu’est-ce que le club français a vraiment à offrir à Bouanga ? La Ligue 1 a son attrait, c’est sûr, mais les ligues anglaise et espagnole conservent cet éclat supplémentaire. Par conséquent, Rennais doit faire ses devoirs, car il ne s’agit plus seulement d’argent, mais de proposer une vision claire de l’avenir, un projet qui excite le joueur, et bien sûr, de s’assurer qu’il se sentira à l’aise avec ce transfert. Bouanga n’est pas juste un joueur comme un autre, il s’est déjà fait un nom.

Il ne s’agit pas seulement du prix. Il s’agit de la façon dont les deux parties manœuvrent dans ce jeu de patience et de stratégie. LAFC sait que Bouanga n’est pas qu’un simple joueur de la MLS, il a le potentiel de briller dans des ligues plus prestigieuses. S’ils ne le vendent pas maintenant, ils peuvent choisir de rester en position d’attente et voir la valeur marchande de Bouanga grimper. Qui sait ? S’il part pour l’Europe et fait encore plus de vagues, ces 10 millions de dollars pourraient sembler être une bonne affaire.

Pour le Stade Rennais, la situation est un peu plus urgente. Ils cherchent à renforcer leur effectif pour rivaliser avec les plus grands clubs de France. S’ils parviennent à attirer Bouanga, il serait un atout considérable pour leur attaque. Ce joueur est polyvalent et il ne se contente pas de marquer des buts, il aide également à les créer. Donc, il ne s’agit pas seulement du prix à payer. C’est un pari stratégique.

Cette somme de 10 millions de dollars peut sembler un peu élevée, mais quand on voit ce que les clubs européens dépensent pour des joueurs moins connus, cela s’avère être une véritable affaire.

D’autre part, il sera intéressant de voir comment Bouanga évoluera à LAFC. Le club californien compte déjà des noms importants dans son effectif, mais perdre Bouanga obligera à trouver comment remplir le vide laissé par leur star. Lorsque la MLS perd un talent de cette envergure, cela se fait sentir. Mais la ligue devient de plus en plus forte, et même si LAFC perd Bouanga, ils ne seront pas laissés pour compte. Ainsi, le football américain rejoint une nouvelle dimension de profondeur et de complexité.

Après avoir payé 35 millions d’euros au total pour recruter Seko Fofana et Brice Samba, le Stade Rennais veut continuer à se renforcer. La nouvelle priorité du club breton est de recruter massivement en attaque.

Buteur contre l’OM samedi soir, Arnaud Kalimuendo a cruellement manqué au Stade Rennais en seconde mi-temps après sa sortie, nécessaire en raison d’un choc reçu à la tête. "Kalimuendo est largement au-dessus de la moyenne de l’effectif" reconnaissait d’ailleurs Jorge Sampaoli après la défaite face à Marseille (1-2). L’ancien attaquant du PSG et de Lens est toutefois beaucoup trop seul pour faire planer une menace au sein de l’attaque rennaise. Ludovic Blas et Amine Gouiri sont trop irréguliers et d’autres joueurs comme Jota ou Meister sont en instance de départ. La priorité du mercato hivernal est donc de recruter un ou plusieurs joueurs dans le secteur offensif désormais, comme le confirme le journal Ouest France dans son édition du jour.

Le quotidien l’affirme, le Stade Rennais souhaite à présent recruter en attaque, une "priorité" aux yeux d’Arnaud Pouille, de Frederic Massara et de Jorge Sampaoli. "Il y a urgence" écrit d’ailleurs notre confrère Pierre Le Gall dans le journal local. Après avoir massivement investi pour recruter Brice Samba et Seko Fofana (35 millions d’euros au total), le Stade Rennais devrait encore mettre de gros moyens à disposition de sa direction sportive pour recruter, cette fois en attaque. Dans ce secteur de jeu, certains noms commencent à fleurir dans la presse dont celui de Denis Bouanga, sur le départ de Los Angeles et qui suscite la convoitise de l’actuel 14e de Ligue 1. Jorge Sampaoli espère en tout cas que les renforts vont vite arriver car le calendrier de Rennes s’annonce corsé avec la réception de Brest le week-end prochain avant un déplacement périlleux sur la pelouse de Monaco.

Le Stade Rennais pourrait bientôt accueillir un nouveau joueur dans ses rangs. Après les récentes arrivées de Seko Fofana et Brice Samba, le club breton serait sur le point de signer Denis Bouanga. Des discussions avancées avec Los Angeles FC laissent présager un transfert d’environ 8 millions d’euros.

Selon l’insider Djamel, « Accord proche entre le Stade Rennais et Los Angeles FC pour un transfert avoisinant les 8 M€. Denis Bouanga est très ouvert à l’idée de rejoindre Rennes, et un accord entre le club et l’attaquant gabonais est en bonne voie. Le joueur souhaite faire son retour en Ligue 1. »

L’ancien attaquant de l’ASSE pourrait donc s’installer à Rennes dans les jours à venir. Son arrivée viserait à compenser le probable départ de Jota, l’ailier portugais. Cependant, le transfert de ce dernier n’est pas encore finalisé, ce qui retarde l’opération Bouanga.

Le retour de Bouanga en Ligue 1 semble être une priorité pour le joueur, qui verrait d’un bon œil cette nouvelle étape dans sa carrière. Le Stade Rennais s’active donc en coulisses pour finaliser les derniers détails avant l’officialisation.

La gestion simultanée des départs et des arrivées complique quelque peu la tâche des dirigeants rennais. Toutefois, le club est déterminé à renforcer son effectif avant la fin du mercato estival, et Bouanga représente une opportunité intéressante.

Le possible transfert d’Omar Marmoush à Manchester City cet hiver pourrait avoir des répercussions sur le mercato… du Stade Rennais, car Francfort cible Arnaud Kalimuendo en cas de départ de son attaquant.

Auteur de 13 buts et 8 passes décisives en 15 matchs de Bundesliga cette saison, Omar Marmoush est indiscutablement la sensation en Allemagne depuis plusieurs mois. Le buteur égyptien de 25 ans affole les compteurs à tel point que Manchester City souhaite le recruter lors du mercato hivernal. Des négociations se tiennent actuellement entre les deux clubs et pourraient aboutir sur un accord évaluée à environ 80 millions d’euros. Une superbe vente à venir pour Francfort, mais une perte colossale sur le plan sportif qu’il va falloir combler d’ici au 31 janvier.

Et pour remplacer numériquement Omar Marmoush, l’ancien club de Randal Kolo Muani pourrait se servir en Ligue 1. A en croire les informations de Sky Sports, l’actuel 3e de la Bundesliga est très intéressé par Arnaud Kalimuendo. Lors de chaque mercato ou presque, que ce soit en été ou en hiver, l’attaquant du Stade Rennais est cité comme un joueur susceptible de faire ses valises. Et à chaque fois, l’international espoirs français est envoyé en Allemagne, où son profil de joueur puissant qui avale les espaces plaît à plusieurs clubs dont Francfort.

Francort s'intéresse de près à Arnaud Kalimuendo
Le journaliste Florian Plettenberg explique que Kalimuendo est l’un des attaquants très surveillés par le club allemand en cas de départ de Omar Marmoush, sans pour autant en dire plus que ce soit sur la position du Stade Rennais ou encore sur la valeur marchande du joueur. Le média allemand croit simplement savoir que Kalimuendo n’est pas encore la cible n°1 de Francfort à ce poste, mais qu’il fait bien partie d’une short-list de joueurs ciblés par les dirigeants allemands. Egalement attaqué pour Amine Gouiri, le Stade Rennais ne fera toutefois pas partir tous ses attaquants cet hiver et on peut donc penser que Jorge Sampaoli et Arnaud Pouille mettront un stop à Francfort en cas de proposition pour Arnaud Kalimuendo.

L'attaquant portugais Jota, arrivé l'été dernier à Rennes, pourrait déjà quitter l'Ille-et-Vilaine cet hiver.

Le Stade Rennais est loin d'avoir bouclé son mercato hivernal 2025. Tant dans le sens des départs que des arrivées. Si Brice Samba et Seko Fofana sont déjà venus renforcer les rangs bretons et que Denis Bouanga (Los Angeles) est évoqué, l'effectif de Jorge Sampaoli pourrait se séparer de quelques éléments. Le Danois Henrik Meister est par exemple sur le point de rejoindre Pise (Serie B) sous la forme d'un prêt avec option d'achat, six mois seulement après son arrivée en Ille-et-Vilaine.

Pas dans les plans de Sampaoli
Mais le jeune avant-centre de 21 ans ne devrait pas être le seul à s'en aller. Selon les informations de Ouest-France, Jota devrait lui aussi faire ses valises. Arrivé depuis Al-Ittihad (Arabie Saoudite) contre 8 millions d'euros lors du dernier mercato estival, l'attaquant portugais semble ne pas s'être adapté à son nouvel environnement. L'ancien de Benfica et du Celtic Glasgow a pris part à dix matchs toutes compétitions confondues depuis son arrivée, pour un but et une passe décisive. Et hormis une trentaine de minutes contre Bordeaux (N2) en Coupe de France avant la trêve hivernale (4-1), le joueur de 25 ans n'a quasiment pas été utilisé par Jorge Sampaoli. Il devrait, toujours selon le quotidien, filer vers un club étranger.

Alors que sa signature ressemblait à un joli coup, Jota n’est jamais parvenu à s’imposer depuis son arrivée à Rennes en août dernier. L’ailier portugais, très peu utilisé par l’entraîneur Jorge Sampaoli, se prépare déjà quitter le club breton cet hiver.

Ce n’est pas un hasard si le président Arnaud Pouille a pris les commandes du recrutement à Rennes. Manifestement, la direction n’a pas digéré les choix de Frederic Massara l’été dernier. Le directeur sportif nommé en juin 2024 n’a pas été très inspiré pour son premier mercato chez les Rouge et Noir. Tout le monde se demande encore comment le club breton a pu dépenser 7 millions d’euros pour recruter le Danois Henrik Meister qui s’apprête déjà à partir.

Jota vers l'étranger
Selon les informations d’Ouest-France, l’attaquant de 21 ans va rejoindre Pise (Serie B) en prêt avec option d’achat. Et ce n’est pas la seule correction opérée cet hiver. Toujours au rayon des fiascos de Frederic Massara, Jota va lui aussi prendre la porte. Le quotidien régional indique que l’ailier portugais devrait rejoindre une formation à l’étranger. La source n’en dit pas davantage sur sa prochaine équipe, ni sur la formule négociée. En tout cas, Rennes n’a pas tardé à comprendre que sa recrue estivale n’avait aucun avenir du côté du Roazhon Park.

Arrivé en août dernier pour 8 millions d’euros, Jota ressemblait à une belle affaire. L’ancien joueur d’Al-Ittihad avait certes besoin de temps pour retrouver le rythme après une longue période sans jouer. Mais personne ne s’attendait à le voir passer autant de temps sur le banc des remplaçants. Depuis la nomination de Jorge Sampaoli en novembre dernier, Jota n’est apparu qu’à quatre reprises, sans aucune titularisation et pour un total de 77 minutes toutes compétitions confondues. Il faut dire que son profil d’ailier ne correspond pas à la philosophie du coach argentin. Le technicien n’a pas dû s’opposer à son départ qui devrait permettre de faire de la place à un renfort offensif.