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Le Rennais Alidu Seidu blessé au genou gauche

Le Rennais Alidu Seidu est sorti blessé au genou gauche lors du match contre Lille dimanche. Le Ghanéen a expliqué que les ligaments croisés pourraient être touchés.
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Coup dur pour le Ghanéen Alidu Seidu, et pour Rennes. Titularisé dans l'axe de la défense pour la première de Jorge Sampaoli à Lille, dimanche, il est sorti (18e) après avoir ressenti une vive douleur au genou gauche. Revenu avec des béquilles plus tard pour suivre la deuxième période, il a expliqué à DAZN que les ligaments croisés semblaient touchés. Il passera des examens complémentaires en début de semaine pour en savoir plus sur la gravité de sa blessure.

Les chantiers de Jorge Sampaoli au Stade Rennais

L’entraîneur argentin s’apprête à faire ses grands débuts avec les Rouge et Noir, ce dimanche après-midi, contre le LOSC, lors de la 12e journée de Ligue 1.

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Jorge Sampaoli. Première. Nommé sur le banc du Stade Rennais FC le 11 novembre dernier, en lieu et place de Julien Stéphan, l’entraîneur argentin s’apprête à faire ses grands débuts avec les Rouge et Noir, ce dimanche après-midi, face au LOSC (4e), dans le cadre de la 12e journée de Ligue 1. Et la tâche qui l’attend s’annonce particulièrement difficile. En effet, après un marché des transferts estival durant lequel l’effectif professionnel a été bouleversé – avec notamment les départs de cadres tels qu’Arthur Theate, Benjamin Bourigeaud, Désiré Doué et Martin Terrier et de multiples arrivées qui n’ont pas (encore ?) donné satisfaction –, la formation bretonne a réalisé une très mauvaise entame de championnat, ne remportant que trois de ses onze premiers matches. Elle pointe ainsi à une décevante 14e place au classement (après les rencontres de ce samedi).

La confiance pour sortir de la crise
Mais si les dirigeants rennais ont décidé de lui accorder leur confiance, c’est parce que l’ex-technicien de l’Olympique de Marseille possède les qualités et l’expérience nécessaires pour redresser le club. «On pense qu’il est le meilleur choix pour reprendre les rênes du groupe pro qui a souffert dernièrement, expliquait Arnaud Pouille, le président du Stade Rennais au moment de la présentation du coach de 64 ans. On a retenu avant toute chose chez Jorge son amour du jeu, dans l’exigence et le travail, mais en toute chose, il faut qu’on retrouve le goût du jeu et du plaisir qui semblaient avoir un peu disparu. Ce qui a pesé aussi, c’est l’expérience de Jorge, il a côtoyé les meilleurs et vient avec un staff expert et compétent.»

Afin de redresser la barre, Jorge Sampaoli veut, en priorité, redonner de la confiance à cette équipe rennaise qui paraît si friable mentalement depuis le début de saison, comme l’illustre par exemple son humiliation sur la pelouse de l’AJ Auxerre (4-0) début novembre. «D’abord, il nous faut identifier le problème et rassurer l’équipe, lui donner plus de sécurité, pour qu’ensuite elle devienne protagoniste dans un changement durable», a indiqué celui qui est connu pour être l’un des disciples de Marcelo Bielsa. Avant de préciser : «Dans un moment de crise avec une équipe en souffrance, il est important de déterminer ce qui ne va pas et transformer cette souffrance en sécurité, consolider le groupe et dynamiser.»

Trouver une identité de jeu
Au-delà de la confiance, le nouvel entraîneur des Rouge et Noir a l’ambition de donner un véritable style à son équipe, comme il l’avait d’ailleurs fait sur la Canebière, quand il avait pris la succession d’André Villas-Boas, en mars 2021. «Le premier objectif, c’est de connaître parfaitement l’équipe et l’organisation à mettre en place pour avoir une identité», a-t-il affirmé. Mais quelle identité ? Partout où il est passé, le technicien argentin a cherché à monopoliser le ballon, à constamment attaquer avec un jeu de position bien établi – ce qui lui permet aussi de défendre, comme Pep Guardiola au Manchester City FC – tout en s’autorisant à jouer des transitions rapides afin de profiter des espaces laissés par les défenses adverses, et à harceler l’adversaire à la perte du cuir pour le récupérer le plus vite possible.

Avec des joueurs tels qu’Adrien Truffert, Glen Kamara, Baptiste Santamaria,Albert Grønbaek, Ludovic Blas, Jota ou encore Amine Gouiri et Arnaud Kalimuendo, il dispose d’éléments dont les qualités semblent adaptées à ses exigences. Reste à savoir s’il a eu le temps, en deux semaines, de changer radicalement le Stade Rennais. On aura la réponse ce dimanche, en fin d’après-midi, après le choc face au LOSC, l’une des équipes les plus en forme du moment.

Sampaoli te donne envie de croire à sa vision du foot

Un peu moins de deux ans et demi après son départ de l’OM, Jorge Sampaoli va relancer son histoire avec la Ligue 1, ce dimanche, à Lille, avec le Stade rennais. L’occasion d’écouter Matteo Guendouzi, tombé sous le charme de l’entraîneur argentin lors de son premier séjour français, et de se projeter un peu.

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Il était d’abord sorti du bois, une première fois, début 2024, dans un entretien pour L’Équipe, lors duquel il avait longuement étalé ses tranches de souvenirs de Ligue 1, "ce championnat de vertige, de vitesse, partout" ayant scotché des images dans son esprit pour la vie lors de son passage sur le banc de l’OM, de mars 2021 à juillet 2022. Puis, son nom était ensuite revenu dans des bavardages, à Lyon et à Lille, mais c’est finalement là où il a toujours été le plus à l’aise, au milieu d’un délicieux bazar, que Jorge Sampaoli a effectué son retour en France, il y a maintenant un peu plus de dix jours. Gâté, l’Argentin s’est même réveillé jeudi matin avec les pieds et le museau dans la neige, ce qui n’empêche pas sa tête de fumer depuis qu’il a posé ses cartons à Rennes, 13e de Ligue 1 avant le week-end et qui ressemble, pour le moment, à tout sauf à un collectif cette saison. Ce constat, Sampaoli, assis entre Arnaud Pouille et Frederic Massara lors de la défaite face à Toulouse (0-2), avant la trêve, l’a vite tiré aussi, avouant dès sa première prise de parole publique que "la première priorité est d’être une équipe" et insistant sur la nécessité de "transformer la souffrance en sécurité". Dimanche, à Lille, son Stade rennais va passer une première fois sur la plancha.

La première chose, ici, est de se réjouir du retour de Jorge Sampaoli à la table de la Ligue 1, lui qui avait réussi à faire de son aventure à l’OM une série assez fascinante à suivre. Tous les épisodes n’avaient, bien sûr, pas été aussi renversants que des loopings au Luna Park du Cap d’Agde, mais Sampaoli avait su, au fil des mois, comprendre parfaitement dans quel championnat il avait foutu les pieds. La Ligue 1 n’est pas une vague facile à dompter, et pour réussir à tenir debout sur sa planche, le natif de Casilda, qui s’est toujours plus comporté sur le bord de la touche comme un Željko Obradovic que comme un Carlo Ancelotti, avait fait évoluer sa création pour qu’elle devienne une machine de contrôle huilée, supérieure dans la gestion du sablier et passée reine dans la réduction des événements d’une rencontre afin de générer le moins possible de matchs de transitions façon ping-pong. Retourné par une bataille au Vélodrome contre Lens, Jorge Sampaoli avait affirmé "que beaucoup d’équipes [seraient] meilleures que [son OM]" à ce jeu-là, et la suite avait été plus qu’intrigante à suivre, entre l’évolution du rôle de Pau Lopez dans les buts, celui des ailiers excentrés et la multiplication des milieux – dans ses rêves les plus fous, le cinéphile argentin ne titulariserait que ça.

Au bout, l’autre loco avait réussi son pari : au terme d’une deuxième partie de saison traversée par plusieurs rencontres marquantes, comme une victoire à Lens début 2022, mais aussi une demi-finale de C4 perdue face au Feyenoord, Marseille avait terminé deuxième de Ligue 1, avec de grosses statistiques défensives (38 buts encaissés, troisième meilleure défense du championnat, mais 39,00xGA générés, soit moins que le PSG, avec moins de neuf tirs par match concédés), et un taux de possession moyen élevé (61,7%).

Deuxième joueur le plus utilisé cette saison-là derrière William Saliba, Matteo Guendouzi n’a pas oublié et a accepté de rediscuter du bon vieux temps.

Que connaissais-tu de Sampaoli avant de travailler avec lui à l’OM ?
Je le connaissais comme tout le monde, un peu de ses expériences passées, notamment du fait qu’il venait, peu de temps avant, d’être le sélectionneur de l’Argentine. Avant de signer à l’OM, j’avais aussi discuté avec certains joueurs qui étaient déjà dans l’effectif et je n’avais entendu que du positif sur lui. Quand je suis arrivé, ça a connecté très vite. J’ai rapidement senti qu’on aurait une belle relation. Déjà, parce que sa philosophie de jeu correspond à la façon dont je vois le foot. Je savais que ça allait me correspondre, que j’allais prendre du plaisir. J’ai aussi vite adhéré à l’homme, qui est toujours derrière ses joueurs, qui essaie toujours de tirer le maximum d’eux, et honnêtement, en tant que joueur, tu as envie que ça fonctionne avec lui, car il met tous les ingrédients pour.

Votre saison a été séquencée en deux phases. À quel point le match contre Lens a eu un impact dans le projet de jeu ?
Je ne sais pas si c’est vraiment ce match-là qui a fait évoluer les choses, mais ce qui est vrai, c’est qu’en début de saison, on a eu une approche très offensive. La raison est simple : les équipes adverses ne savaient pas vraiment comment nous jouer, notre style. Il y avait quand même beaucoup d’espaces sur le terrain, on pouvait mettre plus de monde dans notre phase offensive et on a d’ailleurs marqué pas mal de buts (12 buts sur les 6 premiers matchs, NDLR). Le match contre Lens a été le premier où on a vu un adversaire parfaitement s’appuyer sur notre approche pour nous faire mal. Et petit à petit, on a vu les autres équipes se replier beaucoup plus, former des blocs de plus en plus bas, et ça a aussi joué sur notre approche. C’était un mix : nos adversaires avaient de plus en plus peur de venir nous chercher, car ils savaient qu’on avait la qualité technique pour sortir les ballons, exploser rapidement vers l’avant et, en réaction, attendaient une transition ou un coup de pied arrêté pour nous enfoncer.

Sampaoli avait quand même peur des transitions, non ?
Oui, énormément, et il a raison, car toutes les équipes de Ligue 1 avaient cette force. Elles l’ont encore, d’ailleurs. C’est un championnat où beaucoup d’équipes ont des profils puissants, rapides, explosifs dans ces transitions offensives. Quand tu cherches à contrôler, c’est la menace qui peut te mettre en difficulté et c’est ce qu’on a cherché à amenuiser avec des ajustements, comme la hauteur de Pau Lopez ou l’utilisation de Dim’ (Payet, NDLR) en faux 9, qui a apporté de la qualité supplémentaire pour maîtriser les matchs. Plus tu es en possession du ballon, moins tu offres de possibilité d’expression à ton adversaire et moins tu t’exposes. Plus la saison avançait, plus on gagnait en équilibre à la perte.

Tu as souvenir d’un sommet ?
Le match retour à Lens (0-2), sans doute, qui est, je pense, l’une des plus belles performances que l’on a réalisées avec Sampaoli. Une maîtrise totale, du début à la fin. Mais globalement, au fil de la saison, on a pris énormément de plaisir avec cette philosophie de jeu. On avait le contrôle, on se sentait plein de forces, mais ça passait par énormément de gammes répétées la semaine à l’entraînement. Chaque joueur savait exactement où il devait se positionner. Avant de recevoir le ballon, chacun savait où les autres étaient sur le terrain, quels espaces il fallait attaquer. On a presque, parfois, su jouer les yeux fermés et on sentait que ça pouvait frustrer certains adversaires de ne pas réussir à nous récupérer le ballon, d’être obligé d’être replié dans la surface. En tout cas, on a tous pris collectivement énormément de plaisir, mais individuellement, surtout, beaucoup de joueurs ont progressé grâce à cette saison avec Sampaoli : Cengiz Ünder a fait une super année, Dim’ Payet a fait sa ou l’une de ses meilleures saisons à l’OM, Bouba Kamara, William Saliba, Valentin Rongier dans un rôle très spécifique, moi…

Pourtant, on a aussi la sensation, parfois, d’un décalage entre votre plaisir collectif et le plaisir pris par les supporters de l’OM.
Je sais que ça a pu frustrer, oui, mais si on est honnête, encore une fois, on a affronté beaucoup d’équipes très regroupées, et ce n’est pas si facile de marquer face à des blocs aussi compacts. Même chez nous, ça a pu frustrer d’affronter autant de bus, mais globalement, je pense que ça a été bénéfique, quand même.

Qu’est-ce que tu gardes, au bout, de Sampaoli ?
Une rencontre exceptionnelle, et ça m’a fait vraiment très mal qu’il s’en aille en fin de saison. C’était très, très, très, très fort. Et le marqueur, on y revient, c’est que tu peux demander à tous les joueurs présents dans l’effectif cette saison-là, tout le monde a pris du plaisir. Sampaoli te donne envie de croire à sa philosophie, à sa vision du foot, et il avait aussi, je pense, les pièces parfaites pour y répondre. Je regardais déjà pas mal la Ligue 1, mais je vais encore plus suivre les matchs de Rennes maintenant, c’est une certitude. C’est top pour le championnat qu’il soit de retour, et je sais que ça peut faire quelque chose de grand si tous les joueurs acceptent de le suivre.

Le chantier est grand et Jorge Sampaoli le sait, Rennes dansant avec un taux de possession moyen de 50% (50,5%) et étant l’équipe de Ligue 1 qui s’est procuré le moins de grosses occasions cette saison (13) pour 12,9xG générés (13e total du championnat) et 14,7xG concédés (6e). Face à la presse, vendredi midi, après avoir laissé entendre quelques mots de français, l’Argentin a malgré tout dit : "J’ai confiance dans l’idée que l’équipe sera plus agressive. Généralement, un changement de coach génère quelque chose,?et l’important, pour le moment, est que l’équipe parvienne à appliquer nos idées. Plus que le système, il faut développer une culture et, comme à Marseille, il y aura besoin d’un certain contrôle pour se prémunir des transitions offensives adverses. Il faut que cette culture, cette idée de jeu, devienne une religion." Quelle allure aura son Stade rennais ? Il faudra attendre plusieurs semaines pour se prononcer. Ce qu’on sait, en tout cas, c’est qu’on devrait vite revoir un gardien utilisé assez haut, de façon à générer une supériorité numérique à la relance face à la première ligne de pression adverse et à pouvoir contrôler la profondeur de façon plus efficace.

Avant d’aller visiter une potentielle maison, Jorge Sampaoli a affirmé que Mandanda était assez "courageux" pour être ce gardien – cette saison, il est cependant le gardien qui tente le moins de passes (28) et celui qui touche le moins de ballons (moins de 30) par match parmi les hommes à gants de Ligue 1 – et il sera intéressant de suivre, vu le passé entre les deux hommes, le futur de leur collaboration. Ludovic Blas, seul soleil dans la grisaille du coin, a, de son côté, détaillé ceci : "Il nous a dit les choses qu’il avait vues lors du match contre Toulouse et, comme à chaque changement de coach, une dynamique s’enclenche. Avec lui, ça parle beaucoup plus, il y a plus de voix, de pauses dans les séances pour bien assimiler ses idées, sa volonté d’avoir un meilleur contrôle et de réagir plus vite à la perte de balle. Maintenant, j’ai vu des groupes pires que celui qu’on a, il y a une bonne mentalité, et je pense juste qu’on a manqué de chance sur certaines situations. L’arrivée du nouveau staff peut nous aider à trouver ce qui manque." Allez, place au lever du rideau.

J’espère qu’on va un peu gâcher cet anniversaire

De passage en conférence de presse ce vendredi, deux jours avant le déplacement du Stade Rennais à Lille, Ludovic Blas espère pouvoir rivaliser avec une équipe du LOSC qui impressionne sur la scène européenne.

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Treizième de Ligue 1, loin de ses objectifs initiaux, le Stade Rennais a récemment entamé un sérieux virage en bouleversant son organigramme sportif. Successeur de Bruno Genesio, actuel entraîneur du LOSC, Julien Stéphan a été remplacé par Jorge Sampaoli, nouvelle figure bretonne. La période internationale a ainsi permis aux Bretons de souffler : « La trêve fait du bien mais pour moi ce n’est pas un nouveau championnat. La difficulté dans laquelle on est, il faut s’en servir aussi dans ces situations là. Il faut apprendre beaucoup de choses et ne pas les oublier. Si on passe à un nouveau championnat, on va oublier tout ce qu’on a fait. Tout ce qu’on a fait de mal, il faut le garder dans un coin de sa tête pour ne pas recommencer. Pour moi c’est autre chose maintenant, mais ça va nous aider à être de mieux de mieux, et nous on va tout donner », débutait Ludovic Blas en conférence de presse ce vendredi.

Cet état d’esprit, Ludovic Blas & Co doivent désormais l’afficher sur le rectangle vert, là où ils retrouveront le LOSC ce dimanche, dans le cadre de la douzième journée de Ligue 1. En parallèle, les Dogues fêteront leur 80e anniversaire. Une fête que le Rennais, à l’image de son but inscrit à dès la première minute la saison dernière, ne se gênera de gâcher : « Je n’étais même pas au courant, avoue-t-il avec un sourire gêné. Le foot c’est le foot. Si c’est l’anniversaire du LOSC, c’est normal qu’ils fassent quelque chose. Mais le match reste le plus important. Pour eux aussi, ils vont d’abord faire le match et ensuite fêter tout ça. Mais c’est sûr que j’espère qu’on va un peu faire tâche sur cet anniversaire », s’exclamait-il ainsi.

Cette partie est également l’opportunité de belles retrouvailles entre une partie de l’effectif du Stade Rennais et Bruno Genesio, que Ludovic Blas est heureux de retrouver : « Je suis content de le revoir, car si je suis venu (à Rennes) c’est aussi par sa voie. Lille c’est fort, une équipe très talentueuse. Ce n’est pas étonnant et ça dure depuis un petit moment. Ça reste un gros match à jouer mais il ne faut pas se prendre la tête, aller là-bas avec nos qualités et essayer de ramener quelque chose », concluait-il à deux jours du choc.

Jorge Sampaoli s’enflamme pour Steve Mandanda

Après la fin de sa collaboration avec Julien Stéphan, le Stade Rennais a décidé de miser sur Jorge Sampaoli. Arrivé durant la trêve, le technicien argentin a pu découvrir son groupe, lui qui a notamment retrouvé Steve Mandanda, croisé à l’OM. En conférence de presse ce vendredi, l’ancien entraîneur de Séville a évoqué le cas de son joueur. Ses propos sont relayés par RMC Sport.

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«Concernant Steve, c’est quelqu’un que je connais très bien. C’est une légende. Je pense que c’est un bon capitaine et il le sera sûrement (…) Steve est un gardien courageux, qui possède un bon jeu au pied et qui comprend très bien le jeu. Peu à peu on va inculquer ces principes (gardien-libéro). Dans notre conception du jeu, l’idée d’avoir un gardien haut est assez importante. Notamment pour générer des supériorités numériques (…) Concernant le capitaine, je veux surtout qu’il représente l’équipe. Pour moi, ce n’est même pas mon rôle de choisir le capitaine. C’est aux joueurs de choisir le capitaine. Concernant le capitaine, son rôle c’est surtout de me transmettre le sentiment de l’équipe, la perception de l’équipe.» Un rôle qui semble donc destiné à Steve Mandanda.

Victoire contre le piratage, DAZN fait un pas en avant

Principal diffuseur de la Ligue 1 depuis cette saison, DAZN souffre d’un manque d’abonnés. Beaucoup d’amateurs du championnat français ont préféré se tourner vers le piratage.

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Mais l’accès à cette alternative illégale se complique après la fermeture d’un des plus gros services d'IPTV aux Etats-Unis.

Les promotions répétées de DAZN en disent long sur sa situation. Depuis l’acquisition des droits TV cet été, le principal diffuseur de la Ligue 1 constate des chiffres très éloignés de ses objectifs. La plateforme de streaming refuse toujours de communiquer ses données. Mais il est clair que la société anglaise se voit difficilement atteindre la barre des 1,5 million de clients d’ici décembre 2025. Soit l’objectif fixé avec la Ligue de Football Professionnel.

Pour DAZN, qui n’admet pas l’influence de ses tarifs sur ses difficultés, le problème vient surtout du piratage. De nombreux amateurs du championnat français ont préféré se tourner vers cette alternative illégale au lieu de payer le prix fort. De quoi agacer les dirigeants de DAZN qui accusent les médias de banaliser la situation. Le partenaire de la LFP sera donc ravi d’apprendre le récent verdict rendu aux Etats-Unis. En collaboration avec le Canada, l’Angleterre et les Pays-Bas, les autorités américaines ont obtenu la fermeture de 247TVStream.

Un obstacle en moins pour DAZN
Ce géant du piratage spécialisé dans le sport permettait à ses utilisateurs d’accéder à un tas de programmes sportifs comme le football, la Formule 1 ou encore la NBA. Le tout pour 10 dollars par mois. Un tarif forcément alléchant quand on connaît notamment le prix initialement demandé par DAZN pour la Ligue 1. Le diffuseur du championnat français ne peut qu’accueillir positivement la fermeture de cette plateforme illégale qui aurait causé près de100 millions de dollars de dommage aux chaînes titulaires des droits sportifs. Depuis son lancement en 2007, 247TVStream aurait perçu 7 millions de dollars de revenus.

Un joueur déjà moteur pour Sampaoli ?

Alors que Jorge Sampaoli espère resserrer les liens entre ses joueurs au Stade Rennais, Amine Gouiri semble avoir déjà pris les choses en main.

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Arrivé pendant la trêve internationale au Stade Rennais afin de prendre la relève de Julien Stéphan, Jorge Sampaoli n’a pas tardé à imposer ses méthodes aux joueurs bretons avec notamment des entraînements plus intensifs. L’Argentin veut que ses troupes se donnent à fond, il a imposé la pesée tous les deux jours mais également des retours vidéos personnalisés afin de montrer à chaque joueur ce qu’il attend de lui.

Gouri a organisé un dîner
Par ailleurs, l’Argentin espère que ses troupes feront preuve de plus d’unité, et dans ce sens, So Foot révèle qu’Amine Gouiri a organisé un dîner avec l’équipe avant le déplacement à Auxerre, « afin de resserrer les liens » au sein du groupe rennais. Gouiri est considéré comme un « moteur quand il s’agit d’organiser de telles activités de cohésion ».

Premières secousses autour de Sampaoli

Arrivé le 11 novembre dernier au Stade Rennais, Jorge Sampaoli a déjà eu le temps de poser sa patte en interne et créer pas mal de remous autour de lui

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Jorge Sampaoli va-t-il être à l’origine d’un électrochoc capable de réveiller le Stade Rennais ? Recruté la semaine dernière pour remplacer Julien Stéphan, l’entraîneur argentin sait qu’il arrive dans un club en difficulté et a déjà imprégné sa patte en interne.

Selon les informations de Mohamed Toubache-Ter, l’ancien coach de l’OM n’aurait d’ailleurs pas été très satisfait de ses premiers pas à la tête de sa nouvelle équipe. En cause, un manque criant de cohésion de groupe, selon ses observations. Son équipe ne ferait pas qu’un ! Le technicien argentin a donc un premier axe de travail qui "demandera de la patience" : créer un collectif puissant et confiant.

Arnaud Pouille fragilisé ?
"Sampaoli a trouvé que ce groupe ne faisait pas ‘qu’un’ ! À la recherche d’un groupe, d’un collectif ! Ça va être dur et ça demandera de la patience", glisse l’insider. Les joueurs du Stade Rennais, eux, semblent réceptifs au message envoyé par leur nouveau coach et même très heureux de découvrir sa méthode au quotidien. "Du côté du groupe, c’est la découverte… une jolie découverte", poursuit Toubache-Ter.

Le problème qui se pose désormais, outre relancer les résultats de l’équipe première, est également de trouver un juste milieu dans l’organigramme du Stade Rennais. Où un certain Arnaud Pouille ne se sentirait pas à son aise. "À Rennes, le sportif passe au second plan car c’est la politique interne qui prime, poursuit Toubache-Ter. Arnaud Pouille doit se demander où il a pu mettre les pieds. Un salarié du Stade Rennais partout dans cette lutte pour la Présidence de la FFF… ça fait mouche et ça passe mal."

Bref, Sampaoli a encore du pain sur la planche pour redresser le Stade Rennais, qui semble encore victime de ses vieux démons avant le choc contre le LOSC ce dimanche lors de la 12e journée de Ligue 1 (15h).

Aucun joueur n'est indispensable

Jorge Sampaoli souhaite repartir sur des bases saines à Rennes. Pour cela, tous les joueurs seront jugés lors des prochains matches. C'est le cas de Steve Mandanda, dont les relations avec l'entraîneur argentin ont parfois été conflictuelles.

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Jorge Sampaoli - Steve Mandanda, acte 2. Les deux hommes, qui se sont connus près d'un an et demi à l'OM, se retrouvent, aujourd'hui, au Stade Rennais. Et quand on sait comment cela s'est terminé entre eux, on est en droit de s'interroger sur leur relation.

Pour rappel, l'emblématique gardien marseillais a été poussé vers la sortie par l'Argentin. Lors de la saison 2021/2022, l'ancien international français a été relégué sur le banc et n'en est sorti que quelques fois. Donc, à quoi ressembleront ces retrouvailles ?

Jorge Sampaoli va tester Steve Mandanda
À première vue, les relations sont cordiales. Selon L'Équipe, le nouvel entraîneur rennais souhaite laisser sa chance au produit. On apprend, dans les colonnes du quotidien sportif, que le portier aura "quelques matches" pour faire ses preuves.

C'est le temps nécessaire au technicien sud-américain pour analyser les forces et faiblesses de son groupe avant, éventuellement, d'apporter des modifications au mercato hivernal. Lors de sa présentation à la presse, Sampaoli avait calmé le jeu.

"J'entretiens une très bonne relation avec Steve (Mandanda), claire, directe et franche. Il va contribuer à nous aider à sortir de cet écueil", expliquait-il. Toutefois, en interne, il se dit qu'aucun "joueur n'est indispensable". Y compris dans les cages. Avec ce passif entre les deux, la situation est à suivre de près.

Mandanda – Sampaoli, une relation apaisée

Au Stade Rennais, une nouvelle ère débute sous la houlette de Jorge Sampaoli, épaulé par Steve Mandanda, figure emblématique des Rouge et Noir.
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Entre les deux hommes, dont la relation avait connu des turbulences à l’Olympique de Marseille, souffle désormais un vent d’apaisement, à l’heure où le club breton tente de redresser la barre après un début de saison décevant. À 39 ans, Steve Mandanda retrouve Jorge Sampaoli, avec qui la collaboration à Marseille n’avait pas été de tout repos. L’entraîneur argentin avait alors privilégié Pau Lopez, jugé plus apte pour son jeu au pied, reléguant le gardien français au rang de doublure. Aujourd’hui, Sampaoli tempère ces souvenirs en qualifiant leur relation de « claire, directe et franche ». Sous le maillot rennais, l’ancien international français aborde la dernière année de son contrat avec une ambition intacte : démontrer qu’il reste une pièce maîtresse dans le projet de reconstruction du club à en croire les informations de l’Equipe. Il aura le soutien de son entraîneur lors des prochaines semaines avant qu’une décision soit prise au sujet de ce poste important. La formation bretonne pourrait choisir de recruter un renfort en janvier 2025.

Rennes veut s’éloigner du bas du tableau
En difficulté, depuis le début de saison, en Ligue 1, le Stade Rennais est à la croisée des chemins. La mission confiée au nouvel entraîneur est sans ambiguïté : éloigner la menace de la relégation, stabiliser le club et redonner une identité forte à l’équipe. Premier test pour le technicien argentin, le choc face à Lille ce week-end, où ses méthodes seront mises à l’épreuve. Fidèle à son style, Sampaoli a déjà instauré un cadre strict : pesées régulières, analyses vidéo personnalisées et entretiens individuels rythment désormais la routine des joueurs.

Le renouveau rennais dépasse le terrain. Le centre d’entraînement de la Piverdière, en pleine rénovation, accueillera dès janvier des infrastructures modernes exclusivement réservées aux professionnels. Jorge Sampaoli sera le premier à profiter de ces installations, illustrant les ambitions du club. Privé d’une dizaine de joueurs pendant la trêve internationale, le staff technique doit patienter avant d’appliquer pleinement sa méthode. Pourtant, l’urgence est palpable. Le spectre de la relégation plane et les attentes sont immenses. Entre la rigueur imposée par le coach, les améliorations structurelles et des défis sportifs colossaux, Rennes entre dans une phase décisive.

L'arbitrage coûte trop cher, la LFP ne peut pas payer

Résolue à faire des économies, la LFP s'attaque au coût de l'arbitrage en Ligue 1 et en Ligue 2. Elle demande notamment à la FFF de lui apporter son aide pour réduire la facture.

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L'heure est venue de se serrer la ceinture pour la LFP et pour les clubs professionnels. L'année 2024 n'a pas été bonne avec la forte baisse des droits TV pour les 5 prochaines années. En plus, il va falloir débuter le remboursement du milliard et demi d'euros apporté par le fonds d'investissement CVC. Un contexte qui pousse l'instance à faire la chasse aux économies. La marge de manœuvre de la LFP n'est pas immense. Cependant, une dépense a été pointée du doigt par les clubs professionnels lors de la dernière réunion du conseil d'administration il y a une semaine.

La LFP réclame une aide de 10 ME pour l'arbitrage
RMC Sport a révélé la nouvelle idée du football professionnel français : baisser le coût de l'arbitrage. La LFP demande à la FFF de prendre en charge une partie des dépenses liées aux arbitres professionnels. Ainsi, pour une facture totale qui s'élève à 25 millions d'euros actuellement, la Ligue réclame un rabais de 10 millions d'euros sur la note finale. Cette part serait alors payée par la 3F, laquelle gère l'arbitrage en France avec la formation et la nomination des officiels.

Pour justifier cette demande, les clubs avancent le fait que la FFF réalise des superbes bénéfices depuis plusieurs années. En plus, la fédération a touché 20 millions d'euros de CVC. La LFP met aussi en avant le coût croissant de l'arbitrage, notamment avec l'instauration de la VAR en Ligue 1 en 2018. Cette requête n'est pas innocente au moment où la FFF est en pleine élection présidentielle avec le duel entre le président sortant Philippe Diallo et son challenger Pierre Samsonoff.

Sampaoli a fait un terrible constat à son arrivée

Le mois de novembre s’annonce intense pour le Stade Rennais, qui a débuté par une défaite cinglante face à Auxerre, un nouveau promu en Ligue 1, avec un score de 4-0. Quelques jours après ce revers, le club a pris la décision de se séparer de son entraîneur, Julien Stéphan, marquant ainsi une période de transition pour l’équipe.

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La situation ne s’est pas améliorée par la suite, puisque le 10 novembre, Rennes a subi une nouvelle défaite à domicile contre Toulouse, perdant 0-2. Le lendemain, Jorge Sampaoli a été officiellement nommé à la tête de l’équipe première, qui occupait alors la treizième place au classement, un défi de taille pour le nouvel entraîneur.

Alors que l’équipe se prépare à affronter Lille, la dynamique interne du club suscite des interrogations, notamment avec l’approche du mercato hivernal. Mohamed Toubache-TER a récemment révélé que les joueurs ont bien accueilli Sampaoli et semblent s’adapter à ses méthodes. Toutefois, l’entraîneur n’aurait pas encore perçu une véritable unité au sein de l’effectif.

L’objectif principal de Sampaoli sera de redonner cohésion et force au collectif rennais, cruciales pour éviter une descente en Ligue 2. Bien que des tensions internes puissent exister, il est impératif pour le groupe de retrouver une harmonie collective pour surmonter les défis à venir.

Parallèlement, des préoccupations hors du terrain émergent, le sportif étant relégué au second plan par la politique interne du club. Arnaud Pouille, ancien directeur général du RC Lens, a rejoint Rennes récemment, ce qui pourrait influencer la direction future du club.

Sous l’égide de la famille Pinault depuis 1998, le Stade Rennais n’a jamais été relégué en Ligue 2 et a même remporté la Coupe de France, participant également à la Ligue des champions. Cependant, l’avenir reste incertain, et les enjeux sont élevés pour maintenir ces réussites.

Sampaoli sous le choc, Rennes n'a pas d'équipe

Après le départ de Julien Stéphan, le Stade Rennais a fait le pari de l'explosivité et de l'excentricité en accueillant Jorge Sampaoli. Le technicien argentin aurait déjà ciblé un problème majeur dans l'effectif.

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Les problèmes du Stade Rennais ne seront pas résolus le temps d'une trêve internationale. Toutefois, avec l'arrivée de Jorge Sampaoli, les choses vont pouvoir progressivement changer. Du moins, c'est ce que souhaitent tous les observateurs du club breton. Avant l'arrivée du technicien argentin, Julien Stéphan n'a trouvé aucune solution. Des recrues trop peu utilisées, un effectif qui n'a jamais réussi à se mettre pleinement dedans depuis le début de saison, des faiblesses criantes défensivement et offensivement sont autant de raisons qui expliquent les difficultés rennaises. Pour Jorge Sampaoli, il y a toutefois une donnée, pourtant fondamentale, qui doit absolument être retrouvée : la cohésion d'équipe.

Jorge Sampaoli doit recréer un groupe

Selon les informations de l'insider Mohamed Toubache-Ter, Jorge Sampaoli n'aurait pas été très satisfait de ses premiers pas à la tête de sa nouvelle équipe. En cause, un manque criant de cohésion de groupe selon ses observations. Son équipe ne ferait pas qu'un. Le technicien argentin a donc un premier axe de travail qui « demandera de la patience » : créer un collectif puissant et confiant. C'est de cette manière qu'il avait réussi, notamment, à élever le niveau de jeu de l'Olympique de Marseille lors de son court passage d'une saison.

Ce n'est d'ailleurs pas tout. Notre confrère affirme que le groupe est très heureux de découvrir Jorge Sampaoli au quotidien. On peut penser que sa joie de vivre naturelle et sa passion pour le football seront transmises à ses joueurs. De quoi aider le Stade Rennais à redémarrer ? Réponse ce dimanche face à Lille en Ligue 1.

Sampaoli a déjà choqué ses joueurs

Les méthodes du nouvel entraîneur argentin du SRFC, notamment l’intensité qu’il réclame aux entraînements, surprennent les Rennais.

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Arrivé pendant la trêve internationale au chevet du Stade Rennais, Jorge Sampaoli n’a pas tardé à imposer ses méthodes aux joueurs. Et notamment l’intensité réclamée pendant les entraînements. L’Argentin veut que ses troupes se donnent à fond chaque jour lors des séances. "Ca chauffe à l’entraînement, il y a beaucoup d’investissement physique, tout le monde est mis sous pression", a déclaré un proche d’un joueur à L’Equipe. Un autre observateur a abondé : "Ca bosse dur, le coach veut montrer que ça cravache".

Le staff s’étoffe encore
Parmi les autres mesures fortes mises en place par Jorge Sampaoli, il y a la pesée obligatoire tous les deux jours mais également des retours vidéos personnalisés afin de montrer à chacun ce qu’il attend de lui. Par ailleurs, L’Equipe confirme l’arrivée d’un nouveau adjoint dans le staff de l’Argentin. Il s’agit du Portugais Abel Pimenta, qui arrive de Braga et intègrera la cellule performance. Il sera plus spécifiquement chargé des analyses vidéos et des coups de pied arrêtés. Il parle déjà français, ce qui est un plus car Sampaoli, même s’il prend des cours et a passé un an et demi à l’OM, ne s’exprime que dans sa langue natale…

Les chantiers de Sampaoli

Une semaine après son entrée en fonction, l'entraîneur argentin du Stade Rennais Jorge Sampaoli met peu à peu ses principes en place avec un effectif dont les internationaux reviennent au compte-goutte.
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Voilà une petite semaine que Jorge Sampaoli a découvert le cadre bucolique de la Piverdière, dont l'habituelle quiétude est bouleversée depuis plusieurs mois par les travaux de modernisation du centre d'entraînement. L'Argentin sera, à partir de janvier, le premier entraîneur rennais à bénéficier d'un bâtiment flambant neuf destiné aux pros et, parce que le parallèle s'impose de lui-même, l'avenir dira si le nouveau coach du club breton aura lui aussi avancé, d'ici là, dans ses travaux de (re) construction d'une équipe jusqu'ici privée de fondations solides.

Au bout de sept jours, il est encore bien tôt pour déceler des premiers signes de convalescence, a fortiori durant une trêve internationale qui a ponctionné dix joueurs de l'effectif. Et puisque Sampaoli (64 ans) s'inscrit dans un projet, il faudra sûrement patienter quelques mois pour que l'on se fasse une idée précise de l'impact de son travail. Mais à un tiers du Championnat, le "Pelado" (chauve) se sait attendu et l'on pourra sans aucun doute relever sur le chemin quelques signes révélateurs, dont les origines auront pris leurs racines sur les premiers jours de son mandat.

Au cours de sa conférence de presse d'intronisation, mardi dernier, l'Argentin avait posé les jalons de l'immense chantier qui l'attend dans le redressement d'un club (13e) ne possédant qu'un point d'avance sur la place de barragiste. "Mon premier objectif sera de mieux connaître l'équipe, pour qu'on puisse développer un fonctionnement collectif et une identité de jeu", avait-il annoncé.

En même temps qu'il continue son diagnostic sportif, l'énergique sexagénaire avance aussi sur les contours de son staff. Il devrait profiter de l'arrivée, pas encore finalisée mardi, d'un nouvel adjoint, avec le Portugais Abel Pimenta. Transfuge de Braga, ce dernier pourrait intégrer la cellule de performance dans un rôle élargi, entre l'analyse vidéo et la charge des coups de pied arrêtés. Comme d'autres assistants de Sampaoli, le Brésilien Diogo Meschine et l'Argentin Pablo Fernandez, il parle français, un atout que l'ancien coach marseillais, déjà lancé dans des cours de langue, cherche lui aussi à maîtriser.

Sur le terrain, le staff enregistre au compte-goutte le retour de ses internationaux. La majorité d'entre eux (Gouiri, Ostigard, Seidu, Lembet, Gronbaek, Kamara) est rentrée en début de semaine, tandis que Christopher Wooh, Jordan James et Arnaud Kalimuendo sont attendus aujourd'hui. Andrés Gomez, qui a joué la nuit dernière contre l'Équateur, arrivera en dernier.

"Ça bosse dur, le coach veut montrer que ça va cravacher"

Un observateur du groupe

Comme ses coéquipiers, le Colombien découvrira alors quelques nouvelles mises en place, comme une pesée tous les deux jours, et un rythme soutenu, cadencé par la grosse voix de Sampaoli, dont les cris ont fait tout drôle à certains joueurs. "Ça chauffe à l'entraînement, il y a beaucoup d'investissement physique, tout le monde est mis sous pression", relève un proche d'un joueur. "Ça bosse dur, le coach veut montrer que ça va cravacher", abonde un observateur du groupe.

En complément des séances, Sampaoli, qui s'est déjà entretenu en individuel avec une bonne partie de ses hommes, a mis en place des retours vidéo personnalisés afin d'indiquer à chacun d'entre eux ce qu'il en attend, sans que l'on sache encore quelle animation il souhaite mettre en place, dimanche, pour son premier match à Lille.

S.G.S.B.

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