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Petr Cech fait ses débuts professionnels en hockey sur glace

Prêté par les Oxford City Stars (NIHL 1, D3 britannique) aux Belfast Giants (EIHL, D1), Petr Cech (41 ans) est entré en cours de jeu ce samedi soir lors de la victoire de sa nouvelle équipe face au Glasgow Clan (5-1), et a ainsi fait ses débuts professionnels en hockey sur glace.
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Il avait terminé sa carrière professionnelle de footballeur sur une défaite en finale de la Ligue Europa avec Arsenal face à Chelsea (1-4), le 29 mai 2019 à Bakou. Plus de quatre ans plus tard, à l'âge de 41 ans, Petr Cech en a entamé une autre... celle de hockeyeur sur glace. Évoluant dans les divisions inférieures du hockey britannique depuis qu'il a raccroché les crampons, le gardien tchèque avait été prêté il y a une dizaine de jours par les Oxford City Stars, pensionnaires de NIHL 1 (D3 britannique), aux Belfast Giants, triples champions en titre d'EIHL, la Première Division du Royaume.

Ce samedi soir, alors que sa nouvelle équipe menait de quatre buts à moins de cinq minutes de la fin du match face au Glasgow Clan, Cech est entré à la place de Tyler Beskorowany, touché par un palet au bas du corps, et a ainsi fait ses débuts professionnels en hockey sur glace. L'ancien portier de Chelsea a essuyé un seul tir, qu'il a bien sûr arrêté, et les Giants se sont finalement imposés sur le score de 5-1.

Yoann Gourcuff dévoile les noms de ses meilleurs amis dans le foot

Après s'être éloigné des terrains il y a quelques années, Yoann Gourcuff continue à assouvir sa passion pour le sport.
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Un talent exceptionnel, un QI foot au-dessus de la moyenne et des analystes tactiques qui détonnent, Yoann Gourcuff a laissé l’image d’un artiste atypique dans le milieu du football. De Rennes à Dijon, en passant par Bordeaux, Lyon et Milan, l’ex-international français s’est retiré du circuit pour se consacrer à ses projets personnels et sa passion pour le sport, loin des médias et des paillettes.

La sortie était presque passée inaperçue, mais l’ancien meneur de jeu des Girondins avait pris la parole pour expliquer sa nouvelle vie, il y a quelques mois, dans un entretien accordé au journal Le Figa. Une grande place, toujours. Je joue au tennis (championnat régional par équipes avec le TC Larmor-Plage, il est classé 5/6), je fais de temps en temps des tournois dans le coin, j’essaie de m’entraîner une fois par semaine. Je fais du VTT, parfois avec mon père (Christian).

Dans cet entretien, Yoann Gourcuff s’est remémoré les plus beaux moments et les plus relations nouées dans sa carrière. Avec Bordeaux en prime. "Deux saisons très intenses (2008-2010, un titre de champion de France en 2009), avec beaucoup de plaisir, de bonheur, de réussite, d’épanouissement avec les autres joueurs. Il n’y avait pas de stars, mais des garçons intelligents, matures, avec une vraie réflexion sur le jeu".

L’ancien international français avait ainsi cité quelques noms de footballeurs avec qui il avait gardé le contact après la fin de sa carrière. "Jérémy Toulalan, Benoît Costil, Étienne Didot, Arnaud Le Lan, Jimmy Briand." Des joueurs aux statuts divers, croisés dans sa Bretagne natale ou durant ses passages dans d’autres clubs, comme l’OL.

Cette ancienne pépite du Stade Rennais a mis un gros vent au Real Madrid

Auteur d’un début de saison très enthousiasmant au Bayern Munich (5 buts en 8 matchs), Mathys Tel est sans aucun doute un jeune promis à un immense avenir. À seulement 18 ans, le joueur formé au Stade Rennais est la doublure d’Harry Kane, mais aurait très bien pu signer ailleurs en 2022.
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"Real Madrid ou Bayern ? C’est vrai que beaucoup de clubs me voulaient en 2022. C’est très vrai. Mais j’étais uniquement concentré sur le Bayern, je n’ai pas eu d’autre opportunité parce que j’ai apprécié leur projet et les gens derrière le projet", a lancé Tel, pour "Le Média Carré".

Je suis plus efficace qu'avant

Si Romelu Lukaku n'avait planté un quadruplé, Jérémy Doku aurait certainement été élu homme du match. Contre l'Azerbaïdjan, le joueur de Manchester City a réalisé une prestation cinq étoiles en faisant tourner les défenseurs adverses en bourrique.

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Après le match, le jeune Diable s'est montré satisfait du résultat. "On voulait [le statut de tête de série], c'est pour ça qu'on devait être sérieux. Et on l'a été."

"Je suis plus efficace qu'avant", savoure l'ailier qui était ravi pour son ami Romelu. "Dommage que je n'ai pas pu marquer, mais ça veut dire que je dois encore le travailler quand je vais rentrer à [Manchester] City."

Avec sa puissance et ses dribbles dévastateurs, Jérémy Doku est rapidement devenu un des chouchous du public. "J'entends beaucoup mon nom, ça fait très plaisir. Après, je joue pour moi et pour l'équipe, pour qu'on gagne et c'est ça le plus important."

Concernant sa relation avec le sélectionneur Domenico Tedesco, elle semble au beau fixe. Mais le Diable n'en dira pas plus. "Il m'a félicité". Quant à savoir si Doku est le chouchou du coach, "il faut le lui demander" répond le principal intéressé.

Rupture du ligament externe du genou droit pour Eduardo Camavinga

Eduardo Camavinga souffre d’une rupture du ligament latéral externe du genou droit. Il s’était blessé à l’entraînement avec l’équipe de France, mercredi.

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Le milieu de terrain Eduardo Camavinga souffre d’une rupture du ligament latéral externe du genou droit après sa blessure lors d’un entraînement avec l’équipe de France, a communiqué son club du Real Madrid, ce vendredi. Le joueur de 21 ans s’est blessé mercredi lors d’un entraînement avec les Bleus avant de rejoindre Madrid et d’y passer des examens. Sa durée d’indisponibilité pourrait être de huit à dix semaines selon la presse espagnole.

L’équipe de France avait annoncé jeudi que l’international (13 sélections, 1 but) souffrait d’une "entorse du genou droit". Il a été remplacé par le joueur de Nice Khéphren Thuram pour les matchs contre Gibraltar à Nice samedi et contre la Grèce à Athènes mardi, dernières journées des qualifications pour l’Euro-2024. La France est déjà qualifiée pour l’Euro qui se déroulera du 14 juin au 14 juillet prochain en Allemagne. Elle a gagné ses six premiers matchs et occupe la première place du groupe B. Camavinga avait quitté l’entraînement des Bleus mercredi après un contact avec l’attaquant du PSG Ousmane Dembélé.

Le vice-champion du monde 2022 a rejoint le Real Madrid en 2021 en provenance de Rennes et a prolongé début novembre son contrat jusqu’en 2029. En deux saisons chez les Merengue, Eduardo Camavinga est devenu un joker de luxe pour son entraîneur Carlo Ancelotti, qui a loué sa polyvalence à plusieurs reprises, disputant plus de 100 matchs toutes compétitions confondues avec la Maison Blanche.

Le technicien italien n’a pas hésité à l’utiliser comme latéral gauche lorsque cela s’avérait nécessaire, même si son poste de prédilection reste celui de milieu de terrain central. Camavinga a notamment remporté une Ligue des champions, une Coupe du monde des clubs, une Supercoupe d’Europe, une Liga, une Copa del Rey et une Supercoupe d’Espagne depuis son arrivée au Real.

Petr Cech se hisse en première division de hockey

Il ne s’arrêtera donc jamais !

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Déjà remarqué pour ses brillantes performances en hockey sur glace le mois dernier, Petr Cech fait de nouveau la une en ce mois de novembre : il agite désormais la rubrique transfert du petit monde du palet. Le Tchèque rejoint l’Elite League (D1 britannique) et les Belfast Giants, lui qui évoluait aux Oxford City Stars une division en dessous. Toutefois, ce changement de division n’est pas définitif, puisqu’il ne s’agit que d’un prêt.

Petr est un athlète qui a beaucoup gagné, qui sait ce que cela signifie de performer au plus haut niveau, a déclaré son nouveau coach, Adam Keefe, alors que les Giants occupent actuellement la 5e place de leur championnat, sur 10 équipes.

La passion du sport, et le talent, quelle que soit la discipline.

La voiture de Eduardo Camavinga offerte par le Real Madrid en 2022 mise en vente

La marque allemande met en vente les voitures utilisées par les joueurs du Real Madrid la saison dernière.
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Le Real Madrid et la célèbre marque allemande BMW sont partenaires. Ainsi début octobre 2023, les joueurs du club madrilène ont reçu dans le cadre ce partenariat une voiture flambant neuve. Thibaut Courtois avait choisi une BMW XM, un SUV hybride rechargeable d’une puissance maximale de 653 chevaux, d’une valeur de 179.700 euros.

Et depuis peu, les voitures reçues en 2022 par les joueurs et les joueuses de l’équipe première sont à vendre. Comme l’explique Marca, le nouveau prix de l’ancien bolide de Courtois était de 96 050 euros et, après un an, il affiche 19 400 kilomètres au compteur.

Vendue par l’intermédiaire du site Internet BMW Premium Selection, la voiture affiche toujours un prix élevé : 81 900 euros.

L’ancienne voiture d’Eden Hazard qui a mis un terme à sa carrière en octobre 2023, est également à vendre. Il s’agit d’une BMW iXxDrive50 qui a parcouru plus de 12.000 kilomètres en l’espace d’un an.

Au total, 44 voitures sont à vendre, y compris les voitures de club de l’équipe féminine. Le Français Eduardo Camavinga est d’ailleurs celui qui a parcouru le plus de kilomètres. Il a parcouru pas moins de 43 460 kilomètres avec sa i4 xDrive M50 et sa voiture est donc la moins chère – 73 800 euros.

La voiture la plus chère est l’iX xDrive50 de Toni Kroos. L’Allemand a parcouru 17 388 kilomètres dans cette voiture entièrement noire, dont l’autonomie est de 607 kilomètres. Les personnes intéressées peuvent encore s’inscrire sur le site pendant 25 jours et les acheteurs bénéficient toujours d’une garantie de deux ans sur les voitures presque neuves.

Eduardo Camavinga prolonge au Real Madrid jusqu’en 2029 avec une clause libératoire stratosphérique

Le Breton Eduardo Camavinga a prolongé son contrat avec le Real Madrid jusqu’en 2029. Une clause libératoire d’un milliard d’euros serait incluse pour l’international français de 20 ans.

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Le milieu de terrain breton Eduardo Camavinga, 20 ans, a prolongé son contrat avec le Real Madrid pour deux ans supplémentaires jusqu’en 2029, a annoncé le club espagnol mardi dans un communiqué.

Le Real Madrid n’a pas donné de chiffres, mais comme pour les récentes prolongations des Brésiliens Rodrygo et Vinicius, ce nouveau contrat serait assorti d’une clause libératoire d’un milliard d’euros, selon la presse espagnole, confirmant une information sortie il y a quelques semaines.

Une belle marque de confiance de la part du club merengue à l’égard de l’international français, qui avait rejoint le Real Madrid le dernier jour du marché des transferts de l’été 2021 en provenance du Stade Rennais pour 30 millions d’euros à l’âge de 18 ans seulement.

En deux saisons chez les Merengue, Eduardo Camavinga est devenu un joker de luxe pour son entraîneur Carlo Ancelotti, qui a loué sa polyvalence à plusieurs reprises, disputant plus de 100 matches toutes compétitions confondues avec la Maison Blanche.

Le technicien italien n’a pas hésité à l’utiliser comme latéral gauche lorsque cela s’avérait nécessaire, même si Camavinga affirme que son poste de prédilection reste celui de milieu de terrain central.

Vice-champion du monde au Qatar en 2022 avec les Bleus, Camavinga a notamment remporté une Ligue des champions, une Coupe du monde des clubs, une Supercoupe d’Europe, une Liga, une Copa del Rey et une Supercoupe d’Espagne depuis son arrivée au Real.

Le Stade Rennais regrette amèrement le départ de Doku

En difficulté en Ligue 1 cette saison, le Stade Rennais manque d’efficacité offensive. Pour Julien Stéphan, le départ de Jérémy Doku n’a pas été vraiment mesuré.
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Peut-être que tout le monde n’a pas suffisamment mesuré son influence dans le sprint final. Il avait pris un peu la succession de Martin (Terrier) dans l’aspect décisif, par le dribble ou la percussion.

Je suis absolument convaincu que pour une équipe qui a pour vocation d’être dominante, qui va se retrouver régulièrement en attaque placée, avec des objectifs élevés, c’est un profil indispensable pour performer, a commenté le Julien Stephan dans L’Equipe.

Manchester City pulvérise Bournemouth avec l'aide de Jérémy Doku

La promenade de Manchester City. Les hommes de Pep Guardiola ont infligé une correction à Bournemouth (6-1), samedi soir, lors de la 11e journée de Premier League et pris provisoirement les commandes du championnat à Tottenham. Deux hommes ont brillé à l'Etihad Stadium : Bernardo Silva et Jérémy Doku. Le Portugais a marqué un doublé (33e, 83e).
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Manchester City taille patron. Les Citizens ont balayé Bournemouth (6-1) à l’Etihad Stadium ce samedi et ont pris provisoirement la tête de la Premier League. Portés par un Jérémy Doku buteur (30e) et auteur de quatre passes décisives, les hommes de Pep Guardiola ont étouffé les Cherries. Bernardo Silva avec un doublé (33e, 83e), Manuel Akanji (37e), Phil Foden (64e) et Nathan Aké (88e) ont participé à la fête. Luis Sinisterra (74e) a sauvé l’honneur pour les visiteurs, sur leur seul tir cadré.

Et une troisième victoire consécutive pour les Sky Blues, dont la machine était encore en mode inarrêtable. Grâce à ce succès, les champions d’Angleterre en titre (1er, 27 points) passent juste devant Tottenham (2e, 26 points) et Arsenal (3e, 24 points) avant le match des Gunners ce samedi et celui des Spurs lundi en fermeture de cette 11e journée.

Doku a assommé Bournemouth en 7 minutes
Il n’y a pas eu photo sur la pelouse de l'Etihad. Dominés collectivement, techniquement, tactiquement, les Cherries ont souffert sous les assauts adverses dès le coup d’envoi. Domination concrétisée par Jérémy Doku (30e), à la conclusion d’une superbe combinaison avec Rodri. Trois minutes plus tard, le Belge devenait passeur pour Bernardo Silva (33e). Puis, l’ancien Rennais assommait définitivement les visiteurs (37e) sur une frappe contrée par le dos de Manuel Akanji. Un but et les deux premières de ses quatre passes décisives pour l’homme du match.

Electrisant, dribbleur intenable… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier la performance de la recrue estivale de l’été pour City. Comme si ce n’était pas suffisant, Doku venait même glisser deux nouvelles offrandes pour Phil Foden (64e), puis une somptueuse ouverture vers Bernardo Silva (83e) dans une seconde période pourtant moins maîtrisée par City mais diablement efficace (6 buts sur 8 tirs cadrés).

L’inquiétude Haaland ?
Les Cherries ont eu quinze minutes, à la sortie des vestiaires, où ils ont un peu arrêté de subir. Et ils ont finalement été récompensé sur leur premier tir cadré et un centre conclu par Luis Sinisterra (74e), pendant que les Citizens géraient très tranquillement le second acte.

Gestionnaires mais capables d'accélérer, les hommes de Pep Guardiola sont revenus des vestiaires en pensant à mardi et la Ligue des champions… Mais sans Erling Haaland. L’attaquant norvégien, qui avait eu quelques occasions en première période, l’a terminé en boitant. Et il n’est pas revenu sur la pelouse, sans doute pour ne pas prendre de risque. Les Sky Blues ont rendez-vous mardi face aux Young Boys de Berne, pour poursuivre sur leur série d’invincibilité en Europe.

Pourquoi Pep Guardiola est fou de Jérémy Doku

Pep Guardiola s'est trouvé un nouveau petit chouchou. L'entraîneur de Manchester City s'attache à ne pas essouffler Jérémy Doku, dont il connaît les limites physiques, tant il apprécie ses qualités hors normes. Fait rare : le technicien espagnol s'est résolu à faire du Belge un générateur de chaos, plutôt qu'une pièce parfaite de plus dans son très complexe puzzle.

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En Ligue 1, ils étaient bien peu à s'étonner que Manchester City pioche à Rennes un joueur ayant manqué plus de 40 matches en trois saisons. Ils n'étaient pas beaucoup plus nombreux à se stupéfier du fait que le club breton récupère près de 2,5 fois sa mise, avec un transfert à 60 millions d'euros. Jérémy Doku s'en est allé pour un montant record parce que Pep Guardiola le voulait, justement, à tout prix. Et quand Guardiola veut - vraiment - un joueur, c'est qu'il a une bonne raison.

L'été dernier, le club mancunien s'est retrouvé confronté à un drôle de problème de riche ou plutôt, d'invincible : comment améliorer une équipe déjà proche de la perfection ? Pour y répondre, l'entraîneur espagnol a accepté de revoir quelque peu certains de ses principes et de s'offrir un ailier dribbleur. Un vrai. Alors qu'il n'avait jamais vraiment retenu tous ceux qu'il avait eus jusqu'ici (Leroy Sané, Riyad Mahrez...).

Doku, lui, n'est pas tout à fait comme les autres joueurs évoluant à son poste. Sa morphologie, son centre de gravité, sa qualité d'appuis et sa vitesse de jambes en font un élément pas loin d'être unique en Europe. À peu près tout le Vieux Continent connaît sa faculté à éliminer et, surtout, son dribble favori : un crochet extérieur du pied droit et une grosse accélération dans le pas qui suit. Mais personne n'a, pour l'heure, trouvé sa kryptonite.

Dans le dernier tiers, il est très spécial

"Je dirais que les ailiers que nous avions auparavant avaient beaucoup de qualités techniques mais pas la même vivacité que Leroy Sané ou Raheem Sterling par exemple, a confié le technicien espagnol il y a trois semaines. Jack est un peu plus mesuré. Il n'a pas la même vitesse en un contre un. [...] L'explosivité qu'a Jérémy sur les cinq ou six premiers mètres est similaire à celle de Leroy et Raheem. Dans le dernier tiers, il est très spécial. Et nous essayons de l'utiliser pour ça."

Avec l'international belge, Guardiola a adopté une approche totalement différente de celle qu'il avait choisie pour Jack Grealish. En deux ans, le manager des Cityzens a fait de l'ancien d'Aston Villa un joueur de système, bien plus complet tactiquement et clairvoyant la lecture du jeu, quitte à gommer certaines de ses aspérités balle au pied. Avec un objectif : avoir toujours plus de contrôle dans la moitié de terrain adverse.

Aux yeux de l'ancien coach du Barça, Doku ne doit pas être un joueur de contrôle mais de chaos. En provoquant le plus possible. Et tant mieux si cela rend l'équipe cityzen un peu moins "guardiolesque". "Il m'a dit que lors de mon premier match, j'avais été un peu trop timide", a récemment révélé l'ancien Rennais au micro de la Premier League.

Avec lui, ça penche à gauche
Parmi les joueurs ayant disputé plus de 360 minutes en championnat, Doku est celui qui tente le plus de dribbles par match en Angleterre (9,56) avec un taux de réussite élevé pour cet exercice (51%). Il est aussi l'élément offensif qui progresse le plus vers le but adverse et celui qui pénètre le plus dans la surface balle au pied. Bref, il est une arme de perturbations massives dans une équipe qui ne manquait pas de dangers.

Lorsqu'il est titulaire, les offensives des Skyblues penchent beaucoup à gauche (37%) que lorsqu'il ne l'est pas (33%) et sa faculté d'élimination pose beaucoup de problèmes aux entraîneurs adverses. Ces dernières semaines, Gary O'Neil (Wolverhampton) et même Roberto De Zerbi ont dû effectuer d'importants réajustements pour limiter l'impact de l'ancien Rennais. Le technicien de Brighton avait sorti James Milner dès le retour au vestiaire. Le vétéran anglais avait particulièrement souffert. Il n'était pas le premier. Et certainement pas le dernier.

Flavien Tait alerte sur le danger des réseaux sociaux et revient sur une rumeur insensée

En février dernier, l'ex joueur du Stade Rennais, Flavien Tait, a été la cible de rumeurs sur les réseaux sociaux concernant une histoire extraconjugale avec la femme de celui qui était alors son coéquipier, le Croate Lovro Majer. "Une rumeur insensée", sur laquelle il est revenu plus en détail, ce mercredi, dans Ouest-France, afin d'alerter sur le danger des réseaux sociaux pour la santé mentale des joueurs.
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"Ce sont des rumeurs insensées et qui peuvent faire très mal à une famille." Interrogé dans les colonnes de Ouest-France, ce mercredi 25 octobre, sur la santé mentale dans le football, l'ex-joueur d'Angers et du Stade Rennais, Flavien Tait, en a profité pour évoquer son cas et alerter en longueur sur les dangers des réseaux sociaux et la pression psychologique qu'y subissent les footballeurs.

En février 2023, pour expliquer son absence du groupe dans une rencontre face à Clermont, des internautes mal-intentionnées avaient publié sur les réseaux sociaux la rumeur d’une liaison extraconjugale entre le milieu de terrain français (qui évolue désormais à Samsunspor en Turquie) et la femme de son coéquipier, Lovro Majer. Huit mois après il témoigne des effets de telles accusations sur la santé mental d'un joueur.

Il faut que les gens se rendent comptent que ça peut avoir un impact incroyable
"Cette rumeur, c’était incroyable de sortir des choses comme ça. Franchement… Je me suis dit : "Ce n’est pas possible, qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ?", se rappelle Tait avant de condamner, "des rumeurs insensées et qui peuvent faire très mal à une famille. Il faut que les gens se rendent compte que dire des choses comme ça, ça peut avoir un impact incroyable."

"Je savais que tout était faux". Alors que les rumeurs sont relayées en masse sur les réseaux sociaux, le Français se souvient être resté lui même malgré tout continuant à entretenir les bonnes relations qu'il avait avec son coéquipier croate, qu'il qualifie comme l'un de ses "meilleurs amis à Rennes", de l'époque.

Face à la viralité de la rumeur, le milieu de terrain avait décidé de réagir directement en story Instagram qualifiant ces accusations d'"inadmissibles, inacceptables et honteuses". Il avait alors indiqué qu'il n'hésiterait pas à "porter plainte contre X pour diffamation (passible d'une amende de 12 000 euros)".

Le joueur de 30 ans est également revenu, ce mercredi, sur les raisons de son écartement du groupe à l'époque. Une mise à l'écart à l'origine de toute cette polémique: "C’était un choix du coach, il y a eu une petite embrouille. Le coach et moi, on a le même caractère donc parfois…(rires). Ce jour-là, j’ai abusé et c’est pour cela qu’il m’a puni en ne me mettant pas dans le groupe. C’était une période plus compliquée pour nous, ça ne tournait pas pour moi, pour l’équipe. Je n’ai pas Twitter. J’étais au match en tribunes et à la fin, on m’envoie un message en me disant que cette rumeur est sortie pour expliquer mon absence et je me dis : Mais ce n’est pas possible !"

Les réseaux sociaux sont devenus un défouloir, je n'y prête plus attention parce que ça peut faire très, très mal.
Les rumeurs qui ont eu comme effet, pour l'ancien joueur rennais, de lui faire revoir radicalement son utilisation des plateformes: "Désormais, je n’y prête plus attention. Quand j’ai connu une période délicate à Rennes, je regardais par curiosité, mais je n’y prête plus attention parce que ça peut faire très, très mal." Il appelle également ses coéquipiers et l'ensemble des joueurs professionnels à repenser leur rapport à ces outils.

"Nous, les réseaux sociaux, on s’en sert pour montrer notre vie aux gens qui nous suivent. Si je n’étais pas footballeur, je n’aurais pas de réseaux sociaux. On met des photos, on montre certaines choses de notre vie pour les gens qui nous suivent et c’est agréable. Mais certains s’en servent de défouloir. Un conseil que j’ai, c’est de banaliser tout ça (l'utilisation des réseaux)"

Le joueur s'en prend aussi aux comportements disproportionnés que les fans peuvent avoir sur la toile: "Les réseaux sociaux sont devenus un défouloir. Les gens sont derrière leur écran, vous donnent des leçons et vous insultent parce que vous n’avez pas été bon. Ce n’est que du football, il y a des choses plus graves dans la vie, et on le voit avec les sujets actuels."

Pokou, un ballon en hommage à la légende ivoirienne

Le ballon officiel de la CAN 2023, programmée en janvier-février 2024, a été baptisé Pokou, en hommage à la star ivoirienne des années 1970, Laurent Pokou.

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Le voile est levé sur le ballon officiel de la prochaine CAN. Présentée par la Confédération africaine de football (CAF) et l'équipementier Puma, la sphère reprend les trois couleurs principales du drapeau de la Côte d'Ivoire (blanc, orange et vert) et porte le nom de "Pokou", comme le regretté attaquant ivoirien Laurent Pokou (1947-2016), passé longuement par le Stade Rennais au cours de sa carrière. Celui qui a également donné son nom au stade de San Pedro avait fait ses débuts internationaux contre le Ghana lors d'un match amical en 1967, avant de devenir le meilleur buteur des Coupes d'Afrique des Nations de 1968 et 1970. Ses 14 buts en phase finale ont constitué le record du tournoi jusqu'en 2008, année où le Camerounais Samuel Eto'o l'effaça des tablettes.

Pokou, l'homme d'Asmara et du Stade Rennais
"Le ballon, qui sera utilisé au cours de la 34e édition du plus grand événement sportif sur le sol africain, a été nommé en hommage à la légende ivoirienne Laurent Pokou. En 1970 face à l'Éthiopie, le joueur des Éléphants avait réalisé un quintuplé et qualifié son pays, en battant au passage le record du nombre de buts marqués par un joueur lors d'un match de phase finale de Coupe d'Afrique des Nations", indique la CAF sur son site officiel.

"C'est un moment émouvant pour ma famille. C'est un grand honneur pour mon défunt père, qui a consacré sa vie au football ivoirien, de voir que le ballon officiel de la CAN en Côte d'Ivoire porte son nom, déclaré Erwan Pokou, fils de la légende. La famille apprécie les engagements de la CAF et du COCAN dans cette célébration des héros et des héroïnes du football africain. Cela va motiver et inspirer les générations futures à suivre leur exemple." Pour rappel, la CAN 2023 se déroulera du 13 janvier au 11 février 2024 dans les villes d'Abidjan, Bouaké, Korhogo, San Pedro et Yamoussoukro.

À Rennes, on arrivait à la fin d’un cycle

Le milieu offensif Flavien Tait a quitté le Stade Rennais cet été, après avoir été libéré de sa dernière année de contrat, direction la Turquie et Samsunspor. Dans un entretien accordé à Ouest-France, Tait revient sur ses quatre riches années en Bretagne, parle de son choix de partir, et évoque sa nouvelle vie turque.

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Flavien Tait a fait ses valises en fin de mercato cet été, direction la Turquie et Samsunspor, après quatre années au Stade Rennais où il aura tout connu et découvert les trois compétitions européennes (Ligue des champions, Ligue Europa et Conference League). Le milieu de 30 ans s’est confié sur ce départ et sa nouvelle vie turque dans un entretien accordé à Ouest-France.

Vous êtes parti tardivement de Rennes cet été. Mais vous étiez au courant tôt que vous partiriez ?

Oui, mais on ne sait jamais dans le foot, donc je me suis préparé comme si j’allais faire la saison avec Rennes. Le mercato s’active souvent au dernier moment, c’est ce qu’il s’est passé pour moi. Malheureusement, on arrivait à la fin d’un cycle, de nouveaux joueurs sont arrivés et je savais que ça allait être compliqué pour moi au niveau du temps de jeu. C’est pour cela que j’ai pris la décision de partir.

En aviez-vous parlé avec le coach ?

Oui, il m’avait dit que j’aurais sûrement moins de temps de jeu par rapport au recrutement. Il pensait qu’on arrivait à la fin d’un cycle. Cela s’est fait naturellement, je l’ai compris tout de suite. Au début, j’étais déçu, mais ça fait partie du football. J’avais fait mon truc à Rennes et je sentais que ça s’étouffait un petit peu. De nouveaux joueurs plus jeunes sont arrivés, avec une plus-value pour le club. Ils ne m’ont pas mis dehors, ils ont même toujours voulu faire les choses bien avec moi, parce qu’ils savent que j’ai compté pour le club. Cela a été une discussion très professionnelle et avec toujours une bonne relation avec le coach.

Avez-vous envisagé d’aller au bout de votre contrat ?

Si on m’avait dit que rien ne changeait et que j’allais jouer, oui. Mais j’estime qu’à mon âge, j’ai besoin de jouer.

Je voulais voir un autre football
Tout le monde a été surpris par la destination, la Turquie…

(Il s’esclaffe) Tout le monde me dit ça ! On est rentrés dans une phase où le foot a changé. J’ai eu beaucoup d’intérêts de clubs, mais je voulais rester en Europe et continuer d’évoluer dans un club avec des ambitions. Malheureusement, il n’y a pas eu ce que je voulais. Samsunspor m’a montré un intérêt vraiment fort. J’ai senti que j’étais désiré et ça m’a fait du bien. Des offres sur la table, je n’en avais pas 150 000. J’aurais pu attendre un peu, mais c’était compliqué par rapport à ma famille. Mais ça n’a pas été un choix par défaut. Le championnat turc se développe, il y a beaucoup de joueurs passés par la Ligue 1. J’ai senti que j’allais être une pièce maîtresse de leur projet.

Aucun club de L1 n’avait envie de vous faire venir ?

Si, si, j’avais des clubs, mais mon choix numéro 1 c’était d’aller à l’étranger. Je voulais voir un autre football.

Et vous vous plaisez en Turquie ?

Oui, c’est un très beau pays. La ville est en bord de mer, le cadre est agréable, les gens sont cool.

Sur le plan sportif, ce n’est pas le début de saison idéal en revanche

Bien sûr. Il y a plein de nouveau joueurs, un nouveau coach. Je sens que ça va prendre forme et que ça va être plus structuré. On a très mal commencé, on le sait, mais le championnat est loin d’être fini. Il y a moyen de viser plus haut.

Je n’ai pas souvenir qu’une équipe joue aussi bien que Rennes en 2021-2022

Quel moment gardez-vous de Rennes ? Le plus fort ?

Ma saison 2021-2022. Pour moi, c’est la plus belle saison du Stade Rennais. Je n’ai pas souvenir qu’une équipe joue aussi bien. Chaque week-end on proposait des choses sur le terrain, moi j’ai pris un énorme plaisir à jouer dans cette équipe. Dans le contenu, avec les collègues, on se disait : « Mais tu peux nous ramener qui tu veux… » On avait une force collective incroyable.

Étiez-vous au top de votre carrière ?

Oui. J’avais un staff et un coach qui me donnaient beaucoup de confiance et les clés du jeu avec Lovro (Majer). On s’est régalé avec toute l’équipe. Le fait de jouer des Coupes d’Europe, des matches à enjeux… C’était magnifique.

Votre parcours a pourtant été cabossé à Rennes. À votre arrivée, vous prenez un carton rouge qui vous éloigne des terrains, ça ne clique pas tout de suite. Des doutes naissent autour de votre transfert et pourtant, vous inversez la tendance.

C’est l’histoire de ma carrière (rires). Rien n’a jamais été facile, mais avec le travail j’ai réussi. Je suis un joueur qui marche beaucoup à l’affectif et à la confiance. Mes débuts n’ont pas été chaotiques mais… Je sortais d’une grosse saison avec Angers, il y avait beaucoup d’attentes, des choses à digérer pour moi, parce que cela changeait pour moi au niveau de mon football. Il fallait s’adapter, mais j’ai beaucoup appris, ça m’a renforcé. Grâce à cette période, où j’ai vécu des moments difficiles, plus rien ne m’affecte. Être critiqué, sifflé, ce n’était pas facile. Mais c’est devenu une force, de montrer que les gens s’étaient trompés. Et puis, l’arrivée du coach Genesio m’a beaucoup aidé.

Justement, l’arrivée de Bruno Genesio à la tête de l’équipe a changé votre passage à Rennes ?

Oui, en fin de saison, on décroche la Ligue Europa Conférence alors qu’on partait de très loin. Au bout du deuxième match contre Strasbourg, qui est capital, il me fait jouer parce qu’il estime qu’à l’entraînement je montre des belles choses. Et à partir de là, je ne sors plus de l’équipe. J’ai été bon au bon moment, donc c’est une fierté pour moi.

Au fil du temps, j’ai senti un amour profond

Votre relation avec les supporters s’est bonifiée avec le temps ?

Beaucoup. Elle a mal commencé (rires), ça m’a affecté parce que Rennes sans son public, ce n’est pas Rennes. Et au fil des matches et des saisons, j’ai senti un amour profond. Quand je suis parti, j’ai reçu beaucoup de messages qui m’ont touché : « on aurait dû le garder », « on t’aime Flavien »… Je les remercie. Je n’ai qu’un seul regret : c’est de ne pas avoir eu l’opportunité de dire au revoir aux supporters aux Roazhon Park.

Cela a-t-il été difficile de quitter la ville de Rennes ?

Oui, ça restera gravé à jamais dans mon cœur. Pour le football, la vie, ma fille y est née, il y a beaucoup de choses qui s’y sont passées. J’essayais de consommer la ville, c’était important d’aller manger au restaurant, d’aller voir un verre après certains matches. C’était bon enfant et dans ces moments-là, on a beaucoup de proximité avec les supporters, et c’est cool.

Vous regardez toujours à distance ?

Oui, je regarde tout, quand je peux ! J’ai regardé Nantes, Villarreal, Paris… J’avais des frissons quand Martin (Terrier) est rentré sur le terrain après tout ce qu’il a vécu.

Quel message souhaiteriez-vous envoyer aux supporters rennais ?

Je leur dirais que je suis désolé pour mes débuts (rires). Mais merci pour tout, pour tous ces grands moments que j’ai pu vivre au Roazhon Park, même à l’extérieur. J’ai vécu des soirées européennes incroyables. Ce stade, le Roazhon Park, quand vous y jouez et que vous faites partie de ce club, il y a une atmosphère particulière. Donc merci pour votre soutien tout au long de ces années. Je ne souhaite que le meilleur à Rennes et je continuerai à suivre le club. Et puis, avoir fait quatre années à cette période du Stade Rennais, c’est une victoire. Je n’aurai pas ma statue comme Bourigeaud, mais c’étaient vraiment de belles années !

Yann M’Vila à Lyon

Sans club depuis son départ de l’Olympiakos, Yann M’Vila (33 ans) ne signera pas à l’Atlético Madrid malgré de réelles connexions et continue de à s’entretenir du côté de Lyon.

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Non, Yann M’Vila ne signera pas à l’Atlético Madrid. Malgré des rumeurs persistantes tout au long du week-end, et une réelle connexion entre les deux parties, l’ancien milieu de terrain de l’ASSE restera libre jusqu’à sa prochaine destination. Pour l’heure et afin de mieux peaufiner sa réflexion personnelle, le joueur de 33 ans a choisi de s’entretenir du côté de Lyon depuis quelques jours.

M'Vila travaille deux fois par jour à Lyon
"Yann M'Vila est prêt pour un nouveau chapitre car il est toujours disponible en tant qu'agent libre mais pas de discussions avec l'Atléti malgré les liens mais ouvert à de nouvelles opportunités, affirme Fabrizio Romano sur Twitter. Il s'entraîne tous les jours depuis qu'il a quitté l'Olympiacos et travaille désormais deux fois par jour à Lyon, prêt à rejoindre un nouveau club dès que possible."

S.G.S.B.

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