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Un premier verdict est tombé pour la blessure de Gronbaek

Albert Gronbaek, joueur du Stade Rennais, a quitté le terrain prématurément lors du match face à l’AS Monaco, qui s’est conclu par une défaite de 1-2. L’attaquant danois, arrivé récemment en Bretagne, a été victime d’une blessure à la cheville.

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L’entraîneur de l’équipe, Julien Stéphan, a évoqué la situation de Gronbaek lors de la conférence de presse après le match. Il a déclaré : « C’est la cheville, je n’ai pas de détail pour le moment ». Ces paroles témoignent de l’incertitude qui entoure la condition du joueur.

Pour déterminer l’étendue de sa blessure, il devra subir des examens médicaux dans les prochaines heures. Ces analyses permettront de clarifier la gravité de sa blessure à la cheville ainsi que la durée de son indisponibilité.

Depuis son arrivée à Rennes en provenance de Bodo/Glimt, Gronbaek avait fait une impression favorable en début de saison. Cependant, ses performances semblaient stagner légèrement lors des derniers matchs avant cet incident regrettable.

La situation de Gronbaek est suivie de près par le club et ses supporters, qui espèrent un retour rapide sur le terrain. Les résultats des examens à venir seront déterminants pour établir le calendrier de sa récupération.

Pleine Lucarne du 07/10/2024

Pleine Lucarne du 07/10/2024

Au Stade rennais, le bazar et la manière

Dans le flou sportivement en ce début de saison, le Stade rennais a connu un nouveau chamboulement institutionnel avec le remplacement d’Olivier Cloarec par Arnaud Pouille. Une marque de fabrique de l’ère Pinault qui peut interroger, alors que le club breton espère rester un club qui compte dans l’Hexagone.

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Au Stade rennais, le bazar et la manière
La scène a quelque chose d’étrange, ce samedi soir, au pied de la tribune Mordelles au Roazhon Park. Il est 19h47 quand Benjamin Bourigeaud, légende locale et de passage dans son ancienne maison pour la première fois depuis son départ au Qatar, se présente accompagné de l’un de ses fils pour découvrir une fresque en son honneur, dessinée par l’artiste Aéro. Elle représente notamment la célébration de son but inscrit contre Marseille en mars dernier, quelques mètres plus loin, à l’occasion de son 301e match sous la tunique rouge et noir. Les supporters passent et veulent leur photo avec l’idole, les journalistes récoltent ses mots. Ils sont plusieurs à assister à cet hommage rare et à ce qui pourrait ressembler à un au revoir à une époque.

On y trouve Romain Danzé bien sûr, mais aussi, entre autres : Hubert Guidal, fidèle lieutenant de François Pinault ; le petit-fils de l’actionnaire et fils de François-Henri, répondant aussi au nom de François ; Alban Gréget, directeur général adjoint de la holding Artémis et nouveau président du conseil d’administration du club depuis mai dernier ; ou encore Arnaud Pouille, tout juste intronisé président exécutif. Tout ce petit monde aura ensuite assisté à la défaite contre Monaco (1-2), la quatrième en sept matchs cette saison, contribuant à entretenir un grand flou autour d’une grande question : mais où va le Stade rennais ?

Sous les Pinault, une présidence tournante
Cette soirée s’est déroulée comme si rien ne s’était passé, ou presque, la veille. Le club breton s’est pourtant offert une crise institutionnelle dont il a le secret, avec le limogeage d’Olivier Cloarec et la nomination de Pouille, qui a remis le maillot floqué « Légende 14 » à Bourigeaud avant le coup d’envoi. Ce choix « appartient aux propriétaires, à la direction », a évacué Julien Stéphan, qui a eu un « mot de soutien » pour son désormais ancien dirigeant. « Cela a été assez compliqué, ce n’était pas le meilleur moment pour nous, répondait assez honnêtement Ludovic Blas, auteur d’un but fantastique. On a essayé de mettre ça de côté pour le match, mais c’est une décision que l’on n’a pas à commenter. Ce sont des choses qui se règlent plus haut. » Plus haut, à Rennes, c’est la famille Pinault, et c’est toujours dans ces sphères d’une autre planète, celle des milliardaires et des capitaines d’industrie, que sont prises les grandes décisions, celles attendues comme celles incompréhensibles.

Cela a été assez compliqué, ce n’était pas le meilleur moment pour nous. On a essayé de mettre ça de côté pour le match, mais c’est une décision que l’on n’a pas à commenter. Ce sont des choses qui se règlent plus haut.

Ludovic Blas

Le couperet était tombé le mercredi pour Cloarec, cinq jours après une défaite tristounette contre le Paris Saint-Germain au Parc des Princes (3-1), où se trouvaient plusieurs Pinault, dont François-Henri, dirigeant du groupe de luxe Kering et de la société familiale Artémis (dont fait partie le Stade rennais), et son épouse Salma Hayek. L’homme d’affaires de 62 ans n’aurait pas aimé ce qu’il a vu ce soir-là, ni sur le terrain ni en dehors, constatant a priori un certain laxisme et ne goûtant pas trop l’idée de voir les joueurs ne pas avoir à se pointer à l’entraînement dès le lendemain. Cloarec a-t-il été le fusible à faire sauter ? Les patrons bretons ont-ils estimé que le club avait besoin d’un nouveau visage pour mieux l’incarner, à un moment où le SRFC se cherche une identité après une première révolution estivale ? Il serait trop prétentieux de prétendre être dans le secret des dieux et de savoir exactement le pourquoi du comment.

Toujours est-il que celui qui occupait ce costume depuis mai 2022 et qui avait assuré l’intérim pendant la maladie du regretté Nicolas Holveck n’aurait en tout cas pas eu le droit à une longue liste de reproches avant de se faire couper la tête. Drôle de timing, drôle de décision, même si Cloarec aurait pu se dire qu’il était le prochain après onze derniers mois qui auront vu Bruno Genesio et Florian Maurice quitter le navire. Ainsi va la vie au Stade rennais, un club qui n’a plus viré un entraîneur depuis Sabri Lamouchi en décembre 2018, mais qui a depuis montré la porte à deux présidents, à chaque fois de manière brutale (Olivier Létang en février 2020, déjà), mais pour des raisons bien différentes. Arnaud Pouille est ainsi devenu le dixième président du SRFC de l’ère Pinault (sachant que René Ruello et Frédéric de Saint-Sernin ont connu deux passages), un poste fragile cette dernière décennie (6 présidents en 10 ans, en comptant l’intérim de Jacques Delanoë).

Le spectre du déclassement
La journée de vendredi a été chargée en émotions à la Piverdière, a-t-on appris, puisque c’était celle des adieux pour Cloarec et de la passation de pouvoir avec Pouille, qui a assisté à la victoire de l’équipe réserve contre Cesson le samedi après-midi aux côtés de Benoît Müller, le directeur général adjoint. Dans ce cas précis, «?pouvoir?» est peut-être un grand mot, comme le rappelle le titre de «?président exécutif?». C’est toute la complexité du processus de décision à Rennes, où François Pinault avait par exemple imposé Julien Stéphan pour succéder à Bruno Genesio en novembre 2023, contre l’avis de son directeur sportif Florian Maurice, qui ne s’en était d’ailleurs pas caché. Le fonctionnement doit interroger, au-delà de la chance évidente que représente la famille Pinault pour un club comme le Stade rennais à une époque où les investisseurs sans attaches et sans affect pullulent dans le foot français (et européen). Il est question d’erreurs qui se répètent, du goût pour ces chamboulements institutionnels, souvent à l’automne, et d’une absence de communication directe, au moins de temps en temps, alors qu’une conférence de presse devrait avoir lieu jeudi, en présence d’Arnaud Pouille et d’Alban Gréget.

Je resterai sous pression jusqu’au dernier jour où je ferai ce métier.

Julien Stéphan

Dans le film Au fer rouge pour les 120 ans du club, François-Henri Pinault glissait son envie de voir son Stade rennais remporter un jour une Coupe d’Europe et de retourner au Stade de France pour y jouer une finale. Pour l’instant, le club breton, qui est passé à côté de sa cuvée 2023-2024 et qui a mal lancé la nouvelle, semble loin de tout ça. Il ne faut pas insulter l’avenir, mais le passé récent rend le présent un poil déprimant. Cela s’est ressenti dans un Roazhon Park éteint ce samedi soir, même si les fidèles lui auront offert un record aux buvettes. Les supporters ont besoin de se trouver de nouveaux chouchous, après un été à 30 mouvements (18 départs, 12 arrivées) sous l’impulsion de Frederic Massara, et de s’attacher à une équipe actuellement 12e de Ligue 1, deux points devant le barragiste et à six longueurs du top 5. Après six années d’affilée à goûter aux soirées européennes aux quatre coins du Vieux Continent, les amoureux du Stade rennais se mettent à craindre un grand déclassement et un retour à l’anonymat d’avant. Il est trop tôt pour le poser ainsi, mais rater une deuxième saison dans les grandes largeurs ne serait pas un bon indicateur pour le futur.

Le calendrier à venir après la trêve semble plus abordable (Brest, Le Havre, Auxerre, Toulouse) et doit être l’occasion pour les Bretons de chasser quelques nuages. Le temps presse, pour le club comme pour Stéphan, dont le passé (la Coupe de France 2019, une qualification en Ligue des champions en 2020) ne suffit pas à lui assurer le soutien de l’opinion publique. Depuis sa prolongation jusqu’en 2026 au printemps, son SRFC a obtenu seulement quatre victoires en seize matchs (contre Nantes, Metz, Lyon et Montpellier), et le passage à un nouveau système en 3-4-2-1 n’a pas encore fait ses preuves, malgré quelques bonnes choses entrevues en seconde période contre Monaco. «?Je resterai sous pression jusqu’au dernier jour où je ferai ce métier. La pression qu’on se met au quotidien, c’est de maintenir un groupe dans une direction, le faire travailler, l’encourager quand il le mérite comme ce soir, le sermonner comme il le méritait la semaine dernière. C’est l’exigence qu’on doit se mettre, posait-il en conférence de presse. Pour le reste, ça ne dépend pas de moi. » Les succès offrent du temps et du confort, deux choses qui commencent à manquer à l’entraîneur rennais, lequel doit maintenant espérer que cette tempête automnale n’en appellera pas une autre.

Les 3 signes d’une crise profonde à Rennes

Battu par l’AS Monaco malgré un but sublime de Ludovic Blas (1-2), le Stade Rennais traverse une période difficile et affiche des signes qui esquissent un début de crise profonde. Analyse.

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Stéphan pas en danger, vraiment ?
L'optimisme de Julien Stéphan après la défaite d’hier ferait presque plaisir à voir. "Je comprends que vous tiriez ces conclusions au vu des résultats mais j’ai vu beaucoup de progrès, a-t-il analysé. Moi, je regarde comment évolue l’équipe et là-dessus j’ai vu beaucoup de signaux encourageants. Comme toute défaite, elle est douloureuse. Surtout quand tu as fait tout ce que tu devais pour mettre en difficulté Monaco, qui a été très efficace. Je n’ai pas beaucoup de reproches à faire à mon équipe. On a été devant eux sur tous les paramètres du jeu."

Le coach du Stade Rennais semble oublier que son équipe reste sur une seule victoire lors des six derniers matches et son groupe pourrait l’avoir lâché. "Quand on regarde les dernières semaines rennaises, ça commence à faire beaucoup. Ça ne prend pas avec Julien Stéphan et je ne vois pas d'amélioration au fur et à mesure des matchs", a analysé Walid Acherchour sur RMC Sport. Le journaliste Anthony Clément s’inquiète pour l’avenir de Stéphan dans L’Équipe. "Julien Stéphan peut trembler, car un entraîneur va bien finir par tomber."

Une instabilité chronique à la gouvernance
En moins d’un an, le Stade Rennais a connu deux présidents, deux directeurs sportifs et deux coaches différents, plus de dix arrivées et dix départs de joueurs. Un vrai tourbillon confirmé par la famille Pinault, qui a de nouveau revu sa stratégie cette semaine en changeant de président : Arnaud Pouille à la place d’Olivier Cloarec. Tous ces changements dénotent une instabilité chronique à la tête du club breton, bien remarqué par le journaliste d’Ouest France Laurent Frétigné :

"L’éviction du remarquable Olivier Cloarec prouve que les Pinault sont complètement hors sol, coupés des réalités du terrain, et finalement à mettre dans le même panier que ce foot business insupportable. La réussite de Brest met d’autant plus en lumière leur échec."

Gronbaek comme un symbole
Joueur le plus brillant du Stade Rennais en début de saison, Albert Gronbaek a connu un jour sans hier contre l’AS Monaco (1-2). Le jeune milieu danois de 23 ans a cédé sa place après une blessure musculaire et été remplacé par Amine Gouiri. Cette blessure arrive comme un symbole et illustre presque à elle seule le lent déclin du Stade Rennais avant la trêve internationale. "Ce qui nous manque, c’est certainement de réussir à gagner en efficacité dans les deux surfaces de réparation, tempère Stéphan. On travaille dur, fort, on s’engage beaucoup tous les jours pour éviter cela et progresser. On a joué ceux qui font un début de saison et sont tout en haut. Je ne dis pas que ça explique les sept points en sept matches, mais pour l’instant, on n’a pas réussi à trouver ce qu’il fallait à l’extérieur pour prendre des points."

Le Stade Rennais et sa nouvelle révolution de palais

Dans un timing pour le moins étrange, juste avant la réception de Monaco ce samedi 5 octobre (21 h) en Ligue 1, le Stade Rennais a décidé de se séparer de son président exécutif Olivier Cloarec, pour le remplacer par le Nordiste Arnaud Pouille. Une décision de l’actionnaire François-Henri Pinault prise en début de semaine, qui a surpris et créé de l’émoi chez les salariés, dans un contexte sportif déjà incertain autour de l’équipe première.

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C’est un coup de tonnerre inattendu qui a mis en émoi les salariés, dans le paysage redevenu très agité, parfois incompréhensible, du Stade Rennais.

Comme révélé ce vendredi matin sur notre site internet, Olivier Cloarec n’est plus le président exécutif du SRFC. Il a été révoqué.

Son successeur s’appelle Arnaud Pouille, ex-directeur général… comme Cloarec, qui avait officié dans cette fonction au RC Lens de 2017 à 2024. « Je suis très heureux et fier de rejoindre le Stade Rennais, a déclaré le Nordiste, dans le communiqué du club officialisant la nouvelle et publié ce vendredi en fin d’après-midi. Je suis d’ores et déjà mobilisé à 100 % sur l’avenir de ce club prestigieux. Je suis convaincu que le Stade Rennais a tous les atouts pour affirmer son ambition sportive dans le cadre des compétitions nationales et européennes à venir. »

Cette double décision a été prise par l’actionnaire François-Henri Pinault, et Arnaud Pouille n’a d’ailleurs pas manqué de « remercier Monsieur François-Henri Pinault de sa confiance. »

Elle avait été mûrie en début de semaine, après la défaite à Paris (3-1). Le co-propriétaire du SRFC y avait assisté, et était reparti du Parc des Princes très agacé…

Pourquoi là, tout de suite, et pourquoi tout court ?
Des bruits de couloir avaient commencé à circuler quand une réunion avec les partenaires, prévue ce jeudi, avait été annulée au dernier moment. Sans explication, si ce n’est l’évocation d’une « annonce » à venir.

Reste que le timing de ce remaniement interpelle grandement, alors que l’équipe première va recevoir Monaco dans un contexte sportif rendu déjà incertain par un début de saison compliqué. Les joueurs auraient été prévenus officiellement dans l’après-midi de vendredi, avant l’entraînement.

Olivier Cloarec (50 ans) avait occupé différentes fonctions dans les clubs de Strasbourg, Brest, Vannes, Dijon et Lorient, avant d’arriver au Stade Rennais en 2021, comme directeur général adjoint. Le Finistérien avait été nommé président exécutif, après le retrait pour raisons de santé de Nicolas Holveck.

Cet été, Cloarec avait œuvré sur la partie ventes du mercato, qui s’était terminé par des gains records de plus de 150 millions d’euros, dont environ 60 pour le seul Désiré Doué. La partie recrutement de joueurs avait été menée par le nouveau directeur sportif Frederic Massara, en lien avec le coach Julien Stéphan.

Des interrogations désormais sur le secteur sportif
Cloarec, décrit comme un homme de principes et une personnalité fidèle au service du club, était apprécié en interne. A-t-il été considéré par l’actionnaire comme trop discret, manquant d’autorité et de poigne à ce poste très exposé de président, dans une période où le club s’interroge sur la forme de leadership à sa tête ?

Via son communiqué, le club n’a pas évoqué les raisons de son choix. « Arnaud Pouille aura la mission d’insuffler une nouvelle dynamique de succès au Stade Rennais à court, moyen et long terme », est-il simplement écrit.

Ce nouvel épisode tumultueux sonne comme une reprise en main de François-Henri Pinault, déjà à l’origine de l’arrivée de Massara au SRFC cet été, et dont on se souvient par exemple qu’il avait pesé au moment de la nomination d’Olivier Létang à la présidence en 2017. Au Stade Rennais, Pouille devient le cinquième président en huit ans…

Cette nomination préfigure-t-elle un remaniement plus large, qui toucherait cette fois au secteur sportif directement ? Là encore, beaucoup d’interrogations se posent en l’état, alors que l’armada monégasque arrive ce samedi soir au Roazhon Park.

Plus que jamais, une période s’éteint et le Stade Rennais change de chapitre : celui-là comporte un paquet d’inconnus.

Le Stade rennais a un nouveau président exécutif

Le Stade rennais a confirmé un nouveau changement de cap, ce vendredi après-midi, à la veille de recevoir Monaco en championnat au Roazhon Park. Le club breton a annoncé qu’Arnaud Pouille succédait à Olivier Cloarec au poste de président exécutif du SRFC. L’ancien dirigeant lensois, qui avait quitté le RCL au printemps, aura la mission d’insuffler une nouvelle dynamique de succès au Stade rennais F.C. à court, moyen et long terme.

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Cloarec occupait cette fonction depuis mai 2022, après une arrivée au club dans le costume de directeur général adjoint et avoir assuré l’intérim au début de la maladie de Nicolas Holveck, son prédécesseur. Il a été informé de sa mise à l’écart ce mercredi, dans la continuité de douze derniers mois mouvementés sur les bords de la Vilaine, entre le départ de Bruno Genesio en novembre 2023 puis celui de Florian Maurice en juin. Cet été, Cloarec s’était occupé des ventes, laissant le recrutement à Frederic Massara, le nouveau patron du sportif des Bretons. Reste maintenant à savoir si d’autres remous peuvent survenir dans les prochains jours ou les prochaines semaines.

L’humoriste Julien Cazarre se moque du Stade Rennais dans un clip parodique de La tribu de Dana

Il a encore frappé ! Dans un clip parodique, diffusé jeudi 3 octobre 2024 par le site de paris sportifs Winamax, l’humoriste et ancien journaliste sportif Julien Cazarre s’est moqué des résultats décevants du club de football de première division, le Stade Rennais, sur l’air du tube « La tribu de Dana ».

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« On va ramer, quelle cata encore une fois ! » C’est par ces mots que Julien Cazarre, ancien journaliste de Canal+, a choisi de se moquer avec humour du club de football du Stade Rennais, dans un clip parodique de la chanson La tribu de Dana, en collaboration avec le site de paris sportifs Winamax. La vidéo, publiée sur le réseau social X jeudi 3 octobre 2024, a déjà été visionnée plus de 110 000 fois. ?

On y voit l’humoriste tituber, canette à la main et bonnet rouge sur la tête, en compagnie de deux compères, dans les rues de la capitale bretonne pour moquer, en chanson, le début de championnat laborieux du club. Et en se disant « qu’au pire, on finira devant Nantes en championnat ». Le Stade Rennais connaît une perte de vitesse depuis le début de saison, marquée par l’arrivée de nouveaux joueurs cet été, avec peu de résultats, à l’image de la défaite cuisante contre le PSG (3-1), le 27 septembre 2024.

Le club est aussi secoué par des changements à sa tête, avec le départ du président Olivier Cloarec, remplacé par l’ancien directeur général du RC Lens Arnaud Pouille.

Le Stade Rennais déjà pris pour cible
Julien Cazarre n’en est pas à son coup d’essai. En 2017, sur le plateau de l’émission J+1 de Canal+, l’ancien journaliste se payait la tête, ou plutôt la bosse sur la tête de l’ancien défenseur central rennais Joris Gnagnon, amoché lors d’un match face à Saint-Étienne. Un an plus tard, en 2018, il embarquait son micro jusque dans le stade Michel-d’Ornano de Caen pour provoquer les supporters et taquiner les joueurs sur leur manque de résultat.

Dans une interview accordée à Ouest-France en juillet 2017, Julien Cazarre confessait à propos du football : « C’est un milieu très aseptisé. Moi, je dissèque tout, un peu comme un satiriste. Des gens me trouvent drôle, d’autres non, mais je pense qu’ils se disent que ça fait du bien, un mec comme ça. »

En attendant, les Rouge et Noir tenteront de le faire mentir ce samedi 5 octobre, lors de leur rencontre contre Monaco, au Roazhon Park.

Pleine Lucarne du 30/09/2024

Pleine Lucarne du 30/09/2024

Les trois plus gros diffuseurs pirates abandonnent

Impossible n'est pas Français, mais il devient de plus en plus dur pour les adeptes de Telegram de suivre la Ligue 1 de manière illégale. Les plus gros comptes passent à la trappe.

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Oui il était encore possible de regarder PSG-Rennes ce vendredi soir sans être abonnés à DAZN, mais c'est clair que désormais les comptes Telegram se font nettement plus discrets. Alors que la semaine passée encore, il était de bon ton de crier sa puissance sur les réseaux sociaux, les changements intervenus au sein de Telegram, dont le patron a récemment été interpellé en France, ont poussé les pirates à rester dans l'ombre ou même à stopper la diffusion des matchs de Ligue 1. Car dorénavant, au petit jeu du gendarme et du voleur, les gendarmes courent beaucoup plus vite. Comme le relate L'Equipe, il faut désormais 10 minutes pour faire sauter un compte illégal, là où avant, il fallait 48 heures, ce qui rendait inutile les interventions de la Ligue 1. De quoi donner des forces à ceux qui luttent contre le piratage, même si forcément, il y a encore énormément de travail.

La Ligue 1 commence à gagner des batailles

S'exprimant dans le quotidien sportif, l'un des responsables de la défense des ayants droit de la Ligue 1 et de la Premier League admet que les choses évoluent rapidement dans le bon sens. « Les trois plus gros streamers du moment, avec plus de 50 000 abonnés, ont cessé leurs activités le week-end dernier », précise Hervé Lemaire, patron de LeakID. Au total, Google aurait fait sauter près de 20.000 pages qui permettaient d'avoir le moyen de regarder la Ligue 1 sans abonnement. Le prochain grand rendez-vous pour tout le monde est prévu le dimanche 27 octobre prochain avec l'affiche OM-PSG qui va forcément susciter un intérêt énorme et une demande colossale pour pouvoir suivre le match de manière illégale. A voir si d'ici là les autorités auront encore fait des progrès pour défenseur leurs droits.

Steve Mandanda insulté par le public parisien

Il y a des antécédents qui ne s’effacent pas. Arrivé en 2022 à Rennes, Steve Mandanda restera toujours un gardien emblématique de l’Olympique de Marseille pour qui il a joué durant 14 saisons dans sa carrière. Forcément, à chacun de ses matches à Paris, le gardien de 39 ans reste ce joueur qui est une légende chez l’ennemi.

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Ce vendredi, son accueil au Parc des Princes a, de ce fait, été glacial. Lorsque le natif de Kinshasa était à l’échauffement, le virage Auteuil a entonné des chants peu élogieux à son égard : "*Mandanda, c’est une sal*e". Voilà ce qui risque d’encore plus attiser la motivation du champion du monde 2018…

Fabrice Pinel, mémoire du Stade Rennais

Postier à Rennes, ce supporter a participé à la conception et à la réalisation de la nouvelle salle des trophées du célèbre club breton. Une passion pour le SRFC qu’il assouvit depuis sa plus tendre enfance...
Fabrice Pinel, mémoire du Stade Rennais

Fabrice Pinel est un jeune postier basé à Rennes où il travaille pour Docaposte, une filiale du groupe public spécialisée dans le numérique. C’est aussi un fan du Stade Rennais. On peut même dire qu’il est tombé dedans tout petit. Dès l’âge de 6 ans, il s’est mis à collectionner toutes sortes d’objets autour d’un seul et unique thème : le Stade Rennais Football Club. À 12 ans, il assiste à sa première rencontre et, à ce jour, il n’a manqué qu’une trentaine de matches en vingt-quatre années ! Soit plusieurs centaines de matches supportés en direct au bord de la pelouse. Dans le même temps, il a accumulé souvenirs, vieux maillots, écharpes, fanions, programmes de match, soit des milliers d’objets.

Cette collection unique en son genre, Fabrice Pinel l’a d’abord mise en ligne sur un site Internet baptisé Rouge Mémoire : “En 2010, j’ai suivi une formation pour apprendre à créer un site sur le Web. J’ai travaillé pendant neuf mois. Et en septembre 2011, j’ai ouvert cette encyclopédie connectée qui comporte des statistiques uniques sur l’histoire du SRFC”. Aidé par Pierre Rolland, développeur informatique chez LaFourchette.com et également fan du Stade Rennais, il a mis en ligne une véritable encyclopédie consacrée au SRFC. Un travail de fourmi qui a rapidement attiré l’attention des réseaux sociaux et des officiels du club breton.

Toute l’histoire du Stade
Fabrice Pinel, dont les données sont utilisées sur le site officiel du club, entre alors en contact avec un troisième fan, Matthieu Lecharpentier. Ce dernier détient une superbe collection d’images sur la vie du club, notamment des coupures de presse, des photos et des vidéos. “À nous deux, nous possédons toute l’histoire du Stade Rennais depuis sa création en 1901”, raconte fièrement Fabrice. Et ensemble, ils décident de tout mettre en commun, constituant ainsi la plus importante banque de données sur le sujet.
En 2017, le président du club, Olivier Létang, et surtout Jacques Delanoë, ancien patron de RSCG Ouest et président du conseil d’administration, les sollicitent pour imaginer une “Galerie des légendes”. Le club ne possède aucun musée et les trophées sont rangés un peu partout dans les bâtiments de Moulin-du-Comte et de la Piverdière. “Il nous a fallu un an de travail intensif juste pour décider de ce que l’on voulait exposer”, précise Fabrice Pinel. “Nous avons dû faire des choix et notamment définir quels étaient les cinquante meilleurs joueurs de l’histoire du club. Ce qui n’a pas été facile…”

Plus combatif, plus efficace, la satisfaction Ludovic Blas

Parfois décevant l’an dernier, Ludovic Blas affiche enfin des statistiques dignes de son talent et, surtout, une attitude combative.

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Il incarne le virage pragmatique du Stade Rennais. Que ce soit dans le 4-4-2 avec un milieu en losange du début de saison ou le 3-4-3 qui semble devoir perdurer désormais, Ludovic Blas est une des rares satisfactions totales chez les Rouges et Noirs. Plus combatif, le milieu est aussi plus efficace.

Julien Stéphan, qui lui avait demandé, en mars dernier, "d’être plus exigeant avec lui-même", note les progrès : "Il a fait cinq matchs, cinq matchs réguliers, ça commence à compter. Et s’il en enchaîne encore quelques-uns de ce calibre-là, on pourra dire que ça va vraiment dans le bon sens", a commenté l’entraîneur mercredi.

Blas n’a rien sacrifié sur le plan offensif. Deux fois buteur, deux fois passeur, il est aussi le joueur qui a éliminé le plus d’adversaires (17) - par un dribble, une course ou en provoquant une faute - en L1 cette saison, avec un taux de réussite de 68 %, dépassé seulement par Evann Guessand, l’attaquant niçois.

Beaucoup d’erreurs au niveau du langage corporel
"C’est ma qualité première de provoquer et de faire jouer l’équipe", a-t-il rappelé mercredi, mais il reconnaît qu’aujourd’hui, il se "livre plus pour l’équipe et (fait) beaucoup d’efforts, surtout". Il estime pourtant ne pas courir davantage… mais mieux.

L’an passé, pour sa première saison rennaise, il avait "beaucoup de volume, mais je pense qu’il y avait des courses qui étaient à retardement, donc qui ne servaient pas à grand-chose. Maintenant, j’essaie de faire les efforts le mieux possible, au bon moment", a-t-il expliqué. Blas admet également avoir travaillé pour se défaire d’une nonchalance de façade parfois interprétée comme un manque d’engagement, voire d’ambition.

"Il a toujours eu son talent et ses qualités. La question qu’on pouvait se poser, c’était qu’est-ce qu’il voulait en faire, a même relevé Stéphan. Il montre, depuis le début de la saison, une implication totale dans tous les secteurs de jeu : avec le ballon, sans le ballon, dans les courses, même sur le plan mental." "J’ai fait beaucoup d’erreurs dans le passé au niveau comportement, enfin langage corporel, je veux dire", a reconnu le principal intéressé.

Un des plus beaux souvenirs de ma carrière
Mais à "26 ans, si mon année de confirmation et d’explosion, c’est cette année, je signe", a-t-il confirmé. Stéphan voit même en lui un leader potentiel : "ça fait 10 ans qu’il joue en Ligue 1, il a plus de 300 matches, il a vocation en tout cas à montrer l’exemple."

Ce vendredi face à Paris, le Martiniquais, qui a grandi en région parisienne, aura l’occasion de confirmer cette maturité nouvelle dans le stade de ses rêves. "C’est un match spécial parce qu’il y aura ma famille au stade, et puis c’est un stade où j’allais quand j’étais plus jeune. Mon rêve, c’était de jouer au Parc des Princes", a-t-il reconnu.

Le premier but qu‘ il y a inscrit avec Guingamp en 2018 (2-2), d’une frappe fouettée de l’extérieur du gauche en pleine lucarne, fait même partie des plus beaux souvenirs de sa carrière.

Stéphan bluffé par Alidu Seidu

De passage devant les médias, Julien Stéphan a encensé les récentes performances d’Alidu Seidu.
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Alidu Seidu, arrivé de Clermont en janvier dernier, a d’abord mis du temps à s’adapter à son nouveau club. Cependant, depuis le début de la saison, le défenseur polyvalent de 24 ans s’est solidement établi dans la défense de Julien Stéphan. Son entraîneur est désormais persuadé que l’international ghanéen va devenir un joueur clé pour l’équipe.

"J’ai trouvé qu’il avait réalisé un gros match en tant que latéral gauche face à Lyon (3-0, le 18 août). Jouer à différents postes, à n’importe quel âge, ça nourrit et développe la réflexion sur le jeu. Au poste d’axe gauche, il est exposé, il faut du caractère pour ressortir le ballon et il y a une zone importante à couvrir dans le dos. Il a les qualités athlétiques et d’engagement pour pouvoir gérer ça. Il a vocation à devenir un des leaders mais aussi à exercer beaucoup de responsabilités dans le jeu collectif de l’équipe", a confié le coach breton en conférence de presse.

Les clubs veulent gratter 50 m€ à Labrune

Le groupe de travail des présidents de L1 et L2 chargé d'auditionner les comptes de la LFP veut récupérer 50 M€. Pour l'instant, la Ligue n'en a trouvé que... 10

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Ce mercredi a lieu une réunion de travail entre les équipes de la LFP et le groupe de travail des présidents de L1, dans lequel on trouve notamment Olivier Létang (LOSC) et Jean-Pierre Caillot (Stade de Reims). Ce dernier doit éplucher les comptes de la Ligue et voir à quel niveau des économies peuvent être réalisées. L'idée étant, bien évidemment, que l'argent récupéré aille dans les caisses des clubs professionnels. Mais comme l'explique L'Equipe, il y a un gros écart entre les espoirs des uns et les propositions des autres

Les présidents veulent 54 M€, la LFP propose 10 M€
Le président d'Amiens, Bernard Joannin, qui fait partie de ce groupe de travail, espère que chaque club de L2 récupèrera 1,5 M€. Ce qui fait 27 M€ au total pour la L2. La L1 voudra au moins autant, ce qui ferait 54 M€ ! Du côté de la LFP, on pense que les économies réalisées pourraient permettre de dégager... 10 M€ ! Au vu d'un tel écart, l'idée d'un plan social n'est pas à écarter, de même qu'une vente des locaux chèrement payés par Vincent Labrune et son équipe. Le président de la LFP, certes réélu mais dans la défiance générale, se sait cerné et ne peut plus refuser grand-chose.

Le PSG étrennera un nouveau maillot third rose face à Rennes vendredi

Le PSG, en association avec Jordan, a dévoilé ce mardi un nouveau maillot « third » rose pâle orné d'une bande noire. Il sera étrenné vendredi face à Rennes dans le cadre de la 6e journée de Ligue 1.
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Le Paris Saint-Germain et Jordan ont dévoilé ce mardi leur nouveau maillot « third » pour la saison 2024-2025, « une création qui symbolise l'alliance du luxe parisien et de la performance sportive ». Ce maillot rose pâle, orné d'une bande noire, « reflète l'engagement des deux marques à fusionner élégance et audace, tout en capturant l'esprit unique du club de la nouvelle génération ».

Selon le communiqué du club parisien, « le lancement de ce maillot s'accompagne d'une gamme training et lifestyle, incluant trois paires de chaussures, dont une édition spéciale de la mythique AJ1 Low, aux couleurs de la collection. Cette nouvelle collaboration entre le Paris Saint-Germain et Jordan marque le début d'une montée en gamme des produits, apportant une touche de luxe au vestiaire parisien ».

Ce nouveau maillot sera porté pour la première fois par l'équipe masculine lors du match contre Rennes, vendredi, suivi de l'équipe féminine face à Guingamp, dimanche.

S.G.S.B.

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