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Un international turc aurait tapé dans l’œil du Stade Rennais en vue du prochain mercato d’été.
Selon les informations relayées par le média Fichajes, les dirigeants du Stade Rennais lorgneraient du côté de la Turquie pour renforcer leur secteur offensif. Le club breton s’intéresserait de près à Irfan Can Kahveci.
Ailier droit de 28 ans, ce dernier porte actuellement à Fenerbahçe où il est encore sous contrat jusqu’en juin 2025. International turc à 31 reprises (2 buts), le natif de Corum dispose d’une belle cote sur le marché des transferts puisque le FC Séville, Newcastle et la Lazio Rome suivraient également ce profil.
Le joueur pourrait disposer d’un bon de sortie pour cet été mais pas à n’importe quel prix. Ses dirigeants auraient fixé un prix de départ à 20 millions d’euros. Côté terrain, il réalise une belle saison avec seize buts et douze passes décisives en 43 apparitions toutes compétitions confondues.
Les supporters du Stade Rennais ont rendu hommage ce samedi à Nicolas Holveck, ancien président du club décédé cette semaine d'un cancer.
Le Roazhon Park accueille la rencontre entre le Stade Rennais et Toulouse ce samedi, dans le cadre de la vingt-neuvième journée de Ligue 1. L’occasion pour les supporters bretons de rendre un dernier hommage à l’un de leurs anciens dirigeants disparus cette semaine, Nicolas Holveck. Alors qu’il souffrait d’un cancer colorectal diagnostiqué en 2021, celui qui occupait la présidence de l’AS Nancy Lorraine depuis août dernier a été emporté par la maladie le 8 avril dernier. Pour lui rendre hommage, les Rennais ont déployé une banderole.
« Reposez en paix Monsieur Holveck. » Tel a été le message adressé par les supporters au disparu. Une minute de silence a également été respectée juste avant le coup d’envoi de la rencontre entre Rennais et Toulousains. Après être passé par Nancy et l’AS Monaco, Nicolas Holveck a débarqué au Stade Rennais dont il a pris la présidence en mars 2020, succédant ainsi à Olivier Létang.
Il restera en poste durant un peu plus de deux ans malgré l’annonce de son cancer, puis il cèdera sa place à Olivier Cloarec en mai 2022, son départ n’étant officialisé que quinze mois plus tard (août 2023).
Le Stade Rennais vit une saison très décevante. Les Bretons restent d'ailleurs sur une série de trois défaites de suite, ce qui inquiète pas mal.
A Rennes, c'est la saison de la déception. Pourtant, le dernier marché des transferts estival était plein de promesses au vu des joueurs recrutés. Mais les Bretons ont surtout fait preuve d'une énorme irrégularité pour espérer jouer les premiers rôles. Alors que le sprint final a débuté, les hommes de Julien Stéphan restent d'ailleurs sur une série de trois défaites de suite toutes compétitions confondues. Il sera désormais très difficile pour le Stade Rennais de terminer à une place européenne. En plus des résultats décevants, c'est l'état d'esprit qui inquiète aussi. Pourtant, selon Benjamin Bourigeaud, le vestiaire est on ne peut plus concerné.
Bourigeaud n'aime pas les critiques sur l'état d'esprit au Stade Rennais
Alors que Ouest France insistait sur le fait que l'impression donnée par les joueurs de Rennais était celle d'un groupe pas totalement concerné, le milieu de terrain a rétorqué en interview : « Si vous aviez vu nos réactions après le match du PSG ou de Monaco, vous ne diriez pas cela. On dépense beaucoup, beaucoup d’énergie. Vues les statistiques de courses, personne ne triche. On se donne énormément. On est des compétiteurs. On n’a qu’une envie, c’est de gagner des matches, donc dire qu’on ne se donne pas corps et âme, je ne suis pas d’accord. À Strasbourg, peut-être, mais pas sur les deux derniers matches ». A montrer donc dès ce samedi soir lors de la réception de Toulouse au Roazhon Park. Le Stade Rennais peut profiter de la défaite de Lens ce vendredi soir à Metz pour se rapprocher de la sixième place. Une opportunité à ne pas manquer face à un adversaire qui n'a pas encore assuré son maintien en Ligue 1.
Rennes rencontre Toulouse au Roazhon Park, samedi 13 avril, pour la 29? journée de Ligue 1. En raison du risque de confrontations entre supporters, le préfet a pris un arrêté.
« Il existe un risque avéré de troubles à l’ordre public », selon la préfecture, à l’occasion de la rencontre de football entre le Stade Rennais et le Toulouse FC, samedi 13 avril, à 21 h, dans le cadre de la 29? journée de Ligue 1, à Rennes.
Ainsi, Philippe Gustin, préfet d’Ille-et-Vilaine, a donc pris un arrêté autorisant l’utilisation de deux drones pour sécuriser les alentours du stade et le centre historique de la capitale bretonne.
Des rapports conflictuels depuis 15 ans
En effet, depuis 2009 et le vol de la bâche des supporters ultras du groupe Indians Tolosa 93 par les supporters du RCK, « les ultras entretiennent des rapports conflictuels qui donnent lieu à des affrontements« , mentionne la préfecture dans son arrêté.
Elle détaille également un certain nombre de faits qui se sont déroulés au cours des 15 dernières années entre les deux groupes de supporters.
De plus, la Division nationale de la lutte contre le hooliganisme classe cette rencontre au niveau 3 du risque de troubles, susceptible de se traduire par des affrontements entre supporters ultras des deux camps.
Des zones difficiles à identifier
L’utilisation de ces aéronefs est aussi justifiée par des zones d’affrontements difficilement identifiables à l’avance, ne permettant pas la mobilisation des forces de l’ordre, même en nombre important, pour éviter les troubles. Qui plus est dans un contexte du relèvement du plan Vigipirate au niveau « urgence attentat ».
Autre justification apportée, celle du manque de moyens de vidéoprotection sur les secteurs définis avec des caractéristiques topographiques des lieux ne permettant pas d’opérer une surveillance.
La bataille des droits TV de la Ligue 1 fait rage dans les coulisses, mais la LFP n'a toujours rien communiqué sur ce sujet. On sait seulement que des alliances entre diffuseurs se négocient avec plus ou moins de réussite.
Cette saison, pour suivre la saison 2023-2024 de Ligue 1, il faut être abonné à Prime Vidéo, qui diffuse sept matchs par journée, dont ceux du vendredi soir et du dimanche soir, tandis que Canal+ Sport donne le match du samedi soir et celui du dimanche en fin d'après-midi, mais pas sur sa chaîne Premium. A la reprise du prochain championnat, tout va être redistribué, puisque le contrat en cours se termine en mai prochain et que Prime Vidéo ne veut pas donner plus de 100 millions d'euros par an.
Du côté de Vincent Labrune, on est déterminé à se rapprocher du milliard d'euros, même si désormais, c'est plutôt 900ME, droits à l'international et de la L2 compris. Dans ce climat, Beinsports, sur ordre du Qatar, est disposé à prendre la totalité des droits de la Ligue 1, mais souhaite que Canal+ diffuse un ou deux matchs. Le média sportif qatari a cependant déjà refusé une offre venue d'ailleurs.
Beinsports ne dira pas oui à tout
A en croire Ouest-France, DAZN, dont l'offre de 500 millions d'euros pas saison, avec un accord à trouver d'urgence sous peine d'un règlement différé, a été refusée, a tout de même essayé de trouver un terrain d'entente avec Beinsports afin d'avoir un dossier plus solide. Peine perdue pour le Netflix du sport. « DAZN aurait même contacté beIN Sports pour sonder le terrain et conclure un accord de diffusion, en vain », révèle notre confrère, qui confirme que le diffuseur anglais est désormais totalement à l'écart des négociations.
Sauf à revenir avec une offre financièrement supérieure, et avec des garanties de paiement, DAZN ne donnera pas la Ligue 1 la saison prochaine, alors que cette saison Canal+ lui avait offert deux matchs. Après Amazon, c'est un deuxième abandon dans la course aux droits TV, Beinsports ayant de plus en plus le champ libre douze ans après avoir fait ses débuts en France avec l'Euro 2012, puis la Ligue 1 et la Ligue 2. La LFP peut remercier le Qatar.
Au cœur d’une nouvelle spirale négative, le Stade Rennais doit réagir. Défaits contre Strasbourg, Paris, puis Monaco, les Rouge et Noir ont plus que mal géré cet enchaînement redouté, et ressortent de cette période avec un sentiment de tout devoir reconstruire. Dans le onze de départ, certains changements pourraient être consentis, dont un quelque peu forcé dans les prochaines semaines.
La donne est simple pour le Stade Rennais à ce stade de la compétition. Avec six matchs restant à jouer en cette fin de saison, 39 points accumulés jusqu’alors, et quatre unités de retard sur la 6e place, les joueurs de Julien Stéphan se trouvent quasiment dans l’obligation de tout gagner s’ils souhaitent poursuivre leur folle série de qualifications consécutives en coupe d’Europe. Le prochain match s’annonce à domicile contre Toulouse, tandis que le suivant sera un déplacement crucial à Nantes, pour un derby très attendu. A l’occasion de ce match, un nouveau choix important se devra d’être fait par Stéphan au moment de composer son équipe.
Seidu ne verra pas Nantes
Très apprécié pour son activité et l’impact apporté lors de ses entrées en jeu, Alidu Seidu semble réussir son adaptation en Bretagne. L’ancien Clermontois n’est pas encore clairement le titulaire indiscutable dans cet effectif, mais le turnover observé avec Guéla Doué sur le côté droit, ou bien les tentatives effectuées comme arrière gauche en l’absence d’Adrien Truffert se sont montrées convaincantes à plus d’un titre.
Averti lors des derniers rendez-vous, Seidu sera de fait absent pour le déplacement à Nantes pour cause de suspension. En conséquence, Julien Stéphan devra certainement faire confiance à Doué et Truffert dans les couloirs, quitte à replacer Arthur Theate sur le côté en cas de changement.
Bien qu’elle ne soit pas encore clairement définie, la place de Seidu de la hiérarchie pourrait tendre à évoluer la saison prochaine, bien que de son côté, Doué semble être la future référence de l’équipe sur le côté droit.
Et cinq saisons de plus qui feront vingt-cinq. Une fidélité rare pour être souligné, qui n’a peut-être d’équivalent que le partenariat similaire du FC Nantes rival avec le groupe Synergie. Le Stade Rennais peut compter sur l’engagement et le soutien, indéfectible est le mot juste, du groupe Samsic.
Au coeur d’une actualité tristement plombée par la disparition de l’ancien président Nicolas Holveck, le club breton a officialisé la prolongation du contrat l’unissant au groupe spécialiste de l’emploi intérimaire pour cinq saisons supplémentaires, jusqu’en 2029.
Une extension célébrée à Louis II face à l’AS Monaco
A terme, cela fera 25 ans que Samsic occupera l’espace premium à l’avant des maillots des joueurs et des joueuses du Stade Rennais. Le club et son partenaire ont voulu marquer l’événement le week-end dernier à Monaco, par le port d’un maillot spécial avec le 25 inscrit à l’avant, formé de deux S du sponsor Samsic. Cela n’a pas réussi aux hommes de Julien Stephan, défaits un but à zéro.
Deuxième propriétaire de club de foot le plus riche au monde, François Pinault n’a pas pour autant transformé le Stade Rennais en grand club européen comme son immense fortune pourrait le lui permettre. On s’est demandé pourquoi
Depuis 1998, lorsque la famille Pinault est devenue actionnaire majoritaire du Stade Rennais, via la holding Artémis, le club breton n’est parvenu qu’à une seule reprise à terminer sur le podium de L1, en 2020.
Quatre fois 4ème, les deux dernières fois lors des deux dernières saisons, s’il y a bien eu un avant, et un après Pinault chez des Rouge et Noir jusqu’alors réputés pour prendre l’ascenseur vers la L2 plus qu’à leur tour, l’unique qualification en Ligue des Champions en 2020/2021, et une Coupe de France remportée en 2019 sont les seuls hauts faits d’armes venus valider les centaines de millions d’investissements réalisés.
Pour la troisième fortune française, la 37ème mondiale, le bilan est mince et forcément bien en deçà de la puissance financière d’une famille qui, contrairement à ses homologues milliardaires impliqués dans d’autres clubs européens, a un vrai attachement pour son club. Authentique !
Leur objectif n’a jamais été de faire la course avec les autres milliardaires
De François, le patriarche de 87 ans, à François-Henri, son fils de 61 ans qui a pris le relais en 2019, l’investissement familial n’a jamais été remis en cause, même pendant les périodes les plus difficiles qui furent nombreuses au quidam des années 2010. Les 29 ans de présence ininterrompues en L1 (seuls le PSG et l’OL y ont plus d’ancienneté), la casquette européenne régulièrement endossée depuis 2018, témoignent d’une volonté non feinte de s’inscrire dans le temps.
« Lorsqu’il parle du Stade Rennais, François-Henri parle d’un actif affectif, nous dit Jacques Delanoë, proche du fils et président du conseil d’administration du club. Je doute que les autres milliardaires évoquent leur club en ces termes. Ce qui lie le club aux Pinault est profond et sincère, ça date du temps où ils habitaient en face du stade. »
Supporteurs puis sponsor enfin actionnaire majoritaire, la trajectoire ne ressemble à aucune autre des grands capitaines d’industrie qui ne s’intéressent à un club qu’à travers ce qu’ils peuvent en retirer financièrement ou en terme d’image.
En matière de transferts, ils ont payé pour apprendre
Entre les investisseurs de court terme (King Street à Bordeaux, RedBird Capital Partners à Toulouse), les spéculatifs de moyen terme comme McCourt à l’OM, Textor à Lyon, les diplomatiques adossés à un Etat, comme les Saoudiens ou les Qatariens, ou les sugar-daddies qui viennent dans le foot comme ils entrent dans un casino, pour jouer (Abrahimovic), les Pinault dénotent.
« On peut regretter qu’ils ne mettent pas plus d’argent, nous accorde Jacques Delanoë, et je le comprends, mais leur objectif n’a jamais été de faire la course avec les autres milliardaires. Ils veulent assurer la pérennité du club, offrir du plaisir aux Bretons et construire pour l’avenir. Leur ambition est là, qui s’est déjà matérialisée par des investissements importants, qui continuent avec la construction du centre de formation, d’un futur stade peut-être, le tout financé à 100% par Artémis. »
Le parcours de la famille la plus célèbre de Bretagne, la trajectoire longtemps incertaine et fragile du Stade Rennais autant que la mentalité des Bretons expliquent la genèse d’un mariage qui a mis du temps à trouver son régime de croisière, mais qui semble aujourd’hui très équilibré.
Si le foot rend fou la plupart de ceux qui s’y plongent avec des rêves de grandeur, « ce n’est pas le genre de la maison, poursuit Delanoë. Je préfère l’équilibre raisonnable aux grandes promesses qui finissent mal en général. Cette approche est plus saine et elle correspond aussi à l’état d’esprit breton, centré sur l’humilité et le goût du travail. » Dans ces conditions, on imagine mal le recrutement d’une star à prix d’or qui viendrait fragiliser un club bâti pour durer, sans brûler les étapes.
Rennes, a déjà gagné son pari avec son stade
Si réussite il y a, elle sera collective, concrétisation d’un travail de long terme. « Depuis plusieurs saisons, nous jouons à guichets fermés tous nos matches à domicile. L’ambiance est formidable au Roazhon Park, se réjouit le président du CA encore sous le coup de l’émotion d’une victoire face à l’OM très symbolique qui relançait les joueurs de Julien Stéphan dans la course au podium. Car, sportivement, ce n’est qu’en parvenant à accrocher régulièrement une qualification en Ligue des Champions que Rennes peut espérer conserver ses meilleurs joueurs.
« Cela n’a rien à voir avec le potentiel financier des Pinault, explique un agent habitué à traiter avec le club. Car, forcément, ils auraient les moyens de s’aligner sur les salaires des grands clubs européens, mais ils ne le souhaitent pas. En matière de transferts, on peut dire qu’ils ont payé pour apprendre au début de leur aventure. Aujourd’hui, surtout, les joueurs ne resteraient pas pour jouer en Ligue Europa alors qu’ils ont des offres du Real, du Bayern et de Manchester City. »
Donc plutôt que de regretter que les Pinault n’aient pas fait l’effort financier pour garder Nonda (Monaco, 20 M€), Gyan (Sunderland, 16 M€), Gagnon (FC Séville, 15 M€), Aguerd (West Ham, 35 M€), M’Vila, Ismaïla Sarr (Watford, 35 M€), Cech (Chelsea, 13 M€), Bakayoko (Monaco, 10 M€), Bensebaini (M’Gladbach, 8 M€), Etienne Mendy (Chelsea, 24 M€), Dembélé (Dortmund, 37 M€), Camavinga (Real Madrid, 31 M€) ou Doku (Manchester City, 60 M€), demain peutêtre Bourigeaud, Terrier ou Doué, il parait plus juste de les remercier d’avoir été à l’origine de leur éclosion. Chaque chose en son temps.
Le groupe Artémis, propriétaire du Stade Rennais, a racheté CAA cet été, une des plus grandes agences de stars d’Hollywood qui représente aussi des centaines de footballeurs, via CAA Base et CAA Stellar, parmi lesquels Coman, Truffert, Richarlison, Camavinga ou Varane. De quoi faciliter de futurs transferts ? Pas vraiment en raison du risque de conflits d’intérêts.
Le Stade Rennais F.C. a eu la très grande douleur d’apprendre la disparition de Nicolas Holveck, à l’âge de 52 ans. Ancien Président Exécutif – Directeur Général du Stade Rennais F.C., Nicolas souffrait d’un cancer, maladie contre laquelle il a lutté pendant trois ans avec courage.
C’est dans ses Vosges natales qu’il a développé sa passion pour le sport, pratiquant le ski, le triathlon et le duathlon. C’est dans cette dernière discipline qu’il réalise ses plus belles performances en devenant notamment vice-champion de France amateur en 1994.
Nicolas Holveck a aussi été brillant sur le plan universitaire. En 1995, il décroche avec succès une maîtrise de Finance à Nancy puis un Master Management à Euromed Marseille, en 1997. Il découvre ensuite le football professionnel en intégrant l’AS Nancy Lorraine en tant que stagiaire. Il gravit les échelons un à un. Il est successivement nommé Directeur du stade avant de prendre le poste de Directeur Général Adjoint puis Directeur Général et enfin Vice-Président de l’ASNL.
Après 17 ans passés au service du club au chardon, il est recruté en 2014 par l’AS Monaco en qualité de Directeur Général Adjoint. Avec le club du Rocher, il vit notamment le titre de champion de France 2017 et une demi-finale de Ligue des Champions face à la Juventus Turin la même année.
Le 18 mars 2020, il rejoint le Stade Rennais F.C. et devient Président Exécutif - Directeur Général du club Rouge et Noir. Durant son mandat en Bretagne, il contribue avec beaucoup d’engagement au développement du club, aussi bien sur le plan sportif qu’administratif, continuant de faire du Stade Rennais F.C. un club européen reconnu.
Le club et ses supporters garderont l’image d’un homme professionnel, chaleureux, proche de ses collaborateurs et d’une intégrité exemplaire.
Le Stade Rennais F.C., ses actionnaires, ses dirigeants et salariés adressent leurs pensées émues à sa femme, ses deux enfants, sa famille et son entourage.
Un hommage lui sera rendu le 14 avril au Roazhon Park à l’occasion de la rencontre Stade Rennais F.C. / Toulouse F.C.
François-Henri Pinault, propriétaire du Stade Rennais F.C. :
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Nicolas Holveck. Son passage au Stade Rennais a laissé à mon père et moi-même le souvenir d’un dirigeant remarquable, d’un professionnel passionné, exemplaire de rigueur, de ténacité et de détermination. Il a mis toute son énergie pour faire progresser le club ; il y était parvenu malgré un mandat écourté par la maladie. Face à cette épreuve, Nicolas affichait une combativité exceptionnelle. Sa force de caractère, sa dignité et son courage forçaient l’admiration. Au nom de ma famille et du SRFC, je présente mes condoléances attristées à sa famille et tous ses proches.
Olivier Cloarec, Président Exécutif - Directeur Général du Stade Rennais F.C. :
La disparition de Nicolas est une terrible nouvelle, l’ensemble du club est très affecté. C’est une personne de grande valeur qui nous quitte. Il a fait preuve d’énormément de courage au cours des dernières années pour combattre la maladie. Tous ceux qui ont eu l’occasion de le côtoyer sont unanimes, il était un dirigeant de grande qualité, reconnu pour son très grand professionnalisme, sa clairvoyance, sa connaissance aiguisée du football mais aussi sa sympathie, sa chaleur et son humilité. Ancien athlète de haut niveau, il a transmis le goût de l’effort et de l’exigence à ses collaborateurs. Il adorait le football, il l’a servi avec beaucoup de passion et d’engagement.
Sur le plan personnel, sa présence au Stade Rennais F.C. a grandement compté dans ma venue au club. Nous nous sommes rencontrés lorsque je travaillais à Strasbourg, lui à Nancy, soit 25 ans de relations professionnelles et d’amitié sincère.
Je pense très fort à sa femme, ses enfants et son entourage. Je suis certain que l’hommage qui sera rendu au Roazhon Park samedi sera à la hauteur de l’homme qu’il était.
Nicolas Holveck est décédé à l’âge de 52 ans, après un combat admirable et admiré contre un cancer diagnostiqué en mars 2021. Le dirigeant aura laissé de bons souvenirs partout où il est passé, de Nancy, où il était revenu comme président l’été dernier, à Monaco et Rennes.
Nicolas Holveck, la classe dirigeante
L’été dernier, Nicolas Holveck était revenu chez lui, à l’AS Nancy Lorraine, là où tout avait commencé, dans le costume de président et avec la volonté d’aider ce monument du football français à ne pas sombrer. C’était une chance énorme pour une équipe de National 1, accessoirement son club de cœur, qu’il avait quitté dix ans plus tôt en versant quelques larmes, paraît-il, après plus de quinze années passées aux côtés de Jacques Rousselot. C’était aussi une chance énorme, pour lui, de pouvoir revenir aux sources et se remettre au travail, tout en poursuivant sa lutte contre un foutu cancer du côlon diagnostiqué en mars 2021.
« Si vous me voyez à Nancy, c’est que ça ne va pas super bien, sinon je serais toujours à mon poste de président à Rennes », avait-il confié en décembre dernier dans un long entretien accordé au JDD. Le mois suivant, il avait livré dans un sourire son rêve le plus fou à L’Est républicain, en quatre mots : « Guérir de ma maladie. » Ce lundi matin, jour d’un match important à Sochaux qui devient bien anecdotique, l’ASNL a annoncé le décès de Nicolas Holveck à l’âge de 52 ans, lui qui s’était mis en retrait de son rôle de dirigeant le 20 mars dernier. La semaine a donc commencé par une pluie d’hommages venus de Nancy, Monaco, Rennes, et de partout ailleurs (et en particulier de chez le rival messin), pour rappeler que le foot français avait perdu un grand dirigeant et surtout un grand homme.
Une relation père fils avec Jacques Rousselot
Dans le milieu du foot où les coups bas et l’hypocrisie sont la norme, il était difficile voire impossible de trouver des ennemis à Holveck. Il inspirait le respect, parce qu’il était simple et droit ; l’admiration parce qu’il était brillant. Il avait obtenu une maîtrise en finances à l’université de sciences économiques de Nancy, avant de poser ses valises à l’ESC Marseille pour décrocher un master en management du sport. Holveck en avait dans la tête et dans les muscles : cet amoureux des Vosges, né à Épinal au début des années 1970, est arrivé au sport par le ski et le triathlon, deux domaines dans lesquels on le disait redoutable. Il avait aussi sa licence de footballeur à l’ASPTT Nancy, et c’est dans la cité ducale, évidemment, qu’il a fini par lancer sa carrière dans le sport roi.
Il n’était pas question de chausser les crampons, mais d’apprendre dans les bureaux, où il est arrivé comme simple stagiaire en 1997. Pablo Correa était revenu sur cette découverte il y a quelques années pour So Foot, décrivant « un garçon à l’écoute, très dynamique, plein d’énergie et très observateur. Ce n’était pas comme moi, il ne venait pas du foot. C’était le plus jeune du trio, mais il apportait sa vision. » L’autre membre de ce triumvirat nancéien, Jacques Rousselot, aura été déterminant dans l’évolution de Holveck, qui parlait d’une relation père fils entre les deux hommes. L’emblématique patron de l’ASNL l’a installé comme vice-président dès 2008, lui laissant un peu plus de responsabilités au fil du temps. Un jour, à Marseille, il s’est même assis sur le banc pour gérer les changements, Correa étant suspendu et son adjoint Paul Fischer absent. Il a en quelque sorte tout fait à Nancy, où il a vécu le sacre en Coupe de la Ligue (2006) et deux campagnes en Coupe UEFA (2006 et 2008).
Des échelons et un combat
Il avait quitté le nid après une 4e place en Ligue 2, non sans émotion, en répondant à l’appel de l’AS Monaco en 2014. Sur la Côte d’Azur, il a séduit comme il l’avait fait à Nancy, gagnant en compétences au fil des saisons sous l’impulsion de Vadim Vasilyev, dont il était très proche. À ses côtés, il a vécu le titre de champion de France 2017, les épopées européennes et l’éclosion de Kylian Mbappé, participant aux négociations autour du premier contrat professionnel de l’actuel capitaine des Bleus. L’arrivée d’Oleg Petrov en février 2019 aura été un tournant pour Holveck, dont le destin logique était désormais de se retrouver à la présidence d’un club. Il l’a accompli en accédant à la présidence exécutive du Stade rennais en mars 2020, en même temps que la pandémie de Covid-19 a provoqué la mise sur pause du football français. En Bretagne comme partout où il est passé, il a laissé le souvenir d’un dirigeant très compétent et d’un homme apprécié.
Fin août, les actionnaires de Nancy m’ont appelé, et j’en avais assez de rester à la maison à ne rien faire.
Nicolas Holveck au JDD en décembre 2023
Il avait aussi été marqué par sa rencontre avec la famille Pinault. C’est le père, François, qui l’avait conduit vers le professeur Khayat, oncologue français reconnu, pour l’accompagner dans son combat contre le cancer du côlon, qu’on lui avait présenté comme opérable, avant qu’il ne se développe sur les poumons. « La perspective, dans ce type de maladie, c’est le prochain scanner, disait-il au JDD. Tous les trimestres, je passe un examen vital, qui peut tout changer. » Sa force et sa dignité dans ce combat laissaient ses interlocuteurs admiratifs, parfois bluffés. Il avait été hospitalisé une première fois à l’hiver 2021 après des maux de ventre très douloureux, le même week-end que la démission de Julien Stéphan. Il n’avait pas voulu cacher sa maladie ni abandonner ses fonctions : il avait besoin de ça pour ne pas lâcher prise, comme il avait besoin d’avaler des milliers de kilomètres de vélo chaque année pour se sentir vivant.
Il avait été remplacé en mai 2022 par Olivier Cloarec, qu’il connaissait depuis 1999, tout en restant dans l’organigramme, jusqu’à son départ officiel le 31 août dernier. « Fin août, les actionnaires de Nancy m’ont appelé, et j’en avais assez de rester à la maison à ne rien faire. Cela faisait deux ans que je n’étais plus en charge opérationnelle, j’avais envie de travailler. Rennes, c’était hélas devenu impossible, je n’en ai pas la force aujourd’hui, mais un club comme Nancy en National, c’était jouable, racontait-il. Je connais l’environnement, j’ai de la famille ici, toutes les conditions étaient réunies. Et puis il y avait ce côté sentimental, forcément. Mes enfants m’ont tout de suite dit : “Papa, fonce.” En dix jours, j’ai pris ma décision. » Il avait fait revenir Pablo Correa en novembre, comme au bon vieux temps, et Nancy s’était remis à gagner et à rêver d’un retour en deuxième division. Ce ne sera pas cette année, peut-être la prochaine, mais aujourd’hui, ce n’était pas le plus important.
Président de l'AS Nancy-Lorraine, ancien dirigeant de l'AS Monaco puis de Rennes, Nicolas Holveck est décédé ce lundi matin à l'âge de 52 ans.
Le président de Nancy Nicolas Holveck est décédé ce lundi matin à l'âge de 52 ans. « C'est avec une immense tristesse que nous avons appris ce matin le décès de notre président Nicolas Holveck, a expliqué dans un communiqué le club lorrain, qui joue ce lundi soir à Sochaux en National. Il s'est battu jusqu'au bout contre la maladie et au nom de tout le club, des actionnaires jusqu'aux licenciés, nous présentons à sa famille et à ses proches nos plus sincères condoléances. Un hommage lui sera rendu en concertation avec sa famille. »
Alors qu'il occupait la présidence du Stade Rennais, Holveck avait révélé en mars 2021 souffrir d'un cancer et s'était mis en retrait en mai 2022 pour se consacrer à son traitement. Il était revenu l'été dernier à l'ASNL, où il avait officié à divers postes entre 1997 et 2014 jusqu'à en devenir le vice-président. Il était ensuite parti à Monaco pour prendre le poste de directeur général adjoint jusqu'en 2020.
Ancien dirigeant du Stade Rennais et de l'AS Monaco, Nicolas Holveck s'est éteint à 52 ans. Il luttait depuis plusieurs années contre un cancer du côlon.
Triste nouvelle. Atteint d'un cancer depuis plusieurs années, Nicolas Holveck est décédé à l'âge de 52 ans. L'AS Nancy Lorraine en a fait l'annonce ce lundi. Président du Stade Rennais entre 2020 et 2022, il s'était mis en retrait de son poste pour se soigner. En août dernier, il était devenu le patron du club lorrain, lui qui avait été aussi directeur général adjoint de l'AS Monaco en 2014.
Le 20 mars dernier, Nicolas Holveck s'était à nouveau mis en retrait pour "raisons médicales", laissant l'intérim au poste de président à Krishen Sud, l'un des actionnaires du club. "C'est avec une immense tristesse que nous avons appris ce matin le décès de notre président Nicolas Holveck", a écrit l'AS Nancy Lorraine dans un communiqué.
"Il s'est battu jusqu'au bout contre la maladie et au nom de tout le club, des actionnaires jusqu'aux licenciés, nous présentons à sa famille et à ses proches nos plus sincères condoléances. Un hommage lui sera rendu en concertation avec sa famille.", a encore indiqué Nancy à propos d'un homme qui était arrivé en stage au club en 1997.
Holveck luttait contre le cancer depuis 2021
Nicolas Holveck était resté finalement à Nancy jusqu'en 2014, rejoignant ensuite l'AS Monaco où il était en charge notamment des négociations et des contrats en lien avec le mercato. En mars 2020, en marge de la pandémie de Covid, il avait accédé à la présidence de Rennes, succédant à Olivier Létang.
En mars 2021, Nicolas Holveck annonçait son cancer, tout en continuant à son poste de président. En mai 2022, il se mettait finalement en retrait. Dans les derniers mois de sa vie, il avait donc rebondi à Nancy, là où tout avait commencé pour lui, retrouvant toutefois l'ASNL en National.
Nicolas Holveck, une figure emblématique du football français, s’est éteint le 8 avril 2024, emporté par une longue bataille contre le cancer à l’âge de 52 ans. Né à Épinal dans les Vosges le 5 juin 1971, il a laissé son empreinte, particulièrement au sein du Stade rennais. Il a dirigé ce club en tant que président exécutif de mars 2020 à mai 2022, une période marquée par des défis sans précédent liés à la pandémie de Covid-19.
Sa carrière dans le football a débuté en 1997 à l’Association Sportive Nancy-Lorraine, où, après ses études de commerce à Marseille et d’économie à Nancy, il a rejoint l’équipe en tant que stagiaire. Il s’y est rapidement établi comme une figure centrale, devenant vice-président et laissant une trace durable au sein de l’organisation. En 2014, il a poursuivi son ascension en étant nommé directeur général adjoint de l’AS Monaco, où il a joué un rôle crucial dans les négociations de contrats, le recrutement, le développement du centre de formation.
C’est sans doute au Stade rennais que Nicolas Holveck a sans doute rencontré ses défis les plus significatifs. Prendre la présidence exécutive en mars 2020, en plein cœur de la crise sanitaire mondiale, exigeait une certaine résilience. Malgré son diagnostic de cancer en mars 2021, Holveck a continué à se consacrer à sa mission jusqu’en mai 2022, lorsque sa santé l’a contraint à se retirer, laissant la place à Olivier Cloarec.
Son retour en août 2023 à l’AS Nancy-Lorraine, en tant que président, a été un témoignage de son engagement indéfectible envers le ballon rond, malgré ses luttes personnelles. Cela reflète l’esprit d’un homme qui, jusqu’à la fin, est resté dévoué à son sport, à ses équipes et aux communautés qu’il a servies. Nicolas Holveck laisse derrière lui beaucoup de passion pour le football, et un exemple de courage face à l’adversité.
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